• Le monde d'un Nouvel enseignement

    Les élèves arrivent séparément dans l'institution. L'enseignement est particulier : les parents savent bien ce qu'ils font en envoyant leur enfants au château, surtout les filles qui ne sont admises... 
    En gros c'est comme un lycée, pour l'enseignement général, sauf que tout le monde est pensionnaire. Les dortoirs sont tous sur le même étage, les filles d'un coté, les garçons de l'autre. 
    Les professeurs savent tous ce qui attend les élèves le soir ou la nuit. Parce que l'enseignement le plus important est sous la coupe d'un couple marié. Lui, Robert,est taillé comme un rugbyman, elle, Martine, au contraire est fine comme une déesse. Ils s'aiment depuis toujours, ils aiment surtout les plaisir qu'ils se donnent. Les seuls moments les plus prisés pour eux, ce sont les vacances, au moins il font ce qu'il veulent autant de fois qu'il veulent.
    Donc à partir de 20 heures, après les heures d'études, le repas et le moment de détente, commence la leçon pris en commun, filles ou garçon souvent mélangés. La salle est simplement un dortoir. Là où leur montre tout ce qui fera d'eux des filles et des garçons du grand monde. Monsieur Robert, se met en tenu, c'est à dire nu. Madame Martine reste habillée légèrement. Le spectacle du corps de Robert intéresse au plus haut point les filles, à degré moindre les garçons qui restent admiratif des dimensions du sexe au repos. La première leçon commence par l'apprentissage des bonnes façon de se masturber. Tous les élèves se regroupe autour du professeur. Robert a la faculté de ne pas avoir de pudeur et surtout de bander sur commande. Tous les garçons regardent la bite monter et gonfler. Les filles regardent la même chose avec des yeux différents. Les garçons regardent pour prendre une réelle leçon de branlette. Robert leur montre les diverses façons de prendre un plaisir solitaire. Comme il est long à jouir, il peux demander aux élèves, filles ou garçons de venir lui toucher la bite. Les filles curieuse viennent toutes le toucher, lui caresser la bite, certaines même posent leur lèvres sur le gland. 
    La leçon s'arrête vite, sauf qu'il y a un prolongement, destiné aux filles : branler un homme. Là, c'est Martine qui après un streptease en règle vient contre son mari, l'embrasse sur la bouche. Elle prend ensuite la queue de son mari, l'embrasse un peu avant de la prendre à pleine main. Elle fait coulisser sa main sur la queue. Si elle est lente au début, elle fait remarquer qu'elle va de plus en plus vite. Les filles regardent toujours intéressées les mouvements.
    Presque tous les garçons se branlent en regardant le spectacle. Certaines filles en font autant. Souvent Martine arrête les mouvements, Robert n'aiment pas jouir trop vite. Martine fait approcher les filles pour voir comment elle finit et surtout voir le sperme jaillir. A la fin, la main de Martine s'agite très rapidement, jusqu'au moment ou Robert jouit. Son jet de sperme va très loin avec une force insoupçonnée. Certaines filles en reçoivent sur le peu de vêtements qu'elle portent

    Le lendemain, c'est le tour de Martine. Elle arrive nue pour ne pas perdre de temps. Elle reste debout entourée de tous. Elle commence par se caresser les seins, un long moment. Quand elle sait qu'elle mouille elle écarte les jambes à la recherche de son bouton. Avant de satisfaire son désir, elle prend sa chatte entière dans une main. Ensuite, elle caresse son clitoris longuement en arrêtant souvent : elle veut faire durer son plaisir. Si les garçons se masturbent en la regardant, la plupart des filles font comme elle : elles sont nues ou presque, passent leur mains sur leur sexe bien mouillé. 
    Quand Martine pose un doigt sur l'anus, la plupart ne croient pas qu'elle en ai un plaisir particulier. En regardant de plus près on peut voir le doigt s'enfoncer dans le rectum qui en connaît d'autre. Martine aime se branler souvent, pour elle c'est un genre de récompense. Elle enseigne bien au fille que se masturber le cul est comme se masturber la chatte. Certaines essayent par curiosité. 
    C'est à partir de la fin de ce cours que les filles surveillées par le couple peuvent au su de tous se branler dans leur dortoir. Presque toutes suivent les meneuses vers la salle d'eau. Là se déroulent les leçons particulière du couple enseignant. Certaines se font masturber par Martine ou Robert. Elles n'ont pas de préférence. D'autres s'arrangent entre elles. La toilette du soir devient souvent un début de partouze, encouragée par des profs qui vont baiser tout à l'heure. Tout le monde est nu, tout le monde voit de sexe de l'autre, surtout la bite du Prof. Robert aime cette ambiance de filles en chaleur, il bande toujours, quelque fois encouragé par une main de gamine. Le quartier libre se termine. Tous doivent rejoindre leur lit. La plupart profite ce sera pour la prochaine fois.
    Pour Robert et Martine enfin il peuvent s'aimer comme un couple presque normal. Sauf que Martine s'est laissée masturber par une des filles les plus salopes. Ce n'est pas cette petite faveur qu'elle a eu qui remplace ce qu'elle adore : la bite dans le ventre ou dans la bouche, elle jouit pareil. Nus ils étaient, ainsi ils sont libre de se coucher. Leur chambre n'est séparée du dortoir que par un cloison ouverte la plus part du temps : ainsi ils peuvent montrer tous les ébats. Comme tous les premiers jours, après les masturbations les filles restent prostrées de fatigue : elles sont trop jeunes encore pour jouir longtemps.

    Le lendemain comme tous les soirs, Robert et Martine donnent leur cours. Les choses sérieuses commencent.  Les élèves vont commencer à apprendre à bien baiser. Avant il fait expliquer les règles de la jouissance, les garçons pensent que le simple fait d'entrer dans une fille suffit à lui donner du plaisir. Les filles plus pratiques espère se faire bien caresser avant de se faire mettre. Le couple d'enseignant se déshabille devant les élèves comme tous les jours. Cette fois il n'est pas nécessaire de dire pour se mettre tout nu. Le peu de pudeur a déjà disparu. D'ailleurs certains couples se forment.
    Robert couche Martine sur le lit. Ils s'embrassent longuement sur la bouche. Robert entame la partie préférée de Martine, il embrasse ses seins, lui suce les tétons, passe sa main sur le sexe de sa femme pour lui caresser le clitoris, c'est oublié des garçons. Robert bande fortement, ce qui attire la main de sa femme.
    Tous les élèves sont excités, certains se masturbent devant leur camarades, d'autre entame des liaison pas encore apprise, surtout les filles qui se masturbent entre elle. Les garçon sont plus « sage » : aucun ne branle l'autre sinon un couple qui va plus loin en suçant la bite de l'autre : procédé pas encore enseigné. 
    Robert enfin se positionne entre les jambes écartées de sa femme qui en prenant la bite en main la place comme il convient juste à l'entrée de son puits. Martine, elle pose ses talons sur les hanches du mâle, prête à l'assaut final. La bite va et vient dans son sexe, elle glisse plutôt. Tous les jeunes les regardent de près, examine comment la bite entre et sort, où est le clitoris pendant cette baise. Ils regardent les couilles qui viennent frapper les fesse de la baisée. Certains s'intéressent également au seins écrasés par le poids de l'homme. Le couple oublie qu'il est regardé par des jeunes ; ils baisent, ils vont jouir ensemble c'est la seule chose qui compte. Mais tous emportés par le spectacle vivant ne peuvent faire autrement que se satisfaire. 
    Ce soir pas de cours privé, chaque pensionnaire doit réviser. Chez les garçons, les discutions vont bon train. Ça doit être bon de baiser, quel est le sommet du plaisir atteint. Les nudités laissent voir les bites bien dures et bandées. La plupart des élève de ce dortoir se couchent nus, parlent encore en se masturbant. Les jets de spermes font que l'odeur s'en repend dans toute la pièce.
    Chez les filles, les conversations sont du même domaine que chez les garçons. Il leur tarde de pouvoir baiser, aussi, elles sont nues sur leur lit, les mains entre les jambes pour compenser le manque de bite : elles aussi se caressent dans le seul but de jouir.  Les plus gourmandes recommencent une ou deux fois. Un seul couple portée vers le lesbianisme s'aiment en se suçant, bien en avance sur l'enseignement.
    La fin de semaine est consacrée au repos. Sauf que les professeurs de baise restent sur place. Ils profitent de samedi soir pour s’aimer en baisant. Logés dans le dortoir des filles ils savent qu’ils sont espionnés : peu leur importe : leur nature exhibitionniste est de nature à augmenter leur plaisir en se sachant regardés par les autres jeunes qui finalement ont ainsi des leçons supplémentaires. Les garçons rejoignent les filles pour regarder eux aussi. Si les filles et les garçons restent sages un peu, là les couples se forment non pas pour baiser : ils n'en sont pas capables encore, au moins les garçons de faire jouir les filles normalement. 
    Ils se contentent de baiser très appuyer et de masturbations : toutes les filles en sont friandes. Souvent des couples se forment selon les goûts de chacun et s’isolent, non pas pour se cacher, mais pour être plus tranquilles. Les garçons commencent toujours par embrasser les filles et leur caresser les seins, pour descendre lentement sur la chattes. En gros, ils appliquent ce qu’ils ont appris. Les filles attendent toujours d’avoir au moins un doigt sur le clitoris avant de prendre la bite dans une main. Les plus attirés sont les garçons qui ne pensent encore qu’à leur propre plaisir. Les filles, plus pratiques et surtout attirées par les garçons s’arrangent toujours pour jouir avant leur petit copain. Certaines curieuses font jouir leur partenaire dans leurs bouches curieuses du goût de sperme.
    Si les élèves s’amusent à touche pipi, Robert et Martine baisent même s’ils sont vus. Robert a déjà peloté sa femme, qui adore ce genre de distraction. Dès qu’une main de Robert est sur la chatte, Martine ouvre ses jambes pour recevoir la main de son mari-amant. Son clitoris est déjà proéminent. Elle murmure qu’elle veut être branlée. Elle prend déjà dans sa main la pine de son époux. Elle ne le branle pas encore. Elle attend de jouir des mains de Robert. Ses jambes s’ouvrent de plus en plus et pourtant en jouissant elle emprisonne la main de Robert entre ses cuisses. Elle commence à branler lentement la bite de son mari. Elle le connaît : elle sait qu’il met très longtemps à jouir. 
    Ce soir elle a envie de se faire mettre partout. Elle se met sur Robert, son sexe près à être traversé par la queue de Robert. Elle est à la manœuvre : elle se laisse tomber doucement jusqu’au moment où elle sent le bout de la bite contre la matrice. Elle se relève pour recommencer. Son désir est tel qu’elle commence à raconter n’importe quoi :
    - C’est bon, j’aime ta bite, je vais te la bouffer quand tu me boufferas la chatte. Elle est dure, tu me la mettras au cul ? Pelotes moi les seins, branles moi le clito.
    Robert fait tout ce qu’elle demande pour jouir. Quand sans avertir elle jouit autour de la queue, elle sort lentement pour planter la pine dans son cul. Elle est penchée en arrière se reposant sur ses bras posé sur les cuisses de Robert. Elle fait aller et venir la bite dans son cul en poussant des petits cris de plaisir. Robert se laisse aller en jouissant dans le cul.
    Les élèves ont pris une bonne leçon de baise. Les filles les plus dévergondées, celles qui s’aiment à deux le soir se proposent aux garçons, avec le risque de se faire repérer par Robert ou Martine qui interdisent tous véritables rapports. Un seul couple se fait des débuts de baise, tous ratés à cause de ‘inexpérience. Ils sont tous là pour apprendre à bien baiser et à bien en jouir, pas comme ça au débotté.
    Presque tous les élèves sont fatigués, alors que Robert et Martine n’ont toujours pas fini leur séance d’amour. Après un lavage aux lavabos, ils retournent finir leur entreprise. Cette fois c’est Robert qui veut faire un 69 : il y a longtemps qu’il n’a pas eu d’orgasme dans la bouche de Martine. C’est lui qui commence par se mettre sur le dos, la bite bien plantée en l’air. Martine vient sur lui, le sexe contre la bouche de Robert, en arrangeant bien ses seins sur son mari. Elle prend la bite à la base bien dans sa main, l’autre vient également pour faire descendre un peu le prépuce. Enfin, elle lèche légèrement le gland pour le manger entièrement. Sa tête monte et descend lentement en tenant la queue dans la bouche. Elle connaît son homme : elle sait exactement le moment de la jouissance. Elle fait durer longtemps la fellation. Quand elle estime que l’ultime moment arrive, elle ne fait plus que lécher en laissant la bite là où elle est. Le jet puissant de sperme ne l’effraye pas au contraire. Elle garde longtemps le sperme dans la bouche, en le dégustant. Avant de l’avaler, elle le partage avec la bouche de Robert qui le lui rend. 
    Le dimanche est férié pour tous, même les élèves qui voient leur famille à qui ils racontent leur aventures. Certains parents, rare, demandent à leur rejeton de partir avec eux, la plupart des parent les laissent en leur donnant des conseils, surtout les mamans. On peut entendre par exemple :
    - Fais bien tout ce qu’on te demande, quand tu seras en âge de te marier, tu auras de grandes chances de tomber sur un garçon peu évolué ; tu lui apprendras à baiser comme il faut. Tu jouis bien au moins.
    Ou encore :
    - Tu apprends bien mon fils, tu sais tu rendras une fille heureuse si tu la baises bien.
    La semaine suivante commence enfin les choses plus sérieuses. Il s’agit de se donner du plaisir en couple. Même si les élèves filles ou garçons se sont amusés, il faut leur apprendre sérieusement comment bien faire. Cette fois Robert et Martine sont habillés. Ils refont les mêmes gestes qu’un couple normal fait en début de « fréquentation ». Cette fois les élèves doivent être par couple pour refaire ce qu’ils voient. Les choses sont simple, passer une main sous une jupe ou dans un jean, aller à la rencontre d’un clitoris ou d’une bite. Le principal étant de faire jouir la fille en premier et le garçon en second, en même temps que la fille jouit une autre fois. 
    Ce que font Robert est Martine semble simple et pourtant la plupart des élèves ratent leur exercice. Il faudra que les garçons soient patients pour bien faire jouir leur compagne. La suite de la leçon est reportée au lendemain. L’attente les a fait mûrir, cette fois, sauf un garçon tous réussissent à faire ce qui était demandé. Il est visible que les exercices portent leurs fruits. Il arrive souvent, maintenant de voir de jeunes couples se former pour jouer ensemble. Le plus remarquable est que les couples n’est pas fidèle, les participants changent souvent.
    Les semaines se suivent pour bien assimiler les diverses situations. 

    La suite montrera la montée en puissance de la baise proprement dite.
    Cette nouvelle semaine est l'ouverture des contacts à deux, pas encore à deux sexes. Non, aujourd'hui les filles doivent apprendre à faire l'amour et faire jouir d'autres filles. Les garçons assistent aussi aux leçons. Martine est la professeur chargée de ses cours. Robert la laisse se débrouiller, il n'aime pas la voir se donner aux autres filles, sinon, il sauterait sur le premier cul venu. 
    A la surprise générale quand Martine entre dans la salle, elle est déjà nue. Elle porte avec elle du matériel éducatif : gode simple ou double. Suffisamment bien faite et sexy, elle s'en fiche un peu. Elle sait qu'elle va faire des jalouses : elle doit choisir une partenaire pour une baise entre filles. Si Martine aime ce genre d'amour, les filles sont rare à savoir comment les femmes peuvent se donner du plaisir entre elles. Chaque fille inscrit son nom sur un papier avant de le mettre dans une boite d'où sortira la participante. C'est le seul moyen de ne pas faire de jalouses.
    Le sort est de bonne augure, la fille élue est très sexy, d'après ce qu'en sait Martine elle n'est pas tout à fait vierge. Comme toutes les participantes doivent être dénudées, Martine connaît déjà les plastiques des unes et des autres. Martine prend dans ses bras la fille, l'embrasse sur la bouche, chose qui étonne la plupart des élèves pour qui un baiser se pratique entre un garçon et une fille. Sa langue entre dans la bouche de sa compagne du moment. L'autre se laisse faire, même quand elle reçoit la langue au fond de sa bouche où là elle commence à rendre le baiser. 
    Les mains de Martine sont vite en chemin pour caresser le jeune corps qui en frémit. Le pelotage commence par les épaules pour descendre sur les seins. Là, elle commence à caresser en corolle avant de triturer à peine les tétons qui commence à durcir. La fille ferme les yeux la tête en arrière pour profiter du plaisir qu'elle sent arriver. Il est trop tôt pour un orgasme, il faut que la main vienne sur la chatte. Martine sait bien branler les jeunes filles. Elle passe par dessus la fourrure pour arriver sur la fente du sexe. 
    Elle fait tout en douceur, surtout quand elle écarte les grandes lèvres. Son objectif n'est que le bouton. Elle trouve une chatte bien mouillée, ce qui est bon signe, ensuite elle prend à deux doigts le clitoris pour le branler. Son amante du moment se laisse tomber de plaisir. Martine l'accompagne pour lui donner l'orgasme qu'elle sent proche. La fille jouit comme une folle : elle gémit très fort en disant des mots tel que
    Oui, c'est bon, j'aime me faire branler, j'en veux encore, remets ta main, fais moi jouir encore.
    Martine ne l'écoute pas : elle sait qu'elle va encore jouir. Par contre elle demande à la fille de s'occuper à son tour de son sexe. Ignorante de la façon de masturber une autre femme, elle le fait presque contrainte et forcée. Elles sont couchées maintenant, Martine une cuisse sur celle de l'autre, dirige la main de son amante vers son sexe. La fille cherche un peu le bouton avant de trouver l'endroit où masturber l'autre chatte. Si au début, elle est maladroite, rapidement elle comprend ce qu'il faut faire. Elle est fière de recevoir des félicitations de Martine quand celle ci jouit à son tour. 
    Toutes les élèves se masturbent soit isolées, soit le plus souvent avec une copine. Martine demande aux impétrantes de ralentir leur plaisir, le plus important arrive. Même Martine désire que tout se passe dans l'ordre, elle a trop envie d'avoir sur sa chatte la bouche de l'élève. Elle la tourne pour que son sexe soit en vue de tous, elle se couche sur elle sort sa langue pour lécher toute la chatte, sans oublier le petit trou où elle force un peu avant d'entrer. Sa partenaire ne connaissait pas du tout ce qu'elle ressent.

    Depuis les leçons de masturbations les filles savent déjà comment jouir en se branlant le cul. Elles ne se doutaient pas qu'une langue serait aussi, sinon plus jouissive qu'un doigt. 
    La cobaye jouit encore, et recommence quand son clitoris est léché. Il lui faut un moment avant de penser à lécher Martine qui aussi attend ce plaisir, même si après elle se fera mettre par Robert, qui, malgré ce qu'il dit la regarde se livrer à un combat de lesbiennes. Les deux filles sont en 69, elles jouissent pour la dernière fois ensemble, ce qui vaut à la jeune fille un baiser passionné sur le bouche. 
    Martine invite maintenant les filles à faire ce qu'elle vient de faire. Les couples se forment vite, toutes les filles sont couchées au milieu de la salle en 69, toutes se lèchent pour finalement jouir à peu près toutes aussi.
    Cette nuit, Martine sait que les filles cette fois se retrouveront à deux dans un lit, cette fois avec une préférée. Après avoir bien baisé avec Robert, il feront un tour dans le dortoir pour voir les résultats du cours. Ils savent qu'il est inutile d'aller voir les garçons qui de toutes façons se branlent déjà. 

    Le lendemain arrive le tour des garçons à apprendre à jouir avec un camarade. Robert aime beaucoup moins ce cours, et pourtant il jouit bien quand un joli garçon pas mal de sa personne le suce.
    Nu, comme presque toujours Robert arrive dans la salle de cours. Il désigne au hasard son partenaire. Les garçons bandent déjà, pour Robert, c'est simple, il commence par une fellation qu'il donne à ce garçon. Il ne le fait pas jouir encore, alors que la plus part des élèves suce un voisin. Aujourd'hui Robert est en forme. Il se fait sucer devant les autres. La langue du jeune garçon est agile sur sa bite. Le prépuce est vite descendu, la gland déjà dans le bouche. Robert qui habituellement ne veut pas jouir avec les garçon cette fois se laisse aller. Son jet de sperme et puissant : il déverse tout dans la bouche de son amant qui avale tout sans se plaindre. 
    Toujours en forme, Robert veut montrer aux autres comment se faire enculer avant de leur montrer comment enculer. Il excite fortement son jeune amant qui bande à nouveau : sa bite semble même avoir grossit de savoir qu'elle va dans le cul du prof. Robert se met en levrette, ouvre ses fesses à deux mains, demande au jeune de lui tartiner le cul de salive et de poser sa bite sur le petit trou. 
    Le fait de se faire enculer excite Robert qui bande comme un âne. La bite va et vient dans son cul, il sent bien les mouvements et la grosseur. Il sait qu'il va jouir encore. Cette fois il jouit bien avant celui qui l'encule : son sperme part en cascade au sol. 
    Le résultat avec les garçon est mitigé : certains sont contents de se faire mettre, d'autre de l'avoir mise. Quelques un, rares, n'ont pas aimé l'avoir dans le cul. Il leur apprendra plus tard d'autre formule pour jouir avec une fille qui met un doigt ou plusieurs dans leur cul : ils adoreront.
    C’est la dernière semaine.Martine et Robert réunissent tous les élèves pour les dernières leçons, celles qui leur serviront toute la vie : baiser en couple. En plus il faudra que tous jouissent. Les enseignants connaissent déjà tout les élèves, ils savent que tous sans exception seront capable de trouver des orgasmes : jusqu’à présent tout ce qui a été enseigné l’a été dans ce but. Le couple s’installe au milieu de tous les élèves, très attentifs : ils savent qu’il faudra qu’ils se baisent pour arriver au vrai plaisir de copuler à deux. La scène et la même que dans une chambre. Robert et Martine s’embrassent sur la bouche. A partir de ce moment rien n’est truqué, le plaisir montré sera réel. Robert descend sa bouche sur la gorge de Martine qui penche la tête pour bien profiter du baiser. Il commence à lui caresser les seins à travers les vêtements avant de revenir sur le cou. Martine tient son mari contre elle par la taille. Il lui tarde d’avoir un sexe dans sa chatte ou son cul, dans son ventre quoi. Robert part du principe que même si elle le lui demande il ne fera rien pour la satisfaire vite. C’est meilleur quand le désir est à son comble. 
    Martine gémit en demandant de se faire mettre. Tranquillement Robert se penche pour relever la jupe de sa compagne afin de baisser le string pour que sa langue aille dans la chatte. Martine écarte les cuisses pour que le cunnilingus ait lieu rapidement : elle a une envie folle de jouir. Quand Robert pose le bout de la langue sur le clitoris, Martine pousse un soupir de soulagement : il lui tardait d’avoir un orgasme. Elle pose une main sur la tête de Robert, comme pour lui interdire de partir. Il la connais assez pour savoir comment la faire jouir encore mieux, il entre un doigt dans le fondement de Martine qui ne peux s’empêcher de gémir fortement. Son orgasme et rapidement venu. Elle se couche en entraînant son mari. Elle sort la bite bien bandée. Martine le branle à pleine main. Robert l’empêche d’aller trop loin : il se relève pour se mettre nu. 
    Martine l’attire sur elle. Robert trouve sa lace entre les cuisses. Sa bite connaît le chemin du puits de son épouse. Il est vite juste à l’entrée de la chatte, entre les lèvres très humidifiée par la cyprine délivré sans mal par le vagin. Il attend encore un peu. Enfin la bite entre lentement dans le vagin offert. Aussitôt les jambes de Martine se nouent sur les fesses de Robert. Il ne forme plus qu’un seul corps réuni par les sexes. 
    Bien sur tous les élèves sans exception regardent en étant très excités : la plupart se branle déjà. Tous ont déjà appris que la hâte ne sert à rien en matière de plaisir.
    Robert lime sa femme devant, donc tous. Elle gémit de plus en plus fort, juste avant de jouir. Robert sort du con pour la retourner et l’enculer. Les garçons pensent à juste titre que l’enseignement donné l’autre fois sert à quelques chose : certains doivent se retenir de faire des propositions homo à des camarades qui y succombent.
    Robert jouit dans le cul de sa femme qui en jouit également. 
    Maintenant tous les élèves connaissent les façons de jouir, en solo, en double ou en baisant normalement. Pour cette nuit, les garçons sont invités chez les filles qui ne demandent pas mieux, sauf quelques unes qui préfèrent les filles. 
    La nuit est très chaude ; les couples se forment vite. Les inspirations très fortes indiquent que l’un ou l’autre du couple prend son pied. Certains cris aiguës indiquent une jouissance féminine. L’ambiance est telle que personne n’arrête. La nuit tourne à une partouze géante. Ils ont vite fait le lien entre leur jouissance propre et celle des voisins. Certain comprennent vite qu’en partageant les partenaires leur sexualité augmente vite.
    Vient alors le surlendemain l’examen final. Les deux enseignants sont les seuls à noter. Quoi qu’il arrive, tous seront reçus : ils ont fait suffisamment d’heure d’apprentissage qu’ils sont capables de baiser même avec des gens très portés sur les orgasmes.
    Pour favoriser les masturbations, des films pornos, ultra réalistes sont projeté. Les surprises viennent quand ils s’aperçoivent que certaines scènes orgiaques viennent d’eux même. Les mains vont de plus en plus vite sur les sexes humides pour les filles et durs pour les garçons. Tous voudraient recommencer une immense partouze. L’orgie finale est pour ce soir. Ils seront libres de s’organiser comme ils veulent. 
    Après les masturbations, viennent par ordre : les contacts homos soit filles soit garçon. L’étonnant est de voir que les filles se livrent facilement à d’autres filles pour prendre leur plaisir, suivis de positions pour baiser ou enculer.
    Au début certains filles trouvaient dégradants de se faire mettre par derrière. Beaucoup y ont pris goût et le réclament. Les garçons sont toujours volontaires pour loger leur bite dans un cul. 
    Martine surveille le déroulement des baises. Elle connaît déjà les vainqueurs de l’examen. Elles laissent se dérouler les baises comme les étudiants le veulent. 
    Quand elle donne les résultats, comme toujours les gagnants sont fous de joies. Les autres se font une raison : de toute façon en sortant ils sauront faire bonne figure au cours de réunions particulières organisées par des particuliers. Certaines filles se destinent à la prostitution de luxe : devenir escorte girl est leur rêve. Pourquoi pas. 
    Enfin la finale est là, la grande orgie à laquelle participent tous les élèves et pour la première fois Martine et Robert. Ceux ci ont porté tous ce qui est nécessaire : godemichés de forme différentes, huiles pour faciliter des pénétrations spéciales qu’ils feront à certains. Martine arrive habillées plus que sexy, alors que Robert, même si ça ne ce voit par ne porte sur lui qu’un pantalon et un débardeur. 
    L’ambiance est à la fête. Tous savent que demain ils ne se réveilleront que très tard, certains rompus des contacts physiques avec une autre personne. 
    Attardons nous sur Martine qui se livre à ses propres plaisirs : ce soir elle est libre de baiser avec qui elle veut. Elle ne veut que des filles, surtout une qui lui a tapé dans l’œil : brune, yeux clairs, grande et au fessier majestueux. 
    Quand elle l’aborde la fille comprend vite ce que lui veux Martine, elle n’est pas contre une relation lesbienne, au contraire. Par contre elle se laisse guider, intimidée par son professeur. Pourtant dès le premier baiser, elle se détend complètement. Sa nudité est parfaite pour la suite qui vient ; une main de Martine est vite sur sa chatte. Elle ouvre les cuisses pour se faire masturber : ce n’est pas ce que chercher Martine : elles se couchent sur un lit. Là, enfin Martine cherche le bouton de son amie, elle la branle pour arrêter rapidement. C’est sa bouche qui va donner le plaisir. Elle embrasse la fente comme si c’était une bouche. Entre les jambes bien écartées, Martine lèche toute la moule. La fille se laisse aller dans un remarquable concert de gémissements. Quand elle enjambe son amante, son sexe est sur la bouche de l’autre. Elles commencent une série de 69 qui les mène plusieurs fois au 7° ciel. Martine plus au courant entre trois doigt dans l’anus de la fille qui essaie de lui en faire autant.
    Robert a repéré une fille des plus âgées, aux lèvres gourmandes qu’il a déjà vu faire des fellations. Il lui semble qu’elle se débrouille pas mal. Elle est déjà avec un des garçons. Elle se fait baiser avec un plaisir non dissimulé. Robert s’approche du couple, donne sa bite à lécher : la fille doit bien aimer ça. Deux bites ensemble dans son corps, pourquoi pas.
    C’est vrai qu’elle pompe plutôt bien. Malgré son retard en jouissance, Robert se laisse avoir, la fille doit être la reine des suceuses. Il sent venir très vite le sperme. Il ne se retient qu’un très court instant. Il doit jouir vite. Ses jets de semence sont puissants. La fille en a la bouche qui déborde. Tant pis, elle avale ce qu’elle peut en récupérant ce qu’elle a laissé filer. Elle aussi jouit, sans que Robert soit certain que c’est à cause de lui ou de l’amant de la fille qui lui aussi lâche son sperme dans le sexe de l’autre. 
    Les baises se terminent quand la plupart des élèves sont épuisés. 
    Le lendemain après midi, tous sont près pour partir et rentrer chez eux. Les séparations sont l’objet de nombreux baisers. 
    Armés pour la vie, les élèves deviennent monsieur et madame tout le monde. Sauf qu’entre leur jambes ils sont les plus fort. Ils peuvent conquérir le monde des débauchés.



     



     




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