• La deuxième étape de franchie

    Lorsque je sortis de la salle de bain, il était 14h passée, comme c’était ses habitudes,il n’était pas encore rentrée,Cyclone était sorti comme il le faisait toujours a cette moment, , mais comment publier, ? , presque toujours, J'avais faim, je me prépare quelque chose a manger, en essayant d'oublier ce qui s’était passé le matin, j'avais encore le gout de la foutre du chien sans la bouche, bon, me dis -je c quand même pas la fin du monde, je n'ai fait aucun mal, je ne cessais de penser, a cet sexe dans ma bouche, a la langue du chien me travaillant la chatte, et je ressentis un tressaillement entre les cuisses, je dois avouer que c’était bon, pourquoi le nier? J’étais a mes pensées quand le mobile sonna, ???,
    - oui chéri, ça a été au taf mon beau? tu rentre quand? - ça va mon bébé me répondit-il, tout baigne; le hic c'est que je ne pourrais rentrer le soir, 
    - QUOI,?
    - oui ma belle! suis obligée de dormir a l’hôtel l vu que je me trouve a Genève - en suisse?
    - oui ma belle, et puis t'es assez grande pour passer la nuit toute seule, et t'a avec toi, les chiens, et les gardes , sans oublier ton Fidèle compagnie, Cyclone,
    - je fus surprise pas en l'entendant dire ça, . mon compagnon Cyclone, ah s'il savait; voyant que j'avais rien a dire de plus, je luis un bisous en ligne, et lui demanda de prendre soins de lui!
    - je t'aime mon cœur, bébé, t’inquiètes pas, rien ne pourra m'arriver, allez bises, chérie, et t'endors pas tard, bye, tout se passa comme si rien ne s’était passé ce jour là, jusqu'au soir, je prend mon dîner qui était assez léger comme a l’accoutumée, et je m'assois devant la télévision, puis je me dis que je devais me rafraîchir le corps, et je me précipite, dans la salle de bain, ayant fini, je m'enveloppe dans une longue serviette et sortis, sans culotte, je pris un verre de jus, et je m'accoude au fauteuil, du salon, c'est là que Cyclone me fit revenir a la réalité, je l'avais oublié, en fait je voulais l'oublier sans y arriver, il s'approche de moi, et s'assit a mes pieds, je commence a lui caresser le poils, je me lève, et lui prépare son repas, comme j'avais l'habitude de le faire, ayant fini sa pitance, il vient a moi, en quittant la cuisine, et se mit sur les pattes de derrière, en regardant la télévision, je le regarde, discrètement, il me faisait envie, j’étais en chaleur, rien qu'a le voir dans cette position, j'eus le souffle coupé, je tendis ma main, doucement vers sa bite, et je commence a le caresser, je suis folle, m'entendis-je dire, ou plutôt crier, je m’arrête, je cours dans ma chambre, je branche mon pc, et je me connecte a ce site, par hasard, en cherchant, je voulais savoir, comment cela se passait, et si j’étais normale, je désirais baiser avec un chien, je ne pouvais plus, et d’après ce que je lis, et ce que je vis, comme histoires et vidéos traitant de la zoophilie, je compris, qu'il fallait prendre des précautions surtout avec des chiens, comme le mien, je pris des torchons, et lui enveloppa les pieds, en l'appelant dans la chambre, il ne comprenait rien, ou faisait semblant, nul ne pourrait savoir ce qui se passait dans sa tête, ou disons décrypter ce regard, dont il me gratifiait, voilà, je jette la serviette a terre, lui faisant contempler, mon corps nu, puis me mettant sur le dos, jambes écartées, je lui ordonne de s'approcher,
    - viens mon bébé, n'aies pas peur, approches, il n'attendait que celà, je lui pris la tète et la guida, vers ma chatte toute mouillée, il commença sa besogne, avec tact, il me léchait de partout, les cuisses, l'abdomen, puis s'attarda a ma fente qu'il trouva offerte, je crie de plaisir, c’était bon, je sentis mon cœur battre la chamade, j’écarte plus encore les cuisses, -OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE§ AHHHHHHHHHHHHHHHHH! je me tourne de façon a ce que je puisse atteindre son bidule, sans éloigner ma chatte de sa bouche, et commença a le masturber, il commença a bander, et je vis l'engin sortir de son fourreau protecteur, WAOOOOOOOOOOOOOOOOOOO! QUEL BITE! elle devait avoisiner les 25cm; et très dur en plus, restait le plus difficile, comment lui faire ce que j'attendais de lui, et comment allais-je m'y prendre, je fis ce que j'ai vu faire dans une vidéo, je me mis a quatre pattes, et je lui tends ma chatte il continua a me lécher, plus vite encore, je l'invite par des gestes, tout en le guidant a me grimper, il arriva, après des essaies infructueux, ses pattes de devant me serraient le corps, il était sur moi, je sentis son engin, cherchant une entrée, où loger sa bite, lorsque je sentis sa bite contre mon cul, je tressaillis, je la guide, vers mon vagin, en me baissant plus encore, ahhhhhhhhhhhhh, merde! il était en moi, je sentis qu'il allait m’écarteler, j'allais m’évanouir, je sentis un douleur intense, avec ses va et viens incessants, et qui s’accélérait au fur et a mesure, je jouis, sous l’étreinte de mon amant, lorsque je ressentis une cascade de foutre m’inonder, j'eus peur, ça n'allait pas finir ? et je touche mon ventre instinctivement comme pour m'assurer, qu'il n'enflait, pas, j'avais mal, mais j’étais au 7me ciel, la douleur commençait a s’atténuer avec tout ce qui a coulé, de moi et du chien, laissant place, a un feu ardent qui brûlait mes entrailles, c'est là que je me trouve aplatie contre le sol, par une poussée brusque qui a fait que la boule a la base de sa bite venait elle aussi, a pénétrer suivant le reste, j'ai eu l'impression a ce moment là que ma chatte allait s’éclater, je ne pouvais plus bouger, avec son poids imposant sur moi, je m'entendis pleurer, je voulais me retirer, m’éloigner, de lui, mais la boule faisait office de bouchon bloquant tout de l’intérieure, je jouis je ne sais combien de fois, et le foutre qui ne cessait de se déverser en moi, ajoutait a mon plaisir, quelque chose que je ne saurais décrire, je sentais que je flottais, quand mon amant se retira, brusquement, en laissant se déverser le trop-plein de foutre qui coula le long de mes cuisses, je tombe sur le coté, j’étais éreintée, je pouvais pas bouger, ma chatte me faisait mal, je me traîne un peu plus loin de la marre, en rampant? Cyclone revint a moi, et commença a nettoyer sa chienne, je lui caressait et l’amena a hauteur de ma bouche, je lui fis un grand bisous ou s’entremêlèrent nos deux odeurs, je lui ordonne de se coucher, a coté de moi, ce qu'il fit, et je l'enserre dans mes bras, nous restâmes ainsi, je ne sais combien de temps, je tend ma main a ma chatte, et enduit mes seins de foutre, en les lui tendant, il se mit a l’œuvre, comme jamais aucun mec ne l'avait fait c'est a croire qu'il a été dressé pour ça, uniquement, je luis souris, et l'invita d'une claque amicale, a s’éloigner, il s’éloigna de moi et alla se régaler du nectar qui formait sur le sol une belle marre, je me relève, péniblement, mais en voulant me déplacer, je retombe, j'eus peur, il m'a cassée quelque chose? et là des visions vinrent me perturber, est ce que je pourrais marcher normalement après Cette expérience? est ce que je n'allais pas tomber enceinte, de cyclone, et mettre bas un chiot ? est ce que je n'allais pas devenir accro? est ce que le chien n'allait pas commettre une folie et essayer de me prendre devant mon mari, est ce que je pourrais lui résister si jamais, je n'avais pas envie ou que l'endroit ne s'y prête pas, ou le moment? je me fis la promesse que c’était la dernière fois, promesse, que j’oubliais, j’étais, devenue chienne, et mon amant était un berger allemand, c’était comme ça, et rien n'y personne, ne pouvait changer quelque chose, et puis a peine, terminé nos ébats que j'en avais déjà envie de lui, je m'endormis a l'endroit même où je m’étais affalée sans force, le chien me réveilla, a 2h du mat, enfin, n'ayant pas regardé l'heure je crois que c’était ça, je me relève difficilement, lui ôta les torchons des pattes, et je me jette toute nue, telle que j’étais sur mon lit en prenant soin de sortir le chien et de fermer la porte de la chambre a coucher a clef, ça ne s’arrêta pas là...
    Pas la peine de vous dire que cette nuit fut longue, très même, je me remémorais tous les instants que j'avais vécus le soir, incroyable, j'avais baisé avec mon chien, et j'ai trouve ça super, le matin, en me levant, je vis mon amant qui louchait vers moi, et mi gratifia, d'un aboiement, qui semblait dire : _alors pétasse, t'a eu ton compte, il me semblait qu'il me narguait en plus, je continue mon chemin jusqu’à la salle de bain, et je laisse couler, au fond de la baignoire, en sortant après, deux heures, si ce n'est plus, le salon était désert, le chien n’était pas là, je passe a la cuisine, je me sert un café chaud, que je prends avec moi au salon avec des croissants, je m'installe confortablement, et commence a siroter mon café, en zappant les chaînes. ouf !, rien d’intéressant, je clique sur la télécommande, la pose et me dirige vers mon micro, que je connecte, je n'arrivais pas a me décider sur quoi aller me poser, et sans que je su comment, j’étais déjà sur un site de zoophilie, je matais des vidéos de femmes baisant, et suçant des chiens, et des chevaux, je sentis mon cœur battre, ma respiration s’accélérait, je me surprend en train de me caresser le corps, j’étais en chaleur, j'avais envie, très envie, telle une droguée en manque, j'allais crier, je me serre les seins, a me faire mal, j’étais toute mouillée,quoi? inondée plutôt, oui. que vais je faire? je me lève, j'ouvre la porte, j'avais l'intention, de prendre ma voiture, et de rouler, a grande vitesse dans n'importe quelle direction, quand je vis, zoltan, zoltan, c'est l'un des mes trois chiens, le troisième c’était dragon, enfin c'est pas moi qui leur ais donné ces noms, ils les avait quand ils ont élus domicile chez moi, je le siffle, et luis fis signe de me suivre, zoltan, était de ces chiens bâtards croisés, et qui avait plus du loup que du chien, musclé, le poils roux, obéissant, mais imprévisible, je n'irais pas jusqu’à dire docile, non, il ne se doutait pas de ce que je voulais de lui, d'ailleurs comment pouvait il s'en douter ? je me dis qu'avec lui je devais faire très attention, et être très prudente, je pris des chaussettes, les lui enfilent en prenant soin qu'elles ne glissent pas, et que ses pattes, et ses griffes ne se trouvent libérées, je dispose des coussins sur le sol, l'un a coté de l'autre, et je me mets sur le dos a poils, sur les coussins, vous devinez pourquoi, pas la peine de vous faire un dessin, ma chatte me faisait un drôle d'effet, elle avait envie, d’être dilatée,je mouillais, j'entre mes deux doigts et les ressortis, tout humides, mon chien était a coté de moi essayant de comprendre ce qui se passait dans ma tête.
    _viens mon bébé lui fis ! approches toi ! là: tout a coté de moi! oui comme ça! t'es chou, 
    je lui tend ma main presque ruisselante, il tend sa langue, curieux mais prudemment et il commença instinctivement a me la lécher, il trouve très vite goût, j'avance l'autre main et je commence a le masturber, je ressentis sa bite qui enflait et essayer de se frayer chemin, de la gaine, je toisais ce bel engin qui fut que mon envie se transforma en folie, je pouvais plus attendre, fallait que je le fasse, j’étais comme qui dirait hystérique. Je lui pris la tête et l’avança, doucement de ma chatte ruisselante, sans gestes brusques, sa langue se mit a la besogne, doucement au début, puis le rythme s’accéléra, j'allais m’évanouir, tout vacillait autour de moi, je ne peux vous décrire le plaisir qui m'envahissait, un plaisir diabolique, intense, qui a fait que je perde toute faculté de raisonner, est ce un rêve? est ce un cauchemar ? je m'en fichais du moment que je vivais un instant ferrique, j’étais a mes pensées quand le chien sauta sur moi et me fit atterrir, sa bouche était contre la mienne, ses pattes de devant m'enserrait la poitrine, son engin cherchait fébrilement une entrée, je passe ma main sous lui, attrapa sa quéquette et la guida, entre les lèvres de ma chatte, ce que je sentis entre mes mains me fis un choc, et je me dis que je ne pouvais jamais absorber ce bidule, et qu'il fallait que je stoppe tout maintenant, trop tard, une douleur me traversa le corps, il était déjà dedans et ses vas et viens, ont commencé, je jouis, j’étais dans un état de droguée la bête me fourrageait inexorablement, je ressentis comme un flot qui se déversait en moi, des rasades a ne pas en finir, je tenais le chien, je le serrais comme si j'avais peur qu'il ne change d'avis, sa langue me léchait le cou, le visage, j'ouvris la bouche et l'attrapa, je me mis a la lécher, il bavait et dans la position, où j’étais, j’étais obligée d'avaler, il ne cessait de jouir, le salaud, et je me demanda combien de litres mon ventre pouvait contenir, lorsqu'un coups brusque, je fus jetée en arrière, l’engin au complet se trouvait a l’intérieur de mes boyaux, la boule est parvenu a se frayer passage, elle aussi, j’étais au ciel, je flottais sur un nuage, la douleur s'estompa laissant place au plaisir immense qui m’électrisait le corps, je sentais ma chatte se dilater, je me demande même s'il ne m'a pas vraiment déchiré le vagin, brusquement il s'immobilisa, il avait fini, de se vider en moi, et c'est là qu'il fallait être attentive, et prudente, maintenant il va se retirer, quand? comment, je n'en sais trop rien, mais la chose que je ressentais en moi, s'il fait ça brusquement, risque de m'arracher le vagin, je me mis a lui parler doucement, et a le lécher,tout et le caressant afin qu'il patiente le temps nécessaire pour la boule de déverser ce qui restait bloqué en elle de sperme, parce que je ressentais en moi les jets qui continuaient a me fouetter,
    _ t'es beau chéri ! m'entendis je murmurer, restes gentil ! je t'adore ! et je le serrais encore plus, contre moi, sa langue me gratifia d'un moment a l'autre d'une lèche magistrale, je désirais que ça n'en finisse pas, ah! s'il pouvait me comprendre, je lui aurais murmurer, a l'oreille des mot doux, mais n’empêche que je lui murmurais 
    _ bravo mon chou, je pourrais jamais te remercier pour ce que tu m'a fait vivre, t'es mon bébé, suis ta chienne, t'es mon amant, 
    _t'es un amour, et je plaque ma bouche contre la sienne dans un long baiser, a croire qu'il comprenait, 
    _ suis folle ! je parlais a un chien et me disait qu'il me comprenait ! ou alors j’étais une chienne et que je ne le savais pas, je ne peux estimer le temps qu'on est resté en sembles enlacés comme deux amants qui avaient peur de na plus se retrouver une autre fois, quand il se retourna, et resta un moment collé a moi, 
    _ mais putain, ça coule encore, cette fois ci, de nous deux, les deux foutres se mélangèrent, de là où j’étais, je voyais son derrière, j’étais essoufflée, 
    _ quand il se libéra enfin, avec un flocccccccccc! je sentis que mon ventre déversait sur le sol une quantité impressionnante de sperme, et de mouille mélangés, qui venaient rencontrer le parquet avec un bruit de ruissellement, mon amant se retourna, et commença a m’essuyer, avec tact, il me lécha partout, la chatte, les cuisses, et le cul qui dans la position où j’étais a eu sa part de semence, puis il s'affaira sur la marre au dessus de mon cul, et il se donna a cœur joie, tandis-que je restais a marmonner je ne sais quoi d’incompréhensible, je me tire un peu loin en rampant, tant la douleur était dure a supporter, je bascule des coussins, et je m'allonge a même le sol toute nue, 
    _si mon mari venait a me surprendre dans cette position, avec le chien qui lapait nos deux semences !
    _ c'est ce qui me fait me redresser avec peine, rejoindre la douche, je restais assise, ne pouvant me mettre debout et commença a me savonner, tout en laissant l'eau couler sur mon corps, et salope que j’étais, et perverse a l’extrême je me mis a imaginer, les deux chiens en train de me sauter comme j’étais, là

    ce qui tarda pas a se concrétiser après quelques jours...
    il était sept heure lorsque je sors de la maison pour faire mon jogging, et comme toujours, je me fais accompagner par un de mes chiens, cette fois-ci, mon choix tomba sur dragon, un caractère de chien, mais je l'aimais beaucoup, depuis le jour où il m'a sauvé la vie d'un serpent que j'ai failli écraser, et la riposte aurait été ; je n'ose même pas l'imaginer.
    après deux heures de courses avec mon compagnon, on arrive à la rivière, cette fois-ci de l'autre côté de la propriété, le soleil était assez haut à cette heure, neuf heures passée de quelques minutes .je m'assois pourà reprendre mon souffle ; lorsque j'entendis mon chien qui grognait en fixant une direction, je suis son regard en lui faisant signe de se coucher, et je m'avance prudemment de quelques pas, pour voir ce qui se passait non loin de moi, et là, je vois, un homme debout qui tendait sa bite à une femme à genoux, qui lui faisait des prouesses, mon regard ne pouvait quitter l'engin, musclé de l'homme, et de là où j’étais, je pouvais voir la taille impressionnante de l'engin que sa main n'en cachait qu'une partie en le tenant, qu'il était beau,! et la femme trouvait son plaisir et gloussait, je mouillais, je porte instinctivement ma main à ma chatte, et je sentis que ma culotte était toute trempée, puis prenant conscience qu'il fallait pas être là, je recule tout doucement et je m’éloigne un peu plus loin pour qu'ils ne s’aperçoivent pas qu'ils n’étaient pas seuls, 
    _je m'affale sur la serviette sur le dos, j'avais le souffle coupé les battements de mon cœur s’accéléraient, qu'allais-je faire ? me joindre à eux par un stratagème ? me présenter directement et leur demander de me joindre à la partie? que diront-ils? et s'ils m'envoient chier au loin? beaucoup de questions sans réponses trottaient dans ma tête, quand mon chien me fit revenir à moi lorsque je sentis sa langue, entre mes cuisses, parce qu’entre temps, j'avais ôté mon pantalon de survêt et ma culotte, il a dû sentir la femelle en chaleur, il râpait soigneusement l'entrecuisse et avec tact, ce qui rajouta à mon désir à tel point que je m'entendis murmurer -ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii mon beau, vas-y, fais moi inonder, tout en lui caressant la tête, lorsque brusquement il s’arrêta et redressa les oreilles, et se mit comme pour protéger sa chienne entre moi et je ne sais quoi, je le calme, en le serrant fort contre moi, et je scrute dans la direction où son regard était allé, lorsque je vis le couple s’avancer vers moi, sans nous voir, je me lève à la hâte, ce qui déplut fort à mon amant à en juger pas son grincement de canines, ils furent plus surpris que moi, 
    - oh pardon, on s'excuse, on savait pas 
    _ et l'homme fait signe à sa compagne de lui emboîte le pas pour s’éloigner
    _ que vais je faire? il était là devant moi, lui qui m'a faite mouiller rien qu'à mater sa bite, et il va s'envoler ? ah, ça jamais, 
    - venez, c’est pas grave faisons connaissance puisque vous êtes là, moi suis S....... et vous? sûrement que vous habitez dans le coin sinon vous serrez pas venus jusqu'ici c’est trop loin de la ville - oui me répondit l'homme vous avez vu juste mademoiselle 
    _madame, vous êtes? _moi c'est Alain et ma copine c’est Hélène, et permettez moi de vous dire madame que vous êtes ravissante,
    - venez et prenez place, enchantée, Hélène approche, n'ayez pas peur, le chien ne fait que ce que je lui ordonne de faire 
    la jeune femme s'approche de moi et s’assit à même le sol, elle était de ce genre de femmes qu'on peut qualifier de mignonnes avec des lèvres sensuelles, son compagnon la rejoignit.
    _je ne trouvais rien à dire pour démarrer la discussion, je leur fis part que je les ai matés, je dis ça tout en regardant le visage d’Hélène et voir l'effet que ça lui ferait, elle rougit, et elle devint encore plus craquante, Alain, me regarda, et de suite - et t'as trouvé ça comment? ah voilà salope c'est à ton tour de bégayer, -he! quoi? enfin ! je rougis, ne trouvant pas les mots, puis tout de go, bien, je lance, en cachant mon visage par mes mains ! sa main était dans ma fente, entre mes lèvres, je pense qu'il n'attendait que ça, que je lui dise que j'ai trouvé ça bien, et honnêtement oui, j'avais envie de cette bite, Hélène que j'avais oubliée sous l'effet du désir qui montait en moi s’était approchée furtivement et commença à me sucer le sein, mon corps se raidit , j’écarte plus les cuisses pour permettre à sa main d'aller encore plus loin, ahhhhhhhhhhhhhhhhh, je n'en pouvais plus je me relâche totalement et m'offris à eux deux, Hélène m'avait soutiré le haut, d'une main experte sans mouvement brusque, ce qui m'enleva toute faculté de raisonner, je ne faisais que gémir, les larmes aux yeux, ma main alla chercher cette belle chose qui m'avait fait tant d'effets, il me facilita la tâche en enlevant son pantalon, je commence par lui caresser les couilles, waooooooooo! comme elles étaient pleines, la langue d’Hélène s'affairait dans ma bouche, ne laissant sortir que des gémissements, elle était formidable, je sentais mon bijou entre mes mains prendre de l'ampleur, et s'endurcir, je retire doucement ma bouche de l’étreinte de la femme et la dirige vers l'objets de mes convoitises, j'eus de la peine à la faire pénétrer dans ma bouche mais j'y arrive quand même, quelle belle bite me disais-je ! avec ma langue je sentis un filet d'un goût salé que je trouvais super, Hélène ne désirant pas rester inactive se trouva une occupation avec les lèvres de ma chatte qu'elle trouva à son goût, de la manière dont elle s'attardait en les mordillant d'un moment à l'autre, je léchais la bite dans toute sa langueur en prenant soin de l’imprégner de ma salive au passage de ma langue, je fis signe a Alain de se mettre sur le dos, ce qu'il fit et je monte sur lui, en tenant sa bite dans ma main je la dirige vers ma fente humidifiée et lubrifiée par ce qui a coulé d'elle, je descendis doucement sur la verge qui écartait ma chair, pour se frayer passage, Alain se redressa un peu de façon qu'il put avoir mon sein dans sa bouche, je l'embrasse sur le front en écartant les jambes de telle sorte que je ressentis un douce douleur dans mon ventre, l'engin avait fini par se caler en moi, je remontais et redescendais à un rythme calme au début qui deviendra à la montée du désir frénétique, AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii? ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE, mmmmmmmmmmmmmmm!puis je me lâche en ressentant mon intérieur se faire inonder, en lui plaquant ma bouche sur la sienne, je l'entendis me dire des mots gentils, il criait, et me traitait de salope, et de cochonne, lorsqu'il avait la bouche libre, là je m'affale sur lui en relevant mes cheveux et lui offrant mon cou qu'il suça et lécha avec grâce, on resta comme ça une dizaine de minutes , puis voyant que je désirais me relever il m'aida, en m'enlevant avec son corps, je tombe à côté de lui sans force, et je le lui caresse le visage, en souriant, puis je lui tends mon bras et l'invite à venir contre mon sein, je continuais à le caresser en l’embrassant sur le front, Hélène est venue se caser dans mon autre sein, je les serre tous deux contre moi très fort, et on resta ainsi pendant des minutes sublimes, et tout n’était pas fini, ce qui allait suivre, dans les quelques instants qui suivirent qu'une autre étape encore serait franchie, attendez moi, pour la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    Il était 13h passées, lorsque je retournai à ma maison, toute bouleversée par ce qui venait de se passer. J'avais baisé avec le premier rencontré, j'avais honte et en plus, j'avais aimé, moi qui étais mariée. Je me dirigeai vers la cuisine, me préparai quelque chose de léger et je me dirigeai vers la piscine. Il faisait très chaud, j’ôtai mes vêtements, ne laissant sur moi que le string et le soutien et je m'allongeai sur un matelas, étalé sur le bord. Je sirotais mon jus quand le mobile sonna, c’était Hélène, avec qui, entre temps, j'avais échangé nos numéros.

    « Ah, c'est toi, Hélène ! Ça va, depuis ?
    – Oui, ça va, ma belle, Alain est tout remué par ce qui s'est passé, il a trouvé super et pour tout t'avouer, moi aussi, merci !
    – Pourquoi me remercier ma belle, j'ai trouvé mon compte aussi !
    – On se retrouve au même endroit ? J'en ai envie, qu'en dis-tu ? Alain est d’accord ! »

    Je ne m'attendais pas à ça, je fus surprise ! Je mis du temps à lui répondre. Je réfléchissais et me demandais si je devais accepter, puis tout de go !

    « Écoute, Hélène, j'ai une meilleure idée : je vous invite chez moi. J'habite tout à côté, vous traversez la rivière, je vous attends, à côté de la piscine, ok ? »

    Elle mit du temps, il me semble qu'elle demandait l'avis d’Alain et la réponse fut :

    « Waoooooooo ! Super, on y sera dans une demi-heure ! Merci, sincèrement, vous êtes formidable et très belle, ravissante !
    – Hélène, vais rougir ! T'es mimi aussi, allez, je vous attends ! »

    Je raccrochai, en pensant à ce qui allait se passer dans quelques minutes.
    Lorsqu’ils sont arrivés, je fus surprise de constater qu'il y'avait un autre jeune homme avec eux. On s’embrassa et Hélène s'empressa de me présenter au jeune homme :

    « S..., c'est Jaques !
    .. Jaques, c'est S... ! »

    Je les invitai à s'assoir et m'entourant la taille d'une serviette, je filai au frigo leur ramener des bières fraîches, en revenant, je constatai qu'ils s’étaient mis a l'aise.

    « Vous avez une maison magnifique, madame !, me fit Jaques.
    – Merci, oui je l'avoue et j'adore vivre ici, suis gâtée, je le reconnais ! »

    Alain se poussa et me fit place tout à côté d’Hélène, de telle sorte que je me retrouvai à côté de Jaques et lui, se trouvait tout au bout, serré contre Hélène.
    Jaques tendit la main et tout doucement, mit à nu mes seins et sans attendre ma repose, il déposa un long baiser sur mon sein gauche, je balbutiai, mais rien ne sortit de ma bouche, sa langue s’affairait sur mon nombril, en descendant.

    « Ahhhhhhhhhhhhhh!oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

    Je me sentis vaciller en arrière, je ne voulais pas qu'il s’arrête à mi-chemin, je tendis la main, Hélène me prit le verre de jus et le déposa, loin, tout en guidant ma tête sur ses cuisses nues. Jaques s'empressa d'enlever tous ses vêtements et ce que je vis me fit fermer les yeux, une bite d'au moins 24cm se balançait non loin de moi, je mouillais ! Alain me prit la main et la dirigea vers sa bite que je sentis durcir, Hélène me caressait les seins, j'allais m’évanouir. Jaques écarta mes cuisses, enleva mon string en le déliant et commença à descendre son engin vers ma chatte. Je tressaillis à son contact, je descendis l'autre main libre et lui caressai le torse. La bite était déjà moite, je ressentis une douleur dans le bas ventre, l'engin a commencé la pénétration, douloureuse, mais, ô combien enivrante et il s'abattit de tout son poids qui devait faire dans les 80 kg sur moi. J’écarte encore plus les cuisses, je voulais l'avoir tout en moi, je criais de plaisir, je jouissais, c’était beau. Il prit tout son temps, lorsque je le sentis se raidir en moi, je passai mes jambes autour de lui et je le serrai comme pour lui insinuer qu'il devait stopper un peu. J’étais au septième ciel, ses lèvres sensuelles vinrent se coller au miennes, sa langue était dans ma bouche. Je buvais sa salive que je trouvais agréable, lorsque je ressentis une rasade de sperme chaude cingler mes entrailles. Je me raidis, ma respiration devint saccadée, je le serrai, comme une folle, contre moi, jusqu'au moment où je m’éclatai dans des « ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouilleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! »

    Je ne sais combien de temps on resta comme ça, Jaques se retira de moi, tout doucement et se releva, je voulais me relever, aussi, quand Alain m'intima l'ordre de me mettre à quatre pattes, ce que je fis sans dire un mot. Il vient derrière moi et m’enfonça sa bite dans ma chatte toute lubrifiée avec force. Hélène se coucha sous moi. de façon à ce qu'elle offre sa chatte à Jaques qui était revenu a la charge et que sa bouche soit à hauteur de ma chatte en-dessous. Jaques me tendit sa bite pour la lécher et la sucer, elle me remplissait toute la bouche, puis me demanda de la prendre et de la guider vers l'antre d’Hélène qui gloussait. La salope, elle me sirotait le clitoris pendant que son compagnon me fourrageait. Alain commença à se retirer, tout doucement, de mes entrailles. Je ne cessais de jouir et lorsque le bouchon se trouva enlevé, la cochonne reçut tout le liquide sur le visage et dans la bouche.

    Jaques ressortit son engin, lui aussi et éjacula sur mon visage et sur la chatte d'Hélène, puis il me prit par la tète et m'invita a la lécher. Deux chiennes qui se léchaient mutuellement, nos deux langues étaient allées chercher, profondément, le nectar délicieux des deux mâles mélangé à nos nouilles. C’était super, on se relâcha, éreintées. On essayait de récupérer. quand Alain cria :

    « S..., qu'a-t-il ce chien ? »

    Je relève la tête et vit Zoltan, les crocs dehors !

    « Tout doux, mon chou, viens !, lui fis-je. C'est des amis ! Approche ! »

    Je disais ça tout en réfléchissant à ce que je devais faire, maintenant. Il a cru, sûrement, que sa chienne le trompait avec un autre chien. Il s'approcha de mon derrière et d'un coup de sa tête, me fit revenir à la position où j’étais :

    « MERDEEEEEEEEEE ! PAS MAINTENANT, SALAUD, PLUS TARD ! »

    Rien n'y faisait, il était en chaleur. Je demandai à Hélène de rester comme elle était pour ne pas le mètre en colère. Sa langue commença son œuvre, sur les parois de ma chatte, avant d'aller chercher plus loin, jetais au bord de la folie.

    « S..., que dois-je faire ? Il me lèche le visage !
    – Rien, Hélène, restes comme tu es et caresse-lui la bite !, ce qu'elle fit.
    – S..., elle est toute dehors, je fais quoi ? »

    Les deux hommes n'en croyaient pas leurs yeux, un berger allemand sur le point de sauter sa maîtresse et leur amie qui le caressait.
    « Hélène, guide la bite vers ma fente et n'aie aucune crainte, il ne vous ferra aucun mal ! »

    Je sentis la bite de mon amant entre les lèvres de ma chatte qui était lubrifiée à tel point que je ne ressentis pas la douleur de la première fois, au contraire, un désir envoûtant m'enveloppa, et je m'entendis crier :

    « OUI, mon bébé ! REMPLIS TA CHIENNE, JE SUIS TA SALOPEEEEEEEEEEEEEEE ! »

    Ses mouvements devenaient de plus en plus accélérés, sa bite ne cessait de prendre du volume, elle me remplissait, les jets de foutre me bâtaient l’intérieur, ça n'en finissait pas de couler, la boule était venue suivre le reste, s’incruster dans ma fente. Hélène me lapait du-dessous, tout en regardant, hébétée, le truc du chien pénétrant au plus profond de son amie. Après quelques minutes, le chien arrêta son va-et-vient et resta collé à moi.

    « S..., t'es sûre que ça va pouvoir ressortir ce que j'ai vu pénétrer ? »

    Je ne lui répondis rien, j’étais épuisée, à tel point que je tremblais. De longues minutes s’écoulèrent avant qu'il ne se retourne, il resta un moment ainsi, puis le "BLOC" et l'engin se trouva libéré de ma fente, après que la boule ait craché tout ce qu'elle contenait comme sucs. Je vous laisse imaginer ce que la pauvre Hélène a reçu sur le visage et dans la bouche, ouverte par la surprise, Je me contractai plus encore et je lui envoyai tout le foutre qui restait coincé en moi. Je l'entendis crier, sous le choc de la surprise, je compris qu'elle n'avait jamais eu connaissance de ce qui se passait là devant elle et avec elle. Zoltan revint à ses deux chiennes et commença à les nettoyer méthodiquement, comme il savait si bien le faire. Sa langue faisait l'aller-retour du visage de la chienne sur le dos au vagin de la chienne à quatre pattes, comme s'il ne voulait pas faire de jalouses. Puis, je me retournai, une fois qu'il ait eu fini sa besogne. J'aidai Hélène à se relever, je la serrai contre moi, pour la rassurer. Je fis un geste au chien qui s'approcha et qu'on enlaça, toutes les deux, en gloussant. Dans une étreinte fabuleuse, nos lèvres se collèrent et nos langues allèrent, dans nos bouches, laper ce qu'il y'avait de nectar succulent au fond de nos palais, devant les regard hébétés des hommes et du regard protecteur de notre amant qui semblait dire : « gare à ceux qui touchent à mes chiennes ! ».Ils n'en revenaient pas, les pauvres !

    « Hélène, comment l'as-tu trouvé, ma belle ?
    – Formidable, me répondit elle, j'adorerais essayer !
    – Aucun problème, ma biche, mais pas maintenant et promis que tu graviras le mont Everest de désir, crois moi ! »

    Après ça, on retourne aux mâles qu'on avait oubliés et on continue nos ébats, jusque tard dans la nuit, en puisant des forces, dans la nourriture et dans les fruits. Ainsi se passa cette journée qui allait ouvrir des chemins à d'autres, plus folles encore !

    Attendez-moi pour la suite d'une autre étape qui va être franchie..., comme c’était beau !

    La perverse


     



     
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