• Initiation de Bernadette a la zoophilie

    Cette histoire s’est passée il y 3 années, elle est restée un secret entre son amie Sabrina et elle, je n’en ai connu l’existence que depuis peu.

    J’ai souhaité que ma Bernadette, vous raconte comment elle a été initiée, et très vite attirée par nos amis à quatre pattes.

    Petite blonde, mariée depuis un peu plus de deux ans, je fais la connaissance lors d’une soirée entre amis, d’une fille Sabrina, elle aussi en couple, sensiblement du même âge que moi, nous sommes toutes les deux petites et blondes….
    Le courant est très vite passé entre nous, c’est devenu très vite ma meilleure amie, elle est assez portée sur tout ce qui touche ou à un rapport avec le sexe, et nous sommes devenues assez vite amantes.

    Aujourd’hui, mardi, nous avons convenues de nous retrouver chez elle à quatorze heure, je me suis fait une beauté, jupe légère et assez courte, petit haut transparent sans sous vêtement, je suis pressée de la retrouver pour comme d’habitude, se donner du plaisir pendant une bonne partie de l’après midi, j’adore cette fille avec qui je passe une grande partie de mon temps.
    Ma copine est très souvent en manque de sexe, car son mari est absent toute la semaine pour son travail et il ne rentre la retrouver que pour le week-end.
    Je retrouve enfin Sabrina, nous nous enlaçons, et nous embrassons dans de sensuels et profonds baisers, nos langues s’enroulent, et nos mains vont à la rencontre de nos courbes avides de caresses.
    Le moment des retrouvailles passé, avant de rejoindre sa chambre et le lit qui est le témoin de nos amours torrides, nous nous asseyons chacune dans un canapé pour déguster comme souvent un bon café.
    Nous discutons de notre week-end, de nos amours avec nos conjoints, quand tout à coup, son chien rick, un genre d’épagneul, vient poser sa tête sur mes genoux.
    Ce chien lui a été offert par son époux pour lui tenir compagnie dans la semaine, il est très affectueux, et je lui caresse la tête, je ne sais pour quelle raison, aujourd’hui, rick met son museau entre mes cuisses qui sont légèrement ouvertes.
    Le moment de surprise passée, j’essaie de le repousser, mais la tête du toutou, est très vite arrivée à mon string, attiré sans doute par l’excitation de la femelle en chaleur.

    Je regarde ma copine d’un air interrogateur, elle a un petit sourire et me conseille, de me laisser faire et d’écarter mon slip, excitée, j’écarte alors un peu plus mes jambes, le chien me lèche mon entre cuisses avec sa langue râpeuse, ce qui me donne bien du plaisir et m’électrise la chatte à chaque coup de langue.
    Mon amie encourage son compagnon, par des allez vas y rick bouffe lui bien la moule à cette cochonne, le chien s’active de plus belle avec sa langue qu’il enfonce bien dans ma moulette qui coule de plaisir, je respire fort, transpire, et souffle, tant le plaisir qu’il me procure est intense.
    J’enlève ma culotte, j’ai les cuisses grandes ouvertes, avec mes mains j’écarte mes lèvres vaginales pour que cette appendice aille encore plus en moi, c’est moi maintenant qui l’encourage à bien me fourrager mon intimité.
    Je me positionne pour qu’il s’aventure un peu plus bas sur mon anus, cette langue sur mon petit trou me fait lâcher quelques petits cris tant le plaisir est intense.

    Sabrina se caresse le minou en nous regardant, le chien s’active toujours entre mes cuisses, mon amie positionne alors une couverture au sol, et me demande de m’agenouiller dessus, en posant la tête sur le fauteuil qui est devant moi.
    C’est en changeant de position, que j’aperçois la bite toute rouge de rick qui est bien sortie de son fourreau, et qui à ma surprise a une bonne dimension.
    Excitée et un peu perdu par ce qui se passe, j’hésite, et à la fois j’ai envie de me faire prendre par cet animal.
    Me voyant indécise, et assez surprise, Sabrina me conseille de me laisser faire, tu vas voir comme c’est bon de se faire sauter par un chien, le plaisir est intense, et lui, est rarement fatigué, de plus, tu verras, c’est un excellent amant.
    Ma compagne tape légèrement sur mes fesses, l’animal a tout compris, il saute sur mon dos en enserrant mon buste avec ses pattes avant.
    Il s’active avec vigueur pour me pénétrer avec sa tige effilée qui coule abondamment, sa maîtresse, positionne alors son vit à l’entrée de ma grotte toute suintante de mouille, que j’écarte avec mes mains pour faciliter cette pénétration que j’appréhende un peu.
    Je suis très excitée par ce que je viens de subir, mais quand même anxieuse par cette façon de faire l’amour que je découvre.
    Avec l’aide de mon amie, la pine qui n’est pas très grosse, mais assez longue a pénétrée vigoureusement mon sexe.
    Mon amant s’active à une cadence impressionnante, je pousse un cri à chaque pression de son pénis, contre le fond de mon utérus.
    Le rythme va en diminuant, je sens alors une boule qui grossit, les chairs de mon sexe se tendent, presque à me faire mal, un liquide chaud coule dans ma grotte, tout cela m’angoisse malgré le plaisir que je ressens.
    Mon partenaire est maintenant immobile, la langue pendante et le souffle court, un liquide chaud, coule toujours en moi, ma copine me rassure, en me disant que nous sommes accouplés pour quelques instants.

    Sabrina s’assied sur le fauteuil qui est devant moi, cuisses bien ouvertes, et me demande de lécher sa vulve qui est trempée de jouissance.
    Tout en la léchant, je mordille son clitoris et fais coulisser un puis deux doigts dans son sexe, la fille crie et m’encourage crûment à lui donner du plaisir.
    Pendant ce temps, mon amant s’est détaché, laissant échapper un liquide tiède qui coule sur mes cuisses, et qui est très vite absorbé par la langue de rick, qui va également nettoyer l’entre cuisses de sa maîtresse.

    Je me remets doucement de mes émotions, ma copine plaisante, et fini de se nettoyer, pendant que l’épagneul se lèche le sexe qui est toujours hors de son fourreau.
    Je suis toujours à genoux, le mâle se met alors à tourner autour de moi, la langue pendante, il me fait comprendre qu’il veut de nouveau me saillir, je n’en ai pas trop la force, quand Sabrina me demande de me positionner à quatre pattes, la tête à même le sol, les fesses bien cambrées.
    L’animal bondi sur mon dos et tente de me saillir une nouvelle fois, la bite tape contre mes fesses, Sabrina positionne la verge à l’entrée de mon petit trou.
    Elle sait que j’adore la sodomie, cette nouvelle pénétration, aussi intense que la précédente me fait de nouveau transpirer.
    La bête en rut se démène dans mon étroit canal légèrement lubrifié par l’excitation précédente, mon amie a fait obstacle à la pénétration de son nœud, de peur que se soit douloureux pour mon petit cul.

    Ma copine m’a avouée qu’elle se faisait prendre par rick depuis quelques mois et qu’elle avait souhaité me faire connaître cette forme de plaisir
    Nous avons continué à nous donner du plaisir en faisant quelques fois participer notre ami le chien qui nous donne des émotions et une satisfaction très différente. 

     

    Mon amie Sabrina m’a fait connaître comment prendre du plaisir avec nos amis à quatre pattes.

    Cette histoire que je vais vous racontée, s’est passée environ deux mois après la précédente.
    Un jour, après nous être aimées en compagnie de rick, qui nous donne une autre forme de plaisir, ma copine, m’annonce qu’elle voudrait connaître autre chose.
    Je la regarde un peu surprise, car je ne vois vraiment pas ce qu’elle veut dire.
    Elle me dit qu’elle a eu connaissance, que pas bien loin d’ici, un homme a dressé quatre très beaux berger allemand, dans le but de donner du plaisir aux femelles en chaleur, elle me fait part de son envie d’y aller voir.
    Malgré ma réticence à ce projet un peu fou, elle a bien vite fait de me décider à l’accompagner à cette escapade qui ne me parait pas très raisonnable.
    Elle a tout en sa possession, l’adresse et le nom du type, de plus, ce n’est pas très loin me dit elle, une trentaine de kilomètres, et si cela ne nous plaît pas, nous ne sommes pas obligées de consommer.

    Une semaine après, un peu anxieuses, nous nous présentons devant un grand portail en fer forgé, nous sonnons et nous présentons à l’interphone.
    La grille s’ouvre, nous roulons quatre cent bon mètres, et arrivons devant une bâtisse imposante, ou un homme assez grand, bel homme d’une cinquantaine d’années nous attends, dans ses yeux, je vois qu’il semble un peu surpris, il nous fait entrer dans une vaste salle très bien aménagée: moquette rouge au mur, de grands tapis au sol, plusieurs canapés et fauteuils genre gynéco , de grandes tentures rouge masquent fenêtres et portes, des meubles en bois sont disposés, ce sont des genre de chevalet qui ont diverses formes.
    Après nous avoir fait asseoir, il nous demande le but de notre visite, Sabrina lui fait part qu’elle a eu connaissance par une amie de chiens dressés, le type a un petit sourire, et nous dit que c’est exact, et qu’il est le propriétaire.
    Il nous dit que d’ordinaire il avait une clientèle un peu plus âgée, des jeunes femmes il en recevait quelques fois.
    Sabrina lui demande les tarifs, il nous regarde en nous disant que c’est gratuit, si nous acceptons qu’il participe, nous nous regardons avec Sabrina en souriant, et nous lui répondons un pourquoi pas, d’autant que le mec est attirant.
    Selon ses dires, il n’a pas besoin de cela pour vivre, il fait çà pour son plaisir, et surtout en donner à ses animaux.

    Après lui avoir fait part de nos attentes, il nous présente un genre de registre, dans lequel se trouvent des photos de chiens en érection, pour choisir lesquels nous voulons.
    Après avoir choisi, il nous demande de nous mettre en sous vêtement, pendant qu’il va préparer les deux chiens.
    Avec mon amie, nous nous regardons avec un petit sourire, nous sommes assez anxieuses de ce qui va suivre, d’autant que les mâles que nous avons choisis sont pourvus d’attributs bien au dessus de ce que nous connaissons. 
    Il revient avec deux molosses qui sont de toute beauté, des grands chiens assez corpulents, avec une crinière impressionnante, les deux bêtes nous regardent, comme s’ils avaient compris que nous allons devenir leurs chiennes.
    Le maître des lieux, nous fait signe de nous installer dans les fameux fauteuils « gynécologique », nos jambes surélevées, sont sanglées dans des étriers, les cuisses bien ouvertes, le bassin bien en avant, est à bonne hauteur pour nos futurs amants.
    Nous sommes positionnées de façon que notre chatte et nos fesses soient bien ouverte, je suis tellement excitée, que je sens ma moulette fondre de plaisir, ma jouissance coule sur mon anus.
    Les deux monstres sont à nos pieds, ils attendent le signal, leurs maître vient se rendre compte de notre état en introduisant un puis deux doigts dans notre grotte.
    Eh bien, c’est les mâles qui vont être content, dit il avec un large sourire, il porte ses doigts tout gluant à ses narines, en laissant échapper: les salopes elles ne vont pas être déçues de ce qui les attend.

    Il tape sur nos cuisses, et les deux bêtes se lèvent et se dirigent vers l’intimité des femelles.
    Le premier contact m’électrise, et me laisse échapper un cri, le museau bien ancré entre mes lèvres, je sens cette appendice qui s’active sur et dans mon petit trou, elle pénètre profondément ma minette qui pleure de plaisir, l’assaillant insiste sur mon clitoris qu’il râpe, c’est une vraie toile émeri.
    Mon amie à coté émet des petits cris, en encourageant son amant à aller plus loin et plus vite.
    Pendant un bon moment sous les caresses de nos soupirants, nous avons transpirées, criées, sous leurs assauts, le propriétaire, leur ordonne de se coucher.
    Les deux géniteurs, sont couchés, leur sexe tout rouge violacé est maintenant bien en évidence, d’une longueur et d’une grosseur qui me laisse pensive et qui m’angoisse.
    Il nous libère, et nous demande de nous installer sur un genre de chevalet bien rembourré, la tête bien en bas, les fesses assez relevées, les jambes sont bien écartées et sanglées pour qu’elles restent en position bien ouvertes.
    Une fois installé, le patron tapote nos fesses, et les deux mastodontes sautent sur notre dos, s’arque boutant, il enserre mon buste avec ses pattes avant, il m’embroche d’un seul coup, me faisant émettre un cri strident.
    Pendant un bon quart d’heure, il s’active violemment, venant buté à chaque poussé au fond de mon utérus, m’arrachant à chaque fois une plainte.
    Je ne sais plus trop ou je suis, ma tête tourne, je transpire et couine, mon vagin que je ne sens presque plus, coule de plaisir.
    Ma copine à coté de moi, est dans le même état, durant ce coït, elle n’a pas arrêtée de pousser de petits cris en encourageant son partenaire à bien la baiser.

    Les deux canidés, ralentissent le rythme, je sens mon vagin enfler, pendant qu’une liqueur chaude envahis mes entrailles, je suis soudée, mon partenaire, tire la langue et halète.
    Le maître profite de la situation pour exhiber un sexe de bonne dimension devant notre bouche, et nous ordonne de le sucer à tour de rôle.
    Cette bite est tellement épaisse, que j’ai du mal à la prendre en bouche, il pince alors mes narines, et l’enfourne, je manque à plusieurs reprises de m’étouffer.
    Les deux bergers se sont désunis laissant couler un foutre presque transparent, qu’ils nettoient consciencieusement avec leur langue.

    Après quelques instants de récupération, nous sommes de nouveau positionnées et sanglées sur un autre chevalet, pratiquement dans la même position, sur un signe de leur chef, les deux amants sautent sur le dos des femelles, et enfournent leur tiges d’un trait dans les entrailles, des deux filles qui sont sodomisées.
    Au début, les chairs de mon étroit canal sont martyrisées et irritées, je gueule, très vite emportée par un tourbillon que cette pénétration anale me procure, l’animal continue de m’embrocher, je sens son nœud, qui élargit mon anus, un élixir assez chaud coule dans mes intestins, des gouttes de sueur, et des larmes perles sur mes joues.
    J’ai joui une nouvelle fois avant que mon amant ne se détache.
    Avec mon amies, nous sommes exténuées, sur le chemin du retour, nous sommes comblées, un peu honteuses, nous sommes bien des salopes…. 

     

     

  • Commentaires

    1
    with wolf
    Lundi 9 Février 2015 à 13:35
    bof
    2
    chralotte
    Samedi 5 Septembre 2015 à 09:02
    vraiment je trouve c a formidable , je voudrais d'autres récits , merci
    3
    caroline
    Mardi 27 Octobre 2015 à 03:54
    Merci mes belles salopes.Je me suis fait jouir en vous lisan.Quel regal.J adore les femelles comme vous.Les femmes sont d chiennes et j aime ca .Merci je ve jouir souvent .Je cherche une chienne .
    4
    caroline
    Mardi 27 Octobre 2015 à 04:01
    faut s mefier d une femmelle en chaleur .Prete a tou .Chien ane chevaux black .Trio .Inepuisable .M avec l chien c la saillie qui est bonne .Surtout s il reste colle un bon moment .
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