• Le blog de nounou

     Je me souviens de mon départ du village, ma nounou Annie. C’était hélas il y a longtemps, c’est un souvenir marquant. Presque tous les ans mes parent « m’expédiaient » chez ma nounou. Elle me comblait de petits cadeaux, de diverses choses que j’aimais... est arrivé le temps de mes premières masturbations, précédées d’une émission nocturne, la première, en plus chez elle. Je me souviens encore du réveil en pleine nuit, la petite bite bandée qui giclait encore une dernière goutte, pendant que je finissais de déguster ma première jouissance. Je me suis vite rendormi. Le matin j’étais honteux de ce qui m’étais arrivé. Je me demandais ce que je devais dire ou taire. J’ai préféré ne rien dire, il me semblait honteux ce qui m’était arrivé. 
    Annie en faisant mon lit a bien du s’apercevoir que j’avais déchargé dans les draps. Elle ne m’en a rien dit: elle a simplement changer les draps pour faire une lessive. Brave Annie. 
    Je me souviens que je prenais l’habitude que je conserve encore de me branler. Pour ne pas laisser trop de traces, je jouissais maintenant dans un mouchoir, sauf si je prenais un bain, j’adore les bains ou je lavais mon corps en général et ma bite en particulier. J’étais presque entièrement dans l’eau chaude, ma main autour de ma petite bite, petite même bandée. Ma main faisait ce que font toutes les mains des garçons de mon âge. Evidemment je le faisais deux fois, une première fois d’urgence dès que je mettais un pied dans la baignoire. La suivante fois c’était avant de sortir: je préférais cette deuxième branlette qui durait longtemps. Je me régalais de jouir, et de voir mon sperme flotter sur l’eau.
    A chaque grande vacance, je revenais. Puis vint l’année... J’étais grand, j’avais du poils au pattes, je me sentais un homme. Pour moi c’était une jeune chienne en chaleur. Comme souvent je me branlais dans ma chambre. Seul détail, j’avais oublié de fermer la porte. J’étais pratiquement nu, ma main pleine de ma queue. Je ne sais même pas si je fantasmais. Je sais que je sentais mon plaisir venir, j’arrêtais souvent pour ne pas jouir de suite. J’ai senti une main, celle d’Annie qui remplaçait la mienne. J’ouvris les yeux: elle regardait ma bite en souriant.
    - Laisse moi faire, tu jouiras bien mieux.
    - Et après?
    - Après je t’apprendrai ce que tu ne sais pas.
    Ce que je ne sais pas, à mon âge je savais comment étaient les hommes et les filles, je savais que ma bite devait aller dans un con. Je savais que ça faisait du bien.
    Elle m’a fait jouir mieux que moi. Pendant qu’elle partait finir son ménage je me rhabillais lentement. Je ne connaissais pas la suite, j’espérais qu’elle n’en parle pas à mes parents, qui sait. Au repas le soir, elle bavardait comme si de rien n’étais. Au moment du dessert elle s’est levée, a ouvert son peignoir, elle était nue dessous!!! Ma première femme nue, défraîchie sans doute, mais une vrai femme. Je voyais sa poitrine un peu tombante, son ventre et surtout sa chatte poilue. 
    - Approche petit, viens toucher, viens caresser mon con.
    - Je n’oses pas.
    - Tu dirais ça à une fille qui se donne à toi? Non, alors, viens me caresser, sinon je ne te branles plus. 
    Je bandais comme un taureau, je m’en souviens comme si c’était hier. J’avais mal à la bite, pourquoi il fallait que j’aille lui caresser la chatte? Elle pouvait bien me branler encore. 
    J’étais obligé de faire ce qu’elle voulait. Debout près d’elle j’ai le regard fixé sur ce sexe de femme. Elle laisse tomber son peignoir, nue, maintenant elle m’entreprend. 
    - Déshabille toi, toi aussi, n’ai pas honte, je t’ai vue petit nu je ne sais combien de fois et tout à l’heure je t’ai fait jouir, même que ton sperme est venu sur moi. Allez, presse toi. 
    Elle me bouscule alors que je pensais que l’amour était plein de douceur. Elle prend ma main droite, la pose sur ses poils, la fait descendre vers son sexe humide. Elle prend deux doigts qu’elle pose sur un petit organe, son clitoris. 
    - Caresse le, doucement, sans appuyer. Je sens qu’il grossit comme une petite bite. Plus il grossit plus Annie gémit. Arrive un moment ou elle me demande d’appuyer un peu plus: dans les secondes qui suivent je la sens se crisper:
    - Salaud, tu m’a fait jouir. Suce moi maintenant.
    Elle colle ma figure sur son con, je sens des odeurs inconnues, excitantes. Je retrouve l’engin que je lèche: son goût m’excite encore plus que cette odeur de femelle. Elle est appuyée sur la table, les jambes écartées, ma bouche posée sur elle. Ma langue lui fait du bien. Je suis tellement excité que je commence à me branler, tant pis pour elle, elle l’aura cherché. 
    Pas question que je jouisse seul. Elle a un orgasme plus fort que tout à l’heure. Cette fois elle s’assied sur une chaise, me fait appuyer sur la table. Je la regarde avec curiosité quand elle me prend dans sa bouche. Le premier contact de sa langue sur ma queue, l’entrée dans sa bouche ouverte. Les va et vient: elle a pris ma bite jusqu’au bout, je sens ses lèvres contre mon pubis. Ses joues sont pleines de ma queue. Je suis écroulé de plaisir. Il me semble trembler: quelle jouissance, quel orgasme inconnu. Je ne me doutais pas qu’une simple femme donne tant de plaisir. Elle accompagne sa fellation d’autre caresses sur les couilles, un doigt visite mon cul pour s’y loger un instant: elle me fait jouir. C’est bon avec son doigt dans le cul. Je ne pensais jamais jouir ainsi. 
    - Maintenant tu vas te coucher, nous recommencerons demain ou alors cette nuit, si j’ai envie de jouir.
    - Maintenant je ne peux pas: je débande.
    - Tu l’aura voulu.
    Elle m’embrasse sur la bouche, sa langue vient contre la mienne. Nu comme je suis, je commence à bander un peu. 
    - Attends, allons dans la chambre, je vais te montrer des détails que tu ne connais pas.
    C’est vrai je ne connais pas ce qu’elle se fait: couchée les jambes bien ouvertes à ma vue, je vois toute sa féminité de son cul à son clitoris. Elle passe une main rapidement comme pour chercher quelque chose. Elle arrête vite sur son clitoris. Avec deux doigts elle caresse ce bouton. Elle soupire jusqu’à crier en jouissant. Elle n’arrête pas ainsi, elle se met un engin dans le con. C’est un godemichet qui ressemble à ma bite, elle le rentre directement dans le puit. Elle le fait aller et venir. Elle demande ma bouche pour l’embrasser. A mon tour d’entrer ma langue. Je vois du coin de l’œil sa main guidant l’engin. Elle le sort. Je pense qu’elle a fini, pas du tout, elle le rentre dans son cul. Elle s’encule seule, avec moi à ses coté. Ma bite a vite repris son aspect civilisé: elle bande.
    Annie la voit, elle arrête sa sodomie pour me demander de la baiser. Je suis d’une maladresse extrême. Elle fini par prendre la queue dans sa main. Elle pose la bite sur son vagin, appuie juste un peu. Je me sens aspiré par son ventre. Qu’elle impression de bonheur, de jouissance, de plaisir. Elle commence la danse de l’amour: elle me fait glisser en elle. Ma bite vit dans un paradis, humide et chaud. Je m’y sens bien à l’aise et pourtant je la sens autour de moi, entièrement, c’est moi le prisonnier. Mais que c’est bon. Hélas tout a une fin: je jouis comme jamais. Je sens mes spasmes accompagnés des siens. J’ai joui, elle a joui. 
    Elle me veux encore: elle me suce une autre fois, me demande de la sucer aussi. Nous sommes en 69. Le premier, pas le seul de ma vie. Elle lèche tout le sperme que j’ai autour de ma pine. Elle arrive surtout à me faire bander à nouveau, à mon âge c’est parait-il normal.
    - Viens me la mettre au cul.
    - Maintenant?
    - Oui, j’en ai besoin, tu vois j’aime tout, surtout dans le cul, souviens-t-en pour les autres filles, elle refusent souvent et quand elle y goûtent elles adorent.
    Elle se tourne, écarte les fesses: je vise le trou noir que je vois. Ma bite est assez dure. J’entre en elle assez facilement. Elle aussi se donne du plaisir avec le gode. Je le sens à coté de ma bite. Je sens surtout ses jouissances et la mienne en dernier: j’ai du vider mes couilles. 
    Hélas, tout a une fin: je dois rentrer chez moi. La veille nous avons fait l’amour plusieurs fois, elle est même venue sur moi pour se la mettre au cul. Ce matin, avant de partir, nous ne pouvions baiser, alors elle m’a sucé une dernière fois. La prochaine est dans un an. Qu’elle leçon de choses elle m’a donné. Depuis je ne l’ai jamais oubliée, surtout pendant mes masturbations. 

     

    L’année suivante je suis retourné chez mon ancienne nounou, Annie. Il me tardait d’arriver pour baiser. Elle m’avait tout appris, il ne me tardait que d’une seule chose, quelle me branle avant tout. Ma bite était celle d’un adolescent de 17 ans, pratiquement celle d’un homme. 
    Je n’avais jamais pu baiser une de mes camarade de classe, sauf rapidement une fille dégourdie qui ne cherchait qu’à faire du « chiffre » en amant. J’en avais été déçu, même si elle m’avait fait jouir normalement. 
    Maintenant j’avais libre cours pour mes désirs: je voulais l’enculer à nouveau: son anus me plaisais dès cette seule fois. Je m’y étais trouvé bien logé, bien serré, mon sperme avait plus de place là que dans sa chatte. 
    Dès que nous étions dans la maison, seuls, elle m’embrassait sur le bouche. Cette fois c’est ma langue qui entre dans la bouche. Elle pose sa main sur ma bite: je bandais déjà. A mon tour, je pose ma main sur sa chatte: je ne sens pas de sous vêtement. La garce a prévu le coup. Elle aussi doit avoir envie de moi. Elle me le disait bien que je bandais comme il faut, que je la baisais vite. 
    Elle commence à me déshabiller, comme les autres fois, depuis que je suis petit. Je me laisse faire: ma queue se dresse comme un mat devant moi. J’ai envie de jouir. Pas question maintenant: il faut ranger mes affaires dans l’armoire: comme elle reste près de moi pour me surveiller, je range comme je peux, nu de la tête aux pieds avec ma bite qui ballote. De temps en temps elle caresse une fesse. Elle va même jusqu’à passer un doigt dans la raie fessière. Je la laisse faire: tout ce qu’elle prodigue est formidablement bon; même si le doigt caresse l’anus pour y entrer un tout petit peu.
    Enfin j’ai terminé. Nous ne sortons pas de ma chambre qu’elle aussi est nue. Elle s’allonge sur le lit, les jambes ouvertes. Sans pudeur elle fait ce que j’aime la voir faire: sa main caresse le clitoris. Son ventre se creuse quand le plaisir arrive: elle arrête tout ce qu’elle fait. Dès qu’elle est calmée, elle recommence. Quand elle jouit je ne me retiens plus, je bande trop: je me branle et jouis en quelques seconde sur son corps. 
    - C’est bien mon petit, c’était bon pour moi. Et pour toi?
    - Oui, mais trop rapide. 
    - Nous allons recommencer après manger, tu verra. Ne t’habille surtout pas: je vais te bouffer la queue. 
    En guise de bouffe de queue c’est un vrai repas de fête qui nous attend. Il commence par un concombre assez gros: il n’est que pour elle. Sa chaise est poussé assez loin de la table, elle y pose ses talons, le concombre lui sert de gode. Je regarde la pénétration du légume dans son ventre. Pour accentuer son plaisir elle pose deux doigts sur son anus. Je les vois entrer dans le cul facilement. Sa tête ballote dans tous les sens; elle gémit de plus en plus fort. Son regard est toujours sur ma bite que je caresse devant elle. Le concombre entre et sort de plus en plus vite: elle se régale, allant jusqu’à crier son plaisir. J’éjacule sur la table, dans les assiettes, sur la nappe même dans un verre. 
    Elle sort le légume de sa chatte pour le changer d’endroit: elle écarte bien les fesses, ouvre son anus comme rarement et entre lentement le bout du concombre. C’est un spectacle que je n’ai jamais vu. Elle arrive à le rentrer en entier, et même, je ne croyais pas ça possible, le mettre tout entier dans son cul. Je me demande comme elle va le faire sortir: d ’une seule poussée, comme si elle allait au gogues, le légume ressort. Il ressort en la faisant jouir. 
    Je ne pensais jamais qu’elle soit si débauchée. Elle n’insiste pas quand je refuse de manger comme elle le concombre.
    Nous prenons un repas rapide, elle m’emmène dans sa chambre. Nous nous couchons, elle me caresse, je lui rend ce qu’elle fait. Quand elle prend ma queue pour la masturber un peu, je maltraite son clitoris.
    L’heure n’est pas à la masturbation. Elle vient sur moi, m’enjambe avant de se planter la bite dans le con. Je suis presque immobile, j’attends simplement les résultats de son gamahuchage. J’ai retrouvé son intérieur, son puit mouillé, agréable. Elle se fait mettre à fond. Je ferme les yeux comblé par cette femme âgée. Enfin je sens monter de mon intérieur un plaisir inouï. Avant moi, je la sens jouir. Je dois éclabousser tout son vagin avec ma semence. Pour l’après midi nous arrêtons là. C’est à cet instant qu’elle m’annonce la nouvelle, sa fille que je connaissais plus âgée que moi arrive tout à l’heure. 
    J’en suis peiné, je ne pourrait plus baiser avec ma nounou. 
    - Ne t’en fais pas; elle aussi aime baiser, tu devra satisfaire deux femelles en chaleur. 
    Moi, baiser deux femmes, je n’y arriverai jamais.
    C’est une fille hyper sexy qui arrive. 
    Même au lycée, les plus impudiques des filles sont plus vêtues: elle porte une jupe ras de la touffe, un chemisier transparent, des petites bottines lacées et…………c’est tout. La baiser doit être une rareté. Elle embrasse sa mère au coin des lèvres, à la limite un peu sur la bouche. Pour moi, aucun embarras, directement un baiser sur la bouche. 
    - C’est toi qui baise maman?
    - Oui, c’est elle qui me l’a demandé.
    - C’est bien, elle baise comment?
    - Pour moi très bien.
    - Moi aussi elle me baise bien. Si tu veux nous pourrions baiser maintenant à trois.
    J’ignorais qu’à trois on pouvait baiser, ça semblait normal aux deux femmes. 
    - Je m’appelle Sophie, comme celle de la comtesse. 
    Sophie vient m’embrasser mieux que sa mère. Elle prend ma queue pour la jauger: je bande pas mal:
    - Dis moi, tu bande bien pour un jeune de ton âge, tu dois faire du bien dans le cul. Mais avant je te veux dans ma chatte que tu suceras aussi.
    Elle s’allonge à coté de sa mère qui lui caresse les seins et tient une main comme pour la soutenir. Je mets ma tête dans ses jambes ouverte. J’y vois une chatte bien humide, rasée, avec de grosses lèvres très apparentes et en haut son clitoris qui bande déjà. Je ne cite que pour mémoire le petit trou bien sympathique. Je passe ma langue depuis ce petit trou vers son clitoris. Je goûte au passage sa cyprine; qui est moins forte que celle de la mère. Je m’attarde juste un peu dans le puit. Je chemine ensuite vers son cul. Là je lèche l’anus qu’elle entrouvre: le goût est différent, j’entre la langue le plus possible. Elle est l’objet de convulsions de jouissance. Sophie me prend par la tête pour que je remonte. Je survole son ventre et sa poitrine: nous avons les bouches soudées. Ma bite est juste là où il faut pour la satisfaire, pourtant c’est elle qui fait ce qu’il faut pour que je la baise. Ses bras m’entourent en me serrant fort. Je sens pourtant un doigt venir sur mon cul et y entrer. Mes mouvements de va et vient font que j’enfonce ce doigt dans l’anus: c’est drôlement bon. 
    Sophie jouit encore juste après moi. 
    Pour les deux femmes, la mère et la fille il faut continuer. J’assiste à un embrassement de sexe. C’est la seule fois de ma vie que je vois une mère et sa fille se faire l’amour, même si plus tard j’ai vu des nanas baiser entre elles. Ce n’est pas excitant, c’est hyper excitant. Je les vois se branler, se sucer en 69, se lécher les culs, les seins et tout ce qu’une femme peut avoir à être sucer. Je les regarde en bandant toujours. Elle m’offre deux culs, j’en profite. J’encule d’abord la nounou qui ne demande pas mieux de m’avoir dans le cul avec la langue de sa fille sur le clitoris. Dès que je sens sa jouissance je vais dans le cul de la fille. Avec elle c’est différent: son anus est plus étroit, plus jouissif donc. Je suis au paradis. Elle aussi certainement puisque elle jouit encore plusieurs fois. 
    Je sens que mon séjour va être différent, plus fatiguant mais récréatif. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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