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Tu es belle quand tu jouis Frangine...
Ma demi-sœur, fille d’un premier lit de la seconde femme de mon père,... ma cadette vint un jour de Perpignan et me demanda de l’héberger. J’acceptais bien volontiers tout en lui faisant remarquer que je n’avais guère de place.
Elle avait bien changé depuis le temps que je ne l’avais vue. Vivant avec ma mère je voyais surtout mon père aux vacances, lorsque j’étais enfant. Mais je n’avais pratiquement plus vu ma sœur depuis..., sauf en coup de vent lorsque j’étais allé en Espagne via Perpignan.
La toute jeune fille qui sonnait à ma porte, en fin d’après midi, était très jolie, pas très grande, la peau assez hâlée, les yeux plutôt verts, bien dessinés, les cheveux aux épaules, châtain avec des mèches plus claires. La bouche bien ourlée et souriante. Son visage me disait quelque chose mais je mis quelques secondes à la reconnaître. Il fallait effacer le souvenir de la gamine espiègle que j’avais un peu connue. Ce ne furent pas effusions, mais simplement embrassades et bavardages pour se reconnaître, ou tout simplement se connaître. Ce premier soir je travaillais de nuit, la dernière de ma période. Après un repas frugal parce qu’improvisé, je la laissais seule et partais à la bibliothèque la tête un peu obsédée par l’image de la presque inconnue qui avait partagé mon repas.
En rentrant vers sept heures et demie, je fis un peu de bruit qui la réveilla. Je lui proposais de déjeuner avec moi et lui annonçais que, crevé, dormant debout, j’irais aussitôt me coucher. Elle me rétorqua:
- Pas de problème, il est un peu tôt, mais j’aime bien me lever tôt et j’ai plein de trucs à faire dans Paris.
Elle se leva pour passer dans la salle d’eau et je vis qu’elle avait dormi nue. Elle passa devant moi très naturellement, sans ostentation particulière. Elle était toute bronzée mais ne devait pas faire de l’intégral. Les traces du maillot deux pièces dessinaient de jolies formes blanches sur sa peau. En particulier de jolis petits seins pointus ou le mamelon tranchait en couleur sur le blanc laiteux de la peau, de belles fesses, bien blanches elles aussi, bien dessinées et une toison pubienne assez brune mais pas trop dense. Je mettais mon mouchoir sur mes réflexions, buvait un thé avec elle après qu’elle eut passé un peignoir, je pris une douche rapide et allais me coucher. J’avais l’habitude de dormir nu également, mais pour la circonstance j’avais mis un Tee-shirt XXL. J’allais m’allonger et dans un demi-sommeil je l’entendis tirer la porte derrière elle.
Le soir, comme j’étais en repos le lendemain, je l’invitais dans une petite pizzeria en bas de chez moi. Nous prîmes un apéro et un peu de vin. Sans avoir trop mangé, après avoir beaucoup parlé, nous rentrâmes assez gais. Me déshabillant dans la salle d’eau et reprenant mon tee-shirt, je lui dis que nous serions contraint cette nuit, de partager le même lit.
Elle me répondit:
-Je le sais bien, mais tu es mon frère, non? Pour moi, il n’y a pas de problème.
-Pour moi non plus. Sois tranquille.
Je lui tendais un tee-shirt de la même taille et elle partit dans la salle d’eau. J’allais m’allonger dans le lit qui était assez grand et entrepris de lire un peu. Elle vint se coucher à coté de moi, côté mur, il n’avait pas de lampe de chevet de ce côté.
-C’est embêtant! J’aimerais bien lire un peu moi aussi, comment je fais?
-Pas de problème, je suis un peu fatigué, tu vas prendre mon côté et moi le tien.
Je me levais et faisais le tour alors qu’elle glissait sous la couette près de la lampe.
J’étais presque assoupi lorsqu’elle éteignit la lumière et sembla se rapprocher de moi. Il ne faisait pas froid. Sentir sa présence à mes cotés me réveilla complètement. Je me retournais vers elle. En fait, elle était allongée sur le dos, les bras le long du corps sous la couette, mais à me toucher. Dans la pénombre, je voyais ses yeux ouverts qui regardaient au plafond, son profil joli qui se découpait.
En me retournant, involontairement, sans y prendre garde, le tee-shirt était un peu remonté à ma taille et ma verge soudain dégagée se trouva au contact de sa peau, sa cuisse ou sa main, je ne pouvais le dire avec précision. Elle sembla ne pas sentir le contact et n’esquissa aucun mouvement de retrait. Moi, par contre, réalisant la situation, je ne pus contrôler une érection qui s’imposa assez rapidement.
Par petites contractions, je faisais pression contre ce qui était sa cuisse ou le dos de sa main. Elle resta un temps sans réagir puis ses doigts s’agitèrent et s‘enroulèrent ou plutôt s’emparèrent de ma verge bandée. Elle me branlait doucement sans dire un mot, sans bouger le reste du corps, sans me regarder, les yeux toujours fixés vers le plafond. Enfin elle tourna son visage vers moi. Habitué à l’obscurité je voyais ses yeux brillants. J’approchais mon visage, effleurais le sien, nos bouche se touchèrent puis s’ouvrirent. Bouche très ouverte et langue agile, j’allais trouver la sienne et visiter ce lieu excitant. Sa main se serra nettement sur ma verge. Stimulé, j’allais chercher sous son tee-shirt, d’une main, sa toison et son sillon. Pour descendre entre ses cuisses, je fis un peu pression, car elle gardait les jambes serrées. Je glissais franchement la main entre ses cuisses et les écartais doucement. Sur ma sollicitation insistante, après une courte résistance, elle les écarta finalement lentement mais très largement. Je pus ainsi commencer à visiter des doigts sa jeune chatte à loisir.
Je parcourrais d’abord les grandes lèvres que j’ouvrais délicatement. Après avoir effleuré son prépuce, ce qui lui arracha un murmure, j’encourageais son clitoris à se décalotter, Elle frissonnait et laissait échapper des grognements alors que nos langues s’emmêlaient. Bientôt je glissais très aisément un, puis deux doigts dans sa vulve chaude, qui était désormais bien mouillée d’excitation. Je me hissais sur un coude, la regardant dans la semi obscurité, tout en même temps je lui dis:
- Je ne suis pas raisonnable, Marie-Claire, un frère et une sœur! C’est interdit! C’est de l’inceste! Mais je te trouve vachement attirante.
- Justement, dit elle, c’est tabou! Mais c’est très excitant, l’interdit, l’immoral! Le secret de famille!
- C’est ça qui t’excite à ce point et qui te fait mouiller comme ça? Ta chatte est vraiment trempée, c’est un plaisir de la visiter.
- T’aimes ça? J’aime beaucoup tes caresses. Tu es très doux, et visiblement tu connais les femmes et même le sexe féminin. Et puis, t’es pas mal comme mec! Je suis une femme avant d’être ta sœur.
Tout en parlant elle continuait à me branler.
- Tu mouilles vraiment beaucoup, j’aimerais bien goûter ta liqueur, connaître ta saveur. J’ai très envie de lécher ta chatte, tu veux bien?
- Tu ne vas pas me croire, mais c’est la première fois qu’on me le fait! Je veux bien, j’en ai bien envie, mais attends, ça t’ennuie si j’allume la lumière? J’ai très envie de te voir et de voir ce que tu fais.
- Oui, allume! Moi aussi j’ai envie de te voir. Je suis très voyeur et j’aime bien regarder ce que je fais. Ça me plaît bien.
Je retournais la couette pour nous découvrir, j’enlevais mon tee-shirt. Elle alluma la lampe de chevet et ôta également son tee-shirt. Je la contemplais nue, redressée sur ses avant bras, en attente, les jeunes seins blancs fermes, les petits mamelons hérissés, les cuisses désormais bien écartées sur ce triangle blanc et sa toison pubienne à peine fournie surmontant cette bouche rose pale et luisante qui m’attirait tant. Je m’allongeais entre ses jambes, écartais à deux mains les grandes lèvres de sa jeune chatte, j’ouvrais également doucement mais fermement les petites lèvres roses liserées, rouges foncés en haut et contemplais, béat, le joli puit rose, baignant dans une liqueur un peu blanche et crémeuse qui s’offrait à moi. Cette vision était terriblement excitante.
Je ne pus résister à donner un coup de langue sur ses muqueuses liquéfiées, chargeant ma langue de sa liqueur. Elle eut un soupir. J’aidais alors, d’un doigt d’horloger, le clitoris à se décapuchonner complètement et se dresser plus encore. Rose presque blanc, il se gonfla de vigueur et d’énergie. Je le pris dans ma bouche alors que j’enfonçais et faisais, doucement, aller et venir deux doigts trempés de son nectar, dans sa vulve. Tout en la suçant, j’admirais ses seins durcis, ses tétons bruns dressés sur ces petites collines laiteuses, ses yeux qui ne me lâchaient pas.
-Hoooo, c’est bon! dit elle, c’est super bon! J’aime! Tu aimes, toi?
Je répondais par un « Hon, hon » affirmatif, sans desserrer mes lèvres. Je respirais sa toison, son odeur qui avait rapidement anéanti celle du gel douche. Sa respiration à elle, était maintenant plus lourde, et des soupçons de râles lui échappaient.
Elle mit alors sa main droite sur ma nuque, glissant ses doigts dans mes cheveux. Mes doigts s’agitant dans son fourreau sentaient ses sphincters les enserrer. Je frottais doucement mais consciencieusement son méat puis la partie ferme et légèrement râpeuse qui le suit en entrant dans son vagin. Elle avait mis les deux mains sur mes tempes et agitait ses doigts à la cadence des miens.
Elle me disait:
-Oui, oui, oh j’aime! Tu me lèches super bien, c’est bon! je n'ai pas encore rencontré de garçon qui lèche...
Je vis à ses yeux quand elle commençait à partir, et je le sentis à ses contractions. J’activais encore plus mes succions et le frottement de ma langue, j’accentuais aussi un peu la pression de mes doigts. Elle poussa un râle rauque, puis deux autres moins forts, son corps fut arc bouté, cabré, secoué, tendant sa chatte vers moi, puis elle retomba et me demanda doucement d’arrêter de la lécher. Je gardais ma bouche ouverte sur son sexe épanoui, mes doigts toujours fichés en elle. Sa respiration était devenue plus calme. Son regard était brumeux, très émouvant. Reprenant doucement ses sens, elle me dit:
-Oh, la, la! C’est super bon! On ne me l’avait jamais fait avant! C’était génial! Quel pied! Ta langue et tes doigts! Tu es un expert! Vraiment super! Houou, c’est bon! C’est violent! J’ai vachement aimé!
Je dégageais mes doigts trempés, les léchais avec volupté, ramenais fermement ses jambes vers son torse et lui dit:
-Tu as mouillé très abondamment, ta chatte est encore pleine de liqueur, j’ai envie de la boire dans ta chatte.
Avant toute réplique, j’enfonçais ma langue dans son vagin et lapais tout ce que je pouvais.
Elle se laissait faire avec ravissement. Enfin rassasié, je me redressais en lui disant:
-Merci, tu es succulente! Et très excitante!
Elle me regardait tendrement en souriant, puis avisant ma puissante érection:
- Et toi? Tu es toujours bien raide! Tu veux venir en moi? Tu peux, si tu veux, je prends la pilule tu sais!
Je lui dis:
- Non, laisse-toi aller. Récupère. On ne fait pas un troc. Ce n’est pas orgasme contre orgasme. J’ai eu énormément de plaisir à te lécher, à boire ta liqueur et à te sentir jouir. Tu es bien? Alors je suis bien.
- Oui je suis très bien, mais ce n’est pas du troc. J’ai envie aussi de te faire plaisir. Tu veux bien? Tu m’as vue jouir, toi!
- Oui, bien sûr que je veux. Mais tu sais ce que je voudrais?
-Non, quoi?
-Que tu me suces!
-Ah bon? fit elle avec une petite moue, mais tu sais, j’aime pas trop le goût du sperme, me répondit-elle
- Ah, tu vois! N’en parlons plus! C’est pas très important.
- Non, non, écoute, je veux bien essayer. Je ne suis pas une oie blanche, je l’ai déjà fait, mais…
- Mais…? Tu n’as pas aimé? Ne m’avale pas si tu n’aimes pas! Tu me recracheras dans un Kleenex, il y en a une boite là! OK? De toute façon je te préviendrai quand je vais jouir.
- D’accord! Si tu veux!
Je me redressais et je l’invitais à se mettre à genoux. Je la regardais, nue à mes pieds. A la dérobée je contemplais notre image dans la glace murale, elle agenouillée, assise sur ses talons, les mains sur ses cuisses, ses jolis seins blancs pointus tranchants sur sa peau bronzée, le visage tendu vers moi comme on attend l’hostie à la première communion. Elle était vraiment très excitante, très bandante. Moi, debout, la queue tendue vers son visage. J’approchais ma verge raide et gonflée de sa bouche, à toucher ses lèvres et, plongeant mon regard dans le sien, lui ordonnais:
- Ouvre grand ta bouche, que je te fourre ma bite! Comme ça! Suce ma belle! Suce ma bite! Avale ma queue! Pompe la! J’ai les couilles pleines qui ne demandent qu’à se vider. Fais-moi gicler dans ta bouche!
Je lui retirais ses cheveux longs en arrière et contemplais son visage d’encore jeune adolescente absorber doucement ma verge raide. Elle avait dans un premier temps, saisi ma queue dans une de ses mains et s’activait avec un réel talent. Je m’excitais à contempler sa bouche engloutir et ressortir, aspirer, suçoter et engloutir ma bite. De temps en temps, elle me relâchait et léchait au bout de mon gland, les larmes de sperme qui suintaient, comme on lèche une glace, puis me reprenait. La main gauche maintenant appuyée contre ma cuisse, elle caressait mes couilles gonflées de la main droite. J’avais le sentiment qu’elle y prenait un réel plaisir. Souvent je croisais son regard qui cherchait le mien, pour mesurer la qualité de sa prestation. En levant les yeux elle avait presque un regard implorant, mais de fines pattes d’oie rendaient ses yeux gais. Je lui disais:
-C’est très bon! Continues comme ça! Suces ma queue, Marie! Tu pompes vraiment bien! T’es vachement excitante! Je n’arrive pas à croire que tu n’aimes pas ça! Moi, j’aimerai te regarder pomper des dards comme tu me suces! J’aimerais bien te regarder sucer des mecs devant moi!
Je lui appuyais de temps en temps sur la nuque pour enfoncer mon gland jusqu’à sa glotte. Elle retenait alors son souffle pour me prendre jusqu’au fond de sa gorge. Puis elle me dégageait et se concentrait sur mon gland qu’elle tétait comme un veau tire sur le pis. Elle se montrait plus que docile, très active.
Je lui dis alors *:
- Tu suces divinement bien, petite sœur! Probablement comme une professionnelle, ou une actrice de porno! Et te regarder sucer est super excitant. Une bite dans ta bouche, quel spectacle! T’es vraiment une sacrée pompeuse! Pour quelqu’un qui n’aime pas le sperme, t’en as visiblement pompé déjà des bites! Des belles et grosses queues bien raides de mecs, hein! Et avec plaisir! Si ça se trouve c’est toi qui prenait l’initiative, n’est ce pas? ils croyaient te forcer mais tu n’attendais que ça! T’aimes bien avoir une bite raide dans la bouche, hein! Et je suis sûr que t’aimes bien sentir le mec jouir dans ta bouche! Tu dois aimer sentir la bite tressaillir lorsqu’elle fait gicler sa crème! Tu aimes quand tu as la bouche pleine de foutre épais, hein!
Je contemplais son activité dans le miroir, ses jeunes seins durs à éclater piquaient presque mes genoux, et sa bouche qui s’activait.
Mes mots m’excitaient bien sûr, mais la stimulaient également à continuer de plus belle, quand je lui annonçais:
- Attention, mignonne, je vais venir! Je viens, Marie! Je vais gicler! Tu vas avoir la bouche pleine de mon foutre! T’es prête? Je-je…Ohhh, ohhhh, ouiii, ouii, je jouiiiis!Je tenais son visage une main sur chaque tempes et me vidais par puissantes saccades au fond de sa bouche. Au bout de trois jets, que je sentais puissants, je me retirais assez pour ne pas qu’elle s’étouffe. Les dernières giclées, terminées à la main, allaient asperger son visage, une paupière et ses cheveux puis, barbouillant au passage une joue, allait ruisseler jusqu’au menton, d’où pendait maintenant un filet laiteux et gluant.
Je lui dis alors:
- Tu m’as bien reçu! Je t’avais prévenu, mais tu m’as gardé! J’ai bien vidé mes couilles! Ouvre ta bouche! Fais-moi voir ma purée!
Elle se releva, le visage largement maculé de sperme, me fixa dans les yeux en ouvrant la bouche en grand. Sa langue était bien blanche de crème laiteuse un peu épaisse. Mes giclées avaient vraiment été puissantes. Elle en avait gardé beaucoup en bouche et ses lèvres étaient liées par des petits filets blancs collants. Mais contre toute attente, elle referma alors la bouche et commença à déglutir, toujours en me regardant et en souriant. Puis elle reprit ma bite en bouche pour achever son « travail »! Je me dégageais et m’abaissais pour l’embrasser et tenter de lui reprendre une partie de ma semence. Après tout c’était à moi! Elle en fut toute surprise mais ne partagea pas grand chose, bien que le baiser fût long, baveux et super collant.
Elle me dit après:
- Le sperme que j’avais goûté avant ne m’avait pas plu mais le tien est vraiment agréable. C’est une découverte. J’en ai avalé quand même, pas mal. Les premiers jets je ne pouvais pas y échapper! Et j’ai vraiment bien aimé! Mais te sentir exploser, et ma bouche se remplir, ça c’est super excitant! ça m'a fait mouiller terrible!
Puis, après une pause:
- Mais toi? Tu l’as déjà goûté, ton sperme?
- Oui! Et toi? As-tu goûté ta liqueur? Moi, j’ai même goûté celui d’un ami. Alors, si tu aimes, la prochaine fois, tu avaleras tout, ma belle?
- Oui j’ai déjà goûté mon jus en léchant mes doigts. C’est pas terrible… Mais visiblement tu aimes, toi. La prochaine fois, j’aimerais bien que tu viennes en moi, j’aimerais te sentir jouir en moi.
Puis marquant une pose:
- Tu as donc déjà sucé un garçon? Et tu as aimé?
Je l’invitais à me suivre dans la salle d’eau, pour se passer un gant de toilette, elle sur le visage, moi sur ma verge.
L’idée de voir deux garçons se lécher, semblait l’émoustiller.
- Oui, j’ai un copain de cœur. Nous sommes très amis depuis longtemps, en absolue confiance et nous sommes allés ensemble aux sports d’hiver en février. Et un jour, en rentrant du ski, va savoir ce qu’il y avait dans l’air, il est sorti nu du bain, alors que j’allais me plonger dans la baignoire. Nous avons senti comme quelque chose d’indéfinissable. Lorsque je suis ressorti du bain, il ne s’était pas rhabillé, était étendu nu sur le lit, et sa belle verge avait un beau début d’érection. Je me suis approché, l’ai prise dans ma main, ce qui m’a fait bander et j’ai commencé à la sucer.
Après une toilette de chat pour enlever les dernières traces de ma jouissance, nous nous étions rallongés et avions rabattu la couette sur nous. Marie-Claire se serrait contre moi, et m’enserrait d’un bras.
- Alors, raconte, continue. Lui ne te faisait rien?
- Si! En fait je me suis allongé contre lui mais nous étions tête bêche et il a également pris ma verge dans sa bouche. C’était délicieux
- Comme moi?
- Te vexes pas. Oui, presque aussi bon. Mais nous ne nous disions rien. L’instant était magique. Chacun cherchait en fait, à faire plaisir à l’autre. Nous nous caressions gauchement en même temps. Sa peau est très douce, il est mince, à la limite d’être maigre. Peut être s’était il excité avant que je sorte du bain, sa queue était bien plus grosse et longue que la mienne. Il est venu assez vite dans ma bouche. Il a à peine tenté de se dégager, mais je le tenais fermement, et sa verge était assez imposante pour ne pas m’échapper. Des giclées assez puissantes d’un sperme très onctueux qui m’a paru salé-sucré.
Je ne voulais pas le lâcher, je déglutissais aussi vite que je pouvais, à chaque giclée. Mon excitation était à son comble, mais je ne voulais pas jouir tout de suite. Sentant qu’il redevenait flaccide, je l’ai abandonné et je me suis assis en tailleur. Il m’a repris dans sa bouche. Je contemplais son visage, sa joue bleue d’une barbe du soir qui se creusait au rythme des succions. Je caressais sa nuque à travers ses cheveux longs. Je contemplais ma bite qui disparaissait alternativement dans sa bouche. Je le prévins que j’allais jouir. S’il n’avait pas voulu me recevoir dans sa bouche, je ne me serais pas formalisé, mais il a continué avec plus de vigueur, m’a fait jouir très fort, m’a pompé complètement, m’a bu, puis a abandonné mon sexe et nous nous sommes embrassés. C’était étrange, j’avais encore son goût dans ma bouche et lui le mien dans la sienne. Alors, seulement alors, nous nous sommes parlés.
Marie-Claire était vraiment collée à moi, et de sa main droite commençait à jouer avec ma verge.
-Et que vous êtes-vous dit?
-Que c’était étrange, que tous les deux, sans rien dire, nous avions senti que c’était inévitable, que c’était dans l’air. Pas plus l’un que l’autre nous ne nous définissons comme homo, ni hétéro, ni bi non plus d’ailleurs. Nous avons eu envie de l’autre comme un coup de foudre, et nous avons aimé tous les deux. Nous nous sommes de nouveau caressé, embrassé, léché, sucé mais sans chercher à finaliser quoi que ce soit. Et nous nous sommes écroulés de fatigue.
Je rebandais à présent dans la main de Marie-Claire, elle me masturbait doucement.
Je me tournais légèrement vers elle et allais glisser ma main entre ses cuisses qu’elle écarta immédiatement. Mes doigts trouvaient aisément sa vulve de nouveau bien mouillée. Visiblement mon aventure, mon histoire l’excitait beaucoup.
-Tu le revois souvent?
-Oui, très souvent. Nous travaillons dans le même secteur. Je dois même le voir demain.
-Ah oui, où ça? Au boulot?
-Non, on avait prévu de manger ensemble dans un petit restau, pour discuter. Tu veux venir?
-Ben, j’avais un rancard avec Joël mais je vais écourter!
-T’es sûre? Notre discussion risque de te gonfler.
-Vous n’allez pas parler que de boulot? Vous avez autre chose dans la vie. Le ciné, les vacances, la preuve!
-Et après? Toi, tu as une arrière-pensée.
Mes caresses comme les siennes, s’étaient faites plus précises et plus insistantes.
-Ben non! À moins que tu l’invites à prendre un dernier verre chez toi.
-Un dernier verre? Tu es sûre que c’est à ça que tu penses?
M’appuyant sur un coude je me haussais sur elle, m’imposant entre ses jambes. Elle guida ma verge qu’elle avait gardée en main dans sa vulve. Je la sentis s’épanouir doucement sous ma poussée. Elle était chaude, étroite, très accueillante cependant. Elle eut un gros soupir nasal lorsque je m’enfonçais plus profond, et remonta ses genoux pour faciliter ma pénétration. Je commençais à aller et venir doucement en elle. Elle m’accompagnait de petits « han, han » étouffés et cramponnait bien ses mains sur mes fesses. Ses seins durcis irradiaient ma poitrine. Je l’embrassais, puis elle m’embrassait, nos langues passant d’une bouche à l’autre. Puis abandonnant sa bouche, tout en la fourrageant avec ma queue raide, je lui parlais doucement à l’oreille:
-Tu aimerais nous voir nous caresser, hein?
Pas de réponse, simplement le bruit de nos respirations.
-Tu aimerais nous voir nous sucer? Hein?
Un « hen hen » faible qui ressemblait à un oui me répondit.
-Tu voudrais me voir sucer un garçon devant toi! Le voir plonger sa bite dans ma bouche!
Ce n’était plus une question, mais une affirmation. Je ponctuais chaque phrase d’un coup de reins au fond de son étui bouillant.
Elle me répondit:
-Oui j’aimerais bien vous voir vous sucer et vous caresser!
-Ça t’exciterait de me voire pomper une queue bien raide et gonflée, mais tu serais jalouse. Je t’ai dis qu’il avait une très belle queue, tu aurais peut être envie de la sucer toi aussi? Ou de la sentir s’enfiler dans ta chatte?
-Oui j’aurais certainement envie de la goûter!
Le « oui » était désormais franc et plus fort. Je sentais que son excitation montait. Ses muscles serraient fortement ma queue.
-S’il vient ici, il n’aura peut être pas envie de moi, mais de toi! Et moi je ne pourrais pas rester simple spectateur! Que vais-je faire? Si tu le suces devant moi, je vais bander. J’essaierai d’aller planter ma queue dans ta chatte, tu ne crois pas? Et s’il te fourre sa grosse queue, car il a une grosse queue, pour écarteler ta petite chatte étroite, je le regarderais te pilonner et je m’imposerais dans ta bouche, Et lui! Tu imagines son excitation, voir un frère et une sœur baiser ensemble! Me regarder en gros plan t’enfiler sur ma bite, ou en train de lécher ta chatte?
-Oui, oui, j’aimerais…
Ses reins s’étaient mis à vibrer en cadence, elle cramponnait mon dos, en plantant ses ongles. C’était légèrement douloureux, mais je ne tentais pas de relâcher l’étreinte.
Je m’étais redressé sur mes avant-bras pour contempler ses petits seins blancs qui tressautaient à chaque coup de queue. J’admirais ma bite qui s’engloutissait dans son triangle brun entre les petites lèvres roses.
-Tu seras prise de partout ma belle, deux garçons en toi! Quatre mains, deux bites et…
-Oui, oui,… je viens, … je…. jouis….Ouuuiiiiii!
Avant que je termine ma phrase, elle se cabra, me soulevant littéralement, puis retomba, les yeux évaporés. Elle eut encore quelques hoquets. Elle était superbe dans le plaisir. J’étais terriblement excité. Alors qu’elle sortait à peine de sa petite mort, je la prévins:
-Tu es belle quand tu jouis, mais je suis trop excité, je vais venir moi aussi. Tu m’as trop excité! C’est trop fort!
-Oui, viens! Jouis!
-Je vais jouir en toi, petite sœur, je vais… vider mes couilles dans ta belle chatte gourmande,… je viens,… je vais gicl… Ohhhhhhh!
-Oui! Viens! Laisses toi aller! Vides toi! Oh tu es beau! Tu es beau! C’est bon!
J’étais secoué de violents spasmes, tout mon corps se vidait dans son étroit aven bouillant, ma verge était baguée d’un anneau tendre et musclé et ses caresses effaçaient les griffures. Je retombais bientôt, fourbu, vidé, anéanti sur elle. Je sentais ses mains qui parcourraient tout mon corps frissonnant et sa voix à l’oreille qui me disait:
-Tu es beau, tu es très beau quand tu jouis. C’est bon, c’est très bon, tu sais! C’est un aveu terrible, mais mon frère est mon meilleur amant!
Nous restâmes ainsi assez longtemps, puis je me dégageais d’elle, la caressais doucement et l’embrassais tendrement sur l’épaule. Je réalisais au bout de quelques minutes qu’elle s’était endormie.JOUI12R@HOTMAIL.FR
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