• La bonne déchéance de ma mère

    Salut à tous, Je m’appelle Guillaume. Ma mère, Sylviane, est une belle femme  Blonde, un visage fin, des yeux verts. Une allure d’aristocrate. Une bourgeoise distinguée et raffinée. Pas très grande mais elle met souvent des chaussures à talons ce qui la grandit. Elle est très féminine, toujours en jupe très sexy. Comme aujourd’hui ou elle portait une jupe courte sur des bas clairs. Je savais que c’était des bas parce que ce matin, je l’ai surprise par l’entrebâillement de la porte de sa chambre en train d’enfiler ses bas, un pied posé sur son lit, remontant lentement le nylon sur ses cuisses fuselées. J’espionne souvent ma mère et parfois je la surprends en train de s’habiller. Je sais qu’elle est très amatrice de lingerie fine. Quand elle s’absente, je vais parfois fouiller dans son tiroir ou est rangé sa lingerie. Touchant ses bas, ses guêpières et ses porte-jarretelles…Un jour je me suis masturbé dans un de ses strings. Mon père, Charles, est rarement la. Il se déplace souvent à l’étranger pour son travail. Sylviane ne travaille pas, les revenus de mon père nous permettent d’avoir un bon train de vie. Nous habitons dans un immeuble très bourgeois dans une ville huppée de la région parisienne. 

    Nous revenions d’une visite chez ma tante pour son anniversaire ou j’avais retrouvé ma soeur, Charlotte. Elle venait de se marier récemment et ça m’avait fait plaisir de la revoir.
    - Je t’avais dit de tourner à droite, maman…
    - Mais le GPS a dit tout droit !
    - Y doit être détraqué, je ne sais pas moi…
    Nous tournions en rond depuis une bonne vingtaine de minutes, la nuit était tombée et je n’arrivais plus du tout à me repérer. Maman conduisait notre Mercedes et je ne sais trop comment nous nous étions complètement perdus. 
    Nous nous retrouvons soudain dans un quartier entourés de barres d’immeubles dans un état de délabrement avancé. Je m’inquiète un peu de l’environnement et le fait remarquer à Sylviane. 
    - Nous devons être dans la cité. Tu as raisons, nous ne devrions pas nous attarder ici…
    La cité, c’est la cité tristement célèbre pour ses …meutres à répétitions qui se trouve à quelques kilomètres de la ville collet monté ou nous résidons. 
    Nous apercevons un groupe de 6 jeunes qui discutent bruyamment au pied d’un immeuble. Ma mère ralentit la Mercedes devant eux. 
    - Je vais leur demander notre chemin…
    Elle appuie sur le bouton commandant l’ouverture de sa vitre électrique. 
    - Excusez moi messieurs, nous sommes perdus, pouvez vous m’indiquer la direction de …
    Les jeunes se rapprochent sifflant en découvrant la Mercedes. Faisant le tour du véhicule en faisant des commentaires sur cette bagnole de riches. Un des jeunes, un grand balèze, capuche sur la tête, se penche par la portière. Il me jette un oeil puis lorgne les cuisses de maman dévoilées par la jupe courte. Il regarde le tableau de bord en noyer et les fauteuils en cuir et sourit à ma mère. 
    - Bien sur madame, mais ça va pas être facile de vous expliquer, ce n’est pas simple pour sortir de la cité si on ne connaît pas. Venez, je vais vous montrer. 
    Je ne suis pas du tout rassuré que ma mère sorte de la voiture mais elle s’exécute, ouvrant la portière. Elle dévoile généreusement ses cuisses aux regards des 6 jeunes en sortant. Instantanément, Sylviane se retrouve entourée par le groupe. Elle me jette un regard apeuré et je sors de la Mercedes. Maman est coincée par les jeunes. Ils la poussent la dirigeant vers un bâtiment !
    - Viens par là , ma belle !
    On l’agrippe par le bras et elle pousse un cri. Je vois des mains qui s’égarent sous sa jupe ! Je veux intervenir et sauver maman mais je suis vite neutralisé par deux types qui me maintiennent solidement. J’entends ma mère protester. 
    - Mais ! ça suffit enfin… Arrêtez…
    On nous pousse vers un escalier qui descend visiblement dans les caves de la cité. Je pense aussitôt aux tournantes dont on a entendu parler. Je suis paniqué et maman aussi, je l’entends m’appeler au secours. Je tente de me débattre mais je reçois un coup de poing qui me met ko. 
    On force maman à descendre les escaliers, elle trébuche sur ses talons aiguilles. 
    Nous nous retrouvons dans un couloir et on nous entraîne vers un local assez grand ou se trouve un canapé dans un piteux état et quelques fauteuils. Je suis assis sur un des fauteuils et solidement attaché avec une corde. On me bâillonne avec une serviette roulée en boule. Maman se débat dans les bras de ses tourmenteurs qui lui soulèvent la jupe découvrant les bas et le string. On déchire le haut moulant qu’elle portait découvrant les seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle dont on s’empresse de baisser les balconnets exhibant les seins de ma mère qui sont aussitôt malaxés et sucés par des bouches avides. Maman gémit et donne des coups de pieds; Je suis horrifié d’assister impuissant au viol de ma mère. On écarte le string et on lui enfonce des doigts dans sa fente. On la branle sans ménagements. Sylviane se débat, tente d’échapper à l’infamante pénétration. On lui écarte les jambes au maximum exhibant sa fente. Un des jeunes, celui qui semble être le chef, lui enfonce un doigt et le secoue énergiquement. Il en enfonce un second, puis un troisiéme. Derrière elle, un autre jeune claque les fesses de ma mère et lui introduit un doigt dans son anus ce qui fait hurler ma pauvre maman. On lui malaxe les seins, tirant sur les pointes. Celui qui la doigte se penche et lui suce le clitoris. Maman pousse un gémissement et le jeune ricane :
    - Elle mouille cette salope !
    Elle se retrouve à genoux devant les 6 jeunes. Le jeune avec la capuche sort sa queue et s’approche de Sylviane.
    - Suce-moi, sale pute!
    Maman détourne la tête et proteste. 
    On la tire par les cheveux et le jeune force ses lèvres engouffrant sa bite dans la bouche de maman. Ses joues sont déformées par l’épaisseur de la bite. Le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans sa bouche manquant de l’étouffer. Des larmes lui monte aux yeux mais elle s’exécute, suçant la bite avec des bruits écœurants. Plusieurs jeunes ont sortis leurs téléphones portables et ils font des photos et même des films ! On fait des photos de ma mère en gros plan avec une bite dans la bouche. Le jeune s’active et dirige ma mère en la tenant par les cheveux et lui donnant des instructions. 
    - T’es pas douée connasse, t’as jamais sucé ou quoi ? Sors ta langue ! Suce le gland ! Reprends-moi en bouche ! 
    Sylviane pompe la bite aussi vite qu’elle le peut. Finalement, il éjacula libérant un torrent de sperme. Maman voulut recracher son foutre mais il lui ordonna de tout avaler « comme le font les bonnes chiennes ». Maman ne put obéir à cet ordre, cela choquait trop sa morale bourgeoise. Elle recracha le sperme qui s’écoula sur son menton. 
    Les autres se précipitent et de nouveau, ma mère doit sucer des bites. On ne lui laisse aucun répit ! Sa bouche est envahie à tout moment. A peine si elle peut respirer. Ceux qu’elle ne peut sucer, se branle au dessus d’elle et jouisse sur son visage. Elle est recouverte de sperme. Elle en a dans les cheveux, sur son menton, ses seins. Certains veulent se branler entres ses seins et elle doit rapprocher ses mamelles et les masturber. Les yeux fous je regarde ma maman être traitée comme la dernière des putes. Elle, la bourgeoise distinguée, bonne épouse et bonne mère de famille. Et en observant la déchéance de ma mère, je bande comme un fou....



    - On va l’enculer !
    Un grand black agrippe ma mère et la met à quatre pattes. Maman pousse un cri désespéré :
    - Oh non, je vous en prie, pas ça....
    Le black lui claque ses fesses dodues. 
    - On va te baiser d’abord ! 
    Il a sortie sa queue qui est d’un diamètre imposant. Il agrippe les hanches de Sylviane et pénétre sa chatte. Il donne des coups de reins violents faisant tressauter le corps de maman qui halète. Ses seins ballottent dans tous les sens. Le grand black la bourre violemment. Les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, maman subie les assauts du black en se mordant les lèvres. Une bite se présente et elle l’avale sans rechigner. Le black accélère ses coups de reins et il éjacule sur le dos de maman en poussant un grognement. 
    Un autre le remplace aussitôt. Celui qu’elle suçait lui gicle dans la bouche et se retire. Deux autres arrivent et la force à prendre leurs deux bites dans sa bouche. Elle pousse des grognements étouffés. Sa bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites. 
    Le type à la capuche, le chef, se présente derrière Sylviane et lui introduit son index dans l’anus « pour la préparer ». Maman pousse un petit cri. Il fait tourner son index puis rajoute son majeur faisant coulisser les deux doigts dans le trou du cul de maman. Il se masturbe un peu et pointe son gland sur l’ouverture des reins. Il pousse et maman supplie une dernière fois. Sans pitié, le chef agrippe les hanches de ma mère et dans un violent coup de reins s’engouffre dans le cul de Sylviane qui pousse un hurlement étouffé par les bites qu’elle pompe. 
    Les commentaires vont bon train.
    - Regarde ta maman, elle se fait enculer ! 
    - Elle aime ça la salope. 
    Le chef va d’abord doucement puis de plus en plus vite. Sa bite coulisse de mieux en mieux dans l’étroit canal. Il l’encule sauvagement et ma mère pousse des râles.


    Maman n’est plus qu’un objet sexuel. On l’encule à tour de rôle. Elle poussera un hurlement déchirant qui me fera frissonner quand le grand black lui déchirera l’anus à grand coups de pines. Cela dure des heures, elle est baisée comme une chienne. Je ne la reconnais plus. ; Elle est recouverte de sperme. L’humiliation suprême aura lieu quand le chef s’apercevant que j’avais une érection impressionnante ; il obligea ma mère à venir me sucer. Celle-ci lutta, protesta, pleurnicha mais rien n’y fit. Toujours attaché, je me débats également mais il arrive à dégager ma queue, dur comme l’acier, tendue à faire mal. On appui inexorablement sur la tête de ma mère et elle se retrouve avec ma bite posé sur ses lèvres. Un dernier bastion de morale l’empêche d’obéir et elle garde obstinément la bouche fermée. On lui tanne le cul avec une ceinture et elle pousse un cri ouvrant la bouche. Aussitôt, on la force a gobé ma bite. Sous les cris de nos tourmenteurs, elle me suce avec application. Me pompant le gland, salivant sur ma bite. Sa langue me titille le gland. Elle me masturbe de ses doigts manucurés. On la filme en train de me sucer. Je ne résiste pas longtemps et j’éjacule dans sa bouche…



    Les 6 jeunes nous ont libérés et nous avons pu rentrer chez nous. Maman n’étant pas en état de conduire je ramène la Mercedes. Inquiet tout de même. Le chef du gang nous a menacés de mettre les films et les photos sur Internet si on portait plainte. Ce serait trop humiliant…Et surtout, ils ont fouillés dans le sac à main de maman et découvert ses papiers. Maintenant ils connaissent notre nom et notre adresse. 
    Ils nous ont promis de passer nous voir... 

     

    Plusieurs jours se sont écoulés depuis l’odieuse agression dont a été victime Sylviane. Nous avons décidé tous les deux de n’en parler à personne; Mon père n’est pas au courant et ma sœur non plus. 
    Nous pensions même que les 6 jeunes n’oserait pas mettre leur menace à exécution…Nous nous trompions…



    Je venais de rentrer du Lycée et ma mère s’apprêtait à se rendre à une réunion de son association caritative en faveur des personnes âgées qu’elle avait créé avec d’autres femmes de notables. Elle était vêtue d’un chemisier blanc sur une jupe beige. Ses talons aiguilles crème allongeaient encore plus ses longues jambes gainées de bas blancs. On sonna à la porte et j’allais ouvrir. Je reconnus immédiatement nos agresseurs et je voulus refermer la porte mais ils arrivèrent à rentrer de force. Me repoussant sans ménagement. Il y a parmi eux une jeune fille d’à peu prés mon âge. Ils ne sont pas aussi nombreux que la dernière fois. Ils sont trois dont le chef. Ils débarquèrent dans le salon et ma mère poussa un cri en les voyants. 
    - Mais…Que faites vous ici ? Comment êtes vous montés ? 
    Je ne comprends pas non plus. Le gardien aurait du les stopper se rendant compte que ce n’était pas vraiment le style de cet immeuble très bourgeois ou ne vivent que des familles « respectables ». 
    - Salut salope ! Tu pensais qu’on t’avait oublié ? 
    - Viens un peu par ici ! 
    Ma mère avance doucement vers le chef du gang qui lui demande si elle a apprécié la séance de l’autre jour. Sylviane ne répond pas. Les jeunes s’installent dans le canapé et les fauteuils de notre salon. Ils font des commentaires sur le luxe de notre grand duplex. Le chef prend la parole.
    - Je m’appelle Momo et dorénavant tu m’obéiras ! Vous m’obéirez tous les deux ou on envoi à ton mari les vidéos de l’autre jour. On a créé un blog spécialement pour toi ma salope ! Avec les photos et les films qu’on a tourné l’autre jour. Et tu sais quoi ? les internautes en raffolent, ils en demandent d’autres. On est donc là pour tourner un autre film. 
    - Ca ne va pas non!! m’exclamais je furieux. 
    - Toi, tu la fermes ! me lança le chef méchamment. Brahim ! Rachid ! Occupez vous de ce petit con ! Les deux jeunes se précipites et m’attaches les mains derrière le dos avec une corde. La fille s’approche de moi. Elle a un sourire mauvais sur les lèvres. 
    - Je vais m’occuper toi ! 
    Elle sort ma bite de mon pantalon et agite ses doigts autour de ma verge. 
    Un des jeunes sort une caméra numérique et la met en marche. On demande à Sylviane qu’elle leur serve à boire. Elle dut obéir mais la séance prit vite un tour exhibitionniste. Elle déambule dans le salon, sur ses talons aiguilles, La jupe relevée autour de la taille. Elle a du enlever son string et à chaque fois, les mains s’égarent dans sa fente. Elle doit bien se pencher en avant pour servir les verres, après avoir quasiment ouvert tous les boutons de son chemisier et baissée les balconnets de son soutien-gorge. Le chef lui demanda alors de prendre des positions suggestives. Elle s’allonge sur la table du salon, jupe relevée dévoilant ses bas et son porte jarretelle. Maman rouge de honte doit obéir à leurs ordres. 
    - Ecarte les jambes, montre nous ta chatte. ! Doigte-toi pouffiasse, fais les rêver !
    Ma mère contrainte et forcée écarte ses lèvres intimes, s’enfonçant son index et son majeur dans sa fente. Elle agite ses doigts. Maman doit s’emparer de ses seins et les montrer en gros plan à la camera. 
    Pendant ce temps, la fille, Elle s’appelle Farida, me masturbe violemment, me faisant mal parfois, elle me malaxe méchamment les couilles. Elle ne prend aucune précaution. Je gémis et la supplie d’arrêter.
    Elle me relève en m’empoignant les cheveux et je me retrouve allongé par terre. Elle pose le talon de sa bottine sur mes couilles et appuie tout doucement. Je pousse un cri. 
    Maman se retrouve à quatre pattes sur le parquet de notre salon, exhibant son cul. On la force a écarté ses fesses pour bien montrer sa raie. 
    - Ca manque de piment ! T’as pas un gode la bourgeoise ? demanda le Chef. 
    Maman tourna la tête et répondit que non. 
    - Il faudra t’en acheter un lui ordonna t’il. On ira faires des courses dans un sex-shop. Tu viendras avec nous !
    Brahim et Rachid partirent dans la cuisine et ramenèrent un concombre et une carotte. Momo prit le concombre et s’approcha de ma mère lui enfonçant le légume dans sa fente. Maman poussa un grognement. 
    - Avance comme une chienne, salope ! A quatre pattes ! 
    Maman s’exécuta, avançant péniblement, le concombre dépassant de sa fente. 



    Farida me retourna et me força à me mettre aussi a quatre pattes ; Elle me baissa mon pantalon et mon caleçon lui exhibant mon cul. Elle m’enfonça son majeur dans l’anus et le fit tourner plusieurs fois. L’agitant sans ménagement. Me fessant violemment le cul dès que je protestais. Sylviane courbée en avant sur la table du salon, les seins écrasés dut subir l’infamante pénétration de la carotte dans son trou du cul. Malgré ses pleurs et ses supplications, Brahim lui enfonça presque entièrement le légume dans le cul. 
    Momo s’approcha de ma mère et s’enfonça de tout son long dans sa chatte. Lui agrippant les hanches et la besogna comme un fou pendant que Rachid lui enfonçait sa bite dans la bouche. Farida m’agrippa les cheveux et me força à marcher à quatre pattes pour nous rapprocher de maman. 
    - Regarde ta maman, comme elle se fait bien défoncer ! On va en faire une bonne petite pute et toi tu seras mon sex-toy. J’ai pleins de copines à te présenter ! Tu vas en baver. 
    Momo, tout en bourrant ma mère qui poussait des gémissements étouffés par la bite de Rachid, lança :
    - Et tes copines, elles ne pourraient pas s’occuper de la mère aussi ? 
    - Une bonne séance de gouinage ? Pourquoi pas ? 
    Momo se retira et Rachid prit sa place pendant que Brahim forçait les lèvres de maman. Elle salive sur la queue, ses joues sont déformées par l’épaisseur de la bite. 



    Farida m’a relevé et je dois me masturber tout en regardant maman se faire baiser. Je suis aussi filmé par Momo. 
    - Il va enculer sa mère ! lança Momo ca fera une super scène !
    Maman poussa un cri étouffé et je protestais également ! 
    - Non, pas ça, ne faites pas ça. 
    Farida me poussa en rigolant. Rachid se retira et je dus me positionner derrière ma mère. Je vois ses fesses trembler. Momo et Farida m’houspillèrent, me poussèrent et mon gland se trouva collé sur l’ouverture des reins de maman. J’hésite, je ne peux pas faire ca. Je reçois de violentes claques sur les fesses. Farida m’empoigne la bite et la positionne sur le trou du cul de ma mère me poussant en avant. Je force le sphincter de maman qui sanglote. Je donne des coups de reins d’abord hésitant puis de plus en plus violent, j’halète. 
    - Mais il aime baiser le trou de cul de sa mère, c'est un petit pervers en fait. S’exclame Farida. 
    Je suis filmé en gros plan bien sur. Et le visage de maman aussi. Je la défonce violemment, m’enfonçant dans son cul. Je ne tarde pas à jouir me vidant dans ses intestins en poussant un râle. 



    Nous sommes contraint, maman et moi, de nous allonger sur le sol, pendant que Momo, Brahim et Rachid se masturbe au dessus de nous. Ils éjaculèrent en même temps nous éclaboussant de leurs spermes. Ecœuré, j’en reçu sur le visage et maman sur ses lèvres, ses cheveux, son menton. Nous fumes relevés et je dus nettoyer le visage de Sylviane en léchant le sperme. Manquant vomir de dégoût je m’exécutais et maman dut faire la même chose pour moi. Farida m’ordonna de me rhabiller et ma mère fit de même. Enfin presque, Momo lui ordonna de laisser son chemisier ouvert. Il nous poussa vers la porte. Affolée à l’idée de sortir dans cette tenue, maman protesta :
    - Mais...ou voulez vous allez ? 
    Momo se retourna, hilare. 
    - Tu voulais savoir comment nous étions montés ? On a montré la vidéo au gardien, on a vite sympathisé et on a trouvé un accord. Lui et son fils t’attendent, ils veulent baiser une bourgeoise salope comme toi. Ca fera une deuxième vidéo!
    Horrifiés, nous fûmes traînés dehors malgré nos supplications… 

     

    Nous arrivons devant la loge du gardien et nous entrons. José, le gardien, vient aussitôt vers nous. Il a une quarantaine d’année, un ventre de buveur de bière et une allure négligé. Ma mère ne l’aime pas. Elle le soupçonne de mater les femmes et jeunes filles de l’immeuble. Son fils, Bruno, la vingtaine, surgit à son tour. Ils dévisagent maman avidement avec un regard pervers. Ils matent ses seins sans vergogne.

    « Mme B, lança José goguenard, je ne vous croyais pas si salope ! 
    ‒ Une vraie chienne, renchérit aussitôt Momo, on vient de la baiser ! »

    José s’approcha de maman et lui palpa les seins, les soupesant et les relâchant. Lui tordant les pointes.

    « Depuis le temps que tu m’excites avec tes airs de bourgeoise coincée, je vais enfin pouvoir te défoncer. Attends un peu… ! »

    Il alla chercher un sac et son fils rigola…

    « Papa ramène son matériel, lança-t-il à l’attention des autres. Il a tout ce qu’il faut, Mme B ne fait pas parti de ses « clientes », mais il en a deux de l’immeuble qu’il baise régulièrement. 
    ‒ J’adore humilier les bourgeoises dans son genre, je les fais gueuler avec mes outils… ! »

    José sourit et expliqua qu'il exerçait un chantage sur la fille du médecin. 
    Je sursautai. Je voyais bien de qui il s’agissait, c’était Aurore, qui avait 19 ans, comme moi. Une jolie blonde.

    « Et je me tape la comtesse ! »

    Momo regarda José incrédule.

    « Une vraie comtesse ? »

    José haussa les épaules.

    « D’après elle, oui. Elle a 76 ans mais elle est encore bien gaulée. Elle est veuve ! »

    Il sortit de son sac, une paire de menottes, un gode aux dimensions monstrueuses, un collier en cuir et une laisse, ainsi qu’un bâillon. Il s’approcha de maman qui, terrorisée, voulu fuir. Elle courut maladroitement sur ses talons aiguilles, mais fut vite rattrapée par Momo et ses sbires. Le concierge ramena ses bras dans le dos et la menotta. Il lui enfonça le bâillon qui était composé d’une boule en latex que l’on attachait derrière la tête avec une lanière. La mâchoire de ma mère était complètement déformée et ses cris se transformaient en gargouillements. Il attacha le collier autour du cou et y fixa la laisse. 

    « Allez ! À genoux, chienne ! »

    Tirant sur la laisse, il contraignit maman à se mettre à quatre pattes et lui fit faire le tour de son appartement sous les rires des autres. Le fiston alla fouiller dans le sac et tendit une cravache à son père. José asséna quelques coups de cravache sur les fesses de maman qui rougirent aussitôt. J’entendis les gémissements étouffés de ma pauvre mère. Il dirigea maman vers son canapé et la força à se coucher sur l’accoudoir du canapé, exhibant ainsi son cul à tous les autres. De nouveau, il lui fouetta le cul. Sylviane criait sous son bâillon. Puis, il plongea ses doigts dans la fente de maman.

    « Viens-voir, fiston, elle est trempée ! »

    Bruno se précipita et remplaça son père, fouillant la chatte de ma mère sans ménagement. Il me regarda tout en branlant ma mère. 

    « T’as déjà gouté a ta chienne de mère, y parait ? 
    ‒ Il la même enculée, tout à l’heure ! », renchérit Farida.

    José prit le gode et l’enfonça dans la chatte de maman qui poussa un gémissement. Il était vraiment énorme. Il le fit coulisser rapidement. Les yeux exorbités, Maman grognait dans son bâillon. De la bave coulait sur la boule. Pendant ce temps-là, Bruno malaxait les seins de ma mère. Le concierge releva ma mère en la tirant par les cheveux.

    « On va l’amener à la cave ! »

    ***********

    Nous sommes sortis dans le hall, maman toujours bâillonnée et menottée. Les seins à l’air. Elle fut trainée vers les caves de l’immeuble. Elle descendit les escaliers tenus en laisse par le gardien. Nous arrivons dans un couloir sombre et il se dirige vers sa cave. Il ouvre la porte et nous rentrons. Sa cave est assez grande et elle est surtout aménagée pour des séances BDSM. Il ya des chaînes, des lanières, une croix de Saint-André et un anneau fixé au plafond.

    « C’est la que j’amène la comtesse, comme ca on n’entend pas ses cris !
    ‒ Faudra que tu nous la présente celle-la !, demanda Momo.
    ‒ Oui et la jeune aussi ! », lança Farida.

    J’imaginais bien ce qu’elle pensait déjà lui faire subir….
    José détacha maman et fixa les menottes à l’anneau du plafond. Elle se retrouva les bras relevés, en équilibre sur la pointe de ses talons aiguilles. José se présenta derrière elle et il la pénétra sauvagement la tenant aux hanches. Son fils se mit devant et il lui suça les seins. José pilonnait ma mère qui couinait derrière son bâillon. Elle est en sueur, les cheveux défaits, le visage ravagé. 

    Ce fut une véritable orgie. José défonçait maman comme une brute. Il se retira et l’encula brutalement. Bruno en profita pour introduire sa bite dans la fente de ma mère. Ma pauvre maman était défoncée par le père et le fils qui alternaient leurs coups de reins. Ils ne tardèrent pas à jouir éclaboussant de leurs spermes le cul de maman. 
    Le concierge se retira encore raide et lança la cantonade :

    « Quelqu’un en veut encore de la bourgeoise ? »

    Ce fut la curée…
    On se précipita sur maman totalement impuissante. Livrée à ces pervers. On lui palpa les seins, des doigts s’introduisirent dans sa chatte. On lui titilla le clitoris de longues minutes jusqu'à ce qu’elle jouisse en grognant. On lui enfonça index et majeur dans son anus. On la pénétra par tous les orifices, elle dut subir des doubles pénétrations voire des triples…. Son corps est secoué comme un prunier par les coups de reins de ses tourmenteurs. On la défonçait avec vigueur. On lui fouettait le cul et les seins. José la détacha et maman s’affala sur le sol. Ses bas étaient en lambeaux. 

    Ils se réunirent tous autour d’elle et ils se masturbèrent. Certains éjaculèrent sur elle, l’aspergeant de foutre. Elle en eut sur les fesses, les seins, les cheveux. D’autres lui urinèrent sur le visage malgré mes protestations et les supplications de ma mère. L’urine coula sur ses lèvres et son menton. On l’obligea même à ouvrir la bouche et Momo lui pissa dedans, la traitant de « pissotière ». Ma pauvre maman était anéantie sur le sol, recouverte de sperme et d’urine. 

    ***********

    Nous sommes remontés de la cave et Momo et ses complices nous ordonnèrent de remonter chez nous. Il nous rappela, néanmoins, que demain, pendant que je serai au lycée, ils viendraient chercher Sylviane pour l’emmener dans le sex-shop. Il fut aussi convenu avec le gardien et son fils que très bientôt une « fête » serait organisé avec Sylviane, Aurore et « la comtesse »… Momo a assuré qu’il viendrait avec du renfort. Cela ferait un super film et cela ne lui déplaisait pas de penser que grâce au gardien, il allait avoir de nouveaux esclaves sexuels…. 

     

    Le lendemain, Momo et Farida débarquèrent donc chez ma mère dès le matin. Mon père venait juste de partir au travail ; José avait du le signaler a ses nouveaux amis. Sylviane n’est pas encore habillée quand elle ouvre la porte. Elle porte un déshabillé de soie sur une nuisette rose légèrement transparente. 
    - T’es pas encore prête, espèce de chienne ! lui lance Momo. 
    - On va t‘emmener au sex shop, t’as des achats à faire. 
    Farida s’approche de maman et lui ouvre l’élégant déshabillé lorgnant ses seins opulents. Elle les malaxe sans vergogne à travers la soie. Momo s’approche et, soulevant la nuisette, il écarte le string. Maman rougit de honte mais se laisse faire, totalement soumise à ces jeunes maitres-chanteurs qui pourraient être ses enfants. Momo caresse sa vulve, introduit ses doigts dans sa fente pendant que Farida lui mordille les tétons. Sylviane ne tarde pas à gémir sous l’habilité des caresses des deux pervers. Elle sent la cyprine qui s’écoule de sa fente. Les doigts de Momo s’agitent…
    - Allez ! Ca suffit ! Sinon, elle va jouir cette salope, s’exclame Farida en donnant une claque sur les fesses de maman. 
    Sylviane pousse une plainte de frustration. Elle est au bord de l’orgasme. 
    On lui demande ou est sa chambre et tous le monde monte à l’étage. Dans la chambre à coucher, Farida ouvre la penderie et regarde la garde-robe de maman. Beaucoup de vêtements de grands couturiers. Elle hésite et demande comme on habille « la salope » pour aller au sex-shop. 
    - On aurait du ramener des fringues de putes, regrette Momo. 
    - Oh non, pitié, ne me demandez pas ca ; balbutie Sylviane.
    - Tu crois que t’as le choix, pétasse !
    - Tiens, tu vas mettre ca. La pute se sera une prochaine fois…Et puis saper en bourgeoise, c’est plus excitant. 
    Farida lui tends son élégant tailleur noir Yves Saint Laurent. Elle doit leur faire un strip-tease, enlevant son déshabillé et sa nuisette. Elle enlève son string à la demande de Momo. 
    - T’as pas besoin de sous-vêtements…
    - Sauf ca…
    Farida lui tends un porte-jarretelles noir que maman enfile. Elle y accroche des bas noirs à couture. Elle met la jupe du tailleur et la veste a même la peau. Farida lui tends les escarpins les plus sexy qu’elle trouve. Une paire de talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge et aux talons très fins et très hauts. Le parfait déguisement de la bourgeoise salope…
    Puis, Momo donne le signal du départ….



    La Mercedes est conduite par Momo. A l’arrière, Sylviane subit les attouchements de Farida. Elle lui triture les nichons par l’échancrure de la veste et elle a remonté la jupe titillant son clitoris laissant ma mère dans un état de nerfs indescriptible. A un feu rouge, un chauffeur routier ayant une vue plongeante sur la Mercedes grâce à la hauteur de son camion, lança un furieux coup de klaxon, complètement excité. 
    Morte de rire, Farida obligea ma mère à lui sourire et à s’exhiber lui montrant ses seins et sa chatte….



    Ils arrivèrent très vite au sex-shop qui se trouvait dans la banlieue voisine de la ville bourgeoise ou nous habitons ou, bien sur, la Municipalité n’aurait jamais permis l’installation d’un tel magasin dans la ville. Momo gara la Mercedes et Farida poussa Sylviane hors de la voiture. Ils remontèrent la rue « chaude » de la ville ou se trouvait sex-shop, peep-show et autres lieu du vice. Plusieurs clients parurent étonnés en croisant ma mère qui, avec son allure tellement bourgeoise, détonnait un peu dans cette rue réputée du sexe. Un peu plus loin, il y avait des putes qui attendaient les clients….
    Ils entrèrent dans un sex-shop écartant l’épais rideau de velours bleu qui camouflait l’entrée. A l’intérieur, 6 clients observaient les DVD et les magasines. Il y en avait pour tous les gouts : partouze, gang-bang, SM, Bondage…Momo se dirigea sans hésiter vers un type à la caisse. Le patron du sex-shop qui visiblement le connaissait. 
    - Salut Momo !
    - Salut Robert…
    Le dénommé Robert devait avoir la cinquantaine, il était petit et avait un regard bien vicelard. Il détailla aussitôt Sylviane qui rougit sous son maquillage. 
    Devant son regard interrogateur, Momo lui expliqua que Sylviane était une bourgeoise salope qui venait s’encanailler et qu’elle allait lui prendre quelques produits…
    - Te gêne pas….
    - Tu nous feras une ristourne ? 
    - Faut voir...murmura Robert.
    En disant cela, il mata les jambes de ma mère sans aucune gêne. 
    Momo poussa ma mère dans l’allée du sex-shop et commença à lui dire ce qu’elle fallait qu’elle choisisse. Maman, qui n’avait jamais mis les pieds dans un sex-shop regardait autour d’elle, les yeux ronds. Momo commença par lui sélectionner trois déguisements sexys. Un de soubrette, un d’infirmière et l’autre d’écolière…Puis Farida ramena une sélection de godes de plusieurs tailles dont certaines étaient impressionnantes et cela effraya maman qui protesta. 
    - Mais…Mais, je ne pourrais jamais supporter de….
    - T’inquiète, ricana Farida, on va s’occuper de ta formation, ton cul sera tellement dilaté que tu pourras tous accepter….
    Maman blêmit….
    Les clients et le patron n’en perdait pas une miette bien sur…
    Momo ramena un plug, un collier avec des clous, un fouet, des menottes, trois cagoules en cuir dissimulant le visage avec une fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il choisit également toutes sortes de bâillons. Des boules, des anneaux, permettant de laisser la bouche ouverte, des « mors » comme pour les chevaux. Et surtout, un bâillon harnais avec un gode fixé dessus….Il ramena un corset en cuir avec un collier-minerve relié au corset par une sangle. On pouvait attacher les poignets au corset grâce à des anneaux. Maman ne disait pas un mot mais elle était effondrée en pensant à ce que ces jeunes tourmenteurs comptaient lui faire subir avec tous ses produits….Pour finir, elle dut choisir elle-même des mini-jupes en cuir, en vinyles et une robe en latex…
    Farida s’approcha de maman avec un sourire pervers. 
    - Faudrait les essayer pour être sur de la taille…
    Maman crut défaillir….
    - Non…Non, balbutia t’elle, je vous en prie pas ca…
    Mais elle fut entraînée sans pitié vers une cabine d’essayage. La, elle fut contrainte d’’enlever son tailleur et d’enfiler la robe en latex. Elle garde ses bas et ses talons aiguilles. Elle ressort, morte de honte, tous les clients l’attendent et le patron ricane. Elle doit se tourner et supporter les commentaires salaces…
    - Ca lui moule bien le cul et les seins…
    - Elle est trop courte…
    Elle est en effet trop courte et on aperçoit l’attache du porte-jarretelles…
    - Venez voir de plus près, qu’est ce que vous attendez, lança Momo
    Les six clients se précipitèrent, trop content de l’aubaine…Des mains avides caressent la robe en latex…Malaxant les seins au passage….




    Momo agrippa ma mère par les cheveux et l’obligea à se mettre à quatre pattes au milieu du sex-shop. 
    - Allez, c’est pas le tous, mais maintenant faut que tu paies tout ce que t’as pris….
    Il lança les prix pour une passe à la cantonade…
    - On peut lui faire tout ce qu’on veut ? 
    - Tout ….
    Maman voulut protester mais Farida la bâillonna avec l’anneau….Sa bouche est ouverte au maximum déformant son visage…
    Le patron lança le signal de la curée. Il paya et se précipita enfonçant son membre dans la bouche de maman qui voulut le recracher… Elle reçut une claque…
    - Bouffe ma bite, salope…Suce la !
    Maman obéit, pompant la bite…Derrière elle, on lui introduit toutes sortes de godes… la limant avec…Maman grogne derrière son bâillon. Le patron donne des coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible étouffant ma pauvre maman. Il se retira voulant « défoncer cette chienne » et il fut aussitôt remplacer par un autre. Robert fit le tour s’enfonçant dans la fente de ma mère. La tenant solidement aux hanches, il la défonce comme une brute, son ventre venant claquer contres les fesses de Sylviane… Elle salive sur la bite qu’elle suce… Robert fit encore quelques allers-retours dans son ventre et il se retira. Il pointa le gland sur l’ouverture des reins et s’enfonça dans le trou du cul de maman qui eut un hurlement étouffé. Il la pilonna un temps et se retira, son sexe luisant de sécrétions. Un client se précipita et força le trou de cul de Sylviane. 
    - Vous allez la prendre en double ! lança Farida…
    Un des clients s’allongea à terre, la bite fièrement dressée et on obligea maman, à grand renfort de claques sur le cul, à s’empaler dessus ce qu’elle fit avec une grimace….Robert l’encula et le troisième type engouffra sa bite dans sa bouche….Et ils alternèrent leurs coups de reins…déchirant ma mère par tous les trous…Son corps, recouvert de sueur, tressautaient sous leurs coups de bites. Ses seins ballottaient dans tous les sens….Robert poussa un cri et éjacula sur le dos de maman pendant que celui qu’elle suçait se vida sur son visage. Le dernier lui envoya de longues giclées de sperme sur ses seins…Elle dut encore sucer deux autres clients qui n’avaient pas osé participer mais qui voulaient quand même se vider les couilles. 



    L’argent récolté servi a payé Robert qui dit à Momo qu’il ne fallait surtout pas hésiter à revenir….
    Maman à garder sa robe en latex et Farida la contrainte à ne pas se nettoyer…C’est recouvert de foutre qu’elle dut regagner sa Mercedes sous les regards surpris et moqueurs des passants…. 

     

    Nous étions le vendredi soir et lundi étant un jour férié, maman et moi nous préparions à avoir un week-end prolongé. J’étais assis dans le canapé et je regardais la télé. Mon père était encore à l’étranger pour son travail mais il devait rentrer samedi soir. Un claquement de talons me fit lever la tête, maman traversa le salon. Elle était, comme à son habitude, très élégante dans une robe grise sur des bas gris. Je pensais à tous ce qu’elle avait vécus ces derniers jours. Nous en avions parlé plusieurs fois et nous étions partagés entre porter plainte ou continuer à subir les humiliations de ces pervers. Je n‘osais avouer à ma mère que cette situation m’excitait au plus haut point. Moi qui d’habitude allait lire ce genre d’histoire sur un site d’histoires érotiques….Seulement la, c’était en vrai ! J’avais réellement vu ma mère se faire baiser comme une chienne dans une cave. J’avais vu ma mère se faire enculer par le gardien et son fils…Et elle m’avait raconté son aventure dans le sex-shop. Et je bandais comme un fou chaque fois que j’y pensais. Et je pense que cela excitait aussi maman. Je la trouvais quand même étrangement passive la plupart du temps…
    Un coup de sonnette me tira de mes pensées. Maman se dirigea vers la porte. J’entendis immédiatement des cris et des insultes !
    Je me levais au moment ou Farida rentra dans le salon, tenant ma mère par les cheveux, suivi d’un groupe de filles. Je comptai rapidement qu’elles étaient huit !! Elles étaient déchainées et criaient, houspillant maman, l‘entourant, tentant de luis soulever le bas de sa robe…Quatre furies se jetèrent sur moi et me poussèrent vers ma mère. 
    - C’est lui le sex-toy ? demanda une des filles, hilare…
    Farida me jeta un regard mauvais…
    - Et elle c’est sa salope de mère ! 
    Maman pousse un cri. Trois filles ont réussi à soulever la robe dévoilant le porte-jarretelles. Elles poussent des cris et introduisent déjà leurs doigts dans la fente de maman qui se débat comme elle peut. Je subie le même sort, deux filles m’enlève mon pantalon et je me retrouve en caleçon que je dois enlever. Je me retrouve la bite à l’air pendant que maman, robe troussée, se fait fesser le cul et se fait doigter par ces furies….On la force également à les embrasser sur la bouche. On lui dégage les seins et ils sont triturer sans ménagement par des mains qui les palpes sans douceur…



    Trois filles ont jeté leur dévolu sur moi et elles manipulent ma bite, me branlant violemment. J’ai une érection d’enfer…
    Sylviane se retrouve en sous-vêtement et Farida lui ordonne d’enlever soutien-gorge et string. Elle obéit ne gardant que les bas et le porte-jarretelles. Farida tend un sac qu’elle avait avec elle à une des filles…
    - Sors les godes et met lui le corset !
    Maman blêmit en entendant le mot « gode»….
    Elle est contrainte d’enfiler le corset qui a été choisie dans le sex-shop. Il lui laisse les seins dégagées ainsi que la fente. Le collier-minerve est fixé autour de son cou. Une sangle relie le collier au corset en passant entre les seins de ma mère. Ses poignets sont attachés à des bracelets qui sont fixés sur les cotés du corset. Je ne suis pas épargné. Je dois mettre un collier autour du cou et on y accroche une laisse. Tenue en laisse par une des filles, je dois, sous les rires des autres filles, faire le tour du salon à quatre pattes. Pendant ce temps, Farida a enfourné un gode dans la bouche de maman et elle le fait coulisser rapidement l’étouffant à moitié. 



    On me bâillonna à l’aide d’un harnais fixé sur ma tête sur lequel était fixé un mors qu’on plaça sur ma bouche. 
    - File-moi la queue de cheval ! lança Farida à sa copine…
    Elle me montra un gode qui représentait une queue de cheval, l’agitant devant moi…
    - Devine ou ca se met ? me lança-t-elle sur un ton goguenard…
    Je poussais un hurlement étouffé par le mors, je tentais de me débattre mais je fus vite immobilisé par six filles qui me maintenaient solidement. Je sentis le gode effleuré mon anus et j’eu une coulée de sueur froide le long de mon dos…
    - On va le préparer…
    Farida enfonça son index puis son majeur et les tourna dans mon cul. Je grognai, des larmes aux yeux…On a forcé maman à venir voir l’opération et elle est devant moi, un gode dans la bouche et un autre dans sa chatte qu’une des filles fait coulisser. Elle a les yeux exorbités et elle émet aussi des grognements. Je sentis que Farida m‘enfonçait le gode. Je ressenti une brulure et je poussais un gémissement. Les filles poussèrent des hurlements et applaudirent quand je me retrouvai avec la queue de cheval dépassant de mon cul. 


    Je dus de nouveau faire le tour du salon sous les hués de nos geôlières. Maman a été allongée sur la table et 6 filles la godent sans arrêt. Elle n’a jamais un trou de libre. On lui enfonce un gode dans sa chatte, dans son cul, dans sa bouche. Continuellement, elle est godée. On ne lui laisse aucun répit. Elles travaillent à la chaine d’ailleurs. Une fille prend un gode dans le sac, elle le tend a sa copine qui l’enfonce dans la bouche de maman en lui criant de le sucer. Ainsi humidifier, le gode est tendue a une autre fille qui l’enfonce dans sa chatte ou son cul et elle ramone ma mère avec. Sylviane donne des coups de reins, son corps se soulève. Ses cris se transforment en gargouillement vu qu’elle a toujours un gode dans la bouche. Quand le gode est bien recouvert de mouille, on oblige ma mère à le nettoyer en le suçant et en donnant des petits coups de langues. 


    Les huit filles sont entièrement nues maintenant et elles ont toutes fixés un gode-ceinture autour de leurs tailles. Farida s’avança vers ma mère, lui releva les jambes a la verticale et la pénétra. Une autre fille monta sur la table et s’accroupit lui enfonçant son gode dans la bouche. Je regardais Farida défoncer maman à grand coups de reins. Je fus tiré par les cheveux vers la table Et courbé en avant, à moitié couché sur maman. Une des filles me retira la queue de cheval et m’encula avec son gode. J’ai poussé un hurlement mais cela n’impressionna pas la fille, qui les mains sur mes hanches, me baisa sauvagement. Je sens le gode coulisser en moi, la brulure du début fais place maintenant à une douce chaleur. Et pendant que la fille me donnait de violent coup de reins, une autre passa sous moi et me suça la bite…
    Je suis enculé de nombreuses fois par ces lesbiennes dominatrices perverses…On me masturbe et on me suce sans toutefois permettre que j’éjacule. Maman est baisée comme une chienne elle aussi. Nous ne sommes plus que des objets sexuels entre leurs mains. Nous sommes humiliés de toutes les façons. On crache dans la bouche de maman, on l’oblige à venir à quatre pattes me sucer la bite. Deux filles prennent un plaisir sadique à l’étouffer en lui enfonçant deux godes dans sa bouche. Sylviane est maintenant au milieu de notre salon. Empalée sur un gode, enculée par un autre. Les deux filles alternent leurs coups de reins. Une des filles arriva avec un gode monstrueux en rigolant. 
    - Ouvre ta bouche salope ! Si t’arrive à avaler celui la, t’es la championne. 
    Le gode était noir et faisait au moins 50 cm de diamètre ! Maman protesta et tourna la tête dans tous les sens.
    - Non….Non …Je vous en prie…
    Deux filles vinrent aider l’autre en maintenant la tête de ma mère. La fille lui enfonça l’énorme gode dans la bouche forçant comme une malade. Ma pauvre maman a la mâchoire complètement distendue, elle a des hauts le cœur. Les yeux hors de la tête, elle a la bouche complètement déformée. Elle émet des sons indistincts. 
    Mmmpfpff….
    Elle prit une goulée d’air quand on lui retira le gode mais elle poussa de nouveau un hurlement quand la fille voulut le lui mettre dans sa chatte.
    Centimètre par centimètre, le gode fut introduit dans le vagin de ma mère qui hurla sans discontinuer. 
    - Tais-toi poufiasse ! Sinon on te l’enfonce dans le cul !
    Tous le monde applaudit quand le gode fut quasiment entrée….


    La sonnerie du téléphone nous fit tous sursauté. Farida poussa Sylviane vers le téléphone. 
    - Fai gaffe à ce que tu dis !
    - Allo ? 
    Farida brancha le haut parleur. 
    - Sylviane, c’est Claudine. 
    Claudine, c’est ma tante, la sœur de ma mère. Elle était partie faires des courses avec ma sœur Charlotte….
    - On est en bas avec Charlotte, on peut monter te montrer ce qu’on a acheté ?
    Horrifiée, ma mère voulut dire non, mais Farida lui lança un regard noir et elle comprit…
    - Oui, Oui, Bien sur, vous pouvez monter. Répondit-elle d’une voix blanche. 
    Elle raccrocha anéanti…
    Farida regarda les autres filles :
    - On a deux nouvelles salopes qui se pointent ! 




    Les filles attendent la venue de ma sœur et ma tante. Ils nous ont humiliés une dernière fois : j’ai du enfiler un gode-ceinture et je suis assis sur une chaise, les chevilles liées aux pieds, les poignets attachés dans le dos. Bâillonné avec un harnais ou est fixé un gode. On a forcé ma mère à s’assoir sur moi et a s’empaler sur le gode. Elle a du pencher la tête jusqu'à prendre en bouche le gode qui me bâillonne. Nos deux têtes sont maintenue par une sangle passant autour du cou. Une autre sangle enserre nos deux corps, les seins de ma mère s’écrasent sur mon torse. On a enfoncé la queue de cheval dans le cul de maman. Elle a également les chevilles liées aux pieds de la chaise et ses poignets sont toujours menottés au corset. C’est dans cet humiliante position que ma tante et ma sœur vont nous découvrir….Mon Dieu, que vont-elles subir de la part de ces furies ? 

    La sonnerie retentit dans l’appartement. Farida alla ouvrir se cachant derrière la porte. Ma tante et ma sœur entrèrent. Elles restèrent interdites en nous découvrant ligotés et bâillonnés sur la chaise. Maman et moi nous grognons et nous gémissons tout en tentant de nous détacher. Les filles se jetèrent sur elles… Les maîtrisant en leurs tenants fermement les poignets. Elles crièrent avec un air apeuré. Entourées par ces furies à moitié nues!
    - Mais…. Qu’est ce qui se passe ici? Qui êtes vous? 
    - Vos gueules les salopes! 
    Charlotte, ma sœur, est habillé d'un Tee-shirt moulant ses seins. Elle porte une mini-jupe en jean sur un leggins noir et des ballerines. Ma tante est habillée d’un chemisier blanc sur une jupe en cuir s’arrêtant au dessus du genou. Ses jambes sont gainées de bas clairs satinés. Ses talons aiguilles noirs la grandissent encore plus. Ma tante pour son âge, elle a 56 ans, est encore une superbe femme. Charlotte à 25 ans, elle vient de se marier à un gendarme. Les deux femmes se débattent tentant d’échapper aux mains de Farida et de ses copines. On malaxe les seins de ma sœur à travers le Tee-shirt, on lui soulève sa jupe. Ma tante tenta de s’échapper et courut vers la porte. Elle fut vite rattrapée par 4 filles qui la plaquèrent au sol. Une des filles s’accroupit sur son visage en lui hurlant de lui sucer la chatte. On soulève la jupe en cuir de Claudine et on lui arrache son string; Ma tante hurle et une des filles lui enfonce un gode dans la bouche. Une autre enfonce ses doigts dans sa fente, les faisant coulisser, tout en lui titillant le clitoris avec sa langue. Une autre déchire son chemisier, baisse les balconnets de son soutien-gorge, et suce les pointes de ses seins. Celle qui s’était accroupie sur elle lui agrippe les cheveux et soulève son visage la contraignant à lui sucer la chatte. Ma tante sort timidement sa langue et donne de petits coups, léchant la vulve dégoulinante de sa tortionnaire…



    Charlotte fut traînée vers la table du salon et allongée dessus. On lui lia les poignets et les chevilles aux pieds de la table l’immobilisant. Ma sœur donne des ruades et supplie qu’on la détache. Elle fut bâillonnée avec une boule en latex enfoncé dans la bouche. Farida lui déchira son leggins et écarta le string. Elle s’agenouilla devant ma sœur et commença à lui caresser la vulve. Agaçant le clitoris avec son ongle. Puis, elle introduisit son index puis son majeur la branlant. Ma sœur donne des coups de reins en secouant la tête de droite à gauche. Farida se releva, pointant le gland en plastique de son gode sur l’ouverture de sa chatte et elle la pénétra arrachant un grognement désespéré à ma sœur. Farida la pris aux hanches et commença à la besogner à grand coups de reins….


    Maman et moi nous sommes horrifiés. Nous sommes les témoins de l’humiliation de ma tante et ma sœur. Elles sont baisées par ces furies comme nous l’avons été quelques heures auparavant. Ma tante, le visage ravagée, a été positionnée à quatre pattes et elle se fait défoncée par une des filles qui la ramone à grand coups de gode-ceinture. Les seins de Claudine ballottent dans tous les sens sous ses puissants coups de reins. La bouche ouverte ma tante gémit sourdement. Farida s’est retiré et une autre fille a pris sa place bourrant ma sœur. Farida se met à l’écart, prend son téléphone portable et appelle Momo. 
    Je l’entends distinctement lui dire qu’elle a une surprise pour lui et qu’il devrait venir avec Brahim et Rachid et surtout ramenés des renforts….


    On nous détacha et on obligea maman, Claudine et Charlotte a s’allonger sur la table cote à cote, les jambes bien écartés dévoilant leurs fentes. Puis, on les contraignit à se branler mutuellement. Sylviane a du enfoncer ses doigts dans la fente de sa fille pendant que Charlotte fait de même avec sa tante…Charlotte doit également enfoncer ses doigts dans la chatte de maman… On leur hurle dessus pour qu’elles agitent les doigts avec conviction. Très vite, j’entends les trois femmes gémirent…. On empoigne les cheveux de ma tante et elle doit embrasser ma sœur sur la bouche. Écoeuré, je vois leurs langues se mélanger. Comble de l’horreur, on obligea ensuite ma mère à embrasser sa fille. Voulant faire une variante, Sylviane et Charlotte furent positionnées tête-bêche et elles durent se sucer la chatte. Je vois distinctement ma sœur sortir sa langue et fouiller la fente de ma mère pendant que Sylviane suce le clitoris de Charlotte qui gémit de plaisir… Ma tante fut traînée devant moi et elle dut me sucer la bite. Elle me prit en bouche, me pompant la bite. On lui fessa le cul parce qu’on trouvait qu’elle ne mettait pas assez de conviction. Elle s’appliqua me léchant les couilles, me reprenant en bouche, me titillant le gland avec sa langue. J’ai une érection d’enfer mais je tente désespérément de ne pas éjaculer. Ce serait trop humiliant! Je fus ensuite allongé sur la table et chaque femme fut obligée de venir me sucer. Ma mère, ma sœur et ma tante s’exécutèrent sans un mot me donnant des coups de langue sur mon gland ou me masturbant. A chaque passage, j’étais contraint d’enfoncer mes doigts dans leurs chattes…



    Momo débarqua avec Rachid et Brahim ainsi qu’une dizaine de gars. Je reconnaissais certains qui avaient déjà baisé ma mère dans la cave de la citée ou nous nous étions égarés. Quand tout avait commencé….Ils ricanent en découvrant le spectacle de ces trois femelles qui vont leur être livrées. Maman est toujours vêtue de son corset, Charlotte est toute nue et ma tante, Claudine, est simplement vêtue de ses bas et ses escarpins…
    Momo prend la parole…
    - Vous voyez les gars, je ne vous ai pas raconté des histoires. Trois bourgeoises rien que pour vous, vous pouvez en faire ce que vous voulez… Mais il faut payer! 
    Devant Sylviane, Charlotte et Claudine horrifiées d’êtres louées comme de vulgaires putains, les types payèrent Momo qui encaissa les gains avec un sourire. 
    Les mâles en rut se précipitent et se déchaînent sous l’œil bienveillant de Momo. Les trois femmes sont malmenées par ces brutes. On leurs palpent les seins et on les doigte. Deux types s’avance vers ma mère qui s’empresse de s’agenouiller pour les piper. Charlotte se retrouve à quatre pattes en train de pomper un black pendant qu’un autre type la pilonne violemment par derrière. Claudine, à genoux, branle deux bites, une dans chaque main, en haletant, le regard fixe. Tout ça est filmé par Rachid et Brahim….Je suis contraint de leur servir à boire sauf quand je suis pris à partie par Farida et ses copines qui s’amuse à me masturber et à me sucer…. Ma tante est baisée avec sauvagerie, empalée sur une bite, enculée par une autre pendant qu’elle suce deux bites à la fois, lui déformant la mâchoire. …Un cri me fait tourner la tête, ma sœur Charlotte, en sueur, décoiffée, à quatre pattes se fait enculer par le grand black. Sa queue d’Ebène lui perfore son anus. Il la tient aux hanches et la bourre comme un sauvage. Les seins de ma sœur ballottent dans tout les sens. Ma mère se fait baiser comme une truie par 4 types. C’est une véritable orgie qui se déroule dans notre luxueux appartement. Si les voisins pouvaient s’imaginer… peut être qu’ils entendent les cris d’ailleurs? J’entends des râles… Les hommes éjaculent, libérant des quantités de sperme sur leurs esclaves sexuelles. Ma mère a son visage recouvert de foutre et ma tante en a partout sur le corps. Pour Charlotte, le black lui a déversé son foutre dans sa bouche… On oblige ma sœur à venir me sucer la bite. Elle proteste au début puis, à genoux devant moi, me regardant avec un regard de totale soumission, elle me donne de petits coups de langues sur le gland, me masturbant, me léchant les couilles. Les hommes se reposent un peu buvant comme des trous et ma mère se fait goder par les filles. Elle doit lécher la chatte de Farida qui jouit très vite en poussant un hurlement…. Je résiste tant bien que mal mais je ne peux me retenir plus longtemps et je jute sur le visage de ma sœur…


    Les heures passent. La nuit est tombée. Durant toute la journée, ma mère, ma sœur et ma tante ont du subir de multiples pénétrations. Faire des dizaines de fellations. Le pire, c’est que j’ai l’impression qu’à force, elles y ont pris du plaisir. De bourgeoises distinguées, ces ignobles pervers ont réussi à les transformer en putes… 

     
  • Commentaires

    1
    Mosaica
    Vendredi 20 Décembre 2013 à 01:51
    Moi ca m'est arrivé en vrai. J'étais descendu aux caves de l'immeuble pour faire du ménage dans une cave que j'avais gardée pour moi a coté de celle de ma mere, quand je suis arrivé dans les couloirs il y avait du bruit comme des gens qui chuchotent, j'ai pensé que c'était des jeunes qui fumaient, j'ai pas trop regardé, je suis passé, mais ca raffutait tellement que je suis allé donné un coup de lampe elctrique. Et là! putain, j'ai été ébahi. ma mere la robe déboutonnée, remontée à moitié à poil,les seins à l'air qui tripotait et sucait ou se faisait baiser par un jeune arabe du bloc d'en face. Elle avait els cheveux dans tous les sens, et ils étaient en pleine action. j'ai éteint de suite, j'en revenais aps. Je suis resté" à mater, pour évrifier, et à force j'ai commencé à voir dans la pénombre. Elle se faisait bourrer, penchée contre le mur et elle en prenait un max, et même plus que çà puisque que l'autre lui disait t'aimes ca dans ton cul, hein, dis le, et qu'elle répondait oh oui.
    Finalement j'ai du faire du bruit , ils ont chuchoté et puis le mec s'est tiré et ma conne de mère qui n'a pas mieux fait que, encore à poil, de braquer sur mon coin sa lampe torche à elle.
    Imaginez ma tronche. J'étais là à mater, laqueue sortie e tje me branlais . Elle 'ma juste dit qu'est ce que tu fais là? et des trucs comme çà, j'ai répondu pareil, et je lui ai dit j'aurais jamais pensé que t'irais trompé papa avec un rebeu et en plus te faire enculer. Ca alors!
    Elle 'ma dit que je comprenais pas, ou que si je comprenais bien puisque j'avais regardé et que je me branlais . Elle avait le droit au plisir aussi . Et puis elle s'est amadoué, et elle 'ma demandé si j'allais tout baver. j'ai dit que j'en savais rien. Elle 'ma dit surtout fais pas ca, je t'en prie fais pas ca . Elle se rhabillait . D'un coup elle 'ma dit: t'aimes le sexe? J'ait oui. Elle 'ma dit tr'aimes vraiment ou alors comme tout le monde . j'ai dit j'en suis dingue . Elle m'a dit alors si tu veux on peut s'arrnager si tu dis rien. J'ai dit ca veut dire? Elle 'ma dit, elle était génée, elle avait les mots qui sortaient aps vite . SI t'a senvie .. tu peux .. enfin je veux dire avec moi. Si t'as envie .. Comme ca tu diras rien. Je lui ai dit tu veux dire que je peux te baiser? Elle a dit oui. Baiser ma mere ? elle a dit oui si tu veux . Elle était juste contre moi? Je lui ai dit la baiser non mais alors la baiser comme ma salope oui. TIens tu avs etre pour moi comme t'étais pour le rebeu, ma chienne, et en plus quand je veux . Tu vois, ok ?
    Elle m'a juste dit tu sais je peux etre tres vicieuse avec un homme quand j'en ai envie, tu regretteras pas. Mais je te demande qu'une chose. Je veux bien avec toi, tu vois, c'est un marché, mais aps dans la lumière, j'y arriverais pas . Je lui ai dit allez commencé, suce moi a fond. Elle s'est mise a genoux et elle 'ma touché elle 'ma sucé, et vite, de plus en plus fort j'allais gicler. Alors je lui ai dit, mets toi au mur, je veux ton cul. Elle a dit ah non .. j'ai dit le cul. Elle 'la fait,. Je me suis guidée j'y suis rentrée et je dois dire qu'en pensant que c'était aps mere, même dans le quasi noir, ca fait un putain d'orgasme de sodomise rune meuf!

    Finalement elle est aprtie, mais après presque tous els jours, je lui filais unt éléphone, elle descendait et je me la faisais, et puis je l'ai leché, je l'ai faite me rouler des pelles, me lecher le cul, les boules, j'ai sodo, j'avais envie, mais j'avais surtout envie de l'avoir à la pohgne et de savoir que c'était elle.
    FInalement un jour elle est decendue, je 'lai fait me sucer puis je l'ai sodo directe, et puis j'ai arreté. elle m'a dit t'a splus envie. J'ai dit si. Mais j'ai envie que tu pisses là. Elle voulait aps . finalement elle 'la fait, elle s'est baissée et elle a pissée et j'écalrais sa chatte avec la lampe. j'y ai mis les doigts . J'y ai dit aprés: fais caca . Ah non, pauvre type . je l'ai bafféé. Je lui ai dit oublies aps que t'es ma pute ici , pas ma mere. alors chie. Alors elle a rien dit et elle s'est remise elle a poussé. Elle a fait un truc . J'y ai dit maintenant mets aps ta culotte remet ta robe, sans soutif et on sort. elle a dit je t'avais dit que . Paf. Putain c'étain bon de cogner. Elle 'ma suivi . tout le temps qu'on était dans l'escalier j'y touchais la chatte, je la doigtais, j'y sortais els nichons. elle avait peur . On est allé dans ma voiture, et puis dans un bois, a la sortie. Je l'ai fait sortir. On était en milieu d'aprem. Plein jour . On est allé dans un coin et je lui ai dit allez a poil. Je veux te voir a poil. Elle s'est mise nue . j'ai aps pu m'empecher de la pulser de partout a pleines mains. Et puis j'y ai dit allez à 4 pattes comme une chienne, je vais enculer ton cul merdeux de salope . elle a rien dit . Elle 'la fait et moi je l'ai baisée dans son cul sale . Ca glissait tout seul. C'était bon. J'ai joui comme un dingue . a la fin, elle se donnait toute seule sur ma bite a grands coups et elle a joui, elle a gueulé . Aprés ellea rien dit . On est remonté en voiture, sans rien dire elle 'ma ouvert la braguette et a sorti ma bite pour al branler doucement. Et puis elle 'ma dit. tu vois, je croyais pas, mais j'aime ca quand tu me baises, tu vois, et puis comme on vient de faire, devenir ta chienne comme tu dis, et bien j'aime ca . alors tu peux y aller, tu vois, j'ai envie . Et elle s'est pencée, je conduisais, et elle 'ma sucé.
    Et depuis, voilà, j'en ai fait ma chienne . Je l'ai faite baiser, je l'ai pretée, louée, filmée, je l'ai fait se gouiner enfin tout .
    Comme ca par hasard et c'est aps un kake mon histoire, c'est vrai.
    2
    Mosanca
    Lundi 23 Décembre 2013 à 12:59
    Moi ma mere a toujours trop bu . J'en ai pris l'habitude. De ca, des cures, de tout. Un peu honte aussi. Et a force de la voir comme çà, j'ai fini par la surveiller, l'épier. Des fois la voir à poil sur son lit, ou dans la salle de bains, rester une heure nue à se dessouler sous la douche.
    Finalement ca m'a excité. Alors il y a un an, je sais aps pourquoi, j'en ai eu envie. Un soir je suis rentré il était à peine 6 heures, elle avait déjà vidé une bouteille de blanc. Elle était déjà bien. Pas soule mais bien éméchée. Tenant pas très droite . Je sais aps ce qui m'a pris, je suis allé me doucher, j'avais la barre, je pensais qu'à çà, ses nichons, son cul, sa chatte. Et puis je suis sorti à poil de la douche et je suis allé devant elle à la cuisine me faire chauffer un café. Elle a vu que j'étais nu. Elle regardait ma queue en se demandant pourquoi, mais sans rien dire.
    Je me suis assis sur la table, la queue a moitié raide, juste devant elle . elle a enfin dit mais qu'est ce que tu fous a poil? Je lui ai dit ben je fais comme toi, toi tu restes a poil et moi aussi. J'ai envie de montrer ma queue. Elle a rien dit . J'ai rajouté, dommage que tu sois ma mere. Elle a dit pourquoi? Je lui ai dit ben si étais pas ma mere je te la ferais sucer, et puis je pourrais te toucher ta chatte. Je me lançais, en me disant si jamais ca foire, je dirais qu'elle a revé, elle était trop soule. Elle a dit c'est vrai ca , c'est dommage, tu as une belle queue. J'ai dit : tu aimerais pas ? Elle a dit ca oui, j'aime bien les queues, j'aime bien ca , et puis elle a ajouté, oui je me ferais bien défoncer la chatoune là, même dans les fesses, c'est bon dans les fesses, j'aime ca etre enculée. Et elle rebuvait . Elle était dans le cirage, monologue toute seule. Ca m'a foutu une barre. Je me suis approché d'elle, la queue devant sa bouche. J'ai compté un deux trois, je le dis . Et j'ai dit: j'ai envie de de te voir à poil là, de suite, j'ai envie de ta chatte. Suce moi ma queue.
    Elle a dit mais t'es mon fils. J'ai dit ca fait rien, j'ai envie que ce soit ma mere qui me pompe la queue, là, j'ai envie de te baiser, de t'enculer, de voirt a chatte et puis de te la lécher. Elle a dit arrete de parler comme ca, c'est aps bien ca m'excite . Alors j'y ai mis une main sur le sein, j'ai palpé, c'étaiot dur, miam, j'avais envie j'ai frotté mon gland sur sa bouche . Et d'un coup elle a ouvert la bouche, elle l'a avalé et puis sa main est venue, elle 'la prise et elle a commencé à me branler doucement et à me pomper . Putain j'y croyais pas.

    Ce qu'elle sucait bien . C'était géant de voir son visage et de la voir avaler mon gland me sucer comme çà. J'ai commencé à ouvrir son chemisier, à baisser son soutiof, à sortir un nichon, c'était géant. Et puis d'un coup je suis descebndu de la table je l'ai remontée debout, je l'ai etendue sur la table, elle rebiffait aps trop, j'ai remonté sa jupe, j'ai vus a culotte, j'ai palpé, j'ai descendu la culotte et devant ses poils, sa fente, ca m'a rendu malade, j'ai écarté ses jambes et elle a dit ah vas y vas y tu devrais pas, vas y vasy , alors j'ai bouffé sa chatte, à pleine bouche, elle sentait bon, elle était trempe, c'était un régal, quand j'ai été à son clito elle a commencé à gémir, à ronronner, elle se cabrait, alors j'ai mis les doigts, là dans son trou, et dans son cul e tpuis debout, j'ai enfilé ma bite, et j'ai commencé à labaiser. Elle disait, non, pas toi, non, faut pas, t'es mon fils elle est bonne, je la veux, ah vas y non pas toi, elle savait plus, j'ai baisé baisé, et puis je l'ai retourné et j'ai été dans son cul, la elle feulait, une panthère, et moi je lui dsisais des trucs dingues, tu es ma salope je te baise maman, je prends ton cul, je t'encule, dis moi que tu aimes ca je t'encule, elle disait vas y vas y c'est trop c'est trop, oui prends moi je suis ta salope vas y bvas y et j'ai giclé comme un fou.
    Aprés je l'ai mise nue et je lui ai dit, j'ai envie d'un 69 sur le lit, elle a dit, tu m'as dessoulé, sale petit mec, tu m'as baisé, je lui ai dit je m'en fous maintrenant je l'ai fait, je veux le faire tout le temps, elle a rien dit, elle 'ma regardé elle a touché ma queue, elle a dit, oui on l'a fait, tu veux vraiment, j'ai dit oui alors on est allé sur le lit elle s'est mise sur moi, sans facon, et elle a commencé à me remanger la queue, et moi je l'ai léché sucée, son cul, son anus, sa chatte c'était trop, j'ai jamais joui comme ca . Apres on s'est endormi, et ona recommencé comme des dingues.
    Depuis elle boit moins c'est vrai, mais elle est restée ma maitresse, je la baise presqsue tous les jours, je l'ai rendue meme tres vicieuse, j'y fait faire des trucs pas possible, elle aime ca , elle jouit tres fort, et on ameme fait à trois avec un mec, et puis a trois avec une femme, elle a beaucoup joui, et à la fin elle 'ma dit qu'elle avait jamais joui aussi fort avec un homme et qu'elle aimait çà que je sois dur avec elle, que j'étais un vrai male .
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    kekolo56
    Mercredi 1er Avril 2015 à 21:14
    Cette histoire est exceptionnelle et remarquablement écrite! Félicitations!
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