• Marie est bonne! Si, si, elle est bonne à tout faire..., un petit minois à en faire bander plus d’un, un corps fin, limite frêle, deux mignons petits seins ronds et des fesses appétissantes. Fille d’une maman femme de chambre et d’un papa chauffeur de maître, il ne lui a jamais été donné la possibilité de faire autre chose que de transmettre les servitudes familiales. Ainsi, lorsqu’elle eut fini son cycle scolaire munie d’un baccalauréat, ses parents ne pensèrent pas une minute qu’elle puisse avoir envie de continuer, de faire autre chose. Non, sa voie était toute tracée, d’ailleurs à partir de septembre, ses futurs patrons l’attendaient. Deux mois utiles à sa mère pour lui rappeler les dernières consignes, le rôle d’une femme de chambre, et surtout, la soumission totale à ses employeurs.
    Le docteur Pierre L est l’un des radiologues les plus réputés de la ville et de cette notoriété, il en dégage une suffisance puante. Son compte en banque est certainement l’un des mieux remplis de l’agence bancaire, il a
    Assis sa fortune sur un commerce de pilules miracle et de soins particuliers anti vieillissement, à la limite de la légalité, mais qui lui offre en plus le moyen d’assouvir ses fantasme de voyeurs. Car même si il fut un amant réputé, les murs de la clinique s’en souviennent encore, le passage de la cinquantaine fait que ses coups deviennent forcement un peu moins performants. Alors son petit commerce de produits de soins lui permet de recevoir dans son cabinet, toutes les jeunes femmes de 30 /40 ans qui une fois la première ride en vue, paniquent au point de tomber dans les mailles du filet tendu. Et là, à l’ abri de tous les regards, il ne se prive pour se rincer l’œil, pour toucher, tâter, montrer ce qui ne va pas dans le physique de ses jeunes femmes, qui ne se demandent même pas pourquoi il les fait mettre en petite tenue pour des rides du visage. Bref, à la clinique, dans son cabinet, il n’en reste pas moins un personnage respecté dans la bourgeoisie locale, qu’il aime à snober du dernier 4X4, du meilleur matériel de golf ou de son dernier investissent chevalin au Haras du Marais. Sa vie privée était assez secrète, marié avec une femme d’une grande beauté mais effacée et soumise à son mari, qui lui a donné deux enfants avant qu’un accident tragique ne mette fin à cette union. Les mauvaises langues, toujours à l’affût de ce genre d’histoire, auraient trouvé à dire qu’en fait elle n’était pas assez chaude à son goût et qu’un
    Accident coûte moins cher qu’une pension de divorce. Mais que l’on se rassure, l’enquête policière a démontré que le chauffeur du camion roulait avec 2,5 grammes d’alcool dans le sang.
    Karine L a tout compris de la vie. Un beau cul, une belle ligne, une tête peu remplie mais suffisamment pour comprendre l’intérêt de séduire le Docteur veuf et triste, et réussir sa vie de femme du monde sans vraiment
    Avoir à forcer pour cela. Sept ans qu’elle partage sa vie, ou plutôt son porte feuille, qu’elle ferme les yeux sur ses activités extra conjugales, mais ne rechignant pas sur une petite pipe ou d’une levrette lorsqu’il en éprouve le besoin. En fait, à 35 ans, cet ancien mannequin préfère largement les réunions avec ses copines de la "haute", prenant plaisir à les initier au bienfait du godemiché. Ses parties de bridge ou ses après midi goûter dégénèrent généralement en partouzes lesbiennes et elle n’est pas la dernière pour mener les débats. Son charme a fait d’elle une femme sûre et quelque peu autoritaire qui prend plaisir à dévergonder les nouvelles venues au sein du groupe. Cela dit, lorsqu’un homme lui plaît, elle sait aussi lui faire savoir, comme le technicien qui était venu réparer le système de filtration de la piscine, le pauvre s’est demandé si il ne rêvait pas lorsqu’il a du la satisfaire dans ses trois orifices. Elle se sait salope, sait ce qu’il se dit sur son compte et à partir des moments où ce ne sont pas des mensonges, pourquoi le cacher et s’en priver.
    Mélodie L est la fille aînée de Pierre L. 23 ans, elle a la beauté de sa mère et le même goût de l’argent que son père. Étudiante en droit, elle n’hésite pas pour réussir ses études à écraser ses collègues étudiants dérangeants, sachant être dédaigneuse et hypocrite à souhait. Pour réussir un examen, elle emploiera tout ses atouts féminins pour séduire et convaincre les examinateurs ou le jury, allant jusqu’à payer de son corps pour y parvenir. Car Mademoiselle n’est pas une sainte Nitouche. Le feu l’habitant régulièrement, il lui faut se faire troussée au moins une fois par jour et si elle n’a pas trouvé de bite à se mettre sous la dent, le tiroir de sa table de nuit enferme deux godemichés qu’elle se fourre dans la chatte et le cul pour assouvir sa soif de vivre. Ses relations avec sa belle mère étant pratiquement impossibles, leur caractère se ressemblant trop, leurs prises de bec sont fréquentes et parfois violentes.
    Julien L, le fils prodige, 18 ans, une tête pensante hors du commun qui lui fait passer son temps à la résolutions de problème de physique ou de math assez éloignés des robinets qui fuient ou des trains qui se rencontrent en
    Pleine campagne. Fréquentant assidûment les bancs de la fac où planté devant son ordinateur, il n’a toujours pas compris ce qu’un garçon et une fille pouvaient faire ensemble. De plus, les boutons d’acné qui peuplent son visage lui valent plus de moqueries que de coups d’éclats auprès des filles. Puceau, il n’empêche que son membre lui donne de temps à autre des petites envies qu’il comble par de savantes branlettes qui ornent ses draps de nombreuses cartes de France. Aussi discret que bosseur, on ne peut pas dire qu’il influe sur la vie familiale, laissant ce soin aux autres.
    C’est dans la charmante et immense demeure dans les quartiers résidentiels de la ville que vit la famille L. Sept chambres, cinq salles de bains, trois bureaux, une salle à manger pouvant servir de court de tennis, une cuisine
    Immense, on pourrait croire à une maison digne de recevoir des colonies de vacances. Un parc de 5 hectares entourant cette maison, une piscine, un garage pouvant abriter une dizaine de voitures, alors qu’il n’y en a que six, un jardinier et une cuisinière à plein temps, voilà ce qui attend Marie lorsqu’elle débarque en septembre de l’année 2000.
    Timidement, elle actionne la sonnette du portail et attends devant. Une voix grésille dans l’interphone lui adressant un "C’est pourquoi" des plus agressifs adressés par le jardinier.
    "Bonjour, c’est Marie, la nouvelle femme de chambre"
    "Entrez!"
    Et le portail qui s’ouvre de lui même sur ce parc qu’elle trouve très beau. Avançant timidement en direction de la villa, elle ne peut que se rendre compte du luxe qui semblait envahir les lieux. Arrivée sur le perron, la porte s’ouvrit et c’est Solange qui l’accueille
    "Bonjour ma petite, tu arrives bien, depuis une semaine ici, c’est le bordel!"
    Solange est la cuisinière. 55 ans, au service du docteur L depuis plus de 25 ans, elle est la représentation vivante de sa profession. Assez imposante, le verbe haut, la cuisine est son domaine et en ce lieu, personne n’y a la parole. Chargée de préparer les repas, de s’occuper des courses et de veiller à ce que la vaisselle soit impeccable, à partir du moment où son service a toujours été impeccable, cela lui a valut un certain respect de la part de la famille L.
    Marie se devait de remplacer la dernière femme de chambre qui, ayant "fauté" avec son petit copain, n’avait pu cacher son ventre qui prenait des grosseurs de plus en plus visibles et qui lui valut les foudres des son patron, la traitant de sale catin, avant de la congédier sur le champs.
    Solange conduit Marie à sa chambre, en fait une petite pièce située dans une aile adjacente à la bâtisse dans laquelle se trouvait un lit, une armoire, une table, un coin douche, une cuvette de WC et un lavabo. Mobilier succinct mais joliment décorée, la pièce était assez agréable.
    " Tes tenues sont dans l’armoire" lui indiqua Solange "et Monsieur L ne veut pas te voir autrement vêtue! Habilles toi et viens me rejoindre à la cuisine, je te montrerais ce que tu as à faire."
    Et refermant la porte, elle laissa Marie seule.
    Ça y est, elle y était. Elle entrait dans la vie de bonne et elle savait très bien qu’elle ne pouvait pas y couper. Elle s’estimait heureuse d’être rentrée aux services de maîtres qui, s’ils étaient à l’image de leur demeure, devraient être généreux. Elle se déshabilla pour revêtir son uniforme et une fois nue, elle se regarda dans le miroir de l’armoire. Son corps n’avait plus de secret pour elle car elle savait très bien comment il réagissait aux caresses intimes qu’elle prenait plaisir à se faire, ou que son ami lui faisait. Elle connaissait depuis maintenant trois ans les plaisirs de l’amour, de l’orgasme, et elle y avait pris goût. Son petit copain, le fils des voisins de ses parents, avait pris son pucelage en même temps qu’il perdait le sien mais, même inexpérimenté, avait su l’amener au septième ciel, lors de sa seconde pénétration. La première ayant était trop rapide pour le jeune homme, éjaculant son foutre trop longtemps contenu avant même d’avoir commencé à bouger en elle. Elle n’attendait maintenant que son jour de repos pour aller le rejoindre et de s’occuper de ce sexe qu’elle avait maintenant appris à parfaitement apprivoiser tant par son con que par sa bouche.
    Elle ouvrit l’armoire et découvrit ses tenues. Six au total, une par jour de travail, qui se ressemblaient exactement et qui étaient parfaitement à sa taille. Il est vrai que le questionnaire d’embauche était assez précis sur ses mensurations. En fait, elle fut étonnée de voir que même les dessous y étaient prévus. Et quels dessous? Une porte jarretelle rose, des bas blancs et un string en tulle rose, complètement transparent. N’ayant pas l’habitude de porter ce genre de lingerie, elle eut un peu de mal à fixer les bas et se demanda si elle devait mettre le string sur ou sous les jarretelles. Voyant la cuvette des WC, elle se dit alors qu’il serait beaucoup plus pratique de le mettre dessus plutôt que de refixer ces maudites jarretelles à chaque pause pipi. Par contre, elle eut beau chercher, aucun soutien-gorge n’était prévu. Lorsqu’elle enfila le fin chemisier blanc, elle remarqua de suite que ses tétons pointaient dessous et qu’il lui était difficile de les cacher. Une terrible appréhension lui vint, comment pouvait elle cacher cette impudeur à ses nouveaux patrons. Elle décida de voir ce problème avec Solange et enfila la jupe noire qui accompagnait l’ensemble. Celle ci, assez ample, ce qui l’arrangeait car elle ne supportait pas les jupes serrées pour œuvrer, était toute de même assez courte puisqu’elle ne couvrait qu’à peine le haut de ses bas.
    "Ils se sont peut être trompés sur la taille" se dit elle, ajoutant cette question à l’inventaire de ses doléances qu’elle donnerait à Solange. Une petite coiffe fixée dans ses fins cheveux blonds, un petit tablier sur le devant de la jupette, des escarpins noirs vernis et la voilà prête au service.
    De retour dans la cuisine, lorsque Solange la découvrit, elle ne peut s’empêcher d’émettre un sifflement d’admiration à son égard.
    "Et bien, ma petite, le docteur va est content. Si tu as autant d’ardeur au travail que tu es mignonne, ton avenir ici est assuré."
    "Merci mais je n’ai pas trouvé de soutien-gorge et j’ai peur de heurter monsieur, tout comme cette jupe qui me semble un peu trop courte"
    "Ne t’inquiète pas, c’est monsieur qui a choisi ta tenue de travail et il ne trompe jamais, allez viens!"
    A cette heure de la matinée, la maison était déserte. Chacun vaquait à ses activités, Monsieur à la clinique, Madame chez l’esthéticienne, Mademoiselle et le jeune homme, chacun sur les bancs de leur faculté respective. La visite des différentes pièces se fit rapidement et Marie pu juger du peu d’ordre qui habitait la chambre de Mélodie, ses affaires traînant partout dans la pièce, un chemisier par ci, une culotte par là, flagrant contraste avec celle de son frère qui, elle, était excellemment rangée. La chambre de madame et monsieur était immense, un grand lit à baldaquin trônait au milieu de celle-ci. Lit défait, mais affaires rangées, bref, une chambre de couple tout à fait normale. Le balcon donnait sur le parc et la piscine qui offrait son eau claire à la réverbération du chaud soleil. Une autre chambre, dite d’amis, était à visiter et Solange ne pu s’empêcher de lui faire remarquer qu’elle servait en fait à monsieur lorsqu’il rentrait tard ou qu’il ne voulait pas déranger Madame. Les autres pièces, non seulement furent évitées, mais en plus, elles étaient fermées à clef.
    "Ici, interdiction d’entrer sans y être invitée", lui dit Solange
    Marie se dit alors que cela lui ferait un peu moins de travail et elles terminèrent la visite par le hall d’entrée et le séjour. Un dernier petit tour par le cellier qui abritaient tout le nécessaire à son travail et voilà notre petite Marie, chiffon et produits ménagers à la main, se mettre à la tache de rattraper une semaine de ménage.
    Vers 11H30, Solange l’appela pour déjeuner et la prévenir de l’arrivée de Madame. En effet, un coupé sport cabriolé stoppa dans la cour et une voix énervée précéda l’arrivée de la maîtresse de maison.
    "Mais qu’est ce que c’est que ce bordel?"
    Marie, assise devant son assiette, découvrit alors sa première grosse angoisse. En effet, pour la pause déjeuner, elle avait tout simplement laissé le seau et le balais en plan dans le hall d’entrée ce qui provoqua l’ire de la maîtresse. Solange l’a pris par la main, tout en la rassurant, et l’amena à sa rencontre.
    "C’est moi madame qui ai dit à la petite de laisser ça là, d’ailleurs je vous la présente. Voici Marie, votre nouvelle femme de chambre"
    A ces derniers mots, Karine s’arrêta net et se retournant sur les deux femmes, la vue de Marie lui fit faire demi-tour, intéressée par cette nouvelle personne qui arrive dans les lieux.
    "Merci Solange, vous pouvez disposer. Quand à toi, viens par ici"
    Et elle entra dans le séjour pour aller s’avachir sur le grand canapé en cuir noir, poser ses pieds sur la table basse et s’allumer une cigarette, tout en observant ouvertement Marie.

    "Alors, tu es la nouvelle bonne?"
    "Oui" répondit elle timidement en gardant les yeux baissés sur ses chaussures
    "Oui qui? " repris de volée Karine
    "Oui Madame"
    "Maîtresse! A partir de maintenant c’est comme cela que tu devras t’adresser à moi, et uniquement si je t’en donne la permission, compris?"
    "Oui, maîtresse"
    "Bien, remonte ta jupe que je vérifie si tout est en ordre dans ton habillement"
    Surprise, mais sous l’emprise de sa nouvelle maîtresse, Marie remonta doucement sa jupette pour dévoiler le petit string qui ne cachait rien de son intimité.
    "Bien, ça peut aller. Par contre tu m’enlèveras au plus vite tous ses poils que je vois sous ta culotte, ici, tout doit être irréprochable. Le ménage, et ta tenue! Aller file enlever tout cela!"
    Marie se demandait bien comment elle allait procéder à cette épilation car elle n’avait aucun rasoir. C’est encore Solange qui la dépanna, en effectuant elle même cette opération intime, visiblement habituée par les caprices de madame Karine. Ainsi, à même la table de la cuisine, uniquement vêtue de son chemisier et de son porte jarretelles, Marie, les cuisses écartées, voyait les poils de sa minette disparaître sous le rasoir, jusqu’à ce que, complètement dénudée, elle la vit toute lisse, comme à ses premiers jours, un peu confuse de se sentir aussi impudique. Une ombre à la fenêtre attira son attention, et tournant la tête, elle eut temps d’apercevoir un homme qui, surpris par son regard, avait disparu aussi vite de son champ de vision. Interrogeant du regard Solange, celle lui dit qu’il s’agissait d’Armand, le jardinier, qui n’avait pas raté une miette de son épilation et qu’il avait certainement du s’en soulager.
    "Mais ne t’inquiète pas, il n’est pas méchant, il a juste un très gros kiki et il faut qu’il s’en serve constamment" rajouta t’elle dans un gros rire.
    "MARIEEE !!!!!"
    Cet appel résonna dans la maison, indiquant à Marie que sa maîtresse avait besoin d’elle
    "Dépêches toi, elle déteste attendre" lui glissa Solange.
    Le temps de remettre son string, de réajuster sa jupette, elle monta les escaliers pour venir frapper à la porte de Karine.
    "Ah quand même, c’est pas trop tôt, que cela ne se reproduise plus, compris?"
    "Oui, maîtresse"
    "Bien, je vois que tu as retenue la première leçon" et s’approchant d’elle
    "Montre-moi pour la deuxième"
    Elle releva sa jupe et se baissant au niveau de son sexe, Karine ne pu que se rendre compte du travail effectué a travers le fin tissus du string, et passant alors sa main dessus.
    "Voilà qui est mieux, et j’espère que le ménage sera aussi lisse et propre. Bon, je vais prendre une douche, aide moi à me déshabiller, et dépêche toi car j’ai une grosse envie de faire pipi"
    Marie s’avança derrière sa maîtresse qui, lisant un courrier, attendait sans bouger, et avec un dédain hautement marqué, que sa bonne la mette à nue. Elle déboutonna son chemisier, laissant apparaître un joli soutien-gorge de soie saumon sous lesquels elle devinait deux mamelons fièrement dressés, et, alors que sa maîtresse faisait le minimum d’effort pour pouvoir l’aider, elle se débrouilla pour l’enlever complètement en prenant garde de ne pas la déranger dans sa lecture. Elle entreprit alors d’ôter la jupe, ce qui lui fut plus aisé, et elle se retrouva devant deux jolies fesses séparées par le string assorti au soutien-gorge. La paire de Dim up suivie rapidement le même chemin et lorsqu’elle prit le string par les bords, sa maîtresse se retourna pour lui présenter son sexe encore recouvert du délicat tissus:
    "T’es vraiment trop lente, tant pis pour toi, tu nettoieras après!"
    Et là, sous les yeux de Marie, le tissu du string devint plus foncé et elle se rendit compte qu’elle urinait devant elle, à quelques centimètres de son visage. L’urine traversait maintenant la culotte pour glisser le long des jambes de sa maîtresse et se répandre à ses pieds sur le parquet. Marie restait là, sans pouvoir bouger, regardant fixement ce filet d’urine qui glisser le long des cuisses, se demandant ce qu’elle devait faire.
    "Ne me dis pas que cela te donne des envies de me boire quand même! Enfin si cela peut te faire plaisir, si t’es bien sage, peut être que je t’en garderais un peu la prochaine fois. Allez, enlève mon slip que j’aille me doucher, et après tu nettoieras ce que j’ai fais par ta faute"
    Marie se saisi alors du linge souillé et chaud et, plus difficilement, le fit glisser sur les cuisses humides de sa maîtresse, découvrant son mont de venus qui, comme elle maintenant, était totalement épilé. Elle se retrouva avec le string dans les mains et aussi bizarre que cela pouvait lui paraître, cette humiliation, ce rabaissement dont elle était victime, l’avait troublée au point de, une fois que sa maîtresse se dirigea vers la salle de bain, poser la culotte humide sur sa bouche, mettre sa main sur sa chatte humide et d’avoir un orgasme rien qu’à son contact. Le petit gémissement qu’elle laissa échapper vint aux oreilles de Karine qui, se retournant discrètement pour vérifier ce qu’elle devinait, eut un petit sourire pervers avant de s’engouffrer dans la salle de bain tout en pensant:
    "Je crois que l’on va bien s’amuser, ma poulette!"
    L’après midi se déroula rapidement, l’occupation ménagère étant en fait plus importante qu’il n’y paraissait, et, tandis que Madame Karine se faisait bronzée en petit bikini sur le bord de la piscine, Marie, s’affairait à dépoussiérer, nettoyer, cirer, briquer. Solange étant partie en courses, elle était seule dans la maison et après avoir vérifié que sa maîtresse était toujours en place, elle décida de s’octroyer une petite pause, d’autant plus qu’une petite faim commençait à lui tirailler l’estomac. Une fois dans la cuisine, elle sortit le pain, un pot de confiture à la fraise et se fit une belle tartine. Elle en était à sa deuxième bouchée, tout en regardant pas la fenêtre lorsqu’elle entendue dans son dos:
    "Tient, la nouvelle boniche est une gourmande! Je ne suis pas sure que cela plaise à papa" avant d’ajouter dans un sourire ironique "quoique, les gourmandes, il aime bien ça!"
    Marie, immobile et muette, venait de faire connaissance avec Mélodie. Et cette petite peste, prenant ses airs les plus hautains, s’empressa de la mettre au fait de ses désirs.
    "Bien, je veux que tu fasses ma chambre tous les matins après 9H00, sauf les mercredi et les dimanche ou je dors et je ne veux rien entendre. Tu rangeras correctement mes affaires, tu cireras mes chaussures et tu rangeras mon bureau. Cela fait une semaine que c’est le bordel et je n’arrive plus à m’y retrouver. Par contre, je t’interdis de fouiller dans mes tiroirs, et ça je le verrais bien, et si tu ne m’as pas écouté, cela te coûtera cher! C’est tout ce que je te demande, alors que cela soit bien fait. Pour le reste, tu verras avec mon père!"
    "Bien Mademoiselle!" Réussi à répondre Marie
    "Et puis, si tu m’emmerde, je dirais à Solange que tu lui pique ses confitures!"
    "MARIEEE !!!!’
    Décidément, Maîtresse Karine ne savait pas l’appeler autrement qu’en hurlant son nom!
    "Tiens, elle est là elle!" S’étonna Mélodie "Je suis sure qu’elle est encore à poil en train de se faire mater par Armand"
    Marie, laissant Mélodie à ses gentilles paroles, fonçât rejoindre Karine. Allongée sur le transat, les cuisses légèrement écartées, elle avait enlevé son bikini et Marie pouvait facilement remarquer qu’elle venait de se donner du plaisir. En effet, les lèvres de son sexe rosées, gonflées et surtout humides, démontraient qu’il n’était pas resté insensible à ses caresses.
    "Maîtresse?"
    "Apporte moi un jus d’orange, j’ai chaud"
    "Oui maîtresse!"
    "Elle est rentrée l’autre chipie?"
    "Oui Maîtresse!"
    "Comment tu l’a trouve, elle te plaît?"
    "Pardon, maîtresse ?"
    "Est ce qu’elle te fait mouiller?"
    "Euh, non maîtresse, pourquoi?"
    "C’est moi qui pose les questions! Ce n’est que pour moi que tu dois mouiller, comme ce matin par exemple. Je me trompe?"
    Marie, rouge de confusion ne savait plus quoi répondre
    "Aller petite cochonne, va me chercher mon jus d’orange"
    Et se dirigeant vers la maison, elle aperçut une nouvelle fois Armand, qui, caché derrière un arbre, la main dans le pantalon, matait en direction de sa patronne. En traversant le hall, elle faillit bien prendre la porte d’entrée en pleine face lorsqu’a débarqué Julien. Sans s’arrêter, la tête plongée dans un livre de mathématiques, il traversa le hall sans même un regard pour Marie. C’est en montant l’escalier que, marquant un arrêt de surprise, il se retourna et regarda quelques secondes Marie:
    "Vous êtes la nouvelle? Bonjour!"
    Avant de reprendre sa marche et d’aller dans sa chambre
    "Tiens, au moins qui ne me demande rien" pensa t elle
    Et de se dépêcher d’aller servir sa maîtresse. En arrivant, elle posa le plateau sur la table et donna le verre à Karine. Elle bu une gorgée, reposa le verre et tendant le doigt vers le bas:
    "Ramasse mon string, par terre et donne le moi"
    Marie se pencha pour ramasser le slip, offrant sa croupe à sa maîtresse et le lui tendit.
    "Tu ne crois tout de même pas que je vais remettre une culotte ne sachant pas si elle est sale. Alors d’abord, tu la sens, et si elle n’a pas d’odeur, tu me la donne. Sinon, tu vas m’en chercher une autre, compris"
    "Oui maîtresse!"
    Et portant la lingerie à ses narines, Marie retrouva l’odeur intime de sa maîtresse, la même que du matin et, émue:
    "Elle est sale, maîtresse, qu’elle culotte désirez vous?"
    "C’est bien ce que je pensais! J’ai encore eu une fuite!" Dit-elle en la regardant dans les yeux
    "Et je vois que tu connais bien mon odeur!"
    Et de se lever, et rentrer nue dans la maison, laissant Marie sur le bord de la piscine, le string dans les mains.
    Cette nouvelle humiliation de la part de sa maîtresse avait, une nouvelle fois, profondément troublée Marie qui, sans même pouvoir s’en empêcher, se retrouva avec la culotte humide de désir. Elle se ressaisit rapidement, retourna dans la maison et déposa le bikini dans la panière de linge sale.
    L’après midi arrivait à son terme et Solange préparait le dîner. La table mise, Marie attendait sagement 20H00 que la famille passe à la table avec la petite appréhension de faire connaissance avec le docteur L.
    Celui ci arriva 10 minutes avant le dîner:
    "Bonsoir Marie, j’espère que votre journée s’est bien passée et que vous avez fait connaissance avec tout les membres de la famille. Si vous avez le moindre problème, voyez cela avec Solange. Maintenant passons à table"
    Marie resta bouche bée! Une telle gentillesse, une telle délicatesse à son égard contrastait fortement avec l’attitude de la maîtresse et de sa fille. Cela ne fit que la conforter dans l’idée qu’elle était bien tombée et que son patron était bon.
    Assis face à son épouse, le Docteur lisait le journal, alors que Marie servait le dîner. Arrivée à sa hauteur, elle eut la surprise de sentir une main remonter le long de sa jambe gainée pour venir se poser sur son minou, à travers la fin tissue du string. Sentant celui ci s’écarter, elle fut surprise par un doigt qui forçait l’entrée de sa chatte, aussitôt accompagné d’un autre qui investissait son anus. Ces pénétrations, non préparées, lui firent manquer de renverser le plat
    "Et bien ma petite, est ce votre premier repas qui vous perturbe à ce point? Aller, ressaisissez vous et reprenez votre service"
    Le repas continua ainsi, à chaque fois qu’elle servait le Docteur, celui ci mettait un doigt dans son sexe, et un autre dans son anus, maintenant préparé à sa réception. Le tout fait le plus tranquillement du monde, entre les jérémiades de Karine et de Mélodie, ou devant son fils Julien qui, les yeux perdus dans le vague, était plus occupé à chercher la solution de son problème plutôt que de remarquer le trouble de Marie. À la fin du repas, alors que chacun se levait pour vaquer à ses occupations, le docteur interpella Marie:
    "A la fin de votre service, vous me rejoindrez dans mon bureau pour finaliser votre contrat"
    "Bien monsieur"
    La table débarrassée, nettoyée et rangée, Marie finit sa première journée assez fatiguée. Entre le travail fait pour rattraper le retard et les expériences troublantes subies par ses maîtres, c’est finalement l’esprit relâché qu’elle frappa à la porte du bureau. Cette pièce faisait partie de celles qui n’avaient pas été présentées par Solange et elle fut surprise d’y découvrir un cabinet médical, alors que le Docteur n’y recevait personne.
    "Entrez Marie, et venez vous asseoir"
    Marie pénétra dans la pièce et s’exécuta en prenant place sur le fauteuil devant le bureau du médecin.
    "Bien, reprenons. Votre service débutera à 7H00 pour se terminer à 21H00, sauf circonstance extraordinaires pour lesquelles vous serez rémunérée en fonction. Votre jour de congé sera le jeudi et vous serez nourrie, logée, blanchie. À ce propos, je tiens à ce que vos tenues soient aussi propres que la maison dont vous avez la charge et, a ce propos, il m’a semblé y avoir senti quelques traces témoignant un certain laisser aller de votre part. Je ne vous en tiendrai pas rigueur pour cette première journée, mais que cela ne se reproduise plus. Enfin, vous vous devez d’obéir à toutes personnes présentes en ces lieux, aussi bien les membres de ma famille, les invités et Solange qui, de part sa place, sera votre porte parole aux cas ou vous auriez une quelconque revendication. Dernier point, votre salaire est fixé à 1000 euros mensuel. Des questions ?"
    "Non Monsieur!"
    "Moi, j’en ai encore une, êtes vous mariée, fiancée, un petit copain?"
    Marie qui connaissait très bien l’aventure de la bonne précédente, se décida alors de mentir
    "Non, monsieur, je n’ai personne!"
    "Excellent, ainsi vous ne serez pas détournée de votre travail! Bien, nous allons maintenant procéder au dernier point avant votre embauche définitive, la visite médicale. Déshabillez vous en sous vêtements que je vous ausculte"
    Bien que surprise, Marie, sachant qu’elle avait tout de même affaire à un médecin, ne se formalisa pas de cette demande et ôta sa jupe et son chemisier, tout en prenant soin de garder ses mains sur sa poitrine.
    "Montez sur la balance et passez sous la toise. Bien! 52 KG pour 1m66. Faites attention à ne pas grossir!"
    Il prit ensuite son stéthoscope et s’évertua l’ausculter dans les moindres détails de façon tout à fait professionnelle.
    "Bien, vous avez l’air en plein forme, je vais procéder maintenant à un examen gynécologique, allongez vous sur la table"
    Marie s’exécuta de nouveau, offrant son corps aux mains du spécialiste. Il commença à lui malaxer, soupeser, triturer les seins, prenant soin de terminer son examen mammaire par des caresses plus agréables pour Marie.
    "Vos seins sont sensibles, vous aimez vous les caresser?
    "Euh, oui monsieur"
    Sans répondre il prit les cotes du string dans ses mains, le fit glisser le long de ses cuisses et lui fit mettre les pieds dans les étriers de la table. Il regarda alors le string et, d’un regard noir en direction de Marie, lui montrant les traces de ses plaisirs de la journée
    "Je ne veux plus de ça, compris, je ne veux pas d’une bonne négligée! Êtes-vous vierge?
    "Euh, non monsieur"
    "Vos dernières règles"
    "La semaine dernière"
    "Vous masturber vous?"
    "Euh, parfois monsieur"
    "C’est quoi parfois, tous les jours, toutes les heures, tous les mois?"
    "Presque tous jours monsieur"
    "Et comment, avec vos doigts ou des instruments?
    "Mes doigts, monsieur"
    "Vous vous rasez le sexe vous même?"
    "Euh, non monsieur, c’est Solange qui….’
    ’Ah je vois que Madame vous a déjà prise en main, la garce! Bien vous direz à Solange qu’elle vous reprenne et vous épile de plus prêt. Cela a été fait trop vite, donc mal fait!
    "Bien Monsieur."
    Tout ne posant ses questions, le Docteur L avait commencé à s’occuper du sexe de Marie, s’évertuant en fait à le faire mouiller, ce qui se produisit assez rapidement.
    "Hum, je vois que vous êtes aussi sensible de ce côté là, c’est bien. Voyons voir la suite"
    Et il prit alors un spéculum et, assez facilement, l’enfonça dans le sexe de Marie, et, afin de le mettre correctement en place, procéda à quelques aller et venues en elle. Une fois au fond, il l’écarta, peut être un peu plus que d’habitude, ce qui fit gémir Marie. Après quelques minutes d’observation consciencieuse, assis entre ses cuisses ouvertes, il pinça légèrement son clitoris. Marie reçu comme une décharge électrique et s’aperçut, qu’en fait, ce traitement commençait sérieusement à lui plaire, excitée qu’elle commençait à être.
    "Je vois que vous êtes assez large, c’est bien, et que tout a l’air sain et en bon état"
    Il desserra l’appareil et lorsqu’il eu reprit sa taille initial, il lui fit faire quelques va-et-vient à l’intérieur du vagin, voyant très bien qu’elle n’était pas loin de jouir. Son sexe humide absorbait l’engin avec un certain plaisir, et il décida d’arrêter son traitement avant son orgasme, retirant prestement l’appareil, sentant alors dans le soupir de Marie la frustration qu’il cherchait bien à lui faire ressentir.
    "Bien, j’ai remarqué tout à l’heure que tout n’était pas parfait en vous"
    Marie ne sachant plus qu’elle erreur elle avait pu commettre, se contenta de lui adresser un regard interrogatif.
    "Sentez mon doigt! Qu’en pensez-vous? "
    Il lui mit sous les narines l’index qui avait fouillé son anus pendant le repas et l’odeur caractéristique de cet endroit intime monta au nez de Marie. Rouge de confusion, elle ne pu que répondre:
    "C’est que je n’ai pas pu aller faire mes besoins aujourd’hui" se défendit elle
    "Et bien je pense qu’un petit lavement me parait nécessaire. Retournez vous et levez vos fesses"
    Pendant que Marie, honteuse, se positionnait, il préparait tout le matériel nécessaire à l’opération et se retournant vers elle, il avait maintenant la vision de son cul offert, encadré par les jarretelles roses. Posant une main sur sa fesse gauche, Il l’écartait légèrement pour dévoiler son petit trou plissé. Un doigt vint alors s’y introduire surprenant Marie.
    "Excusez moi, je vais mettre un peu de vaseline afin de ne pas vous irritez votre conduit. Cela pourrait être douloureux en cas de sodomie"
    Que racontait-il, pourquoi lui parlait-il de sodomie à elle qui l’a toujours refusé à son petit copain. Enfin, elle appréciait maintenant le lubrifiant qui rendait la pénétration du doigt moins désagréable. Par contre, lorsqu’elle le vit accrocher la poche de liquide sur une potence à perfusion, elle commença à s’inquiéter un peu, mais n’osant dire quoique ce soit, elle laissa le Docteur lui pénétrer l’anus avec la canule, la vaseline remplissant toujours aussi bien son rôle. Mais lorsqu’il ouvrit le robinet, elle sentit alors le liquide tiède lui remplir tout doucement les intestins et la sensation qui s’en suivie lui paraissait bizarre. Mais plus elle se remplissait, plus cela devenait désagréable, au point de sentir son ventre se distendre sur la table. Le docteur, avançant son bras entre ses cuisses, alla le lui palper
    "Bien, vous me semblez bien remplie. Je vais arrêter, enlever le tuyau, mais restez ainsi quelques minutes et lorsque je vous le dirais, vous vous viderez dans la cuvette, mais attention de ne pas en mettre partout"
    Et il alla s’asseoir à son bureau remplir quelques documents. Marie se retrouvait ainsi humiliée, les fesses tendues vers le médecin, offrant son intimité complète, son ventre qui commençait à lui faire un peu mal. Et lorsqu’elle l’entendit lui dire qu’elle pouvait se libérer, elle dut le faire devant lui et ne pu retenir le liquide qui, dans un incroyable bruit d’expulsion, se vidait par son cul. L’opération terminée, elle prit la serviette qu’on lui avait préparé, et s’essuyas consciencieusement tout en regardant discrètement le Docteur qui, imperturbable, remplissait des papiers.
    "Vous pouvez vous rhabiller maintenant"
    Elle reprit son chemisier, remis sa jupe mais chercha en vain sa culotte mais n’osa la lui demander. Une fois vêtue, elle attendait sans bouger devant lui.
    "Bien, vous êtes en pleine forme et voici votre contrat. Vous pouvez aller vous coucher, je crois qu’une dure journée vous attend demain. Bonsoir!"Marie prit le papier, se retourna et s’apprêtait à sortir «Attendez, vous avez oublié de remettre votre culotte, vous n’allez tout de même pas sortir sans" lui dit il en la lui tendant. Elle s’approcha, la pris dans ses mains, et se préparant à l’enfiler, elle l’a découvrit recouverte de sperme. Le docteur s’était branlé dedans. Elle le regarda interrogative «Allez mon petit, enfilez là, n’allez pas m’attraper un mauvais rhume"
    A ces mots et la voyant recouvrir sa petite chatte de son string couvert de foutre, le Docteur sentit une nouvelle érection que l’heure maintenant tardive lui résonnait de ne pas développer.
    Marie arriva dans sa chambre, ôta sa jupe et passa sa main entre ses cuisse. Ses doigts devinrent rapidement poisseux et une pression sur son clitoris suffit pour obtenir l’orgasme trop longuement retenu.

    Quinze jours! Deux semaines que Marie était au service des ’L’ et qu’elle en était heureuse. Ses craintes initiales s’étant révélées inexactes, les seuls attouchements qu’elle eut à subir furent en fait la visite médicale d’embauche, en fait, les seuls petits tracas qui pourraient rendre ses journées difficiles étaient dus aux turpitudes de la maîtresse de maison, toujours prête à l’humilier et la dominer. Mais Marie c’était faite à ce vice, allant même jusqu’à en retirer une certaine excitation, en effet, la soumission étant chez elle, une chose que lui avait enseignée sa mère. Même la petite peste Mélodie se tenait relativement tranquille et n’était pas en mesure d’exercer le même pouvoir de domination que générait sa belle mère. Mais c’était sans compter sur ce lundi, où, comme elle en avait maintenant pris l’habitude, Marie s’affairait dans la chambre de la jeune fille. Ramassant les affaires qui jonchaient le sol, pantalons, chemisiers ou lingerie, pliant ce qui était encore propre (cette manie d’essayer un vêtement et de le laisser traîner une fois retiré), prenant soin de faire son immense lit correctement, et surtout, tentant de faire un rangement digne de ce nom sur le bureau envahit de papiers, paquets de bonbons, et même, de serviette hygiénique, et plein d’autres choses comme cette pochette de photos. Même si elle n’est pas spécialement curieuse, Marie l’ouvrit tout naturellement. Et là, surprise. Non seulement il s’agissait de Mélodie, nue ou en petite tenue sur les premières, mais la suite la montrait avec d’autres personnes. Sur la première, elle avait un sexe d’homme dans la bouche, visiblement très appliquée dans une fellation, la seconde, la montrait prise par derrière par le même homme. Quand aux suivantes, cela dégénérait en partouze. Sur une, on pouvait la voir prise simultanément par le con et l’anus, sur l’autre, un homme s’était ajouté au duo pour emplir sa bouche. Et pour terminer cette série, deux autres garçons étaient à ses côtes, leur sexe tenus par les mains de Mélodie en train de les masturber. Marie, après un certain étonnement des mœurs de sa maîtresse, et surtout se demandant comment elle pouvait faire cela, commençait à sentir une petite chaleur entre ses cuisses. En continuant sa vision, elle la vit ensuite entourée de deux femmes. Et là, même scénario, équipées de sexes factices, elles s’en donnaient à cœur joie pour pénétrer Mélodie de la même manière que ses partenaires masculins. Assise sur le bord du lit, Marie regardait ces photos avec une certaine excitation et tout doucement, ses cuisses se sont ouvertes d’elles mêmes et sa main est venue se poser sur son sexe. À travers sa petite culotte, elle ne mit pas longtemps pour trouver les agréables mouvements de ses doigts qui, tranquillement l’aidèrent à atteindre l’orgasme. Rangeant bien vite les indices à l’origine de son plaisir, elle mit fin au rangement de la chambre, l’esprit relativement perturbé pas cette découverte. En sortant, elle se décida, comme à chacun de ses petits plaisirs solitaires, d’aller changer sa culotte suite aux consignes du docteur, mais à peine eut elle descendu l’escalier, qu’elle croisa celui ci.

    "Et bien, ma petite, vous m’avez l’air essoufflée, et les joues bien rouges!"

    "Euh, j’allais me changer, monsieur"

    "Ah bon! Vous vous êtes encore laissée allée!"

    "Euh, non monsieur, je me suis, euh… Masturbée"

    "Et d’où vous est venue cette envie soudaine?"

    Ne sachant quoi répondre, ne voulant surtout pas avouer ses visions, et surtout les nature des photos qu’elle venait de voir, Marie, n’eut d’autre excuses que de répondre en baissant les yeux:

    "De vous, monsieur!"

    Un peu surpris par cette réponse, le Docteur L n’en perdit pas pour autant sa repartie

    "Bien, je ne peux que vous encourager à avoir ce genre d’idées. Nous verrons cela plus tard, j’ai du travail. Après votre service, vous passerez à mon bureau. En attendant, allez vous changer"

    Marie se rendit alors compte dans quels draps elle venait de se fourrer et qu’il lui serait maintenant bien difficile de s’en sortir. Ainsi, elle décida de se remettre à son travail et d’évacuer cette idée de ses pensées.

    En début d’après midi, elle était seule dans la villa, lorsqu’elle aperçut Mélodie rentrer plus tôt que prévu, accompagnée de deux jeunes hommes. Même si elle s’est défendu de les regarder, il lui a tout de même semblé les reconnaître et faire le rapprochement avec les photos vues le matin même. Ils gravirent l’escalier à vitesse grand V et Marie se retrouva de nouveau seule dans le séjour jusqu’au moment où son nom fut crié par Mélodie

    "Marie, viens ici, et vite fait!"

    Et Marie d’abandonner ses taches ménagères pour monter derechef dans la chambre de Mélodie

    "Alors sale petite pute, tu fouilles dans mes affaires!"

    "Mais, mademoiselle, je n’ai fais que ranger votre chambre!"

    "Oui, et tu t’es aussi rincée l’œil, sale menteuse!"

    "Mademoiselle, je ne comprends pas!"

    "Et en plus, elle se fout de ma gueule’ dit elle en se retournant vers les deux jeunes hommes.

    Ils étaient allongés sur le lit en train de regarder les photos intimes de Mélodie, commentant allégrement et vulgairement les performances sexuelles de leur hôte.

    "L’ordre de mes photos n’est plus le même donc j’en déduis aisément que tu les a reluquer, et peut être même que tu t’es branlée en les regardant, hein petit vicieuse?"

    Marie ne savait plus quoi répondre alors, regardant ses chaussures, et avoua timidement

    "Oui, Mademoiselle, je les ai regardées, mais vous êtes si jolie" dit elle afin de calmer la colère de Mélodie.

    "Et elles t’ont excitées?"

    "Oui Mademoiselle "

    "Alors tu t’es branlée comme une petite pucelle?"

    "Oui Mademoiselle "

    Marie restait là, sur le pas de la porte, a attendre la sanction de Mélodie. Elle avait rejoint ses deux amis et semblait réfléchir à la punition qu’elle allait affliger à sa bonne.

    "Viens ici, je crois qu’une fessée te feras le plus grand bien pour ta curiosité, pas vrai messieurs!

    Chacun d’entre eux acquiescèrent en rigolant et Mélodie attrapa Marie par le bras et la fit coucher sur son lit, sur le ventre.

    "Tenez lui les bras à cette petite garce"

    Marie, allongée, les bras tendus et serrés par les deux hommes, sentit alors sa jupe remonter et Mélodie qui fit descendre son string sur ses cuisses. Ainsi, les fesses bien dénudées, elle attendait la sentence.

    "Regardez moi cette petite pute, le cul à l’air, a attendre sa punition. Remarquez, elle a un beau cul ma boniche, hein les gars, qu’est ce que vous en pensez?"

    "C’est sur que j’y fourrerais bien ma pine" dit l’un d’eux.

    "Remarque, sa bouche a l’air accueillante" répondit l’autre.

    "Eh doucement les gars, je vous rappelles que je ne vous ai pas fait venir pour la baiser elle, mais pour mon plaisir, alors on se calme et on la tient"

    Et là, la première claque tomba sur les fesses de Marie qui, surprise, lâcha un ’Oh’ d’étonnement, mais supporta les 5 autres qui vinrent lui fouetter le cul.

    "Alors, petite cochonne, t’as pas honte de t’exciter en matant des photos porno?"

    "Si, mademoiselle, pardonnez moi!"

    Et Mélodie repris sa fessée de plus belle jusqu’a ce que les petites fesses de Marie soient bien roses. Et là, passant son doigt sur sa fente.

    "Mais elle mouille cette petite garce, ça l’excite! La chienne" et d’enfoncer son doigt dans l’âtre humide et chaud de Marie qui, remuant les fesses, appréciait de plus en plus le traitement que Mélodie lui infligeait.

    "Mais tu ne crois tout de même pas que je vais te faire jouir. Moi je crois que c’est l’inverse qui devrait se produire. Pas vrai messieurs?"

    Les deux garçons n’avaient pas attendus cette idée de Mélodie pour sortir leur sexe et ils se masturbaient déjà depuis un moment en la regardant œuvrer. Ainsi, ils n’eurent aucun mal à approcher leurs engins prés des lèvres de Marie qui se retrouva dans l’obligation de les sucer l’un après l’autre.

    "Putain, qu’elle est bonne ta bonne" ricana l’un d’eux.

    "Oui, elle suce divinement, on dirait qu’elle a fait sa toute sa vie, la salope!" Renchérit l’autre.

    "Appliques toi bien, fais les jouir, comme cela ils seront plus endurants pour moi" s’empressa d’ajouter Mélodie.

    Elle en avait profité pour ôter son pantalon et son chemisier et, en petite culotte, observait la scène de plus près, profitant pour branler le membre qui n’était pas dans la bouche de Marie. Allongée sur le lit, Marie s’employait au mieux pour exciter les deux mâles, démontrant au passage qu’elle n’était pas douée que pour le ménage. Car en fait, elle adorait ce qu’elle était en train de faire. Car non seulement elle avait l’habitude et aimait sucer la bite de son petit copain, l’amenant doucement au plaisir, mais en plus, là, c’était deux sexes qui attendaient que sa bouche et sa langue les amènent à l’orgasme. En fait, la seule chose qui la dérangeait était de ne pas avoir une main entre ses cuisses pour calmer l’incendie qui y régnait car elle mouillait comme une fontaine à s’escrimer sur les deux pieux qui lui bourraient la bouche. Mélodie l’avait vite remarqué, et perverse comme elle l’était, avait

    complètement délaissé cette petite chatte humide, la privant volontairement de son plaisir afin d’accroître la frustration de Marie. Et pourtant, dieu qu’elle en avait envie de ce petit minou luisant, envie d’y déposer ses lèvres, sa langue et de laper cette mouille qui coulait à flot. Mais comment pourrait elle encore se faire respecter

    si elle s’abaissait à faire jouir sa bonne. C’est pourquoi elle préféra encourager ses deux amants à venir au plus vite décharger leur foutre. Alors que le premier d’entre eux lui remplit la bouche, Mélodie branlait l’autre jusqu’à ce qu’il se vide sur le visage et le corsage de Marie.

    "Putain, que c’est bon !", lâcha se dernier.

    "Oh oui, ça fait du bien de se faire pomper comme ça!" ajouta l’autre.

    "Bien, les gars, à mon tour maintenant, je suis toute mouillée à vous regarder. Et toi, petite vicieuse, tu t’en vas! Tu ne crois tout de même pas que qu’on va, en plus, te donner du plaisir. Déjà que tu en as pris ton pied ce matin à mater les photos, alors tu vas te branler ailleurs, aller, dégage!"

    Marie, se releva, du sperme coulant sur ses joues, dans son cou, tachant le haut de son chemisier, et, réajustant sa jupe, elle recoupera son string et sorti de la chambre. Une fois dans le couloir, frustrée, le sexe en feu, elle ne put s’empêcher de regarder par la serrure et, très vite, sa main vint se nicher entre ses cuisses. En effet, Mélodie,

    maintenant nue, était allongée sur le lit, les cuisses grand écartées entre lesquelles l’un de ses amants s’évertuait à jouer de sa langue dans son con trempé. Son acolyte, quand à lui, était accroupi au-dessus du visage de la jeune fille et se faisait royalement lécher le trou du cul, alors qu’il branlait sa bite ramollie, s’efforçant de lui redonner une certaine vigueur qui revenait petit à petit. Marie voyait très bien Mélodie qui écartait les fesses de l’homme de ses deux mains, et surtout sa langue pointue qui allait et venait dans son anus jusqu’au moment ou, son corps se cambrant, elle partie dans un orgasme bruyant occasionné par le traitement qu’on lui faisait subir entre ses cuisses. Marie se masturbait de plus en plus rapidement, penchée sur ce trou de serrure qui lui relevait les perversions de la fille de la maison. Mais, elle fut assez surprise de la suite des évènements car le jeune homme qui avait savamment joué de sa langue s’allongea sur la lit, la bite tendue vers le plafond et, contrairement à ce

    qu’elle pensait, ce n’est pas Mélodie qui vint s’empaler dessus mais l’autre garçon qui, aidé par la demoiselle qui guidait le membre entre ses fesses, se le fit mettre dans le cul. Agenouillé sur son partenaire, lui tournant le dos, ils offraient à Marie la vision de la bite qui allait et venait dans son trou au-dessous du sexe bandé de celui qui se faisait enculer. Cette vision lui fut malheureusement trop rapidement cachée par Mélodie qui, venant face à lui, descendit doucement sur son sexe, s’empalant dessus dans une position qui ne devait pas lui être très confortable. Ainsi, les trois amants, emmanchés l’un dans l’autre, commencèrent à bouger dans un rythme commun jusqu’à ce que Mélodie ne jouisse la première. Elle se retira alors de l’emprise de son amant et se penchant sur son vit, le suça comme une déchaînée pour lui extraire son jus d’amour qu’elle s’empressa d’avaler. Doucement, il se souleva, libérant son anus du membre qui lui défonçait le cul, sur lequel Mélodie se précipita pour, à son tour, lui faire cracher son foutre qu’elle partagea ensuite avec ses deux amants dans un baiser plein de passion.

    Marie en était toute trempée, deux orgasmes avaient accompagnés ses caresses et ses jambes avaient de plus en plus de mal à la supporter. Néanmoins, elle se ressaisit, et, regardant l’heure, se dit qu’elle devait mettre de l’ordre dans sa tenue, qu’elle avait le temps d’aller prendre une douche réparatrice. Une fois propre, elle changea pour la troisième fois de la journée sa petite culotte qu’elle s’empressa de laver et d’étendre à côté de la première, avant de retourner à son service.

    L’arrivée de Madame Karine se fit quelques minutes plus tard ce qui fit penser à Marie qu’elle venait d’avoir une certaine chance, et lorsqu’elle pénétra dans la villa, elle croisa sa belle fille et ses deux amants qui, comme si de rien n’était l’a saluèrent poliment.

    "Bonjour Madame L, avez vous passer une bonne journée?"

    "Bien merci, et vous, avez vous bien révisé?"

    "C'était surtout les travaux pratiques que l’on a révisé" coupa sèchement Mélodie

    "Et je crois que nous sommes au point" termina l’un des garçons avant de sortir.

    La fin de journée arriva tranquillement et Marie savait maintenant qu’elle devait affronter le docteur L dans son bureau. Comment allait elle s’expliquer pour son indécente insolence du matin, comment lui faire comprendre qu’en fait, ce n’était pas lui qui lui avait fait de l’effet, mais devait elle aussi lui avouer les perversités de sa fille?

    C’est avec toutes ses questions sans réponses qu’elle frappa à la porte du bureau.

    "Entrez" entendit elle, surprise de reconnaître la voix de Madame Karine.

    En effet, c’était bien elle qui, vêtue d’une blouse blanche, était assise au bureau de son mari

    "Bonsoir maîtresse, Monsieur m’a demandé de passer le voir"

    "Je sais, je sais" dit elle, regardant Marie d’un air songeur.

    "Comme je sais très bien pourquoi il t’a demandé de passer, petite cochonne!"

    Marie baissait les yeux, regardant ses chaussures, ne se doutant pas que le docteur aurait révélé leur discussion de la matinée à son épouse.

    "Alors comme cela, tu mouille pour mon mari? Tu me déçois, j’étais persuadée que ce n’était que pour moi. Enfin, ce qui me rassure c’est que sa petite bite ne soit pas assez performante pour te défoncer. Tu sais, à son âge, c’est devenu un petit coup et puis s’en va. C’est ça qui t’excite?"

    "Euh, non maîtresse" se risqua t ’elle

    "Alors c’est quoi?"

    "Euh, en fait, je voulais lui dire que c’était l’image de le voir avec vous qui m’excitait"

    "Ah bon, parce que tu pense qu’il me baise tous les jours? Et puis, si je comprends bien, cela t’excite de jouer les voyeuses?"

    "Oh non, maîtresse, je ne me permettrais pas !"

    "Pourtant ce n’est pas ce que m’a dit Solange lorsqu’elle t’a vue la main entre les cuisses en train de regarder dans la chambre de Mélodie par la serrure"

    Le rouge monta au visage de Marie, son cœur se mit à battre plus vite, ses jambes devinrent plus frêles, supportant à peine son petit corps tourmenté, elle venait d’apprendre qu’on l’avait surprise en train de se livrer à ses attouchements intimes.

    "J’espère au moins que le spectacle en valait la peine!" Ajouta cyniquement Karine "En attendant, revenons à ce qui nous intéresse maintenant. Tu disais donc que tu mouillais pour mon mari, voir même pour moi, t’imaginant qu’il me baise. Bon comme le Docteur, comme je te l’ai dis, doit mesurer ses efforts au risque de ne plus bander, et bien, c’est moi qui vais m’occuper de toi!"

    Et de se lever, d’ouvrir sa blouse pour n’apparaître vêtue que d’une courte guêpière très sexy, et surtout, équipée d’un godemiché attaché à sa taille.

    "Aller, viens me montrer tes talents de suceuse"

    Elle appuya alors ses fesses contre le bureau et, le sexe factice en avant, prit Marie par la main, l’attira vers elle et l’obligea à s’agenouiller. Marie, contrainte de s’exécuter, se dit qu’elle ne risquait pas grand chose d’un sexe en latex et, consciencieusement, s’appliqua à le lécher, le prendre en bouche, comme si elle le faisait à son petit

    copain. Le plaisir accompagnant rapidement sa tâche, elle devenait plus ardue dans son exécution, osant prendre sa maîtresse d’abord par la taille, avant d’aller jusqu’à lui caresser les fesses.

    "Oh oui, je vois que tu aimes cela, que tu es une bonne petite vicieuse, continue, suces moi bien, fais moi bander, oui, ta bouche est bonne, elle est douce. Regardes moi, montres moi ton désir, fais moi mouiller petite gouine, caresses moi, continu, c’est bon"

    Et de lui prendre la tête entre les mains et, lui faisant ouvrir la bouche, elle laissa aller à un filet de salive qui coula directement dans la bouche de Marie. À ces mots, à ces gestes, Marie s’enhardit de plus en plus, repris sa fellation et ses caresses devinrent plus précises, plus intimes, au point d’aller titiller le petit trou de sa maîtresse qui, appréciant cette initiative, écarta ses fesses pour lui faciliter l’accès.

    "oui!, vas y, doigte moi le cul, pénètre moi!"

    Et de lui libérer la bouche pour se retourner et lui présenter ses fesses

    "Vas, y petite gourmande, lèche moi le cul, écarte bien mes fesses et plante moi ta langue"

    Et marie de s’exécuter de nouveau, sentant maintenant parfaitement le plaisir qui lui inondait la culotte, elle s’appliqua à baiser avec sa langue le cul offert de sa maîtresse. Ses gémissements de plus en plus bruyants démontraient qu’elle était sur la bonne voie et elle ne fut pas entonnée lorsque celle-ci se mit à trembler légèrement puis se raidir brusquement, emportée par l’orgasme.

    "Hum, tu es vraiment douée, tu m’as fais jouir rapidement. Viens, lève toi"

    La prenant par les épaules, elle l’a fit relever et déboutonna son corsage

    "En plus tu as de jolis seins, laisses moi te les sucer"

    Et sa bouche se posa sur le sein droit de Marie alors que le gauche disparaissait sous sa main. Sa langue qui exerçait des mouvements de rotation autour du téton, ses dents qui le mordillait, ses doigts qui le pinçaient légèrement, ce traitement plaisait à Marie qui, sans s’en rendre vraiment compte, sentait sa respiration s’amplifier, ses seins réagir aux douces caresses de sa maîtresse, sa chatte se liquéfier, surtout lorsque la main abandonna son sein pour doucement aller se loger entre ses cuisses, l’amenant en quelque pressions bien placées au plaisir tant désiré au point d’avoir du mal à se retenir de crier. Elle avait jouis et Karine s’en rendit fièrement compte.

    "Eh bien, tu es sacrement réactive, en fait tu aimes ça, hein petite vicieuse, tu aimes de faire caresser, te faire sucer les seins"

    "Oui, maîtresse, surtout lorsque c’est bien fait comme vous venez de me le faire"

    "Et je n’ai pas finis, enlèves ta jupe et assis toi sur le bureau"

    Marie fit glisser sa jupette et une fois assise, elle sentit sa maîtresse écarter le petit bout de tissus du string et pointer le godemiché sur sa chatte

    "Maintenant, je vais te baiser et tu m’en diras des nouvelles"

    Allongée sur le dos sur le bureau, une jambe posée sur le fauteuil et l’autre en appui sur le meuble, Marie avait sa maîtresse entre ses cuisses et celle-ci avait commencer à la pénétrer avec le godemiché. C’est à cet instant que la porte du bureau s’ouvrit et que le Docteur apparut.

    "Tu tombes bien, chéri, regarde cette petite salope, elle en prend plein sa chatte et en plus, elle aime ça. Elle est vraiment bonne, et je suis sure que tu pourras la prendre deux fois, qu’elle saura de faire rebander"

    Le docteur ne dit rien, se contentant d’approcher de la tête de Marie, lui adresser un petit sourire pervers et, déboutonnant son pantalon, lui mis son sexe flasque devant la bouche

    "Sucez s’il vous plait!"

    Tels furent ses seules paroles et Marie, malgré les soubresauts ressentis par la pénétration qu’elle subissait, pris la pine de son patron dans la bouche et, s’aidant de sa main, s’appliqua à le faire bander. La réaction ne fut pas longue et très vite, le chibre avait gagner en grosseur et en raideur, et, jugeant des grognements de son propriétaire, le traitement avait l’air d’être plaisant. Il se retira alors et s’adressant à son épouse

    "Je suis prêt"

    Karine se retira alors du con de Marie et laissa sa place à son époux. Celui ci s’introduit dans Marie si facilement qu’il douta un instant être en elle, mouillée qu’elle était. Par contre, Marie éprouva un petit manque du à la différence de taille entre le godemiché et la petite bite qui la travaillait. Karine, n’en resta pas moins inactive et montant à son tour sur le bureau, elle vint offrir sa chatte à la bouche de Marie. Ainsi, prise par le Docteur qui allait et venait en elle, chevauchée par sa maîtresse qui se frottait sur elle, elle savait qu’elle ne résisterait pas longtemps à ce traitement et que l’orgasme allait la foudroyer. La seule retenue qui l’habitait était d’attendre la jouissance de ses maîtres avant de laisser éclater la sienne et c’est ce qui arriva lorsque le docteur sorti son membre pour, dans un dernier branle, arroser le ventre de Marie de son foutre. À ce moment, Karine se pencha pour venir laper les quelques gouttes parsemées et Marie pouvait laissait éclater son plaisir.

    Le temps de reprendre ses esprits que le docteur prit alors la parole:

    "Marie, il n’est pas dans mes habitudes de faire l’amour avec mon personnel de maison, ainsi, je vous prierais de considérer cette expérience comme une étude purement médicale. En effet, je tiens a connaître mes capacités en matière d’érection, a savoir en combien de temps un homme de cinquante ans peut remettre le couvert après avoir eut un orgasme. Alors je vous prierez de bien vouloir vous remettre à l’ouvrage, avec l’aide de mon épouse, pour participer activement à cette étude, merci."

    Décidément, Marie se demandait vraiment à quel type de patron elle avait a faire. Il venait de lui faire l’amour et lui, sans aucun sentiment, lui indiquait froidement que c’était pour la science. Elle n’eut pas longtemps à se poser la question car Karine l’avait prise par le bras et la poussa contre la table d’auscultation.

    "Tourne toi, montre moi ton cul!"

    Et en retirant le string de Marie, elle s’agenouilla devant son postérieur pour immédiatement lui lécher la rosette. Marie appréhendait cette caresse qui en fait, était pour elle une première. Mais Karine savait tellement y faire que ses réticences ont rapidement disparues si bien que, d’elle même , elle lançait ses fesses au-devant de la langue fouineuse.

    "Tu ne t’ai jamais fais enculer, on dirait"

    "Non, maîtresse, j’aime pas! " osa Marie afin de l’en dissuader

    "Tu sais pourtant que c’est moi qui décide ici!"

    "Oui maîtresse, mais j’ai peur d’avoir mal"

    "Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te mettre ma queue, mais juste celle du docteur, elle est plus petite, mais comme je suis une gentille maîtresse, je vais te préparer avant"

    Et ouvrant alors un tiroir, elle prit un tube de gel et le plus petits des 6 godes qui s’y trouvaient

    "Tu verras, bientôt, tu me demanderas le plus gros!"

    Une noisette de gel sur la rosette, un doigt qui entre facilement, Marie était maintenant investie dans l’anus et cette première pénétration lui fit en fait plus de bien que de mal. Elle supporta aussi le deuxième doigt qui entra et bien vite, les allers et retours dans son fondement commencèrent à lui faire le plus grand bien. Le docteur observait la scène en se tripotant machinalement le sexe, mais sans que celui ci ne retrouve sa forme espérée. Alors, il s’approcha de Marie et la fit mettre à quatre pattes sur le carrelage. La position était moins agréable, due principalement au froid contact avec les dalles blanches mais lorsque Karine repris sa masturbation anale, elle se

    concentra sur cette pénétration, avant de se retrouver avec le sexe du docteur devant les yeux. Comprenant alors son désir, elle ouvrit la bouche et ferma les yeux, prête à refaire une fellation sur le membre de son patron. Alors, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle reçut un jet chaud sur le visage et dans la bouche, elle se rendit compte

    qu’il vidait sa vessie sur elle et dans la cuvette qu’il avait glissé sous elle. Marie ne peut qu’admettre la situation et même si elle s’efforçait de recracher le maximum d’urine dans la cuvette, elle fut quand même obligée d’en avaler une certaine partie sous le regard amusé de sa maîtresse.

    "Tu aimes ça, hein petite vicieuse, je savais bien que cela t’excitait de boire la pisse. Ne t’inquiète pas, tu auras la mienne tout à l’heure, pour le moment, prends ça!"

    Et d’enfoncer le godemiché dans les entrailles de Marie, lui arrachant un léger cri de douleur.

    "Bon, maintenant que je me suis vidé, je vais pouvoir juger de mes capacités" dit alors le docteur.

    "Veuillez me sucer de nouveau, s’il vous plait"

    Et revoilà Marie réinvestie par la bouche mais aussi par le cul, répondant une nouvelle fois a leur fantaisies perverses. L’odeur du sexe du docteur, un mélange de ses secrétions intimes, de sperme et d’urine, provoqua tout d’abord un haut le cœur que le Docteur perçu parfaitement.

    "Alors, mon petit, appliquez vous, ce n’est pas comme cela que j’aurais des résultats probants"

    Marie se força alors à entreprendre une nouvelle fellation tout en se faisant bourrer le cul par les vas et viens de sa maîtresse qui, crachant sur son trou à chaque sortie du godemiché, la préparait de son mieux pour la sodomie qui s’annonçait maintenant imminente. Il est vrai que le docteur se trouva un peu étonné de se retrouver aussi vite en érection, lui qui d’habitude se sentait extenué pendant quelques heures après un orgasme, se sentait maintenant rajeunir de quelques années. Il faut dire que la scène ne manquait pas de piment et que l’excitation était à son comble. Son épouse, a moitie nue qui se gouinant avec sa bonne, rien de mieux pour un homme pour se retrouver avec une bite prête à l’emploi. C’est ainsi qu’il vint se placer derrière Marie et, écartant son épouse, planta son dard entre ses petites fesses. Même si le conduit était parfaitement lubrifié et détendu, lorsqu’elle senti le gland lui prendre son pucelage anal, Marie ressenti une désagréable douleur qui lui fit faire une grimace émouvante aux yeux de sa maîtresse. Et pour la première fois, Karine ne peut s’empêcher de prendre ses lèvres et partager un baiser des plus amoureux. Le Docteur était maintenant au fond de son petit cul et, la tenant fermement pas les hanches, il commençait à la limer doucement, lui faisant alors comprendre et découvrir ce qu’étaient les bienfaits d’une bonne sodomie. D’autant plus que Karine, de plus en plus compatissante, avait glisser sa main entre les cuisses de Marie et lui masturbait l’abricot en même temps. Cette caresse l’excita elle même au point de se démunir de son gode ceinture et de venir s’allonger sous Marie, prendre son sexe avec sa bouche, tout en lui offrant le sien. Ainsi forme, notre trio put assouvir leur soif de plaisir, Marie haletant de plus en plus fort, étouffant ses gémissements dans la chatte de sa maîtresse. C’est d’ailleurs elle, Karine, qui se laissa aller la première, très sensible a la langue et aux doigts agiles de Marie, avant que cette dernière ne lui réponde, le sexe du docteur dans son cul en étant le principal responsable. Celui ci se démenait toujours dans le petit conduit de Marie et, sentant son plaisir proche, il s’en retira pour venir se replacer devant Marie.

    "Marie, veuillez nettoyer correctement mon membre s’il vous plait"

    Et de le lui fourrer entièrement dans la bouche, y faire deux ou trois va et viens, pour exploser littéralement dans son gosier. La pauvre Marie faillit s’étouffer sous les jets de foutre qu’elle recevait, dont le surplus coulait le long de son menton et de son cou et, une fois qu’il fut complètement vider, elle se retrouvait a genoux devant lui,

    la bouche pleine de sperme, les yeux brillants du plaisir qu’elle a reçut. Il se dégagea, secoua une dernière son sexe qui cette fois-ci était hors d’usage pour un certain temps sur les joues de Marie.

    "Bien Marie, je vous remercie pour votre active participation pour cette étude que je peux juger comme concluante. maintenant, mon épouse va vous nettoyer"

    Et il alla s’asseoir dans le canapé, avachi et épuisé de ses efforts sexuels.

    Karine prit la main de Marie et la fit se relever pour l’accompagner au-dessus de la cuvette déjà remplie par son mari.

    "Tu peux te vider si tu en as envie!"

    Agenouillée au-dessus de la cuvette, Marie savait très bien que l’envie était en fait celle de sa maîtresse, qu’elle voulait la voir faire pipi. Alors, contractant sa vessie, elle se mit a uriner au-dessus de la cuvette, son jet résonnant à l’intérieur, éclaboussant l’urine du docteur déjà en place. Karine, derrière elle, se pencha et passant sa main sur le sexe de Marie, récupéra un peu d’urine dans sa main en forme de conque et l’appliqua sur son anus.

    "Faut d’abord te laver le cul"

    Et réitéra l’opération plusieurs fois jusqu’à la fin du pipi de Marie, s’appliquant a faire pénétrer à chaque fois un doigts au fond de son cul. .

    "Bien, passons à se foutre qui orne ton beau visage, ma chérie"

    Et là, debout au-dessus d’elle, elle s’approcha et urina totalement sur le visage de Marie. L’urine, chaude, tombait sur le visage de Marie, coulait dans son cou, sur ses seins, mouillait son porte jarretelles, le seul vêtement qui lui restait, pour venir terminer sa course le long de sa fente et remplir la cuvette. Sentant la fin de son expulsion, Karine posa carrément son sexe sur la bouche de Marie

    "Maintenant, tu peux me boire!"

    Et Marie d’ouvrir sa bouche pour récupérer les dernières gouttes de sa maîtresse, les avaler, les apprécier.

    C’est a cet instant que Marie se sentie entièrement soumise à ses maîtres et qu’elle se rendit compte que rien ne pouvait plus l’arrêter dans cette relation. Elle avait trouvé en eux les patrons idéaux, et elle se sentait complètement apte à les servir.

    Karine avait bien deviné l’état dans lequel se trouvait son esclave sexuelle et était fière d’elle. Elle savait que leur relation serait maintenant tout autre et qu’elle n’hésiterait plus à s’en servir pour assouvir ses désirs les plus pervers.

    Le docteur, quand à lui, s’en alla se coucher, usé de son activité sexuelle mais satisfait d’avoir pu jouir deux fois en si peu de temps, chose qui ne lui était pas arrivé depuis un certain temps. Et comme en plus il a fait le plaisir de sa bonne qui n’a pas eu l’air de s’en plaindre, il se sentait fier d’être un bon patron.

    Marie prenait de plus en plus de place dans la vie de ses patrons car non seulement ils étaient entièrement satisfaits de son travail, la villa n’avait jamais été aussi bien tenue, mais en plus, elle était à leur entière disposition pour assouvir leur fantasmes, leurs envies, leurs désirs les plus pervers. Que cela soit avec les femmes de la maison ou avec les hommes, elle était complètement dévouée à leur service et acceptait sans rechigner les brimades ou humiliations, sachant que c’était le moyen de conserver son emploi et aussi, reconnaissante de la bonté de ses maîtres, elle savait que son plaisir n’était en fait que rarement oublié. Ainsi, depuis les quelques mois qu’elle travaillait ici, sa vie sexuelle était devenue aussi importante que sa vie professionnelle, très souvent sollicitée par Madame Karine ou sa belle fille Mélodie. Et comme elle avait à cœur de conserver cette fraîcheur et cette propreté qu’on lui avait imposée, Marie, chaque semaine, se retrouvait entre les mains de Solange, la cuisinière, qui prenait soin de lui appliquer une épilation impeccable de son sexe suivant le même rituel maintenant établi.

    Allongée sur la grande table de la cuisine, uniquement vêtue de son porte jarretelles, les cuisses largement écartées, Marie offrait sans pudeur son abricot aux gestes, certes appliqués, mais qui, au fil du temps devenaient de plus en plus excitants, de Solange. L’intimité de cette séance était souvent suivie de près par Armand, le jardinier, qui, bien calé derrière la fenêtre de la cuisine, ne perdait pas une miette du spectacle offert et terminait généralement sa séance de voyeurisme par une éjaculation massive sur le parterre de fleurs qui se trouvait à ses pieds. Marie avait maintenant pris l’habitude de sa présence et se sentait même légèrement excitée de savoir qu’elle offrait ce plaisir à cet homme qui, en fait, lui semblait complètement inoffensif. Après avoir enduit tout le pourtour du sexe d’une fine couche de mousse à raser, Solange commençait son travail par le pubis de Marie, ôtant toute repousse pileuse d’un coup de rasoir sûr et net. Une fois le mont de Venus totalement lisse, elle s’appliquait à raser le pourtour des lèvres de Marie. L’opération pouvant se révéler délicate, elle prenait soin de bien dégager celles ci en introduisant un doigt dans la fente de Marie afin de tendre correctement sa petite lèvre. Là, passant délicatement le rasoir le long de sa figue, elle l’a rendait aussi douce que son pubis. Renouvelant l’opération de l’autre coté, il ne restait plus qu’a s’occuper du petit trou de Marie. Pour ce faire, elle se mettait à quatre pattes sur la table, offrant ses fesses à Solange et, la tête calée entre ses avant bras, son anus bien visible, elle était disposée à rendre son intimité anale aussi nette que le reste. Solange, après ce rasage intime, terminait toujours cette opération en appliquant une serviette tiède sur toutes les parties épilées et très vite, devant la réaction de la petite bonne, elle en était venue à faire de ce nettoyage une charmante masturbation qui offrait à Marie un orgasme émouvant. Cette situation équivoque aurait de quoi excitée Solange, mais cette femme mure, passée par de nombreuses expériences, éprouvait en fait plus de plaisir à jouer le rôle de grande tante cajolante auprès de Marie, lui offrant la possibilité de jouir de son jeune corps de 20 ans, ne ressentant pas plus que cela le besoin de réveiller sa libido maintenant endormie depuis un certain temps. Une fois, pourtant, cette petite gâterie pris une tournure un peu plus inhabituelle, car au bout de la table, dans une grande panière d’osier, trônaient quelques beaux légumes fraîchement cueillit du jardin. Lorsque Marie, positionnée pour se faire raser l’anus, aperçut les aubergines, attirée par la forme phallique du légume, elle ne put s’empêcher d’en attraper une et, tout naturellement, la porter à sa bouche et de s’appliquer à mimer une fellation, pratique qu’elle adorait faire. Solange la vue faire et ne pu s’empêcher de sourire en la voyant s’exécuter. Elle termina alors son rasage et après avoir passé la serviette tiède, elle lui dit:

    — "Tu es mignonne comme cela, mais je connais un endroit où cela te ferais le plus grand bien"


    Elle lui prit l’aubergine et, écartant de ses doigts les petites lèvres de Marie, elle la pénétra doucement avec le gros légume. L’introduction de l’aubergine se fit lentement, très lentement, de manière à ce que Marie puisse la sentir lui écarter le sexe, pénétrer en son intérieur, en apprécier sa grosseur. Trempée comme elle était après chaque séance d’épilation, Solange n’avait aucun mal à la faire rentrer au plus profond de son con. Une fois au fond de sa cavité, elle entrepris alors un doux va-et-vient, apprécié comme ils se devait par Marie qui commençait à tortiller des fesses. Solange, qui devinait sans aucun mal l’excitation de la petite, prenait maintenant un certain plaisir à entreprendre cette masturbation au point qu’elle poussa le vice à venir agacer de son doigt le petit trou de Marie. Cette caresse fit frémir la petite bonne avant qu’elle ne tende un peu plus ses fesses en direction de Solange, l’invitant à y introduire son doigt. Ainsi, l’aubergine allant et venant dans son sexe, le doigts de Solange qui lui astiquait le conduit anal, Marie ne pu s’empêcher de gémir de plus en plus fort au rythme que lui imposait Solange. Très vite, foudroyée par le plaisir, elle s’affala sur la table et, dans une dernière contraction vaginale, l’aubergine fut expulsée du con brûlant et trempé. Le temps de se remettre de se plaisir, elle se retourna vers Solange qui, pour la première fois, les yeux brillants et les joues rosées, semblait avoir ressenti une certaine excitation de cette expérience.

    — "Merci Solange, c’était très bon. Mais dis moi, tu ne veux pas que je te fasse pareil?"


    Solange se reprit alors et ayant retrouvé son sérieux, lui répondit.

    "Je te remercie mais tu sais, à mon âge, on en a fini de ces chose là. Et puis, te voir jouir ainsi suffit à mon bonheur. Allez, files t’habiller, sinon tu seras en retard"

    Marie récupéra ses affaires et alla se changer dans sa chambre, toute heureuse de cette expérience agréable, se demandant même si Armand n’en avait pas profiter pour se faire reluire une deuxième fois. Lorsqu’elle fut prête, voulant remercie une nouvelle fois Solange, elle repassa dans la cuisine mais n’y vit personne. Faisant demi tout, elle fut alors surprise d’entendre des gémissements venant du cellier et approchant doucement, elle eut la surprise d’ y apercevoir Solange, les cuisses grande ouvertes, un concombre de bonne taille planté dans le sexe, en train de se masturber comme une furie. Ne voulant la déranger, elle sortit de la cuisine sans pour autant se faire la remarque que Solange était une grande menteuse.

    Marie était donc heureuse de son sort, heureuse de travailler dans les conditions qu’on lui avait imposées, au point d’avoir renoncé à sa vie privée, son jour de congé et surtout de son petit copain qui, maintenant, était bien loin de ses attentes sexuelles. Soumise à ses patrons, elle ne s’imaginait même pas refuser, s’offusquer ou même se rebeller devant ce que l’on faisait subir. Comme cet après midi ensoleillé, alors que sa jeune maîtresse Mélodie avait profité de l’absence de ses parents et de son frère pour inviter un petit copain afin de la satisfaire. Marie, œuvrant dans le séjour, ne fut pas étonnée d’entendre crier son nom de l’extérieur. Elle se dirigea alors vers la piscine ou les deux tourtereaux avaient trouvé la fraîcheur nécessaire à supporter cette journée, et découvrit Mélodie, allongée sur le transat, sa jeune et douce poitrine offerte au soleil, un minuscule string couvrant sa petite chatte. À ses cotés, l’apollon de service, bellâtre musclé et parfaitement moulé dans un caleçon de bain. Il ne cessait de reluquer Marie qui, de par sa position sur le haut des marches, offrait la vision de son petit string rose encadré par les jarretelles. De suite, elle s’aperçut que cela ne laisser pas indiffèrent le jeune homme car elle pu remarquer quelques contractions provoquant une légère grosseur de son sexe ce qui la fit sourire intérieurement.

    — " Mademoiselle m’a appelée?"
    — "Oui, et il y a déjà un bon moment !" Se voulant volontairement sévère afin de bien asseoir sa domination et surtout le montrer à son petit copain.
    — "Dis moi, Marie, comment trouves tu Jérôme?"
    — "Euh, tout a fait charmant, Mademoiselle"
    — "Ne me dis pas qu’il te fait mouiller quand même! T’aimerais bien qu’il te baise?" Demanda t elle alors tout écartant lentement les cuisses, provoquant ainsi Marie par la vue de sa petite fente parfaitement dessinée sous le fin tissus de son string qui ne cachait pas le début d’excitation de la coquine.
    — "Oh, Mademoiselle, je n’oserai pas!"
    — "tu as raison, petite pucelle, c’est pas toi qu’il va baiser, mais moi, et comme tu aime jouer les sales voyeuses, je te permets de regarder, mais juste regarder"


    Et, alors que sa main se promenait doucement sur son entre cuisses, elle attira le bel homme prêt d’elle et d’un geste sur, découvrit le membre de son partenaire. Celui ci, bien qu’au repos, affichait des dimensions fort respectables

    — "Que penses tu de cette bite?" Lui demanda t ’elle le regard pervers.
    — "Euh, elle est très belle, Mademoiselle"
    — "Et t’aimerais bien l’avoir entre les cuisses, hein petite garce?"


    Marie, qui commençait a connaître les petites perversités de sa maîtresse, pris alors son air le plus timide pour répondre

    — "Oui, Mademoiselle, j’aimerais bien"
    — "T’aimerais bien quoi petite salope?"
    — "J’aimerais bien qu’il me baise, Mademoiselle!"
    — "T’es vraiment qu’une petite cochonne!"


    Et s’adressant à son copain

    "Tu as vu le personnel d’aujourd’hui, Mademoiselle la boniche aimerait bien que tu la baise! Mais ou va t on!"

    Et à Marie

    "Comment veux tu qu’une pauvre fille comme toi puisse le faire bander correctement. Par contre, comme je suis tout de même gentille avec toi, je te permets de me regarder faire, mais je te préviens, tu n’as pas intérêt à te toucher"

    "Bien Mademoiselle"

    La main entièrement dans sa culotte, Mélodie se branlait doucement tout en approchant la belle bite vers ses lèvres. Elle sortit la langue et agaça le bout du gland, léchant avec un certain délice cette queue qu’elle tenait dans sa main et qui devenait de plus en plus grosse. Sa langue passait sur toute sa longueur, s’attardait sur son gland, pour aller ensuite se perdre sur ses couilles, offrant à son partenaire une érection phénoménale. Puis, elle la fit glisser entièrement entre ses lèvres et, la bouche déformée par ce mandrin, elle commença à le pomper avec toute l’expérience qu’elle possédait dans le domaine. Bien vite, la bite du jeune homme emplissait la bouche de sa partenaire qui s’escrimait tant bien que mal à parfaire sa fellation sur se sexe devenu trop important pour sa bouche. Le ressortant, elle repassa alors sa langue gourmande, enduisant ce sexe de sa salive dont un long filet reliait le gland à la commissure de ses lèvres, et regardant vicieusement Marie:

    — "Tu as vu ce bel engin? Maintenant il va me le mettre, regarde bien!"


    Marie se tenait à un mètre de la scène et sentait très bien que sa petite chatte ne restait pas insensible à ce spectacle, que sa culotte commençait à s’humidifier. D’autant plus que Mélodie se mit a quatre pattes sur le transat, tendit ses fesses vers le jeune homme et écartant la ficelle de son string, lui dévoilant son sexe trempé,

    impatient de se faire remplir

    — "Viens, mets la moi bien au fond!" Lui dit elle avec envie


    Le jeune homme s’approchant d’elle et tenant son vit par la main, le guida à l’entrée de la grotte humide qui l’attendait. Doucement il la pénétra, lui arrachant des gémissements de bien être, pour la remplir entièrement et s’immobiliser en elle

    — "Si tu savais comme elle bonne et grosse, elle me remplit entièrement, c’est extra!"


    L’homme saisit alors Mélodie par les hanches et commença à lui limer le sexe, doucement au début, allant et venant sur toute la longueur de sa queue, avant d’accélérer crescendo.

    — "Oh oui, continu, c’est bon, défonce moi, encore, encore! "


    Et s’adressant à Marie

    — "Et toi, regarde comme il fait, regarde le me baiser, tu vois sa queue qui me bourre, qu’elle est bonne. T’aime ça hein, mater sa queue dans ma chatte, t’aime ça mais interdiction de te toucher, petite cochonne!"


    Et pourtant, dieu sait qu’elle en avait envie de se toucher, mais, les mains dans son dos, elle ne pouvait que serrer ses cuisses l’une contre l’autre pour tenter d’éteindre l’incendie qui couvait entre ses cuisses. Sa maîtresse se faisait maintenant littéralement défoncer, le jeune homme sortant complètement de sa chatte pour y replonger avec toute l’énergie de ses vingt ans, l’amenant ainsi à son premier orgasme qu’elle consuma dans un râle bruyant. Alors que le jeune homme avait complètement arrêter ses va et viens, il resta au plus profond de sa partenaire tout en la laissant reprendre ses esprits, Marie avait le regard figé sur ce membre qui déformait de façon impressionnante les petites lèvres de sa maîtresse.

    — "Oh que c’est bon!" s’exclama t elle alors "Et ce salaud n’a toujours pas jouit, je le sens encore énorme en moi, si tu savais comme c’est bon une grosse bite qui te défonce la chatte"


    Se voulant volontairement vulgaire, elle prenait plaisir à exciter sa bonne par ses paroles, ses gestes, ses attitudes, l’empêchant toujours d’aller caresser son abricot qui la démangeait de plus en plus. Le jeune homme sortit alors son membre et, encartant les fesses de sa partenaire, après avoir craché une bonne dose de salive sur son petit œillet brun, il pointa son gland sur la rondelle.

    — "Oh! Mais ce cochon va m’enculer!" Dit elle alors à Marie, "T’aimerais bien te faire enculer par une queue si grosse petite garce?"
    — "Oui Mademoiselle", répondit timidement Marie
    — "Oui quoi?"
    — "Oui, j’aime me faire enculer, Mademoiselle"


    "Tu n’es vraiment qu’une sale petite pute qui ne pense qu’a se faire mettre! En tout cas, regarde bien, c’est moi qui vais la prendre dans le cul!"

    Et le jeune homme commença à la pénétrer, l’énorme gland disparut entre ses fesses ce qui fit grimacer Mélodie. Marie se demandait même comment elle pouvait recevoir cet énorme sexe dans un trou si petit. Apparemment, Mélodie n’en était pas à son coup d’essai car une fois que le gland eut passer l’anneau de son cul, il s’y enfonçât avec facilité jusqu’à la garde, cognant alors ses couilles contre les fesses de Mélodie. Les râles de celle-ci démontraient qu’il s’y prenait très bien, et voyant sa queue coulisser maintenant dans le petit trou de sa maîtresse, Marie, rien qu’en contractant ses cuisses l’une sur l’autre parvint à l’orgasme qu’elle ne peut dissimuler que par un léger cri

    — "Ça te fais jouir, petite salope, de me mater. T’aime ça hein! Moi aussi, il me prend bien, il m’encule à fond, Oh oui, que c’est bon!"


    Et, tout en se caressant la chatte en même temps qu’elle supportait cette sodomie, elle partit à son tour dans un second orgasme foudroyant. Le jeune homme s’est alors retiré de son cul et s’approcha de la bouche de Mélodie afin de lui offrir le fruit de son plaisir. Celle ci, dans un sursaut de lucidité, refusa la fellation en lui disant:

    — "Donne le à la boniche qu’elle te nettoie, c’est son boulot!"


    Il s’approcha alors de Marie, lui mit la main derrière la tête, la fit s’agenouiller et l’attira vers sa pine toute rouge, légèrement marquée des souillures de Mélodie pour la lui fourra de force dans la bouche. Les lèvres distendues par ce dard énorme, Marie ne pu que subir la masturbation qu’il effectuait lui même sur la base de son membre

    jusqu’à ce qu’un premier jet de foutre ne vienne lui remplir le peu d’espace qui restait dans sa bouche, ce qui lui provoqua un haut le cœur. Le jeune homme, s’apercevant de la torture infligée, sorti son membre et termina son éjaculation sur le visage de Marie, la recouvrant totalement d’une dose de sperme inépuisable. Lorsqu’il

    eut complètement fini de se vider, il remis sa queue dans la bouche de Marie en lui demandant de bien la lui nettoyer. Marie, œuvrant alors avec dextérité, s’employa à sa mission avec un réel plaisir qu’elle communiquait à son amant par des regards qu’elle voulait amoureux.

    — "Et bien, elle travaille bien, ta bonne, c’est tout propre, prêt à resservir!" Dit il alors à Mélodie qui avait observé la scène en se caressant distraitement le minou.
    — "Oui, elle n’est pas trop mal, mais le problème que l’on a avec elle c’est qu’elle ne pense qu’à baiser. Alors tu comprends, on ne peut pas toujours prendre du plaisir au lieu de nettoyer les carreaux. Si bien que nous sommes parfois obligés de la punir"
    — "Viens voir là" dit elle à l’adresse de Marie


    Elle se releva, le visage barbouillé de foutre et s’approcha de sa maîtresse

    — "Et puis, elle fait un peu négligée avec tout se sperme sur les joues"


    Elle tendit alors la main vers marie, la posa sur sa cuisse et doucement la remonta le long de ses bas, passa les jarretelles pour venir se poser sur son sexe ou elle se rendit compte de la chaleur humide qui y régnait. Elle promenait alors un doigt le long de la fente, a travers le fin tissus trempé du string, et avant qu’elle ne puisse jouir

    de cette caresse, s’arrêta net.

    — "Mais cette petite cochonne voudrait encore prendre son pied. Qu’elle garce. Tu vois je te l’avais dis, on ne peut pas la laisser sans qu’elle ne jouisse. Sa culotte est trempée. Aller, ouste, va te laver!"


    Le plaisir de Mélodie étant principalement de jouer avec la frustration de Marie, de l’exciter tout en lui interdisant de jouir, il en était complètement diffèrent avec Karine, la maîtresse de maison qui elle, n’hésitait pas à faire l’amour avec Marie, appréciant autant lui infliger sa domination en la prenant équipée de son godemiché, que de lui lécher amoureusement le sexe et l’amener à l’orgasme, ou bien même, s’en servir pour des besoins particuliers, comme en ce samedi après midi.

    Alors que Monsieur et ses enfants étaient partis dans la famille, Marie s’apprêtait à recevoir les amies de Madame pour une après midi qu’elle pensait être consacrée aux bavardages accompagnés d’un petit digestif. En effet, Madame n’ayant jamais été vraiment appréciée dans la famille de son mari, elle acceptait sans aucun problème de ne pas les accompagner et profitait des ses absences pour recevoir. Ainsi, vers 14 heures, Marie vit arriver les invitées. Estelle, l’esthéticienne de Madame, une très jolie jeune femme brune d’une trentaine d’année, une allure sportive et souple, un corps fin et long, une jolie queue de cheval coincée sous sa casquette, un ensemble veste pantalon de toile blanche assez fin qui laissait deviner deux jolis seins dépourvus de tout soutien-gorge et un minuscule string qui séparait deux fesses assez musclées. Marie la regardait passer en l’invitant à se rendre au salon et la trouvait très séduisante. Claude, la femme du vétérinaire, grande amie de Madame Karine depuis que leurs maris se disputent le parcours de golf une fois par mois, ce qui les a poussé à s’occuper elles même du leur, trouvant rapidement que leurs trous valaient bien ceux du golf.. C’est une femme de 45 ans, mais qui veut en paraître 25. Même si son corps à garder une certaine fraîcheur et des formes désirables, les multiples liftings que son visage a subi l’ont malheureusement plus déformée qu’embellie si bien qu’elle se sent maintenant aigrie envers le corps médical. Vêtue d’une robe assez légère, et surtout fendue jusqu’à la taille, Marie s’aperçut de suite que ses jambes étaient très belles, recouvertes de bas très fins fixés à des jarretelles rouges. Françoise par contre, ne cachait pas ses rondeurs. 35 ans environ, elle avait autant de plaisir de vivre que les bourrelets qui ornaient son ventre. Pas loin du quintal, elle assumait totalement son état et savait se vêtir avec raffinement, chose qui n’est pas donné à tout le monde. Souriante à souhait, heureuse de vivre, elle avait cette capacité à cacher son obésité par sa joie et sa gaieté. Enfin, Natacha, la seule amie que Madame Karine ait gardée lorsqu’elle était mannequin. En fait, Natacha, fut comme l’impresario de Madame, s’occupant de gérer ses affaires, ses rendez vous, ses tournages, ses photos. Bref, la conseillère, la secrétaire, la confidente et très souvent, l’amante. 36 ans, d’une blondeur scandinave, des yeux bleus éclairant son visage, sa tenue ne pouvait que mettre en valeur son corps superbe. Une tunique en mousseline bleue descendant jusqu’aux chevilles dont la transparence, à la limite de la descence, offrait deux seins bien ronds et bien tenus, un petit porte jarretelles encadrant un petit string au allures très sympathiques.

    Les cinq femmes étaient réunies dans le salon et bien vite Karine appela Marie:

    — "Mesdames, je vous présente ma dernière trouvaille, ma petite bonne à tout faire. Elle est élevée pour vous servir aussi bien que moi, alors n’hésitez pas si le besoin vous en fais sentir"


    Les commentaires de ses femmes furent très agréables envers Marie qui ne pu s’empêcher de rougir devant leur propos flatteurs.

    — "Allons mesdames" reprit Karine "N’allez tout de même pas lui donner le beau rôle, ce n’est qu’une domestique! D’ailleurs, qu’attends tu pour nous servir le thé"
    — "Bien Maîtresse" répondit Marie avant de retrouver la cuisine.
    — "Ah, ces boniches, des que vous leur laisser un petit peu de liberté, elles le prennent" renchérit Karine à ses invitées, avant de continuer :
    — "Bien, chères amies, Je vous ai fait venir afin d’assister à une réunion que Lucie, une amie, m’a proposée dernièrement concernant ces petites choses qui nous plaisent à toutes, les nouvelles tendances en lingerie. D’ailleurs je crois qu’elle arrive"


    En effet, Marie alla ouvrir à une plantureuse femme rousse, vêtue d’un tailleur assez strict bleu foncé, des lunettes rondes protégeaient de jolis yeux verts, une femme très classe. Apres avoir saluer l’assistance, elle proposa de montrer ses divers produits ce qui fit intervenir Karine:

    — "Chère amie, afin de pouvoir juger sur pièce vos produits, je vous prie de bien vouloir utiliser ma bonne comme modèle. Ainsi, nous verrons l’effet rendu plus facilement"
    — "Mais avec joie, surtout que le corps de la petite doit se prêter facilement aux tailles présentées. Venez avec moi, mon petit" et elle l’emmena dans la cuisine pour le premier essayage.
    — "Déshabillez vous en enfilez cela" lui dit elle en lui tendant une petit ensemble.


    Marie ôta son chemiser et sa jupe pour n’apparaître qu’en string et porte jarretelle.

    — "Ne gardez que vos bas, s’il vous plaît" et lorsqu’elle s’aperçut du minou totalement épilé de Marie
    — "Oh, mais c’est charmant, et cela ne fera que mettre en valeur mes produits" lui dit elle tout en passant délicatement sa main dessus.


    Quelques un instant plus tard, Marie fit son entrée dans le salon vêtue d’un court peignoir de satin blanc s’arrêtant juste au-dessus de ses jarretelles. Noué négligemment sur son ventre, à chacun de ses pas, l’assistance devinait la petite culotte cachée sous le peignoir. Apres quelques allers retours dans la pièce en prenant l’allure d’un mannequin de mode lors d’un défilé, Marie dénoua la ceinture et fit langoureusement glisser le peignoir à ses pieds, apparaissant alors en string et soutien-gorge en tulle blanc qui ne cachaient absolument rien de son intimité tellement la transparence était importante

    — "Ce modèle vous permettra mesdames de mettre en valeur les trésors cachés de votre corps"


    Et, saisissant la pointe du sein droit de Marie entre son pouce et son index:

    — "Regardez par vous même les petits tétons de notre modèle, très sensibles d’ailleurs, qui pointent sous le fin tissus"


    Puis retournant Marie, elle saisit les cote du string pour bien lui remonter sur les hanches, séparant parfaitement ses fesses.

    — "Voyez comme une belle paire de fesses peut être mise en valeur par le string, un véritable appel aux caresses" ce qu’elle ne manqua pas de faire. Puis la remettant face au public:
    — "Et pour finir, comme vous pouvez le voir, un sexe joliment épilé ne peut qu’être un écrin de beauté sous ce fin tissus. Et vous pouvez toucher, c’est très doux" ajouta t elle après avoir laisser quelques secondes sa main a plat sur le sexe de Marie.


    C’est Natacha qui la première vient à son tour mettre la main entre les cuisses de Marie

    "C’est vrai que c’est doux, c’est à me dire que je vais à mon tour me raser la chatte!" Dit elle en éclatant de rire.

    Apres être passée de mains en mains, pour son plus grand trouble, Marie alla enfiler l’ensemble suivant. C’était un déshabillé en mousseline rouge, et elle repris alors son défilé devant l’assistance sous les critiques avisées de ces dames. Doucement, Marie dénoua la ceinture de son déshabillé pour laisser apparaître l’ensemble de lingerie qui l’habillait. Un soutien-gorge pigeonnant qui lui soulevait parfaitement les seins pour tendre ses tétons découverts de tout tissus, un porte jarretelle retenant ses bas blancs, et une jolie culotte transparente, lui couvrant parfaitement les fesses.

    "Cet ensemble en mousseline vous permettra mesdames de satisfaire vos partenaire friands de lingerie sans l’ôter. Regarder!"

    Et d’attraper Marie par le bras et de la faire pencher en avant tout en écartant légèrement ses jambes, dévoilant à l’assistance une petite fente dans la culotte qui dévoilait totalement son anus

    "Ce petit trou offrira le votre au membre de votre partenaire, ou tout autre objet de plaisir sans vous faire enlever votre culotte. Et il en est de même pour le devant, regardez"

    Et elle fit asseoir Marie sur la table basse, lui fit écarter les jambes et montra son petit abricot visible a travers la fente de la culotte.

    — "Regardez comme s’est pratique pour exciter votre partenaire" et de planter carrément son doigt dans le sexe de Marie.


    Les commentaires allaient bon train et c’est Estelle qui demanda à Marie de venir la voir afin de vérifier la texture du produit. Elle passa délicatement sa main sur les fesses de Marie puis, la retournant, plaqua sa main sur son sexe et tout en faisant mine de juger le produit, en profiter pour la branler discrètement.

    — "Hum, c’est agréable au touché, même sa mouille se sent au travers du tissus"
    — "Marie, je te rappelle que tu n’es là que pour exposer les produits de mon amie Lucie, et non pas pour ton plaisir" intervint Karine d’une voix sévère


    "Excuser moi maîtresse!" Répondit elle avant de retourner se changer.

    La parure suivante la fit apparaître en nuisette transparente arrivant à mi ventre, laissant pointer ses tétons durcis, accompagnée d’une petite culotte en même matière. Ainsi, de nouveau, elle passa entre les mains des différentes femmes présentes, celles ci s’évertuant soit à lui peloter les seins, soit lui caresser les fesses ou sa petite chatte qui, malgré les exigences de sa maîtresse, ne pouvait être qu’autrement qu’humide. Au fur et à mesure de ces défilés, Marie pouvait constater que les femmes devenaient de plus en plus excitées, les jupes remontées dévoilant leur culottes, les chemisiers ouverts offrant la vision de leurs seins, témoignaient du plaisir qui

    emplissait sérieusement le salon. Apres avoir essayé et montré une vingtaine de parures, toute aussi sexy les unes que les autres, la femmes en étaient arrivées à se caresser seules ou mutuellement, admirant Marie dans ses dessous affriolants. Ces derniers étaient en fait constitués d’une bande de tulle minimale qui passant derrière son cou, descendait sur son corps pour couvrir ses aréoles mammaires, redescendre entre son entre cuisses, pénétrer son chaton, se coincer entre ses fesses pour revenir se nouer sur son ventre. En fait, le tissus, si fin, ne dissimulait en rien l’anatomie de Marie. Cette dernière prestation vestimentaire effectuée, Lucie ouvrit un autre sac pour poser sur la table tout un tas de jouets sexuels, allant du godemiché traditionnel, au vibromasseur perfectionné en passant par divers boules, chapelet, ou plugs annaux. Marie fut une nouvelle mise à contribution en servant de cobaye aux tests des différents objets. Aidée par Karine, Lucie s’évertuait à pénétrer ou caresser Marie de façon très professionnelle, expliquant à l’assistance les bienfaits des différents produits, tout en veillant à s’arrêter avant que la jouissance ne gagne la pauvre Marie qui, cuisses largement écartées, se sentait de plus en plus frustrée à chaque fois que l’objet ressortait de son sexe. Au fur et à mesure que les essais s’achevaient, Lucie

    tendait l’objet aux autres femmes qui, à leur tour, pouvait tester leur efficacité. Bien vite, la séance dégénéra en partouze, chacune testant son jouet sur elle même ou sa voisine, oubliant rapidement les explications de Lucie. Cette dernière, sachant très bien les effets pervers de ses présentations, ne s’en formalisa absolument pas et,

    prenant alors Karine par la taille, entama un baiser des plus érotiques sous le regard envieux de Marie.

    — "Attends, je vais tout de même la remercier pour sa participation" dit Karine à Lucie.


    Et elle fit mettre Marie à quatre pattes sur la table basse, les cuisses écartées et les fesses relevées, et commença à introduire une des 2 boules de Geisha en son sexe. Celui ci, trempé a souhait, l’absorba sans aucun problème avant que la deuxième ne vienne la rejoindre tout aussi facilement. Seule la ficelle pourvu d’un petit anneau

    sortait maintenant du sexe de Marie. Karine, satisfaite de son œuvre, mouilla alors son doigt et, le pointant sur la

    rosette de Marie, lui pénétra l’anus.

    "Hum, je crois que son petit trou est jaloux"

    Et elle se saisi du chapelet de 6 petites billes et, une par une, les fit entrer dans le cul de Marie. À chacune des

    introductions, Marie grimaçait, avant de gémir légèrement lors des deux dernières. Ainsi, deux ficelles sortaient maintenant de ses deux orifices et, les légers mouvements qu’elle pouvait faire, faisait s’entrechoquer les deux boules à l’intérieur de son vagin, déclenchant des ondes de plaisir de moins en moins contrôlables.

    "Ta bonne est vraiment chaude, et en plus elle a un joli petit cul" dit Lucie à Karine avant de déposer un baiser sur sa fesse gauche.

    "Oui, elle a pas mal de petits avantages comme cela, tu verras plus tard. Pour le moment, viens t’occuper de moi" répondit Karine.

    Ainsi, dans le salon, la partouze battait son plein, Claude et Natacha étaient en 69, chacune à remplir le sexe de l’autre avec un godemiché, Françoise, accoudée sur le dossier du canapé, offrait ses énormes fesses à Estelle qui, équipée d’un gode ceinture, lui ramonait le fion, tandis que Karine goûtait au plaisir du vibromasseur habilement manié par Lucie. Les gémissements emplissaient le salon au fur et à mesure que les femmes jouissaient, des paroles presque incompréhensibles dues à l’intensité des orgasmes. Marie, toujours dans sa position humiliante, remuant doucement ses fesses, accélérant le mouvement des boules en elle, et, sans même se toucher ou se

    faire pénétrer, se doux traitement lui avait déjà provoqué trois orgasmes épuisants mais tellement agréables qu’elles ne pouvait s’empêcher de remettre cela après chacun d’entre eux. Natacha se faisait maintenant prendre en sandwich par Estelle et Claude, la première, allongée sur le tapis, le sexe fièrement dressé, avait empalé Natacha par le cul. L’autre, accroupie dessus tout en lui tournant le dos, offrait sa chatte au gode que Claude maniait avec suffisamment de dextérité pour lui faire crier les encouragement à la prendre encore plus fort. Françoise avait rejoint Karine et Lucie pour venir carrément s’asseoir sur le visage de cette dernière, l’étouffant pratiquement de sa masse, pour offrir son sexe à sa langue habile et experte. Karine, allongée entre ses cuisses, lui léchait avidement la figue alors que sa main droite allait et venait sur un godemiché qui était planté dans le cul de sa partenaire.

    Les gémissements se faisaient de plus en plus bruyants, les râles couvraient totalement la petite musique de fond qui était diffusée sur la chaîne, les femmes jouissaient et en redemandaient. Marie, même si sa position commençait à la faire quelque peu souffrir, était toujours dans un état d’excitation inimaginable, et c’est Karine qui, après avoir fait jouir Lucie, vint la délivrer. Doucement, elle tira sur la ficelle qui sortait de son cul et

    les petites boules apparurent une par une, déformant l’anneau de Marie à chaque extraction, alors que Karine prenait plaisir à les rentrer une nouvelle fois avant de les sortir définitivement. Elle en fit de même pour les deux boules qui logeait dans son vagin, leur sortie étant accompagnée d’une dose considérable de mouille preuve du

    plaisir que Marie avait pris. Elle l’a fit relever, et même si elle avait un peu de mal à tenir sur ses jambes, elle l’emmena sur la terrasse.

    "Mesdames, lorsque je vous disais que j’avais une bonne à tout faire, en voici la démonstration"

    Elle fit agenouillé Marie devant elle et, positionnant sa chatte au-dessus de son visage, elle commença à uriner comme elle en avait maintenant l’habitude. Marie acceptait cette humiliation devant les autres femmes qui, médusées, regardaient attentivement la scène, tout en se caressant mutuellement. Natacha alla rejoindre

    Karine et, la prenant par la taille alors qu’elle continuait à vider sa vessie, lui dit.

    — "Tu n’as pas changer ma chérie, tu es vraiment une sacrée garce et je vois que tu aimes toujours autant cela. Tu me la prête après?"


    Marie avala les dernières gouttes de sa maîtresse et vit Natacha se pencher vers elle et l’embrasser à pleine bouche, se satisfaisant de l’urine de Karine. Après se baiser très humide, elle fit allongée Marie à même le carrelage de la terrasse et, se positionnant au-dessus d’elle, se mit à son tour à lui pisser dessus, orientant son jet

    sur le sexe de Marie, et surtout, se masturbant en même temps qu’elle pissait, arrivant à jouir au moment de l’expulsion de son dernier jet.

    "Quelqu’un a t elle envie pressante" demanda Karine à ses invitées qui rigolaient devant ce spectacle plus ou moins ahurissant.

    En fait, personne n’osa suivre l’invitation de Karine, même si deux d’entre elles, Claude et Estelle se laissèrent aller à uriner l’une debout, l’autre accroupie sur la terrasse, Lucie ressentit pour sa part un certain dégoût, alors que Françoise, exprima une sorte de pitié dans ses yeux envers la petite Marie qui, trempée sur tout le corps,

    gisait allongée dans une marre d’urine.

    "Allez hop, tout le monde à l’eau" cria Karine qui la première sauta dans la piscine.

    Et là, nue ou en sous vêtements, toutes accompagnèrent la maîtresse de maison dans l’eau et Marie eut même le droit d’accompagner les six femmes pour un bain bien mérité qui donna droit à quelques caresses, quelques mains baladeuses ou doigts fouineur entre elles. Après que chacune eut remis de l’ordre dans sa tenue, l’après midi se termina comme si rien ne s’était passé, chaque invitées, maintenant correctement vêtues, prenant commande auprès de Lucie des dessous et des jouets qu’elles avaient pu largement tester et apprécier, et Marie, revêtue de sa petite jupette toujours aussi courte et de son chemisier, déambulait en leur milieu, servant des rafraîchissements à celles qui le désirer, toujours aussi heureuse de rendre service. 
    Autant Marie appréciait les diverses expériences que les femmes de la maison lui faisaient subir, autant elle n’était pas en reste avec la gente masculine qui occupait les lieux. Armand, le jardinier, était un homme rustre, toujours terré dans la dépendance de la maison où avait été aménagée son logement, où alors, occupé à tailler, bêcher, jardiner, tondre, la vaste propriété ce qui lui donnait guère le temps de rester inactif. Apprécié pour sa discrétion, il était au service de la famille depuis un long moment. C’est cette même discrétion qui lui permettait d’assouvir un de ces passe temps favoris, le voyeurisme. Toujours à l’affût des faits et gestes des membres de la famille, le nombre de fois ou il s’était branlé en matant les jeux sexuels de ses patrons n’est plus calculable.

    Ainsi, il avait vite pris l’habitude d’assister au rasage de Marie par Solange, tout comme venir se poster derrière les barreaux scellés à la fenêtre de la chambre de la petite bonne. Tous les soirs, après la fin de sa journée, il était là, tapis le long du muret, à attendre que la lumière s’allume et qu’apparaisse la fine silhouette de Marie. Là, il observait et appréciait lorsqu’elle ôtait ses vêtements, se retrouvant nue comme un vers pour aller devant son miroir. Il l’observait alors qu’elle se regardait, qu’elle détaillait son corps devant la glace avant qu’elle ne se glisse dans la cabine de douche pour se laver des efforts de la journée. Armand, dont la vision était généralement obstruée par le rideau de douche, attendait sagement qu’elle n’en ressorte. Avec un peu de chance, il pouvait alors la voir s’allonger sur son lit, s’enduire le corps d’un lait apaisant et, terminer ses caresses par une masturbation rapide mais efficace, ou, deux doigts dans son vagin, elle se donnait un petit plaisir avant un repos bien mérité.

    A ces moments, a genoux devant la fenêtre, Armand éjaculait le long du mur avant de ranger son sexe et de retrouver ses pénates. Une des particularités d’Armand était d’être doté d’un membre surdimensionné. Malheureusement pour lui, cela ressemblait plus a un infirmité qu’à un don de la nature. 15 cm au repos, il doublait facilement de volume lors de ses érections et comme il n’avait pas trouvé de chaussure à son pied, aucune femme ne voulant prendre le risque de se faire défoncer par un engin pareil, il passait le plus clair de son temps à s’astiquer le poireau, d’autant plus que sa timidité maladive ne lui permettait pas de faire plus ample connaissance avec le monde féminin.

    Pourtant, un soir ou elle s’observait devant le miroir, Marie aperçut son ombre qui l’épiait derrière la fenêtre. Comprenant aussitôt qu’elle se faisait mater par Armand, d’humeur plutôt coquine, elle se décida à lui offrir un petit spectacle érotique. Ainsi, elle s’assit devant l’armoire vitrée, légèrement tournée en sa direction et, entièrement nue, commença à l’examen approfondi de sa personne. Apres avoir coiffé sa chevelure blonde, elle posa la brosse et passa ses deux mains dans son cou, relevant sa coiffure, tout en bombant le torse, offrant fièrement sa poitrine autant au reflet du miroir qu’à l’attention d’Armand.

    Ses mains ne s’arrêtant pas en ce chemin, elles descendirent doucement dessus et, prenant un sein dans chacune d’elles, elle s’évertua à les soupeser, les jauger, avant que ses mouvements typiquement féminins ne se terminent en véritables caresses qui ne tardèrent pas à lui procurer un certain plaisir. Sentant ses pointes réagir à son traitement, elle s’en saisit doucement entre son pouce et son index et, simultanément, se mit à les faire rouler entre ses doigts. Elle savait que la sensibilité de sa poitrine ne tarderait pas à se concrétiser par une douce chaleur entres ses cuisses et tout doucement, les écartant, une de ses mains vient s’y glisser, découvrant alors la moiteur qui commençait à l’envahir.

    Afin de ne pas trop accélérer les choses naturelles auxquelles elle se livrait, elle se leva, se mit face à la fenêtre et cambra ses reins devant la glace pour faire ressortir ses jolies fesses qu’elle prit à pleine main pour un petit massage délicat. Puis, d’une démarche lascive et lente, elle se dirigea vers la fenêtre, prenant soin de laisser le temps à Armand de se dissimuler, et l’ouvrit entièrement. Elle posa ses mains sur le rebord, présentant ses seins entre les barreaux et sentant l’odeur de l’homme excité caché en dessous, se mit volontairement à penser à voix haute.

    — «Hum, il fait bon ce soir, cela m’excite, j’aimerai bien faire l’amour" et se caressa doucement les seins, les frottant l’un après l’autre contre les barreaux de la fenêtre.
    — «Oh que j’aimerais bien qu’un homme vienne me les caresser" ajouta t elle.
    — «Et ma petite chatte qui est toute mouillée, il faut que je me branle!"


    Elle se retira de la fenêtre et avec autant de grâce, se dirigea vers le lit sur lequel elle se laissa aller en avant, se retrouvant allongée sur le ventre. Elle remonta doucement ses jambes sous son corps, offrant alors son fessier à la vue d’Armand et bien vite, sa main apparue entre ses cuisses, venant flatter son abricot humide.

    — «Hum, c’est tout mouillé, c’est tout chaud" et de pénétrer un doigt dans son intimité
    — «Oh oui, que c’est bon!"


    Elle le fit aller et venir quelques instants avant de se retourner sur le dos, d’écarter les cuisses au maximum et d’exhiber sa chatte d’où les conséquences de ses caresses étaient visibles. Elle se saisit alors de sa brosse à cheveux et, après en avoir sucer le gros manche bien rond, vint se le mettre dans la chatte, le faisant aller et venir en elle. Apres deux ou trois minutes de ce traitement, elle ne pu retenir son orgasme qu’elle offrait sans aucune retenue à Armand. Elle nettoya de sa bouche le manche poisseux de la brosse, mimant parfaitement une fellation avant de dire à voix bien haute.

    — «Oh que j’aimerais avoir une vraie bite dans la bouche, dommage qu’Armand ne me regarde pas, ne se montre pas, je le sucerais avec plaisir" et guettant la fenêtre, il ne lui a pas fallut attendre longtemps pour le voir apparaître. Changeant alors de comportement, passant de la salope exhibe à la sainte nitouche prise sur le fait.
    — «Oh, mais vous êtes là, je ne vous avez pas vu. Excusez moi de ma tenue. Mais, que faites vous, pourquoi avez vous votre sexe entre vos mains?"
    — «Viens, viens le goûter, tu verras il est bon" lui dit il dans une voix grave et tremblante
    — «Mais Armand, si l’on nous voyait"
    — «Ne t’inquiète pas, ils dorment tous, aller, viens"


    Marie se leva et, retrouva son air de petite perverse, se dirigea vers la fenêtre, lentement, se déhanchant au maximum, se passant la langue sur les lèvres. Arrivée à la hauteur d’Armand, elle s’agenouilla devant et passant sa main entre les barreaux, alla directement saisir le sexe à moitié bandé de son partenaire. Elle fut d’abord étonnée de sa grosseur, ne l’ayant jamais vu jusqu’à ce jour, ne se contentant que de sa description qu’avait pu lui en faire Solange, et de sa chaleur.

    — «Oh oui" râla alors Armand "Branle moi"


    Et Marie commença un va-et-vient sur le membre qui réagit aussitôt. En effet, non seulement sa petite main ne parvenait pas à en faire le tour, mais en plus il pointait maintenant en sa direction, lui offrant la vision de ce gland tout rouge qui apparaissait entre les barreaux. Les yeux rivés dessus, elle ne pouvait croire ce qu’elle voyait, c’était pour elle inimaginable mais en même temps énormément excitant, sa petite chatte réagissait a son tour à cette vision. Armand, s’agenouillant sur le rebord de la fenêtre, pris les barreaux dans ses mains et appuyant son ventre contre ceux ci, offrait alors à Marie son sexe sur toute sa longueur. Obligée de se reculer

    pour le laisser passer, elle était maintenant à plus de 30 ms de la fenêtre et doucement, elle observa l’engin

    — «Mais Armand, comment faites vous pour avoir une bite si grosse?"
    — «C’est toi qui m’excite petite salope"
    — «Oh, Armand, mais je me tiens pourtant bien" répondit elle franchement hypocrite "Mais peut être désirez vous que je vous branle?"


    Sans attendre la réponse, elle s’agenouilla à nouveau devant ce chibre et, a deux main, elle en fit le tout pour doucement le masturber devant elle. S’enhardissant, elle sortit sa langue qu’elle passa a chaque allers de ses mains sur le gland énorme. Armand commençait à gémir tout en l’encourageant avant de lui demander de le sucer. Elle tenta alors de le prendre en bouche mais une fois le gland a moitié en elle, ses lèvres étaient tellement distendues qu’elle ne pu continuer à l’emboucher plus profondément.

    Elle décida alors de le lécher telle un bâtonnet de glace, tenant le sexe d’une main, sa langue se promenait sur sa longueur. De plus en plus curieuse, elle glissa son autre main sous le membre, voulant vérifier si les couilles d’Armand étaient proportionnelles à ce qu’elle avait devant les yeux. Et là, surprise, c’est deux énormes oranges qu’elle découvrait en place des noix habituellement placées a cet endroit, se disant qu’elle devait contenir des litres de sperme. Les saisissant dans sa main, elle les malaxait en même temps que sa langue continuait à astiquer le braquemart d’Armand.

    — «Ah oui, c’est bon, t’es vraiment une bonne petite salope. D’ailleurs je t’ai vu faire reluire la patronne, tu sais y faire, tu sais lécher, t’es bonne"


    Ces mots excitaient de plus en plus Marie qui, trempée comme une fontaine, se décida à abandonner son activité pour se relever et regarder Armand dans les yeux

    — «Mais que fais tu sale garce, continue !"
    — «Eh! , moi aussi, je veux prendre mon pied, gros cochon de mateur!"


    Elle prit alors la chaise, la mit devant la fenêtre et monta dessus, tournant le dos à Armand. Elle enjamba ensuite le bâton de chair tendu pour en saisir les dix centimètres qui dépassaient sous son ventre et recommença à le branler. La différence était qu’elle sentait toute sa raideur contre les lèvres de sa chatte et le mouvement de sa masturbation ajouté à ceux de son bassin firent monter son excitation de plusieurs degrés sur l’échelle du plaisir. Armand, profitant de la situation, avait saisi les deux petits seins de Marie dans ses grosses paluches râpeuses et même si il la pelotait avec la rudesse qui le caractérise, Marie, au terme de la somme de ces traitements ne put se retenir de crier lorsque l’orgasme la terrassa et la fit interrompre sa masturbation, manquant au passage de chuter de la chaise.

    — «Salope, tu ne vas pas me laisser les couilles pleines" commençait à s’inquiéter Armand.


    Alors, elle repris sa position initiale et, rejoignant ses deux mains sur le vit, astiqua vigoureusement Armand pour lui faire jaillir la quantité de foutre qu’elle avait parfaitement imaginé. Des cheveux au ventre, en passant par le visage et le cou, Marie se retrouvait couverte de sperme chaud et épais, émis par Armand qui, dans un râle bestial, se vidait complètement sur le corps de la petite bonne. Marie savait très bien que ses relations privilégiées avec ses patrons la mettait à l’abris de tout abus de la part d’Armand se permit de lui dire en guise de bonsoir:

    — «T’es vraiment qu’un gros porc, tu m’as toute souillée de ton plaisir. Tu as de la chance que je n’aille pas le dire à Monsieur, je suis sure qu’il te virerait sur le champ. Aller, dégage gros dégoûtant!"


    Son attitude la surprenait elle même car d’habitude soumise, elle venait de se rendre compte qu’elle pouvait également mener les débats, agir selon ses propres désirs, prendre son pied non pas en subissant mais en imposant. Elle prit une douche réparatrice et nécessaire et une fois dans son lit se mit à repenser à sa dernière réflexion. Comment, en deux jours de temps, avait elle pu changer de comportement vis à vis de sa sexualité.

    En effet, en ce lundi soir, Le docteur lui avait une nouvelle fois prier de lui rendre visite dans son bureau après son service. Les relations qu’entretenaient le Docteur L avec Marie étaient pour lui, uniquement professionnelles. En effet, à chaque fois qu’il lui imposait des jeux sexuels, il ne les considérait que pour faire avancer la science.

    Certes, les résultats de ses études ne donnèrent jamais lieu à une découverte révolutionnaire, mais de part cette approche, il se défendait de pratiquer un quelconque harcèlement sexuel envers son employée. Apres avoir délicatement frapper à la porte du Docteur qui lui pria d’entrer, Marie fut surprise de le découvrir en compagnie de deux hommes, visiblement amis du docteur, assis dans le canapé en train de boire un whisky.

    — «Messieurs, je vous présente ma femme de maison qui accepte volontiers de se prêter à mes diverses expériences et ce dont je remercie"


    Marie rougit de tant de gentillesse de la part de son maître et s’en sentit plus que rassurée.

    — «Si je l’ai fait venir ce soir, c’est simplement pour vous confirmer mes dernières hypothèses sur le sujet, à savoir qu’une femme n’est limitée dans la quantité de ces orgasmes que par un renoncement mental, contrairement aux hommes qui, comme vous le savez, sont souvent physiquement limités. Alors, si vous êtes d’accord, je vous propose de débuter l’expérience qui consiste à défendre mon point de vue"


    Les deux hommes regardèrent Marie avec un regard d’une perversité indescriptible. L’un d’entre eux, petit chauve bedonnant d’une cinquantaine d’années, une moustache mal taillée, était à la limite de baver d’envie en devinant les jarretelles que la courte jupe de Marie ne pouvait couvrir. L’autre, un grand sec légèrement plus jeune, ne pouvait dissimuler un début d’érection sous le fin tissus de son pantalon en toile.

    — «Marie, n’ayez aucune crainte, ces messieurs sont des collègues médecins et nous allons procéder à une expérience scientifique et, bien sur, je compte sur votre coopération maximum. Veuillez enlever votre jupe et chemisier s’il vous plaît"


    Maris s’exécuta et lorsqu’elle apparut en dessous, la bosse d’un grand docteur était alors plus proéminente et le docteur s’en rendu compte.

    — «Bien, mon cher Gérard, il me semble que vous êtes tout désigné pour commencer l’expérience. Faites à votre guise"


    Le dénommé Gérard ne s’en fit pas prié et sortant son membre, s’adressa à Marie, bizarrement, assez timidement:

    — «Mademoiselle, pouvez vous me sucer s’il vous plaît?"


    Marie, docile, s’agenouilla devant le docteur est pris son membre en main. Elle trouvait assez joli, long et fin, il sentait bon, preuve d’une grande délicatesse de la part de cet homme. Ainsi, elle n’hésita pas à sortir sa langue et lécher doucement le gland qui pointait devant elle, avant de s’enhardir à le prendre entièrement en bouche et commencer sa fellation. L’homme, très sensible a ce traitement ne pu qu’en faire la remarque à ses collègues.

    — «Chers amis, cette petite est réellement douée, elle sait faire monter le désir en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Je vais malheureusement être obligé d’interrompre ce traitement au risque de ne pouvoir exécuter correctement cette expérience"


    Il releva Marie qui en fut un peu frustrée, pour la faire asseoir sur la table d’examen. Lui écartant les cuisses, il passa sa main sur son sexe, puis l’insinua dans sa culotte pour simplement dire:

    — «Cher ami, auriez vous du lubrifiant pour cette petite chatte"


    Ce à quoi le petit gros ne put s’empêcher de lui répondre vulgairement

    — «T’as qu’à me la laisser, je vais te la faire mouiller moi!"
    — «Bernard, merci de laisser Gérard œuvrer comme il l’entends, votre tour viendra, n’ayez crainte"
    — «Tu nous emmerdes avec tes expériences à la con, elle est pour se faire baiser, alors on va la baiser, point final!"


    Et de descendre son pantalon, d’allonger Marie sur la table et, monté sur un petit tabouret afin d’être à sa hauteur, lui fourra son petit sexe dans la bouche.

    — «Qu’elle me lèche, et après tu verras, elle sera mouillée, tu pourras te la faire" dit il à Gérard


    Marie se trouvait avec cette queue flasque, d’une mauvaise odeur mêlant pisse et transpiration, profitant que l’autre homme, ayant écouté son collègue, ait écarté son string et ne commence à lui donner un certain plaisir entre les cuisses, pour se montrer hésitante à le prendre. Elle sentit alors sa main agripper ses cheveux et approcher sa bouche vers ce sexe qui la lui forcer

    "Tu vas sucer, salope, je n’ai pas que cela à foutre, moi! "

    Et elle ne pu que prendre son sexe, certes petit mais extrêmement large ce qui lui rendit la tache plus difficile. Pendant ce temps, Gérard présentait maintenant son sexe à l’entrée de son vagin et la pénétra sur toute la longueur de sa pine. Cette introduction eut le mérite de détourner l’attention de Marie et d’apprécier ce membre au fond de son con. Très vite, le plaisir commença à l’envahir et l’homme, sachant parfaitement y faire, su la mener à l’orgasme juste avant que lui même ne décharge son foutre sur son ventre. À peine eut il terminé que le petit gros le poussa et, toujours muni de son tabouret, vint prendre la place vacante.

    "Je te remercie, tu me l'as bien préparée, elle est bien mouillée" dit il a son collègue.

    Et après avoir littéralement arraché le petit string, il tenait son sexe dans sa main gauche et s’aidant de la droite pour écarter les lèvres de Marie, la pénétra d’un seul coup puissant, sans aucun signe de tendresse. Il se mit alors a remuer comme une marionnette, activant son sexe dans celui de marie qui, bien dégoûtée par cet odieux personnage, avait hâte qu’il en finisse. Comprenant alors le thème de leur expérience, elle se dit alors que la simulation ne pouvant être remarquée si elle si prenait bien, et commença à gémir lentement sous les coups de reins de son baiseur. L’effet escompté ne tarda pas car l’autre ne put s’empêcher de dire à ses collègues

    — «Regardez moi cette chienne, a peine a t elle jouit qu’elle reprend déjà son pied, quelle vicieuse, qu’est ce que je lui mets, t’aime ça, hein, petite salope"


    Marie, entrant dans son jeu, gémissait de plus en plus fort en l’encourageant de la voix

    — «Oh oui Monsieur, c’est bon, baisez moi comme la salope que je suis,, encore, encore"


    Et de simuler un orgasme terrible qui eut le mérite d’accélérer celui du petit gros. Mais celui ci, continuant dans sa perversité, sortit de Marie et représentât son sexe à sa bouche, la forçant une nouvelle fois à le sucer.

    — «Je t’ai fais jouir, à toi de me vider les couilles maintenant" et de lui pénétrer la bouche jusqu’à ce qu’il éjacule entièrement en elle avant de se rasseoir épuisé et soufflant comme un bœuf, de grosses gouttes de sueurs perlant sur son front.


    Le docteur L avait assisté à ces scènes sans la moindre activité de sa part, étant même un peu étonné de l’ardeur de Marie avec son collègue Bernard, ne l’ayant jamais entendu prononcer de telles paroles lors de ses expériences précédentes. Il ne s’en formalisa pas plus que cela et vint à son tour près de marie. À l’aide d’un kleenex, nettoya les reste de sperme qui couvrait son corps. Il sortit à son tour son sexe et, tout comme ses collègues, le présenta à la bouche de Marie.

    — «Merci de vous en occuper gentiment si, bien sur, votre bouche n’est pas trop douloureuse" lui dit il.


    Marie, légèrement émue de tant d’attention, ne pu s’empêcher de prendre son sexe pour une nouvelle fellation. Une fois bien bander, il l’a fit descendre de la table et l’installa sur le fauteuil, le buste pose sur le dossier et les fesses relevées. Guidant ensuite sa pine vers le sexe de Marie, il l’a pris alors en levrette jusqu’à la jouissance qui ne tarda pas ni pour l’une, ni pour l’autre, éclatant son sperme sur le dos de Marie.

    Apres cette première salve de nos trois hommes, les comptes tenus par le docteur L indiquaient trois orgasmes pour Marie contre un à chacun d’entre eux. Afin de retrouver un peu leur virilité, ils avaient repris leur verres tout en évoquant chacun les prédispositions de Marie. C’est alors que le petit gros se leva, pratiquement nu, il n’avait garder que ses chaussettes noires et ses souliers vernis ajoutant autant ridicule de sa silhouette, pour se diriger vers la petite table adjacente a la table d’examen. Ouvrant le tiroir, il découvrit alors les godemichés présents

    — «Ah, je me doutais bien que les petites habitudes d’internat ne disparaissaient pas comme cela du jour au lendemain" et tendant le modèle moyen à Marie,
    — «Et je suis sure que cette salope sait à quoi cela sert et qu’elle va se faire un plaisir de nous le montrer."


    Marie regarda le docteur L, attendant sa réaction

    — «Ma foi, je n’y vois aucun inconvénient, et vous Gérard?"
    — «Bah, si cela peut nous faire rebander plus vite, pas de problème"
    — «Bien, allez ma petite, montrer nous comment vous vous servez de cette accessoire"


    Assise sur le fauteuil, elle prit l’objet et d’un air pervers commença à le lécher comme elle l’avait sur les trois queues qui se sont succédées dans sa bouche, enduisant l’engin de salive. Ecartant ensuite les cuisses, elle le fit promener le long de sa fente si bien que sa petite chatte retrouva le goût humide de l’excitation, et là, sans aucune gêne, elle dirigea le gode perpendiculairement a son sexe et se le fit pénétrer tout doucement. Une fois passé la barrière des lèvres, il vint maintenant se loger à l’intérieur de son con, lui offrant le plaisir de se sentir prise. Elle attendit quelque instants, ce sexe factice entre les cuisses, puis commença tout doucement de légers mouvements de va-et-vient jusqu’à ce qu’il coulisse parfaitement dans son puits d’amour. Au vue de cette scène, c’est Gérard qui, le premier, retrouva une érection digne de ce nom, et, prenant sa bite à pleine main, commença a se masturber en regardant Marie en faire de même. Bernard, quant à lui, avait beau se triturer le sexe dans tous les sens, il restait désespérant flasque, usé de son premier orgasme.

    — «Putain, elle m’excite comme c’est pas possible et moi qui ne bande pas, bordel de merde!" dit il avec la poésie qui le caractérisait.
    — «T’inquiète pas" lui répondit Gérard, "j’ai ce qu’il faut!"


    Et il se leva, alla retirer le godemiché pris marie par les bras et la positionna sur le bureau, les cuisses largement écartées. Sa main branlant son sexe afin de la maintenir en érection, il vint alors entre ses cuisses et, une nouvelle fois, lui perfora le con. Le contact de sa chatte toute chaude le conforta, effrayé de ne pouvoir l’honorer une deuxième fois, mais, rassuré sur ses capacités, commença a aller et venir en elle. Marie appréciait cette queue longue qui une nouvelle fois la travailler en douceur et préférait largement sa vigueur à la froideur du gode. Gérard, trouvant cette position inconfortable, l’entraîna avec lui sur le canapé, et, assis, l’attira à venir s’empaler sur son membre maintenant en pleine forme. Les cuisses de Marie de chaque cotés des siennes, elle montait et descendait sur le bâton qui commençait sérieusement à lui donner du plaisir.

    — «Putain, mais c’est pas vrai, il l’a baise alors que je n’arrive pas à bander, fait chier de vieillir! Se lamentait Bernard.


    Par contre, le docteur L, assis à côté de son collègue, la vision des seins de Marie qui tressautaient à chaque pénétration, branlant tranquillement son vit, retrouva une érection digne à pouvoir honorer une femme, quelle qu’elle soit. Il se leva et, observant le cul de Marie, se dit qu’il devait, lui aussi, être investi par une pénétration. Il se saisit du tube de gel lubrifiant, s’en enduit sa petite bite, en pris une noisette sur le doigt et vint l’enfiler dans le petit trou de Marie. La pénétration du doigt dans son anus ne lui fit guère détourner l’attention de la queue qui la ramonait depuis un certain temps, si bien que le Docteur n’eut aucun mal à lui en enfiler un deuxième.

    La sentant bien dilatée, il présenta alors son gland à l’entrée étroite et dans un coup de rein, l’encula d’un coup. Marie subissait alors sa première double pénétration réelle, une bite dans le sexe, une autre dans le cul. Et même si la sodomie n’était pas sa tasse de thé, sentir ses deux queues si proches l’une de l’autre, allant et venant au rythme qu’ils avaient maintenant parfaitement trouvé, bien vite, elle se sentie partir dans de nouvelles excitations qui l’amenèrent à l’orgasme, bref, mais violent. Les deux hommes, quant à eux, ne se soucièrent guère de ce fait et continuaient, dans des râles de plus en plus bruyants, à la pilonner.

    Gérard, voulant à son tour goûter au conduit serré de Marie, proposa à son collègue d’intervertir et, retournant Marie, il l’encula à son tour, entrant sans problème dans son cul dilaté. Marie, faisant maintenant face au docteur, les cuisses écartées, reçu alors son sexe en elle et sentit le souffle bestial de son patron dans son oreille. Gérard qui pelotait en même temps les seins de Marie, ne peut contenir son plaisir plus longtemps, tellement serré et excité de la situation, et en la traitant de boite à foutre, déchargea le sien dans son cul. Bernard, la pine toujours aussi molle entre ses doigts, s’évertuait à se faire reluire du spectacle offert lorsque, désespéré, il annonça:

    — «ça fait Chier! je vais chercher Victor qui me remplacera."


    Personne ne releva ses propos, surtout pas le Docteur L qui, agrippé aux hanches de Marie, continuait à la besogner de plus en plus fort, sentant le jus monter dans son membre. Au point de rupture, il se dégagea de sa chatte, lui prit la tête par la main, et la força à le sucer. Les odeurs de son intimités et de ses souillures anales, Marie les connaissait et sans aucune pudeur, elle entreprit l’acte qu’elle préférait en amour, la fellation. Léchant, suçant, gobant le sexe du docteur, celui ne résista pas longtemps à ce traitement et déchargea sa jute dans la bouche de Marie. Repus, les deux hommes étaient avachis sur le canapé, tentant de reprendre leur souffle. Marie, libérée de ses étreintes, pouvait, elle aussi, souffler à son tour.

    — «Je suis mort", déclara Gérard
    — «J’en ai pour une semaine à m’en remettre" lui répondit le Docteur L
    — «En tout cas si vous avez d’autres expériences, n’hésitez pas à m’appeler, surtout avec un cobaye comme cela!"


    C’est a cet instant que la porte du bureau s’ouvrit sur Bernard accompagné par Victor

    — «Si moi je ne peux plus bander, lui il me remplacera" annonça t il, une lueur perverse dans le regard, et tirant sur une laisse, fit entrer un magnifique labrador noir.
    — «Allez viens Victor, il y a une belle chienne pour toi!


    Marie se tourna alors vers son patron d’un regard implorant, effrayée par l’idée perverse que le petit gros avait trouvé. Apres avoir pris note de son désarroi, le docteur se tourna vers son collègue Gérard.

    — «Puisque notre ami a dû mal à terminer l’expérience, acceptez vous qu’il soit remplacé?"
    — «Ma foi, étant donné que cela reste dans sa famille, je n’y vois pas d’objection!"


    Marie ressentit alors une grande peur, devinant très bien ce que le petit obsède avait dans la tête. Et il l’a prit par les cheveux, la fis mettre à terre à quatre pattes, et approchant son fauve de son chaton odorant et visqueux

    — «Aller, Victor, sens moi cette chienne, tu m’en diras des nouvelles"


    Le chien mit sa truffe entre les cuisses de Marie et, après s’être délecté la truffe des odeurs intimes de la petite bonne, commença à laper le jus qui coulait. Marie, se refusant de savoir qui la lécher, commençait alors à apprécier cette longue langue qui lui faisait la toilette intime, allant même à commencer à tortiller du cul devant cet organe qui lui fit revenir le désir.

    — «Regardez, cette vicieuse qui aime se faire lécher" annonça alors Bernard
    — «Mais si elle aime cela, il faudrait peut être qu’elle fasse apprécier ses capacités de suceuse à son partenaire, non?"


    Et sans attendre la réponse de ses collègues, il prit son chien par les pattes avant, le souleva vers son ventre et, présentant ainsi les organes génitaux de la bête, dit à Marie.

    — «Allez, montre nous que tu aimes cela, une queue est une queue, qu’elle soit humaine ou animale, et salope comme tu es, tu devrais aimer cela !"


    Marie ferma les yeux, s’approcha du petit sexe du chien et passa sa langue dessus. Bien vite, la verge de l’animal sortit de son étui, présentant alors à Marie un gland tout rouge qu’elle se décida à prendre dans sa bouche. Ses dernières inhibitions étant tombées, elle s’évertua alors à tailler une pipe au chien qui, appréciant le traitement subit, laissa échapper un filet de liquide séminal, badigeonnant les lèvres de la jeune femme. Elle se retira alors de l’emprise du sexe et, regardant le propriétaire d’un air autant vicieux que dédaignant, s’en lécha les babines.

    — «T’aimes ça petite salope, les queues dans la bouche, attends un peu, tu vas l’avoir dans le fion maintenant."


    C’était vrai que Victor était de plus en plus excité et son sexe prenait maintenant des proportions acceptables. En le voyant, Marie se dit qu’il n’était pas si gros et que si cela pouvait enfin lui donner la paix et le repos désiré, elle n’avait qu’à accepter cette dernière perversité pour être tranquille. Ainsi, elle se mit dans la position que le goujat voulait lui voir prendre, à quatre pattes, les fesses bien relevées, les cuisses écartées et attendait la suite des événements avec un détachement soumis.

    Elle fut d’abord surprise de sentir à nouveau la langue de l’animal venir se délecter de son nectar d’amour, léchant sa petite chatte de manière très agréable mais lorsque son maître tira sur sa laisse, elle eut l’impression d’être écrasée par la masse de la bête qui, les pattes sur ses flancs, pesait maintenant de tout son poids sur le dos de Marie. Bien vite, elle sentit la verge de Victor prendre possession de son con, entrer à l’intérieur et là, ne sachant plus ce qu’il se passait, elle le sentit grossir, grossir, grossir, lui emplissant son vagin plus que celui ci ne pouvait recevoir, le dilatant à son maximum, venant buter au fond de sa matrice. Cette impression lui valut de jouir une première fois, lâchant des gémissements qui ne firent qu’excités le propriétaire:

    — «Ah, t’aimes ça, petit pute, te faire mettre par un clébard, ça t’excite cochonne!"


    Et ressortant sa pine qui elle aussi avait maintenant retrouvé des ardeurs, lui mis dans la bouche en même temps que le chien commençait à la pistonner. Marie essayait tant bien que mal de lécher ce membre, les mouvements de plus en plus rapides du chien en elle l’empêcher d’ouvrer correctement si bien que Bernard préféra se branler face à elle jusqu’au moment ou Marie se retrouva le visage maculée de sperme. C’est a cet instant que le chien vint à son tour et, le sexe complément distendue par son braquemart bander à son maximum, elle sentit alors une fontaine se vider en elle, le chien déversant une quantité de foutre inimaginable.

    Pensant alors à ces histoires de chiens qui restaient coincés entre eux, une peur bleue de se voir ainsi bloquée l’envahit car son nœud était toujours aussi gros mais, le sperme du chien lubrifiant largement le passage, elle le sentit glisser hors d’elle et une fois libérée, regardant entre ses cuisses, elle découvrit un long filet de foutre qui suintait de son sexe pour

    venir se répandre sur le carrelage. Honteuse, elle savait bien qu’elle offrait cette vision aux deux hommes restés assis derrière elle mais elle sentit Bernard lui prendre de nouveau la tête, l’a regarder d’un air toujours aussi vicieux

    — «T’es vraiment qu’une vicieuse, mais t’es toute sale, pleine de foutre, cela fait vraiment petite négligée !"


    Et là, il se mit à lui pisser dessus, dirigea son jet sur les traces de sperme qui coulaient sur son visage, avant d’en faire le tour et d’arroser copieusement ses fesses et son sexe. Gérard et le Docteur L se levèrent à leur tour pour effectuer le même cérémonial si bien que Marie fut totalement nettoyée des souillures de plaisirs par les jets d’urine chaude qu’elle reçut sur tout son corps. Le docteur prit alors un drap pour recouvrir le corps de la pauvre bonne tout en lui indiquant qu’elle pouvait disposer et se tournant vers ses collègues

    — «Bien, messieurs, l’expérience est bien claire. Ce cobaye a jouit 7 fois alors que nous, pauvres hommes que nous sommes, le deuxième orgasme, péniblement atteint, nous a complètement épuisés. Je me demande si nous ne devrions pas nous faire des prescriptions de Viagra et refaire cette expérience pour en juger si les effets sont vraiment intéressants."

    — «Pas de problème" répondit Gérard "On remets cela quand vous voulez"
    — «Et du Viagra pour chien, cela existe" Ricana Bernard, "faut aussi penser à lui, hein mon bon toutou"


    Le chien qui, avachi dans un coin de la pièce, ouvra un œil vers son maître et lâcha un gros soupir pour replonger dans sa sieste bien méritée.

     

    De toutes les personnes habitant sous le toit de la villa, le seul dont Marie ne connaissait aucun vice, ni à son égard ni, même d’ailleurs avec personne, était Julien, le fils prodigue de la famille. Et pourtant, a chaque fois qu'elle faisait son lit, elle voyait bien que le jeune homme ne restait pas inactif et que la masturbation devait être son passe temps favori, imprimant les draps de son plaisir. Même si cela devait sortir du cadre de ses responsabilités, elle se demandait de plus en plus souvent si elle ne devait pas faire en sorte de déniaiser le jeune homme, simplement pour lui montrer qu'il y a d’autre chose plus agréable que de se branler tous les soirs. Mais pour le moment, elle n’avait jamais eu l’occasion ou l’opportunité de mettre ses talents au service de Julien et se contentait de fantasmer en faisant son lit, humant ses sécrétions intimes. Certes le garçon sortait tout juste de l’adolescence, étant même un peu frêle pour un jeune homme de 18 ans, ayant plus reçu physiquement de sa mère que son père, les derniers boutons d’acné commençant seulement à disparaître mais, en l’observant de plus près lors des repas, Marie le trouvait tout de même de plus en plus mignon au point qu'il ne vienne meubler ses fantasmes lors des masturbations qu’elle s’offrait avant de se coucher.

    Le hasard vint à son secours lorsqu’un après midi, le jeune homme n’ayant pas cour, se trouvait dans sa chambre en train, certainement de travailler. Madame Karine du alors s’absenter, appeler pour une urgence chez une de ses amies intimes, elle demanda à Karine de prévenir son beau fils de son absence. Marie savait maintenant très bien ce que le mot urgence représentait pour sa maîtresse et se douter qu’elle allait en fait se faire lécher l’abricot par la dite amie, lui laissant alors toute l’après midi tranquille. Elle monta alors à l’étage et sans même frapper à la porte du jeune homme, l’ouvrit d’un seul coup et …. Resta muette! Devant elle, allongé sur le lit, Julien, le sexe bandé entre ses mains, se masturbait. Jusque là rien d’étonnant en soit, mais le fait qu'il soit revêtu des sous vêtements de sa sœur surpris un peu Marie. En effet, il portait le petit ensemble de dentelle verte que Marie, habituée à le ranger, trouvait mignon. Un petit soutien-gorge très mini, ne couvrant a peine la moitié des seins de mademoiselle et un petit string très sexy. Affublé en plus du porte jarretelles, le string tiré sur le côté laissant sa bite à l’air, il était là, bêtement en train de débander sous l’effet de surprise.

    — "Excusez moi, je ne savais pas que vous étiez là!" Dit elle simplement,
    — "Je venais simplement vous dire que votre belle mère s’absentait pour l’après midi" et elle se retourna pour quitter la pièce lorsqu’en refermant la porte, elle entendit Julien l’appeler timidement:
    — "Marie…"


    Elle s’arrêta et se retournant

    "Oui?"

    "Euh, comment dire, j’aimerais que vous ne disiez rien à mon père ni à ma sœur"

    La vue du jeune homme, tout penaud, fit sourire intérieurement Marie qui trouvait la situation somme toute excitante et, profitant alors du peu de pouvoir qu’elle se sentait avoir à cet instant, entra dans la chambre, ferma la porte et s’approchant doucement de Julien lui dit:

    — "Mais tout dépends de toi, tu sais!


    Julien, quelque peu surpris de ce tutoiement soudain, ne put que répondre:

    — "Mais comment cela?"
    — "Et bien si tu veux que je garde le silence, il va falloir être gentil avec moi"
    — "Je ferais tout ce que vous voudrez"
    — "Oh je n’en demande pas tant, mais puisque tu me le propose, je vais m’occuper de toi. Je vois que les dessous de ta sœur t’excitent alors, puisque l’on a tout l’après midi devant nous, je vais faire de toi une jolie petite jeune femme qui devrait assouvir tous mes plaisirs, et cela sans mots dire!"


    Julien l’écoutait sans rien dire mais ne put retenir une légère érection lorsque la jeune femme lui annonça ses projets

    — "Je vois que mon programme n’est pas par pour te déplaire, alors tout d’abord, déshabille toi complètement pendant que je vais te chercher d’autre vêtements."


    Elle fila dans la chambre de Mélodie et pris tout ce qu'il fallait pour mener à bien son idée. En passant près de la salle de bain de la jeune fille, elle prit aussi le petit rasoir de et la mousse à raser, avant d’apercevoir le godemiché qu’elle savait caché dans le tiroir de la commode à draps de bain. Lorsqu’elle arriva de nouveau dans la chambre de Julien, celui était nu comme un vers, debout, les mains plaquées sur son sexe, tout honteux de se

    trouvait dans cet état devant la bonne de la maison.

    — "Bien, je vois que tu m’as écouté, c’est très bien, ta docilité sera récompensée. Aller, allonge toi sur le lit et écarte tes jambes."


    Il s’exécutât et offrit alors sa petite bite légèrement bandée au regard de Marie. Elle s’assit à ses cotés et la regardant, annonça ses intentions à Julien:

    — "Bien je vais tout d’abord te rendre un peu plus féminine en enlevant tout ces poils disgracieux" et de badigeonner le pubis et les noix de Julien avec la crème à raser. Pour exécuter son œuvre, elle fut obligée de prendre la biroute du jeune homme et de la déplacer au fur et à mesure de l’avancée du rasoir. Julien ne resta pas indifférent à ce traitement car bien vite, une érection plus conséquente apparut.
    — "Si tu bandes comme cela, je vais avoir du mal à terminer"


    Le prévient elle alors qu’elle s’attaquait maintenant aux deux couilles de Julien. Une fois les deux boules bien lisses, elle le fit ensuite mettre à 4 pattes et écartant ses fesses, lui débarrassait maintenant l’anus pour le rendre

    aussi lisse que le reste. Une fois son travail effectué, elle ne pu que constater la douceur de sa peau en y passant doucement la main. Julien ne put s’empêcher d’avoir une contraction qui fit tendre de nouveau la jeune bite, ce qui poussa alors Marie à la prendre dans sa main et commencer doucement à le branler.

    "Tu as une belle bite tu sais, et j’ai vu que tu t’en servait beaucoup dans ton lit, à en tacher les draps, petit cochon. Mais grosse comme elle est, cela risque te gêner dans ta petite culotte, et comme je suis une gentille fille, je vais

    te soulager"

    Et se penchant dessus, elle l’engloutit totalement et lui fit une pipe dont il se souviendra longtemps. Tout d’abord parce que c’était bien la première fois que cela lui arrivait, que l’on prenait ainsi son membre en bouche, et qu’ensuite, vu le savoir faire de Marie en ce domaine, il ne peut résister longtemps et déchargea son foutre dans la bouche de la bonne. Celle ci se releva alors, et s’approchant de son visage, vint l’embrasser et vider le sperme qu’elle avait garder en bouche. Julien ne peut faire autrement que d’avaler sa semence, d’abord écœuré, puis surpris par ce goût pas si désagréable que cela.

    Marie, fière de son acte de domination, ne relâcha pas pour autant son emprise sur le jeune homme et, le faisant mettre debout, commença à le travestir. Elle lui fixa un porte jarretelles rouge auquel elle fixa deux bas noirs, fixa ensuite le soutien-gorge qu’elle remplit de coton, puis termina par le string, le faisant bien remonter sur les haches, glissant la ficelle entre les fesses et prenant soin à ce que les deux couilles restent bien calées sous le fin tissus. Une petite robe bien courte, arrivant sous les fesses, complétait la transformation que Marie paracheva en lui appliquant un fin maquillage. Son corps relativement frêle acceptait parfaitement se travestissement si bien qu’au premier coup d’œil, Julien pouvait tout a fait être pris pour une désirable jeune fille.

    — "Voilà, ma petite Julie, tu es tout mignonne ainsi, et tu sais que tu me fais mouiller!"


    Et de remonter sa jupette sur elle, elle lui montra son petit string humide qu’elle écarta alors, plantant un doigt dans sa chatte, elle le porta ensuite à la bouche de Julie. Celui ci l’accepta sans bronché et commença à mimer une fellation sur l’index tendu.

    — "Tu aime ça le goût de ma mouille, alors vient me lécher petite pute"


    Assise sur le bord du lit, il fit mettre Julie entre ses cuisses et sa main appuyant sur sa nuque, l’attira vers son sexe. Appréciant alors à cet instant ce sentiment de dominatrice qui était, jusqu’à ce jour, totalement enfouie en elle, étant même complètement dissimulé par la soumission qu’elle mettait au service de ses patrons. Maintenant, elle appréciait cette découverte et n’hésitait pas alors à en user pour humilier le jeune homme.

    — "C’est bon, tu lèche pas trop mal pour la petite pucelle que tu es!"


    Il faut dire que Julien était maintenant complètement absorbé par ce sexe qui s’offrait à sa bouche et s’appliquait à le pénétrer de sa langue, la faisant aller et venir dans le con trempé de la jeune bonne qui commençait à gémir du traitement reçu.

    — "DING, DONG!"
    — "Merde, il y a quelqu'un qui vient" annonça à regret Marie
    — "Tu reste là, et tu m’attends, je n’en ai pas pour longtemps. Allonge toi sur le lit et cambre tes fesses que je te retrouve ainsi en revenant. Tu auras alors droit à une petite gâterie que ta sœur apprécie beaucoup!"


    Julie s’exécuta docilement, s’allongeant et ressortant les fesses, son petit string bien visible entre ses jarretelles. Marie remis un peu d’ordre dans sa tenue et descendit rapidement ouvrir la porte d’entrée.

    — "Bonjour toi, Mélo est là!"
    — "Non Monsieur, elle est absente pour la journée"
    — "Merde, c’est bien ma veine" rouspéta alors le jeune homme


    Marie n’au aucun mal à le reconnaître puisqu'il s’agissait d’un des jeunes hommes censés réviser les cours avec Mélodie alors qu'il s’adonnaient plus facilement aux travaux pratiques (voir le chapitre 2)

    — "Je peux lui laisser un message si vous le désirez" lui proposa t telle
    — "J’suis pas venu ici pour un message, mais pour baiser, moi!" Répondit il.


    Puis regardant Marie.

    — "Mais dis moi, tu ne m’a pas l’air farouche toi, vêtue comme tu l’est. Et puis, pour le coup des photos, je ne t’ai pas puni, moi, contrairement à Mélodie"
    — "Mais Monsieur, j’ai tout de même été obligée de vous sucer"
    — "Oui, d’ailleurs cela avait un goût de trop peu" dit il en posant ses mains sur les deux petits seins de Marie.
    — "Monsieur, je vous en prie, et puis nous ne sommes pas seuls"
    — "Ah bon, qui est là?
    — "Julie, la petite cousine de Mademoiselle" dit elle alors pour tenter de se sauver des mains du goujat.
    — "Ah bon, elle a une cousine cette salope? Et elle est mignonne?, aussi cochonne que Mélo?"
    — "Cochonne, je ne sais pas, mais mignonne, je vous le garantis" dit elle avec une lueur perverse dans le regard.
    — "Elle se repose dans la chambre en haut, vous voulez la voir?"
    — "Un peu que je veux !"


    Et Marie emmena l’homme à l’étage et devant la porte, lui fit signe, en mettant son doigt devant les lèvres, de ne pas faire de bruit. Elle ouvrit légèrement la porte et offrit la vision de Julie, allongée sur le lit, les fesses relevées et cambrées, dévoilant sans pudeur ses dessous.

    — "Putain, quel cul!"


    Lâcha alors le jeune homme, et Marie le fit pénétrer dans la pièce, surprenant Julie qui, le regard affolé, la regardait sans pouvoir émettre le moindre son.

    — "Julie, ce jeune homme a un petit souci et il serait souhaitable que tu lui rendre service"


    Puis s’adressant au visiteur

    — "Elle suce comme une reine, profitez en bien"


    Et l’homme d’ôter sa ceinture, dégrafer son jean et sortir son membre encore mou. S’approchant de Julie, il lui prit la tête et l’attirant vers lui

    — "Tu vas alors me montrer tes compétences, en espérant que tu sois à la hauteur de ta salope de cousine!"


    Et sans qu’elle n’est la temps de dire quoi que ce soit, la lui mis dans la bouche. Julie sentit alors rapidement le sexe grossir en elle et, après la surprise de cette entrée en matière, les larmes aux coin des yeux, se mit alors à pomper le dard, du mieux qu’elle ne put. Apparemment, elle ne se débrouillait pas trop mal car l’homme semblait apprécier le traitement. Marie, à qui la scène devenait de plus en plus excitante, s’agenouilla derrière l’homme et pris ses fesse en mains. Les écartant, elle darda alors sa langue dans son anus et lui fit une feuille de rose humide et efficace car l’homme, dans un râle obscur, éjaculât son sperme dans la bouche et sur le visage de Julie.

    — "Putain que c’était bon, elle suce bien la garce! Aller la boniche, fais ton boulot, nettoie là avec ta langue" dit il à Marie.


    Celle ci, retrouvant alors sa soumission naturelle, alla rejoindre Julie pour lécher le sperme qui suintait sur son visage alors que le jeune homme en profitait pour enlever totalement son jeans et son caleçon pour attendre, à moitie nu que Marie ait fini son travail.

    — "Bon, c’est pas le tout, je veux baiser moi" dit il en se masturbant le vit pour tenter de retrouver des formes appréciables.
    — "Le problème" avertit alors Marie, "Est que Julie est toujours vierge, et souhaite le rester le plus longtemps possible. Par contre, si vous êtes doux, elle peut vous offrir son petit trou"
    — "Si elle veut que je l’encule, pas de problème, j’aime bien cela"
    — "Elle adore cela aussi mais il faut que vous me laissiez la préparer avant. D’ailleurs, je crois que cela vous excitera et vous permettra de retrouver une érection correcte "
    — "Ok, mais dépêches toi, je n’ai pas que cela à faire moi!"
    — "Tout d’abord, laissez moi vous faire une surprise" dit alors Marie


    Elle le prit par la main et l’attira vers Julie qu’elle avait fait se lever, et la lui plaqua contre son entre cuisses.

    — "Putain, c’est quoi ce bordel, un travelo"
    — "Mais monsieur ne disait pas cela lorsqu’il sodomisait l’autre ami de Mademoiselle Mélodie"
    — "Oui mais quand même, je ne m’attendait pas à cela. Mais attends voir, cette petite tapette, c’est pas le frérot de Mélo?"
    — "Parfaitement, mais sa gentillesse dépend aussi de votre silence, n’est ce pas?"


    Je jeune homme ne répondit pas et restait même baba devant la transformation de Julien en Julie.

    "Bah, vu qu’elle me fait quand même bander, je vais lui défoncer le fion sans problème!"

    Marie la fit mettre à 4 pattes sur le lit et remontant la robe sur ses hanches dévoila le joli postérieur. Saisissant le tube de gel, elle s’en enduit les doigts, écarta le petit string de Julie, en mis une noisette sur sa rondelle et, par de petits mouvements circulaires sur celle-ci, entreprit de la détendre. Bientôt, s’habituant à cette caresse, l’anus de Julie s’ouvrait tout seul sur le doigt qui voulait l’investir. Marie le fit aller et venir quelque temps avant d’en mettre un second, lui laisser le temps de s’y habituer pour en finir avec un troisième qui fit grimacer Julie. Pendant ce temps, l’homme avait saisit l’appareil photo de julien qui était sur le bureau et immortalisa la scène.

    — "Pour ma collection personnelle’ dit il alors en ricanant


    Après avoir lui avoir branler le cul un petit moment, Marie se saisit du godemiché et le fit pénétrer dans le petit conduit, tout doucement afin de ne pas brusquer ses muqueuses. Une fois au fond, elle le masturba légèrement avant de lui souffler à l’oreille

    — "C’est bien ma chérie, tu es docile. Maintenant il va t’enculer et tu vas lui montrer que tu aimes cela. D’ailleurs, il me semble que tu apprécie déjà le gode, petite cochonne"


    En effet, ayant passer sa main entre ses cuisses, Marie avait bien senti l’érection déjà bien dure du sexe de Julien.

    — "Elle est à vous!" dis alors Marie au jeune homme.


    Il ne se fit pas prier plus longtemps et prenant Julie par les hanches, il appliqua son gland contre la rosette luisante et le fit pénétrer dans son intimité. Marie observait l’attitude de Julie qui, le visage déformé par la douleur, tenait bon à ne pas se plaindre de son enculage. Une fois au fond de son cul, l’homme s’arrêta un moment

    — "Putain, elle est bien serrée du cul, on va se régaler!"


    Et il commença à l’astiquer comme l’assoiffé de sexe qu'il était devenu à cet instant. Marie, comprenant alors le désarroi de Julie, la douleur qui devait lui tirailler le cul, mais sachant très bien que lorsque celle-ci se calmerait, elle prendrait alors autant de plaisir. Voulant alors le lui faire venir plus vite, elle se glissa sous elle, en position de 69 et se retrouva sous son sexe. Devant ses yeux, le sexe de l’homme entrait et sortait de son petit trou et cette vision ne pouvait que l’exciter. Elle tira alors le string de Julie sur le côté et fut agréablement surprise de voir jaillir le sexe bandé qu’elle s’empressa de prendre en bouche. Le jeune homme, qui avait parfaitement compris la position de Marie, poussa alors la tête de Julie entre les cuisses de la bonne et l’encouragea à la sucer en même temps qu'il continuait à l’enculer.

    — "Lèches ta bonne, petite salope, faits la reluire pendant que je t’encule"


    Marie pompait maintenant le dard de Julie et, passant ses bras entre ses cuisses, vint poser ses mains sur les fesses de l’homme, les écarta et vint planter son doigt dans son anus. L’autre, l’appareil photo à bout de bras, flashant aux hasards des prises de vues tout en continuant à enculer Julie. Il tira les cheveux de Julie, lui fit tourner la tête pour la photographier, la bouche luisante de la mouille de Marie ce qui avait pour effet d’étaler son maquillage tout autour de sa bouche.

    — "Celle là, je la ferais agrandir" lui dit il cyniquement.


    Pendant se temps, Marie sentait très bien que Julie n’était pas loin car le sexe qu’elle avait en bouche commençait à trembler et d’un coup, le sperme la lui remplit. La contraction anale qui s’en suivie, fit venir à son tour leur invité qui, se retirant du petit trou sombre, déchargea sa semence en long jets crémeux qui vinrent s’écraser contre la rondelle encore ouverte. Encore quelques photos de sa jouissance et il se retira, laissant Marie se délecter du foutre qui lui coulait maintenant dans la bouche et déclara:

    — "Vous êtes de bonnes petites salopes toutes les deux, c’est dommage que je doive partir car j’aurais bien remis cela. Enfin, il me restera les photos pour me branler en me rappelant la scène" dit il en enlevant la pellicule de l’appareil.


    Il se rhabilla rapidement et laissant les deux filles allongées sur le lit:

    — "Je connais le chemin" dit il, et partit aussitôt de la villa.


    Marie pris alors Julie par le cou, l’embrassa une nouvelle fois pour partager tout le sperme qu’elle venait de boire

    — "Tu as été très docile, je te félicite. Maintenant que tu as perdu ton pucelage anal, je vais t’offrir l’autre. Allonges toi."


    Julien s’allongea sur le dos, le sexe flasque, mais bien vite Marie sut parfaitement lui redonner constance et vigueur. Une fois bien raide, le fixant droit dans les yeux avec un petit sourire émouvant, elle vint se mettre à genou au-dessus de lui et, écartant son string, vint doucement s’empaler sur le vit. Alors, lentement, elle commença à monter et descendre sur le membre, le sentant bien en elle, voulant faire en sorte que cette première lui soit une réussite. Avec tout son application et son savoir faire, prenant elle aussi énormément de plaisir à le faire venir en elle, elle s’évertua à le faire jouir dans un râle bien significatif du plaisir, lui offrant ainsi son dépucelage dont il garderait le souvenir excitant, comme en témoignèrent les petites larmes qui coulèrent de ses yeux. Marie, quelque peu émue de la situation, ne put que déposer un léger baiser sur ses lèvres et se libéra de son emprise.

    — "Aller, changes toi, ta sœur va bientôt rentrer et il serait dommage qu’elle te voit ainsi"


    Lui dit elle avant de le quitter. Du sperme coulant sur ses cuisses, elle se dépêcha à son tour d’aller remettre de l’ordre dans sa tenue. Lorsque Mélodie rentra, alors que son frère était tranquillement installé devant son ordinateur, elle entra dans sa chambre.

    — "Jérôme n’est pas passé" lui demanda t elle.


    "Euh, non, pas vu" répondit Julien sans decoincer de son écran ."demande à Marie!"

    "Pas grave, de toute façon il commence à m’emmerder celui là, toujours envie de baiser!"

    Et de s’enfermer dans sa chambre sans même demander à Marie qui, de son coté, passait sa langue sur ses lèvres en souvenir de cet après midi des plus agréables.
    Marie avait trouvé en Julien le partenaire idéal pour parfaire les sentiments de dominatrice qu’elle venait de découvrir lors de cette expérience et depuis, il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne lui fasse subir une quelconque perversion, s’amusant même à l’efféminer de plus en plus chaque jour. Contraint de ne porter que des dessous féminins sous ses habits, elle l’obligeait maintenant à ce qu’il lui demande la permission d’aller aux toilettes. Là, en fonction de ses activités, elle le faisait régulièrement attendre avant de l’accompagner et de lui faire faire ses besoins assis sur la cuvette, comme toute jeune fille qui se respecte. La porte ouverte, devant elle qui ne perdait pas une miette du spectacle offert, il devait alors s’essuyer avec ses doigts avant de les porter à sa bouche et de les lécher.. Ensuite, elle s’installait à son tour sur la cuvette, pissait devant lui et lui demandait alors la même toilette intime, la bouche directement collée sur sa chatte humide, lui gardant généralement une dernière goutte à déguster.

    — "MARIE !!!!"


    Ce cri strident résonnant dans le hall qui fit sursauter Marie au point de renverser l’arrosoir des plantes d’intérieurs sur le meuble louis XI du salon, émanait de la bouche de Mélodie. Vu son intensité, Marie ne songea même pas à nettoyer sa méprise pour se précipiter vers l’escalier où, levant la tête, elle eut la vision de la jeune femme, un court peignoir négligemment fermé sur son corps, les bras croisés sur sa poitrine, les jambes légèrement écartées, à attendre furieuse que sa bonne ne daigne répondre à son appel

    — "Qu’est ce que tu fous, cela fait 10 minutes que je t’attends!" Dit elle exagérément
    — "Mademoiselle désire?" Répondit Marie une lueur d’ironie dans la voix


    D’autant plus que la vision qu’elle avait maintenant au pied de l’escalier lui offrait la petite touffe de poil blonde qui ne cachait à peine les lèvres du sexe de sa petite maîtresse, cette petite chatte qui la faisait tant rêver, envieuse d’y fourrer sa langue et de lui montrer ses capacités à faire jouir une autre femme.

    — "Où est mon ensemble de lingerie rouge, je ne le trouve pas?"
    — "C’est que Mademoiselle n’a pas cherché correctement" répondit elle
    — "Petite insolente, dépêche toi de me le trouver"


    En fait Marie savait très bien que cet ensemble avait servi à l’éducation de Julien et qu’après l’avoir lavé et fait sécher, elle l’avait remis dans la commode mais pas à la même place. Sure d’elle, elle monta lentement l’escalier, se déhanchant de manière lascive, et surtout regardant Mélodie d’un regard lubrique, et arrivée à sa hauteur lui dit simplement

    — "Mais que ferait Mademoiselle sans moi?"


    Et de la devancer pour entrer dans sa chambre. Ouvrant le tiroir, elle n’eut aucun mal à trouver le string et le soutien-gorge et les tendre à Mélodie

    — "Mademoiselle veut-elle le porte jarretelles avec ?"
    — "Oui, s’il te plaît" lâcha-t-elle toute penaude avant d’ajouter un timide
    — "Excuses moi! "


    Marie, se sentant alors en position de force, profita de l’occasion pour désorienter la jeune femme et, décidée à lui démontrer les nouveaux sentiments qui l’habitaient maintenant depuis l’expérience avec Julien, elle lui répondit:

    — "C’est un peu trop facile de s’excuser ainsi, j’en connais qui aurait pris une fessée pour moins que cela"
    — "Mais qu’est ce que tu racontes?" S’étonna Mélodie
    — "Je raconte que vous ne m’avez pas fait confiance et que cela mérite punition"
    — "J’aimerais bien voir cela’ dit elle d’un ton un peu moins assuré
    — "A poil, petite salope" se fâcha alors Marie
    — "Mais, mais, que racontes tu, tu es folle"
    — "La ferme et à poil, vite"


    Et elle l’a saisi par la bras, tira sur la ceinture du peignoir et d’un geste décidé le lui ôta avant de la pousser, nue sur son lit. Profitant alors de l’effet de surprise, elle lui bloqua tout moyen de riposte et lui attacha les bras aux montants du lit à l’aide de la ceinture. Immobilisée, la jeune fille devint comme une furie, remuant des jambes en tentant de s’extraire de ses liens. Marie la regardait faire, sure de ses attaches et cherchant deux autre ceintures pour lui lier les pieds. Apres avoir éviter les coups de la jeune fille, après une lutte de quelque minutes, elle parvint à l’immobiliser totalement et, reprenant son souffle, recoiffant ses cheveux, elle la regarda d’un air dominateur. Mélodie se trouvait ainsi allongée nue sur son lit, les bras remontant au-dessus de sa tête offrant ainsi sa poitrine, les jambes largement écartées dévoilant alors son adorable petit minou. Elle toussait des efforts qu’elle venait de produire et le temps de reprendre ses esprits, elle s’adressa à Marie

    — "Mais tu es folle, arrête ton petit jeu. Allez, détache moi, et je te promets que je ne dirais rien!"
    — "Premièrement, tu te tais. Deuxièmement, n’aie pas peur, je ne vais pas te manger, quoique. Et troisièmement, j’ai une petit surprise pour toi" dit elle d’une voix calme mais autoritaire.


    Mélodie, complètement abasourdie par l’attitude de sa bonne, ne put que se soumettre à ses dires et la vit doucement ôter sa jupe et son petit string pour venir s’asseoir sur le ventre de la jeune femme.

    — "Depuis des mois tu prends plaisir à m’exciter pour mieux me frustrer par la suite, aujourd’hui, non seulement tu m’excites, mais tu vas me faire jouir" lui dit elle en prenant ses seins à pleine mains et à en titiller les bouts.
    — "Tu vas me lécher la chatte et me faire reluire. Si tu le fais bien, tu auras une belle surprise par la suite"
    — "Mais tu te prends pour qui espèce de ….."
    — "Chut" lui dit elle simplement en lui montrant la photo ou elle était prise par 3 hommes, un dans chaque orifice
    — "Crois tu que ton père apprécierait cela?"
    — "espèce de salope, tu vas me le pay…."


    Et elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouvait avec la chatte de Marie sur le visage qui aussitôt vint se frotter dessus

    "Tais toi et lèche moi, fais moi jouir"

    Devant le peu d’ardeur présentée par la jeune fille, Marie se décida d’aller caresser l’abricot offert de la jeune femme avant de se pencher dessus pour y appliquer sa langue. Bien vite, elle sentit sa mouille et pensa alors qu’elle avait gagné. En effet, non seulement Mélodie commençait à remuer les hanches de plaisir, mais mettait plus d’ardeur à l’ouvrage, promenant sa langue sur toute la longueur de la moule de Marie. Laissant alors, avec un certain regret, la chatte de Mélodie, pour se relever, se retourner et faire face à Mélodie. La prenant alors par la tête, elle la tira tout en descendant son sexe dessus.

    "Vas y, baise moi avec ta langue, fais moi jouir"

    Et Mélodie, maintenant complètement soumise aux désirs de sa bonne, s’employa à la mener à bien la tache qui lui était dévolue et, la langue dardée, prenait soin d’exciter l’endroit que Marie lui mettait à disposition. Car celle-ci ne restait inactive, les mains sur ses seins, elle se les caressait en promenant son entre cuisses sur la bouche de sa compagne, lui offrant tour à tour son petit bouton amour, ses lèvres humides et chaudes pour terminer par son petit trou foncé, très friand de ce genre de caresses. Bien vite, elle sentit monter les spasmes du plaisirs s’amplifier pour déboucher sur un orgasme violent et rapide qui trempa totalement le visage de Mélodie. Le temps de reprendre ses esprits, elle descendit de sa partenaire et un grand sourire aux lèvres

    — "C’était superbe, ma chérie, tu lèches divinement bien"


    Et passant sa main entre les cuisses de sa partenaire

    — "D’ailleurs, je vois que cela ne t’a pas laissé indifférente, non? Tu es trempée!" Et de commencer à branler cette petite chatte humide
    — "Hum, c’est bon ce que me fais, continue, fais moi jouir aussi" lui dit alors Mélodie.


    Marie branlait le con de sa jeune maîtresse avec application mais en surveillant bien les effets que ses caresses avaient sur elle. Ainsi, la sentant venir, elle cessa brusquement sa masturbation pour se relever, faisant alors découvrir à Mélodie ce qu’était la frustration.

    "Mais que fais tu, ne t’arrête pas, ne me laisse pas comme cela" l’implora t’elle.

    — "tu ne crois tout de même pas que tu vas toi aussi prendre du plaisir, du moins avec moi"


    Et elle quitta la chambre, laissant Mélodie, attachée sur le lit, les cuisses écartées laissant maintenant bien visible son sexe trempé, les seins gonflés de plaisir, légèrement inquiète de ce que lui réservait Marie. Lorsqu’elle revint, c’était en compagnie de Julien qui, baissant la tête, suivait docilement sa nouvelle maîtresse.

    — "Mais qu’est ce qu’il fout là, celui là" s’exclama Mélodie visiblement agacée de cette présence.
    — "Il vient s’éduquer, qu’est ce que tu crois, et comme tu es une gentille fille, tu vas l’aider à acquérir de l’expérience" répondit Marie
    — "Ne me dit tout de même pas qu’il va me …."


    Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que Marie, avec une sourire sadique sur les lèvres, remua la tète de haut en bas pour lui signifier l’affirmation.

    — "Mais ça ne va pas, petite peste!"


    Se furent ses dernières paroles car Marie pris un foulard pour la bâillonner et mettre un terme à toutes ses supplications. S’adressant alors à Julien

    — "Toi, tu te mets entre ses cuisses et tu me montres tes talents de suceur. Tu as 3 minutes pour la faire gémir"


    Le jeune homme, oubliant totalement les liens familiaux qui les unissait, se retrouva la tête enfouie entre les cuisses de sa sœur et, sa langue fouineuse ne tarda pas faire son effet sur les sens de Mélodie. En effet, celle-ci, excitée par les premières caresses de Marie, se mit à remuer doucement les hanches, appréciant en fait, le traitement de son petit frère. Surveillant attentivement la montée du plaisir de la jeune fille tout en lui caressant doucement les seins, dardant les tétons, jouant avec. Lorsque celle-ci sembla s’approcher de l’orgasme, elle ordonna à Julien d’arrêter ses caresses et de se relever, frustrant une nouvelle fois la jeune fille dont des larmes coulaient doucement sur les joues. Marie embrassa alors Julien à pleine bouche, partageant ses odeurs intimes

    — "Elle est vraiment bonne ta frangine, elle mouille comme une fontaine" avant d’ajouter
    — "Allez, déshabille toi, enlève ton pantalon et ta chemise"


    Et là, Mélodie eut la surprise de découvrir son frère vêtu d’un ensemble string et soutien-gorge en dentelle bleue qui lui appartenait. La colère dans les yeux, elle ne semblait pas apprécier l’emprunt de sa lingerie

    — "Comment trouves tu ma petite pute" lui demanda alors Marie
    — "Ne pense tu pas que cela lui va à ravir. Moi, elle m’excite ainsi vêtu, pas toi?"


    Ajouta t’elle ironiquement avant de s’adresser au garçon:

    "Allez, viens voir là que je te prépare"

    Il s’approcha et Marie, s’agenouillant devant lui, passa ses mains sur son sexe, écarta le string et sorti sa petite bite à demi bandée. Elle le prit alors en bouche et l’effet ne tarda pas. Quelques aller retour bien humide le long de son membre, elle s’arrêta et lui ordonna

    — "Baise là!"


    Il sembla alors hésiter à s’exécuter si bien que Marie le pris par la bite et le tira jusqu’au lit de Mélodie

    — "Allez, regarde comme elle est trempée, elle n’attend que cela"


    Julien monta alors sur le lit et timidement vint place son sexe devant le con humide de sa sœur. Marie le prit entre ses doigts et vint le guider à l’entrée de l’âtre chaude. La pénétration s’effectua sans aucun problème car Mélodie, qui avait renoncé alors à toute tentative de défense, était tout de même assez excitée pour accepter ce membre en elle. Marie en profita pour se saisir du godemiché de la jeune fille et, passant derrière Julien, lui écarta la ficelle du string et vint planté sa langue dans l’anus de celui ci. Y ayant déposé une bonne dose de salive, elle entreprit alors de l’enculer doucement mais fermement, lui plantant le gode jusqu’à la garde.

    — "T’aimes ça te faire enculer petite salope, et là, t’es prise en sandwich, tu dois apprécier non?"
    — "Oui Maîtresse, j’adore ça. Branler moi bien le cul, c’est bon!"


    Mélodie supportait de plus en plus facilement la pénétration de son frère car son sexe épousait parfaitement les parois de son vagin et lorsque Marie enfonçait le gode au fond de son cul, elle ressentait la bite qui venait cogner le fond de son sexe, lui offrant des vagues de plaisir qui bien vite, débouchèrent sur un orgasme qu’elle ne peut exprimer, bâillonnée comme elle l’était, qu’en remuant sa tête dans tous les sens. Marie, qui avait apprécié ce moment de plaisir que Julien avait offert à sa sœur, sentant alors celui du jeune homme venir, le fit sortir du sexe et lui ordonna de se finir à la main sur le ventre de sa sœur. Spécialiste de la branlette, il ne lui a pas fallu longtemps pour gicler sur sa une dose impressionnante de sperme, les deux premiers jets atteignant même le cou de celle-ci. Le ventre maculé de foutre, Marie lui ordonna de la nettoyer avec sa langue, tout en prenant soin de ne pas avaler sa semence. Elle l’aida dans sa tache, lapant le sperme chaud qui ornait la poitrine de Mélodie. Une fois propre, leur bouche pleine de liquide, ils échangèrent alors un baiser qui permit à Marie de récupérer tout le sperme, avant d’ôter le bâillon de Mélodie et de faire doucement couler la semence sur les lèvres de la jeune fille. Celle ci, n’ayant même pas la force de détourner la tête, se lassait arroser ainsi, sentant la sperme couler dans son cou, même si quelques gouttes parvinrent à s’insinuer dans sa bouche.

    — "Allez, file" lâcha sévèrement Marie à l’encontre de Julien
    — "Quant à toi, maintenant tu sais ce que c’est d’être humiliée et frustrée, tu sais tout ce que tu m’as fait vivre depuis 6 mois alors que dès le début, je mouillais pour toi, je me caressais en penser à toi, à tes seins, à ta chatte."


    Mélodie l’écoutait silencieusement et de nouvelles larmes coulèrent sur ses joues

    — "Excuses moi, Marie, j’ai été salope avec toi mais je ne savais pas, je suis désolée. À partir de maintenant, je ferais tout ce que tu voudras, je te le promets"


    Marie savait qu’elle tenait sa vengeance et que leur relation serait maintenant totalement différente. Mais, émue de la réaction de la jeune fille, elle ne put s’empêcher de venir baiser ses lèvres et bien vite, elle sentit sa langue venir à sa rencontre.


    Cette scène fut le début de leur nouvelle relation qui voyait maintenant Marie, aux hasard des ses envies, entrer sans frapper dans la chambre de Mélodie, soulever sa jupe et écarter son string pour lui ordonner:

    — "Viens me sucer, j’ai envie de jouir"


    Et d’en sortir une fois qu’elle eut exécuter sa tache, sans même un remerciement ou une parole pour son amante. Même les dessous de Mélodie étaient maintenant parfaitement partagés entre elle et son frère et il n’était pas rare que Marie leur demande de se ’gouiner’ devant elle , toutes deux revêtues de lingerie fine, se faisant simultanément jouir par des 69 qui devenaient de plus en plus torrides.

    Marie savait maintenant que le destin de la famille "L" était entre ses mains et qu’elle n’allait pas se gêner pour le leur montrer

    Marie passait maintenant le plus de son de temps avec ses deux esclaves, jouissant des humiliations qu’elle pouvait leur faire subir, sachant maintenant pertinemment qu’ils étaient totalement soumis à ses désirs les plus pervers, si bien que son travail de femme de chambre s’en trouvait plus que délaissé. Le désordre ambiant qui régnait alors dans le séjour lui valut rapidement les réprimandes de Madame Karine, tout d’abord de manière courtoise avant d’en arriver aux méthodes plus fortes. Ainsi, Marie fut rapidement convoquée par sa maîtresse dans le bureau du Docteur.

    — Ma petite Marie, je ne comprends pas, votre travail se dégrade de jour en jour. J’ai été assez gentille avec vous mais maintenant, les bornes étant dépassées, je vais être obligée de vous punir puisque vous ne voulez rien entendre.


    Marie, baissant les yeux, regardant ses chaussures, les mains entrecroisées dans son dos, se dandinant doucement devant Karine, simulait parfaitement la petite bonne prise en faute. En fait, elle était bien décidée à cesser cette relation qu’elle lui imposait depuis des mois, et de faire de sa maîtresse une femme aussi soumise à ses désirs qu’elle avait pu le faire avec les deux autres.

    — Je suis désolée Madame, je ne m’en suis pas rendu compte, répondit-elle.
    — Maîtresse, je veux que tu m’appelles Maîtresse, s’énerva alors Karine.


    Marie, releva doucement sa tête et planta alors son regard dans les yeux de Karine qui, surprise de cette initiative, se retrouva muette devant son attitude

    — Va te faire foutre sale gouine, j’en ai marre de te lécher la chatte et de me faire prendre par tes godes, attaqua alors sèchement Marie.
    — Tu ne penses qu’ te faire brouter le minou et tu me donnes des leçons sur mon ménage, tu es pourrie par le fric de ton mari au point de ne pas savoir ce qu’est un plumeau, pour la peine je vais te le mettre dans le cul et te feras le ménage avec, tu comprendras alors pourquoi ta baraque de merde est mal entretenue.


    Complètement abasourdie par les propos si vulgaires et surtout colériques de sa petite bonne, Karine resta coite. Marie en profita pour la saisir par le bras et de la pousser vers la table d’examen, l’y allonger et sans qu’elle ne puisse esquiver un seul geste pour sa défense, lui fixa les poignets aux montants supérieurs de la table, grâce aux deux bracelets prévus à cet effet. Karine commença alors à se rendre compte de la situation dans laquelle elle se trouvait et tenta de raisonner Marie d’une voix plus douce qu’assurée

    — Marie, soyez raisonnable, que faites-vous là, je vous rappelle que je suis votre patronne.
    — Raison de plus, répondit Marie, je pensais simplement vous attaquer en justice pour harcèlement sexuel.


    … Et de sortir de la poche de son tablier 3 photos qui montraient Karine dominant Marie. Sur la première, Marie, à quatre pattes, se faisait prendre par le gode ceinture de Madame. Sur la seconde, Karine était accroupie sur son visage et la forçait à lécher son sexe ouvert et, enfin, sur la troisième, dans la même position, légèrement soulevée, on distinguait parfaitement le filet doré qui coulait directement dans la bouche de Marie.

    — Avec cela, je pense que le juge ne pourra que vous donner tous les torts.
    — Mais d’où viennent ces photos.
    — Il faut surveiller vos amies ma chère. Maintenant, il ne vous reste que deux solutions, soit vous retrouvez en prison, soit vous laisser faire. Et croyez-moi, je crois que la seconde vous sera plus agréable.


    Et sans attendre sa réponse, elle prit ses jambes et les posa dans les étriers, ceux-ci placés dans la position offrant l’écart le plus important. Elle déboutonna ensuite la fine robe d’été sous laquelle un seul petit string couvrait le reste de son corps, string qui ne laissa pas Marie indifférente car elle remarqua rapidement qu’il était légèrement humide sous les fines lèvres de son sexe.

    — Mais cette petite salope de gouinasse mouille sa culotte, et bien quitte à la mouiller, tu vas la mouiller !


    Et d’appuyer alors sur le ventre de Karine

    — Tu vas pisser dedans, la souiller de tes jus, je sais que tu aimes cela.


    Et Karine, après une légère concentration, poussa sur sa vessie jusqu’a ce que quelques gouttes ne viennent mouiller un peu plus son string avant de se laisser aller totalement. Marie saisit alors le flacon vide posé sur la tablette et, entre les cuisses, récupérait le filet doré de l’urine qui traversait le string. Une fois terminé, elle posa le flacon a moitie plein sur la tablette, pris une paire de ciseaux et coupa le string sur chaque hanche. Elle se saisit alors du tissu imbibé de pisse, le mit en boule et força la bouche de Karine avec.

    — Tiens, prends ça, tu comprendras ce que j’ai ressenti la première fois que tu me l’as fait.


    Elle cala correctement le tissu dans sa bouche si bien qu’elle ne pouvait l’enlever sans aide extérieure et, ne pouvant garder sa bouche constamment ouverte, à chaque fois qu’elle l’a refermait, le contact de ses lèvres et ses dents sur le string faisait couler un peu d’urine dans sa bouche. Marie avait alors placé sa main entre les cuisses de Karine et bien vite un doigt entra à l’intérieur de son sexe.

    — Hum, je vois que tu n’es qu’une grosse salope qui aime se faire doigter. Attends un peu, tu vas en avoir pour ton compte.


    Elle enfila aussitôt un doigt dans l’anus de Karine.

    Elle ouvrit ensuite le tiroir de la tablette et sortit les six godes qu’il contenait.

    .

    — Et bien, tu vois, on va tous les essayer un par un, lui dit elle malgré le regard imploré de Karine, surtout en voyant le plus gros.
    — Allez, au boulot.


    Et elle prit le plus fin, le fit aller et venir quelques instants dans la chatte avant de lui introduire directement dans le cul, laissant échapper un soupir de bien-être de la part de la belle.

    — Ça rentre tout seul dans tes deux trous, t’es vraiment qu’une chienne, lui dit Marie
    — Remarque, comme cela, je passe directement au quatrième, dit-elle en saisissant celui qui faisait cinq centimètres de diamètre.


    Elle le pointa sur sa chatte et celle-ci s’ouvrit comme par enchantement pour accueillir l’objet. Karine, trempée comme une éponge, supportait avec plaisir cette pénétration perverse que lui infligeait sa bonne. Ses hanches, remuant au rythme des va et viens de Marie, ne faisaient qu’amplifier la montée du plaisir en elle, si bien que, dans un rictus significatif, elle laissa échapper ses gémissements de bonheur résultant d’un premier orgasme.

    — Je te baise depuis 5 minutes et tu jouis déjà, t’es vraiment une chaude, lui dit alors Marie. Mais il ne faudrait pas m’oublier non plus, ajouta-t-elle.


    Il faut dire que son string était aussi mouillé que celui de Karine, uniquement à cause de ses sécrétions du plaisir qu’elle prenait à torturer son ex maîtresse. Elle laissa alors le gode planté dans sa chatte et ôtant sa jupe et son chemisier, elle monta sur la table, vint se placer au-dessus de la tête de Karine et s’affaissa doucement sur celle-ci, retirant le string souillé qui était encore dans sa bouche et écartant de sa main le fin tissu de sa culotte.

    — Tu as 30 secondes pour me faire jouir sinon je te mets le gode dans le cul.


    Elle déposa sa chatte nue sur la bouche de Karine et bien vite, elle senti sa langue venir fouiller son intimité et il lui suffit que quelques léchouilles pour libérer sa jouissance. Une vingtaine de secondes suffirent, mais le temps importait guère car Marie savait très bien la suite qu’elle donnerait à cette séance.

    — Dommage, ma belle, mais j’ai compté 32 secondes, dit-elle cyniquement après avoir récupéré de son orgasme.


    Elle vint se replacer entre les cuisses de son esclave et retirant le gode qui emplissait toujours son sexe, elle se trouva devant cette chatte impudiquement ouverte, qui ferait plaisir à n’importe quel gynécologue. Mais maintenant, c’était son petit trou qui avait son intérêt et planta un doigt dedans, elle lui dit :

    — T’aimes ça te faire prendre le cul, mon doigt s’y promène tout seul tellement t’es large !


    Karine, libérée de son bâillon, pouvait maintenant exprimer son plaisir.

    — Oh oui, je le sens, remplie moi le cul.
    — Ne t’inquiète pas, tu vas avoir ta dose, rassura Marie.


    Elle prit alors le tube de gel et en mit une bonne dose sur le gode. Elle approcha ensuite celui-ci de l’œillet palpitant de Karine et s’amusa à pointer le bout sur la rosette qui réagissait en s’ouvrant à chaque pression. D’un coup, elle l’enfonça de moitié dans son trou, ce qui provoqua un cri mélangeant surprise, douleur et bien-être de Karine.

    — Oh, oh, que c’est gros, je suis remplie, réussit-elle à gémir.


    Marie accentuait alors la pression sur le gode, pour l’enfoncer pratiquement en entier dans le fondement de la jeune femme. Elle se recula alors quelques instants pour observer la scène qu’elle avait devant elle, la maîtresse de maison, les bras attachés au-dessus de sa tête, les seins gonflés de plaisir, les cuisses largement écartées, son sexe offert, totalement ouvert qui ne cachait rien du plaisir qu’elle ressentait, et le bout du gode qui sortait de son cul complètement dilaté par le diamètre important de celui-ci. Elle ne put s’empêcher de glisser une main entre ses cuisses et d’effectuer une petite masturbation, plantant deux doigts dans sa chatte qu’elle fit aller et venir quelques instants.

    — Alors, madame la gouinasse, toujours ma patronne ? demanda-t-elle, une lueur perverse dans le regard.
    — Fais de moi ce que tu veux mais fais-moi jouir, gémit Karine.
    — Ce que je veux ? Bien ! cela ne fait que commencer !


    Et elle approcha le tabouret et se plaça entre ses cuisses telle une experte en médecine. S’assurant que le gode était bien en placé en le poussant encore un peu plus profond, elle s’attaqua alors au sexe de Karine. Deux doigts plantés en elle, elle les faisait venir dans le con trempé, bientôt accompagné d’un troisième. Elle la branlait ainsi quelques instants avant de les sortir d’un coup, provoquant un soupir de frustration de Karine. Marie se leva et alla lui donner ses trois doigts à sucer, ce qu’elle s’empressa de faire.

    — Mouille-les bien, tu vas en avoir besoin, lui souffla simplement Marie.


    Elle retourna entre ses cuisses et ce sont 4 doigts, bien serrés les uns contre les autres, qui ont investi l’âtre chaud et mouillé de Karine. Le pouce s’appliquant alors à exciter son clitoris, Marie commença à les faire aller et venir en elle, surveillant aussi la montée du plaisir de celle-ci, ne voulant pas la faire venir avant la fin de son expérience. Car son but final arrivait, en effet, elle sortit ses doigts, vint placer son pouce entre eux et pointant l’ensemble entre les lèvres dilatées de Karine, elle appuya lentement tout en faisant pivoter sa main. Bien vite, la petite mimime de Marie fut entièrement absorbée par le sexe béant de Karine, ne laissant maintenant apparaître que la moitié de son avant bras. Karine soufflait, gémissait, râlait mais subissait cette double pénétration inhabituelle avec autant d’étonnements que de plaisir. Elle se sentait complètement emplie et la chaleur du bras de Marie, sa douceur, sa moiteur rendait la situation de plus en plus excitante. Marie, qui lui avait laissé le temps de s’habituer à cette pénétration, commença alors à remuer doucement sa main, la faisant pivoter ou écartant légèrement les doigts. Elle-même surprise de l’avoir ainsi prise, elle sentait maintenant parfaitement les parois de son vagin, butant au fond de celui-ci, se doutant alors qu’elle ne devait pas être loin de l’utérus de sa partenaire.

    Cette sensation, nouvelle pour elle également, l’excitait de plus en plus, surtout qu’elle sentait aussi, contre la fine paroi séparant son sexe et son cul, le cylindre qui déformait le conduit anal, et elle pensa alors que l’on ne pouvait pas être plus "pleine" que ne l’était son cobaye. Saisissant alors le gode anal, elle se mit à branler les deux orifices simultanément, laissant alors Karine monter d’un cran sur l’échelle de la jouissance, remplaçant ses gémissements par de véritables hurlements de plaisir, jusqu’à ce que la jouissance ne vienne la prendre et lui faire perdre connaissance. Marie qui, sans même se toucher, venait d’avoir un nouvel orgasme, continua quelque instant à branler Karine avant de se rendre compte de l’état inanimé dans lequel elle se trouvait. D’un seul coup affolée, elle se retira assez brusquement de l’orifice vaginal, ce qui provoqua un dernier soubresaut de Karine, qui eut comme effet de faire sortir naturellement le godemiché de son anus. La main trempée, Marie, toujours aussi inquiète, son premier réflexe fut de la poser directement son oreille sur le cœur de sa partenaire pour vérifier s’il battait toujours et le rythme élevé de celui-ci la rassura quelque peu. Elle se pencha alors au-dessus de sa bouche pour vérifier si sa respiration était normale et elle fut alors surprise de la voir ouvrir les yeux, et lui offrir le plus beau des sourires.

    — Je n’ai jamais autant joui, lui dit-elle doucement. Jamais je n’avais ressenti autant de plaisir, ajouta-t-elle avant de lui dire doucement dans un souffle de bien être : je t’aime.


    Ce dernier mot fit frémir Marie, qui dans un élan de désir, ne put que déposer ses lèvres sur les siennes et y déposer un baiser léger qui bien vite dégénéra dans un mélange fougueux de leurs deux langues. Elle détacha doucement ses poignets, frottant au passage sa douce poitrine contre le visage de sa victime, elle l’embrassa à nouveau avant de la prendre par la main. Elle l’a fait lever, et prenant ensuite sa place sur la table d’examen, elle lui dit:

    — Viens me lécher, me doigter, me faire jouir.


    Les jambes écartées par les étriers, elle lui offrait maintenant sa chatte nue sur laquelle Karine ne tarda pas à s’employer. Avec sa langue, avec ses doigts, alternant entre son sexe et son anus, Karine se démenait à rendre Marie heureuse. En rythmant ses caresses sur l’intensité de ses gémissements, elle se démenait si bien que l’orgasme prit Marie, foudroyant, violent, exténuant. Karine, fière d’elle, remonta doucement le long du corps de Marie pour venir partager les sécrétions de plaisir de cette dernière dans un baiser plein de passion. Allongée sur Marie, elle continuait à lui caresser les flancs tout en partageant ce bonheur d’avoir pris autant de plaisir. Marie l’a repoussa alors doucement, l’amenant à retourner entre ses cuisses et, appuyée sur ses coudes, elle regardait la jeune femme embrasser une nouvelle fois son sexe rougi par le bonheur. Elle passa sa main gauche derrière la nuque de Karine, l’attira complètement sur sa chatte et la tenant bien en place lui dit:

    — Bois-moi !


    Et elle se laissa aller dans la bouche de la jeune femme, l’emplissant de son liquide doré. La bouche bientôt pleine d’urine qu’elle ne pouvait plus déglutir, le liquide chaud coulait maintenant sur son corps, sur ses seins, pour venir glisser le long de son sexe avant de s’égoutter sur le sol. C’était la première fois que Karine recevait cette offrande, et s’apercevant alors que les rôles étaient désormais inversés, elle ne put que se rendre compte qu’elle venait alors de se soumettre aux bons plaisirs de sa bonne et que leurs relations en seraient maintenant totalement changées. Marie, une fois sa vessie complètement vidée, s’assit alors sur le bord de la table, regarda ensuite Karine d’un air amusé et, la prenant par le menton, lui dit simplement:

    — Maintenant tu m’appartiens, tu es à moi, pour mon plaisir.


    Karine se releva, le regard plein d’amour envers sa nouvelle maîtresse et voulu la prendre dans ses bras pour l’embrasser. Marie se dégagea brutalement, se leva et lui dit simplement

    — Je n’en ai plus envie maintenant, je te ferais signe lorsque j’aurais besoin de toi. Par contre, tu as plutôt intérêt à tout nettoyer avant que ton gros porc de mari ne rentre, il serait capable de m’engueuler, ce con !


    Et elle quitta le bureau, fière de son effet et surtout décidée à mettre ses nouveaux talents en œuvre pour avilir sa dernière victime, le docteur L.


    *********** EPILOGUE *************


    Lorsque le téléphone sonna en cet après-midi ensoleillé, Marie était seule et c’est elle qui reçut la nouvelle du décès du Docteur L. La gendarmerie prévenait la famille de l’accident d’hélicoptère qui mit fin aux jours du Docteur et de ses deux collègues Bernard et Gérard et que le seul survivant était le chien Victor. La seule réaction de Marie à cette triste nouvelle fut de penser à sa place qui, faute de payeur, pouvait être menacée. Après avoir annoncé cette fin tragique aux membres de la famille, et procédé aux obsèques de monsieur, la vie s’en trouvait quelque peu bouleversée sous le toit de la demeure familiale. Quinze jours plus tard, Marie fut étonnée de recevoir une convocation chez le notaire en même temps que Karine, Mélodie et Julien. Habillée pour la circonstance, ces quatre personnes se retrouvaient devant un vieux monsieur qui ne pouvait s’empêcher de lorgner sous les jupes toutes aussi courtes que fendues des trois jeunes femmes assises devant lui, ressenti même un début d’érection en apercevant les jarretelles de chacune. Après lecture de tout un tas de boniments qui laissèrent insensible l’assistance, il arriva au paragraphe mentionnant le legs de sa fortune. Marie, légèrement en retrait, écoutait d’une oreille distraite, occupée à regarder le clerc. En effet, une jeune et jolie femme assistait ce vieux notaire, et elle se demandait si elle lui faisait profiter de ses charmes qui, pour elle, ne la laissaient pas insensible. Ainsi, lorsqu’elle entendit son prénom annoncé par le notaire, lorsqu’elle vit les trois membres de la famille se retourner sur elle, elle ne put que dire:

    — Pardon ?


    Et le notaire de répéter :

    — Je soussigné, Docteur L désigne par ce testament léguer toute ma fortune personnelle, mes biens, mes voitures, ma maison à une jeune femme exemplaire et qui mérite ses égards… Marie !


    Et elle s’évanouit, tombant de sa chaise pour venir s’affaler aux pieds du clerc.

    Lorsqu’elle ouvrit les yeux, il vit les trois visages souriants de Karine, Mélodie et Julien, qui, visiblement heureux qu’elle reprendre connaissance, ne lui en voulait absolument pas de ce legs puisqu’ils étaient dorénavant sous l’emprise de leur maîtresse. Elle regarda alors au-dessus d’elle pour avoir une vue directe sous la jupe du clerc, apercevoir les bas gris fixés à un porte-jarretelles blanc et surtout, une petite chatte totalement épilée qu’aucune culotte ne venait recouvrir.

    La vie de Marie se trouvait maintenant complètement transformée. Allongée sur le transat au bord de la piscine, une jeune femme accroupie entre ses cuisses occupée à écarter son string et planter sa langue dans son sexe rose, Marie passait divers coups de téléphone. Âpres avoir débauchée le clerc pour lui offrir un poste de secrétariat doublé d’une position d’amante, accroupie entre ses cuisses, elle menait maintenant ses affaires de mains de maître. Une société de production de films pornographiques dont la vedette principale était la jolie Mélodie, un service lucratif de téléphone rose mené de main de maître par Karine et enfin un service Internet escorte-boys dont la vedette était tenue par Julien, qui, après opérations, était devenu la transsexuelle la plus recherchée de la région.

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Julie est une jeune fille, elle est très brune, la peau halée et une poitrine déjà généreuse. Elle est très mignonne. Elle est en seconde et elle prend le bus tous les matins pour se rendre au lycée. Elle prend la ligne 8 et se met souvent au fond, elle y est tranquille pour y faire les 40 minutes de trajet.
Un matin comme les autres, elle s'est habillée en jupe et en tee-shirt et elle prend normalement son bus. Pendant le trajet, elle est tranquillement dans ses songes, quand elle sent une main lui toucher les fesses. Elle n'ose rien faire et espère de tout cœur que c'est juste un geste malencontreux. Elle sent alors quelqu'un, visiblement un homme vu la carrure se coller à elle, elle n'ose pas broncher. La main du pervers lui agrippe alors fermement un sein et commence à le malaxer. Elle se retourne et se prépare à crier lorsqu'elle reconnaît le CPE du lycée, son sang se glace et aucun son ne sort de sa bouche.
Le CPE, monsieur Bertrand est un homme d'une cinquantaine d'années, les cheveux grisonnants et un peu enrobé. "Bonjour Julie" lui dit-il en continuant à lui tripoter les nibards. Elle bredouille un léger bonjour.
Il descend maintenant ses mains et remonte sa jupe, il passe sa main droite sous sa petite culotte et lui caresse la chatte. Julie est gênée et voudrait que ça s'arrête mais elle n'ose rien dire. Elle est dans état second et reprend ses esprits choquée en voyant la bite de son CPE en train de se frotter contre sa petite culotte. Monsieur Bertrand prend sa main, la pose sur sa bite en début d'érection et lui montre le mouvement pour le branler, Julie continue machinalement. Après une minute de ce traitement, le CPE bande comme un âne et sa bite fait maintenant 18cm de long. Il appuie sur l'épaule de Julie, elle comprend qu'elle doit s'accroupir, les choses allant beaucoup trop vite, elle ne réfléchit pas et obéit. Il lui colle ensuite son sexe turgescent sur la bouche, elle ne l'ouvre pas.
"Julie, sois une gentille fille, ouvre la bouche, tu ne veux pas que je m'énerve?"
La pauvre jeune fille prend peur et ouvre la bouche, il y engouffre son sexe.
"C'est très bien, tu es une brave fille."
Il commence les allers-retours, en allant un peu plus profondément à chaque fois. Il continue comme ça tout en lui parlant.
"Tu as un petit copain?"
Elle fait oui de la tête.
"Tu l'as déjà sucé?"
Elle fait non.
"Pourtant tu suces comme une reine Julie, tu devrais en faire profiter ton petit copain."
Elle ne répond pas, elle tourne quelques temps les yeux et remarque que de nombreuses personnes dans le bus ont les yeux fixés sur elle. Elle panique et essaie de reculer sa tête, le CPE lui agrippe fermement avec ses mains et lui enfonce sa bite au fond de la gorge, il reste comme ça.
"Julie, qu'est ce que tu essaies de faire? Je te conseille vivement de finir ce que tu as commencé si tu ne veux pas mourir étouffée par ma queue!"
Le CPE lit la panique dans son regard, il sourit et retire sa bite pour recommencer le va-et-vient.
"Au fait Julie, tu as déjà goûté du sperme?"
Elle fait non de la tête avec horreur.
"Ça te tenterait de goûter le mien ?"
Elle refait le même geste avec encore plus d'effroi.
"Tu as raison, visiblement, tu es une fille sage et tu ne veux pas avaler au premier rendez-vous, on attendra que tu me connaisses mieux."
Il sort sa bite de la bouche de la jeune fille mais lui maintient la tête en place d'une main. Il décharge alors sur son visage et un peu dans ses cheveux, changeant à chaque fois la direction des jets pour qu'elle en ait partout. Pour finir, il se frotte la bite sur le tee-shirt de son élève pour enlever le sperme restant.
Julie fait un rapide tour d'horizon du bus et remarque que tous les occupants sourient ou rigolent en la regardant. Les larmes lui montent aux yeux mais elle parvient à ne pas pleurer. Elle sort un mouchoir de son sac, monsieur Bertrand lui arrache des mains.
"Julie, ma petite Julie, qu'allais-tu faire? C'est toi qui a voulu ça, tu n'as pas voulu avaler, je respecte ça, mais maintenant, tu assumes."
Il l'aide à se relever, lui met son sac sur l'épaule et l'amène vers la porte du bus. Il lui dit en souriant:
"On arrive au lycée, tu as l'air prête pour une bonne journée."
Il fronce alors les sourcils et dit d'un ton plus grave.
"C'est qui ton petit copain ?"
Julie hésite et répond :
"C'est... Alexandre... Gautier."
"Très bien, maintenant, tu vas me suivre dans mon bureau."
Le bureau du CPE est à l'autre bout du lycée, Julie, baisse la tête le plus possible pour éviter les regards, surtout ceux des personnes qu'elle connait et des profs. Il commencent tous deux à traverser le lycée, ils arrivent à quelques mètres d'Alexandre (son petit copain) et monsieur Bertrand s'exclame:
"Mademoiselle Jouannot, votre conduite est inadmissible. Faire des tels actes dégradants au sein de l'établissement et oser vous balader avec ÇA sur le visage, ça ne vas pas se passer comme ça, croyez-moi! Suivez-moi dans mon bureau."
Julie n'ose pas regarder Alexandre mais imagine très bien ce qu'il doit penser, elle est anéantie. Elle suit le CPE jusqu'à son bureau. Ils s'y enferment tous deux. Monsieur Bertrand sort alors un appareil photo et prend quelques clichés du visage de la jeune fille souillée par son sperme qui est maintenant presque sec.
"Tu vas devoir être très gentille maintenant Julie car je ne suis pas certains que le directeur et tes parents apprécieront ces photos, elles prouvent que tu es une petite suceuse. Mais ne t'en fais pas, je vais les garder précieusement, si tu te comportes bien et si tu m'obéis à la lettre, personne ne verra jamais ces photos. Maintenant, passes aux toilettes pour te laver le visage, on dirait une pute. Tu reviendras me voir à la récréation. Au fait, n'enlèves pas la tâche sur ton tee-shirt, on croirait un pin's, j'aime bien."
Il éclate de rire et Julie sort, rouge de honte. Elle fonce aux cabinets pour se nettoyer le visage, elle va ensuite en cours, la plupart des élèves la regardent bizarrement, visiblement, ce qui s'est passé ce matin a déjà fait le tour du lycée et la tâche sur son tee-shirt ne fait qu'accentuer les ragots. Elle essaie de suivre les cours tant bien que mal, malgré la honte.
Arrive l'heure de la récréation, elle sait qu'elle n'a pas le choix et se dirige vers le bureau du CPE. Le temps de s'y rendre, elle remarque bien tous les regards posés sur elle et entend quelques vannes à son sujet, elle accélère le pas. Elle frappe à la porte et le CPE lui dit d'entrer, elle remarque avec étonnement qu'il y a un autre homme qu'elle ne connaît pas qui est en train de parler avec monsieur Bertrand, ce dernier lui dit:
"Julie, tu connais peut-être monsieur Vatier, c'est le père de Nicolas qui est dans ta classe je crois, il est le président le l'association des parents d'élèves."
"Bonjour... monsieur" dit Julie timidement.
"Bonjour, viens ici s'il te plaît."
Elle approche doucement et se place devant l'inconnu.
"C'est quoi cette tâche? Il te faudrait un bavoir petite cochonne. Je ne peux pas te laisser comme ça, tu vas t'entraîner un peu. Mets toi à genoux!"
Julie se retourne pour implorer monsieur Bertrand.
"Tu as entendu ce qu'on t'a dit, tu veux que j'envoie les photos à ton père?"
Elle se retourne et se met à genoux. Elle entend monsieur Bertrand se lever, aller chercher quelques chose dans un placard et ensuite retourner à son bureau. Monsieur Vatier sort alors sa queue de son pantalon, elle est à peu prêt aussi longue que celle du CPE mais est beaucoup plus épaisse. Il claque les joues de Julie avec sa queue à plusieurs reprises et lui enfourne ensuite dans la bouche. Il lui maintient la tête pour lui imposer son rythme et commence à lui baiser la bouche. Les deux hommes l'ignorent et se remettent à parler du lycée tout en abusant d'elle. Au bout de 5 bonnes minutes, monsieur Vatier regarde Julie et lui demande:
"Alors, tu vas avaler cette fois-ci?"
Julie hésite et fait oui de la tête avec abnégation, elle ne veut pas retourner en cours avec du sperme sur la gueule.
"C'est bien, tu es docile, j'aime ça. Je vais maintenant éjaculer dans ta bouche, tu vas tout garder dedans et te retourner la bouche grande ouverte pour bien montrer mon jus à monsieur Bertrand, après seulement, tu l'avaleras."
Au moment ou monsieur Vatier finit sa phrase, elle sent des saccades de liquide chaud taper le fond de son palais et se déposer sur sa langue, elle reste ainsi sans bouger jusqu'à ce que son agresseur se retire. Elle se retourne alors, la bouche pleine de sperme et grande ouverte. Julie se retrouve alors nez-à-nez avec une caméra, monsieur Bertrand a visiblement filmé toute la scène, elle se sent trahie, ne sait plus quoi faire lorsqu'elle entend:
"Avales maintenant!"
Elle obéit machinalement et avale le jus devant la caméra.
"C'est très bien Julie, je suis fier de toi, tu es une grande fille. Maintenant, donnes-moi ta petite culotte s'il te plait." lui ordonne monsieur Bertrand.
"Comment, mais je ne.."
"Tu as très bien compris, tu me la donnes ou tu préfère que je mette mon nouveau petit film au programme d'éducation sexuelle cette année?"
Elle enlève lentement sa culotte et la tend au CPE, il lui tend une enveloppe en échange et dit:
"Tu donneras ça au professeur et tu n'as pas intérêt à l'ouvrir, je le saurais. Maintenant dégages!"
Elle sort et se dirige vers le cours de sport. Elle arrive dans le gymnase et va vers le prof pour lui tendre l'enveloppe, il l'ouvre, la lit, esquisse un sourire et dit:
"On va faire des étirements pour commencer, pas la peine de vous changer tout de suite. Mettez vous en cercle autour de moi."
Les élèves forment maintenant un cercle autour du prof. Il regarde Julie et dit:
"Julie, viens avec moi, tu vas m'aider pour les démonstrations."
Elle s'approche de lui, elle craint le pire. Le professeur de sport se penche alors complètement pour toucher ses pieds avec ses mains, il dit aux élèves de faire de même, ainsi, les camarades de Julie situés derrière elle pouvaient profiter du spectacle et mater sa chatte et son cul. Ensuite le prof s'assied par terre et appuie sur ses genoux, ce qui écarte ses jambes au maximum, il demande de nouveau aux élèves de faire de même. Ils s'exécutent et c'est maintenant ceux de devant qui peuvent voir la chatte de Julie. Les étirement durent ainsi 20 bonnes minutes et le professeur multiplie les positions pour être sûr que toute la classe a bien vu que Julie ne portait pas de culotte.
"Maintenant, vous allez faire de la gym, il faut que je m'entretienne avec Julie, si vous avez besoin, je serai dans mon bureau."
Julie le suit à son bureau, elle s'apprête à fermer la porte, il lui fait signe que non et dit qu'il doit surveiller un minimum les élèves.
"On m'a dit que tu t'étais entraîné à une nouvelle discipline ce matin, tu veux bien me montrer?"
Elle ne bouge pas et ne sait pas quoi faire.
"Julie, je vais déjeuner avec monsieur Bertrand tout à l'heure, tu es sûre que tu ne veux pas me montrer tes nouveaux talents?"
Elle s'approche résignée et s'accroupit devant lui, il pue la sueur mais elle n'a pas le choix. Elle baisse son jogging pour sortir sa bite, elle est encore molle. Julie prend la bite dans sa bouche et commence à la sucer doucement. Après 2 minutes, la bite du prof de sport est en érection et remplit totalement sa petite bouche, la fellation continue.
Soudain un des gars de la classe arrive en gueulant:
"Eh msieur, on en a marre de la!"
Il stoppe net en voyant la scène.
"C'est pas possible Jérôme, tu pourrais frapper! Qu'est ce que tu veux?" lui répond le prof comme si tout était normal.
Jérôme a du mal à s'empêcher de rire en voyant ça, il est halluciné et arrive à dire:
"Msieur... on en a... marre de faire... de la gym... c'est un truc... de gonzesses."
"Très bien, faites du foot. Maintenant, laisse nous, comme tu le vois, on est pas mal occupé."
Julie est toute rouge, faire des choses si répugnantes et devant un gars de sa classe. Elle continue quand-même car elle n'a pas le choix. Cependant, son calvaire est loin d'être fini, Jérôme a visiblement raconté à tous ce qu'il a vu, si bien que les élèves viennent toutes les 20 secondes pour poser des questions bidons au prof, ils oublient à chaque fois de frapper avant d'entrer. En 5 minutes, la moitié de la classe est venue voir, le prof leur demande de fermer la porte et de se débrouiller seuls au bout d'un moment.
"Julie, tu avales ou pas?"
Elle fait oui de la tête.
"C'est très bien ça, tu sais comment faire plaisir aux mecs."
En disant ça, il enfonce sa bite au maximum, elle a le nez contre ses poils pubiens, il lui envoie son foutre directement dans l'œsophage. Il ressort sa queue et essuie la goûte de jus qui reste sur le gland sur le coin des lèvres de Julie, elle a maintenant une goûte de sperme au coin des lèvres.
"Ne l'enlèves surtout pas!"
Elle n'a pas le choix et ne cherche pas à l'enlever.
"Maintenant, vas faire un peu de sport avec le reste de la classe."
"Mais, ils vont...."
"Vas-y j'ai dit!"
Elle sort doucement de la pièce et se dirige vers sa classe. Les vannes fusent, ils l'appellent la suceuse, même les filles et ses copines s'éloignent d'elles. Le cours se finit ainsi, elle est maintenant totalement à l'écart de la classe et a une réputation de salope. En une demi-journée, sa vie semble gâchée.
Le midi, elle s'assied avec son groupe d'amis habituels et son petit copain mais ces derniers la refoulent et la traitent de salope, elle est obligée de manger seule.

    Durant ces trois semaines, il n'y a pas eu un seul jour où elle n'a pas été obligée de sucer monsieur Bertrand, le CPE pervers de son lycée. Elle s'est quelque peu habituée à ce rôle, si on peut nommer ainsi le fait qu'elle ne combat plus, elle a en quelques sortes compris où était sa place. Julie s'inquiète de plus en plus des allusions répétées du CPE à sa virginité qu'il semble bien décidé à lui prendre mais il attend visiblement le moment propice.
    Au niveau social, Julie est maintenant toujours seule, ses amis habituels la refoulent totalement, comme tout le lycée, ils la traitent de salope. Son petit copain l'a larguée et ses notes ont chuté, atteignant un niveau que l'on pourrait qualifier d'inquiétant.


    Comme tous les midis maintenant, elle est obligée de manger seule. A la fin de son repas, monsieur Bertrand vient la voir et lui fait signe de le suivre à son bureau.
    "C'est bien Julie, passes sous mon bureau, tu sais quoi faire."
    Monsieur Bertrand recule sa chaise pour laisser Julie s'accroupir et prendre place sous son bureau. Il l'avance de nouveau ensuite, elle ouvre sa braguette et commence à le sucer. Personne ne peut voir ce qui se passe sous le bureau.
    On frappe alors à la porte, monsieur Bertrand dit d'entrer, elle entend un homme dire bonjour et reconnaît la voix de son père. Elle arrête de sucer la bite du CPE et recule le plus possible, de peur d'être vue. Le CPE avait prévu cette réaction, il sort une feuille de sa poche et la pose sur sa cuisse, on peut lire dessus :
    "Suces salope ou je me lève et je dis à ton père de venir voir !"
    Elle est terrifiée et reprend la bite en bouche.
    "Bonjour monsieur Jouannot. J'ai remarqué un certains relâchement chez Julie depuis quelques temps, j'espère qu'il n'y a rien de grave."
    "Ah bon, c'est vrai qu'elle a l'air d'avoir des ennuis mais elle ne veut rien dire, que pouvons-nous faire?"
    "Comme vous le savez, dans deux mois débutent les vacances scolaires et comme chaque année avec quelques autres professeur nous organisons une semaine d'activités pour renouer le contact avec certains élèves difficiles. Votre fille ne fait pas partie de cette catégorie d'élèves mais je pense que ce petit stage lui ferait du bien. Comme l'internat est vide durant les vacances, Julie pourra dormir au lycée, étant donné que l'emploi du temps n'est pas figé, on préfère que les élèves participant au stage dorment ici."
    "Si ça peut l'aider à surmonter ces problèmes, ça me parait être une bonne idée. Mais je dois en parler avec ma femme avant de décider, ça me parait donc difficile de prendre la décision aujourd'hui.”
    “Tenez, voici mon numéro de téléphone direct et mon mobile, appelez-moi dès que vous avez pris une décision, ce serait dommage que Julie manque ce stage.”
    “Merci beaucoup, je ne manquerai pas de vous contacter, à priori, je pense qu'elle fera ce stage, on est très inquiet à son sujet et je serai rassuré de la savoir avec vous."
    "De rien, ce n'est que mon travail de veiller au bien-être des élèves. D'autant plus que j'ai remarqué que Julie avait un énorme potentiel dans bien des domaines. je travaille beaucoup à faire ressortir les qualités, parfois cachées, de mes élèves."
    Ils se saluent et le père de Julie sort du bureau.
    "Tu as vu petite salope, tu vas surement venir passer tes vacances avec nous, t'es contente ?"
    En disant cela, il enfonce sa bite au fond de la gorge de la jeune fille qui ne peut rien répondre.
    "Je me doutais bien que ça te ferait plaisir."
    Il commence à éjaculer au fond de sa gorge en finissant sa phrase. Il sort Julie de sous le bureau.
    "Attends 2 minutes, je vais t'aider à te faire belle pour retourner en cours."
    Il sort alors une coupelle couverte qui contient une substance visqueuse, le connaissant, ça ne peut être que du sperme. Il s'approche et dit en riant:
    "C'est un cadeau du corps enseignant Julie, ils l'ont fait en pensant à toi."
    Lèves la tête maintenant, elle obéit. Il plonge alors deux doigts dans le liquide, y colle une bonne dose de semence masculine et vient la déposer au coin de sa bouche.
    Il se penche maintenant devant elle, lève sa jupe et verse le reste du sperme sur sa chatte, le liquide visqueux commence doucement à descendre le long de ses jambes.
    "Tu es prête, tu vas pouvoir aller en cours, ça va de soi qu'il ne faut pas que tu t'essuies !"
    Elle est prête à pleurer et a envie de s'enfuir ou de refuser de se balader comme ça mais elle sait bien qu'elle n'a pas le choix.
    "Attends 2 secondes avant de partir, on va faire une photo souvenir pour notre petit album."
    Il la prend en photos à plusieurs reprise, zoomant bien sur son visage et ses jambes.
    "C'est bon, tu peux y aller."
    La sonnerie de la récré vient de sonner, Julie ne sait pas où aller pour ne pas être trop remarquée. Elle décide d'aller directement dans la salle où elle va avoir cours, il y aura sûrement quelques élèves de sa classe mais au moins, comme ça, tout le lycée ne la verra pas. Elle arrive dans la classe et voit avec stupeur que tout le monde est déjà là. Des remarques fusent de toutes parts su style: "Tiens vla la salope", "Julie, t'en as encore sur le coin de la lèvre", "Vu la dose, tous les profs s'y sont mis!"... Tous les élèves se marrent, Julie trouve une place au fond de la classe, à l'écart et s'y assied.
    Le prof de bio arrive lui aussi en avance, il se dirige à son bureau et commence à écrire au tableau le sujet et le plan du cours, comme il le fait à chaque fois:

    Éducation Sexuelle
    1 – Les pratiques à risques
    a) Les pratiques à proscrire lors des rapports buccaux-génitaux

    La sonnerie retentit indiquant la reprise des cours, tous les élèves cessent de bavarder, s'assoient. Le prof prend la parole:
    “Vous pouvez voir le sujet du cours d'aujourd'hui, quelqu'un a une question avant que nous commençons?”
    Personne ne répond, le professeur reprend donc la parole:
    “Nous allons donc en apprendre un peu plus sur les rapports buccaux-génitaux, à savoir la fellation ou le cunnilingus, vous connaissez tous ces pratiques je suppose. Il est tard et comme c'est une sujet sensible et que je m'inquiète beaucoup pour la santé de mes chers élèves, je vais changer un peu la teneur du cours pour être sûr que vous reteniez les principes importants et que ce soit un peu plus divertissant. J'ai donc mis au point une nouvelle méthode pédagogique, basée plus sur la pratique que sur la théorie. Mais bon, les actes valent mieux que les longs discours, donc commençons.”
    Il appelle Julie à son bureau, elle lui dit qu'elle n'est pas en forme et qu'elle préfèrerait qu'il appelle un autre élève. Son regard se noircit, il réitère sa demande avec autorité et l'élève s'exécute donc et le rejoint à son bureau, devant toute la classe. Elle sent le sperme couler le long de sa jambe à chaque pas, c'est humiliant.
    Le prof de bio se tourne vers la classe et dit:
    “Comme je vous l'ai dit il y a deux minutes, je vais vous montrer ce qu'il ne faut pas faire lors de vos rapports buccaux-génitaux, je vais imager mon cours en prenant pour exemple une fellation. Je compte sur vous pour faire exactement le contraire de ce que je vais vous montrer lors de vos prochaines séances de `sexe oral`.”
    Il se tourne vers Julie et lui dit de se mettre à genoux. Elle n'a malheureusement une idée précise de ce qui est en train de se passer, usée mentalement, elle n'a pas la force de lutter et obéit, il s'approche et baisse son pantalon et son caleçon, ce qui laisse sortir son gros sexe en début d'érection, il le lui colle à la bouche. N'ayant plus aucune fierté, elle l'avale et commence à le sucer. Il dit alors à la classe:
    "Normalement, j'aurais dû mettre un préservatif, car en cas de micro-coupures, ma partenaire ou moi, pouvons attraper des MST. Mais il y a deux exceptions, lorsque vous êtes avec une pute au rabais ou lorsque votre petite copine est une vraie salope ou `garage à bites` comme vous dites vous les jeunes. Nous en avons d'ailleurs un beau spécimen ici, comme vous pouvez le remarquer, elle aime le goût de la bite, ce serait dommage de l'en priver."
    Il prend alors sa tête entre ses mains et force son sexe profondément dans sa gorge. Il commence de rapides en ressortant sa queue au minimum.
    "Il ne faut pas faire ça normalement, le `deepthroat` peut abîmer la gorge de votre partenaire voir la faire vomir, mais avec une petite chienne expérimentée, ça ne pose pas de problème."
    Il sort sa bite, dure comme un roc et gifle Julie avec à plusieurs reprises en commentant:
    “Cette pratique étant humiliante pour votre partenaire, elle est encore une fois à proscrire, sauf si la suceuse en question est une garce sans fierté.”
    Il remet sa bite dans sa bouche et reprend ses allers-retours. Après 5 bonnes minutes, il commence à gémir, il sort une partie de sa grosse bite de sa bouche, ne laissant que son gland à l'intérieur. Elle sent alors sa chaude liqueur arriver sur sa langue.
    "Normalement, on se retire pour ne pas éjaculer dans la bouche de sa partenaire. Il y un risque et le goût peut lui déplaire, mais là encore, ça ne gène pas si on s'est trouvé une chiennasse qui aime vider des couilles."
    Il sort sa bite de sa bouche et dit à la classe:
    "S'il y en a parmi vous qui n'ont jamais vu de sperme de près, vous pouvez approcher et regarder dans la bouche de notre petite salope de camarade comment c'est, dépêchez vous, elle ne va pas pouvoir se retenir longtemps de l'avaler."
    Trois filles et tous le gars se lèvent pour venir voir la bouche de Julie remplie de sperme. Au bout de 20 secondes, le professeur lui ordonne d'avaler, elle obéit sans discuter.

    Puis elle retourne ensuite à sa place, elle est totalement dans ses songes lors des dernières heures de cours de la journée, ça la protège en quelques sortes des chuchotement moqueurs des autres élèves.
    Comment va-t-elle tenir l'année? Maintenant, toute la classe participe à son calvaire! 
    Aucune suite ne venant, et pour cause l'auteur du premier volet demeure inconnu, je m'y suis collé et vous propose cette suite aux aventures de notre petite cochonne préférée ...


    Julie est mortifiée lorsqu’elle rentre à la maison. Pendant tout le repas, elle ne dit mot, pensant déjà à la journée du lendemain. La voyant si triste, son père lui dit qu'il a été convoqué par le CPE et que celui-ci propose qu'elle parte une semaine en camps aéré. Julie refuse en pleurnichant, arguant qu’elle veut rester avec sa famille, notamment le plus grand de ses trois frères, qu’elle ne voit presque plus depuis qu’il a quitté la maison pour aller étudier à Paris.

    Mais le père de Julie, soutenu par sa mère insistent: « Il faut t’ouvrir aux autres ma puce, partager des moments avec tes camarades, t’émanciper de la famille. C’est important à ton âge, tu as seize ans désormais. Ta maman et moi avons chacun participé à ce genre de camps, nous en avons gardé de merveilleux souvenirs. Nous ne t’avons pas inscrite pour rien dans ce lycée privé, il faut profiter des activités qu’ils offrent. Je vais appeler ton directeur pour lui confirmer ta participation ». Résignée, sans voix, ne pouvant rien dire, Julie laisse son père se lever et appeler le CPE. Celui-ci ne répondant pas, il lui laisse un message.

    Lorsque Julie arrive à l’école, elle n’a que le temps d’entrer dans la classe avant d’entendre la voix du CPE dans les haut-parleurs: « Julie Jouannot est priée de se rendre immédiatement dans le bureau de la direction ». Elle sort sous les railleries de ses camarades: « Tu vas prendre ton pet-déj! », « Mmmm, une bonne grosse saucisse à la crème ». Le prof de français qu’elle croise au moment où elle franchit la porte ne peut s’empêcher de sourire et de rajouter « Bon appétit! ».

    Lorsqu’elle entre dans le bureau, le CPE n’est pas seul, le prof de biologie et le prof de gym sont là. « Entre Julie. Ton père m’a laissé un message pour me dire que tu viendrais avec nous cet été, quelle bonne décision. Les deux professeurs qui vont encadrer ce camp sont ravis, n’est-ce pas messieurs? Je vais le rappeler de suite. Viens sous le bureau pour me sucer pendant ce temps. »

    Julie s’exécute après un instant d’hésitation, sans jeter le moindre regard aux trois hommes: elle s’agenouille, sort la queue du CPE de son pantalon et se met à le sucer.

    « Bonjour M. Jouannot, j’ai eu votre message, c’est une excellente et sage décision. Je suis sûr que ce stage va permettre à Julie de s’ouvrir … Oui, absolument, c’est cela … Oui … Oui, elle est dans mon bureau, elle ne dit pas grand chose comme de nature, mais elle semble ravie ». Pendant ce temps, Julie continue à sucer à contrecoeur la grosse queue du CPE, qui lui maintient fermement la tête.

    « A propos M. Jouannot, nous avons demain samedi une journée d’information sur différentes activités que nous souhaitons promouvoir dans le cadre du lycée. Les meilleurs élèves et leurs parents sont conviés. Il serait bien que Julie et vous-même y participiez, afin de construire un cursus intéressant durant les trois années qu’elle va passer parmi nous … Oui … Tout à fait … Demain matin, 9h au lycée … Parfait. Au revoir M. Jouannot, à demain ».

    « Et bien voilà qui est fait, nous allons ainsi avoir le temps pour compléter ton éducation. D’ailleurs, il faut commencer tout de suite et retourner en classe » dit le CPE en retirant sa queue sans avoir craché son sperme. Julie se lève, remet un peu ses habits en place … « Arrêtes-toi! Dorénavant je veux que tu ne portes aucun sous-vêtement lorsque tu viendras au lycée. Enlève-les !» Julie reste interdite, n’osant se déshabiller devant eux … « Veux-tu que je demande à ton père de t’aider? » demande le CPE d’un ton menaçant. Au bord des larmes, Julie commence timidement à déboutonner le chemiser blanc de son uniforme. Le CPE allume la webcam et la braque sur Julie. Celle-ci tente maintenant de dégrafer son soutif sans enlever son chemisier … « Pas de ça! Tu te déshabilles, complètement! Pas de triche, sinon …! ».

    Julie est résignée. Elle enlève son chemisier, sa jupe marine puis, après une hésitation, ses sous-vêtements. Puis elle se rhabille rapidement sous les rires des trois hommes, qui s’emparent des vestiges intimes de sa tenue. Le prof de biologie ouvre la porte et l’accompagne en classe, suivi du CPE.

    Ses camarades l’accueille avec des insanités « Alors c’était bon?! ». Le CPE intervient: « Silence! Julie n’a encore rien fait ce matin. Julie va t’asseoir ». Julie est inquiète, tant par les mots du CPE (que veut-il dire par « encore rien fait ce matin » …) que par sa présence inhabituelle.

    Le prof de biologie s’avance vers le tableau. « Il y a quinze jours nous avons parlé des rapports sexuels bucco-génitaux à risque. Cette semaine, nous allons nous intéresser aux rapports vaginaux. Julie, vu tes performances de la dernière fois, je pense que tu es la plus appropriée pour illustrer cette leçon ». Julie s’avance, la peur au ventre.

    « Ainsi que vous le savez déjà sans doute tous, l’être humain doit s’accoupler pour se reproduire, comme tous les mammifères. Pour cela, le mâle doit pénétrer le vagin de la femelle avec son pénis et déverser son sperme au fond de celui-ci pour permettre au spermatozoïde d’aller fertiliser une ovule. »
    - « Avez-vous déjà vu une chatte, pardon un vagin, de près? »
    - « Nooooooooooooon » hurlent les élèves.
    - « Julie viens ici, enlèves ta culotte, couches toi sur le dos sur le pupitre et écartes les jambes. »

    Julie se lève, mécaniquement. Arrivée devant le pupitre elle reste interdite.
    - « Enlève ta culotte je t’ai dit ».
    - « Je n’en ai pas …» répond Julie d’une voix presque inaudible.
    - « Tu n’as pas de culotte? Avec une jupe aussi courte?!» dit le prof à haute voix.
    - « Mais tu es vraiment une salope! En tout cas cela prouve que tu es toute désignée pour l’exercice! Couches-toi sur le dos maintenant.»

    Le prof rabat complètement sa jupe sur son ventre, lui écarte les jambes avant de passer ses doigts sur sa chatte. Julie tente de refermer ses cuisses, mais le prof a prévu le coup et les maintient fermement.
    - « Approchez-vous! »
    - Passant ses doigts sur la chatte de Julie il précise: « Vous voyez, il y a là à l’extérieur les grandes lèvres, puis à l’intérieur les petites lèvres, qui assurent l’étanchéité avec la queue du mâle lors du rapport ».
    - « Avant tout rapport, afin de ne pas blesser la femelle, il est important de la stimuler afin de la faire mouiller pour que la bite du mâle puisse coulisser sans brûler les chaires. Il y a pour ça plusieurs techniques: la première consiste à caresser les lèvres de haut en bas ». Julie est horrifiée, elle se tortille mais ne parvient pas fermer les jambes. Le prof de biologie commence à caresser Julie.
    - « La seconde consiste à stimuler le clitoris », joignant les actes à la parole. Julie n’ose rien dire, espérant que cela ne dure pas trop longtemps.
    - « Pour vérifier si le traitement est efficace, il suffit d’introduire un doigt dans la chatte ». Aussitôt le prof de biologie enfonce son majeur dans la chatte de Julie et ajoute: « Avec de bonnes salopes comme Julie, il ne faut pas longtemps pour la faire mouiller. Voyez comme elle est déjà luisante ». Julie est morte de honte … elle mouille alors qu’elle se fait pour ainsi dire violer devant une vingtaine de camarades …
    - « Enfin, si cela ne suffit pas, vous pouvez donner quelques coups de langues, l’effet est immédiat ». Julie sent alors une langue chaude remonter le long de sa chatte. Elle ne peut réprimer un petit soupire qui provoque l’hilarité générale. Julie aimerait pouvoir se cacher sous terre.

    « Une fois la femelle préparée, le mâle n’a plus qu’à la pénétrer ». Julie prend peur et crie « Noooooooon », vite interrompue par le prof: « Julie quand on mouille comme tu le fais, refuser de se faire baiser est vraiment ridicule ». « Monsieur le Proviseur, à vous l’honneur ».

    Julie tente de crier, mais le prof met sa main sur sa bouche. Le CPE s’approche, baisse son pantalon et sort sa queue déjà toute dressée. Il l’enfonce lentement mais profondément dans la chatte de Julie, qui essaie de se débattre, en vain. Il commence à faire des aller-retours de plus en plus puissants, qui finissent par arracher à Julie des gémissements qui se mêlent à ses sanglots.

    Le prof commente:
    - « Cette position, quand la femelle est sur le dos, s’appelle le missionnaire. Elle est très classique, mais elle apporte quand même beaucoup de plaisir ».
    - « Par contre, M. le Proviseur a commis une erreur. Laquelle? »
    - Les élèves, en cœur: « Il n’a pas mis de capote! »
    - « Absolument! Et c’est très dangereux pour lui, car avec un garage à bite comme celui-ci, qui peut savoir combien de mecs sont ou vont passer dessus. Mais c’est vrai que c’est tellement plus agréable. N’est-ce pas Julie »?
    - Alors que le CPE commence à haleter de plus en plus fort, le prof précise: « Au bruit, on peut savoir que le mâle va bientôt éjaculer dans le vagin de la femelle. Cela peut durer longtemps avant que cela ne se produise, mais ici comme la femelle est jeune, sa chatte est très serrée et il est difficile pour le male de se retenir longtemps. » Soudain, le CPE pousse un lourd cri et éjacule dans la chatte de Julie, qui crie « nonnnnnnnnnnnnnnnn ».
    - « Voici encore une faute grave de M. le Proviseur: il ne faut jamais éjaculer dans le vagin de la femelle sans son consentement et sans savoir si elle prend une méthode de contraception. Toutefois, ici encore, la question ne se pose pas car une salope pareille aime forcément cela et prend forcément la pilule, n’est-ce pas Julie? »
    - « Oui … Mais c’est pour mes règles … ».
    - « Les petites salopes disent toutes ça! ».

    Le CPE se retire, Julie tente de fermer les jambes, mais le prof la contre. « Regardez comme la chatte de Julie est ouverte désormais. Elle serait prête à recevoir n’importe quelle bite, mais malheureusement nous n’en n’avons pas le temps, car la cloche va bientôt sonner. » 

    Julie essaie de se redresser pour fuir mais en est empêchée par le prof: « Regardez bien la chatte de Julie, on aperçoit le sperme de M. le Proviseur qui commence à sortir ». Il appuie sur le ventre de Julie et un gros paquet de sperme visqueux commence à couler le long de sa chatte.
    - « Tu peux aller te rasseoir Julie ».
    - « Je voudrais aller aux toilettes … » dit-elle timidement.
    - « Tu iras à la pause comme tout le monde. ».

    Julie regagne sa place en baissant la tête. Elle sent le sperme du CPE couler le long de ses jambes. Elle prend le plus discrètement possible un mouchoir et commence à s’essuyer, mais elle se rend compte que tout le monde la regarde de manière méprisante et ironique.

    « Voici la fin des cours d’éducation sexuelle, le programme ne nous permet malheureusement pas d’en faire plus cette année. Vous serez interrogés dans deux semaines sur ces leçons. » Julie ressent un soulagement, elle qui craignait que ce calvaire se prolonge sur plusieurs semaines encore.

    Les exercices pratiques du cours d’éducation sexuelle font le tour des élèves de l’école en moins de cinq minutes. Julie se terre en classe le reste de la journée, fuyant les regards moqueurs de ses camarades. Elle ne mange pour ainsi dire rien le soir en rentrant, allant se coucher inhabituellement tôt et s'endormant aussitôt pour oublier cette horrible journée. 

     
     

    Cela faisait 2 jours que Julie avait été prise devant tous ses camarades. Ses copines, avec lesquelles elle gardaient les meilleurs souvenirs de collège, la traitaient de grosse truie, de garage à bite... Une vulgarité inimaginable il y a encore quelque jours.
    Comme tous les après midi, à la pause de 16h, elle se retrouvait dans le labo de svt à sucer le prof de biologie. C'était devenu une vrai petite routine: à la pause du matin, le prof de sport; à midi, le proviseur; et l'après midi, celui de biologie.
    Mais ce fut différent cette fois ci. A peine eut elle avalé sa dose de foutre bien chaud, que le proviseur et le prof de sport entrèrent dans la salle de cours. Julie prit peur, elle craignait ce qui allait arriver: allaient ils la baiser maintenant? Ce qui voulait dire quelle arriverait en retard pour le cours de français. Elle savait que sa réputation était déjà anéantie, et que toute la classe savait pourquoi elle était absente à chaque recréation. Mais quand même, elle voulait limiter la casse.
    "Julie" commença le proviseur. "nous nous sommes réunis ce matin,et nous avons conclu que cette situation ne peut plus durer"
    Julie n'en revenait pas, ils allaient décider d’arrêter là leur folie, leur délire sexuel. Une bouffée de joie explosa dans sa tête: tout est fini, enfin!!!
    Le professeur de svt continua "oui, comme monsieur le proviseur le dit, cela ne peut pas durer, aucun contrat. Ne formalise notre relation, je ne peux m'y faire."
    "c'est pourquoi nous allons établir un accord écrit entre nous, un pacte formalisant notre relation entre nous 4, et définissant ton statut de pute du lycée Condorcet"
    "de sac à foutre je dirais même, et bientôt de garage à bites" ajouta le prof de sport avec un large sourire.
    Le visage de Julie se décomposa, tout s'effondra autour d'elle. Elle qui pensait, encore 5 secondes avant, que ce cauchemar allait prendre fin....
    Le matin même, dans le bureau du proviseur, nos 3 complices c’étaient réunis.
    "ça ne peut pas durer Michel, on est marié, si elle parle on est fichu. J'ai pas envie de gâcher ma vie juste pour m'avoir vidé les couilles une dizaine de fois." s’énerva le prof de svt
    "il a raison" enchaîna le prof de sport, "on risque gros là. En plus elle est mineure cette pute"
    "oui, je comprends votre inquiétude, j'y ai aussi pensé"
    "et donc? On fait quoi maintenant?" s'énerva le prof de svt
    "on ne peut pas s'arrêter en si bon chemin. En plus, vous n'en avez pas déjà assez de cette routine? Une pipe par jour..., ça fait à peine une semaine et je m'en lasse déjà. Il faut aller plus loin"
    "Je suis d'accord mais comment?"
    "un contrat écrit. On lui fait signer un contrat d'esclave et on menace de tout balancer à ses parents si elle parle. Je suis sur que ça suffira pour obtenir son silence"
    "ok, je suis partant, et toi Jules?"
    "moi aussi, je vous fais confiance. Et si ça me permet de la défoncer cette salope!!!"
    "ok, on se voit cet aprem dans ton labo. Moi je m'occupe de rédiger le contrat, vous aller voir ce qu'on va lui mettre. Hahaha"
    Julie était toujours à genoux devant ses trois tortionnaires, abattue par ce qu'on venait de lui balancer.
    Le proviseur s'approcha de son sac qui traînait à terre. Il le renversa sur l'une des tables. Il poussa à terre les livres et cahiers, ça n’était visiblement pas ce qu'il recherchait. Après avoir fouillé les autres poches du sac, il sortit fièrement une trousse et la vida sur la table. Il ramassa le tube de rouge à lèvres et le brandit fièrement. "voila ce que je recherchais!"
    Il sortit alors de sa poche un papier plié en quatre. "voici ton contrat, je vais te le lire, et tu n’auras plus qu'à le signer."
    Il commença la lecture:
    "moi, Julie Jouannot, je m'engage à devenir un objet sexuel et à appartenir entièrement au lycée Condorcet. Je m'engage donc à respecter scrupuleusement les règles suivantes:
    - obéir à tous les ordres de mes professeurs
    - obéir aux personnes auxquelles mes professeurs m'auront prêtée ou louée
    - assouvir au maximum tous les désirs des personnes qui profiteront de moi
    - faire valider par mes professeurs tous les vêtements, tenues, accessoires, bijoux, et maquillages que je voudrai porter
    - faire valider toute nourriture ou boisson avant consommation
    - demander l'autorisation avant de quitter le lycée chaque soir, ainsi que pour chaque sortie non accompagnée par un de mes professeurs (pour partir en vacances, sortir le soir, partir en week-end même avec mes parents)
    - ne plus avoir de contact avec mes anciens amis
    - ne pas parler de mes activités scolaires ou extra scolaires à quiconque.
    Lu et approuvé"

    Julie bégaya quelques mots incompréhensibles, elle était devenue toute pâle. Pourquoi? Pourquoi cela lui arrivait elle?
    "tiens voici un stylo, signe ça tout de suite histoire que l'on soit débarrassé de la paperasse"
    " j-j-je-... Non, je"
    " voyons, soit raisonnable, tu ne voudrais pas que ton père voit les photos et les vidéos où tu étais recouverte de sperme ou alors celle où tu as avalé sans broncher une belle dose de foutre"
    Elle était piégée, ils la tenaient.
    "tiens, prends ce stylo et ce beau contrat, tu n'as qu'un petit gribouillis à faire en bas à droite"
    Julie posa la feuille à terre et se pencha pour la signer.
    "poses ton index là dessus et fait une belle empreinte à coté" lui dit le prof de svt en lui jetant un tampon
    encreur.
    "bien, maintenant lève toi, relève ta jupe, et penche toi. Les coudes sur la table !"
    Julie comprit tout de suite qu'ils allaient la baiser.
    "vois tu ma petite Julie, le rouge à lèvres que tu as là n'es pas validé, je vais te montrer ce qu'il se passera si tu enfreins les règles de notre accord"
    Le proviseur enleva le capuchon et le jeta à terre, puis il tartina de rouge l'anus de Julie. 
    "on va quand même l'utiliser avant, non ?"
    Il ramassa le papier qu'elle venait d'approuver et pressa le coin gauche sur son anus repeins. Une sorte de grosse tache rouge était maintenant présente à côté de sa signature.
    "même ton cul l'a validé, tu n'as plus d'excuses"
    Le prof de svt ramassa le rouge à lèvres, tira Julie par les cheveux : "on va quand même pas gâcher ça, croque un coup dedans"
    Hésitante, Julie approcha fébrilement sa bouche du tube et croqua un petit centimètre.
    "pas plus que ça? Bon tan-pis, mâche bien"
    Au fur et a mesure, Julie comprenait quelle allait avoir la bouche et les dents toutes rouges. Puis elle avala, le goût était horrible, pire que du sperme!
    Le prof de svt écrasa Julie à plat ventre contre la table et lui écarta les fesses.
    "puisque tu rechignes à le manger par la bouche, ça va passer par l'autre trou"
    Il enleva la partie fixe du tube et enfonça le rouge dans le cul de Julie, en poussant bien au fond avec son majeur.
    La sensation fut très déplaisante pour Julie, c'était quand même plus gros qu'un suppositoire.
    le professeur de sport pris le portable de Julie qui traînait parmi ses affaires étalées sur la table et se mit à pianoter dessus. Les téléphones des 3 bourreaux bippèrent, signalant un SMS.
    "j'ai vidé ta liste de contact, après tout ces personnes ne te seront plus très utiles à partir de maintenant. Je les ai quand même transféré à chacun d'entre nous, tu comprendras qu'il serait dommage qu'ils reçoivent les vidéos de tes exploits si tu romps notre contrat" dit il en continuant de pianoter. "j'ai laissé les téléphones de tes parents au cas où et rajouté les nôtres."
    Le proviseur prit alors la parole: "vas en cours maintenant, tu es assez en retard comme ça!"
    Julie ramassa sa trousse et ses cahiers et les mis dans son sac. Au moment de ranger ses affaires de maquillage, le proviseur lui donna une tape assez forte sur la tête: "tu n'as pas très bien compris on dirait, si on ne valide pas, tu n'y as pas droit. A partir de maintenant fini le maquillage, jusqu'à ce que l'on te fournisse un kit approuvé. Tu as compris? qu'on ne t'y reprenne pas"
    Elle fit un signe de la tête
    "ça n'est pas une réponse. Décidément, il faut tout leur apprendre à ces ados... on dit oui maître"
    "oui... maître" murmura Julie
    "plus fort, on a rien entendu!"
    "oui maître"
    "bien, dépêche toi maintenant."
    Julie s'avança de la porte mais avant de l'ouvrir, elle demanda "je peux boire un peu d'eau?" demanda t'elle timidement
    Le professeur de sport se retourna vers le proviseur: "fantastique, elle a tout compris", puis il se tourna vers Julie : "oui bien sur, attend 2 secondes". Il prit un bécker sur la paillasse, versa un fond d'eau du robinet dedans, puis le porta à sa bouche, racla bruyamment sa gorge et cracha un énorme mollard dedans. Il le tendit à ses 2 compères qui firent de même. Il y avait maintenant plus de cracha que d'eau dans le bécker. Julie, tremblante, hésita à le prendre. Elle n'avait que droit à ça pour rincer le rouge à lèvres qui lui colorait les dents, et surtout qui lui démangeait la bouche. Elle prit une gorgée et se fit un bain de bouche. Elle avait des hauts de cœur à l'idée d'avaler cette mixture, mais sous le regard imposant de ses tortionnaires, elle dû s'y résoudre. Elle but tant bien que mal le reste de la mixture et sortit rapidement pour rejoindre le cours de français qui était déjà bien entamé. 

     

    A la fin du cours de français, Julie rangea ses affaires rapidement et sortit du lycée au plus vite. Elle voulait rentrer chez elle et oublier cette nouvelle journée de soumission. Arrivée à son arrêt de bus, juste en face du lycée, son téléphone vibra. En le sortant de son sac, elle vit "un mms reçu". Elle valida pour le consulter, c’était une photo, une photo d'elle, ou plutôt de son anus bariolé de rouge à lèvres. Un SMS arriva: "n'as tu pas oublié la règle N*9? tu as 5min avant que tes parents reçoivent la vidéo complète".
    Julie prit peur. Le bus marqua l’arrêt, de nombreux élèves montèrent mais elle, le regard absent et le visage pale, resta sans bouger avant que le bus ne redémarre. "il faut que j'y retourne absolument" se dit elle. Elle traversa la rue en courant, sans prêter attention aux voitures qui durent piler juste devant elle. Elle ne pensait qu'a rejoindre le lycée et éviter l’irréparable.
    Essoufflée par les 3 étages qu'elle venait de gravir en trombe, elle entre dans le bureau du proviseur sans frapper.
    Celui ci leva les yeux, "de justesse, à quelques secondes près, j'allais appuyer le bouton envoi" dit il avec un air grave. "bref, passons cet incident, néanmoins que cela ne se reproduise plus"
    "oui..." murmura Julie
    "je n'ai pas très bien entendu, oui qui?"
    "oui... Maître"
    "plus fort! Bon dieu mais vous n’êtes pas si silencieuse quand je vous entends jacasser avec vos camarades!"
    "oui maître" dit Julie d'une voix plus assurée.
    Le proviseur se pencha pour ouvrir un tiroir. "bien, je dois faire vite, ce soir c'est l'anniversaire de ma fille et je n'ai pas l'intention de le rater"
    Il sortit alors une boite, qu'il ouvrit après l'avoir poser sur son bureau. "afin de t'aider dans ta formation, nous t'avons préparé un peu de matériel. Voici un caméscope numérique et un god."
    Julie ne comprit pas tout de suite le lien entre ces 2 objets.
    "tous les soirs à partir de maintenant, tu vas te masturber avec ce god et te filmer. 1h tous les soirs. Chaque lendemain matin, je vérifierai si tu as bien fais tes exercices."
    Julie écouta sans réagir.
    "ah, il faudra aussi qu'on ait le son. Et n'oublie pas de mettre une petite feuille avec la date du jour, il serait fâcheux que tu tentes de tricher en copiant la même vidéo plusieurs fois."
    Le proviseur lui tendit la boite. "mets le dans ton sac, il y a plusieurs disques d'avance, je t’échangerai celui du jour contre un nouveau chaque matin."
    Julie ouvrit son sac et le glissa dedans.
    "tu m'apporteras le disque de la veilles chaque matin à 7h pour que je le contrôle. Si ça te parait tôt, ne t'en fais pas, désormais tu prendras ton petit déjeuner ici."
    Julie acquiesça, elle ne pouvait rien dire après tout.
    "allez file maintenant"
    Sans demander son reste, Julie quitta le bureau. En marchant dans le couloir, elle croisa le prof de biologie.
    "bonne soirée ma chérie" lui dit il avec un grand sourire.
    "merci maître, bonne soirée à vous aussi maître" Elle savait ce qu'il sous entendait par bonne soirée, toute rouge elle se mit à courir pour attraper son bus.
    Le prof de bio entra dans le bureau du proviseur, celui ci était en train de fermer sa mallette et s’apprêtait à partir.
    "tout à l'heure, quand on attendait de rentrer dans ton labo, on a vu la quantité de foutre que tu lui as fait boire. Comment fais tu ça? On a les couilles à sec nous, à force de se faire pomper chaque jour"
    "hehe" fit le prof avec un air fier, "vous avez remarqué. En fait je prends des pilule chaque soir qui multiplient la production de sperme. J'ai trouvé ça sur un site américain."
    "mais c'est pas dangereux?"
    "je sais pas, j'ai commencé il y a quelques jours, et je n'ai pas eu encore d'effets secondaires. A part mon liquide séminal qui est d'un verre complet chaque jour."
    "ouah, tu pourrais nous donner le nom de ce produit?"
    "bien sur, passe moi un postit. Si tu veux je t'en file 3 pour ce soir"
    "3? Mais c'est pas trop? Tu m'as dit que tu n'en prenais qu'un"
    "oui, mais pour avoir un effet efficace dès le début, 3 pilules ça sera pas mal"
    Le prof de bio découpa 3 gélules de la plaquette qu'il sortit de sa poche. "en ce qui concerne le prix, c'est pas donné, il faut donc veiller à ce que notre petit sac à foutre ne gâche pas notre précieux nectar."
    "ne t'en fais pas sur ce point. Sinon tu voulais me voir pour quelque chose?" demanda le proviseur
    "oui, le prof de techno a eu vent de nos occupations. Il a une chose à nous montrer
    "robert? Ce vieux pervers? Ça me plaît pas trop de le mettre dans le coup, j'ai eu du mal à étouffer l'affaire des caméras qu'il avait placé dans les toilettes des filles"
    "oui je me souviens, mais je vais quand même passer le voir juste après. Qui sait, il a peut être quelque chose d’intéressant à nous proposer"
    "comme tu veux, mais méfie toi de lui"
    "pas de problème. Pour Julie, tu lui as donné le matos?"
    "oui, elle doit repasser demain matin. On va prendre le petit dej ensemble, enfin elle va surtout boire elle"
    "hahaha, en plus avec ces gélules, tu crois pas si bien dire"
    Ils sortirent du bureau, prenant chacun une direction différente.
    Le lendemain, Julie entra dans le bureau. Il n’était que 7h35. Elle avait des grosses cernes, qu'elle avait tenté de masquer avec du maquillage. Elle avait en effet peu dormi car en plus du TP que le proviseur lui avait donné, elle avait du faire ses devoirs et rattraper le cours de français qu'elle avait partiellement raté la veille.
    "tu as la disquette? Parfait, donne la moi. Tiens, mais tu t'es maquillée? On t'a dit qu'il fallait une validation de notre part. Bref, tu le regretteras rapidement".
    Il prit la disquette quelle lui tendait, et se leva pour la mettre dans le lecteur à coté de la télé. Puis, la télécommande à la main, il s'avachit dans le fauteuil en face de la télé après avoir baissé son pantalon.
    "pourquoi tu restes plantée là? Dépêche toi, à genoux et pompe moi!"
    Julie s'agenouilla devant lui, et commença à le branler.
    "du nerf! Et masse moi les couilles, elles me démangent depuis que je me suis levé."
    En les prenant de sa main gauche, Julie remarqua que les couilles étaient anormalement gonflées, la peaux était toute tendue et semblait avoir du mal à contenir les 2 grosses boules, à peine plus petites que des boules de pétanques.
    Pendant ce temps, le proviseurs regardait la vidéo en avance rapide. On y voyait Julie allongée sur le dos dans son lit, la tête appuyée sur le mur, jambes écartées, face à la caméra. Elle avait pensé à mettre un carton blanc à coté d'elle avec la date du jour. Le god que lui avait donné le proviseur allait et venait dans son intimité. Au fil des minutes, on voyait le visage de Julie rougir, avec quelques gouttes de sueur.... Elle prenait son pied.
    Pendant ce temps, Julie continuait de sucer dynamiquement la verge du proviseur. Il n'allait pas tarder à venir.
    Après avoir éteint la télé, il se pencha sur la droite pour attraper un verre à whisky, poussa Julie violemment pour se lever et éjacula dans le verre. L’éjaculation dura près de 10 secondes. Il poussait de grands râles, signifiant à la fois du plaisir et de la douleur.
    "waouh! Tiens, tu n'as pas déjeuné ce matin? Prends donc des forces, c'est bourré de vitamines" lui dit il en tendant le verre plein à ras bord.
    Julie tendit les mains pour saisir le verre, elle était choquée par la quantité de sperme.
    "allez allez, et n'en laisse pas une goutte"
    Julie approcha ses lèvres du verres et but une première gorgée. Le foutre était encore tiède, son goût était très acide contrairement à d'habitude.
    "plus vite! Tu ne vas pas y passer la matinée"
    Julie enchaîna les gorgées jusqu’à plus soif. Elle finit le verre et racla même le fond avec son doigt.
    Le proviseur passa sa main dans ses cheveux, et la félicita. "souris un peu, ça te fait plaisir non"
    Julie esquissa un sourire forcé, "oui maître". Il essuya alors sur son front le reste de sperme qui perlait au bout de son gland. Julie continua d'afficher le même sourire.
    "file en cours maintenant"
    "oui maître" puis elle sortit du bureau pour rejoindre la salle de classe.
    Peu après son départ, les prof de bio et de techno entrèrent dans le bureau.
    "jean, tu vas voir ce que robert a inventé, c'est du tonnerre de dieu!"
    le proviseur incrédule s’avança vers ses collègues.
    Le prof de techno posa quelque chose sur la table. "vous avez déjà vu le film battle royale?" lança t-il "et bien voici une version adaptée à nos désirs"
    Le proviseur se saisit de l'objet et l'examina avec méfiance.
    "mettez ce collier au cou de votre esclave et vous aurez un contrôle total sur elle. Avec la télécommande que voici, vous pourrez lui infliger des décharges électriques à intensité variable, vous voyez il y a une molette sur la télécommande. Sur ce collier il y a aussi un micro, un émetteur pour que vous entendiez ce que votre esclave dit. On le verrouille par l’arrière, et comme il est étanche, on peut faire sans jamais l'enlever"
    "alors tu en penses quoi? C'est génial non?"
    Sceptique, le proviseur posa quelques remarques: " mais ça n'est pas très discret"
    "ça n'est pas un problème, il suffit que la personne porte un petit foulard noué autour"
    "les décharges ne sont pas mortelles?"
    "pas le moins du monde, la charge maximale sera très douloureuse, pas plus."
    "bon, je vais y réfléchir. Tu veux quoi en échange?"
    "profiter un peu, ça devrait pas trop vous poser de problèmes?"
    "non non, pas de soucis. Je vais installer ça ce midi. En attendant regardez donc ses devoirs d'hier soir" ...
    A midi, la sonnerie retentit et tous les élèves sortirent en criant vers la cantine. Julie faisait partie de ceux la. Comme personne n’était venu lui réclamer une pipe à la pause du matin, elle pensait être tranquille pour la journée.
    "Julie, tu peux venir?" le prof de sport était venu la chercher alors qu'elle faisait la queue avec les autres élèves.
    "mmm, tu vas te régaler aujourd'hui", "ne sois pas trop gourmande" ou encore "pour toi, ça sera encore sous la table on dirait" tous les élèves se moquaient d'elle, mais elle était obligée de suivre son prof.
    Il la fit entrer dans une des salles que les professeurs utilisaient le midi pour leur repas. Ils étaient là: le prof de bio, le proviseur, et ... Le prof de techno? Julie fut surprise de voir ce vieux fou avec eux. Le prof de sport la poussa dans la salle et referma la porte derrière lui.
    "viens ici Julie, n'ait pas peur. Mets toi à genoux"
    Le proviseur s'approcha, et lui attacha le collier rapidement. Il eut un peu de mal à verrouiller l’arrière. Il lui attrapa les cheveux violemment et approcha son visage: "maintenant tu es vraiment notre chienne. Tu vas nous obéir au doigt et à la bite"
    Julie était morte de peur, mais les larmes n'arrivait pas à couler. Puis il attacha un petit foulard hello kitty pour cacher le collier.
    "tu pourras enlever le foulard quand tu prendra une douche, sinon garde le au dessus. Au fait, avec ce collier on entend tout et on peut te punir de cette manière" et le proviseur lança une petite décharge électrique. Julie sursauta et plaça ses mains au niveau du collier. Mais évidemment il était bien attaché.
    "bien, maintenant à table. Enfin, pour toi. C'est sous la table, et pas de gaspillage!"
    "oui maître" dit Julie en avançant sous la table. Elle suça alors ses 4 maîtres les un après les autres. En gros obsédé, le prof de techno lui fit un deepthroat qui lui donna des hauts le cœur et fit couler de grosse larme. Une fois soulagé, il étala toute la bave sur le visage de Julie. Son maquillage devait à coup sûr la défigurer. Contrairement aux autres, le prof de bio ne gicla pas dans sa bouche. Il se leva et largua tout son foutre dans son verre. La faisant s’asseoir à table, il versa une partie du foutre sur les restes de son assiette.
    "croquettes de poisson avec sa sauce" annonça t-il fièrement.
    Julie dut manger le reste de l'assiette et boire le verre à moitié rempli de foutre refroidit.
    Le prof de sport se leva et demanda le portable de Julie. Il pianota un peu dessus et invita chacun à poser avec elle pour une photo, mais de manière un peu spéciale. Chacun leur tour, ils devaient enjamber la tête de Julie, toujours à genoux, et s’asseoir légèrement dessus. Le résultat était que leurs couilles situées au dessus du front de Julie, leur bite descendait du front jusque nez (ou à la bouche, pour les mieux montés). Pour compléter la photo, Julie devait loucher sur la bite qui passait devant ses yeux et afficher un très large sourire.
    "ahahah formidable, on va mettre ces photos la pour chacun de nos numéro sur ton téléphone. Maintenant que tu connais bien nos bites, plus la peine d'afficher nos noms lorsque l'on t'appellera" Ils étaient tous les 4 hilares. "file en cours maintenant, la sonnerie ne va pas tarder. Et ne te lave pas le visage tant que l'on ne t'en a pas donné l'autorisation."
    Julie allait sortir quand le proviseur lui rappela "oublie pas que ton père passe me voir ce soir."
    Julie marqua un arrêt, puis sortit. Elle avait complètement oublier. Qu'allait il lui dire ce soir? Tentant d'oublier cela, elle fonça aux toilettes pour se voir dans un miroir... 
    Durant toute l'après midi, les autres élèves se sont moquées de son visage barbouillé de bave, de sperme et d'un reste de maquillage.
    Après la fin des cours, le proviseur lui envoya un SMS l'autorisant à se refaire belle.
    La réunion avec les parents d'élèves avait lieu dans la grande salle d'études mais le prof de SVT l'intercepta dans les couloirs pour l'emmener dans le bureau du proviseur. Son père était déjà là, assis en face du proviseur. Il était installé dans le fauteuil où elle avait sucé son bourreau ce matin.
    "Ah Julie, vient donc t'asseoir avec nous. Comme je l'expliquais à ton père, nous avons décidé de t'accompagner un peu plus dans tes études. Cela se traduit par exemple par des devoirs supplémentaires le soir ou à des heures d'études le midi."
    "je vous suis très reconnaissant pour ce que vous faites pour ma fille. Avec ma femme, on a déjà pensé à l'inscrire à des cours du soir ou des cours par correspondance mais Julie a refusé à chaque fois"
    "vraiment? Ça n'est pas bien Julie. Écoutez Monsieur Jouannot, je vous propose de me laisser organiser des cours de rattrapage certains soirs et les week-ends. Bien sûr cela dépendra de la disponibilité des professeurs"
    "ça serait formidable, vous avez toute ma confiance. J'espère que cela lui permettra d'obtenir le bac en fin d'année."
    "oui, naturellement, c'est le but. Cependant cette prise en charge va avoir un coût que vous devrez assumer, je ne peux pas mobiliser des professeurs gratuitement. Je pense que nous serons aux environs de 150 euros la semaine"
    "oui, aucun problème." le père se retourna vers Julie "tu vois l'effort que l'on fait tous pour toi? Aussi bien tes professeurs que ta mère et moi. Ne nous déçois pas !" Mais un détail retint son attention. "Qu'est ce que c'est que ce foulard rose?! Retire moi ça tout de suite!"
    Julie était apeurée, Si elle retire le foulard, son père verra le collier en métal que lui a accroché le proviseur. 
    "euh je je" bégaya Julie
    "calmez vous Monsieur Jouannot, vous savez à notre âge il y a des choses que l'on a du mal à comprendre chez les jeunes, notamment leurs habitudes vestimentaires."
    "oui mais là, quand même"
    "nous sommes très ouverts dans ce lycée, et Julie est beaucoup mieux habillée que la plupart de ces camarades. Je pense d'ailleurs que c'est pour cela qu'elle a du mal à s'intégrer. Nous devrions lui laisser plus de liberté."
    "je suppose que vous avez raison, d'autant plus que ma femme et moi lui en demandons beaucoup..."
    "exactement. Laissons lui carte blanche sur son apparence, l'important pour le moment c'est les études. Bien, revenons au sujet principal: les prochaines vacances"
    "oui, comme je vous l'avais expliqué au téléphone, nous sommes très intéressé par votre proposition."
    "parfait, voici une autorisation de sortie du lycée, vous savez, pour tout ce qui est assurance... Car je ne l'ai pas précisé mais ces 2 semaines ne se dérouleront pas au lycée, ce sera dans un centre à quelque kilomètres de là."
    Soudain le téléphone du proviseur vibra. "mmm? Un SMS? Je vois... Julie, pourrais tu aller donner cette clé à Monsieur Racot, ton prof de sport?"
    Julie prit la clé et sortit, rapidement suivie par le prof de SVT qui était resté près de la porte depuis le début. 
    Arrivée à la salle de sport, le prof de SVT la tira par les cheveux jusqu'aux vestiaires des hommes où l'attendait le prof de sport.
    "ahh je n'en pouvais plus!" soupira le prof de SVT
    "elle est finie la réunion avec son père?"
    Alors qu'il discutaient, Julie était déjà à genoux pour les sucer. Ils s'étaient contentés de baisser leur pantalon pour que Julie comprenne sa mission.
    "non, ça prend des plombes. Qu'est ce qu'il est con ce type, il n'a même pas lu ce qu'il a signé. A la place d'une autorisation de sortie, Jean lui a fait approuver le contrat d'esclave de notre sac à foutre"
    "ahahah"
    "et tu sais la meilleure? On va être payé pour lui péter la rondelle!"
    "sérieux? Tu es sûr que Jean va nous lâcher un bout du magot?"
    "je sais pas, il doit avoir quelque chose en tête. Ça n'était pas prévu de le faire payer l'autre. Hey petite pute, tu pourrais pas y mettre un peu plus de volonté? Innove, titille nous le gland avec ta langue, lèche nous les couilles, lèche nous le cul... Si tu prends ton temps, ton père va se poser des questions"
    Julie entreprit de leur gober les couilles, mais ça n'était pas facile de mettre en bouche des boules de la taille d'un kiwi. 
    Mais après 10 bonnes minutes de dur labeur, les 2 étaient prêts à jouir. Le prof de sport enfonça sa bite au plus profond de la gorge de Julie, presque dans l'oesophage, et largua tout son foutre. Le prof de SVT fit de même mais en pinçant le nez de Julie. Privée de respiration, elle essayait d'aspirer de l'air par la bouche mais cela avait plutôt pour effet d'aspirer un peu plus la queue dans son oesophage. D'un coup, le foutre se déversa, puis le prof se retira, la queue toute molle et pendante. Julie toussait bruyamment et avait du mal à reprendre son souffle.
    "hé béh, ça va au delà de mes espérances. Non seulement le manque d'air a aspiré ma bite plus loin, mais quand elle avale des gorgées, les ondes de son oesophage sont comme un massage."
    "tu comptes vraiment l'utiliser pour tes expériences?"
    "bien sur, c'est un cobaye parfait." puis, se tournant vers Julie "tu devrais te dépêcher de retourner avec ton père, sinon ils vont se poser des questions"
    "oui" dit Julie en se levant. Mais alors qu'elle avançait vers la porte, elle reçue une décharge électrique. 
    "tu n'aurais pas oublié quelque choses ?" dit le prof de SVT
    "euh merci maîtres, pour ce délicieux goûter"
    "voilà, c'est mieux comme ça. Si en plus on doit la dresser, heureusement qu'on est payé"
    Julie passa par les toilettes pour se remaquiller avant de retourner voir le proviseur. Quand elle arriva, ils étaient en train de se saluer devant la porte.
    "ah te voilà enfin!" s'exclama son père "tu en as mis du temps"
    "j'étais ... aux toilettes"
    "voilà un bel exemple Monsieur Jouannot, comme je vous le disais, de nos jours les jeunes mangent n'importe quoi et se rendent malades. C'est bien pour cela que nous essayons de privilégier des repas riches en vitamines et des produits laitiers pour tenter de préserver leur santé. N'est ce pas Julie ?"
    Julie n'eut pas le temps de répondre, son père regarda sa montre. "déjà 19h! Dépêchons nous Julie, ta mère nous attend"
    Sur le trajet, son père expliqua à Julie ce qu'il attendait d'elle qu'elle fasse de grands efforts pour avoir de meilleures notes. En plus, comme sa mère était cardiaque, il fallait vraiment qu'elle réussisse les prochains partiels. Une fois à table, les éloges sur le proviseur continuaient.
    Après une bonne nuit de sommeil, Julie fut réveillée par ses parents à 10h du matin, ils devaient partir la journée pour rendre visite aux grands parents de Julie. Ils ne rentreront pas avant 19h. 
    Chouette se dit Julie, une journée enfin seule! Après leur départ, elle alla prendre un bon bain chaud. Tout en se prélassant dans l'eau, elle réfléchit tout haut à ce qu'elle ferait ensuite. "ah, ça fait du bien d'être tranquille, qu'est ce que je vais bien pouvoir faire après... Il est déjà 11h? Je vais aller chez Amélie, ça me fera du bien de parler à quelqu'un."
    Julie sortit de l'eau et pris une serviette de bain pour se sécher. Mais 5 minutes après, quelqu'un sonna. "qui ça peut être ?" Elle enroula la serviette autour d'elle et ouvrit la porte.
    "alors comme ça on se la coule douce au lieu de faire ses devoirs ?"
    Les jambes de Julie commencèrent à trembler, c'était le proviseur et le prof de SVT. Ils entrèrent et le proviseur referma la porte derrière lui.
    "Tu as du temps libre et tu ne veux pas nous en faire profiter?"
    "je je je"
    "n'oublie pas qu'il y a un micro et un émetteur sur ton collier. Bien, on a donc la journée devant nous" dit il joyeusement
    "ohhh en plus tu es déjà prête on dirait" dit le prof de SVT en lui arrachant la serviette de bain.
    "je vais chercher le caméscope, Robert tu peux commencer sans moi" dit le proviseur qui partit dans la chambre de Julie. Quand il revint, le prof était affalé dans le canapé et Julie lui taillait une pipe.
    "j'ai fouillé dans tes armoires, passe toi ça."
    Julie ramassa les vêtements que le proviseur lui avait jetés. C'était des affaires de collège, elle les enfila avec difficulté. Elle se retrouvait avec une jupe en Jean tellement courte que même debout on pouvait voir la raie de son cul, d'un T shirt rose 10 fois trop petit qui était tendu par sa poitrine et qui n'arrivait même pas au nombril. 
    Le proviseur s'approcha d'elle pour faire 2 couettes avec des élastiques à cheveux bleu ciel, et la maquilla grossièrement avec du rouge à lèvres rose bonbon. 
    Une fois fini, il installa le caméscope et expliqua : "j'ai vu des films porno d'un mec qui s'appelait Max Hardcore, je me suis dis que ça serait amusant de faire quelque chose de similaire"
    "c'est bien sympa tout ça, mais c'est pas son déguisement qui va me vider les couilles"
    "attend, ne sois pas si pressé. Mets ce masque de Mickey, ça nous permettra de rester anonyme sur la vidéo."
    "ah je vois où tu veux en venir. Allez, lance la camera, on tourne" 
    Affublés de leurs masques de Mickey, les 2 compères commencèrent à ramoner la gorge de Julie, puis le proviseur bougea la camera et il retroussa la jupe pour s'affairer sur la chatte jusqu'à jouir en elle. 
    Tandis que le prof de SVT s'attaquait à sa chatte, la sonnerie retentit. Julie voulut se relever mais le prof la retint et continua son affaire. Le proviseur alla ouvrir, c'était le prof de techno et celui de sport qui venaient prendre part à cette orgie. Ils enfilèrent chacun un masque de Mickey que le proviseur leur tendit et se déshabillèrent. 
    Julie avait maintenant les 2 mains et la chatte occupées. Le proviseur, quant à lui, filmait la scène et donnait des ordres à chacun tel un producteur de porno "Julie écarte les jambes, sourit un peu plus, pompe la queue de gauche mieux que ça!"
    C'est alors que la sonnerie retentit encore. Cette fois ci c'était un livreur de pizza que le proviseur avait appelé. Choqué par la scène, il ne savait pas trop quoi faire. Le proviseur lui tendit un masque "vous voulez vous joindre a eux?"
    "avec plaisir monsieur !"
    Julie essaya de dire non, les professeurs représentaient déjà un risque pour les MST, mais avec des inconnus, c'était encore plus dangereux. Mais les professeurs ne la laissèrent pas réagir.
    Le livreur sortit sa queue et remplaça directement le prof de SVT qui était parti jouir dans les cheveux de Julie. Il ne mît que 3 minutes avant de gicler dans sa chatte. 
    Alors qu'il remontait son pantalon, le proviseur l'interpella "c'était un peu rapide non?"
    "oui désolé, si vous voulez je peux faire venir des amis."
    "ça serait formidable, autant que vous voulez, mais dites leur de ramener des bières en échange."
    "OK, et pour le règlement..."
    "il y a un portefeuille sur le meuble d'entrée, servez vous dedans"
    "merci, et bon appétit"
    Le livreur s'approcha de la porte d'entrée et prit le portefeuille. Julie le surveilla du mieux qu'elle pouvait. Elle le vit sortir 2 billets de 50 euros et les mettre dans sa poche. 100 euros la pizza, s'était pire qu'un resto de luxe. 
    "laissez la porte contre, je n'ai pas envi d'aller ouvrir à chaque fois, mettez donc une chaussure pour caler." dit le proviseur au livreur
    Le prof de techno qui ramonait la chatte de Julie pendant de longues minutes se mit à jouir lui aussi.
    Il ne restait plus que le prof de sport, il décida de s'attaquer au cul encore vierge de Julie. Il pressa lentement son gland sur la rondelle, mais il avait du mal à rentrer dedans. Alors que ses collègues s'attaquait à la pizza, il attrapa de la sauce tomate avec ses doigts et l'étala sur l'anus de Julie. Sa queue arrivait à rentrer un peu plus mais il manquait encore du lubrifiant. Il ouvrit un sachet d'huile et le versa sur l'anus et sur sa queue. Puis il recommença à pousser sur la rondelle et enfonça plus facilement sa queue jusqu'à la garde, tout en arrachant un hurlement de Julie. Il lui tira les cheveux en arrière et lui chuchota "sois un peu plus discrète, je te rappelle qu'il y a des voisins autour de chez toi et la porte est entrouverte"
    Julie plaça sa main devant sa bouche pour étouffer ses cris, sous les coups de boutoir qu'elle subissait.
    Elle vit alors une, puis 2 puis 3 bites noires s'aligner devant elle. Elle releva la tête: 3 blacks avec des masques de Mickey, elle se tourna vers le proviseur qui lui fit signe de pomper. Elle prit alors une queue dans chaque mains et les branla. Le 3e type ne semblait pas prêt à attendre, il attrapa Julie par les couettes et lui fourra sa grosse bite dans la bouche et lui fit un deepthroat. Le prof de sport se finisaits dans son cul avant de rejoindre ses collègues assis près de la porte avec des bières.
    Le proviseur demanda aux 3 blacks de changer de position. L'un assis dans le canapé tandis que les 2 autres soulevèrent Julie pour la placer sur sa queue, un autre lui fourra dans le cul et le 3e se mis debout sur le canapé pour occuper sa bouche. Au bout de quelques minutes ils échangèrent leurs places, Julie en profita pour jeter un oeil à ses professeurs qui se taillaient un festin avec les provisions du frigo. Elle vit aussi d'autres types rentrer dans l'appart, des blacks, des arabes, des pakistanais... Toute la cité allait lui passer dessus cet après midi!
    Soudain le téléphone sonna. Silence complet, tout le monde arrêta de bouger. Puis le répondeur se lança : "bonjour, la famille Jouannot est absente mais vous pouvez nous laisser un message après le bip. *Biiiip* Julie, c'est ta mère. Nous allons être retenu un peu plus longtemps que prévu, je pense que l'on sera de retour tard ce soir. Repose toi bien et surtout ne fais pas de bêtises."
    Tout le monde éclata de rire en entendant le message et ils recommencèrent à pistonner Julie de plus belle.
    Quelques types demandèrent à Julie de leur lécher le cul. L'un d'entre eux incita Julie à aller toujours plus loin avec sa langue, avant de lui larguer une caisse à la figure. Ca n'était même pas le plus écoeurant pour elle. Ce qu'elle détestait le plus, c'était l'hygiène des bites qu'elle acceptait dans sa bouche : il y en avait beaucoup de mal lavé et puant la pisse.
    "quand vous giclez, faites le sur son visage, ça manque un peu depuis le début du film" dit le proviseur.
    Aussitôt dit, Julie fut mise à genoux et 4 queux se succédèrent pour larguer un paquet de sperme sur son visage et notamment ses yeux. Elle sentit quelques choses de métallique raclait son visage, c'était le prof de svt qui collectait le sperme dans un saladier. Puis le manège recommença, Julie n'avait aucune idée de l'heure qu'il était, ni du nombre de bites qui la visitaient, ni même du visage de ses bourreaux car tous portaient un masque de Mickey.
    Un pakistanais qui se faisait sucer lui arracha le devant du Tshirt, faisant automatiquement bondir les 2 seins prisonniers jusque là. A ce moment là, l'arabe qui s'affairait dans le cul de Julie sortit un couteau à cran d'arrêt. Les professeurs devinrent tous pâles, mais le type se contenta de découper la jupe en 2 pour s'en débarrasser.
    Le prof de SVT dit avoir un voix inquiète "Elle a l'air de perdre de rythme, rechargeons lui les batteries" et lui balança une décharge électrique qui eut pour effet d'accélérer la cadence de Julie.
    Le prof de techno passa la porte d'entrée en criant "il y a de la clientèle qui fait la queue jusque dans l'escalier, il faut accélérer !"
    "Il ne vont pas pouvoir tous passer, il faut qu'il viennent juste se branler dessus pour finir sur un bukkake" fit le proviseur, "je n'ai presque plus de place sur cette cassette et c'est la dernière"
    Les professeurs firent rentrer presque 40 personnes en même temps dans l'appart pour se branler sur Julie sans pouvoir la monter. En partant, certains volèrent des objets de valeur, de l'argenterie, des manteaux...
    "voilà voilà, merci d'être venu, bon week-ends à tous" dit le prof de sport en raccompagnant les derniers jeunes qui remontaient les pantalons.
    "tu n'as pas mangé de la journée" dit le prof de SVT, le saladier plein de foutre à la main. "ouvre la bouche et fait ahh" 
    "aahh" dit Julie en recevant une cuillère à soupe de sperme
    Le proviseur de rapprocha avec la camera devant le visage de Julie. "souris un peu voyons, tu ne vas pas nous obliger à tout recommencer?" lui dit il avec un sourire carnassier. 
    Julie avala plusieurs cuillères de la mixture mais cela prenait trop de temps, ils lui firent boire le reste avec une paille. "coupez" cria fièrement le proviseur en éteignant le caméscope. "on a 6h de rush, il va falloir éditer ça pour n'en garder qu'une heure"
    "bon, c'est pas tout ça mais il est tard, on vous laisse" dirent les 3 profs, mais le proviseur les arrêta.
    "non non, ça n'est pas fini, j'ai ma petite idée, on a encore le temps avant le retour de ses parents, il n'est que 17h" puis se tournant vers Julie : "dépêche toi de ranger tout ça, imagine la tête de tes parents si ils voyaient l'état de leur appart, je ne parle même pas du film"
    Julie essaya de se lever mais elle retomba sur les genoux. Ils lui avaient complètement labouré le cul. Elle essuya les traces de sperme sur le sol et le canapé du mieux qu'elle pouvait mais ses cheveux dégoulinant de foutre resalissaient au fur et à mesure. Le proviseur et les profs semblaient y mettre du leur en ramassant les cadavres de bière et en rangeant les chaises. Puis ils aérèrent la pièce qui puait le foutre.
    Une fois tout nettoyé, le proviseur aida Julie à se doucher rapidement puis lui passa un jogging. Elle s'endormit à terre, exténuée par cette journée. Mais elle ne se rendait pas compte de ce qu'il lui arrivait alors...
    Elle se réveilla, hurlant de douleur à la fesse gauche. Les 4 compères la maintenèrent et un 5e type lui administra un piqûre de tranquillisant. Julie se réveilla plus tard chez elle, sous les yeux bienveillant du proviseur.
    "écris ce que je te dicte sur ce postit : j'ai fait venir des amis et on a fait la fête toute la journée, désolée pour la casse et les vols, je le paierai avec mon argent de poche"
    Puis le proviseur reprit le stylo et alla mettre le postit dans la cuisine.
    "comme on a peur que d'autres personnes tentent de profiter de toi, on a fait comme pour n'importe quel objet, regarde ta fesse dans le mirroir"
    Julie se leva et tituba jusqu'au miroir. Elle se tourna légèrement et vit une marque noir sur la gauche de son cul, puis elle s'écroula en larmes. Sur un rectangle de 15cm sur 5cm, il était tatoué :

     


    Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers son ventre, s’attarda sur son nombril un moment, essayant de reprendre son souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec son clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.

    Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l'arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frissons sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira son doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura son jus intime et manifesta son plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans son vagin et se branla après avoir guidé son autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à son premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans son vagin...

    La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le son du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de son lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté son ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maison était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa son reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement son petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse. 

    Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de son fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer. 
    – Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière son bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !
    – Oui, maître. Tout de suite.
    Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De son côté, le proviseur visionnait les devoirs de son élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone sonna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de son élève.
    – Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.
    Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer son ouvrage. Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de son bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur. 
    « Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »
    La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de son père, tâchant de conserver son souffle alors qu’on lui baisait la bouche. 
    « Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle... »
    Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.
    – Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
    « Je ne sais plus comment la gérer… »
    – Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à son âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour son propre bien. Faîtes-moi confiance. 
    « Vous avez raison, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.
    – C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot. 
    Le proviseur raccrocha. 
    – Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?
    – Oui, maître.
    Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.
    – Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans son anus. 
    Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de son fondement. Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.
    – Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.
    La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes. 
    – Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.
    – Je vous remercie, maître.
    Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de son vagin et la pilonna sans vergogne. Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de son précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise. 
    – Relève-toi.
    Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées. 
    – Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf. 
    L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple. 
    – Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.
    Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur. 

    La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette humiliation plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.
    – Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.
    – On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale. 
    Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.
    – Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois. 
    Julie rejoignit son poste de travail alors que la sonnerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.
    – Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante deux. 
    Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.
    – Commence la lecture.
    Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :
    « Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte Oooh !... »
    Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura son bas ventre, risquant de la faire tomber de son tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations. 
    – Poursuis la lecture, s’il te plaît.
    Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.
    « …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »
    Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans son intimité.
    « Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »
    Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler son bassin sur la surface en bois.
    « Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »
    – Julie ! 
    Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?
    – Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.
    Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse. 

    Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre. 
    – Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.
    Le professeur abaissa son pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant. 
    – AAAAH ! 
    Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De son côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir. 
    – C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.
    L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements. 
    – C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion. 
    Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec. 
    – Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.
    Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes. 
    – Oh, mon dieux ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens. 
    Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta son petit trou pour lâcher son jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.
    – Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.
    Le professeur caressa une dernière fois les fesses de son élève, la laissant retourner à son poste de travail.

    Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir son affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloison pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.
    – Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.
    – Pas question, répondit la lycéenne. 
    – Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.
    Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.
    – Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet. 
    Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.
    – J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
    A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction. 
    – C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.
    Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa son dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait son jus pour que cette histoire prenne fin.
    – A présent, je me paierais bien ta chatte.
    Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de son maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer son clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.
    – Aaaaah ! 
    – C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
    Julie ignora les louanges de son partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir son engin frétiller à l’intérieur de son vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.
    – Je vais pas tarder à jouir…
    Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans son ventre.
    – Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.
    Julie resta à l’intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n’était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s’y mettaient aussi. 


    Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…

    Julie, pute de l’école. Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.
    – Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème. 
    Julie frissonna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement. 
    – Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !
    Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.
    – C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher son irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse. 
    Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans son pantalon. 
    – Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?
    Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint son attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.

    Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de son membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.
    – Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien. 
    Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale. 
    – Et nous alors ? gronda le blondinet. 
    Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira son gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième. 
    – C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre son membre jusqu’à la garde.
    Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.
    – Je vais bien m’occuper de toi…
    Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raison ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.
    – Aaaaah ! 
    Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.
    – Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sortit son membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.
    Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet. 

    Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec son portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet. 
    – Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique. 
    Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.
    – Aïe !... cria Julie. Oui… J’aime ça ! 
    Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle. 

    Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de son petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser son insertion mais le black avait une autre idée en tête. 
    – Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !
    Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de son fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus brutal. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.
    – Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses. 
    Julie ne contrôlait plus son corps. Elle était comme possédée, criant son plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée. 

    Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de son vagin. De son côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester son plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de son corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre son engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur son joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner. 

    Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.

    Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec son téléphone.
    – A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.
    Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.
    – Pas maintenant.
    – J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi. C’était le deal.
    Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :
    – C’est vrai. Mais pas devant elle. 
    Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.

    Julie se retrouva toute seule. Elle observa son reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur son visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raison. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.
    – Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout. 
    Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.

    Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui. 
    – Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…
    Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?
    – Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi. 
    Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit son sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans son dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille… 

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

     
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