• Le blog de Mélissa en séminaire...

    Bonjour je m'appelle Mélissa et je vais vous raconter une petite partie de ma vie, ce qui me permettra peut-être de me soulager d'un poids, et de retrouver un équilibre dans ma vie...
     Sur mon physique (57kg pour 1m78, des fesses rebondies juste ce qu'il faut et un petit bustier 80A, rien que je trouve vraiment extraordinaire). Ce que je crois surtout, c'est que ce sont mes goûts vestimentaires strictes mais féminin qui faisait fantasmer la gente masculine.
    .............................Nous voilà parti avec quelques amis pour ce séminaire d'une semaine. Nous avions tous droit à une chambre individuelle, pas besoin de faire chambre commune entre femmes, ou entre hommes c'est selon.

    Le réceptionniste nous appela les garçons de chambre pour nous diriger vers nos chambres. Tout cela était fait dans les règles de l'art, avec les politesses et les manières d'usages. Du moins au début!

    En me laissant m'installer le jeune homme sortit de la pièce en refermant les portes derrière lui, et je cru apercevoir en me retournant,son regard s'attarder sur mes fesses. Bien qu'il fut agréable jeune homme, j'avais laissé derrière moi mon petit ami qui me suffisait amplement!

    Le même soir, lorsque je rejoignis ma chambre, je repensais au regard du jeune homme, et je me disais que ce devait très certainement être mon imagination qui me jouait des tours! Je téléphonais à mon homme vers dix heure du soir, pour lui donner de mes nouvelles et prendre les siennes. La discussion vira doucement sur des penchant de plus en plus sensuel d'abord, avant de parler carrément de sexe et de fantasmes téléphonique.
    Au plus la discussion avançait, au plus ma main libre me caressait, je la retenais de moins en moins. Lorsque j'en fis part à Stéphane, celui-ci ne se doutait pas ce qui allait advenir de moi en me demandant de décrire le trajet de ma main baladeuse, et de me laisser aller à mes plus folles envies. Ce que je fis évidement!
    Je me caressais les seins pour commencer, puis je descendais lentement pour caresser les tissus de mon entre-jambe. Je continuais en me déshabillant complètement et à me caresser de plus en plus ardemment jusqu'à me faire jouir après m'avoir caresser les lèvres, le clitoris, et m'être pénétré la vulve de mes doigts que j'imaginais être ceux de mon amour. J'en criais presque sans retenue de plaisir ce qui n'était pas pour déplaire à ma moitié si loin de moi, et que j'aurais préféré au plus profond de mon être!

    C'est toute chose que je finis par lui dire à demain. Que je prendrais du temps pour lui tous les jours aux soirs avant de revenir faire l'amour auprès de lui, comme des fous, dès mon retour de ce séminaire qui me paraissait déjà tellement long loin de lui!

    Je m'endormis encore toute moite de sueur, les lèvres encore toutes chaudes et pleines de cyprine.

    La journée suivante, nous dûmes nous retrouver tous ensemble dans le local de réunion, et travailler sans arrêt jusqu'en fin d'après-midi. Nous avions reçu le reste de la journée de libre pour nous délasser et nous prélasser avant la journée suivante qui serait tout aussi remplie!
    Je ne me fis pas prier pour retourner dans ma chambre, je comptais bien me rafraichir un peu avant de profiter du merveilleux soleil au jardin.

    En rentrant dans ma chambre je fus surprise de voir une petite tablette à roulette généralement utilisée pour les petits déjeuner au lit, où était déposé une cloche en argent sur laquelle était mise une petite lettre. Qui pouvait bien m'avoir envoyer un tel cadeau? Stéphane? Ça lui ressemblait assez comme petite surprise.

    Je pris la lettre, et souleva le couvercle d'argent avant même de lire le petit mot. De nature gourmande, je voulais savoir directement ce que j'allais pouvoir déguster.

    Quel fut ma surprise lorsque je vis un cd, sur lequel était marqué: "COPIE"
    J'insérais le cd directement dans mon PC pour connaître la nature de l'objet. Lorsque je me vis occupée à me masturber, à me doigter, à me lécher les tétons, à me pénétrer la vulve et y insérer jusqu'à trois doigts, je ne compris pas. Ou plutôt si je comprenais... mais je voulais en avoir le cœur net! J'ouvris la lettre d'un coup net, et parcouru le papier.

    "Si vous ne voulez pas vous voir vous masturber demain sur l'écran géant de la grande salle au petit déjeuner, rendez-vous à 20h15, dans le petit cagibi téléphonique à côté de la réception en tailleur gris, bas noir, sans soutient et sans culotte ni string"

    J'étais piégée, entre un salop, et mon honneur!!!

     

    Je n’en revenais toujours pas de cette lettre, de ce CD, de cette mise en garde, de ce chantage! Je savais bien que si j’acceptais ce chantage, ce salop s’amuserait à abuser de la situation à son avantage, à abuser de moi, mais si je n’acceptais pas ce chantage, je me verrais honteuse à vie!

    Au lieu de sortir comme je l’avais prévu en quittant la réunion, je passais l’après-midi à ruminer dans ma chambre, à réfléchir, à me rendre compte qu’il me tenait, j’étais à sa merci! En plus, ce connard avait bien calculé son coup, car si j’allais manger habiller normalement, et que je revenais me changer rapidement en chambre, je n’aurais jamais été à l’heure au rendez-vous, ce qu’il avait bien souligné comme étant un faux pas qui me coûterait mon film sur grand écran!

    Je me rendis donc au repas en tailleur, chemisier blanc très pigeonnant et sans sous-vêtements. Comme chaque collègues venait en tenue décontractée, je faisais un peu tâche au milieu d’eux, et c’était bien ce qu’espérait mon maître chanteur! Au plus le repas passait, au plus je me sentais fixée du regard de mes collègues. Me sachant nue comme un ver sous mes vêtements de bureau, je sentais mes joues chauffer comme jamais, je devais être rouge pivoine. J’avais hâte que ce repas finisse, tout comme la soirée que j’appréhendais très fortement!

    Le repas contrairement à la veille s’attardait, et je dus pour mon bien quitter mes collègues avant le dessert, pour ne pas arriver en retard au fameux cagibi que j’avais pris le soin de dénicher en descendant au repas.
    20h10, j’arrive devant la porte, elle est fermée. L’enfoiré! Je cours jusqu’à la réception demander la clef, il n’y a personne. J’utilise la petite clochette pour appeler le personnel, une jeune femme arrive bien à son aise. Je lui demande mon besoin oppressant avec insistance. Elle trouve enfin cette satanée clef qu’elle me tend.
    20h14, je trébuche devant la porte, je ne trouve que difficilement la serrure. Je rentre, le téléphone sonne, je décroche la voix tremblante!
    - Allô…
    - …
    - Allô!
    - Calme toi ma douce, tu as l’air nerveuse…
    - Salop!
    - Ta gueule sale chienne… Maintenant tu m’écoutes, où je ne donne pas chère de ta place et de ton avenir !
    Ce fils de … a trouvé les mots pour me calmer de force. Je m’exécute et le laisse parler. J’écoute. 
    - Voilà qui est mieux ma belle. Tu vois quand tu veux! Tu as dû courir pour arriver à temps! Il valait mieux d’ailleurs, car je ne rigole pas, tu pourras voir une autre copie sous le socle du téléphone. Tu le vois?
    Je soulève le socle, et trouve le CD. Je ne dis toujours rien. Mais ma respiration devient plus difficile!
    - Je te laisse la nouvelle copie, j’en ai encore quelques-unes en stock! Pour information, je te sonne de ta chambre, ou tu trouveras un plan du domaine. Je t’attends dans une demi-heure à l’endroit indiqué sur le plan. Habillé de la même manière. Tu pourras retourner dans ta chambre vers 23h00. …
    Il a raccroché. Je me sens piégée, dépitée, violée, mais je ne savais pas encore à quel point! Je remonte dans ma chambre, je trouve l’enveloppe posée sur mon oreiller. J’examine le plan. Il est simple précis, je le suis.
    J’arrive devant la pièce indiqué dix minutes avant l’heure prévue. Je décide d’y entrer pour me rendre comptes de ce qui va m’arriver. C’est un autre petit cagibi, assez sombre. Derrière moi j’entends un cliquetis, on a refermé la porte à clef! Je suis dans le noir complet! Je suffoque!
    La lumière d’un écran s’allume, et illumine la pièce sombre. Mes yeux ne sont pas encore habitués. Au dessus de l’écran, une nouvelle enveloppe. Je l’ouvre.
    « Tu peux voir sur l’écran la pièce où tu mangeras demain matin et comme tous les autres matins et au fond, l’écran dont je t’ai déjà parlé. Si tu n’exécutes pas les envies de chaque partisan de ce soir, je lance instantanément ta vidéo. Tu pourras te rendre comptes de la qualité de notre projecteur! »
    Mais de quoi parle-t-il? Quand je me rends compte doucement que ce cagibi est destiné à ne laisser entrer que les membres gonflés d’hommes, qui ne veulent pas se faire voir de leur chienne qui devra les sucer au travers des parois, et je ne sais encore quel fantasmes! Et cette chienne c’est moi! Habituellement dominatrice de mes émotions, des larmes coulent le long de mes joues…

     

     
    Décomposée, soumise, complètement dégoûtée de moi, de ce qu'on attendait de moi, de ce qu'on venait de faire de moi...

    Il est 23h passée, je viens de rentrer dans ma chambre. J'ai la fente qui dégouline encore, le petit trou écartelé, j'ai mal! Je viens de passer près de deux heures en enfer et j'ai honte! Mais les larmes ne coulent plus...

    Pendant près de deux heures j'ai été un jouet, une vulgaire poupée, un trou, un garage à bite, un trou à foutre, une chienne, une salope, leur chienne, leur salope, et je sais déjà que ça ne fait que commencer!

    Je n'arrive pas à croire ce qui c'est passé, ce qui m'est arrivé. Je venais de découvrir l'écran, la lettre, le mot! Et j'entendais déjà des ricanement derrière les parois "Voilà notre salope!". Un sexe déjà gonflé faisait son apparition par le trou en face de moi "Suce, suce moi la queue cochonne! Et dépêche toi un peu ça traîne!". Je m'avançait vers le sexe qui m'obligeait, quand un second apparu par un second trou "Touche moi le dard sale pute, tu vas voir ce qui t'attend!"
    Je commençais à ouvrir la bouche et à suçoter la verge face à moi, et à doigter l'autre, quand deux autres membres tendus à bloc faisaient leur apparition.
    "Suce moi mieux que ça grosse truie, ouvre ta bonne gueule et avale moi le gland" je ne disais rien, je faisais. "Et surtout ne laisse pas nos copains comme ça, il t'attendent aussi!"

    Je suçais de plus en plus, de plus en plus profondément, de la salive me coulait sur le menton, je risquais de m'étouffer à chaque enfournage de queue, cette queue qui me frappait le fond de la gorge à chaque bouchée! Je tentais de m'occuper de toutes les bites qui m'étaient destinée... Je crois bien qu'il y en avait 6 ou 7. 

    "Lève ton petit cul et colle le bien en face d'un trou qu'on vienne te le prendre petite chienne!" j'en ai assez de cette manière de me parler, de me traiter de salope, de pute, de chienne, mais c'est pourtant ce que je suis à accepter un tel chantage, mais ai-je vraiment le choix? Je relève mes fesses et colle mon sexe bien en face d'un trou comme exigé, je suce toujours la bite face à moi, les murs sont suffisamment proche que pour pouvoir se faire prendre par les deux côtés en même temps, on dirait l'endroit étudier pour çà. La queue que je suçais disparaît et se fait vite remplacer, c'est elle qui vient à l'encontre de mon sexe qui est sec comme le désert. Compréhensible, car je n'avais vraiment aucune envie de me faire prendre par tant d'étrangers! "Écartes tes lèvres salopes, je ne vais pas rentrer!" j'écarte à peine mes lèvres qu'un coup de boutoir me force l'entrée, je hurle de mal, mais ce n'est que le début, après ce coup de pinne, d'autres suivent encore et encore et encore et encore, plus puissant les uns que les autres! 
    Après m'être occupée de nombreuses bites, certaines revenant même plusieurs fois se faire sucer, et avoir été pilonnée pendant plus d'une demi-heure, la chatte en feu, les lèvres rougies de douleurs et pourtant humide comme jamais! J'avais honte de la situation, honte de me faire prendre comme une chose, comme une vulgaire pute, et malgré tout je prenais du plaisir!
    "Abaisses toi un peu grosse chienne, tu n'as plus l'air aussi rebutante à l'idée de toutes ces bites en toi! Et bien écartes nous ton trou du cul maintenant!"
    - Non, pas ça, je vous en prie, je ne l'ai jamais fait et je tiens à ça!
    "Tu refuses, chienne, c'est comme tu veux, mais regarde bien l'écran alors! ahahahah"
    Avant même que je tourne la tête, je descendis mon cul, écartant mes fesses et priant pour un peu de douceur...
    "Ta première sodomie et à la chaîne en plus, tu vas t'en souvenir de ton dépucelage anal ma belle! En plus tu as voulu refuser! Prends ça connasse, garage à bites, trou gluant!..."
    Je n'entendais plus ses insultes, il m'avait fourré le cul comme on fourre une dinde. On trouve le trou, et on enfourne sans aucune délicatesse. Je n'avais même pas eu le temps du réflexe de compression, qu'il m'avait déjà empalé sur sa verge tendue, je ne sentais plus mon cul, ou non, je le sentais, j'avais l'impression d'être pilonnée par un gode énorme, un pieu de torture. Les coups de reins n'étaient pas là pour ralentir l'intrusion, mais pour me faire comprendre que même mon trou du cul auquel je tenais et que j'avais toujours espéré tenir petit et ferme, leur appartenait. Qu'ils en feraient ce qu'ils voudraient et me l'élargirait au possible!
    Après une heure et demi de pilonnage facial, vaginal et anal, on m'ordonna de me tenir à genoux près de chacune des queues prêtes à gicler, et que je n'avais le droit que de réajuster mon tailleur avant de faire ma toilette une fois dans ma chambre.

    J'avais pleurer toutes les larmes de mon corps pendant ma soumission, et je devais encore éviter tous les regards que j'aurais pu croiser avant d'arriver dans ma chambre sous peine d'être prise pour la pire des chiennes par mes collègues!!!

    Écroulée sur mon lit, un message m'attendait sur ma table de nuit.
    "Bonne nuit mon ange, repose toi bien avant tes ébats de demain!!!"
    "Salope, suce, ramène ton cul que je te le fourre, montre nous ton cul, écarte les fesses, ramasse dans ton fion grosse pute, ..." Tout ce que j'ai vécu hier, j'ai rêvé de tout, tout revécu d'une vision extérieur. Je revoyais les parois, les bites, tous ces sexes tendus près à éclater me fourrer, tous ces membres que j'ai sucé telle une chienne... Tout ce foutre me giclant dans le cul, sur ma vulve, me coulant sur le visage, ma mouille dégouliner le long de mes jambes entremêlées au sperme chaud de mes assaillants...

    Je me réveille au son de mon réveil, j'avais honte de moi, de ce que j'avais subit, de ce que je n'avais pas le choix de refuser... J'avais honte d'être devenue pour la soirée d'hier, une pute d'un soir, un garage à bite, un réservoir à foutre... J'avais honte d'en avoir rêvé... J'avais honte de m'être réveillé humide de mon intimité...

    Je revenais dans ma chambre pour me rafraichir après le déjeuner où j'avais eu l'impression d'être dévisagée, d'avoir été démasquée par mes collègues, quel folies, comment auraient-ils pu savoir quoi que ce soit?

    Sur mon lit, un colis, une boite allongée, avec dessus, une enveloppe carrée. Je m'empresse de l'ouvrir, j'y découvre un mot et un nouveau CD : "COPIE N°2"

    J'allume rapidement mon PC, insère le CD, visionne la copie, et m'aperçoit que mes exploits d'hier on aussi été filmé. Vite le mot :"Alors ma petite salope, bien remise de ta soirée d'hier? Contente d'avoir des souvenirs? Ne t'inquiète pas, tu en auras d'autres! Maintenant ouvre la boîte, et fais toi plaisir maintenant avec le gros jouet, le petit ce sera pour après! Attention, ne me déçoit pas, joue, donne toi du plaisir, mais surtout ouvre toi bien de partout que je ne rate aucune miette de tes trous intimes!!!"

    J'ouvre le paquet, y découvre deux emballages bien distincts. Je déballe le plus imposant. Un gode en plastique semi dur d'une taille impressionnante. Un bon 35 cm de long pour 8 bon centimètres de circonférence. Comment vais-je bien pouvoir m'insérer un tel monstre?
    Je dépouille mon lit de toute couverture, seules restent mes oreillers qui me servent de supports. Je me déshabille complètement et commence à me toucher les seins, tout en me caressant les lèvres. Il ne me faut pas longtemps avant de sentir ma vulve mouiller d'excitation due à la situation incroyable ou je me trouve... Chienne et soumise à un total inconnu qui fait de moi ce qu'il veut et ou je commence à aimer ça! Tout y passe, mes doigts, le gode, je m'enfourne tout dans ma chatte, et pendant que les va et viens viennent et reviennent avec de plus en plus d'insistance entre mes cuisses, je me chauffe le petit trou de mon autre main. Mes doigts me chauffe l'anus, j'entre d'abord un puis deux et trois doigts assez facilement. La petite réunion d'hier soir y est pour quelque chose! Mais cela ne sera pas suffisant pour y insérer ce gode gigantesque. Autant il entre assez aisément en moi par mon intimité vaginale, autant je n'arriverai pas à rentrer ne fusses que la tête de l'engin dans mon petit trou! Je tente un quatrième doigt pour m'ouvrir encore, il passe, mais ce n'est plus du tout par envie, ni par plaisir! Je place la tête du gode devant ma petite entrée qui au contact du morceau se referme. Le gode est trempé, et comme je n'ai pas le choix, je force la pénétration. Ça ne rentre toujours pas... je me mets comme pour me faire prendre en levrette, la face contre mon matelas, le cul relevé vers le plafond, je pousse comme quand je vais à selle et je sens mon trou s'entre-ouvrir. Ni une ni deux, je pousse le gode de toutes mes forces, et ma mouille aide l'engin à entrer en moi. Malgré le fait que je mordais dans un de mes coussins, j'émets une plainte de douleur intense, j'ai mal, mais je ne peux pas m'arrêter là, je sais bien que mon tortionnaire ne serait pas satisfait de cette simple insertion. Poussant toujours pour ouvrir mon sphincter au maximum, je commence des va et vient avec l'engin entre mes fesses. Je n'arrive pas à croire que cette pénétration est de plus en plus facile, mais que cela m'irrite le cul!
    Après un bon quart d'heure de godage anal, et de prise de plaisir malgré moi, je m'arrête, suant de tout mon corps sur le lit, gardant bien en moi, au plus profond de mon cul, cet objet que je commençais à apprécier!

    J'ouvris le deuxième emballage d'où s'échappa un petit message. "Enfonce toi ça bien calé dans ton petit cul et rejoint tes collègues. Attention, important, ne l'enlève pas avant d'en recevoir l'ordre et ne met pas de culotte sans quoi tes exploits seront exposé à tous les regards!!!"
    Un plug, j'avais reçu un plug, moins imposant que le gode, mais je devais passer la journée avec... Et si jamais il lui venait l'idée de tomber de mon cul élargit au possible, il n'aurait même pas de filet de sécurité pour l'empêché de tomber au sol...
    Je passais vite à la toilette, puis à la salle de bain me donnant un rapide coup de frais. J’insérais le plug en mon intimité comme un couteau dans du beurre liquide. Aucune résistance à l’entrée de mon cul, le plug tenait à peine, je resserrais les fesses du mieux possible et priais le seigneur de ne pas relâcher la pression avant que mon petit trou ait retrouvé une taille normale qui empêcherait d’elle-même le plug de ressortir sans mon consentement!Quel honte, quel délice, quel supplice, quelle surprise.Mais que m’arrive-t-il? Manipulée, offerte à son bon vouloir, à ses désirs, à ses plaisirs. Soumise, pute et salope, je ne trouve pas les mots exacts pour me définir… Moi la prude, la sainte ni touche, prise au dépourvu, complètement à sa merci… Et je ne le connais pas, je ne sais qui il est, quel histoire mon dieu…

    Son dernier supplice est idiot, et pas si bête puisqu’il veut que je lui sois entièrement soumise… Me balader toute la journée avec ce plug dans le cul… Et si ce n’était que ça, malgré mon refus complet à la sodomie avant de venir ici dans mon enfer… Mais après m’avoir obligée à m’ouvrir la croupe avec un gode énorme… Je fais tout ce que je peux pour serrer les fesses du mieux que je peux pour ne pas laisser tomber ce fichu plug que je ne peux pas retenir car je dois me mouvoir sans sous-vêtements…
    J’arrive enfin dans la salle où je rejoins mes collègues avec presque une heure de retard… Je m’excuse, je trouve une excuse des plus simpliste, je m’assieds, quel délivrance, je ne dois plus faire d’efforts pour retenir cet intrusion obligatoire… Plus les minutes passe, moins je sens ce jouet qui s’est pourtant bien mieux enfoncé dans mon cul depuis mon assise… La journée passe, et je n’arrête pas de penser à ce que je pourrais encore subir ce soir… 
    17h00, enfin la délivrance… Je retourne vers ma chambre, je me dirige vers la salle de bain, je veux retirer cet intrus de mon cul… Une lettre sur le seuil de ma porte… Je l’ouvre, et file dans la salle de bain… « Un nouveau jouet t’attend sur le rebord du bain. N’oublie rien, et avant d’aller manger, remet donc ton copain d’aujourd’hui »…

    Quel monstre! Un gode pire que celui de ce matin! Un arbre de noël sur trois étages… Premier palier cinq bon centimètres de diamètre, six et demi pour le second, et un bon huit pour le dernier… Quel folie, mais je n’ai pas le choix, et surtout, jusqu’où dois-je aller? Dans l’ignorance, je décide de tout faire rentrer… Comment me mettre pour m’enfourner un tel mastodonte? Je décide de me mettre à même le sol, le gode pointant de toute sa longueur vers le ciel… Les premiers centimètres ne sont plus si désagréables, et j’arrive au premier palier sans trop de difficulté. Après cette insertion, je souffle, en sentant toute cette matière m’emplir le trou du cul. Comment vais-je faire pour introduire le reste? J’avais prévu un gel douche que j’avais mis prêt de moi au cas ou, et je décide d’enduire le reste du gode de savon pour facilité l’entrée… Au bout d’effort intense, me mordant les lèvres pour ne pas crier de douleur, j’achève le deuxième palier en pleurant de mal…

    Le téléphone sonne, dois-je répondre, ressortant l’entièreté de l’engin je fil cul nu jusqu’au combiné.

    - Allô.
    - Ne t’arrête pas en si bon chemin, ordonne une voix déformée.

    J’avais la réponse à ma question, suivie d’un bip sonore ponctuant la conversation. Je retourne n'afférer et me torturer le trou du cul, jouant de plus en plus avec mon entrée sur le deuxième palier en espérant préparer mon cul au troisième, mais la souffrance est bien présente, m’emplissant le fion d’un engin monstrueux. Je pleurs de douleur, de mal, de souffrance, et pourtant j’appréciais de plus en plus cette position de soumise, de chienne, mais jusqu’où allais-je être entraînée? Allais-je jouer le jeu jusqu’au bout? En ai-je vraiment le choix?

    C’est avec le cul meurtri, le trou béant, le fion acceptant le petit plug dans sa totalité, que je descendis manger avec mes collègues qui s’interrogeaient de ma démarche titubante, maladroite à leurs yeux. 

    Je ne me plaignais pas de ma souffrante jouissance.

    Sur ma table de nuit, une nouvelle lettre était posée.
    Encore une satanée lettre. Prête à me faire faire les pires folies immonde et qui me dérange de moins en moins. Comment cela est-il possible? Que suis-je devenue?

    Je la prends, je l'ouvre, et je trouve un nouveau mot. Vais-je encore devoir m'ouvrir le cul comme tout à l'heure? il n'en peut plus le pauvre il souffre.

    "Tu peux te retirer ton plug ma belle, un colis t'attend à la réception. Dépêche toi, le temps presse."

    Je n'ai même pas le temps de m'asseoir, de me reposer, je suis un jouet qu'il ne veut pas lâcher, qu'il ne veut pas reposer. Je n'en peux plus, mais si je cède, ma carrière est foutue... Je ne prends même pas la peine de me retirer le plug et descend jusqu'à l'accueil où m'attend un colis. Je me met à l'écart près de la réception pour ouvrir le colis de la manière la plus discrète possible. On ne sait jamais.

    "Monte dans ta chambre, met toi au lit, met le bandeau sur tes yeux, et les menottes près de ton oreiller. Surtout n'oublie pas la combinaison. Si tu oses entraver les règles, tu sais ce qu'il se passera, et surtout n'enlève jamais ton bandeau sous peine d'être dévoilée au grand jour."

    Dans quelle galère me suis-je fourrée?

    Je m'exécute. Une fois couché, je me tourne et me retourne dans tous les sens. Le bandeau me gêne, et ce n'est pas le pire. Que va-t-il m'arriver encore?

    En pleine nuit, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir. On me lève, me met les mains dans le dos et me menotte. J'ai bien mis le corset noir, le string fendu de la même couleur, et les bas résille. On m'enfile des chaussures à hauts tallons et on me pousse dans le couloir avec un sac sur la tête. Je ne vois absolument pas où je vais, heureusement mon bourreau me soutient le bras. Je n'imagine pas si je devais croiser un collègue dans les couloirs ce qu'il pourrait se passer, j'essaye de chasser cette idée folle de ma tête, mais je n'y arrive pas. je tremblote, j'ai peur, que va-t-on me faire? Vais-je mourir?

    On me place à l'avant d'une voiture assez basse. J'ai mon corps gelé, la peau qui frissonne, les tétons qui pointent, et une envie pressante que je n'ose avouer. Je n'ose même pas parler. La route défile pendant bien une bonne demi-heure avant qu'on ne descende de l'autoroute. Je sens à nouveau l'air frais sur ma peau, mon conducteur viens d'ouvrir la fenêtre coté passager. J'entends des pas, et des voix d'hommes. Je n'ose à peine imaginer ce qu'on espère de moi. Le conducteur est descendu, il va saluer les hommes qui s'approchaient en leur demandent les 20euros de commissions. Il ne faut pas attendre plus longtemps pour entendre les noms d'oiseaux voler à mon égard.

    - Voilà enfin notre belle petite pute prête à se faire démontée.

    C'est vrai, je ne suis plus rien qu'une pute à leur yeux, il paye pour me sauter. Je prie le ciel pour ne pas souffrir ni pendant, ni après.

    La porte de la voiture vient de s'ouvrir devant moi. Un homme me tire par les cheveux. Je tombe au sol, à leurs pieds, traînée dans la boue tel leur traînée. Je me relève à peine que je sens une queue me taper le front.

    - Suce ma salope. Suce moi la queue!!!

    J'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche qu'un autre me relève le cul, me cambre et m'enfile sa verge dans le cul.

    -Quel trou ma parole, j'avais jamais eu aussi facile à enfiler une si jeune salope. Les exercices que tu lui a fait faire ont eu de l'effet!! D'ailleurs on ne pouvait s'attendre qu'à de la bonne qualité de salope avec ces vidéos!

    Ces vidéos? Elles ont circulées alors que j'ai fait tout ça pour qu'elle ne circule pas. Ça y est mon honneur est totalement bafoué. Et pourquoi cela ne se trouverait pas aussi sur internet? Des larmes coule sur mon visage et sur la queue du salaud qui m'enfourne sa bite dans ma bouche. Je n'ai plus la force de me retenir. il me souille, me baisent me pénètre de plus en plus fort, j'ai le visage dans la boue, le cul relevé, enfilée comme une simple catin, j'ai même droit au double enfilage anale. Je ne sais même plus combien ils sont, tous occupés à me remplir de foutre. Que peut-il encore m'arriver de pire? Ma dignité est complètement bafouée.

    Sur le chemin du retour j'entends la somme que mon bourreau à récolté, un petit 400euros. 20 mecs me sont montés dessus, vingts bites mon souillées, vingts bites que je me refusais d'accepter, de sucer et qui mon fourrées comme une grosse dinde. Vingt bites, vingt grosses bites bien dure qui ne m'ont même pas fait mal, et qui en plus m'ont fait jouir, car oui, ce qui m’écœure le plus ce n'est pas ce salaud qui m'a offerte, ce ne sont pas toutes ces bites qui m'ont bourrée, ce n'est pas tout ce foutre qui me coulent encore entre les jambes. Ce qui m’écœure le plus, c'est tout le plaisir, toute la jouissance que j'ai tiré de cette nuit de baise.
    Plus je sentais ces bites m'enfiler, plus je sentais ces mains me peloter les seins, plus je sentais toute cette sueur de mâles en rut disposer de leur salope que je suis plus je prenais du plaisir, plus j'en demandais, plus je voulais être prise comme une chienne. Je ne sais pas combien de temps j'ai été baisée, et malgré la fatigue, je n'avais pas envie que cela finisse.

    En me déposant dans ma chambre, mon bourreau m'enleva mes menottes. Il avait bien compris que j'étais devenue une vrai chienne en chaleur, et que j'en voulais encore. J'espérais même qu'il me monte dessus, mais le supplice fut pire, il ne me toucha pas.

    - Pourquoi tu ne me baises pas? Je te dégoûte de part ma perversion que tu as su faire éclater malgré moi?
    - Oh que non, mais j'ai mieux pour toi, ne t'inquiète pas.
    - Mieux...

    Il y eu un blanc pendant lequel je le sentais quitter la pièce.

    - Merci...

    J'en arrivais à le remercier de ce qu'il avait fait pour moi, et pour ce qu'il me promettait.

    Avant de m'endormir, il m'en fallait encore. Et je ne suis doigtée toute seule comme une grande. Une fois mouillée comme j'arrivais à l'être de plus en plus rapidement à force de m'exercer grâce à mon maître. Chienne que je suis devenue ne se satisfaisait plus de son index et de son majeur. Mais je devais m'enfiler toute ma main pour ressentir l'extase suprême du plaisir solitaire infini.

     

     
  • Commentaires

    1
    chralotte
    Samedi 5 Septembre 2015 à 09:07
    ENCORE ET MERCI
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