• L'éducation trés précoce

    Je suis bien dans ma peau, avec une sexualité riche et épanouie. Je vais vous confier les petits secrets de mon éducation sexuelle prodiguée par ma sœur aînée Cécile.

    J'avais dix ans, et j'étais une belle petite fille, avec de longs cheveux bruns, une petite frimousse encore innocente et j'étais à l'aube des premiers signes de ma puberté, j'avais les pointes de mes seins qui commençaient à gonfler, et devenir très sensibles. 

    J'ai un frère, Julien, un peu timide, que mon père traitait de poule mouillée, et ma sœur Cécile, qui était déjà une belle jeune fille, dont j'enviais la poitrine déjà bien développée avec des seins très pointus, un duvet brun tout doux sur son pubis.

    Nous habitions une petite maison, où je partageais à l'étage une chambre avec Cécile, nous dormions dans le même lit, mon frère avait lui, une petite chambre indépendante à coté de la notre. Nos parents couchaient en bas dans la salle de séjour dans un lit convertible. Cette salle était surplombée par une mezzanine desservant nos chambres d'enfants.
    Mon père représentant de commerce n'était pas là de la semaine et ma mère qui travaillait comme vendeuse était absente toute la journée.

    Depuis toujours, ma sœur et moi dormions enlacées, et depuis sa puberté, ma sœur a pris l'habitude d'explorer son corps, et me faire partager ses découvertes, et toutes ces caresses nous procuraient beaucoup de plaisir. Et nous nous caressions le clitoris et les petites lèvres qu'elle et moi avions très développés. Ces pratiques faisaient monter dans mon ventre une houle de chaleur et gonflaient mes petits seins. Cécile m'avait expliqué que si je voulais les voir grossir comme les siens, j'avais besoin d'hormones, aussi elle me demandait de lui lécher le sexe, et de boire tout son jus d'excitation. Au début je trouvais que sa fente avait surtout le goût du pipi, mais très vite j'ai aimé cette saveur enivrante, et je n'étais jamais réticente à la lécher. 

    Cécile arrivait à mettre un doigt dans son vagin encore bien étroit, et me le faisait sucer, et essaya de me pénétrer tout doucement après m'avoir longuement léché, mais sa tentative a été très douloureuse, j'ai même pleuré. Elle m'a consolé en me couvrant de milles baisers, et a pour la première fois elle a passé sa langue sur mon anus, ce qui m'a fait une réaction dans tout mon ventre, puis comme elle ne pouvait pas s'occuper de mon petit vagin elle a très délicatement mis le bout de son doigt dans mon anus, et a commencé à le remuer très doucement en l'enfonçant un peu plus, entrant et sortant presque, j'écartais largement mes fesses pour lui faciliter le passage, elle m'a dit que mon petit cul avait l'air d'aimer ça et qu'il était tout humide, et que s'était très agréable de sentir la chaleur du corps de quelqu'un. De son autre main elle tirait de plus en plus fort sur mes petites lèvres qui gonflaient de plus en plus, après un long moment j'ai pour la première fois de ma vie ressenti un frisson dans tout mon corps, et j'ai serré Cécile dans mes bras, et elle m'a embrassé sur la bouche, cela a aussi été mon premier baiser. Cécile a retiré son doigt de mon cul et l'a regardé, il semblait propre, seulement humide, et elle l'a mis dans sa bouche avec hésitation, puis m'a fait goûter, c'était délicieux! 

    Elle m'a alors demandé de lui faire la même chose, de lui lécher la fente et son petit cul qui avait des poils noirs très fins et tout doux, pour la première fois, j'ai goûté un anus, j'avais peur de trouver des excréments, mais mon doigt est entré très facilement et j'ai fait les mêmes va et vient en tournant mon doigt, tout en lui tirant ses petites lèvres qui non seulement étaient gonflées mais aussi trempées de son délicieux jus. Cécile m'a demandé d'une voix rauque d'essayer de lui mettre un deuxième doigt dans l'anus, pendant qu'elle caressait son clitoris en tournant autour avec le bout de son doigt, et elle s'est mise à haleter et m'a embrassé en mettant sa langue dans ma bouche, j'étais folle de désir, et lorsque Cécile m'a demandé de tirer ses petites lèvres le plus fort possible, j'ai les ait pincé très fort en tirant. Cécile a cabré son corps en tendant son bassin vers le haut en poussant de petits cris et j'ai senti tout son sexe envahi par une quantité très importante de jus, qui a coulé jusqu'à son cul toujours avec mes deux doigts!

    Elle s'est calmé lentement, et j'ai alors mis les doigts de chacune de mes mains dans ma bouche, quel régal!

    Nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre, mais pour la première fois, nous étions nues.

    Depuis que ma sœur Cécile est en classe secondaire, elle a bien changé vis à vis de moi, car elle a beaucoup parlé de sexe avec ses copines, elle est en recherche de sensations nouvelles, toujours prête à expérimenter de nouveaux plaisirs.

    le mercredi, je reste seule avec elle et mon frère, elle est la maîtresse de maison en l'absence de ma mère, qui est au travail.

    Nous nous réveillons le matin, et nous faisons la grasse matinée, en nous caressant parfois tendrement, parfois avec une certaine violence, car nous cherchons toujours plus de plaisirs.

    Ce jour là, il faisait très chaud, et Cécile a décidé que nous ne devrions pas uriner, et que nous allions essayer de durer le plus longtemps possible.

    Nous avons pris un bain ensemble, et nous nous sommes parfumées avec le parfum de Maman, nous avons mis une jupe sans mettre notre culotte, et Cécile n'a pas mis son soutien-gorge sous son T shirt.

    Nous avons réveillé notre frère Julien qui dormait dans la chambre à côté de la notre. Nous avons retiré ses draps, et nous l'avons forcé à se lever devant nous pour aller faire sa toilette. Nous avons été surprises de voir que dans son pyjama, son sexe était dressé. Julien avait onze ans, et il était déjà très grand avec la voix qui commençait à muer.

    Dans la salle de bain, nous l'avons forcé à se mettre nu, et nous avons vu son sexe tout dur, mais encore de taille bien réduite. Cécile qui avait eu des confidences de ses copines qui avaient des frères plus âgés, savait que les hommes devaient avoir une verge autrement plus développée.

    Nous avons touché le sexe de Julien, et ses testicules. Finalement, les bourses ressemblent beaucoup à nos petites lèvres, et la petite verge, n'est qu'un gros clitoris. Quand nous avons voulu sonder son anus, il s'est rebiffé, mais nous lui avons proposé de lui laisser toucher nos chattes ainsi qu'aux seins de Cécile, alors Cécile lui a lentement pénétré son petit cul, pendant que je lui massait le bout de la verge. Au bout d'un moment, il a eu la respiration qui s'est accélérée et il s'est frotté la verge entre ses paumes, et il a poussé de petits cris. Cécile a sucé son doigt et m'a confié que le cul des garçons avait un goût beaucoup plus fort que le notre.

    Cécile a interdit à Julien de mettre un slip, et sous son short, nous pouvions passer la main pour toucher son petit zizi. Nous lui avions aussi interdit de faire pipi, il devait aussi attendre de ne plus pouvoir tenir comme nous.

    Nous avons déjeuné puis Cécile nous a demandé de faire des mouvements de gymnastique qui consistaient surtout à écarter nos jambes. Le besoin d'uriner devenait de plus en plus pressant, et ma sœur m'a proposé que nous devions nous caresser la fente jusqu'à ce que nous ne puissions plus retenir notre urine.

    Nous nous sommes couchées dehors dans une balancelle et chacune de nous s'est mise à martyriser la fente de l'autre, devant Julien qui n'en perdait pas une miette, le sexe à l'air avec aussi une forte envie de faire pipi.

    Nous lui avons proposé de nous lécher la fente et le cul, et que s'il s'acquittait bien de sa mission, nous lui lécherions son sexe et son cul.

    L'envie devenait impossible à retenir, et j'ai relâché ma vessie pendant que Julien léchait ma fente, et que Cécile me pinçait très fort la pointe de mes seins.

    Cécile a forcé Julien à boire mon pipi, il criait que cela lui brûlait les yeux, mais il a continué d'ouvrir la bouche tout en léchant mes petites lèvres. Quel extase de pisser dans une bouche! 

    Ensuite cela à été mon tour de lécher Cécile, et elle m'a demandé de lui mettre deux doigts dans son cul pendant que j'aspirais ses petites lèvres. Le résultat n'a pas été long et elle m'a inondé le visage de son urine chaude. J'ai essayé de boire, mais je me suis étranglé, tant la quantité était grande. Cécile m'a demandé de garder de l'urine dans la bouche et de l'embrasser sur la bouche. Elle a aspiré sa pisse dans ma bouche et m'a mis sa langue très profond dans ma gorge, j'avais l'impression d'étouffer, mais c'était très fort. 

    Mon frère ne tenait plus aussi Cécile lui a demandé de se mettre nu debout, les mains sur la tête.
    Son sexe était tout droit et Cécile a pris une branche d'orties, et lui a passé sur la verge, sur ses testicules et entre ses fesses. Julien s'est mis à crier, et les cloques de brûlure des orties sont sorties sur la peau si fine et blanche se son sexe. Cécile à dégagé le gland du prépuce qui était très étroit, après son petit gland est devenu très rouge et gonflé. Cécile lui a sucé le membre après m'avoir ordonné de lui donner une bonne fessée.

    Le résultat n'a pas été long, Julien a fait pipi dans la bouche de Céline, mais comme il avait le sexe dur, il a eu du mal à faire. Cela m'a permis de prendre la place de Cécile et de déguster le sexe de mon frère.

    Quelle après-midi, le soir, quand notre mère est revenue du travail, elle nous a trouvé sagement occupés à regarder la télé. Nous étions des enfants bien sages.
    Quelques jours plus tard, ma sœur Cécile est revenue du collège très excitée, elle n'avait pas eu de cours l'après-midi, et elle avait été chez son amie Maud, avec qui elle semblait avoir des relations toutes particulières.


    Elle m'a dit qu'elle avait découvert avec Maud un plaisir encore plus intense, et que demain mercredi, elle allait me révéler son secret, mais il fallait pour cela que je sois très obéissante.

    Quand nous nous sommes mis au lit, après avoir fait notre toilette, elle m'a fait fermer les yeux et m'a dit de sortir ma langue, puis j'ai senti sur mon visage et ma bouche le contact d'un tissus, elle m'a dit « lèche ». j'ai senti alors une odeur et un goût très puissant, elle me demandait de lécher le fond de sa culotte, qui après ses expériences avec Maud, était trempée de jus. Puis elle m'a mis sa culotte sur la tête, avec le devant sur mon visage, et m'a dit que mon épreuve sera de dormir ainsi.

    Avant que nous endormions, elle m'a montré son sexe tout gonflé, avec les petites lèvres très rouges et très sensibles, ainsi que ses seins, dont la pointe était si gonflées qu'elle n'avait pas pu remettre son soutien-gorge, elle m'a embrassé sur la bouche très tendrement, et m'a dit que demain j'allais découvrir des sensations incroyables.

    Comme la dernière fois, dès le matin, elle m'a ordonné de ne pas aller faire pipi, car elle pensait que le traitement à la « Maud » serait encore meilleur avec la vessie pleine. Mon frère Julien encore troublé par la séance du mercredi précédent, nous tournait autour en se demandant ce que nous allions bien encore inventer. Cécile lui a dit que cette après-midi, nous allions me faire découvrir une surprise dont lui comme moi serrions très étonnés. Qu'il aurait bien sûr un rôle à jouer, et que nous allions tous les trois vivre quelque chose de fort.

    Ces déclarations m'ont un peu effrayé, et aussi beaucoup excité. La matinée s'est passée à expédier nos devoirs scolaires et Céline a préparé le repas de midi avec ce que notre mère avait laissé dans le réfrigérateur.

    Après avoir rempli le lave vaisselle, nous nous sommes installés dans la cuisine, Céline m'a déshabillé très lentement ainsi que Julien, elle a alors retiré chacun de ses vêtements, et m'a embrassé avec la langue, et elle a demandé à Julien de faire de même, mais il ne savait pas comment faire, il tournait sa langue sans arrêt, alors, elle lui a montré comment faire en prenant son temps, en passant la langue sur les lèvres de l'autre, de lui donner de sa salive, et de caresser sa langue avec la sienne, il a rapidement fait des progrès.

    Céline a dit que aujourd'hui, c'était ma fête, que tous les deux ils devaient se consacrer entièrement à mon plaisir. Tout d'abord, Céline m'a parfumé avec le parfum de maman, en mettant un petite goutte sous chacune de mes oreilles, une entre mes deux petits seins, et une sur chacune de mes aines, puis elle m'a coiffé mes longs cheveux et m'a demandé de me regarder dans la grande glace située dans la salle de bain. Je me suis trouvé belle, et Julien avait bien envie de me toucher partout, mais Céline lui a ordonné d'obéir strictement à ses ordres, il ne devait me faire que les choses qu'elle lui demanderait et lui a interdit de toucher son propre sexe.

    Céline m'a amené de nouveau dans la cuisine et a disposé sur la grande table des coussins et une grande serviette de toilette et m'a demandé si j'étais prête à subir cette initiation très spéciale. Elle m'a précisé qu'elle avait subit la même chose hier avec Maud, et que si au début c'est assez douloureux, après le plaisir est si intense, que le lendemain, elle se sentait encore « toute chose ». Puis elle a mis un CD de musique très douce et a un peu fermé les volets pour faire une ambiance plus suave.

    je me suis allongée sur la table, nue avec les cuisses ouvertes, comme demandé par ma sœur, puis elle m'a caressé tout doucement en partant de mes cheveux, ma bouche, mon cou, mes épaules, s'est attardé sur mes petites pointes de seins, déjà bien dressées. Puis elle est descendu tout le long de mon ventre, de l'intérieur de mes cuisses, sans toucher à mon sexe, pourtant, je pensais bien qu'elle se serait occupé de ma petite fente. 

    Elle a alors demandé à Julien de téter mes petits seins, doucement, et sans arrêt en augmentant la succion progressivement. Il s'y employa et rapidement, cette succion m'a fait mal, j'avais l'impression que mes seins gonflaient, que les pointes allaient éclater, mais elle lui a dit de continuer sans s'occuper de ce que je disais, et que si je bougeais, elle se verrait contrainte de m'attacher.

    Elle a pris alors sur une chaise une règle en bois de 30 centimètres, et après m'avoir fait un baiser sur la petite fente, m'a ordonné d'écarter le plus possible les cuisses et de remonter mes genoux vers le haut, sans gêner Julien qui continuait à téter mes seins.

    Elle a alors frappé mon pubis avec la règle, clac! J'ai sursauté, mais ce n'était pas douloureux, j'étais tout tendue vers elle pour découvrir ce qu'elle avait décidé, puis elle a donné un 2ème coup sec sur ma grande lèvre droite, puis sur la gauche. Céline m'a demandé de lever les fesses, puis elle m'a mis un coup beaucoup plus fort sur chacune de mes fesses, la cuisson commençait à irradier tout mon cul, et augmentait mon envie de faire pipi.

    Elle m'a donné à nouveau des baisers sur le sexe et sur ma bouche, et m'a demandé comment çà allait. J'ai dit que j'attendais la suite.

    Elle a recommencé à donner alternativement des coups sur mes grandes lèvres, mon pubis et mes fesses, puis tout d'un coup la règle s'est abattue sur mes petits lèvres et ma vulve, la douleur a été intense, comme irradiant tout mon ventre, puis les coups ont repris méthodiquement sur toutes les parties de mon intimité. Céline m'a dit que ma chatte était trempée et elle m'a passé sa langue sur mes petites lèvres et sur ma vulve. Elle a surpris Julien qui se tripotait sous la table, elle lui a infligé immédiatement un coup de règle sur la verge, Julien à repris ses succions avec plus de vigueur, l'intérieur de ma poitrine me brûlait comme du feu.

    Céline a dégagé mon petit clitoris de son capuchon, puis m'a redonné des coups de règles systématiques, y compris sur les petites lèvres qui étaient en feu, je l'ai suppliée d'arrêter, mais elle m'a dit qu'il n'était pas encore temps, que le meilleur était à venir.

    Elle tapait alternativement chacune de mes petites lèvres, de plus en plus fort, puis soudain elle a suspendu la règle un long instant, puis soudain, l'a abattue très fort sur mon clitoris qui avait bien grossi. Là la douleur a été intense, j'ai hurlé en me cambrant sur la table, Céline a demandé à mon frère de me tenir par le bout des seins, et m'a dit que j'allais bientôt connaître quelque chose d'unique, elle m'a susurré à l'oreille qu'elle m'aimait et que je devais lui faire confiance.

    Elle a repris ses coups de règle, et m'a dit que quand elle frapperait à nouveau mon clitoris, je devais me laisser aller à faire pipi, puis elle enchaina les coups cinglant toute ma chatte, je sentais dans mon bas ventre une boule de feu, et je découvrais des sensations de contraction à l'intérieur de ma vulve, de mon vagin tout neuf. Les coups continuaient à pleuvoir quand soudain le plat de la règle a frappé directement mon pauvre clitoris, l'éclair m'a éblouit, une houle a secoué tout mon ventre je tendais mon pubis martyr vers le plafond alors que Julien cramponnait mes pointes de seins, j'ai alors relâché toute mon urine dont le jet a jailli, et est retombé sur moi et Julien en une douche chaude.

    Céline m'a alors pris dans ses bras et m'a tendrement embrassé sur la bouche et m'a dit que maintenant nous étions vraiment sœurs, que nous avions subi la même épreuve, et que rien ne pourra jamais nous séparer.

    Julien, lui nous regardait avec étonnement, il ne comprenait pas vraiment ce que nous ressentions, mais il était très excité et avait son sexe dur et dressé, et il se frottait contre nous en nous embrassant.

    Il a regardé mon minou, tout tuméfié et palpitant, on voyait encore les ondes nerveuses parcourir tout mon ventre, la cuisson était très forte, et j'avais du mal à bouger, et mes petits seins dont les pointes avaient été aussi bien malmenées étaient si douloureux que je ne pouvais pas les toucher, j'avais l'impression qu'ils pendaient sur ma poitrine. J'avais la sensation d'avoir des nichons!

    Céline m'a accompagné dans ma chambre, et m'a mis une poche de glace sur ma petite fente, et m'a dit de me reposer. Elle devait aller ranger et nettoyer la cuisine pour que tout soi impeccable quand maman reviendrait de son travail en fin d'après-midi.

    Julien lui est resté blotti contre moi, bien embarrassé de ne savoir quoi faire pour me soulager, mais j'étais si contente, si heureuse d'avoir ressenti une telle dose de sensations que même si mes petits tétons étaient à vif, je lui ai permis de me les lécher très doucement. Il m'a demandé pardon pour les douleurs qu'il m'avait infligé aux seins, mais je lui ai dit qu'elles étaient finalement très agréable, car je n'avais jamais rien ressenti avec mes seins, et que maintenant, je pouvais imaginer ce que les femmes pouvaient ressentir quand elle faisait l'amour, ou qu'elles avaient un enfant.

    Il m'a confié que son sexe lui faisait mal chaque fois qu'il était excité, car la peau du prépuce était très étroite et lui empêchait de décalotter son gland. C'est pourquoi, quand il se caressait, il frottait sa verge entre ses mains, alors qu'il savait très bien que les autres garçons faisaient coulisser la peau. Un médecin avait dit aux parents, qu'il faudrait envisager un opération si cela ne s'arrangeait pas tout seul.

    Je lui ai dit que je pouvais essayer de l'aider, et que désormais chaque jour, nous trouverions un moment pour agrandir son prépuce. Il m'a demandé de ne pas en parler à Céline, car il avait peur qu'elle se moque de lui. Promis cela restera entre nous.

    Le soir quand Maman est rentrée de son travail, elle m'a trouvé bien fatiguée, et devant mes seins très sensibles, elle a dit que je devenais une femme, et que samedi elle irait m'acheter mon premier soutien-gorge et des culottes. Quelle journée, Céline avait bien raison, des sensations pareilles cela vous change la vie, je me sentais devenir plus femme, et quand je voyais mes copines dont certaines jouaient encore à la poupée, je me sentais riche d'une expérience secrète et sensuelle.

    Quand j'étais seule avec mon frère Julien, douze ans, nous consacrions beaucoup de temps à résoudre son problème de prépuce trop étroit, et nous en profitions pour découvrir nos corps, en nous donnant beaucoup de tendresse et de caresses, car si j'étais habituée depuis ma plus tendre enfance à tout partager avec ma sœur Cécile qui était devenue une adolescente de bientôt quinze ans, qui avait de la sexualité une vision un peu violente, même si elle m'a tout appris, j'aspirais à de la tendresse, j'avais maintenant onze ans, et ma puberté évoluait rapidement, mes seins pointus comme ceux de ma sœur, mais avec des pointes toutes roses, des poils sur mon pubis et dans ma raie des fesses. Maintenant au collège, j'avais un peu honte de me mettre nue devant les copines, j'enviais celles qui avaient de gros nichons, surtout celles qui avaient de larges aréoles. 

    Julien se couchait avec moi, et je lui caressais la verge qui grandissait rapidement, il devenait aussi un homme, ses poils noirs poussaient sur son pubis, et ses testicules remplissaient ses bourses. Je glissais mes doigts avec de la salive entre son gland et son prépuce et je tirais jusqu'à que cela devienne trop douloureux, puis recommençais patiemment, rapidement il éjaculait de grands jets de sperme blanc, et j'avais toujours plaisir à goûter ce liquide visqueux, qui était délicieux. J'aimais aussi le goût de mon sexe, ainsi que celui de Céline. Après avoir éjaculé Julien avait son sexe qui dégonflait et qui bougeait tout seul.

    Alors je recommençais cette fois des va et vient de sa peau en rabaissant son prépuce toujours plus loin, son sexe regonflait et son prépuce lubrifié par son sperme et par ma salive, commençait à s'assouplir, et Julien voyait son membre grossir de plus en plus, et je pouvais maintenant le masturber normalement.

    Avant il craignait toujours d'avoir mal, maintenant il jouissait comme un fou!

    Moi, je lui ai permis de mettre son doigt dans mon vagin, il a été le premier à passer par là, et il me léchait toute ma fente et dégustait bien volontiers mon jus d'amour. 

    Avec ma sœur Céline, nous avions toutes les deux débutées notre sexualité avec des caresses anales, et nous avions beaucoup de plaisir avec nos petits anus. Julien a découvert aussi ce chemin du plaisir, et avait toujours envie de me pénétrer avec un doigt, tout en me tétant les seins, moi je le masturbais
    en mettant mon doigt dans son cul. Mais bientôt, nous avons ressenti le besoin d'introduire quelque chose de plus gros afin d'augmenter nos sensations. Nous avons trouvé dans le buffet de la salle à manger un tube métallique qui avait servi à emballer un cigare; ce tube était lisse et nous nous sommes empressé de l'essayer, ce fut une découverte car chacun notre tour, nous nous pénétrions et effectuons des va et vient rapides, cet échauffement était très agréable, et un soir, j'ai montré ce tube à ma sœur Céline, et là nous avons changé la destination de l'objet, Céline s'est pénétré le vagin, et tout en caressant son clitoris avec l'autre main, elle a eu du plaisir, c'est la première fois que son vagin lui donnait un orgasme! Après elle a essayé sur moi, j'étais bien mouillée, et elle est rentré juste un peu, comme Julien avait déjà fait le passage avec son doigt, je n'ai pas eu mal, mais je n'ai pas ressenti de plaisir particulier, seulement l'excitation de faire quelque chose d'interdit.

    Ce tube à cigare, a beaucoup servi à chacun de nous trois, nous l'appelions notre doigt magique.

    Quelques semaines plus tard, Céline est entrée dans notre chambre avec un air mystérieux, et quand nous nous sommes retrouvé au lit, elle m'a fait fermer les yeux, et m'a ordonné de sentir, et elle ma frotté le visage avec un tissus doux et humide, qui dégageait une odeur féminine très forte, puis elle m'a demandé de lécher, j'étais comme enivrée par ce parfum si fort, ce goût si prononcé, j'étais follement excitée. Elle m'a alors avoué que c'était la culotte de notre mère qu'elle avait laissée dans la salle de bain après sa douche du soir. Elle m'a confié que cela faisait déjà un certain temps qu'elle cherchait les culottes maternelles dans le panier à linge sale, et qu'une fois que l'on avait goûté ce parfum, on ne pouvait plus s'en passer. Elle m'a ordonné de conserver la culotte sur mon visage pour m'endormir, et elle m'a longuement embrassé puis nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre. Le matin au réveil, nous sommes aller fouiller dans le panier à linge pour trouver un slip de notre père, mais notre mère avait déjà mis sa machine à tourner, et nous devrons attendre le week-end prochain pour que mon père rentre de son travail en province.

    Le samedi suivant, nous avions décidé, ma sœur Cécile et moi d'essayer de surprendre nos parents, car nous savions que quand mon père était présent à la maison, il cherchait sans arrêt à toucher notre mère, qui lui tapait sur les mains en le traitant de cochon, ce qui nous amusait beaucoup. Les jours où mon père était là, Maman mettait des vêtements sexy, ce qui justifiait les tentatives de notre Papa.

    Le soir nous sommes montées dans notre chambre, située sur une mezzanine qui surplombe la salle de séjour, où nos parents ont un canapé convertible en lit. Nous avons attendu un long moment dans notre lit, puis nous sommes sorties tout doucement de notre chambre pour nous coucher sur la mezzanine, de façon à voir nos parents sans qu'ils ne nous remarquent.

    Nos parents étaient enlacés dans le canapé, et Papa avait ouvert le corsage de Maman, et sorti ses seins au dessus de son soutien-gorge, il avait aussi remonté sa jupe, et il mettait sa main entre les cuisses largement ouvertes de Maman, qui lui disait de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller les gosses.

    Ils s'embrassaient en se caressant, puis Papa s'est levé, il avait le sexe sorti de son pantalon, et sa verge nous a alors semblé énorme! Comment Maman peut-elle faire avec un pareil gourdin!

    Papa a ouvert le lit, et il a dit à Maman de se déshabiller, mais de conserver son soutien gorge, en dessous de ses seins. Elle s'est mise à genoux sur le lit, et il s'est mis nu, et il lui a promené son sexe sur le visage. Maman a voulu le prendre dans sa bouche, mais il lui a répondu qu'elle avait du être très vilaine pendant son absence de la semaine, et qu'elle méritait une punition. Maman qui visiblement n'attendait que cela, l'a supplié de ne pas faire de bruit. 

    Papa alors a pris les pointes des seins de notre mère, et les a tirés lentement, mais de plus en plus fort, Maman faisait de petits couinements, puis Papa a donné des gifles aux seins qui pendaient hors du soutien-gorge, lentement, mais nous entendions les gifles qui claquaient et nous voyions les seins qui ballottaient d'un côté et d'un autre, Maman au lieu de se protéger, tendait encore plus sa poitrine vers Papa. Papa lui a murmuré, tu aimes ça, salope! Maman, lui a répondu dans un souffle continue, je t'aime.

    Puis Papa a mis son sexe qui avait encore grossi dans la bouche de notre Maman qui tenait ses seins dans ses mains, et là, nous avons étés stupéfait de voir ce sexe si gros, entrer dans la bouche, Papa tenait maintenant Maman par la tête, et il lui faisait rentrer à force sa verge jusqu'au fond de sa gorge, Maman soudain a étouffé et a eu une quinte de toux, Papa l'a embrassé puis il a recommencé ses va et vient dans la bouche.

    Avec Céline, nous étions stupéfaites de voir ce spectacle, de voir la soumission de notre mère, et quand au sexe de notre père, rien à voir avec celui de notre frère, il allait avoir du travail pour pouvoir rivaliser avec celui de notre père.

    Soudain, mon Père s'est couché sur le dos, et Maman s'est assise sur son sexe dressé, et là elle a commencé à monter et descendre sur cette colonne de chair, Papa lui, lui caressait les seins, et la tenait par les pointes, soudain Maman a dit oui, oui, je viens, alors Papa lui a empoigné ses seins et les a serrés avec force, Maman a poussé encore de petits cris, puis elle est tombée sur lui en haletant.

    Au bout de quelques instants, Maman s'est mise à genoux, et Papa après avoir mis un préservatif lui a pénétré son anus , en la tenant par les hanches, et il a pris une cadence plus rapide, nous entendions frapper le bassin de notre Père sur les fesses de Maman. Soudain, Papa a poussé un cris rauque, et ils ont roulé sur le lit, enlacés.

    Nous sommes retournés sans bruit dans notre chambre, et Céline et moi étions si troublées de ce spectacle, à la fois si violent et si tendre que nous nous sommes endormies après avoir échangé un long baiser, nous avions hâte de retrouver cet instant volé à nos parents dans nos rêves.

    Pendant la nuit qui a suivi la vision secrète de nos parents faisant l'amour, j'ai rêvé de toutes les choses qu'ils avaient faites, de la soumission apparente de ma mère, de l'énorme sexe de mon père, je me demandais si tous les hommes avait un tel sexe, et je ne voyais pas trop comment un tel sexe pourrait rentrer dans ma petite chatte et encore plus, comment le faire pénétrer dans mon petit anus.

    Dès que nous nous sommes réveillées, avec ma sœur Céline, nous avons pensé faire un câlin avec les parents pour essayer de ressentir ce qu'ils avaient dû ressentir hier soir, mais nous avons étés déçues, car ils étaient partis de bonne heure pour faire des courses. En fouillant dans leurs affaires laissées sur leur lit, nous avons pu sentir leurs vêtements qui avaient conservé l'odeur de leur corps amoureux, mais Céline, a trouvé, sous le lit, deux préservatifs utilisés, avec un nœud pour que le contenu ne se répande pas.

    Voilà un trésor que nous n'osions pas rêver, ma sœur les a immédiatement montés dans notre chambre et elle a essayé de défaire les nœuds, mais cela a été assez difficile, et nous ne voulions pas les abîmer.

    Enfin, elle y a réussi. Elle a mis son doigt dans la sperme de Papa et l'a porté à la bouche, elle tremblait devant ce que, intuitivement, nous ressentions comme une chose sûrement interdite. Elle a plongé à nouveau son doigt et me l'a mis dans la bouche, j'ai trouvé le goût très semblable au sperme de mon frère Julien, mais avec une dimension symbolique beaucoup plus forte, ce sperme dans notre bouche c'était comme si notre père nous donnait la même marque d'amour que celles qu'il donnait à notre mère.

    Céline a pris le reste du sperme du premier préservatif dans sa bouche et m'a embrassée sur la bouche pour un grand baiser avec la langue. Nous avons partagé le jus d'amour de Papa. Avec le sperme du deuxième préservatif, Céline a massé les pointes de nos seins, et nos petites lèvres et pour finir, nous nous sommes caressées, longuement, nos clitoris, avec ce sperme paternel.

    Céline a décidé que mercredi prochain, quand nous passerons la journée ensemble avec mon frère Julien, nous ferons l'amour comme nos parents et que nous ne devions parler de notre nouveau secret à personne, que nous mettrons Julien au courant qu'au dernier moment.

    Mercredi matin, après le départ de ma mère au travail, Céline a pris les choses en mains, elle est monté avec moi réveiller mon frère Julien, nous étions restées en chemise de nuit, lui dormait en pyjama et quand nous avons ouvert le lit, nous avons vu qu'il avait une belle érection, les garçons ont de la chance, ils se réveillent toujours en forme.

    Céline lui a dit qu'aujourd'hui, nous allions avoir une vraie expérience amoureuse, et nous lui avons raconté que nous avions surpris nos parents et que nous voulions ressentir les mêmes sensations. Il était tout excité par notre projet, mais il nous a reproché de ne pas l'avoir convié à regarder avec nous les ébats de nos parents.

    Céline nous a proposé de prendre un bain ensemble, puis nous a savonné dans les moindres recoins, puis elle et moi nous nous sommes parfumées avec le parfum de Maman, Julien, lui a mis de l'eau de toilette de Papa.

    Céline a mis ensuite la culotte et le soutien-gorge que Maman avait mis hier, et qu'elle avait laissés dans la salle de bain. Moi j'ai mis mon plus joli ensemble culotte/soutien-gorge et Julien a mis un slip de Papa et il est resté torse nu.

    Puis nous sommes allés nous asseoir dans le canapé-lit de nos parents, nous nous sommes embrassés tous les trois. Céline a sorti le sexe de Julien et lui a demandé de lui sortir les seins du soutien-gorge, ils se caressaient en s'embrassant. Moi, je les regardais en caressant ma fente à travers ma culotte.

    Céline a ouvert le canapé-lit et a demandé à Julien de lui brutaliser les seins, mais n'ayant pas vu la scène initiale, il faisait n'importe quoi, Céline m'a ordonné de venir le remplacer, et de la punir.

    Je lui ai alors reproché d'avoir été vilaine, et qu'une bonne punition s'imposait. Je lui ai alors tiré les pointes de ses deux seins, qu'elle avait déjà très gonflées de désir, je les ai pincés de plus en plus fort, en lui ordonnant le silence pour ne pas réveiller les gosses, puis comme l'avait fait mon père, je lui ai giflé, alternativement, chaque sein, de plus en plus fort, je lui ai ordonné de mettre ses seins plus en avant et de bien relever la tête. Ses seins ballottaient et claquaient l'un contre l'autre, Julien bandait comme un fou, et m'a remplacé pour donner des gifles aux seins de Céline.

    Alors, je lui ai ordonné de mettre son sexe dans la bouche de Céline, de l'enfoncer complètement, pour ce faire, j'ai maintenu la tête de ma sœur et il a forcé. J’ai dit Céline d'ouvrir encore plus sa bouche et d'avaler la belle bite de Julien, qu'elle n'avait pas à se plaindre, car Papa en avait une encore plus grosse.

    Puis nous avons demandé à Julien de s'allonger sur le lit, et nous lui avons mis un des préservatifs que nous avions récupéré samedi soir, encore humide du sperme de Papa. Alors, Céline s'est mise sur notre frère et s'est empalée sur sa bite bien dressée. Elle est montée et descendue jusqu'à ce que le sexe entier de Julien entre dans son vagin. Moi je lui caressais le clitoris, tout en tenant les couilles de Julien. Autour de nous, il y avait l'odeur du lit de nos parents, Julien n'en pouvait plus, il a rapidement éjaculé dans la capote de Papa. Céline est descendue de Julien et a récupéré le préservatif sur le sexe rapidement dégonflé.

    Elle s'est frottée les seins avec le jus d'amour; moi, j'en ai profité pour lécher la petite bite, c'est amusant de voir comment les garçons peuvent changer de taille ! J'ai aspiré son sexe jusqu'au fond de ma bouche, pendant que Céline faisait lécher sa chatte à Julien en le traitant d'incapable, car il avait joui avant elle. Mais rapidement elle a eu aussi son plaisir.

    Sous mes caresses Julien a repris rapidement de la vigueur, et ce fut à mon tour de le chevaucher, au début j'ai eu mal, et le sexe avait du mal à rentrer, pourtant j'étais inondée de désir, Céline a tenu la verge avec sa main pour qu'elle ne plie pas à ma nouvelle tentative et là, miracle, elle est rentrée d'un coup, ce qui m'a fait crier, la douleur était très forte, mais Céline m'a ordonné de monter et descendre lentement sur le sexe de Julien, en faisant bien attention de ne pas le laisser sortir. Rapidement, c'est devenu plus agréable et Julien, qui était moins pressé de décharger, prenait vraiment du plaisir à voir sa bite entrer dans mon vagin.

    Céline, toujours dominatrice et peut-être un peu jalouse que mon frère avait été un peu trop rapide avec elle, m'a dit que je n'avait pas été punie comme elle, aussi elle m'a torturé les seins avec encore plus de vigueur que celle que j'avais mise avec elle. Mais j'étais si excitée que ses pincements et claques sur les seins ont fait monter en moi une vague de jouissance qui a irradié tout mon corps. Julien a déchargé dans la deuxième capote avec de grands coups de reins, en me tenant par les hanches.

    Je suis tombée sur le lit, essoufflée et assoiffée, heureuse d'être une femme, comblée comme l'était notre Maman. Céline a léché, à son tour, le sexe de Julien et m'a barbouillé les seins avec le sperme contenu dans le préservatif.

    Nous sommes restés nus et Céline a préparé le repas, en nous demandant de la peloter comme fait notre père avec Maman. Elle se laissait faire en nous traitant de cochons et de vicieux, Julien a eu un "apéritif" spécial, il a dû nous lécher, consciencieusement, la fente et l'anus, nous l'avons inondé de notre jus.

    Après le repas, Céline m'a demandé de lui pénétrer l'anus avec notre tube métallique, en lubrifiant avec de l'huile, puis de lui mettre mes deux index à la fois et d'écarter. Son cul qui, au début, était serré, s'est ouvert, elle, elle se caressait le clitoris pendant mes manipulations. Julien bandait à nouveau devant nos manipulations, alors Céline, à genoux, comme l'était notre mère, a demandé à Julien de la prendre par là, doucement, mais à fond !. Julien a hésité, car il avait peur de salir son sexe ! Néanmoins, il a rapidement obtempéré, mais il a eu beaucoup de mal à pénétrer Céline, seul le gland passait. Céline a écarté ses fesses de toutes ses forces, alors Julien est rentré d'un coup, puis a commencé ses va-et-vient, Céline nous a demandé de l'insulter comme mon père le faisait, pendant ses ébats avec Maman. Salope, traînée, vicieuse !! Julien, pour faire bonne mesure, lui a donné de grandes claques sur les hanches et les cuisses ! Il a senti que l'intérieur du cul de Céline commençait à être tout mouillé et que son sexe était délicieusement serré. Moi, je me caressais comme une folle devant le spectacle et quand Julien a éjaculé de longs traits de sperme dans le cul, maintenant tout ouvert de notre sœur, il a projeté Céline en avant et il est retombé dessus, ébloui de plaisir et tout essoufflé.

    Je me suis précipitée et j'ai léché, avec application, le sexe de Julien, puis le cul de Céline, qui s'est mise, accroupie, au dessus de mon visage et elle a poussé, pour évacuer le sperme contenu dans son cul, maintenant bien dilaté, j'y ai glissé ma langue, c'était délicieux.

    Depuis cette date, j'ai compris que si j'avais beaucoup de plaisir à être dominée, que c'était sûrement ma nature profonde, j'avais aussi beaucoup joui de maltraiter les seins et le cul de ma sœur! À l'avenir, je tâcherai de développer ces deux aspects de ma personnalité sexuelle.

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