• Ce demi-médaillon...

     Ayant été abandonné, je ne sais rien de mes vrais parents. Ce que je sais c'est que j'ai été déposé dans un couffin dans la principale maternité de ma ville natale, probablement par ma mère. Après un passage rapide par la case « Orphelinat », je suis adopté par un couple de commerçant vivant à environ vingt ou trente kilomètres de ma ville, ma ville natale, où je vis aujourd’hui. Je grandis heureux au sein de cette famille. Dans mon adolescence, mes parents m'annoncent, avec tous les ménagements possibles, que j'ai été adopté. Cette annonce n'a rien changé dans nos relations familiales. Il me donne aussi un demi-médaillon qui était avec moi dans le couffin dans lequel j'ai été déposé à la maternité. Ce médaillon, de forme circulaire, a été coupé en deux parties égales. Il représente un signe du zodiaque, la Vierge.
    Après une bonne scolarité, j’ai suivi des études de médecine. Diplômé, j'ouvris un cabinet dans ma ville. Dans l'année qui suit mes parents adoptifs meurent accidentellement et je me retrouve de nouveau orphelin. Je garde la maison familiale et loue le commerce de mes parents à un couple qui garde la même activité. Un jour je reçois dans mon cabinet médical, une jeune et superbe femme de deux ans ma cadette, Solène. Elle me plaît immédiatement. Elle revint régulièrement me voir. Nous sympathisons rapidement et au bout de quelques visites, notre relation médecin patient devient une relation amicale. Pour ma première visite chez elle, un samedi soir, je sens tout de suite qu'elle a mis les petits plats dans les grands. Ces plats furent d'abord ceux du repas absolument délicieux qu'elle a préparé. Il faut dire qu'outre d'être très belle, très cultivée, c'est une excellente cuisinière. Elle, qui aime cuisiner pour les autres, sait bien que, suivant l'adage, le chemin du cœur d'un homme passe par son estomac. Après le fromage, elle me quitte quelques instants pour aller chercher le désert dans sa cuisine. 
    Elle revient sans son désert, où plutôt avec le meilleur des déserts, elle-même. Elle est en bustier, soutien-gorge, slip le tout en dentelle fine de couleur noire, ce qui tranche avec la blancheur de sa peau et dévoile ainsi son intimité. Ce charmant ensemble est complété par des bas à coutures noirs soutenu par le porte-jarretelles de la même couleur. Cette vision magnifique a l'effet souhaité par Solène, je bande vite comme un fou en comprenant ce qu'elle veut. Solène s'approche de moi, ouvre ma barquette, libére mon sexe qui en a déjà bien besoin. Sans attendre elle s'agenouille devant moi, prend mon membre en main et entreprend sa première fellation. Je découvre pour l'occasion que décidément la jeune femme est la femme idéale. Elle ajoute à sa beauté, sa culture, ses talents culinaires, une parfaite connaissance de la manière de faire jouir un homme. Sa fellation est magnifique et pendant de longues minutes elle me garde au seuil de la jouissance. Elle se releve et me dit de la suivre dans sa chambre. Dans l'escalier j'ai une belle vision sur ses magnifiques fesses. 
    Dans la chambre elle finit de me mettre nu et m'assois sur son grand lit. Elle m'abandonne encore une fois pour mettre une musique lascive. Elle entreprend, après m'avoir interdit de me masturber, un strip-tease qu'elle met un malin plaisir à faire durer. Le porte-jarretelle et le bustier sont les premiers à être enlevés. Les bas glissent très lentement de ses magnifiques jambes. Vint le tour du soutien-gorge qui met plusieurs minutes à me permettre de voir enfin sa superbe poitrine. Le slip ne met guère plus moins de temps pour me faire découvrir sa sublime chatte totalement rasée. Je n'ai pas débandé de tout son strip-tease. 
    Elle me rejoint enfin sur le lit. Nous nous embrassons longuement quand j'entreprends de descendre le long de son superbe corps. Je fais une longue halte au niveau de sa poitrine avant de descendre, via son nombril, vers son intimité. Après l'avoir caresser pendant plusieurs minutes, j'entreprends un cunnilingus. Elle se lance dans des caresses sur sa poitrine. La jeune femme devient de plus en plus chaude et finit par jouir une première fois. Je remonte alors le long de son corps et je m'attarde encore une fois sur sa poitrine. Mon visage est à peine revenu en face du sien, qu'elle se relève et vient s'installer tête-bêche au-dessus de moi. Visiblement elle veut réaliser un 69. Je n'hésite pas un instant pour replonger mon visage dans son intimité pendant qu'elle prend mon sexe en bouche. Nous restons là encore de nombreuses minutes. Solène jouit une nouvelle fois.
    Je la vois alors se relever et au lieu de rejoindre pour s'allonger près de moi, elle m'enjambe et vient s'empaler sur mon sexe qui n'a pas débandé. Elle descend et monte le long de ma hampe. Je finis, après environ un quart d'heure de ce doux supplice, par éjaculer dans son vagin. Sentant mon sperme chaud envahir son intimité, Solène a un troisième orgasme encore plus fort que les précédents. La nuit se continue sur la même lancée. Dans les jours qui suivirent nous avons très souvent fait l’amour, jusqu'à 5 ou 6 fois par jours. Solène adore le sexe, avec une seule limitation, que j'accepte, tout en la regrettant, la sodomie. Les mois passent notre relation demeure toujours aussi intense.
    Moi qui m'était juré de ne jamais me marier, je finis par accepter de l'épouser après une nouvelle discussion sur le sujet. Ayant dépassé ce qu'elle sait être un « tabou » de ma part, le mariage, elle m'offre en cadeau de dépasser elle aussi un « tabou » pour elle, la sodomie. Elle m'avoue pour l'occasion qu'elle n'a jamais été l'objet de cette pratique qu'elle juge dégradante et sale. Je dois cependant partir pour aller acheter des capotes et des lubrifiants. A mon retour, de peur qu'elle soit déçu, je lui explique, un peu faux-cul ce qu'elle va ressentir, en parlant d’une douleur assez forte et d'un plaisir ordinaire. Mes explications finit je lui propose de ne pas le faire, mais Solène me signale qu'elle est prête puisqu'elle me l'a promis. Je lui dis qu’elle pourra à tout moment décidée de refuser d’être sodomisée. 
    Sous ma direction elle se met à quatre pattes sur le canapé. Je la prépare par des caresses délicates pendant de nombreuses minutes. Je mets une capote et je mets mon gland devant sa rosette. Avec le plus de précautions possible, pour qu’elle apprécie la sodomie, j'introduis mon sexe dans ses fesses. Au bout de deux minutes environ, je suis au plus profond d'elle. Toujours avec les plus grandes précautions je commence mon premier va et vient dans ses fesses. Solène, comme je l'espérais, apprécie beaucoup ce que je lui fais. Le rythme de mes pénétrations s'accélérant et elle devient de plus en plus chaude, chaude comme je ne l'avais encore jamais vue. Elle jouit plusieurs fois avant que je jouisse une nouvelle fois. Elle m'annonce qu'elle a beaucoup aimée. Elle n'a depuis plus jamais refusée cette pratique qui est vite devenue le point d'orgue de chacune de nos parties de jambe en l'air.
    Les préparatifs du mariage avance. Il ne reste plus que quelques semaines avant la cérémonie. Un jour Solène et moi avons décidé d'aller dîner. Elle est presque prête mais veut mettre un collier de perle. Pendant qu'elle met la dernière main à son maquillage, elle m'envoie chercher le dit collier dans sa boite à bijou. Je vais refermer la boîte quand mon œil est attiré par la moitié de médaillon circulaire qui semble correspondre exactement à celui que mes géniteurs ont laissé dans mon couffin. Sans en parler à Solène, je prends le demi-médaillon et je retourne chez moi mettre ma découverte à côté de celui de mes parents. C'est bien la seconde moitié du médaillon. 
    De retour chez Solène, qui m'attende avec inquiétude après mon départ précipité, je lui montre ma découverte. Solène m'apprend qu'elle a cette moitié de médaillon depuis son enfance. Sa mère le lui a légué, outre ses biens, avec une lettre où elle raconte tout sur l'objet. Mon amie recherche la lettre et me la lit. Sa mère s'étant retrouvé seule après la mort de son ami, et quasiment sans ressources, elle avait décidée d'abandonner à sa naissance l'enfant qui devait avoir environ un mois plus tard. Cet enfant, un garçon, fut laissé par elle dans un couffin dans une maternité de la ville, avec l'autre moitié du médaillon coupé en deux par elle-même. Elle avait ensuite rencontrée le père de Solène qui l'avait épousée. Tous les détails de l'histoire, date de la naissance de l'enfant, lieu et circonstances de l'abandon, ne laissait aucun doute, la mère de Solène n'est autre que ma mère et la jeune femme ma demi sœur. 
    Notre relation amoureuse doit cesser immédiatement et notre mariage est impossible. Après plusieurs minutes de discussion dans les larmes de Solène, nous avons décidés d'un commun accord de nous en tenir dans des relations purement fraternelles et d'annuler le mariage. Pendant une semaine, je n'ai pas pu revenir chez Solène, qui de son côté ne cherche pas à me parler. La semaine est très dure, être ainsi sevré du corps de Solène et des heures de plaisir que nous prenions ensemble. Chaque jour le manque ce fait de plus en plus intense. 
    Une semaine après la découverte de notre lien de parenté, je décide de retourner chez Solène, dans un seul but refaire l'amour avec elle par tous les moyens, hormis la contrainte physique. Je suis devant sa porte et je frappe. Solène m'ouvre le regard triste qui devient un sourire charmant quand elle me reconnaît. Elle m'empoigne le bras, me fait entrer dans sa maison et referme la porte derrière nous. Elle se lance tout de suite sur mon pantalon et l'ouvre pour faire sa première fellation depuis une semaine. Inutile de dire que je ne n'ait rien fait pour la repousser, car visiblement elle a la même envie que moi. Nous avons passé la majeur partie de la nuit à faire l'amour comme des fous sans parler autrement que pour dire des "Oui !", des "Va y !", des "Ah !" ou des "Oh !" de plaisir dans un brouhaha de succions et de choc de nos deux corps. Nous jouissons chacun plusieurs fois, avec une intensité que nous n'avons encore jamais atteint. Après une dernière sodomie, nous nous sommes écroulé tous les deux épuisés 
    Avant de reprendre nos ébats amoureux, nous avons parlé de la situation. Il est évidant pour elle, comme pour moi, qu'il est impossible de poursuivre notre relation sans revenir à sa forme sexuelle. C'est Solène qui découvre la solution. Personne ne sait notre lien de parenté si proche. La seule preuve éventuelle, à condition de rapprocher des détails infime, est la lettre. Elle me suggère de la détruire, ce que nous faisons immédiatement. Nous avons décidé de faire monter les deux médaillons en deux pendentifs, un pour elle et un pour moi et d'en faire, pour les autres, une marque d'amour entre nous.
    La raison principale de l'interdiction des relations entre parents proche, sacralisé par la loi, hors mis les problèmes moraux, c'est le risque grandissant plus le lien est proche d'avoir des enfants atteints de graves maladies congénitales. C'est encore une fois Solène qui trouve la solution. Pour éviter tout risque d'avoir des enfants atteints de telles maladies congénitales c'est de ne pas en avoir du tout. Une femme n'a qu'une période chaque mois où elle peut avoir un enfant. Pendant cette période de fertilité, à l’inverse de bien des couples en demande d’enfant, nous ne faisons l'amour qu’avec des préservatifs. Un bien petit sacrifice pour moi et un bien plus grand pour Solène. Je sais depuis le début que son envie de mariage n'est que le premier volet de son envie principale, avoir un enfant. Nous n'avions pas encore pris contact avec la mairie pour annuler le mariage, nous n'avons donc rien à faire pour nous mariés. Nous sommes vite devenus légalement mari et femme, et secrètement demi-frère et demi-sœurs.
    L'envie d'enfant de Solène ne cessant de grandir, je lui propose de faire croire à un ami, Richard, qui lui faisait hors ma présence une cour empressée, qu'elle lui cède enfin. Il avait divers avantages à faire ce choix. C'était un ancien amant occasionnel de Solène et dans l'optique d'être le père réelle de mon enfant, il a l'avantage de me ressembler un peu physiquement, mêmes taille, couleurs de cheveux et d'yeux. Nous décidons de le piéger de façon à ce qu'il nous donne notre enfant sans s'incruster dans la vie de Solène, qui n'en a d'ailleurs pas envie.
    Un soir, en présence de Richard, après une dispute simulée entre Solène et moi, j'ai quitté la maison, laissant notre ami seul avec ma femme en laissant entendre que je ne reviendrais pas de la nuit. Comme prévue par Solène, Richard ne mis pas 2 minutes pour essayer d’en profiter. Il commence par me débiner et obtient ce qu'il espérer depuis des années, recoucher avec Solène. Bien sûr la date de cette « dispute » et de ses suites tombent précisément pendant sa période de fécondité. Pendant trois mois ma femme à reçut les avances répéter de Richard pendant les périodes propices, faisant en sorte de lui laisser la place discrètement pendant celles-ci. Solène m'a reçu un soir en m'annonçant qu'elle était enceinte. Nous avons, conformément à notre plan initial, fait ce qu'il faut pour que Richard ne puisse plus ce retrouver seul chez nous avec Solène qui d’ailleurs ne voulait plus aussi souvent lui céder. Nous le gardons sous le coude, nous réservant une carte de sortie, une reprise des relations adultérines avec Richard, au cas où la première grossesse de Solène se conclue par un problème du type fausse couche.
    Six mois plus tard naît notre enfant qui, au dire de nos amis et de Richard ressemble à Solène et à moi. Un semestre plus tard: il est notre enfant se révèle en parfaite santé. Solène et moi, conformément à notre plan, nous avons piégé une dernière fois Richard. Un week-end, je « rappelais » à Solène, devant Richard, que quinze jours plus tard, j'allais être exceptionnellement absent le samedi matin à cause d'une réunion importante. Richard, qui n’a plus couché avec Solène depuis 5 mois, comme prévue, saute sur l'occasion pour faire sa cour et obtient, la veille du samedi concerné, l'accord de Solène pour profiter de ce samedi matin pour faire l'amour. Au matin, je fais mine de partir pour ma « réunion » et je m'installe à peine un kilomètre de chez moi dans un coin discret, avec un talkie-walkie. Son double était branché chez moi et je parle avec Solène depuis 2 ou 3 minutes quand elle m'annonce que Richard, fidèle à notre plan sonne déjà à la porte. Elle cache l'engin, sans l'éteindre, et va ouvrir en peignoir à son « amant ».
    La porte refermée, Richard met déjà ses mains sous le peignoir de Solène, qui a presque du mal à faire entrer Richard dans le salon, pourtant très proche de la porte d'entrée et où est caché le talkie-walkie. Pendant ce temps je suis revenue tout près de chez moi. A l'entrée de ma porte j'attends le signal convenu entre nous pour me permettre de savoir qu'ils sont nus tous les deux et que leur position ne laisse aucun doute sur ce qu’ils sont censés être en train de faire. Je n'ai là encore pas longtemps à attendre pour l'entendre. Je rentre chez moi et je joue alors celui qui a oublié des documents et découvre sa femme entrain de se faire prendre par son amant. Je me mis en colère contre elle, en laissant bien voir que je l’aime follement, mais surtout sur contre mon ami qui a osé me trahir, et trahir sa femme et ses enfants, en couchant avec ma femme. Je lui laisse à peine le temps de se rhabiller et lui interdisant de jamais osé revenir. 
    Nous avons pris la décision de ne rien dire de son origine à notre enfant. Pour éviter le plus possible le risque qu’il rencontre par hasard l’un des enfants de Richard avec qui il pourrait avoir un enfant à risque, pour l’enfant et de découverte de notre lien de famille, nous avons quitté ma ville natale. Solène, à la grande joie de son patron, accepta pour cela, ce qu’elle avait toujours refusé depuis des années, le poste de directrice d’une succursale de sa société à plus 500 km de notre ville. Je l’ai bien sûr suivi en faisant passer ce choix comme un sacrifice d’un homme amoureux à la femme qu’il aime. Nous vivons aujourd’hui, des années plus tard, heureux en famille et sur le plan sexuel.
    Je vous ai parlé précédemment de ma rencontre torride avec une inconnue, Solène, qui s’est révélé être ma demi-sœur. J’ai poursuivi mon récit en vous parlant de la manière dont nous avons décidé de vivre ensemble malgré tout. J’ai fini mon premier récit, en sautant les étapes et en vous parlant de la manière dont nous avons eu un enfant et notre départ de notre ville natale. 
    Je vais maintenant faire un petit flash-back, nécessaire, au lendemain de nos retrouvailles sexuelles. Solène et moi nous avons rattrapé le temps perdu, d’abord en parlant de notre mère puis de notre relation amoureuse. Ayant franchi un des tabous de notre société, l’inceste, nous nous promettons de n’avoir d’autre limites dans notre relation que celles des pratiques pour lequel nous n’avons aucun goût, comme le sadomasochisme. Nous décidons de nous laisser une totale liberté dans nos vies sexuelles, avec son complément évident, une totale sincérité mutuelle sur celles-ci.
    En moins d’une semaine, nous connaissons chacun les principales aventures sexuelles de l’autre. Souvent le récit de l’un conduit à son équivalent de la part de l’autre et est toujours le prétexte à faire encore une fois l’amour. Sans aucun complexe, Solène me parle de son expérience lesbienne avec la femme qui a partagé son logement universitaire pendant deux ans. Je ne lui cache pas que je fantasme depuis toujours de coucher avec deux ou plusieurs femmes en même temps, ou d’assister à une partouze lesbienne. Je lui révèle que, moi aussi, j’avais eu une expérience homosexuelle, un soir de beuverie avec un inconnu avec qui j’avais sympathisé. Au sortir de la boîte de nuit, vue mon état d’ébriété et compte-tenu de ce qu’il n’avait pas bu, il m’a proposé de me reconduire chez moi. En route j’avais cédé à ses avances et fait l’amour avec lui à l’arrière de son tout-terrain où entre autre nous nous étions enculés l’un après l’autre. Solène apprend alors que je n’avais pas suffisamment aimé cela pour faire en sorte de renouveler l’expérience.
    Les mois ont passés, Richard, notre ami qui me ressemble, a été piégé, comme l’espérait depuis longtemps Solène à porter notre enfant, qui est en bonne santé. Sa naissance nous a contraint à limiter quelques peu les fréquences de nos relations sexuelles, car Solène et moi devons surveiller le bébé bien que nous sommes obligés de le confier souvent à un service de baby-sitting. Nous voulons être de bons parents. Comme vous le savez, nous avons quittés notre ville natale.
    Dans notre nouveau département nous habitons une maison en pleine campagne à vingt minutes du centre de la préfecture de région. La maison, de près de trois cents mètres carré a quatre niveaux, de la vaste cave au grenier. Elle est entourée d’un parc de plus de deux hectares. En quelques mois nous nous sommes parfaitement intégrés. J’ai vite trouvé à reprendre un cabinet médical, situé dans le centre de la préfecture, qui bénéficie d’une bonne et nombreuse clientèle. J’ai aussi, en tant qu'ancien joueur de Division 2 de handball, j’ai retrouvé un poste identique à celui que j’occupais dans mon ancienne ville, encadrant des équipes locales du principal club omnisports de la ville, dont l’une des équipe est de bon niveau dans sa division de Nationale.
    La suite du récit de ce jour est l’œuvre de Solène, car elle est l’héroïne principale de ce volet de notre histoire commune.
    Je n’avais jamais acceptée le nouveau poste que l’on me proposait car le supplément de salaire que l’on m’offrait, n’était pas suffisant pour compenser les frais importants qu’occasionnait celui-ci. L’apport des revenus de mon demi-frère et mari, Philippe, et la situation favorisèrent mon acceptation. Me voici directrice de la succursale régionale de la société qui m’emploie. Mon bureau est au dernier étage d’un bâtiment qui est à environ dix minutes du centre de la préfecture et presque à l’opposé de notre maison par rapport à celui-ci.
    Mon lien principal avec les dirigeants nationaux et mes subalternes au sein de la société n’est autre que ma secrétaire de direction, Patricia. Son bureau est le seul accès au mien. Dès notre première rencontre, j’ai été troublée par cette belle femme de trente ans, d’un mètre soixante-quinze, aux cheveux bruns mi long, aux yeux noisette et dotée par la nature de seins et de fesses que je trouve magnifique. Le soir même, comme j’en ai été convaincue depuis le matin, Philippe a été séduit par la description que je lui en fais. Il me reparle son envie de faire d’amour avec plusieurs femmes. Tout naturellement s’en suit une nouvelle partie de jambes en l’air. Leur première rencontre n’est que téléphonique, quand, le lendemain matin il me passe un coup de fil, alors qu’il sait que je ne suis pas là. Le soir même, il me dit simplement que si elle est aussi belle que sa voix est douce, elle doit être magnifique.
    En quelques jours, j’ai eu une entière confiance en Patricia, qui s’est révélée être la « secrétaire de direction idéale ». Je remarque vite qu’elle a les mêmes goûts que moi, et pas seulement vestimentaire. Je découvre peu à peu que, comme Philippe, elle partage avec moi de très nombreux intérêts communs. Une semaine après mon arrivée dans ma nouvelle fonction, nous sommes déjà des amies. Je n’ai donc pas de difficultés pour la faire venir chez nous. La rencontre se passe bien et nos goûts en communs, font que Philippe, Patricia et moi devenons de vrais amis. Philippe tente dès sa seconde visite, trop rapidement à mon idée, de faire la cour à Patricia qui, comme je le pensais, refuse froidement.
    Un mois plus tard, pour préparer un rapport urgent pour la direction nationale, je sais que je vais avoir une longue journée, malgré l’aide de Patricia. Le soir, vers vingt heures, je quitte enfin les bureaux où se trouve encore Patricia qui met la dernière main à notre tâche. Sur le chemin du retour, je me rends compte que j’ai oubliée un dossier important et je fais demi-tour. En arrivant à la société, quarante minutes après mon départ, je remarque que la voiture de Patricia est encore là. Dans le bureau de ma secrétaire, j’entends les petits bruits typiques de ceux d’une personne qui fait l’amour, venant de mon bureau. Je fini mon approche en silence. Je découvre, posés de façon bien ordonnée sur mon bureau la robe rouge de Patricia, son slip et son soutien-gorge de même couleur.
    La jeune femme est là, en bas et porte-jarretelles, assise sur mon fauteuil de direction, les pieds posés sur les larges accoudoirs. Les yeux clos, elle est en train de se caresser la poitrine de la main gauche et de se masturber sans vergogne de l’autre. La vision de ses doigts, déjà trempé de sa cyprine, m’excite beaucoup. Je remonte ma robe, introduit mes doigts sous ma culotte et je commence à me masturber moi aussi. L’envie devient vite trop forte. J’enlève ma robe qui, avec mon soutien-gorge et ma culotte, rejoignent les vêtements de Patricia après que, comme elle, je les ai, machinalement, soigneusement pliés.
    Je m’approche de ma tentatrice et le léger bruit de mes pas finit par révéler ma présence à la jeune femme. Elle veut cacher son intimité en repliant ses jambes et ses bras, mais, se rendant compte que je suis dans la même tenue qu’elle, Patricia décide de reprendre sa position en m’invitant à la rejoindre. Je m’approche de ma jeune amie, plonge directement vers son intimité sans me soucier de ses bras qui voudraient m’enlacer. Je commence à lui lécher le sexe maintenant libre. Je goutte pour la première fois à ce délicieux fruit qu’est l’intimité de mon amie. Ma tendre partenaire, fait vite de nouveau entendre de doux bruits et ne tarde pas à jouir une première fois sous les caresses de ma langue et de mes doigts qui retrouvent enfin des sensations qu’ils n’avaient plus connue depuis ma « camarade » d’université.
    Patricia se lève, s’allonge sur le tapis et m’invite à m’allonger près d’elle. La jeune femme vient me prendre un premier baiser sur la bouche et nos langues ont vite fait de s’entre mêler. Nous restons dans cette position pendant de longues minutes. Elle descend ensuite sur ma poitrine dont elle s’occupe de longues minutes, me procurant de délicieux frissons. Elle reprend sa descende, passe une ou deux minutes à s’occuper de mon nombril et atteint enfin mon intimité. Ma partenaire y fait preuve d’une efficacité qui ne laisse aucun doute sur sa longue pratique de l’amour entre femmes. Sa langue et ses doigts vont et viennent librement, à la fois doux et excitants, sur et dans mon intimité. Je commence tout naturellement à onduler et faire entendre une douce plainte. Fermant les yeux, sans trop réfléchir, je m’abandonne à ma charmante amie qui n’a pas de mal à me faire jouir une première fois.
    Après avoir repris mon souffle, je demande à ma partenaire si elle se masturbait souvent dans mon bureau. Elle commence son explication en m’indiquant simplement qu’elle est lesbienne. J’entrevois là un problème pour la conduire à faire l’amour avec Philippe et moi en même temps. Patricia ajoute que je lui ai plu dès notre première rencontre. Je lui dis que c’est aussi mon cas. Elle m’explique qu’elle se masturbait dans mon bureau pour la seconde fois ce soir et qu’elle aime le faire dans le fauteuil qui a, je cite « le bonheur de t’accueillir dans ses bras et sens toujours ta délicate odeur ». Je continue notre conversation :
    - Dis-moi, ma belle, je crois que nous serions mieux dans ma chambre qu’ici?
    - Chez toi! Mais il y ton mari! Je l’apprécie beaucoup, mais c’est un obsédé, il m’a déjà fait des avances une fois. S’il était d’accord pour que nous fassions l’amour chez toi, je suis sûr qu’il voudra participer et moi je n’en veux pas de lui pendant ce doux moment, même en tant que simple spectateur.
    - C’est vrai ma chérie, Philippe est un obsédé, et je suis bien certain que si tu voulais il ne dirait pas « Non » car tu lui plais beaucoup. Pour les avances qu’il t’a fait, c’était lors à ta seconde visite chez nous, il m’en a parlé le soir même.
    - Il t’en a parlé?
    - Nous n’avons aucun secret l’un pour l’autre. Mais je le connais, il suffit que je lui dise que je viens avec toi pour faire l’amour et que nous voulons être seules pour qu’il nous laisse tranquille.
    Patricia ne croit évidemment pas cette affirmation que je sais, moi, totalement exacte. Je téléphone donc à Philippe, sans lui dire qu’elle nous écoute, est tout ce passe comme je le lui ai dit. Il m’annonce aussi qu’il part avec notre bébé pour son cabinet, qui dispose de l’ancien logement du médecin qu’il remplace. Il me souhaite de bien profiter de Patricia. La jeune femme est surprise par notre complicité et notre totale ouverture d’esprit. Elle m’envie d’avoir trouvée l’homme idéal et m’annonce:
    - Je crois que si un jour je recouche avec un homme, ce ne pourra être qu’avec lui.
    Cette simple phrase enchante, elle me révèle que ma charmante Patricia, qui a dut avoir une mauvaise expérience avec un homme qui la fait devenir lesbienne, ne ferme pas pour autant la porte à une relation avec mon Philippe. Nous partons vers ma maison. Tous en roulant je téléphone à Philippe qui est déjà sur le point de partir. Je lui apprends les détails qu’il ignore et lui parle de cette phrase pleine de promesse. Il m’annonce qu’il va bien s’occuper du bébé et que, quand il le pourra, il se branlera en nous imaginant en train de faire l’amour.
    Chez moi, nous sommes à peine entrées que Patricia me prend par la taille et me tends ses lèvres pour un baiser sur la bouche. Nous finissons quand même par arriver dans le salon. Patricia est si pressée qu’en retirant sa robe, le seul vêtement qu’elle et moi avons remis en partant de notre société, elle la laisse simplement tomber sur le tapis. Le temps que j’enlève ma robe, qui suit celle de Patricia, ma douce secrétaire est déjà assise sur le tapis devant le fauteuil.
    Je ne positionne devant elle pour l’embrasser sur la bouche. Nous nous caressons mutuellement nos corps que nous continuons de découvrir enfin. Mon baiser ne dure que quelques secondes. Ma délicieuse amie entreprend de descendre pour s’occuper de ma poitrine et de m’y mordiller les mamelons. Au bout de plusieurs minutes de ce doux délice, Patricia revient poser ses lèvres sur les miennes et nous restons encore plusieurs minutes à jouer amoureusement de nos langues tous en découvrant des mains nos corps respectifs.
    Je repousse délicatement ma partenaire en arrière et, en lui tirant les jambes vers l’avant, je l’allonge sur le dos. Je monte sur elle, mon sexe au niveau du sien. Je m’allonge pour reprendre avec elle nos tendres baisers. Je me redresse un peu pour lui caresser et lui titiller la poitrine de la main. Elle en profite pour revenir s’occuper de mes seins avec sa langue et sa bouche. Sa main droite vient me caresser le sexe. Nous restons dans cette position pendant quelques minutes avant que je ne me décide à mon tour à descendre pour m’occuper de nouveau de sa poitrine avec ma bouche. Patricia s’abandonne à mes caresses et place ses bras au pied du fauteuil. J’en profite pour descendre ma main sur sa chatte.
    Je quitte ma position pour m’allonger à côté de Patricia. Je reprends mes caresses du pouce sur son mont de Vénus pendant quelques minutes avant qu’elle me demande de mettre un doigt dans son intimité. Ma partenaire commence déjà à onduler de plaisir en poussant des petits bruits. Je finis par mettre un deuxième doigt dans sa chatte. Elle écarte les jambes pour me faciliter la tâche. Je me penche à nouveau pour prendre à pleine bouche son sein gauche. La main droite de Patricia vient rejoindre ma main pour caresse son clitoris de l’extérieur.
    J’ai soudain envie de lui manger la chatte. Je me redresse, positionne mon visage sur son sexe et entreprends de goutter encore une fois à ce délicieux fruit. Ma douce Patricia bouge, me fait lever une jambe pour passer sous moi et s’installe pour faire de même. Nous sommes restées ensemble dans ce merveilleux soixante-neuf pendant de longues minutes. Je suis très heureuse de sentir une nouvelle fois ma bouche inondée de sa cyprine. Ma tendre amie finit par faire entendre un immense « Oui ! » de plaisirs avant de cesser toute activité. Au bout d’une ou deux minutes elle reprend ses esprits, reviens s’activité sur mon intimité et finit par me faire jouir à mon tour. Pendant plusieurs heures nous continuons à faire l’amour en variant les positions. Nous finissons, vers deux heures du matin, dans ma chambre où nous nous sommes couchées après avoir pris une douche très torride.
    Le lendemain matin mon réveil sonne, il est l’heure de me lever pour aller au travail. Nul doute que Patricia, comme moi, préférerait rester là pour faire encore l’amour. Nous échangeons de trop courtes caresses avant que Patricia ne parte pour aller chez elle se changer. Je suis arrivée à l’heure et Patricia, pour la première fois de sa carrière, arrive avec quinze minutes de retard. Pendant toute la matinée, enchaînant les rendez-vous professionnels, je ne peux parler librement avec Patricia. Je suis, tout la matinée, partagée entre l’envie folle que j’ai de faire l’amour avec elle, surtout quand je la croise, et de rejoindre Philippe pour faire la même chose. 
    À midi, ma secrétaire de direction réussit à m’intercepter quelques secondes sous le prétexte d’une communication importante. Elle me fait savoir que ce soir elle rentrait chez elle, pour que je fasse l’amour avec Philippe, en finissant par:
    - Philippe est un mec trop bien pour que je le prive de la femme qu’il aime. Je t’aime tant que je suis toute à fait d’accord pour faire comme lui et te partager. Il faudra qu’on en parle demain soir, chez toi, tous les trois.
    J’aurai voulu continuer notre discussion, mais les personnes avec lesquels je dois déjeuner m’attendent. Je n’ai pas revue Patricia seule de la journée. Le soir je retrouve enfin Philippe. L’annonce de la venue de Patricia pour le lendemain pour parler ouvertement de nos deux relations amoureuses, nous conduit à une soirée aussi chaude que celle de la veille.
    LE GRAND SOIR
    En ce vendredi matin, Solène et moi savons que la journée va ouvrir une nouvelle phase de notre relation. Notre amie Patricia, secrétaire de direction et maitresse ardente de Solène, va venir dans la soirée pour parler de notre relation « à trois ». Mon espoir, pour la soirée, est au moins que Patricia accepte que j’assiste à ses ébats lesbiens. Voir deux femmes faire l’amour en vrai est un de mes principaux fantasmes. J’espère que la jeune femme qui, de son propre aveu est lesbienne, acceptera un jour que j’y participe. Je crains seulement que cela reste longtemps un fantasme.
    Ma journée au cabinet commence mollement, ce qui me laisse le temps de m’exciter en pensant à la soirée. Vers dix heures, je reçois la visite d’une nouvelle patiente de vingt-cinq ans. Cette jeune et très belle femme a une tenue très sexy, une jupe très courte qui laisse voir des jambes magnifiquement galbées par des bas noirs. Elle s’assoit face à moi et écarte ses jambes. Je découvre qu’elle ne porte pas de culotte, et que j’ai une vue directe sur son intimité et sa toison brune en forme de point d’interrogation. Cette vision n’excite tant, que j’ai du mal à ne pas y fixer mon regard. Je ne suis pas au bout de ma surprise, lors de l’auscultation, elle me dévoile son buste sans soutien-gorge. Sa poitrine est superbe et mon excitation grandit encore, je fantasme sur ce que nous pourrions faire, ma patiente ne m'est pas assez connue pour que je me jette sans risque sur elle. D’habitude, quand mon excitation atteint un tel degré, une fois la patiente partie, je prends quelques minutes pour aller me soulager dans mes toilettes. Aujourd’hui, dans l’espoir un peu fou, de devoir satisfaire deux femmes dans la soirée, je n’y vais pas.
    Ma belle Solène, de son côté est, comme le veille, surchargée de rendez-vous durant toute la journée. Elle ne peut se retrouver seule avec Patricia suffisamment longtemps pour se donner mutuellement du plaisir. J’aurais aimé, à midi, avoir la possibilité de rejoindre Solène et Patricia à leur bureau et après avoir évoqué ma patiente, faire l’amour avec elles. La journée de Solène et de Patricia prend fin à dix-sept heures et celle-ci, suivie de Patricia, quitte sa société pour revenir chez nous. Solène libère la baby-sitter après avoir pris, auprès d’elle, des nouvelles de notre bébé. Avec l’aide de Patricia, elle s’en occupe à son tour, puis elles descendent au salon avec l’interphone de bébé. Elles descendent dans le salon mettent la main aux derniers préparatifs de la soirée dont, pour l’heure, je ne sais encore rien et qu’elle organise depuis que Patricia à annoncer sa venue.
    Quand j’arrive, vers dix-huit heures, elles sont installées sagement sur l’un des canapés du salon. Patricia se lève, dans une superbe robe légère bleue ciel et vient m’embrasser, comme la simple amie qu’elle est encore pour l’instant. Solène porte, elle, la belle robe rouge qu’elle ne met que dans les grandes occasions, comme lors de notre première fois chez elle. Elle me donne un baisé très sage sur la joue et m’invite à m’assoir sur le canapé qui fait face au leur. La conversation ne quitte pas le niveau d’une conversation normale entre simples amis. 
    Je suis impatient d’entendre ce que veut Patricia. Je sais déjà qu’elle accepte de partager Solène avec moi. Acceptera-t-elle de vivre une partie de leur vie amoureuse en ma présence ? Le spectacle sera sûrement très beau, tant les deux femmes sont belles. Patricia acceptera-t-elle que je participe parfois à leurs ébats ? Je crains fort que cette lesbienne ne dise « Non ». Je me contente d’espérer qu’elle devienne un peu bisexuelle et du fol espoir qu’elle le fasse ce soir même, sinon à quoi bon m’être économisé. Mes deux amies poursuivent la conversation sur des sujets ordinaires sans sembler se rendre compte que je suis sur des charbons ardents. Cinq minutes sont passées, j’en ai assez et, profitant qu’elles se sont mises à parler de leur travail, je lance directement :
    - Ce matin j’ai failli me jeter sur une superbe patiente de vingt-cinq ans qui est venue presque nue dans mon cabinet.
    Elles éclatent de rire et Solène dit à son amie:
    - Tu vois ma chérie, je te l’avais dit, il ne peut s’empêcher de ramener la conversation sur le sexe. Il a quand même tenu plus de cinq minutes.
    Ma réplique semble faire l’effet voulu sur les deux femmes, elles se rapprochent et commencent à échanger un long baisé sur la bouche tout en ce caressant les corps, la main de Patricia est d’ailleurs vite au haut des cuisses de Solène. Par discrétion, je me lève pour les laisser seules mais Solène me fait signe de rester là et me dit simplement :
    - Interdiction de nous rejoindre. Tu peux te branler, mais discrètement !
    Le fait que Patricia ne prend même pas la peine de relever cette phrase, me laisse supposer son accord tacite. Les deux femmes reprennent leurs échanges amoureux. Après quelques secondes de réflexion, je m’éloigne un peu pour me mettre derrière le fauteuil, jugeant plus pratique et plus discret, que de tenir un cousin pour cacher ma masturbation. Je peux sortir mon sexe du pantalon qui l’enserre déjà, sans que Patricia ne puisse le voir. Une précaution sans doute inutile car celle-ci est trop occupée par Solène pour me prêter attention. Le baisé des deux femmes dure de longues minutes avant que Patricia se décide à défaire le nœud qui retient le haut de la robe de mon épouse. Elle me dévoile les seins de ma femme que la charmante Patricia se met à lécher et mordiller avec tendresse. Très vite,la belle donne des signes de plaisirs que je connais bien. Patricia abandonne le sein droit et va, après un court retour sur la bouche de notre amie, s’occuper de l’autre sein.
    Au bout de quelques instants Patricia fait lever sa partenaire pour faire descendre sa robe à ses pieds. Je découvre que Solène ne porte que les bas rouges qui, elle le sait bien, m’excitent particulièrement. Patricia la fait se rasseoir et entreprend de lui relever les jambes pour se donner un accès parfait à son intimité. J’ai alors droit à une longue séance de caresses de la langue et des doigts de Patricia sur et dans l’intimité de Solène. Ma femme, elle, se caresse la poitrine. Ce doux spectacle est complété par des bruits de sussions vite augmentés par les cris de plaisirs de Solène. Inutile de dire que je n’ai même plus besoin de me masturber pour bander à l’extrême. Je rejoindrai volontiers le couple dans leurs ébats pour prendre Patricia et réaliser mon fantasme de faire l’amour avec deux femmes en même temps. Hélas ! La réalité est un peu moins plaisante. Je ne dois pas brusquer les choses, si je veux pouvoir, un jour, le faire réellement.
    Les minutes passent sans que Patricia ne cesse de manger la chatte de Solène. Ma demi-sœur et épouse finit par jouir. Son amie ne la laisse pas pour autant tranquille et continue à manger son intimité. Solène, sous ces caresses, jouit une seconde fois de manière si forte que je me rends compte qu'elle peut la faire jouir plus intensément que moi. Je suis à la fois un peu jaloux des capacités de sa partenaire et content pour ma chère femme de la voir prendre son pied. Pendant quelques minutes les deux femmes restent dans la même position, inactives et se souriant. 
    Solène et Patricia se relèvent. Je vois, avec joie, Solène commencer à défaire la robe que porte sa partenaire. Celle-ci tombe au sol, me dévoilant que Patricia est, elle aussi, nue avec des bas, noirs. Je compare les anatomies des deux femmes. Je savais que la secrétaire est un peu plus petite, de quelques centimètres, que sa directrice. Ses cheveux sont d’un brun plus foncé et ses yeux noisette et non vert. Sa silhouette est un peu moins plate que celle de ma compagne et ses fesses plus fines. Son buste est orné d’une poitrine plus grosse que celle de Solène, avec des auréoles plus petites et claires qu’elle, mais porteuses de mamelons proéminant qui sortent de plusieurs millimètres. Le sexe de Patricia a subit récemment le même traitement que celui de Solène, un rasage en règle. 
    Patricia rejoint le canapé et à son tour subit les assauts de la bouche et des doigts de sa partenaire, les jambes relevées. Après de longues minutes d’action, Solène voit son œuvre couronné par la jouissance de son amie. Quelques minutes sont nécessaires pour qu'elle reprenne ses esprits et conduise Solène sur le tapis. Les deux femmes se rapprochent et, sans mot dire, entrecroisent leurs jambes pour se retrouver dans cette position qui apporte, dit-on, tant de plaisirs aux femmes, sexe contre sexe. Les deux amies se trémoussent, ondulent de la croupe en se frottant leurs chattes. Cette vision, trop peu mise en œuvre dans les films pornos ordinaires à mon goût, m’excite beaucoup, et cela Solène le sais bien. Je comprends que les deux femmes ont décidé de me donner un spectacle que Solène sait très bien qu'il va m’exciter au maximum. Ses frôlements font l’effet recherché par mes deux amies, elles jouissent une nouvelle fois et presque en même temps.
    Elles s’enlacent à nouveau avant de se séparer. Je vois alors Solène se coucher sur le tapis et Patricia venir s’installer sur elle pour un soixante-neuf, qui sera le premier soixante-neuf lesbien que je vais voir en vrai. Elles se mettent à se manger mutuellement le sexe. Ce spectacle qui m’excite déjà beaucoup dans les vidéos pornos, est encore plus excitant en réel. Le bruit complète agréablement le spectacle. Au bout de quelques minutes j’entends que Patricia parle à Solène, sans comprendre ce qu’elle dit. Ma demi-sœur me lance, comme si ce n’était pas un tremblement de terre dans notre relation :
    - Mon chéri Patricia veut que tu viennes nous rejoindre. Elle a envie de sentir à nouveau une bite dans sa chatte et du sperme giclé en elle. Déshabille toi et viens vite.
    Je me retrouve, entièrement nu, à genou derrière Patricia. Je commence à introduire mon gland dans son vagin. Elle est si humide que celle-ci passe sans problème. Je commence alors à m’activer en elle tout en la tenant par les hanches. Mon épouse ne reste pas inactive. Elle me caresse de façon très sensuelle mon entrecuisse, mes couilles et l’intimité de notre belle partenaire. Patricia abandonne vite l’intimité de Solène pour se laisser porter par son plaisir en me lançant des « Oui Philippe ! C’est bon ! Bourre-moi bien ! …» qui ne me laisse pas de doute sur l’effet que je lui fais. Je suis si excité qu’il ne me faut pas longtemps pour exploser en elle.
    Patricia se libère de mon sexe et Solène vient lécher la chatte de son amie pour y récolter le peu du sperme qui en ressort. Après quelques secondes de cette caresse Patricia se redressant, m’invite à me mettre debout. Les deux amies s’agenouillent et s’approchent de moi, Solène vient goulûment prendre en bouche mon sexe encore dur encore recouvert de la cyprine de Patricia et d’un reste de sperme. Après environ une minute de fellation, la directrice laisse sa place à sa secrétaire. J’ai ainsi, pendant de très longues minutes, droit à me faire sucer par les deux belles femmes alternativement. Je sais d’expérience que ma chérie est experte dans ce type de pratique, je découvre que son amie l’est aussi. Solène finit, sentant que je ne vais plus tenir, par céder sa place à Patricia en l’invitant à se régaler de mon sperme. La jeune femme ne laisse pas perdre une goutte de mon jus et la bouche pleine de celui-ci, se retourne vers sa compagne qu’elle embrasse ainsi sur la bouche. 
    À la fin de ce baiser au sperme, nous remontons sur les canapés. C’est Solène qui rompt le silence en demandant à notre amie :
    - Alors il est comment mon petit mari ?
    La réponse, simple, claire et nette ne se fait pas attendre :
    - Super ! Je ne regrette pas d’être venue.
    Les deux femmes entament une conversation dont mes qualités sexuelles sont le principal sujet. Celle-ci me comble d’aise et me laisse le temps de réfléchir. Je me demande qu’elle est la tendance sexuelle réelle de Patricia. Elle s’était annoncée lesbienne lors de sa première fois avec Solène et, tout à l’heure, elle a dit que Patricia avait « envie de sentir À NOUVEAU une bite dans sa chatte ». Elle a donc déjà eu, au moins, une expérience hétérosexuelle, qui semble lui avoir suffisamment plu pour qu'elle en ait encore envie aujourd’hui. Je ne peux m’empêcher de lui poser la question lorsque je discerne une occasion propice.
    Sans détour Patricia m’annonce une chose que Solène savait depuis la veille, qu’elle a toujours était bisexuelle avec une préférence pour les femmes, mais qu’elle a eu, coup sur coup, deux aventures avec des hommes qui l’ont dégouté . Sans entrer dans les détails, elle nous raconte que le premier de ses partenaires spéciaux, quand ils faisaient l’amour, ne se préoccupait que de son plaisir sans se soucier du sien et le second, qui au début était tendre et délicat, s’était vite révélé être une brute qui la prenait souvent de force tout en étant très prévenant sur sa jouissance à elle. Elle nous dit que ses secrets n’étaient connus de personne pour le premier, hors mi le goujat, et seulement la justice et quelques voisins qui l’avaient aidé, pour le second.
    Depuis elle n’a plus eu que des relations qu’avec des femmes. Sa dernière aventure, avant l’arrivée de Solène dans sa vie, commencait à lui peser, car sa partenaire était une lesbienne honteuse qui ne voulait pas que ça se sache. Sa première fois avec Solène l’avait conduit à se séparer d’elle. J’apprends que Patricia m’a d’abord perçu comme un rival, mais en découvrant ce rival et ma relation particulière avec Solène, elle a eu de nouveau envie de faire l’amour avec un homme, moi. Patricia nous dit que si on le veut, nous aurions droit au récit complet de sa vie sexuelle dans les jours qui viennent et attend la réciproque. Elle nous invite pour l’instant à reprendre nos ébats et nous propose de nous laisser une totale liberté sur les pratiques sexuelles et le choix de nos partenaires.
    Solène parle à Patricia et les deux femmes se mettent à quatre pattes l’une près de l’autre leurs fesses vers moi. Patricia m’invite à venir s’occuper de leurs intimités comme je le veux. Je me lance donc sur la sienne, allant de sa chatte à son anus que je lèche ou doigte à volonté sous les yeux intéressés de Solène. Au bout de quelques minutes je change de partenaire pour faire de même avec ma femme. Je commence un va-et-vient de l’une à l’autre. Je finis par enculer Solène une première fois. Je passe ensuite à Patricia, avec un peu d’appréhension, car je ne lui ai pas demandé son accord. Je suis vite rassuré, sentant que je commence à introduire mon gland dans son anus, elle recule pour s’empaler sur celui-ci. Je commence à aller et venir en elle. Patricia aime visiblement cette pratique que Solène n’adore que depuis qu'elle l'a expérimenté, quand j’ai accepté moi-même de l’épouser. Je passe ensuite de l’une à l’autre.
    Je suis en train de m’installer pour m’occuper de Solène quand l’interphone nous renvoie les pleurs de bébé. Patricia nous propose d’aller s’en occuper et me suggère de remplir le cul de Solène pendant ce temps. Je ne me fais pas prier pour le faire. Solène et moi nous remontons sur le canapé. Solène me fait alors une proposition que j’allais moi-même lui faire. Patricia se donne totalement à nous sur le plan sexuel, comme nous le faisons ensemble. Elle a aussi visiblement décidé de tous nous dire sans tabou, comme nous. Notre idée est de tout lui révéler sur le lien particulier qui nous unit Solène et moi. Patricia finit par revenir. Je me tourne alors vers elle et je lui annonce :
    - Patricia mon amour, après tes révélations, je crois, et Solène avec moi, qu’il faut que nous te disions aussi tout sur nos vies sexuelles et surtout notre grand secret, dont personne ne sait rien.
    Prenant en main le demi-médaillon que j’ai au cou, celui laissé dans mon couffin par ma mère lors de mon abandon, je lui fais le récit de la découverte, via celui-ci, de sa moitié qui est au cou de Solène et de la lettre de notre mère, de notre lien de parenté. Patricia est bien sûr étonnée et a même besoin de la confirmation de Solène, pour en être sûre. Elle n’est pas le moins du monde choquée et nous jure, sans problème, de garder le silence absolu sur notre secret. Après cette révélation qui nous lie encore plus intimement à elle, la soirée reprend sa tournure sexuelle et finit de façon très chaude.
    La suite du week-end, et de nos vies, sont devenues très chaudes. Nous nous retrouvons tous les trois avec deux partenaires aussi hards et libres que nous, et avec une totale liberté sur le plan sexuel. Je peux faire l’amour librement avec Solène et Patricia, Solène ou Patricia seule, comme elles peuvent faire l’amour entre filles ou nous pouvons aller chercher hors de notre groupe un ou des partenaires occasionnels, selon l’envie. Nous sommes tous les trois totalement heureux de la nouvelle tournure qu’a pris notre relation intime.
     
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