• Ma première expérience d'Escort Girl Lesbienne

    Étudiante à Paris, brune aux cheveux longs et aux yeux verts, 1m 68 pour 48kg, j'étais considérée comme une très belle fille, voire un "canon".
    J'avais largué mon mec depuis quelques mois pour cause de mésentente et aussi parce que je m'étais rendu compte que je ne l'aimais pas, tout simplement.
    Mais être étudiante à Paris, dans son petit studio de 16m2 à 700€/mois, même avec des parents qui vous aident, c'est pas évident quand on n'a pas de revenus.
    En gros, j'étais dans la dèche constamment, d'autant que j'ai toujours été très dépensière pour tout ce qui est fringues, chaussures et autres produits de beauté.

    Je plaisais aux hommes, c'est sûr, mais je m'étais également rendu compte que je ne laissais pas indifférente les femmes. Et j'avais d'ailleurs eu comme tout un chacun quelques aventures avec des filles de mon âge au lycée et au cours de ma première année d'études supérieures, histoire de tester. Cela ne m'avait pas déplu, bien au contraire, même si c'était resté très soft et qu’à chaque fois c'était ma partenaire qui avait pris les choses en main, depuis la drague jusqu'au passage à l'acte ; donc, j'avais plus subi qu’agi, été plus passive qu’active. Mais être ainsi caressée par une femme qui savait comment caresser et lécher pour provoquer un émoi était, je dois le dire, fort agréable. Cela n'avait jamais été plus loin que des caresses, embrassades langoureuses avec la langue, excitation de mes seins et cunnilingus.

    J'avais une copine à Paris, étudiante en esthétique, assez jolie qui, elle, n'était jamais dans la dèche. Un jour, nous avons discuté de nos situations respectives, ou plus exactement de mes problèmes d'argent. Et là, je faillis tomber de ma chaise lorsqu’elle m'expliqua pourquoi elle n'était jamais à court d'argent. Je savais qu'elle travaillait en plus de ses études, mais elle ne m'avait jamais dit en quoi consistait son travail. J'avais juste remarqué que celui-ci ne lui prenait pas beaucoup de temps et devait être très rémunérateur.
    Mais de là à imaginer qu'elle était Escort-Girl...! 
    Je lui dis que je ne pouvais imaginer de coucher avec des hommes inconnus, que j'aurais l'impression de m'abaisser physiquement et psychologiquement et que j'aurais trop peur de tomber sur des malades ! De plus, je réservais ces faveurs à mon futur Prince charmant qui me ferait des enfants et avec qui je serais forcément très heureuse !
    Mieux valait pour moi aller bosser au Mc Do du coin à 10€ de l’heure…
    – Mais non ! me dit-elle ; je ne couche pas avec des hommes ! Je couche avec des femmes qui me paient pour cela !
    Ah bon ? Ça existe, des femmes qui paient pour coucher avec d'autres femmes ? Voilà quelque chose que j'ignorais ! Il faut dire que je ne suis pas une pro du sexe !
    – Et comment fais-tu pour rencontrer ces femmes ?

    C'est là qu'elle m'expliqua qu'elle travaillait en tant qu'esthéticienne dans un institut de beauté du 8ème arrondissement et que sa patronne avait remarqué que de nombreuses femmes, que ce soit des working girls ou des vieilles peaux, venaient autant pour le plaisir des soins prodigués que pour le plaisir de se faire caresser par son équipe de jolies esthéticiennes ou de les mater. Et que certaines avaient carrément fait des avances à ces jolies demoiselles qui, pour la plupart, avaient... accepté ! Il faut dire que recevoir 200€ de l’heure pour se faire faire un cunnilingus ou se mettre nue devant sa cliente avait de quoi perturber les convictions de ces charmantes esthéticiennes payées un peu plus que le SMIC !
    La patronne avait rapidement repéré le filon et organisé ce petit commerce de charme, tout en respectant l'intérêt et la liberté des filles puisqu'il n'y avait aucune obligation à exercer cette activité parallèle pour ses esthéticiennes et qu'elle ne conservait qu'une commission de 20%, ce qui est bien loin des us et coutumes de la profession qui seraient plus proches de l'inverse !
    Elle avait même monté un site internet présentant ces charmantes demoiselles en tenue légère et le Tout Paris des goudous et hétéros fortunées en mal de nouvelles expériences s'était refilé l'adresse !
    Bref, c'était un commerce florissant !

    Tellement florissant d'ailleurs que la patronne s'était rapidement rendu compte que ses cinq esthéticiennes n'arriveraient jamais à satisfaire la demande, sachant qu'il fallait en plus continuer à faire tourner l'institut ! Il n'y a pas de petit profit ! Et, de plus, c'était une fabuleuse couverture, même si la patronne ne s'était jamais considérée comme une mère-maquerelle mais plus comme rendant service tant à ses filles qui pouvaient ainsi arrondir très largement leurs fins de mois qu'à ses clientes qui n'en étaient que plus fidèles. Certaines cabines étaient d'ailleurs exclusivement réservées à ces parties de jambe en l'air…

    Elle avait donc missionné ses filles esthéticiennes – dont ma copine – pour recruter de nouvelles filles, forcément très jolies et très ouvertes d'esprit, voire exclusivement lesbiennes, ce qui serait le top.

    Donc, notre conversation tombait à pic, ma copine me sachant dans la dèche, sans mec et ayant déjà eu des relations homo ! Et en plus, canon, dixit la majorité des gens de tous sexes que j'ai croisés. 

    Elle me proposa donc de me mettre en relation avec sa patronne sans tarder, bien que je fusse malgré tout fort hésitante à passer à l'acte, moi, de nature plutôt pudique et catholique de surcroît ! 
    – Et si la "cliente" ne me plaît pas ?
    – Tu peux bien sûr refuser, ou n'accepter que certains actes sexuels et pas d'autres, me dit-elle en me vantant toutes les femmes, belles et moins belles, jeunes et moins jeunes qu'elle avait déjà rencontrées dans le cadre de son "activité".

    24 heures plus tard, je recevais un appel de sa patronne m'invitant à la rencontrer sans tarder dans son institut du 8ème arrondissement, ce à quoi je répondis oui sans hésiter, ayant reçu dans l'intervalle mon dernier relevé de banque... dans le rouge !

    Et me voilà devant une charmante femme de 55 ans, bien sous tous rapports, très BCBG et à qui on donnerait le bon dieu sans confession qui m'invite à passer dans son bureau.
    Son regard me déshabille de la tête aux pieds en un clin d'œil ; ses premières paroles sont pour me dire qu'elle me trouve superbe ! Ouf… Premier examen réussi ! Puis elle commence à me poser plein de questions sur ma vie sexuelle. Suis-je en couple ? Non, j'ai largué mon mec ! Déjà eu des relations avec des filles ? Bah oui, sinon je ne serai pas ici ! Donc bi ? A priori ! Est-ce que je me masturbe ? Oui, ça m'arrive de temps en temps ! Est-ce que j'ai déjà été godée ? Oui ! Est-ce que j'ai des godes chez moi ? Non ! Vous n'y pensez pas… Si ma mère voyait ça ! Est-ce qu'on m'a déjà fait un cunnilingus ? Oui ! Est ce que ça m'a plu ? Oui ! Est-ce que j'en ai pratiqué ? Oui, une fois. Est-ce que ça m'a plu de donner du plaisir ? Oui, bien sûr ! Est-ce que j'aime l'anulingus ? Le quoi ? Ah oui, une de mes amies me l'avait fait ainsi que mon ex, et c'est vrai que cela m'avait bien excitée ! Est-ce que j'ai déjà été sodomisée ? Non ! Jamais ! Et doigtée ? Non plus : moi j'y tiens, à mon petit ! Est-ce que j'aime la fessée ? Euh, pas spécialement ! La dernière date de… je ne m'en rappelle plus trop, même si mon ex aimait bien me tapoter les fesses. Mais c'est pas pareil !
    Je crois que je suis en train de foirer mon entretien ! 

    – Déshabille-toi ! Je veux te voir complètement nue !
    « OK, OK ; tout n'est pas perdu ! Malgré ta pudeur, penses à ton banquier ! » me dis-je intérieurement. Et je m'exécute, non sans un peu de honte, bien que ce soit une femme devant moi et que cela me gêne moins ; mais je vois bien qu'elle m'observe, ou plutôt observe mes formes ! Il faut dire que j'ai un joli cul, deux petites pommes bien fermes (je fais de la danse et de la natation) et des seins qui ressemblent à deux petits obus, en forme de poire.

    Me voilà nue devant elle qui se lève et vient me caresser ! Premières sensations de mon "futur métier" d'escort-girl pour femme pas désagréable ! Elle me dit que je suis plutôt passive ! Oui, c'est pas faux, et de plus je suis de nature assez timide ! Elle n’est pas trop sûre que je fasse l'affaire, car un peu trop pudique. Si, si, je vous promets ! Je me lâcherai un peu… Mais que j'ai vraiment un beau corps et un très beau visage et que, par conséquent, on va quand-même tenter le coup car elle a absolument besoin de nouveaux et beaux visages ! Yes !!!! C'est tout bon. Et tout en entendant ces belles paroles, elle continue de me caresser, notamment au niveau de l'entre-fesses tout en mouillant son doigt. D'un seul coup, je sens quelque chose entrer en moi, mais pas là où je l'attendais ! Je frémis ! Mon Dieu… Me voilà doigtée ! Bon, ça va, c'est pas si terrible. Penses à ton banquier !
    Puis elle me dit qu'elle va prendre des photos de moi en petite tenue pour les mettre dans son catalogue et sur son site internet (pourvu que Maman ne tombe pas dessus !) et qu'ensuite, elle m'offre une épilation intégrale réalisée par sa meilleure esthéticienne ! Chouette ! Voilà déjà ça de moins à payer ! Et qu'elle reprendra contact avec moi dès qu'elle aura une cliente potentielle. OK, OK.

    48 heures plus tard, je reçois un SMS m'invitant à me rendre à une adresse dans le 16ème le lendemain à 12h30. Pour une heure, soit 200 €. « Cool ! » me dis-je ! Rapidement, je sens une certaine appréhension monter en moi. Que va-t-il m'arriver ? Ca y est, on ne rigole plus ! C'est une cliente ! J'appelle ma cops qui m'a mise dans cette galère ! « Tu voudrais pas prendre ma place par hasard ? Et on partage, bien sûr ! » me dis je intérieurement.
    – Cool ! me dit ma copine. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, qui tient une grosse agence immobilière, toujours collée à son téléphone et qui attend juste qu'on lui fasse un cunni. Tu devrais t'en sortir haut la main ! Et si tu veux venir t'entraîner sur moi, tu es la bienvenue !
    – Ah ? Je n'y avais pas pensé… Mais bon, j'ai des cours cet aprèm et ensuite il faut que je révise mes partiels : donc pas le temps. Une autre fois ! Et puis, je devrais m'en sortir, comme tu dis !

    Le lendemain est arrivé, après une nuit agitée non pas d'un point de vue sexuel (calme plat), mais difficile de trouver le sommeil !
    Et me voilà partie pour mon premier rendez-vous en tant qu'Escort-Girl Lesbienne...
    J'arrive devant l'adresse indiquée. Ah oui, ma copine ne s'est pas trompée : c'est bien une agence immobilière. Je ne m'attendais pas à avoir rendez-vous là, mais plutôt chez elle ou dans un hôtel ! On va quand même pas faire ça au milieu de l'agence…
    « Bon, prenons notre courage à deux mains et entrons ! » Je me présente à la première personne sur qui je tombe, assise derrière son bureau qui se situe face à la porte d'entrée, avec de chaque côté deux autres bureaux, malheureusement occupés par d’autres secrétaires. Bon, comment lui-dire que j'ai rendez-vous avec sa patronne pour lui faire un cunni ? 
    C'est elle la première qui me dit « Puis-je vous aider ? »
    – Oui, certainement : j'ai rendez-vous avec votre boss. 
    – Oui ; vous êtes Mademoiselle ???
    – Je suis Sophie.
    – Et c'est à quel sujet ?
    Ah, ça se complique…
    – C'est personnel ; elle attend ma visite.
    Je sens trois paires d'yeux braqués sur moi, qui me dévisagent de la tête aux pieds avec des sourires en coin. Je me sens rougir… « Penses à ton banquier ! »
    – OK, je la préviens ! (encore heureux : c'est ta boss, après tout…)
    – Madame, votre rendez-vous de 12h30 est arrivé. Puis, s'adressant à moi : Madame vous demande de patienter cinq minutes. Asseyez-vous ici en attendant.
    Et me voilà assise au beau milieu de l'agence, avec trois filles qui ont les yeux rivés sur moi plutôt que de bosser, avec en permanence des sourires en coin !
    Au bout de sept minutes d'attente, le téléphone sonne à nouveau. La secrétaire raccroche et me dit que "Madame" m'attend dans son bureau au bout du couloir. 
    Non sans une certaine appréhension, je me dirige vers la porte indiquée qui est fermée. Je toque.
    – Entrez !
    Je m'exécute.
    – Fermez la porte !
    Je me re-exécute.
    – Retirez votre manteau !
    Je me re-re-exécute.
    – Approchez !
    Je me re-re-re-exécute !

    Je m'approche d'une femme blonde aux cheveux courts, assez bien conservée, assise dans son fauteuil derrière son bureau en train de m'observer de haut en bas. Une fois à ses côtés, je vois sa main se diriger sous ma robe pour aller directement tâter mes fesses puis les peloter. Bon, nous y voilà ! Elle me tend une enveloppe de l'autre main que je mets... Où puis-je bien la mettre ? Je n'ai pas de poche sur cette robe, et mon sac et mon manteau sont sur le fauteuil en face. Bon, OK : je la lance en espérant qu'elle atterrisse sur le fauteuil. Yes ! Bien joué ! 

    Entretemps, sa deuxième main s'est également glissée sous ma robe mais côté face, et commence à se frotter contre mon sexe. Houlà… Ca commence fort ! Puis elle me relève ma robe et, tout en fixant mon string rouge, me demande de me tourner.
    – Superbe… me dit-elle en me donnant de petites claques sur les fesses. Déshabille-toi ! Ne conserve que tes bas et tes escarpins.
    Je déboutonne le dos de ma robe qui tombe à mes pieds, dégrafe mon soutien-gorge et abaisse mon string. Me voilà totalement nue devant cette femme que je ne connaissais pas il y a cinq minutes. Bon, et maintenant ? C'est quoi le programme ?
    Elle se lève, me fait tourner sur moi, en profite pour me redonner des claques sur les fesses (décidemment, c'est une manie chez elle !) me dit que j'ai un cul splendide et des seins magnifiques (merci Madame !) puis entre sa langue dans ma bouche tout en commençant à me caresser les seins. Bon, le baiser, je ne m'y attendais pas : c'est pas des plus agréables, mais il faut bien donner le change ; donc je laisse sa langue jouer avec la mienne. Rapidement, sa bouche descend sur mes seins qu'elle commence à lécher avant de les mordiller. Elle s'y prend plutôt pas mal à ce niveau-là, me dis-je.
    Après m'avoir mordillé les tétons, elle s'éloigne un peu de moi et commence à me mater en me faisant tourner sur moi-même. Elle semble apprécier et se rince l'œil : c'est déjà ça !
    – À toi de me donner du plaisir ; mets-toi à genoux sous le bureau : tu vas me lécher la chatte !
    Ah, le fantasme de la secrétaire sous le bureau… Je croyais que c'était réservé aux hommes ! 
    Me voici à genoux sous son bureau ; elle rapproche son siège et je sens sa main sur ma tête qui me force à aller toucher son sexe sous sa jupe. Et la culotte ? Ah ! Il n'y en a pas. C'est vrai que c'est plus simple ainsi… 
    Je commence donc avec ma langue à lui lécher ses grandes lèvres avant de passer aux petites et à son clito.
    – Encore ! Encore ! me dit-elle. 
    Oui, oui ; c'est ce que je fais, tout en commençant à mettre un doigt, histoire de l'exciter davantage. En tout cas, moi, quand mes copines me mettaient des doigts, cela m'excitait ! Je sens qu'elle mouille : ça a l'air de marcher !
    De plus, elle n'arrête pas de m'appuyer la tête sur elle ; elle doit vraiment être excitée !
    Au bout de cinq minutes, elle me relâche la tête et me dit que sucer n'est pas ma qualité première. Ah, zut ! Moi qui croyais qu'elle avait eu du plaisir… Bon. Elle va me foutre dehors ?
    – J'espère que tu es une bonne jouisseuse ! me dit-elle. Relève-toi et viens t'allonger en travers de mes genoux !
    Ouf ! Je ne suis pas mise dehors ! Je m'exécute, non sans une certaine gêne à me retrouver ainsi nue en travers de ses cuisses. Je sens ses mains qui commencent à me caresser les fesses puis, rapidement, qui se dirigent vers mon sexe, le caressent, puis un doigt qui commence à s'immiscer dans mon vagin pendant que l'autre essaie d'exciter mon clito.
    Je commence à mouiller sérieusement…
    Sa main remonte vers mes fesses pendant que l'autre me caresse les épaules et le cou.
    D'un seul coup, voilà qu'elle commence à me donner quelques claques sur chacun des lobes de mes fesses que je sens rougir, bien que ce soit très soft. Puis cela s'arrête et, d'un seul coup, je sens un doigt humidifié qui commence à venir titiller ma raie, et plus précisément mon petit trou ! C'est vrai que cela m'excite, même si – a priori – je ne suis pas fan… Mais bon, je ne peux pas le lui dire, sinon elle risque de me mettre dehors ! Et ce doigt, que je sens de plus en plus… Je sens que mon petit, tout excité, est prêt à l'accueillir !
    Le téléphone du bureau sonne. Elle ne va pas répondre, quand-même ? Si ! Elle décroche et commence à discuter de je ne sais quoi tout en continuant de me caresser les fesses et de me titiller le petit. Et moi, toujours installée au travers de ses cuisses à ne pouvoir rien faire d'autre que subir… Et la conversation qui dure, qui dure ! Et d'un seul coup, je sens quelque chose entrer en moi par le petit, mais ce n'est pas un doigt ! Et il s'enfonce, s'enfonce… Je tourne la tête pour tenter d'apercevoir ce qui se passe : je vois le haut d'un stylo qui trône sur mes fesses. J'en conclus que le reste du stylo est en moi ! Mais je ne peux rien dire, d'autant qu'elle est toujours en pleine conversation téléphonique ! Et qu'elle joue avec le stylo en le faisant tourner sur lui-même tout en me caressant les fesses et le sexe, ce qui n'est pas complètement désagréable, bien au contraire…
    Au bout de quinze minutes de conversation téléphonique, elle se décide enfin à raccrocher mais recompose de suite un autre numéro et demande à sa secrétaire de venir lui apporter un dossier urgent. Je n'y crois pas ! Sa secrétaire ne va quand-même pas se pointer dans le bureau alors que je suis fesses à l'air sur les cuisses de sa boss ? Sa secrétaire qui me dévisageait avec ses collègues quand je suis arrivée… Et moi qui suis on ne peut plus pudique ! 
    Toc ! Toc ! Toc !
    – Entrez ! Vous m'avez apporté le dossier ? Venez ! Je dois le signer de toute urgence et vous le faites partir immédiatement par coursier.
    La secrétaire s'approche du bureau pour se retrouver juste à côté du fauteuil de sa boss, avec vue imprenable sur ma malheureuse personne totalement nue... Je sens son regard lorgner sur mes fesses.
    – Elle a un joli cul, n'est-ce pas ? dit sa boss tout en continuant de me caresser.
    – Superbe, en effet ! lui répond sa secrétaire.
    Je n'y crois pas… Voilà que maintenant elles devisent sur les qualités esthétiques de mon postérieur ! Elle ne va quand même pas me proposer un plan à trois ? J'imagine ce que sa secrétaire va raconter à ses collègues ensuite...
    – Voilà, c'est signé : vous le faites partir maintenant par coursier !
    – Bien, Madame ! dit sa secrétaire qui reprend le dossier et quitte le bureau.
    Ouf !
    – Ne t’inquiète pas ! me dit la boss une fois qu'elle est partie. Ce n'est pas la première fois qu'elle voit une fille à poil dans mon bureau, ni la dernière. Et en plus, je suis sûre que ça t'a excitée d'être exhibée ainsi… Petite cochonne ! Quand on a un aussi joli cul que le tien, on le montre.
    Et voilà qu'elle se remet à me donner une fessée.
    Puis elle me demande de me relever et de venir m'allonger sur son bureau.
    Enfin, je change de position ! Comme d'habitude, j'obéis et me retrouve quasi allongée sur le bureau, les pieds ne touchant presque pas le sol.
    Elle, toujours assise dans son fauteuil, se rapproche de moi, écarte mes jambes et les lève afin de les mettre sur ses épaules.
    Elle commence à me faire un cunni qu'elle maîtrise décidément à merveille, car rapidement l'excitation me vient. Elle me fourre un doigt, puis deux dans le vagin et commence un va-et-vient incessant qui me comble. Je réagis très vite et très bien.
    – Tu aimes !
    Oui, c'est vrai : je suis vraiment excitée !
    D'un seul coup, elle arrête, se redresse, retire mes jambes de ses épaules et me retourne comme une crêpe.
    Me voilà buste contre bureau, les pieds au sol, fesses offertes.
    Décidément, elle a une passion pour mes fesses !
    Et la voilà qui démarre un anulingus qui m'excite lui aussi, ce qui fait qu'elle n'a aucun mal à m’enfiler un, puis deux doigts dans mon petit ! Avec, de temps en temps, une petite tape sur les fesses.
    – Détends-toi !
    C'est ce que je fais… Après quelques coups de langue supplémentaires et de jolies caresses, elle se redresse et s'éloigne du bureau.
    – Tu peux te rhabiller ! J'aime bien ton côté soumise. La prochaine fois, ce sera chez moi et je t'attacherai.
    Ah ! Donc, il y aura une prochaine fois, ce qui signifie que je ne l'ai pas complètement déçue ! Et elle veut m'attacher… Ça, on verra ! Je ne me sens prête. Mais bon, pourquoi pas essayer, après tout ? Il faudra quand même que j'en parle à ma copine avant pour savoir si elle l'a déjà fait.
    Je me relève, ramasse rapidement mes sous-vêtements afin de me rhabiller ; je remets ma robe et avant que j'aie remis mon manteau, elle se rapproche de moi et me roule une pelle alors que je ne m'y attendais pas, tout en passant ses mains sous ma robe et tapotant mes fesses.
    – Merci, Madame.
    Je remets mon manteau et sors du bureau. Bon, maintenant, va falloir affronter les trois mégères de l'accueil pour pouvoir sortir... 

     

    Revenue dans mon petit studio après cette première expérience d’Escort-Girl pour femme, j’étais restée assez longuement sous la douche, réfléchissant à ce que je venais de faire ! Une femme m’avait baisé contre de l’argent et j’avais joui car elle avait réussi à me donner du plaisir ! Donc a priori, j’étais plutôt chanceuse mais j’avais malgré tout un peu honte de ce que je venais de faire. Je n’avais pas trop apprécié la fessée, surtout la position qu’elle m’avait demandé de prendre pour la recevoir, en travers de ses genoux !
    Et puis, ces 3 jeunes mégères dont une m’avait vu dans une position peu enviable, cela m’énervait profondément, moi d’habitude si pudique ! Bon, c’est vrai que la petite enveloppe que « Madame » m’avait donné me permettait d’encaisser (c’est le cas de le dire !) certains de ces désagréments. J’avais gagné 200 € (moins évidemment la commission de 20% pour ma Patronne) pour une petite heure de « travail » et cela allait bien m’aider et redonner le sourire à mon banquier…
    Évidemment, à peine rentrée chez moi, j’avais reçu un appel téléphonique de ma copine qui voulait savoir comment mon premier RdV s’était passé. Sans trop rentrer dans les détails car un peu honteuse, je lui dis que c’était un peu plus qu’un simple cunnilingus, que cette cliente avait à priori fait une fixette sur mon cul et qu’elle m’avait parlé de me revoir pour, ce coup-ci, m’attacher, ce qui ne me rassurait pas trop !
    Ma copine me dit que même si cette cliente ne l’avait jamais attachée, elle avait pratiqué cela avec une autre cliente et qu’être attachée tout en se faisant baiser avait décuplé son plaisir ! Et que je devais plutôt me réjouir ! Ah ? Vraiment ? Bon, il faut que j’y réfléchisse !
    Allongée sur mon lit, je sommeillais lorsque mon I-Phone se mit à sonner. C’était ma Patronne qui venait elle aussi aux nouvelles en cette fin de journée. Comment avais-je vécu ma première expérience ? Ben, honnêtement, je ne m’attendais pas à cela ! Est-ce que cela m’avait plu ? Oui et non ! (je sais, c’est une réponse de normande mais j’ai pas mieux !). Puis elle me précisa que la cliente l’avait appelé à l’issu du RdV et qu’elle lui avait dit qu’elle m’avait trouvé très à son goût (oui, j’avais remarqué), vraiment très jolie (n’en jetez plus, des compliments !) et plutôt soumise (peut-être mais j’ai pas vraiment eu le choix !), ce qui confirmait ce qu’elle avait pensé lors de notre première rencontre (Bon, OK, vous avez gagné, je suis plutôt passive mais pas soumise pour autant ; du moins, je ne pense pas). Elle me précisa également que cette cliente m’avait « rebooké » pour une séance de 3 heures dans 3 semaines ! Ah ! Nous y voilà ! La séance attachée, c’est pour dans 3 semaines ! Bon, nous verrons bien d’ici-là ! me dis-je intérieurement.
    La bonne nouvelle étant que 3 heures de travail, cela signifiait également 450 € dans la poche (moins évidemment la commission, mais cela fait des sous quand-même !). Oui, malheureusement, 3 heures, cela ne fait pas 600 € car même en Escorting, il y a un tarif dégressif ! 200 € / 1 heure ; 350 € / 2 heures ; 450 € / 3 heures ; 800 € pour une nuit et 1500 € pour 24 heures.
    En poursuivant la conversation, ma Patronne m’informa que mon profil plaisait énormément à ses clientes et qu’elle était submergée de demandes me concernant. Bien évidemment, il s’agissait pour moi d’une activité connexe à mon statut d’étudiante et il n’était pas question que je m’y consacre à plein temps. Nous convînmes d’un rythme de 3 RdV hebdomadaires (soit un minimum de 600 € / semaine pour moi, soit 2400 € / mois. Yes !). Elle m’informa alors que compte-tenu de cette demande, elle avait décidé de « me réserver » pour ses meilleures clientes ! Ah oui ? Moi qui ne suis pas une adepte des cartes de fidélité en tout genre, voilà que je devenais la récompense ultime de ces clientes « Gold »…Et que d’ailleurs, une de ses très bonnes clientes, une jeune working girl de très belle allure, m’avait « booké » 2 heures le lendemain soir et que j’avais RdV à 22 heures au bar du Plaza-Athenee, avenue Montaigne. Yes ! Encore 350 € dans mon escarcelle ! me dis-je intérieurement. Tout en me demandant malgré tout sur qui j’allais tomber cette fois-ci et ce qu’elle me ferait subir mais tout en me réjouissant d’avoir affaire à une jeune femme…
    Après avoir raccroché avec ma patronne, je décidais d’appeler ma copine afin d’en savoir plus sur cette séduisante working-girl. Je tombe malheureusement sur sa messagerie, en déduis qu’elle doit être « au travail » et lui demande de me rappeler sitôt son RdV fini, en espérant qu’elle ne soit pas partie pour un RdV de 3 heures ou d’une nuit entière.
    En attendant son rappel, je décidais d’aller consulter le site internet afin de voir comment j’y étais présentée et si les photos me concernant rendaient bien et n’étaient pas trop salaces. Après avoir confirmé sur la page d’accueil que, oui, j’avais bien plus de 18 ans, je tombais sur une page représentant une dizaine de visages de filles, toutes plutôt mignonnes, voire très jolies. Il y avait là les 5 esthéticiennes de l’institut, ma copine, 2 autres visages que je ne connaissais pas et puis enfin ma photo ! J’étais assez fière de cette photo, très réussie de mon visage, avec mon plus beau sourire !
    En passant le curseur sur mon visage, je pouvais cliquer pour aller à une autre page présentant « mon profil », ce que je fis immédiatement. Sur cette page étaient inscrits mon prénom, ma taille, mon poids, mes mensurations (90C), la couleur de mes cheveux et de mes yeux ainsi qu’une mention précisant mon caractère « réservée, passive et plutôt soumise ». Puis les services que je proposais : DFK (tiens, c’est quoi ça, DFK ; je ne me souviens pas avoir mentionné cela lors de ma conversation ou plutôt interrogatoire avec ma patronne ; une petite recherche sur Google me précisa qu’il s’agissait là du Deep French Kiss, soit embrasser avec la langue ; ah oui, j’avais dit OK), cunnilingus, annulingus, goder, être godée (recto, verso)(Verso ? Euh, là, il va falloir que j’en rediscute avec ma patronne), doigtée (ma patronne a dû considérer qu’ayant accepté son doigt, je les accepterai tous, ce qui finalement n’était pas complètement faux, maintenant que j’ai même eu droit à un stylo !), fessées (Ah, d’accord ! Il fallait que je m’attende à en recevoir encore quelques unes bien qu’il me semblait lui avoir dit lors du premier RdV que je n’en avais pas reçu depuis longtemps mais elle a dû prendre cela comme un manque de ma part ! Elle a vite fait de prendre des raccourcis, ma Patronne, ou plutôt ses désirs pour des réalités), soumission soft ( Là encore, elle a dû me cataloguer lorsqu’elle m’a dit que j’étais de nature soumise mais je ne pensais pas qu’elle en aurait conclu que j’étais OK pour des jeux de soumission, même si ils sont softs. Il fallait que je m’attende encore à avoir des clientes plutôt directives et des RdV du même acabit que celui de ce midi). Ensuite il y avait plusieurs photos de moi en petite tenue, debout, allongée sur un canapé, jambes écartées, à 4 pattes, enfin dans des positions sans équivoque quant à l’activité que je proposais.
    Pas à dire, j’étais devenue une pute ! Certes, une pute un peu particulière car exclusivement dédiée au plaisir féminin ; certes, une pute de luxe car à 200 € de l’heure ; mais une pute quand-même ! Cela ne me grandissait pas beaucoup pensais-je…
    Mon I-Phone se mit à sonner ; c’était ma copine qui devait sortir de son RdV. Je lui racontais donc que la patronne m’avait appelé et que j’avais RdV le lendemain au bar du Plaza Athenee avec une jeune working girl et que je voulais savoir si elle la connaissait. Oui, bien sûr qu’elle la connaissait ! Elle me dit même que j’avais de la chance qu’elle m’ait booké car c’était une superbe jeune femme d’une trentaine d’année, divorcée, ayant à priori un très bon job, toujours en déplacements, qui aimait bien le sexe et très directive. C’était assurément sa cliente préférée ! Voilà qui me rassurait et me permettrait de passer une bonne nuit… 

     

    Après une bonne nuit de sommeil et une journée studieuse, je me dirigeais donc vers le Plaza Athenée à l’heure convenue. C’était bien la première fois que je pénétrais dans un hôtel si prestigieux. J’étais dans mes petits souliers, impression sans doute également renforcée par l’appréhension de cette deuxième rencontre. Car je n’étais pas encore une professionnelle de ce type de rendez-vous et même si ma copine m’avait rassuré, je me demandais sincèrement sur quel personnage j’allais tomber.

    En entrant dans l’hôtel, j’arrive dans un majestueux hall et, un peu perdue, je demande à la conciergerie où se trouve le bar de l’hôtel car j’y ai un rendez-vous. Je sais, cela fait un peu provincial mais, après tout, nous sommes tous des provinciaux à Paris, non ? Après m’avoir dévisagé de haut en bas (je me suis pourtant bien fringuée, j’ai une jolie robe noire avec une veste noire par-dessus et mes escarpins noirs, je suis maquillée mais pas trop donc je n’ai pas l’impression d’afficher le métier que je fais à temps partiel sur mon visage – Qu’est-ce qu’il a à me dévisager ainsi, lui ?), le concierge me répond que le bar est juste en face de moi ! Bon, OK, j’ai perdu une occasion de me taire ou de passer pour la gourde de service !

    Je me dirige donc face à moi vers le bar et entre dans un lieu magnifique, mélange de classicisme avec ses boiseries et de modernité, notamment avec ce comptoir de bar ultra-moderne que l’on dirait fait de glace, une musique très actuelle, le tout conférant à cet endroit une ambiance très lounge new-yorkaise (Euh, je ne suis jamais allé à NY mais au travers des films que j’ai pu voir, je considère que les bars doivent être ainsi là-bas). Il y a là quelques couples, des businessmans et aussi quelques femmes seules. Le bar n’est pas plein mais pas vide non plus. Comment je vais reconnaître ma « cliente » dans tout ça ? La patronne m’a dit qu’elle m’attendrait, assise au comptoir du bar et vêtue d’un tailleur rouge. 
    Justement, il y a au fond du bar une femme assise sur un tabouret du bar devant une coupe de champagne, vêtue de rouge, qui me regarde depuis que je suis entrée en me faisant un grand sourire (Je vous rassure, il y a aussi pas mal d’hommes qui me regardent, quand je vous dis que je plais aux hommes !).
    C’est forcément elle ! Me dis-je. Ouah ! Mais c’est qu’elle est canon, avec ses grands cheveux châtains foncés et ses yeux bleus ! Et oui, elle doit avoir la trentaine ! C’est elle ! Yes ! Elle est beaucoup mieux que ma première cliente ! Et beaucoup plus jeune !
    Je me dirige donc vers elle tout en lui rendant son sourire. Elle me dit :

    - Sophie ?
    - Oui, c’est moi !
    - Je suis enchantée de te rencontrer. Moi, c’est Anne !
    - Bonjour ! Dis-je timidement tout en la dévisageant complétement. Non seulement elle a un beau visage mais elle est également plutôt bien foutue ! Cool ! Non seulement je vais me faire 350 € mais en plus je me ferai baiser par un canon ! Elle est pas belle la vie ?
    - Mais tu es absolument magnifique, Sophie ! me dit-elle tout en me faisant tourner sur moi-même. Tu es vraiment une très belle fille ! (Merci M’dame)
    - Vous êtes très jolie, vous aussi ! Tente-je de répondre d’une toute petite voix en me disant intérieurement qu’en plus, elle est très classe.
    - Assieds-toi sur le tabouret à côté de moi. Veux-tu également une coupe ?

    Euh, l’alcool n’est pas trop mon fort mais bon, je vais faire une exception. En plus, du champagne dans un endroit aussi sympa, ce serait bête de refuser, non ? Donc je lui réponds oui. En m’asseyant, je me rends compte que de nombreux yeux sont braqués sur nous, à majorité masculins mais également féminins.
    Après avoir commandé la coupe au serveur, elle me remet une enveloppe (mon cachet en quelque sorte) que je mets aussitôt dans la poche de ma veste (Et oui, ce coup-ci, j’y ai pensé et je suis venu avec des vêtements avec des poches !). Puis, tout en buvant nos coupes respectives, nous discutons de tout et de rien et surtout je l’écoute qui me raconte un peu sa vie. Elle a 32 ans, travaille dans un cabinet de conseil en stratégie, vit à Londres et voyage aux 4 coins du monde pour son boulot (Tu en as de la chance ! me dis-je intérieurement, j’aimerais avoir un job qui m’amène à voyager partout dans le monde !). Elle a été mariée trois ans à l’âge de 26 ans puis a divorcé (comme quoi, il ne faut pas se marier trop tôt !), a eu quelques aventures éphémères (femmes et hommes) avant de se mettre « en ménage » avec une femme puis de casser au bout de 2 ans car elle trouvait sa partenaire trop envahissante. Et maintenant, elle a décidé de considérer le sexe comme un bien de consommation comme un autre, c'est-à-dire qu’elle en achète quand elle en a envie ! me dit-elle.

    - Et toi Sophie ? Cela fait longtemps que tu fais ce métier ? Car je ne t’avais jamais vu auparavant !

    Je lui explique que je fais « ce métier » depuis moins de 72 heures et qu’elle va être ma deuxième cliente… ce qui la fait beaucoup rire et la ravie également me dit-elle. Nous passons vraiment un très bon moment toutes les deux, ainsi installées dans ce bar, j’apprécie beaucoup sa conversation et je la trouve définitivement très belle. Entre-temps, elle m’a déjà recommandé une deuxième coupe et elle doit en être à sa troisième ! Le bar s’est un peu vidé. Tout en continuant à discuter, elle a posé sa main sur ma cuisse et commence à me caresser tout en remontant sa main ! Bon, il faut peut-être que je lui explique qu’on n’est pas toutes seules, que certains se sont arrêtés de discuter et nous regardent obstinément (le spectacle est certainement très beau à voir), que moi, peut-être contrairement à elle, personne ne sait que je suis lesb, et qu’en plus, mais ça c’est fort peu probable, il y a peut-être des gens qui me connaissent dans ce bar. Je n’ai pas vraiment eu le temps de checker en arrivant, surtout avec cette lumière tamisée! Bref, que je ne me suis jamais affichée ainsi ! Mais ça a l’air d’être le cadet de ses soucis. Tout en continuant à me caresser ainsi, je la vois qui approche son visage du mien et qui commence à m’embrasser sur la bouche ! Bon, là, m’sieurs, dames, plus de doute, nous sommes bien deux lesbiennes en train de nous chauffer ! (Heureusement qu’ils ne savent pas qu’en plus, elle m’a payé pour ça, sinon on me foutrait dehors illico, je suis sûre). J’ose même pas lever les yeux car ce coup-ci, c’est certain, tous les yeux sont braqués sur nous ! Même le serveur ne s’est plus où se mettre (mais il nous observe quand-même du coin de l’œil le petit vicieux !) Il faut dire que c’est très sensuel, en plus, Anne embrasse divinement bien et j’aime son jeu de langue avec la mienne. Elle me plait vraiment cette cliente ! 

    Après ce long baiser langoureux qui m’a définitivement plu, Anne me murmure à l’oreille qu’elle a très très envie de moi et qu’elle m’invite à la suivre dans sa chambre. Ben oui, le boulot, ce n’est pas que boire des coupes de champagne dans un endroit ultra branché ! Et cela fait bientôt une heure que nous sommes installées au bar à discuter. Nous redescendons de nos tabourets respectifs et de là, elle me prend la main pour m’emmener dans sa chambre. Bon, traverser un bar comme celui-là main dans la main avec une fille qui vient de vous embrasser, je vous avoue, j’aimerais bien d’un seul coup être toute petite et que personne ne me voit car personne ne doit avoir de doutes quant à ce qu’on s’apprête à aller faire... Elle, à priori, cela ne la dérange absolument pas ! J’aime son côté « J’assume ce que je fais ». Heureusement, il y a quand-même beaucoup moins de monde mais malgré tout, je vois un groupe d’hommes d’affaires qui ont arrêté de discuter depuis un bon moment et qui nous regardent en souriant. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs. D’autres nous regardent également. Il faut dire qu’ils ont là deux très jolies filles. Je décèle dans leurs regards une pointe d’envie et/ou de jalousie ! Pour moi ? Pour elle ? Pour nous deux ? Anne, cela la fait beaucoup rire !

    Ouf ! Nous voilà sorties du bar. Nous sommes maintenant dans le Hall de l’hôtel et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Anne appelle l’ascenseur qui n’est pas là. En l’attendant, elle continue à m’embrasser avec sa langue chaude que j’aime définitivement bien, j’y prends aussi du plaisir. En même temps, elle me caresse mes cuisses et remonte vers mes fesses, ce qui a pour conséquence de remonter ma robe. Bon, je t’aime bien Anne mais je te signale que là, étant donné que je porte un string, j’ai les fesses à l’air, au vu de tout le monde et notamment du concierge de l’hôtel. Heureusement que je suis de dos et que je ne peux pas voir si il nous observe ! Je me demande si elle ne le fait pas exprès ! 

    Enfin, l’ascenseur ! 

    Nous nous engouffrons toutes les deux dans ce satané ascenseur tout en continuant à nous embrasser goulûment ! Anne appuie sur l’étage 5, les portes se referment. Et elle continue à me dévorer, remonte ses mains pour me ôter ma veste qui tombe par terre. Elle me dézippe ma robe ! Euh, dis-moi Anne, ta chambre, c’est quand-même pas la cage d’ascenseur ? Car là, je vais finir à poil et des gens pourraient nous surprendre, non ? Evidemment, ça n’a pas loupé, ma robe tombe à mes chevilles, aidée, je dois l’avouer, des mains de Anne. Mains qui se plaquent immédiatement sur mon sexe (heureusement, j’ai encore mon string). Houlà, ça va être chaud ! L’ascenseur s’arrête ! 
    J’ai à peine le temps de ramasser mes affaires qu’Anne me tire par la main vers le couloir. Je suis quasi nue, en string et soutien-gorge, bas mi-cuisses et escarpins. J’espère qu’il n’y a pas de caméras dans les couloirs de l’hôtel, sinon il y en a qui vont se rincer l’œil ! Et pourvu que l’on ne croise personne, à cette heure, les gens normaux dorment, non ? Et bien non ! Il faut que nous tombions sur un homme qui sort de sa chambre (Bonjour M’sieur !) qui évidemment est un peu étonné, on le serait à moins ! Forcément, deux superbes filles qui se tiennent par la main et se dépêchent de rejoindre leur chambre, l’une à moitié à poil, ça a de quoi perturber le commun des mortels ! Il nous fait un grand sourire. Non, désolé, cela ne marche pas, vous ne viendrez pas avec nous !
    Arrivées devant sa chambre, Anne introduit sa carte dans la serrure tout en continuant à m’embrasser et en dégrafant en même temps mon soutien-gorge. La porte s’ouvre, Anne me porte dans ses bras (Eh, musclée !) tout en fermant la porte avec son pied et me jette sur le lit de la chambre.

    Ouah ! La chambre ! Je suis impressionnée par cette chambre qui doit faire près de trois fois mon studio en surface, par son luxe et sa décoration très vieille France mais très belle, et aussi ses deux fauteuils faisant face à un canapé, séparés par une table de salon. En fait c’est une chambre plus un salon ! Ayant atterrie sur le lit sur le dos, je vois en levant la tête un splendide lustre de cristal au plafond. 

    Mais bon, je n’ai pas trop le temps de détailler la pièce car après m’avoir jetée sur le lit, Anne m’a déjà retiré mes escarpins et vient littéralement de m’arracher mon string. Je suis étendue nue sur ce lit qui est vachement grand en plus ! Mais je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’Anne a déjà remis sa langue dans ma bouche et tout en jouant avec ma langue commence à caresser mes seins et mon buste. Elle me souffle à l’oreille qu’elle adore mon corps et qu’elle n’a jamais baisé une fille aussi belle (Moi non plus, je n’ai jamais fait l’amour avec une aussi belle fille, car entre les deux ou trois copines qui m’ont initiée aux plaisirs saphiques, ma première « cliente » et elle, il n’y a pas photo !). Mon amour-propre est au beau fixe. Je crois que je ne vais pas m’ennuyer ! Je sens d’ailleurs une certaine excitation monter dans mon ventre que je pense Anne ressent également. Elle descend d’un étage et commence à me lécher les seins et me mordiller les tétons tout en mettant sa main sur mon sexe et en me murmurant qu’elle a énormément de plaisir avec mes seins. D’elle ou de moi, je me demande laquelle est la plus professionnelle. Je mouille déjà ! Sa façon de caresser mes seins, de me les lécher, de les mordiller, j’adore ! Et en même temps, après avoir caressé mon sexe dans son ensemble, elle est en train d’exciter mon clito ! Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là ! Je sens mon sexe qui se remplit de cyprine. D’ailleurs, Anne descend encore d’un étage et se met à lécher le trop plein puis mes lèvres et mon clito. Humm, que c’est bon ! Je me laisse complètement aller entre ces doigts et cette langue experts et je prends vraiment mon pied. Elle n’a évidemment aucun mal à introduire 2 doigts dans ma grotte et commence un va-et-vient qui m’amène rapidement à ressentir l’un de mes premiers orgasmes. Je crie de plaisir, sans d’ailleurs craindre pour la tranquillité des voisins, vu l’épaisseur de la moquette et des murs de cette bâtisse ! Puis je sens sa main glisser sous mes fesses et commencer à m’exciter le rectum avec l’un de ses doigts. Rapidement, je sens qu’il s’introduit par la petite porte sans aucun mal, à croire que je l’attendais ! Et deux doigts de son autre main réintègrent ma grotte et recommencent leur va-et-vient alors que sa langue excite au plus haut point mon clito ! Je suis au 7eme ciel et je hurle de plaisir ! Avec aucun mec, je n’avais jamais ressenti cela ! Et j’ai même le droit à mon deuxième orgasme, coup sur coup ! Moi, qui n’en avais quasiment jamais connu avant ! 

    Anne se rallonge à mes côtés tout en continuant à me caresser partout et je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur la bouche. Jamais je n’aurais pensé avoir une telle sensation avec une fille. Moi aussi, je commence à la caresser, notamment ses seins que je trouve vraiment très beaux même si ils sont plus petits que les miens. Elle m’invite à continuer, je m’allonge sur elle puis descends ma bouche sur son cou, ses oreilles, ses épaules et rapidement ses seins. J’adore son grain de peau et son parfum ! C’est un véritable plaisir que je n’aurais jamais soupçonné si je ne l’avais pas essayé. Je sens qu’elle aussi commence à ressentir du plaisir, ce qui me réjouis (N’oublions pas qu’à la base, je suis là pour lui distribuer du plaisir et pour le moment, c’est plus elle qui m’en a donné, même si visiblement, elle y a pris son pied !). Ma langue continue à descendre sur son nombril alors que je sens ses mains qui continuent à me caresser les fesses alors que je redresse mon bassin pour pouvoir continuer à descendre ma bouche le long de son corps, l’une de mes mains caresse déjà ses parties les plus intimes que je sens très humides. Anne est haletante et je décide de lui asséner le coup de grâce. Tout en lui massant le clito, je passe ma langue dans toutes les parties humides ! Mais dis-donc, c’est que j’aime ce goût de son intimité (ma dernière expérience en la matière était le cunni que j’avais fait lors de mon premier rendez-vous à une femme d’une cinquantaine d’années et ce n’était vraiment pas pareil !) Je décide de lui introduire un doigt dans son vagin afin de l’exciter davantage par des petits va et vient. Elle jouit et cela me fait très plaisir. Je relâche l’étreinte afin qu’elle et moi puissions reprendre nos esprits et vient m’allonger à ses côtés. J’aime définitivement son odeur.
    Après quelques instants, Anne me dit :

    – Ces émotions m’ont donné faim ! Pas toi ? Que dirais-tu d’une petite assiette de sashimis ?

    Moi, j’adore la cuisine japonaise donc j’acquiesce de joie. Elle prend le téléphone à côté du lit et commande au room service une assiette de sashimis, des fraises et une bouteille de champagne. Voilà qui promet un petit dîner assez sympa, non ?
    Après avoir raccroché, elle se retourne vers moi et se met à me caresser alors que je suis de côté, tournée vers elle. Elle me caresse tout le corps, les fesses, les cuisses puis revient aux fesses. Elle me dit qu’elle aime mon cul et me demande de me mettre en levrette, tête posée sur les draps du lit. Donc fesses bien exposées ! Je m’exécute. Le lit étant tellement grand, elle se met à genoux derrière moi et commence à me lécher les fesses avant carrément de les mordiller à la limite de les mordre (En effet, tu sembles avoir très faim Anne, mais je te rappelle que ton repas va arriver d’une minute à l’autre. Inutile de croquer l’une de mes fesses !). Puis tout en me massant les fesses avec ses deux mains, elle approche sa langue de mon petit trou et commence à le lécher en faisant tourner sa langue autour, au centre, tout en tirant de chaque côté de mes fesses avec ses mains. Elle essaie de rentrer sa langue à l’intérieur. Je ressens la chaleur de sa bouche et cela m’excite une nouvelle fois. Elle me tapote chaque lobe puis introduit un doigt et commence un va et vient tout en me donnant par moment des coups de langue et en continuant à me mordiller les fesses (C’est sûr, maintenant, je dois avoir les traces de ses dents sur certaines parties de mes fesses !). Rapidement, je la sens essayer d’introduire un deuxième doigt, ce qu’elle n’a finalement aucun mal à faire de par l’excitation de mon petit et probablement son état avancé de dilatation…Elle me demande si j’aime (Je lui réponds que, oui, cela m’excite beaucoup) tout en continuant son petit jeu de va-et-vient.

    On frappe à la porte et j’entends une voix masculine dire « Room service ». Anne retire ses doigts de mon petit trou, lui donne un baiser puis me dit de ne pas bouger et de rester dans cette position. Elle se lève du lit, va dans la salle de bain, ressort vêtue d’un peignoir de l’hôtel et se dirige vers la porte de la chambre pour récupérer notre dîner. Je l’entends ouvrir la porte, dire bonjour puis un chariot de vaisselle rouler sur la moquette de la chambre. Tiens, je n’ai pas entendu la porte de la chambre se refermer. Je tourne ma tête, qui est toujours posée sur les draps, en direction de l’entrée de la chambre et vois un maître d’hôtel en train de pousser le petit chariot pour l’amener vers la table du salon derrière le lit ! (Ah non Anne, je pensais que tu allais juste récupérer le plateau mais pas laisser rentrer le maître d’hôtel dans la chambre tout de même ! J’en ai marre, moi, de montrer mes fesses au premier venu ! Il y a déjà eu la mégère de l’agence immobilière puis le concierge de l’hôtel et maintenant le room service !). Evidemment, il a une vue imprenable sur le cul d’une fille en position de levrette avec des traces de morsures sur ses fesses ! Aucun doute possible quant à l’activité à laquelle nous nous consacrions avant qu’il ne frappe à cette porte ! La situation a de quoi le faire sourire j’imagine (Et moi, je ne sais plus quoi faire – Je n’ai toujours pas bougé comme me l’a demandé Anne) mais non, lui reste imperturbable, stoïque et cette situation cocasse n’a pas l’air de l’émouvoir plus que cela ! A croire qu’il en a vu d’autres…En tout cas, il ne laisse rien apparaître. Je croise le regard d’Anne qui est derrière lui et je vois dans ses yeux et au travers de son sourire que, elle, cette situation l’amuse beaucoup ! Elle lui demande d’ouvrir la bouteille de champagne et de la remettre dans le seau à glace puis se dirige vers son sac à main, en sort son portefeuille et y prend un billet (Plus vite Anne, s’il te plait !) qu’elle va ensuite lui donner avant de le raccompagner à la porte de la chambre.

    Je la vois revenir dans la chambre, toute fière d’elle, et éclater de rire. Elle me dit qu’en sortant de la salle de bains et en voyant un aussi beau corps dans cette position, elle n’a pu résister à l’envie de m’exhiber ainsi et que cela l’a beaucoup excité ! J’en souris ! Puis elle laisse tomber son peignoir sur le sol, elle est vraiment très jolie toute nue, et se dirige vers le chariot pour servir une coupe de champagne qu’elle porte à ses lèvres tout en continuant à me mater dans cette position. Je pensais que nous allions passer un moment de convivialité autour de cette bouteille de champagne mais, bon, a priori, elle entend la garder pour elle ! pense-je. Elle s’assied sur le bord du lit, trempe ses doigts dans le verre puis me les porte à la bouche pour que je lui suce, ce que je fais car en plus, je commence à avoir soif. Elle répète l’opération plusieurs fois avant de boire à nouveau une gorgée puis se lève et vient s’agenouiller derrière moi. Je sens qu’elle verse au goutte à goutte du champagne dans le haut de ma raie (Voilà mes fesses baptisées au champagne !) qui, bien évidemment, coule le long de ma raie pour descendre vers mon anus et mon vagin. Cette sensation de froid est très agréable. Je sens ensuite le contact de sa langue chaude qui remonte de mon vagin vers mon petit trou tout en léchant le liquide qu’elle a laissé couler et qu’elle continue de reverser dès qu’il n’y en a plus sur moi. Ce petit jeu a l’air de beaucoup l’amuser et, en ce qui me concerne, cette sensation de liquide froid / chaleur de sa langue est très agréable, d’autant que ses coups de langue sur mon sexe et mon anus m’excitent à nouveau. Au bout de 5 minutes de ce petit jeu, elle se lève et va chercher l’assiette de sashimis ainsi que les baguettes pour les manger tout en se resservant une coupe (Bah oui, à force de la verser sur moi, la coupe est vide !) et vient se rassoir à côté de moi. Elle commence par porter une tranche de poisson cru à sa bouche à l’aide des baguettes puis m’en tend également une. J’adore le poisson cru, cette sensation de fondant dans la bouche est des plus agréables, même si ce n’est pas évident d’avaler quand vous avez la tête à l’envers. Elle me redonne du champagne avec ses doigts puis retourne s’agenouiller derrière moi, l’assiette de sashimis et le verre de champagne dans chaque main. Ensuite elle s’amuse à un petit jeu qui consiste à poser des tranches de saumon, thon et dorade crus sur mes fesses et de venir les manger avec sa bouche. Sa langue vient me réchauffer le petit trou, elle l’excite à nouveau et commence à y introduire à nouveau un doigt puis un deuxième. Elle essaie d’écarter les deux doigts et je sens qu’elle y fait rentrer à l’aide des deux baguettes un morceau de poisson. Puis elle retire les baguettes et ses doigts et je sens sa langue s’approcher pour lécher mon petit trou et venir grignoter le morceau de poisson qui, je le sens, doit être moitié à l’intérieur, moitié à l’extérieur. Elle me dit qu’il a encore meilleur goût ! Et recommence l’opération deux fois encore.

    Après cet amuse-bouche, c’est le cas de le dire, elle me fait allonger sur le dos et me dit qu’elle a envie de me dévorer toute crue puis vient me sucer la chatte avant de verser une petite quantité de champagne qu’elle s’empresse de lécher. Je mouille à nouveau. Elle dépose au centre de mon con une tranche de thon qu’elle vient ensuite lécher puis ramasser avec sa langue et ses dents. Comme cela à l’air de l’exciter tout autant que moi, elle continue de la même façon avec d’autres morceaux de poisson qu’elle place indifféremment sur l’un de mes seins, mon nombril ou ma chatte. Je suis devenue un véritable garde-manger ! Elle m’en met également un à la bouche que je n’ai pas le temps d’avaler car elle l’a déjà récupéré.

    Elle me dit qu’il est peut-être temps de passer au dessert et se lève pour aller chercher l’assiette de fraise. Elle vient s’asseoir à califourchon sur mon buste, prend une fraise entre ses dents et l’approche ainsi de ma bouche. Je commence à sucer cette fraise et ses lèvres avec mes lèvres puis réussis à récupérer une moitié de la fraise. Elle avale l’autre moitié et me dit que cela est trop bon. Nous renouvelons l’opération deux fois de suite avant qu’elle ne décide de me verser le jus des fraises sur mes seins pour ensuite venir le récupérer avec sa langue. Tout en descendant légèrement le long de mon corps, toujours à califourchon, je la vois tremper une fraise dans son verre avant de venir me l’écraser sur le ventre avec ses doigts. Je deviens toute collante ! Sa langue vient happer le fruit avant que sa langue ne me nettoie. Anne a l’air très heureuse et très excitée de ce qu’elle fait, elle rit et me sourit beaucoup. Et la voir ainsi me comble également de bonheur.

    A priori, elle a encore d’autres idées car je la vois se lever et récupérer sur le plateau le pot de crème chantilly ! Elle revient et se met à genoux entre mes cuisses. Elle prend avec son doigt de la crème qu’elle vient ensuite étaler dans ma chatte et renouvelle l’opération jusqu’à ce qu’il y ait une quantité suffisante selon elle. Puis elle prend des petits morceaux de fraise qu’elle vient ensevelir dans son « pot » de crème, à plusieurs endroits différents de ma chatte. Elle y verse même le reste du jus de fraise. Comme tout cela m’a bien excité, je suis évidemment encore mouillée et je n’ose imaginer le mélange que tout cela va donner ! Elle me dit qu’il est temps maintenant de mixer le tout, se lève et va récupérer de son sac de voyage un gode de petite taille qu’elle lèche avant de me l’introduire dans ma grotte. Puis, ce que je n’avais pas vu car je ne suis pas une spécialiste de ce genre d’objets, elle le met en route car il s’agit d’un gode à pile et il se met à vibrer dans mon vagin. Et comme elle lui fait faire des va-et-vient en moi, le plaisir me monte très rapidement pour arriver à la jouissance ultime ! Satisfaite, elle arrête le gode et me le retire avant de venir ramasser avec sa langue la « préparation » à base de crème fraiche, fraise, jus de fraise et cyprine. Elle me dit que cela a un goût trop délicieux, en prend d’ailleurs sur son doigt qu’elle me porte à la bouche. Je lui suce le doigt et goûte ainsi à ce curieux dessert à base de mon intimité ! Humm ! Pas mauvais ! Nous rions toutes les deux. Comme elle en a encore plein les lèvres et le menton, je lui dis de venir pour que je puisse lui retirer avec ma langue.

    Puis elle me dit : « Toi aussi, tu as peut-être encore faim. Après tout, tu n’as pas beaucoup mangé ! » - Ah oui, c’est vrai que je n’ai pas pu avaler grand-chose, vu la position dans laquelle j’étais ! Elle me tend sa coupe, vide, et s’allonge sur le dos près de moi. Je me lève pour aller remplir le verre puis vient à nouveau m’allonger sur elle et je commence à lui verser un peu de champagne sur ses lèvres et sa bouche que je m’empresse de récupérer en lui faisant tourner ma langue dans sa bouche. Je laisse également couler un peu de champagne sur ses seins que je m’empresse de lécher puis sur le nombril et enfin son sexe ! Comme elle est toute mouillée, le goût de sa cyprine mêlé au champagne donne un cocktail des plus étonnants mais aussi des plus exquis ! Je me délecte de ce cocktail puis, comme j’ai une petite faim, je pose un morceau de poisson cru sur son sexe et introduis ensuite deux doigts dans sa grotte pour l’exciter davantage. Cela ne manque pas et elle mouille davantage. Je relâche la pression en retirant mes doigts puis viens récupérer mon morceau de poisson, maintenant qu’il est cuit dans son jus ! Voilà une recette bien étonnante, je vous l’avoue, mais quel délice que ce poisson à base de nectar de fille ! J’ai de vrais talents de cuisinière ! Comme elle l’a fait pour moi, je réitère l’opération plusieurs fois car je sens qu’elle y prend, elle aussi, beaucoup de plaisir. Et lui donner du plaisir me ravit !

    Ainsi repue (j’ai toujours eu un petit appétit !), je viens m’allonger à ses côtés et elle en profite pour me caresser à nouveau le long de mon corps. Nous restons quelque temps ainsi, sans parler. Puis elle me dit qu’il est bientôt 1 heure du matin. Quoi, 1 heure du mat ? Je n’ai pas vu le temps passer et cela fait donc pratiquement 3 heures que je suis avec elle ! Voilà que je fais des heures sup ! Et je ne peux pas lui demander une rallonge ! Même si j’ai entendu dire « Travailler plus pour gagner plus ! ». Et puis, honnêtement, j’ai passé un tel bon moment, dans un endroit si luxueux (c’est sûr qu’elle ne doit pas avoir le même rapport avec son banquier que moi avec le mien…), à boire du champagne et manger, et j’aime tellement Anne ! Houlà ! Il faut que je fasse attention moi ! Il ne faudrait pas que je tombe amoureuse de mes clientes tout de même ! Oui, mais j’aime vraiment son corps à cette fille ! J’aime son goût ! J’aime la manière dont elle m’a baisé !

    Elle me propose d’aller prendre une douche avant de partir, ce qui n’est pas de refus car je me sens toute collante et j’ai aussi pas mal transpiré ! Nous nous levons, nues toutes les deux, et elle m’accompagne à la salle de bain. Ah ? Je te vois venir, tu vas vouloir prendre une douche avec moi ! OK ! Nous rentrons dans la salle de bain. Ouah ! Je suis impressionnée. Je n’ai jamais vu de salle de bain si grande et toute de marbre. Là encore, c’est magnifique ! Elle commence à faire couler l’eau de la douche pour la porter à bonne température alors que j’observe le luxe inouï de cette salle de bain (Oui, ça va, je sais, ça fait encore provinciale !) puis m’invite à aller sous la douche. Je m’exécute puis c’est elle qui me rejoint et commence à me caresser les cheveux, le visage et descend progressivement ses mains tout le long de mon corps tout en me frottant en s’attardant sur mes seins puis ma chatte et mes fesses. Ensuite, nous nous embrassons assez longuement sous la douche tout en caressant les fesses de l’autre, cela me fait vraiment du bien. Enfin, elle ferme le robinet de la douche, sort de la douche et prend une grande serviette avec laquelle elle m’essuie les cheveux avant de me la porter autour du corps tout en me frottant pour me sécher comme si j’étais sa petite fille. Je me dirige vers la chambre afin de récupérer mes vêtements qui jonchent le sol, elle en profite pour me donner une petite claque sur les fesses ! « J’aime ton petit cul » me dit-elle ! Merci ! Alors que je suis en train de me rhabiller, elle me dit qu’elle part demain en déplacement pour une semaine et qu’elle compte bien me revoir dès son retour à Paris (Génial, je suis déjà rebookée ! Et en plus avec une cliente qui m’a donné énormément de plaisir. Je l’aime vraiment, cette belle Anne ! Zut, je crois que je suis vraiment en train de tomber amoureuse d’elle ! Et je ne pense pas que ce soit compatible avec le métier que j’exerce !). Je lui fais d’ailleurs part de ma joie de la revoir. Elle me demande si j’ai d’autres rendez-vous prévus d’ici-là. Je lui dis que pour le moment non mais que j’ai convenu avec ma patronne de trois rendez-vous par semaine et que de ce fait, je devrais en avoir deux d’ici son retour. Elle me sourit et me répond que cela l’excite mais avec une pointe de jalousie, qu’elle m’imaginera avec ces femmes inconnues pendant son absence et qu’elle veut que je lui raconte lorsque nous nous reverrons la semaine prochaine. Alors que j’ai fini de me rhabiller et que je me dirige vers la porte de la chambre, Anne m’enlace tendrement et me dit qu’elle a passé un très bon moment et qu’elle est très contente de m’avoir rencontré. Et qu’elle ne désirerait qu’une seule chose, c’est pouvoir m’emmener avec elle en voyage. Mais dis-moi Anne, ne serais-tu pas toi aussi en train de tomber amoureuse ? En tout cas, pour le voyage, c’est quand tu veux ! Tu n’as qu’à me siffler et j’accoure dans la minute ! Je n’en aurai vraiment pas pour longtemps à faire ma valise !

    Après un encore long baiser, je la quitte et me dirige vers l’ascenseur (ce coup-ci, je suis habillée et ne crains plus qu’on me voit, quoique une fille sortant d’une chambre à cette heure-là ne fait aucun doute quant à son activité…). Arrivée dans le hall de l’hôtel, je remarque que le concierge est encore là. Lui aussi me regarde et me sourit (C’est vrai qu’il connait mes fesses, lui aussi ! Il les a vu tout à l’heure ici-même…). Je rougis en y repensant et lui réponds par un sourire de politesse. Une fois dans la rue, je décide de héler un taxi pour rentrer chez moi. Je suis fatiguée et il est tard ! Mais quel plaisir j’ai eu ! 

     

    Après une bonne nuit réparatrice au cours de laquelle les images d’Anne et de la soirée n’avaient cessé de défiler dans ma tête, je me réveillais dans mon petit sudio de 16 m2. Il n’y a pas à dire, la chambre d’Anne était nettement plus à mon goût ! Ça change ! Grandeur et décadence !

    Ce matin, cours à la fac donc pas le temps de trop penser à ma soirée de la veille ! Même si mon esprit continuait à gamberger sur cette merveilleuse soirée que j’avais passé. Je n’aurais jamais cru que ce « métier » m’aurait autant plu !

    Vers midi, alors que je suis encore à la fac, je reçois un SMS de ma Boss qui me demande de l’appeler dès que je le peux.
    A la fin du cours, plutôt que d’aller déjeuner avec mes copines, je m’isole pour l’appeler.

    Elle me demande comment s’est passé ma soirée. Je lui réponds divinement bien ! Elle me dit qu’a priori, j’ai également plu à Anne puisque elle m’a rebooké pour 24 heures dans une semaine !
    Quoi ? 24 heures avec Anne ! Yes !!!!! J’en suis toute excitée, non seulement je vais revoir Anne mais en plus cela va durer encore plus longtemps et au passage, je vais toucher 1 500 € (moins la commission de l’agence bien sûr, mais quand-même) ! Quand je vous dis qu’a priori, elle n’a pas de problème avec son banquier, elle !

    Ma Boss me dit également que j’ai RdV demain en fin d’après-midi à l’institut avec une de ses très bonnes clientes, pour 1 heure. Est-ce OK pour moi ? Ma foi, maintenant que je suis lancée, autant y aller à fond ! Donc oui ! En plus, cela se passera à l’institut, dans une cabine réservée à cet effet. Ma Boss me dit que cette cliente est plus âgée qu’Anne (oui, c’est sûr, je ne vais pas pouvoir me taper à chaque fois des jeunes canons, sinon ce serait trop beau et je pense qu’il y aurait beaucoup de monde pour faire ce métier) et qu’elle attendra de ma part un massage. Un massage ? Mais moi, je ne sais pas masser ! Je ne suis pas esthéticienne ! Ma Boss me dit de ne pas m’inquiéter car ce n’est pas un massage de pro qu’elle attend. Et que de toute manière, masser n’est pas bien compliqué !
    OK, si vous le dites, après tout, c’est vous la Boss !

    Après avoir raccroché, je rappelle ma cops esthéticienne / Escort-Girl qui m’avait envoyé un SMS hier soir assez tard pour savoir comment cela s’était passé avec Anne. Mais vu l’heure à laquelle j’étais rentrée, je n’avais pas voulu la rappeler, prise à la fois de fatigue et aussi crainte de la réveiller.
    Je lui raconte ma merveilleuse soirée et aussi le fait qu’Anne m’a rebooké pour 24 heures ! Elle me dit que j’ai vraiment de la chance et je décèle dans sa voix une petite pointe de jalousie. ..Oui, mais c’est pas ma faute si en plus, je lui plais à Anne ! 

    Le lendemain après-midi, je me rends donc à l’institut pour honorer mon troisième RdV d’Escort-Girl pour dames. J’ai beaucoup moins d’appréhension, non seulement parce que le « métier » commence à rentrer mais également parce que ce RdV se passe à l’institut.
    Arrivée sur place, ma Boss m’accueille dans son bureau et me demande de me mettre nue et d’enfiler juste une blouse blanche, ce que je fais devant elle sans aucun problème. Elle a été la première femme à me voir nue (hormis ma mère bien sûr et les deux amies qui m’avaient initié au plaisir saphique).
    Ensuite, elle me conduit dans une cabine de l’institut et demande à une autre de ses esthéticiennes de venir me montrer comment faire un massage. Elle se met une huile spéciale sur les mains et commence à masser les épaules et le dos de la Boss qui s’est allongée sur la table prévue à cet effet. OK, ça n’a pas l’air bien compliqué en effet, je devrais m’en sortir. A mon tour d’essayer. Ma Boss me dit que cela devrait le faire et que je devrais suivre les instructions de la cliente qui ne devrait pas tarder à arriver. Oui, Chef !

    Effectivement, un quart d’heure plus tard, ma Boss revient me voir dans l’espace où je m’étais mise en attendant et me demande de rejoindre la cabine n° 3.

    J’ouvre la porte de la cabine qui est en tous points identiques à celle dans laquelle je m’étais essayée aux massages et découvre, nue et allongée sur le ventre sur la table « de travail » une dame qui semble avoir effectivement un certain âge ! La peau est assez plissée et elle a des tâches typiques des « peaux de vieilles » pense-je ! Oui, je sais, ce n’est pas une pensée très sympathique car moi aussi, j’aurai une peau comme cela dans quelques années…
    Je m’approche d’elle en me demandant quel âge peut-elle bien avoir. Plus de 60 ans, cela est certain mais combien en plus ? Elle a tourné la tête vers moi et me dévisage tout en me souriant. Elle a les cheveux courts, blonds cendrés. Je lui donne 65 ans, c’est décidé.

    Elle me demande de venir en face d’elle, ce que je fais bien évidemment. Je me retrouve donc face à elle qui est toujours allongée sur sa table. Elle tend ses bras vers moi et avec ses mains sur mes fesses me rapproche tout contre la table et donc sa tête puis me caresse les fesses, toujours au travers de ma blouse.

    Elle me demande de commencer par lui masser les épaules en restant là où je suis. Je m’exécute et vais chercher de l’huile de massage que je mets sur les paumes de mes mains avant de revenir à la place qu’elle m’a demandé de prendre et de commencer à lui faire un massage des épaules. Elle de son côté ne s’est pas embêtée et a déboutonné ma blouse, si bien qu’elle a mon sexe juste sous ses yeux. Effectivement, ce type de cliente semble être là pour mater de la jeunesse ! Cela ne me dérange absolument pas, bien au contraire, j’en serais presque excitée ! Elle passe une de ses mains à l’intérieur de ma blouse qui vient ensuite caresser mes fesses mais ce coup-ci avec un contact direct !

    Elle me dit que je suis très jolie. Je la remercie et nous discutons un peu d’elle et de moi. Sans lui dévoiler ma vie car je souhaite « compartimenter » mon activité du reste, je lui dis que je suis étudiante et que je fais cela pour arrondir mes fins de mois. Ses mains sont de plus en plus baladeuses sur mes fesses, mon entre-jambes et mon sexe. C’est une sensation bizarre que cette main âgée qui se ballade ainsi sur une partie de mon corps.

    Je continue mon massage des épaules comme si de rien n’était, même si le fait de me savoir ainsi regardée et d’être caressée par cette vieille femme me fait quand-même un peu mouiller. Elle me demande de descendre un peu plus sur son dos, ce que je fais, les désirs des clientes passant avant tout. Si bien que je suis presque obligée de me coucher sur elle pour continuer à masser son dos. Elle continue à me caresser les fesses. Puis elle me demande de venir sur le côté et de lui masser les fesses. Je remets de l’huile sur mes mains et m’exécute. La sensation n’est pas des plus agréables car la peau est tout de même un peu flasque ; c’est sûr, cela me change du grain de peau divin d’Anne ! Après les fesses, elle me demande de passer aux cuisses ! Et oui, il s’agit vraiment d’un massage total du corps que je suis en train de réaliser ! 

    Puis elle se retourne et me voilà face à son sexe entièrement épilé, son ventre et sa poitrine qui, bien qu’elle soit étendue, est tout de même bien tombante ! Elle me dit qu’il faut maintenant lui masser les seins mais qu’elle souhaite avant que je fasse tomber ma blouse.

    Je m’exécute et me retrouve donc totalement nue face à elle puis entreprends le massage des seins. Pendant ce temps et tout en continuant à me mater mais complétement nue cette fois, elle approche sa main de mon sexe et commence à le caresser très tendrement. J’ai un peu de mal à me concentrer sur le massage alors que je sens monter dans mon ventre une certaine excitation. Je n’aurais jamais pensé pouvoir être excitée par une vieille ! Je descends mes mains sur le haut de son ventre. Elle remonte sa main le long de mes cuisses, mes fesses, mon dos avant d’appuyer mes épaules en me disant qu’elle souhaiterait être soulagée. J’en conclue qu’elle veut que je lui pratique un cunnilingus et me penche donc en direction de son sexe pour commencer à lui lécher la chatte. Et bien figurez-vous qu’elle n’est pas si sèche que cela ! Je ne peux pas dire que j’y prends mon pieds, rien à voir avec ma fabuleuse soirée avec Anne, mais je lui lèche les lèvres, le clito que j’essaie d’exciter par un jeu de langue. Elle semble apprécier car je la sens de plus en plus tendue. En tout cas, elle me dit que non seulement je suis très mignonne mais qu’en plus je m’y prends très bien et lui donne beaucoup de plaisir ! Merci M’dame ! Contrat remplis alors !

    Après quelques instants, elle se redresse, descend de la table et me demande de prendre sa place.
    Je m’allonge donc sur la table, sur le dos. Elle commence à me caresser les seins puis y passer sa langue en la faisant tourner autour de mes têtons. Ouah ! Dis-moi Mamie, tu t’y prends drôlement bien ! Puis elle descend sa main vers mon sexe et me demande d’écarter les jambes, ce que je fais. Elle caresse ma fente qui, ce coup-ci, devient bien mouillée puis rapproche son visage de mon sexe avant de venir lécher le liquide. C’est sûr, ce n’est pas avec elle que j’atteindrai l’orgasme mais bon, elle se débrouille pas mal quand-même ! 

    Comme cela fait bientôt une heure que nous sommes ensemble, je lui dis que la séance se termine. Elle semble déçue mais me dit qu’elle a passé un très agréable moment et y a pris beaucoup de plaisir.

    Moi aussi, au final, j’ai passé un agréable moment sans d’ailleurs être fessée, ni même doigtée et sans que personne d’autre n’ait vu mon cul, contrairement aux précédentes rencontres.

    Je remets ma blouse et sors de la cabine pour rejoindre le bureau de ma Boss afin de me changer.
    Celle-ci me demande si cela s’est bien passé. Je lui réponds que oui et commence à me rhabiller. 
    Elle m’annonce qu’une autre cliente m’a réservé pour une séance d’une heure dans 2 jours et que je devrais me rendre au Novotel, rue de Vaugirard, dans le 15e. Il s’agit d’une cliente plus jeune que celle que je viens d’avoir (Encore heureux car même si j’ai donné du plaisir à cette personne, je ne vais quand-même pas me taper toutes les vieilles de Paris !) et qu’elle me confirmera par sms le n° de chambre à laquelle je devrais me rendre. Oui, Chef !

    Enfin, je quitte l’institut pour retourner chez moi afin d’aller réviser mes cours. 

    Me voilà donc sur le chemin de mon 4e RdV d’Escort-Girl pour dames !

    J’arrive à l’hôtel que m’avait indiqué ma Boss, rue de Vaugirard. J’entre et comme indiqué dans le sms qu’elle m’a envoyé, je me dirige vers l’ascenseur à ma droite et appuie sur le bouton du 3e étage.
    L’hôtel, même si il est de bonne facture, n’a rien à voir avec le Plaza Athénée !

    Arrivée à l’étage demandé, je sors et longe le couloir jusqu’à arriver au numéro de chambre indiqué dans le sms. Je frappe à la porte et quelques instants après, une femme d’une quarantaine d’années m’ouvre et me laisse entrer. Elle est brune, cheveux mi-longs, yeux marrons et elle me paraît assez froide et sévère. Elle ne me met pas vraiment à l’aise ! Mais bon, le boulot, c’est le boulot ! 

    Après avoir refermé la porte, elle me déshabille de la tête au pied avec son regard, semble satisfaite de l’ensemble et, enfin, me sourit ! De mon côté, je découvre cette chambre qui me semble bien petite comparée à celle d’Anne, avec juste un lit et en face un bureau le long du mur et deux fauteuils.

    - Bonjour ! J’espère que je vais passer un bon moment avec toi ! me dit-elle
    - Bonjour ! Je suis là pour ça. Lui réponds-je

    Elle me donne une enveloppe que je mets directement dans mon sac, m’attrape par le bassin, m’attire vers elle et commence à m’embrasser tout en me pelotant les fesses au travers de ma jupe. 
    Oui, aujourd’hui, j’ai mis une jupe qui m’arrive au-dessus du genou, un tee-shirt, des escarpins et bien sûr, un string et un soutien-gorge en dentelles.

    A peine ai-je eu le temps de la laisser jouer de sa langue avec la mienne qu’elle me retire mon tee-shirt. Bon, a priori, c’est une cliente pressée ! Cela se confirme avec la jupe que je sens qu’elle me déboutonne et dé zippe de telle manière que celle-ci glisse le long de mes cuisses. Me voilà en petite tenue moins de 5 minutes après mon arrivée. Elle veut vraiment rentabiliser son investissement pense-je intérieurement. En tout cas, on est loin de la sensualité de la rencontre que j’avais eu avec Anne ! Elle continue à m’embrasser tout en glissant une main à l’intérieur de mon string. De son autre main, elle m’a déjà dégrafé le soutien-gorge que je lui laisse me retirer. Après, comme je pouvais m’y attendre, elle arrête de m’embrasser, s’agenouille et m’abaisse d’un coup sec le string.

    - J’adore voir une fille à poil ! me dit-elle. (Oui, j’avais remarqué !). T’es bien foutue ! (Merci pour le compliment). Tourne-toi que je vois ton petit cul ! (Je m’exécute) Pas mal ! me dit-elle tout en prenant mes 2 fesses à pleine main, ce qui me fait frémir. En plus, elle sert fort et cela me fait mal ! Honnêtement, je me sens de moins en moins à l’aise car je la trouve très froide dans sa façon de me parler, dans le contact de ses mains sur mon corps. Et hop, une claque puis une deuxième puis une troisième sur mes fesses. Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes à systématiquement vouloir me claquer les fesses ! Et je la sens qui continue à me mater tout le corps et je reste ainsi nue au milieu de la chambre 3 bonnes minutes.

    Elle s’assied sur le bord du lit et me demande de m’approcher, ce que je fais bien évidemment, et là, elle me bascule en travers de ses cuisses. Je me retrouve dans la même position que lors de mon premier RdV avec la femme de l’agence immobilière. J’imagine qu’elle va me caresser les fesses et le petit trou avant de me doigter. Effectivement, elle commence à me caresser l’entre-jambes et les lobes de mes fesses puis fait passer un doigt le long de ma raie. Et d’un seul coup, elle commence à m’administrer des claques sur chacune de mes fesses par alternance. Au début, ce sont des petites claques mais plus ça va, plus elles sont fortes !

    - J’adore fesser une jolie fille, surtout quand elle est cul nu ! me lance-t-elle. Je suis sûre que tu aimes te faire fesser ainsi, P’tite salope ! 
    Moi, P’tite salope ? C’est bien la première fois qu’on me traite ainsi et cela ne me plait pas beaucoup. Mais bon, c’est elle la cliente, me dis-je, et si cela lui fait plaisir de me traiter de salope… J’ai de plus en plus mal et je sens que mes fesses rougissent ; en tout cas, elles me chauffent. En plus, je me sens un peu humiliée dans cette position de petite fille à qui on donne la fessée, en étant ainsi à sa merci vu ma position. Je sers les dents pour ne pas crier même si je pousse quelques gémissements de douleur à chaque fois que sa main tombe sur l’une ou l’autre de mes fesses. De temps en temps, elle alterne avec une caresse sur les fesses ou son doigt qui passe le long de ma raie en appuyant sur mon anus avant de finir par une caresse de l’entre-jambes. Enfin, elle semble se lasser car les fessées commencent à s’espacer. 

    Elle se relève et me demande de me mettre à genoux face à elle, fait glisser sa jupe et retire sa culotte.

    - Tu vas me faire un petit cunni pour commencer ! me dit-elle tout en attrapant mes cheveux et me guidant vers son sexe. Elle tire sur mes cheveux, cela me fait mal et je n’aime pas ! Et puis, elle n’avait pas besoin de me guider ainsi, je l’aurais trouvé toute seule son clito, d’autant qu’étant à genoux, je suis pile à la hauteur de son sexe !
    Je commence donc mon jeu de langue sur ses lèvres, son bouton alors qu’elle continue à me tenir par les cheveux. Je joue avec ma langue et sens qu’elle commence à mouiller sévère ! C’est vrai que je deviens une experte du cunni ! Je passe également ma langue à l’entrée de sa grotte et recommence mon petit va-et-vient de langue entre ses lèvres, son clito qui ce coup-ci bande bien et sa grotte. Cela a l’air de la combler au moins !

    - Va t’allonger sur le lit ! m’ordonne t-elle. OK M’dame ! Je m’exécute et m’allonge sur le lit.
    Pendant ce temps, je la vois qui retire son haut et son soutien-gorge puis se dirige vers sa valise qui est posée sur un meuble à côté du bureau et en sort une ceinture avec une espèce de pic au milieu. J’écarquille les yeux en me demandant de quoi il s’agit (En fait, c’est un gode-ceinture, je le découvrirai ensuite, mais jusque-là, je n’en avais jamais vu. Je ne savais même pas que ça existait ! ).

    Elle se passe donc la ceinture autour du bassin et je comprends enfin que ce pic n’est en fait qu’un gode et qu’elle va donc vouloir me baiser ainsi. Par contre, c’est un sacré gode qui a le même aspect qu’un pénis ! Il doit faire 20 centimètres de long et 4 centimètres de diamètre !

    - Ecarte les jambes et ramène tes pieds sur tes fesses ! me lance-t-elle encore. Puis elle vient s’agenouiller près de mon sexe, passe un doigt sur sa langue qu’elle dirige ensuite sur mon sexe. Elle commence à m’humidifier ainsi avant de carrément plonger sa langue sur mon abricot et de fouiller ainsi pour l’exciter. Oui, je commence à mouiller et à être excitée. Je pousse quelques halètements.

    Elle doit considérer que je suis assez excitée car elle passe ses mains sous mes cuisses et dirige son sexe et donc le gode vers mon vagin. J’ai une certaine appréhension vu la taille de l’engin mais je ne dis rien. Elle commence à le rentrer, je pousse un petit cri, s’arrête quelques instants puis l’enfonce un peu plus dans mon vagin. Après une nouvelle petite pause, elle finit par l’enfoncer complétement et commence à m’asséner des coups de reins, comme si j’étais pénétrée par un sexe d’homme. Finalement, cela n’est pas si terrible et j’y prends un certain plaisir même si le contact n’est pas le même que celui d’un sexe ou même du gode d’Anne et que la taille fait que j’ai un peu mal ! En fait, j’ai l’impression de faire l’amour avec un mec, mais un mec plutôt bien bâti quand-même. (En tout cas, les copains que j’ai eu jusqu’à présent n’avaient pas de sexe aussi gros).

    - Tu aimes ça, petite salope ! me dit-elle encore
    Je n’aime définitivement pas cette relation où je suis traitée comme de la merde par une femme froide et très dominatrice. Et j’aimerais que tout cela s’arrête rapidement. Le fait de penser à la prochaine rencontre avec Anne me permet malgré tout de tenir et de faire bonne figure.
    Après m’avoir prise ainsi et bien « ramonée », elle me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit. OK, toi, tu vas vouloir me prendre maintenant en levrette pense-je. 
    Je me mets donc dans la position qu’elle m’a demandé et je sens qu’elle approche ses mains de mes fesses. J’espère qu’elle ne va pas recommencer à me fesser car là, je lui dirai stop ! 

    - Ouah ! Tes fesses ont bien rougies ! me dit-elle. (Tu m’étonnes, vu la fessée que tu m’as administré, c’est bien normal !) Tu verras par la suite, elles n’en seront que plus fermes à force de recevoir des fessées ! (Ah bon ? Ca raffermit les fesses la fessée ?)
    Elle commence à les caresser puis s’attarde avec son doigt sur mon petit trou. OK, je te vois venir, tu vas vouloir me doigter avant de me prendre en levrette me dis-je.

    Effectivement, cela ne loupe pas. Je sens un de ses doigts qu’elle a dû humidifier qui vient me titiller mon petit trou et essaie de rentrer. Bon, je dois avouer que moi qui n’avait jamais été doigtée avant de commencer ce métier, je me suis mise dans l’idée que c’était « normal » vu que 2 de mes 3 premières clientes l’avaient pratiqué sur moi et donc je me laisse faire. Je sens son doigt rentrer dans mon petit et commencer un mouvement de va-et-vient. Puis je sens qu’elle essaie d’introduire un deuxième doigt. Elle me claque une de mes fesses et me demande de détendre mon cul (je voudrais bien l’y voir !) puis je l’entends qui crache de la salive sur mon petit trou afin de l’humidifier plus encore et faire rentrer son deuxième doigt. Et elle recommence l’opération avec un troisième doigt tout en essayant d’écarter ses doigts à l’intérieur de mon petit afin de le dilater. Moi, je n’ose pas bouger, toujours à 4 pattes sur le lit et émets des petits gémissements de plaisir feint. Elle retire enfin ses doigts de mon petit et caresse tout autour.

    - Ton cul doit être très étroit ! Mais là, il est bien ouvert ! me dit-elle.
    D’un seul coup, elle m’attrape les cheveux et tire dessus si bien que je suis obligée de redresser la tête en arrière. Je me dis que ça y est, elle va me prendre en levrette et m’y prépare. Et là, je sens que le gode qu’elle a toujours à la ceinture vient toucher mon petit. J’essaie de me retourner pour voir ce qu’elle fait mais comme elle me tire sur les cheveux, ce n’est pas évident. Et je comprends qu’elle va vouloir faire entrer son gode dans mon petit ! Je panique !

    - Non ! S’il vous plait, je ne veux pas ! Je ne l’ai encore jamais fait ! lui dis-je.

    - Quoi ? Tu es vierge du cul ? Mais c’est super ! T’inquiète pas ! Tu vas voir, tu vas y prendre beaucoup de plaisir ! me répond-elle.
    - Non ! non ! Je ne veux pas ! Et de toute manière, c’est beaucoup trop gros ! Ça ne rentrera jamais !
    Et en même temps que je lui dis cela, je sens qu’elle pousse de toutes ses forces pour essayer de faire rentrer le gode dans mon petit trou. Evidemment, cela bloque car il est trop gros. Cela doit l’énerver car elle tire encore plus fort sur mes cheveux et me claque la fesse droite avec l’autre main et me dit « Pousse ! ». Et d’un seul coup, le gode a commencé à entrer ! Je pousse un hurlement, tellement j’ai mal et ai l’impression d’être ouverte en deux ! Vu le cri que j’ai poussé, tout l’étage de l’hôtel va accourir pour voir ce qui se passe, ce n’est pas possible autrement !

    - Tu aimes ça, petite pute ! me dit-elle.
    Moi, j’ai les larmes qui me montent à l’œil, à la fois de douleur et de rage d’être ainsi sodomisée !
    Après avoir fait légèrement rentrer le gode, ce qui avait provoqué mon hurlement, elle s’est arrêtée de pousser, laissant le gode ainsi entré d’1 ou 2 centimètres dans mes intestins pour qu’ils s’habituent à cette présence étrangère. Alors que la douleur devient plus supportable, voilà qu’elle se remet à pousser tout en continuant à me tirer les cheveux, ce qui m’amène à hurler encore ma douleur. Elle s’arrête à nouveau, sans bouger, ce qui me permet de reprendre mes esprits même si j’ai atrocement mal ! Jusque-là, je n’ai vraiment eu aucun plaisir ! J’ai juste l’impression que mon cul est grand ouvert !

    Puis elle redonne un coup de rein, ce qui me fait émettre un cri à nouveau. Mais je sens que ses cuisses touchent maintenant les miennes et j’en conclue qu’elle a complètement rentré le gode en moi ! Elle reste ainsi sans bouger en me disant encore que j’aime ça et en me traitant au choix de p’tite salope, p’tite pute. Je n’apprécie vraiment pas ce meeting !

    Enfin elle ressort complètement le gode, ce qui me permet d’avoir beaucoup moins de douleur mais recommence rapidement l’opération d’introduction du gode qui, ce coup-ci, rentre beaucoup plus facilement même si cela me fait encore mal et que je continue à crier. Mais cela a l’air de l’exciter encore plus ! Une fois le gode entièrement entré et après quelques instants sans bouger, elle commence à donner des petits coups de reins qui font donc bouger le gode dans mes intestins. Je continue à crier ma douleur, même si elle, qui de sa main droite me touche le sexe, me dit que je mouille beaucoup et que je dois donc apprécier énormément cela ! Et évidemment, elle me tient toujours la tête par les cheveux !

    Après quelques moments de ce traitement qui me paraissent une éternité, elle se dégage enfin de moi tout en ayant toujours des paroles aussi agréables à mon égard…Je sens comme une brûlure intérieure et ai l’impression d’avoir été ouverte en deux ! Je l’entends qui crache en direction de mon petit puis sens cette salive sur mes fesses, salive qu’elle s’empresse d’étaler à l’aide de ses doigts tout autour de mon anus, voire même à l’intérieur. Ceci dit, cette « humidité » me fait du bien et calme un peu ma douleur.

    - Ouah ! Tu es bien ouverte ! me dit-elle. C’est vraiment très beau à voir.
    - Plie tes coudes et pose ta tête sur le matelas ! m’ordonne-t-elle ensuite

    Je m’exécute, ce qui a pour conséquence, étant auparavant à genoux à 4 pattes, que mes fesses sont maintenant le point « culminant » de ma personne. C’est a priori ce qu’elle cherchait. 

    Elle, toujours à genoux, saisit mes fesses de part et d’autre avec ses mains puis je l’entends qui crache de la salive directement dans mon petit, ce qu’elle n’a aucun mal à faire étant donné qu’il est complètement dilaté. Elle se lève et vient placer le gode qu’elle a toujours à la ceinture juste au-dessus de mon trou. Puis, d’un coup sec, elle le réintroduit complétement et, vu ma position, cela semble plus facile pour elle car il entre beaucoup plus facilement.

    Une fois complètement à l’intérieur, elle lui fait faire des mouvements de va-et-vient comme tout à l’heure mais, bien que j’imagine que mes muqueuses doivent être assez rougies, cela m’est malgré tout plus supportable, sans pour autant réussir à m’amener à la jouissance.

    Après s’être lassée de sa position et avoir ressorti le gode puis contemplée son œuvre en examinant mon petit tout ouvert, elle me saisit la tête par les cheveux et l’amène à hauteur du gode qu’elle m’ordonne de lécher ! J’ouvre la bouche car, honnêtement, je suis un peu sonnée, et elle y enfonce le gode que je lèche donc avec ma langue…avec un sentiment de dégoût même si il s’agit de mon intimité !

    Ensuite, elle retire le gode de ma bouche, défait la ceinture puis vient m’embrasser sur la bouche en introduisant sa langue. Elle me dit qu’elle a passé un bon moment et que la première sodomie est toujours un peu douloureuse mais que je m’y ferai et apprendrai à l’apprécier, ce que je doute fortement. Et finit par me dire que je peux me rhabiller. 

    Je me lève du lit, ressens une douleur immense au niveau de mon petit trou et commence à m’habiller en me disant que je ne pourrai même pas supporter la ficelle du string. A peine ai-je remis ma jupe qu’elle ne trouve rien de mieux à faire que de me donner une petite claque sur les fesses qui me fait tressaillir. Je m’empresse de finir de ramasser mes affaires malgré le mal que j’ai à faire des mouvements et en me demandant comment je vais rentrer chez moi car j’ai l’impression de ne plus pouvoir marcher tellement cela me lance à l’intérieur. Je sens d’ailleurs que mon petit est encore complètement dilaté. Elle m’accompagne jusqu’à la porte et me dit, toujours sur un ton aussi directif et froid, qu’elle a passé un bon moment et sera contente de me revoir prochainement. Je rejoins l’ascenseur de l’étage en ayant beaucoup de mal à marcher et me dis que tous les gens dans la rue vont se douter de ce que j’ai fait vu la façon dont je marche…

    Je me dis également que ce métier est peut-être trop dur pour moi, que j’aurais dû me fier à mon instinct lorsqu’elle a ouvert la porte et que j’appellerai dès le lendemain ma Boss pour décommander tous les RdV, …excepté avec Anne. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

  • Commentaires

    1
    why132
    Lundi 26 Août 2013 à 09:02
    très belle narration, beaucoup de recul .
    Le zeste d'humour renforce la crédibilité du message.
    2
    carballeda
    Mardi 8 Octobre 2013 à 00:21
    Bonjour, j'ai lu avec atenttion tes experiences d'escorte...mais la dernière fut très rude! je pense que tu aurais du refuser.
    J'aimerais moi aussi faire cette activité pour arrondir mes fins de mois: pourrais-tu me dire comment tu t'es fait connaitre et eventuellement me faire rentrer dans ton carnets d'adresses? Si tu veux, tu peux me donner ton num de tel comme ca on s'appelle? Cdt, Carballeda (mon pseudo)
    3
    Amel
    Lundi 10 Février 2014 à 23:57
    Bonjour, j'aimerais beaucoup faire ça également vraiment besoin d'argent . Pourrais tu m'aider. Mercî
    4
    Jeudi 25 Septembre 2014 à 23:44
    vraiment top ton histoire
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