• Alors que les parents de mon voisin (ARNO) partaient en week-end à la montagne, JOUI12R organisa une grande soirée chez lui dont je ne voulais aucunement participer car cela partait toujours de travers et on se faisait toujours engueuler par les autres voisins à cause du bruit!

    Je l’aide cependant à préparer cette soirée tout l’après-midi, nous allons acheter des saucisses, du charbon, évidement des boissons gazeuse et des gâteaux apéro!

    _Il y aura qui à ta soirée alors, demandais-je?
    _Ben! en fait on ne sera que quatre, Cyril, Mathéo, Ghislain,Damien et moi=(ARNO)!...       qui vous filmera avec mon téléphonne portable en cochonnelle12!?


    _Ouai, mais ça reste les trois pires fêtards que je connaisse.

    Cyril, grand brun aux yeux noisette, plutôt mignons, un corps musclé juste comme il faut, plutôt fin comme mec, je l’ai déjà vu nu comme un vers lors d’une précédente soirée alors qu’il avait un peu trop bu, il a un super beau petit cul que je rêve de prendre et une bite plus que magnifique!

    Mathéo, un mec plutôt petit, environ 1m70, moins mignon que Cyril. Il porte des jeans plus que moulant laissant deviner un gros paquet à l’intérieur que j’aimerai goûter! Légèrement en surpoids, il n’en reste pas moins un gars plus que sympas qui sait faire la fête. 

    Ghislain, grand blond aux yeux bleu, d’une beauté sans nom, il ressemble à un ange. Il m'est déjà arriver de me branler avec lui, il à un corps frêle compensé par une bite majestueuse de 22cm que j’ai déjà eu plaisir à sucer plusieurs fois, aucune pénétration entre nous malheureusement, pour lui je ne suis qu’un vide couille, et cela me convient parfaitement, chaque fois qu’il me demande si il peut venir chez moi je suis ravi de l’accueillir, de sucer sa sublime queue et d’avaler tout son foutre d’un goût exquis!

    Damien, de taille moyenne, des cheveux rasés, yeux verts en amandes, super mignon, aussi frêle que Ghislain mais avec des muscle dessiné à la perfection, il a couché de nombreuses fois avec des filles plusieurs fois avec moi, (lire « Une belle journée qui commence » et « L’apprentissage de Damien ») mais notre relation est toujours restée plus que secrète, personne n’est au courant!

    Une fois les préparatifs terminée, Damien et moi nous fumons une cigarette puis je rentre chez moi car ses amis arrivent, je les croise, les détaille des pieds à la tête et je commence à avoir déjà une forte érection.

    _Tu ne restes pas avec nous? me demande Ghislain.
    _Non ça va encore mal finir comme soirée, je ne veux pas encore subir le courroux des voisins.
    _Vas y reste un peu avec nous: t’auras qu’à partir si on commence à foutre du bordel!

    Le ton qu’employait Ghislain me surprenait, il employait le même quand il me demandait si il pouvait venir chez moi.

    _J’ai plein de truc à faire chez moi, ma daronne est barrée en week-end avec les parents de Damien, ils reviennent demain et j’ai rien fait, je vais encore me faire engueuler si ma daronne rentre et qu’elle voie le bordel.
    _Je viens t’aider si tu veux, dit Ghislain en me faisant un clin d’œil!
    _Si tu veux mais ça risque d’être long.
    _Pas de problème on ira plus vite à deux et après on revient finir la soirée!
    _Bon ok comme tu veux.

    Nous dîment à tout à l’heure aux autres potes, je vis Damien me regarder d’un œil en coin plutôt étrange. Nous nous dirigeâmes vers ma maison, à peine la porte d’entrée refermée, Ghislain me plaqua au mur et me roula une pelle comme jamais il ne l’avait fait. Ce baiser durât bien 5min, Ghislain avait baissé son pantalon et commencé à se branler sur mon ventre. Il me lâcha enfin la bouche et me força à me mettre à genoux et je commençais à sucer sa magnifique queue d’où perlait déjà du pré-sperme. Elle avait une forte odeur, dut sans doute à son dure apprentissage de menuisier qui le faisait beaucoup transpirer mais j’ai connu pire, je gobe cette magnifique bite, je la lèche de tout son long, aspire son gland, lui lèche la couronne comme il aime et redescend vers ses grosses couilles velues que je sais pleines de sperme délicieux. Il me maintient la tête et commence des va et vient dans ma bouche, il me baise la gueule pendant 10 bonnes minutes puis s’arrête.

    _Viens, me dit-il

    Il se dirige vers ma chambre, abandonne son pantalon et son caleçon à l’entrée et monte les escaliers qui mène à ma chambre. Il s’allonge sur mon lit, comme à mon habitude je me mets face à lui, près à gober de nouveau sa belle bite qui me file une trique d’enfer. Je retire mon pantalon et mon caleçon libérant ainsi ma teub qui n’en pouvait plus de rester coincée. Je m’apprête à continué de sucer Ghislain quand il me dit:

    _Non attends on va changer pour une fois, mets toi dans l’autre sens!
    _Comment ça?
    _On va se faire un petit 69, ça changera, je veux te faire du bien aussi pour une fois!
    _Mais tu n’es pas gay pourtant, pourquoi tu veux me faire du bien aujourd’hui?
    _Pourquoi il faut toujours que tu poses des questions connes? Tu m’as tellement fait juter avec ta petite bouche de salope que je veux te rendre la monnaie de ta pièce!

    Je lui obéis donc et me place au dessus de lui, ma bite est juste en face de ses yeux mais je le vois hésitant! Sans plus prêter attention à ce qu’il va me faire je continue à le sucer goulûment quand je sens enfin qu’il participe, il me chope le cul, place mon anus en face de son visage et commence à me lécher ma rondelle! Quelle plaisir de sentir une langue lécher mon anus, c’est tellement rare, la plupart de mes partenaires ne prêtent pas attention aux détails et m’enfonce leurs pieux au fond de mon cul sans le préparer. La douleur ressentie est extrême mais passe après environ 5 min de pénétration. Sentir cette langue si douce et chaude sur mon anus est d’une telle volupté que j’ai du mal à continuer à sucer Ghislain puis il m’entend pousser des petit gémissement.

    _Tu kiffes on dirait, me dit-il!
    _Grave, c’est tellement bon de sentir une langue passée sur mon anus
    _En parlant de ça, tu as un cul hyper propre, j’en ai jamais vu d’aussi clair, rose et sain.
    _Normal, je me suis douché après les préparatifs de la soirée chez Damien, et quand je me lave j’en profite toujours pour m’enfiler un ou deux doigts dans le cul histoire que toute l’entrée soit propre, on sait jamais, une occasion inattendue peut se présenter.

    Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire amusé, je repris ma pipe et lui son anulingus, je sentais sa langue jouer avec mon trou, tantôt il la faisait tourner autour, tantôt il la rentrait à l’intérieur. Je continuais à lui pomper sa tige pendant ce temps: et descendait vers ses couilles pour les lécher et les gober, puis je passais ma langue tout le long de son pieu de chair qui palpitait. Ghislain me surpris encore une fois, il arrêta de me lécher le cul, me remonta le bassin, introduisit un doigt dans mon anus pris ma bite en bouche. Putain quel plaisir de se faire pomper la teub, l’excitation monta encore d’un cran et je sentis enfin le précieux liquide de mon amant monter le long de sa tige, je continuais vigoureusement à le sucer, je sentit son gland gonfler et exploser dans ma bouche, 4-5 grosses giclées de sperme arrivèrent dans ma bouche, je me délectais de ce jus particulièrement délicieux avant de tout avaler avec satisfaction puis je recommençais à le sucer afin de ne pas perdre une goutte de cette précieuse semence au goût si délicieux.

    Le temps de son éjaculation, Ghislain avait arrêté de me sucer et de me doigter pour savourer son orgasme et: une fois passé il avait recommencé avec vigueur, je me concentrais maintenant essentiellement au plaisir que me donnait mon ami, il m’introduisit un deuxième doigts puis un troisième.

    _Ghislain, je vais éjaculer!

    Il ne prêta pas attention à ce que je venais de lui dire et continua plutôt de me sucer et de me doigter avec plus de vitesse, je finis pas jouir comme jamais dans sa bouche d’ange, 5-6 giclées lui atterrirent sur la langue, il aspirât mon gland de toute ses forces pour récupérer ce qu’il pouvait rester, se releva légèrement et me fît signe d’approcher. Il m’embrassa une nouvelle fois avec passion me donnant mon propre sperme que j’avalais avec tout autant de délice.

    Nous nous embrassâmes pendant de longues minutes puis je remarque que Ghislain a retrouvé toute sa vigueur, sa bite se dresse de nouveau fièrement comme si de rien n’était.

    _Je peux t’enculer mec? me demanda Ghislain.
    _A ton avis, mais bien sur j’attends que ça, mon cul n’attend que ta teub pour être comblé.

    Il resta allongé puis je me mis à cheval sur sa bite, elle rentra sans aucun problème et sans douleur dans mon petit cul si bien préparé puis je commençais à faire des mouvement de haut en bas. Sa queue coulissait sans problème dans mon anus me donnant un plaisir énorme.

    _Putain mec ton cul est génial, la plupart des meufs que j’encule on mal à cause de mes 22cm mais toi il n’y a aucun problème, en plus ton cul est super étroit, on dirait que tu ne t’es jamais fait enculer. Il me sert grave, je suis pas précoce mais là je sens que je vais pas être long à venir.

    A ces mots, je repris mes va et vient, je sentais bien sa grosse bite au fond de mes entrailles, j’avais du mal à enchaîner correctement les mouvements tellement le plaisir était intense. Ghislain le remarqua et décida de changer de position.

    _Mets toi debout contre le mur
    _Ok, si tu veux

    Je me lève et me place contre le mur, il chope mes fesses, les écarte et enfonce sa teub au plus profond de mon cul, la pénétration est moins profonde dans cette position mais très excitante, Ghislain me branle en même temps qu’il m’encule et m’embrasse la nuque avec amour. Il me pilonne ainsi pendant quelque minutes puis il éjacule tout son foutre dans mes entrailles. Le contact de son sperme dans mon cul me déclencha un orgasme fulgurant éjaculant tout mon sperme sur le mur de ma chambre.

    Ghislain ne se retire pas de mon cul, au contraire il y reste bien profond avec sa queue à demi bander. Au bout de quelques minutes je le sens reprendre encore de la vigueur et il recommence à m’enculer de plus en plus fort. Il me chope au niveau du ventre et me tire d’un coup sec en arrière, de ce fait je me retrouve à quatre pattes le cul relevé, la gueule contre mon sperme que je m’empresse de lécher et d’avaler avec délice. Puis il me fait plier les jambe et on se retrouve tout les deux par terre en levrette, il continut de me pilonner avec vitesse et violence, sa pine me ramone littéralement les intestins. Ce priape me donne du plaisir comme jamais. Ghislain me possède complètement à grand coup de boutoir en poussant des « Han » de bûcheron. Je ne vis plus que pour la queue qui me déglingue la prostate. Le sperme déjà présent dans mon cul se met à déborder sous les coups de boutoir de mon ami et je le sens couler sur mes couilles et sur le parquet. Avec une main je m’empresse de récupéré ce liquide blanchâtre si délicieux et je l’avale intégralement. Il continue de me posséder ainsi pendant 20min puis lâche une nouvelle fois sa purée au plus profond de mon cul me déclenchant une nouvelle fois un orgasme dévastateur, je me cambre au maximum pour accentuer au mieux la pénétration, j’éjacule tout ce qui me reste dans les couilles sur le parquet et tombe à plat ventre sur le sol à demi conscient.

    Je sens Ghislain se retirer de mon cul et une fois de plus le sperme coule de mon anus le long de mes couilles, cette fois si je n’ai pas le temps de récupérer la semence car je sens une langue lapé tout le foutre qui est en train de couler par terre à présent.
    Deux mains me prenne par la taille et me retourne sur le dos, et je sens une nouvelle fois une langue me laper les abdos. Ayant retrouvé mes esprits, j’ouvre les yeux et vois Damien qui s’affaire à nettoyer mon parquet de mon sperme.

    _Faut que tu apprennes à fermée ta porte d’entrée Kyl, me dit-il

    Je vois du coin de l’œil Ghislain qui se fait tout petit, un trou de souris ne lui aurait pas empêché de ce cacher, il se sent honteux et surpris, Damien le remarque aussi.

    _Vous vous êtes bien amusés tout les deux, dit Damien en souriant le sperme aux lèvres, on a suivi toutes les scènes Cyril, Mathéo et moi par le velux.

    D’un bon je me relève et en effet je vois Cyril et Mathéo au velux de Damien avec une paire de jumelle en train de nous mater, ils ne voient pas Damien car il est resté assis au sol pour ne pas que les autres le voit avalant mon foutre au sol.

    _Putain je suis foutu, dit Ghislain dans un élan de peur extrême, ça va jaser de partout de savoir que je me suis taper un autre mec.
    _Et tu as honte de ça ? Demandais-je interloqué
    _Evidement mec putain je me suis taper un mec, je ne suis pas homos, je t’ai dit que c’était juste pour te remercier.

    A ces mots, Ghislain enfila son tee-shirt et descendit rapidement les escaliers, enfila son caleçon, son pantalon et ses chaussures.
    Je le suivis nu, suivit aussi par Damien. 

    _Ecoute arrêtes de te faire du mal, on va aller leur parler et on verra ce qu’il en est!
    _Nan t’es fou sale Pd, je veux plus jamais te revoir ni aucun de vous!

    Entendre ces mots de sa bouche me mit dans une colère noir, je lui colle mon poing dans la gueule, il tombe par terre:

    _Tu vas m’écouter maintenant, c’est pas la mort ce qui t’arrive, alors maintenant tu fermes ta gueule et tu attends que je me rhabille et on va aller les voir!
    _Kyl à raison Ghislain, tu viens toi aussi de découvrir en quelque sorte que lui et moi on a déjà et on baise encore ensemble sans que personne le sache, j’ai fait ce que j’ai fait à la fois pour te surprendre et pour te montrer qu’il n’y a aucune honte.

    Ghislain pleurais maintenant a chaude larme et acquiesa d’un signe de tête, je me rhabille en vitesse, on sort, je ferme la maison et on va chez Damien retrouver Cyril et Mathéo!

    En voyant arriver Ghislain en pleurant encore à moitié, Cyril et Mathéo ne se moquaient pas du tout, au contraire ils se sentaient mal pour lui.

    _T’inquiète pas mec on dira rien à personne, dit Mathéo.
    _Il a raison, on sera muet comme des tombes, renchérit Cyril.
    _ Mais maintenant vous croyez que je suis Pd alors que je ne le suis pas, Kyl à toujours été en quelque sorte mon vide couille quand je n’avais pas de copine et là ça faisait longtemps que je n’avais pas baisé alors j’ai profités un peu de l’occasion.
    _Un peu, dit Cyril en rigolant, on t'a quand même vu jouir deux fois, et tu sais à quoi tu ressembles quand tu jouis!

    Cyril fit une grimace qui nous fît tous rire, même Ghislain eu un petit sourire

    _T'as aucune raison de t’en faire, tiens voila je l’avoue aussi, j’ai déjà baisé aussi avec Kylian, maintenant tout le monde le sait, dit Damien de façon spontané!

    On regardait tous Damien à présent, Cyril et Mathéo furent très surpris de la nouvelle et Ghislain et moi encore plus qu’il le dise!

    _Putain toi aussi tu l’as baisé, mais pourquoi tu l’as fait toi? demanda Mathéo interloqué.
    _Ben! un matin, ça partait d’une connerie, au départ je voulais le réveiller en lui filant une peur bleu mais quand je l’ai vu je ne sais pas ce qui m'a pris et de fil en aiguille on a couché ensemble, plusieurs fois.
    _Alors là je suis sur le cul, dit Cyril.
    _Je dégage peut être quelque chose dis-je en rigolant!
    _Peut être mais en tout cas de vous voir baiser ça nous à filer une tric d’enfer, tant que tu es là tu voudrais pas nous faire du bien aussi Kyl? demanda Mathéo sur un ton très sérieux

    On le regardait tous interloqués, lui même ne revenait pas vraiment de ce qu’il venait de dire.

    _Vous avez bu ou quoi déjà? Demandai-je
    _Non pas du tout mais bon d’après Damien et Ghislain tu sais plus que satisfaire, autant rendre plus pimentée cette soirée, si les autres ne veulent pas et bien on aura qu’a nous mettre dans un coin tout les deux!
    _Tu m’as pris pour ta pute ou quoi Mathéo, tu te rends compte comment tu parles de moi là, je suis pas une chienne qu’on dresse avec une laisse autour du cou.

    En réalité, j’espérais secrètement que Cyril se joigne à nous, j’ai toujours voulu goûter à sa bite, mais entendre sortir ce genre de propos de la bouche de Mathéo me mettait hors de moi, d’une on avait jamais baisé ensemble et de deux il ne m’attirait pas spécialement comme mec!

    _Scuse moi Kylian, je ne réalisais pas la teneur de mes propos!
    _Et bien fait gaffe à ce que tu dis la prochaine fois.
    _En tout cas si Kylian est d’accord, je veux bien me joindre à la petite partie, dit Cyril.

    Youpi, Cyril accepte!

    _Attendez, vous n’avez même pas demandé mon avis, disais-je sans grande conviction.
    _Arrêtes de faire ton sérieux Kyl, rétorqua Damien, regarde la gaule que tu as!

    En effet la bosse dans mon pantalon trahissait une excitation non feinte. Ghislain ne disait plus rien, à la fois stupéfait et toujours un peu honteux il se mit en retrait pour aller fumer une clope dehors.

    Ne sachant pas trop par quoi commencer, Cyril et Mathéo laissaient Damien prendre les devants, il me déshabille petit à petit, m’enlevant mon tee-shirt délicatement en profitant pour me caresser les abdos et le torse, la nuque puis le visage. Le tee-shirt arrivé à ma tête il commence à me lécher les tétons, il les aspire, les mordille puis descend doucement vers mes abdos qu’il prend un malin plaisir à caresser et lécher pendant plusieurs secondes, il finit à genoux puis me déboucle la ceinture, baisse mon pantalon et commence à jouer avec ma bite à travers mon caleçon. Il lèche ma queue à travers le fin tissu puis fait descendre mon caleçon avec ses dents. Arrivé à mes pieds, il enlève mes chaussures et mes chaussettes. Je me retrouve nu devant Cyril et Mathéo, une légère gène m’envahit mais vite dissipée par Damien qui se montre très sensuel, il me lèche les pied, remonte le long de mes chevilles doucement, atteint mes genoux puis les hanches. Il me fait languir comme un fou mais je n’en montre rien et le laisse continuer ses gestes. Cyril et Mathéo commence eux aussi à se déshabiller.

    _Non ne vous déshabillez pas, dit Damien entre deux coup de langue sur mon ventre, votre tour viendras.

    Damien continue ses caresses buccales sur tout mon corps excepté mes parties intimes, il me lèche les fesses, remonte le long du dos, arrive à mes omoplates et remonte vers la nuque m’embrassant délicatement, une envie violente de me masturber me prend mais Damien m’attrape les mains, il me sert contre lui et je sens sa bite gonflé à travers son pantalon, je tourne légèrement la tête et nous nous embrassons fougueusement. Il prit lui-même l’initiative de me branler doucement mais de part ses caresses j’éjaculais très rapidement, une quantité de sperme très réduite, dut à trois éjaculations précédente, se répandit sur le carrelage au pied de Cyril et Mathéo qui observaient la scène d’un œil attentif. Damien essuya sa main imbibé de mon sperme sur mon ventre et mon torse puis desserra son étreinte, se dirigeant vers Mathéo.

    _Je te laisse Cyril, me dit Damien en me faisant un clin d’œil, tu m’as répéter plus d’une fois qu’il t’excitait. 

    Je le remerciais d’un hochement de tête et me dirigea vers Cyril, accidentellement je marchais sur mon sperme par terre. Avant même que je me baisse pour récupérer ma semence, Damien me dit:

    _Laisse, on récupérera tout d’un coup, dit-il en lançant un sourire vicieux!

    Je laisse donc mon foutre et commence à m’occuper de Cyril. Son tee-shirt moulant noir laisse deviner un corps superbe, je commence à le caresser au travers de son tee-shirt puis le soulève délicatement laissant apparaître des abdos superbement bien dessinés que je m’empressais de lécher, relevant toujours doucement son tee-shirt, apparaissent de superbe pectoraux que je m’empresse tout autant de goûter, je joue avec ses tétons, les léchant, aspirant et mordillant délicatement. Je finis de lui retirer son maillot puis remonte délicatement ma langue vers sa nuque puis je tente de l’embrasser mais sa bouche se dérobe à la mienne.

    _Je veux bien que tu me fasses du bien Kylian mais de là à te rouler une pelle je ne me sens pas vraiment encore près! 

     

    Très déçu de mon ami je redescends doucement vers ses pectoraux puis ses abdos caressant doucement son dos. Muni d’un jogging, la forme qu’il laissait percevoir trahissait une excitation plus qu’évidente, restant sensuelle contre ma volonté, je descends doucement son jogging, passant ma langue tout le long de ses jambes poilu jusqu’au cheville puis je remonte ma langue tout le long de son autre jambes et commence à laper sa bite au travers de son slip. 

    Je vois Damien appliquer le même traitement à Mathéo, sauf que celui-ci à refusé d’enlevé son tee-shirt, complexé pas son surpoids. Il lui malaxait le cul et commençais à descendre son caleçon, sa bite libéré, elle est encore plus grosse que je ne l’avais imaginé, à vue d’œil, 25cm de long pour 7cm de large munie d’un gros gland circoncis d’où perlait déjà du pré-sperme. Je n’arrivais pas à détaché mon regard de ce formidable priape, ce fût Damien qui me ramena à la réalité.

    _Non, il est à moi celui la, toi tu as Cyril.

    Je voyais Ghislain dehors sur la terrasse nous regarder du coin de l’œil, il se caressait la bite à travers son pantalon mais ne réagit pas à mes signes de tête. Je me concentre donc de nouveau sur Cyril, faisant descendre son slip avec mes dents libèrent une bite majestueuse pointant droit vers le ciel, plus petite et moins large que celle de Mathéo, Damien et Ghislain, elle n’en restait pas moins magnifique, une fine toison brune recouvrait le pubis de Cyril et aucun poil ne couvrait ses couilles, rasé à la perfection comme j’aime. Je prends cette bite d’environ 17cm dans ma main puis commence une lente masturbation. Je jette un coup d’œil à Cyril et le vois, la tête jeté en arrière savourant les caresses que je lui prodigue.

    Damien est en train de sucé vigoureusement Mathéo, sa bouche est totalement déformé par la taille de la bite qui est en train de lui défoncer la gorge. Il caresse ses couilles en même temps puis tente de remonter sa main vers son cul mais il rejette vivement sa main. Il se concentre donc exclusivement sur sa pipe alternant caresses, coup de langue et gobage de cette formidable queue. Damien avait sortit sa bite de son pantalon au travers de sa braguette par pure confort car il ne se masturbait pas. Il dirigeait complètement les opérations, je ne savais pas ce qu’il avait en tête.

    Cyril n’y tenant plus prend ma tête entre ses main et me colle à sa bite et ses couilles. Je commence à lui léché les couilles, les gobant et les léchant puis je passe ma langue sur tout le long de sa queue et m’attarde sur son gland violacé que je titille du bout de ma langue pour ensuite prendre toute sa bite en bouche d’un coup. Après seulement quelque seconde de pipe, je sens le gland de Cyril gonfler dans ma bouche et craché toute sa purée sous pression dans ma petite bouche en 6-7 giclées, une quantité impressionnante de sperme se retrouva dans ma bouche sans que je mis attende. Dure découverte, Cyril est précoce. Le cris de jouissance de Cyril alarma Damien qui me dit:

    _Crache ça par terre

    A contre cœur je laisse s’échapper ce délicieux liquide blanchâtre entre mes lèvres pour rejoindre mon foutre qui commençais à sécher sur le carrelage gris.

    Cyril s’assied par terre contre le mur restant lui aussi nu, il recommençait déjà à être en forme. Pour ma part, pendant l’excitation de Cyril j’avais aussi retrouvé la forme mais Damien m’a interdit de me branler. La tentation devint de plus en plus forte mais je laisse Damien continué son scénario. 

    Damien continue de sucer goulument la queue de Mathéo avec le plus en plus de vigueur alternant pipe et masturbation, il le caresse en même temps sur tout le corps à l’aide de ses mains, je l’ai bien éduqué (Voir « L’apprentissage de Damien »).

    Pour ma part, la vigueur retrouvée de Cyril m’incita à recommencer à le sucer.

    _Vas y re-suce le si tu veux mais n’avale pas!
    _Mais qu’est ce que tu veux à la fin, lui demandai-je d’un ton suppliant!
    _Tu baises chez moi pour une fois, laisses moi mon scénario.

    Je recommençais donc à sucer Cyril qui me lâcha une seconde rasade de sperme dans la bouche au bout de seulement quelque minutes. A contre cœur je le recrachais une nouvelle fois par terre.

    Laissant Cyril assis contre le mur et Damien à sa pipe, je partis voir Ghislain sur la terrasse.

    _Qu’est ce que tu attends pour venir nous rejoindre?
    _Je ne sais pas, je vous vois tous affairés les uns aux autres, je ne voulais pas m’incruster.
    _T’es con ou quoi, tu peux participer tout autant.

    Il avait sorti sa bite de son jean, je me mis à genoux entre ses jambes et commençais une nouvelle fellation, elle avait encore le goût de son sperme, je me délectais de cette bite qui m’avais donné tant de plaisir une heure plus tôt. J’entendis Mathéo pousser un gémissement puis éjaculer enfin dans la bouche de Damien, celui-ci fît comme moi et le recracha par terre, Mathéo s’affala lui aussi contre le mur et Damien se masturba. Je me sentais mal de le laisser se finir en solo alors qu’il m’avait donné un plaisir intense 20min avant. Je modifiais alors la pipe que j’offrais à Ghislain pour le faire juter plus vite afin que je m’occupe de mon meilleur amant Damien. Après 5min d’une pipe magistrale il me lâcha lui aussi sa purée tout autant réduite que la mienne dans la bouche, j’étais tenté de l’avaler mais Damien me surveillait, je me remis donc debout puis cracha le sperme de Ghislain par terre mélangeant ainsi tout ceux des autres et le mien, il ne manquait plus que Damien!

    Je regardais Damien d’un œil envieux, celui-ci compris et lâcha enfin sa bite, je me mis à quatre pattes puis je commençais à laper sa belle queue que j’aime tant, 19cm environ très épaisse mais avec un gland plus petit que le reste de sa teub, elle n’en reste pas moins magnifique et délicieuse. Damien avait fermé les yeux savourant la pipe que je lui offrais, il me tenait la tête en même temps puis faisait de léger mouvement donnant lui-même le rythme. Je jouais avec sa bite, je lui aspire le gland, titille le bout avec ma langue puis descend lentement vers ses couilles qu’il a rasées exprès pour mon plus grand plaisir, je m’attarde sur ces couilles car je sais qu’il adore ça. Je place ma tête quasiment dessous et lui gobe ses deux couilles. Damien finit par s’accroupir et moi à m’allonger sur le dos, remarquant mon érection, Damien se jette sur ma teub et nous commençons un 69 magistrale. Relevant légèrement la tête et me retournant un peu je vois Mathéo et Cyril qui ont repris de la vigueur recommencé à se masturbé lentement, Ghislain revient vers nous et reste debout contre le mur, nous matant Damien et moi dans une position plus qu’excitante. Notre étreinte n’en finit pas, ce n’est pas seulement le fait de vouloir baiser, c’est réellement l’amour qui nous guide dans nos mouvements, ne tenant plus je sens le sperme monté le long de ma verge, je sens aussi le gland de Damien gonfler dans ma bouche, nous éjaculons en même temps l’un dans la bouche de l’autre. Je n’ai malheureusement plus beaucoup de sperme à offrir contrairement à Damien qui me remplit la bouche de son foutre si délicieux, il se met assis puis crache le peu de foutre que je lui ai donné par terre, ce que je fais aussi comme il le veut.

    _Putain les mecs, c’était magistrale ce que vous nous avez fait, dit Mathéo.
    _Ca c’est clair, je n’ai jamais joui aussi fort, renchéris Cyril.

    Perdant maintenant toute inhibition, Ghislain ajouta:

    _Kylian est un super coup je vous le garantis
    _Merci, lui dit-je en souriant le sperme aux lèvres, qu’est-ce que tu veux faire de tout ce sperme maintenant Damien?

    En effet, une belle flaque blanchâtre c’était formé sur le carrelage gris.

    _Il fallait bien partager non, dit Damien avec son petit sourire vicieux que j’aime tant, alors je voulais tout simplement en faire ça!

    Il se fout à quatre pattes et commence à laper le sperme au sol comme un chat qui lape son lait, je m’empresse de le rejoindre ne voulant pas lui laisser tout ce liquide si précieux et si délicieux. Les autres nous regardent avec de grands yeux à la fois emplis de dégout et de stupéfaction. Une fois qu’il ne restait plus une trace de sperme au sol, Damien et moi nous roulons une pelle afin une nouvelle fois d’échanger le peu de foutre qui nous restais en bouche.

    _Vous êtes quand même incroyable les gars, c’est à la fois dégueulasse et ultra excitant ce que vous faite, je vous savais pas aussi cochon, remarqua Cyril en souriant.
    _Ca c’est clair, renchérit Mathéo, vous m’avez refilé une trique d’enfer avec votre 69 magnifique, on ne va quand même pas en rester là?
    _Ca ne fait que commencer, dit Damien.

    Je regardais Damien avec de grand yeux, il ne s’était jamais montré aussi assoiffé de bite avant ce soir.

    _Mec laisse moi quand même un peu de temps pour me reposer là, j’ai plus une goutte de sperme et je commence à avoir vraiment mal aux couilles à force d’éjaculer du vide.
    _T’inquiètes on va manger et boire un peu, on reprendra dans 1h ou 2 mais interdiction à tout le monde de se rhabiller, d’ailleurs Ghislain, dessape toi entièrement histoire qu’on soit logés à la même enseigne.

    Cette soirée s’annonçais vraiment unique et superbe, on était tous assis sur la terrasse, nus à boire, manger et fumer quelques clopes, l’excitation de chacun se ressentais énormément, je voyais même Cyril qui recommençais à se masturber discrètement sous la table. Le voyant commencer à grimacer légèrement je lui caresse doucement la jambe avec mon pied et fait exprès de faire tomber quelque chose sous la table. Je me fous donc à quatre pattes sous la table et je vois Cyril se pincer fortement le prépuce pour empêcher le sperme de gicler sur la terrasse, je m’empresse de lui enlever la main et récupère tout son foutre au fond de ma gorge que j’avale avec délice.

    _Traitre, Cria Damien!

    Il me chopa par le bras et me traina du dessous de la table m’écorchant les genoux à cause des joints entre les carreaux de carrelage.

    Il me lâche et je me retrouve à plat ventre sur le carrelage froid, il m’écarte les jambes avec ses mains puis enfourne sa langue dans mon anus encore bien dilaté de ma baise avec Ghislain. Pendant de longue minute il joue avec mon trou entrant sa langue dans mon cul puis me doigtant la seconde suivante pour refoutre sa langue à l’intérieur ensuite. Quel plaisir de sentir cette langue chaude et familière sur mon trou, mon érection se fait de plus en plus violente et je commence à avoir mal à la pine dut à l’espace restreint entre mon ventre et le carrelage, je relève légèrement le bassin et fait passer ma teub en dessous de mes couilles à l’aide de ma main.

    _Toi qui dit tout le temps ne pas être satisfait de baise, ce soir on va te faire ta fête Kyl, dit Damien avec grande conviction! Ghislain viens par la.

    Du coin de l’œil je vois Ghislain se lever de table, sa bite est tendu à l’horizontal prête pour la baise. Damien me relève le bassin et me met à quatre pattes, il reste à genoux en continuant de jouer avec mon cul et dit entre deux coups de langue.

    _Glisses toi en dessous et suce le!

    Damien se montrait très autoritaire, en effet la plupart du temps c’est moi qui suit actif et lui soumit, ce soir il décide d’inverser grandement les rôles. Ghislain ayant perdu toute inhibition dut à nos préliminaires sur nos amis, il se glisse sous mon ventre, ses longue jambes fines passe entre mes genoux sanguinolent et puis entre celles de Damien toujours à genoux me dévorant le cul. Remarquant quelque chose dans cette position, je baissais légèrement mon bassin obligeant Damien à reculer et Ghislain à avancé. Le stratagème fonctionna et la bite de Ghislain entra en contact avec le cul de Damien.

    Je laissais maintenant Damien faire ce qu’il voulait avec cette nouvelle position, je me concentrais sur le plaisir procuré pas les langues et mains de mes amis. Je sens Ghislain jouer avec mon gland, il n’attaque que celui-ci délaissant complètement le reste de ma tige et mes couilles, il aspire mon gland, le titille, le mordille, le lèche sur toute sa surface, quel plaisir intense de sentir cette langue chaude sur mon gland violacé, et Damien toujours affairé à me bouffé l’anus, il m’enfile deux, trois doigts, me branle violament le cul puis les retire et recommence à me lécher le fion. 

    _Est vous deux, restez pas là bas à rien faire, dit Damien à l’adresse de Cyril et Mathéo, venez par là!
    _Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse, demanda Cyril qui avait retrouvé grande forme.
    _Mathéo, va baiser la gueule de Kylian, il veut ta grosse queue dans la bouche, et toi Cyril, tu as déjà fait un anulingus?
    _Oui une fois pourquoi?
    _Alors occupes toi de mon cul et en même temps de la bite de Ghislain!

    Tout d’abords un peu réticent, je voyais très peu Cyril mais je devinais qu’il léchait le cul de Damien mais pas la bite de Ghislain. Mathéo me présenta sa bite en fasse de ma gueule, je la pris en bouche avec passion. Cette queue, putain qu’elle délice, elle à le goût de Damien et le sperme séché, je dévore cette énorme bite avec envie, qu’elle formidable teub, j’arrive à peine à faire entrer le gland dans ma bouche tellement il est gros. En conclusion je me retrouve avec Damien qui me lèche le cul, Ghislain qui me suce et moi qui suce Mathéo, putin quelle pied sublime je suis en train de prendre, c’est merveilleux. Impossible de décrire l’extase que je ressens à sentir tout se que je sens à ce moment précis tellement c’est intense.

    _Allez n’ai pas peur Cyril, suce Ghislain un peu et fout moi tes doigts dans le cul, arrête de faire ta chifmole!

    Cyril toujours très hésitant commença à lécher la teub de Ghislain et entra d’un coup deux doigts dans le cul de Damien, je sentais son souffle sur mon anus, il kiffait se faire fister. Je sens Damien qui m’enfile maintenant un quatrième puis la main entière, comme à notre première fois. Je me cambre violament et éjacule en feulant dans la bouche de Ghislain le peu de sperme reconstitué ses 2 dernières heures. Je regarde Ghislain jouer un moment avec mon sperme dans sa bouché et vois Damien passé sous mon ventre venir embrasser Ghislain pour lui prendre mon sperme tout en gardant son poing dans mon cul. Mathéo en avait profité pour se branler et éjacula une quantité nouvelle de sperme sur mes cheveux et mon visage. Cyril doigte maintenant Damien avec 3 doigts en suçant goulument Ghislain, il y a pris goût on dirait. Ghislain commence à pousser un gémissement, Cyril arrête de le sucer et finit de le branler, il éjacule sur son ventre un tout nouveau sperme tout frais que Damien s’empresse de récupéré.

    _Bon maintenant c’est à Cyril et moi d’éjaculer dit Damien!

    Il nous donne ses directive et nous nous retrouvons maintenant dans une position encore plus extravagante, Cyril est allongé au sol, Damien fait le pont au dessus de lui et s’empale sur sa bite, l’aidant dans ses mouvement je prend les fesses de Damien dans mes mains et les remonte et les descend de manière régulière tout en le suçant pendant que je me fait enculer par Ghislain, et Mathéo se fait sucer par Damien qui a balancé sa tête en arrière pour que Mathéo lui baise la bouche! Nos gémissement se mélange, le premiers à pousser un cri plus perçant que les autre est Cyril qui éjacule dans le cul de Damien qui celui-ci éjacule dans ma bouche, j’avale son sperme avec un plaisir évident. Sans lâcher les fesses de Damien, je le descends pour l’asseoir doucement sur le pubis de Cyril afin que sa bite reste bien à l’intérieur le temps qu’il retrouve la forme.

    _Cyril retourne toi, dit Damien!
    _Comment ça, demanda celui-ci.

    Je comprenais ce qu’il voulait faire mais n’en dit rien, trop exciter par la tournure des choses, en effet, Cyril avait la tête sous les couilles de Mathéo à environ 50cm, maintenant il était juste en dessous de ma bite à la même hauteur. Je sentis tout d’un coup Ghislain plaquer son pubis contre mon cul et éjaculer une nouvelle fois dans mon cul se qui me provoqua un orgasme intense et j’éjaculais une petite quantité de sperme en plein sur le visage de Cyril qui ne s’y attendait pas du tout.

    _Putin mec t'es dégueulasse, dit-il en criant avec, bizarrement, un petit sourire.

    Il m’attrapa par la bite et me tira violament vers le bas, cassant complètement la position qu’on avait tous prise, Damien bascula en arrière sur les jambes de Cyril alors que Mathéo éjaculait une nouvelle fois, ma tête heurte le cul de Damien et je sens le liquide chaud de Mathéo coulé le long de mes cheveux, Ghislain avait réussi à se rattraper à la rambarde de la terrasse et n’est donc pas tombé. Je comprenais maintenant ce qu’il se passait, Cyril était en train de m’aspirer le gland pour récupérer le peu de sperme qu’il contenait. Après environ quelques minutes ainsi, on se releva tous.

    _Putain mais quel pied sérieux, dit Cyril, vous êtes des super coups tous les deux.
    _Merci dit-je en même temps que Damien.
    _Tu devrais faire quelque chose pour tes cheveux et ton visage, dit Mathéo

    En effet, j’avais gardé le sperme de l’éjaculation précédente de Mathéo et maintenant j’en avais plein les cheveux!

    _Attends laisse moi faire, dit Damien.

    Il me lèche entièrement le visage et passe sa main dans mes cheveux mi-court, me mettant les cheveux en pétard puis il me laissa lécher ses doigts que je suçais avec délice.

    _Vous êtes quand même incroyable tout les deux, dit Ghislain, on vient de baiser tous ensemble je ne sais pas combien de temps et vous avez éjaculé je ne sais combien de fois et vous avez encore le barreaux!

    En effet Damien et moi avions une nouvelle fois la gaule!

    _Ca suffit pour ce soir dis-je, je suis crevé et j’ai mal aux couilles
    _Pareil pour moi dit Ghislain.

    Les autres aquéraient et nous retournâmes à table finir les quelques saucisses grillées.
    Nous allâmes nous coucher après, Mathéo s’affala dans le canapé, Cyril pris le fauteuil couchette, Ghislain s’allongea sur le tapis avec un coussin, quand à Damien et moi nous nous allongeâmes sur son lit.

    _C’était super ce soir, lui dit-je, j’espère qu’on recommencera mais je dois dire que je préfère quand même me retrouver avec toi.
    _Moi c’est pareil, te voir te faire enculer par un autre m’existait énormément mais me rendais jaloux en même temps!
    _Et moi qu’est ce que tu crois que je ressentais quand Cyril t’enculais?

    Nous nous embrassâmes pendant de très longues minutes, ne voulant pas avoir encore plus mal aux couilles je recommençais à sucer Damien avec envie et satisfaction.

    _Même les plus grosses bites du monde ne m’empêcheront pas de préférer ta queue Dam, je l’aime trop et je veux la garder toute ma vie.
    _Moi aussi j’adore ta bite Kyl, je la trouve magnifique et mignonne et ton foutre est le meilleur au monde.

    Je continuais à le sucer vigoureusement alternant masturbation et pipe puis il finit par ce déverser en moi une nouvelle fois dans ma bouche en feulant. Nous nous embrassâmes encore pendant de longue minutes lui faisant partager son sperme et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre, queue contre queue, partant au pays des rêves avec tout l’amour que l’on à l’un pour l’autre. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Bonsoir, je me lance dans l'écriture d'histoires érotiques. Je suis, sans me vanter, un grand expert en scénarios sexe, que je fais avec des filles du net et à force de lire vos histoires, j'ai décidé d'en écrire une. 
    Mon histoire est bien sur un fantasme, mais elle part d'une base réelle: j'ai en effet la chance de faire un boulot ou mon équipe est composée de 7 femmes et de moi, seulement. Je vais bien sur décrire chacune de mes collègues du boulot, en exagérant pour certaines. Mais résumons mon métier: je m'occupe de personnes à la retraite, pour faire simple et ne pas m'attirer d'ennuis. Je m'appelle Marc, suis brun, yeux marrons, 1m70 pour 80 kg ( un peu de muscles quand même ), avec un sexe de dimension normale, circoncis. 
    Commençons donc par ma première collègue, celle par qui mon fantasme est parti. Elle s'appelle Caroline, brune aux yeux marrons, la même taille que moi, mais ce qui m'a surtout plu en elle c'est sa forte poitrine, du à un début de grossesse. Elle s'habille toujours de façon originale si je puis dire mais sa poitrine...ah la la. Enfin bref, commençons donc mon histoire. Ce fut un lundi soir, ou d'habitude nous travaillons à deux, mais chacun finissant à des horaires différents, hors ce soir là, je me retrouvais en doublure avec Caroline et on finissait à la même heure. Niveau travail, je n'avais rien à envier à Caroline, elle faisait très bien son travail et je m'entendais très bien avec elle. Mais du coup, ce soir là, étant donné que nous étions deux à finir à la même heure, c'est à dire vers 22h, nous avions déjà coucher tous nos résidents vers 20h30 et du coup, nous restions là à parler de tout et de rien, mais surtout on faisait des commérages sur le personnel qu'on n'aimait pas. 
    Mais ce soir là Caroline, habillée d'une jupe assez longue et d'un débardeur, assez moulant, me faisait beaucoup d'effet. Quand je lui parle, je regarde beaucoup sa poitrine, surtout que sur son débardeur, il y a un dessin, deux mains sur chaque sein. Du coup, on parle et on parle, je matte discrètement, enfin je l'espère, ses seins, mon pénis bande. Et là, la question qui tue:
    - Ben alors, c'est là que sont mes yeux Marc! 
    Je la regarde alors tout gêné. 
    - Désolé Caroline mais...je suis un mec hein ( sourire ) et disons que....le débardeur est assez explicite. 
    Je rigole alors pour faire passer ça sur le ton de la plaisanterie. Elle regarde son débardeur et rigole aussi. 
    - T'es con Marc ma parole, et arrête de les matter s'il te plaît c'est gênant, je vais bientôt me marier et surtout avoir un gosse hein? donc pas d'illusions.
    - Désolé, c'est pas de ma faute si tu as une poitrine généreuse...
    - C'est vrai que mon copain ne s'en plaint pas, mais il n'en raffole pas tant que ça, c'est bien dommage. 
    Dans ma tête, la situation m'excitait énormément et ce " c'est bien dommage " était un appel au sexe pour moi. 
    - Il est très con alors désolé de le dire Caroline, moi si j'avais une copine avec une telle poitrine, hum ouh la la ( souriant )
    - Ben vas y dis moi ce que tu ferais, dit elle tout en souriant
    Je fais les gros yeux surpris de sa question, peut être est elle très cochonne. 
    - Hum et bien, je les malaxerais pendant des heures, les téterais aussi, et puis pourquoi pas me ...me...
    - Te quoi? vas y dis moi 
    - Me branler entre et jouir sur eux.
    - Hum ben dis donc tu sais y faire avec des seins toi...
    - Oui oui mais bon...je ne le ferai pas avant longtemps ....( souriant ) 
    - Et oui mon petit Marc c'est bien dommage pour toi. 
    Caroline se lève alors pour aller ranger deux trois choses qui traînent sur l'unité de vie, la nuit est déjà tombée, il n'est que 21h. Moi je croise mes jambes car mon érection me fait mal et me tourne vers Caroline pour la matter et l'admirer. Elle me sourit et je pense même apercevoir son regard se poser vers mes jambes puis elle se rassied en face de moi, le bureau du personnel entre nous. 
    - Ça fait longtemps que t'es celib? me demande t'elle.
    - Ben tout dépend, ça va faire bientôt six mois oui.
    - Ah ouais quand même, je comprend pourquoi tu me mattes les seins comme ça, me dit elle tout en riant
    - Ouais ouais je sais, excuses moi, mais on pourrait parler d'autre choses, déjà que j'ai une érection en plus. 
    - Ah ouais et tu me dis ça comme ça? 
    - Ben j'aime bien être honnête en fait ( souriant )
    - Et...Non rien c'est bon , dit elle alors, je vois qu'elle rougit et qu'elle est gênée.
    - Non dis moi, tu sais bien que tu peux tout me dire.
    - Bon ok avec tes conneries maintenant, j'ai envie.
    Je la regarde ne comprenant pas trop, et je vous assure que je ne comprenais pas.
    - Envie? Mais de quoi? 
    - T'es con ou quoi mais de sexe voyons.
    - Oh ben attend, t'as plus qu'une heure et après tu rentres voir ton chéri, dis je riant.
    - Ouais pas faux mais...
    - Ouh la.... mais ce voudrait dire que...non pas avec moi quand même caroline? je veux pas être un sujet de dispute pour votre couple, et puis tu es enceinte...
    Elle me regarde avec des yeux alors qui veulent tout dire. Elle pousse même mon excitation à son comble en posant une main sur son sein, par dessus son débardeur le malaxant. 
    - Tu sais on dit bien que sucer c'est pas tromper, et si ça reste bien entre nous...
    Je la regarde alors complètement choqué, excité, gêné, tout ce que vous voudrez. 
    - Tu n'es pas sérieuse là? C'est un canular en fait non? 
    Elle me fait non, et sa main sur son sein s'est lentement déplacée sur le débardeur, le soulevant assez pour exhiber alors un sein. Dans ma tête, c'était fini, mon instinct de mâle prend le dessus, mais je regarde vers la porte qui menait à un couloir, seul couloir qui était le chemin d'entrée et de sortie. 
    - Ici? lui demandais je alors.
    - La réserve ou les toilettes on a le choix, me répond elle.
    - Mon dieu je crois rêver là...Mais attend qu'on soit clair....c'est juste....pour cette fois ci ou bien....
    - On verra bien, allez viens. 
    Elle relâche le débardeur, prend les clefs, et je la suis donc, bosse bien visible. Elle me sourit sur le passage, ouvre les toilettes, et nous y entrons alors. Moi dans ma tête je ne répond plus de rien. Elle ferme la porte à clef et me sourit. 
    - Pas de bruit, on s'embrasse pas, je te suce, tu éjacule ou tu veux mais tu fais vite, sors la.
    Ce ton si direct, si clair, cette voix si excitante et ces ordres, je m'assied alors sur les toilettes en ayant bien pris soin de sortir mon sexe tout dur. 
    Caroline se met à genoux alors, soulève son débardeur pour l'enlever, m'exhibant sa forte poitrine alors.
    - Alors tu les aimes Marc? me dit elle tout en se malaxant les seins elle même.
    - Hum! oh oui! Caroline, dis je me masturbant lentement devant elle.
    - Passons aux choses sérieuses, j'ai faim, me dit elle alors d'une voix ...de salope, il n'y a pas de mot.
    - T'es une cochonne en fait hein? 
    - Tout ce que tu voudras, me dit elle
    - Petite salope allez suce moi vite qu'on en finisse
    A peine la phrase finie, qu'elle avait déjà mon pénis dans sa bouche et suçotait le gland, en faisans des bruits de succion et me regardant avec un regard digne des films pornos. Je ne pouvais m'empêcher de gémir, elle sort alors mon gland.
    - Tais toi on va se faire repérer.
    - Désolé, lui dis je.
    Elle reprend alors le gland puis arrive même à me faire une gorge profonde, commençant à me sucer vite, puis doucement. Il m'est très difficile de ne pas gémir, surtout qu'elle sait très bien y faire. Elle arrête par moment sa fellation pour me branler avec ses seins. De temps à autre je l'insulte, elle me regarde et accélère sa branlette espagnole. Cela fait à peine dix minutes qu'elle me suce que je sens déjà l'orgasme monter en moi. Je la préviens que ça monte et elle me sourit puis me reprend en bouche, alternant léchage de gland et gorge profonde. 
    Soudain, stupeur, on tape au toilettes. 
    - Marc? 
    Merde, notre chef de service. Je regarde Caroline, qui me fait les gros yeux ma queue dans sa bouche et me fais signe de répondre avec sa tète. 
    - Je....oui?
    Et Caroline continue comme si de rien n'était sa fellation tout en accélérant 
    - Tout se passe bien? Ou est Caroline? me demande mon chef de service, alors que mon sperme monte rapidement, prêt à exploser
    - Je crois qu'elle m'a dit qu'elle allait aux toilettes d'en bas, et oui.....ouhhh ouhhh tout va bien. 
    C'est alors que j'éjacule abondamment mon sperme dans la bouche de Caroline, cette dernière l'avale sans problème. 
    - Bon ok à tout à l'heure , me dit le chef de service.
    Je regarde Caroline alors avaler encore de mon sperme puis elle me nettoie la queue.
    - Hum putain ce que c'était excitant quand il a tapé à la porte, dit elle se relevant, pour se nettoyer la bouche au lavabo. 
    - Hum putain que tu suces bien, je sais pas si je vais pas te redemander de me le refaire...
    - Pas ce soir en tout cas, tu m'as inonder la bouche petit pervers... me dit elle en souriant.
    Elle se rhabille, je me rhabille, nous retournons sur l'unité, il n'est que 21h30 mais j'ai passé la meilleure demie heure de ma vie....et ce n'est pas encore fini. 

    Bonsoir, je me décide enfin à revenir pour raconter la suite de mes péripéties. Voyant que pour une première histoire, je ne m'en suis pas trop mal sorti, je vais donc raconter la suite de mon histoire.
    Le lendemain après midi de cette soirée hyper excitante avec caroline, qui en parlant d'elle, m'avait envoyé un sms me disant un simplement " merci ", allez comprendre cette signification, j'ai compris en fait que cette dernière était parti en congé maternité. Hier soir donc était son dernier soir et quelle soir mes amis. 
    Nous sommes donc mardi après midi, mes horaires sont 14h 22h et cet après midi je bosse avec Armelle. Armelle, pour la décrire, il n'y a pas mieux que faire référence à Jennifer Lopez. En effet, Armelle, de religion musulmane, arbore un corps avec une poitrine, un peu plus généreuse que la star je dois dire, mais par contre un fessier, un beau petit cul bien bombe, qu'on aurait envie de sodomiser tout simplement. D'ailleurs, je fantasme beaucoup sur son cul. Elle a mon âge, brune yeux marrons.
    Cet après midi là était une journée banale, Armelle finissait à 21h et donc du coup moi dans ma tête, après ce qu'il s'est passé avec Caroline,je me suis dit que je n'aurai aucune chance qu'une occasion se présente. Et pourtant... Armelle, n'aimant jamais rester assise à rien faire , avait, ce soir là, fait pratiquement tout le boulot du coucher, et du coup alors il me restait plus qu'une résidente à coucher après son départ. Il n'était que 20h30 alors quand du coup avec d'autres résidents, qui eux étaient autonomes pour se coucher, nous regardons la télé tranquillement. Je parle avec Armelle de tout et de rien puis elle se lève pour changer la chaîne de télé, et ce pour le plus grand plaisir de mes yeux. Elle est habillé d'un bas de survêtement moulant ses fesses vert, et d'un haut manche longue. Mes yeux ne quittent pas de vue ce beau fessier, et Armelle s'en aperçoit alors mais ne me dit rien bizarrement. Moi totalement gêné, je me lève pour aller voir si tout le monde dort bien. 
    Il est 20h45 et Armelle est dehors au téléphone, moi je ne cesse de penser à Caroline et sa fellation d'hier soir. Je vais pour m'asseoir sur la chaise du bureau des moniteurs mais je n'ai pas trop compris comment j'ai du me coller à Armelle qui elle voulait aller sûrement voir les autres résidents, mon bas ventre contre ses fesses. Je peux vous dire que mon pénis a immédiatement réagi durant le quart de secondes ou il a pu être en contact avec ce fessier, ce qui a déclenché chez moi un rouge pivoine mais chez Armelle rien du tout. Je me rassieds alors le pénis qui bande de plus en plus mais caché par le bureau, Armelle qui part voir les résidents, je comprend alors comment je me suis retrouvé coincé contre le beau fessier d'Armelle. Une résidente partait fumer son cigare du coup j'étais bloqué entre elle et Armelle à ce moment la.
    Enfin bref, 20h55 arrive, Armelle a bientôt fini mais je ne l'ai toujours pas vu revenir. Les autres résidents présent vont tous se coucher alors et je remarque que le trousseau de clef de l'unité n'est pas la. Cela veut peut être dire qu'Armelle est au toilettes ou dans la réserve médicale. Voulant en avoir le coeur net je me dirige donc vers les fameuses toilettes, où hier soir j'ai reçu une fellation de Caroline mais la lumière étant éteinte, je me dirige alors vers la réserve médicale qui se situe en fait au fin fond d'un couloir. Et en effet, la lumière est allumé mais bizarrement la porte est fermée. C'est une porte munie d'un petit hublot pour voir à l'intérieur alors. 
    Je m'approche donc et regarde alors par le hublot et là... le spectacle le plus improbable que j'ai vu: Armelle debout, son bas de survêtement descendu, dos à la porte, son bras bougeant alors un peu plus vite, signe donc qu'elle se faisais du bien. Mon pénis atteint sa taille maximale, me fait mal dans mon jean, je regarde dans le couloir pourtant allumé mais personne ne fais attention à cette scène si excitante. Je regarde alors au travers du hublot mais je ne vois plus Armelle et c'est à ce moment là qu'elle ouvre poussant un petit cri et reculant. 
    " Marc ? Mais ...Mais que fait tu ici? 
    - Je...Je voulais savoir ou tu étais c'est ton heure...et heu...
    - Cela fais longtemps que tu es derrière la porte? me demande t'nelle toute gênée mais admirant alors la bosse forme dans mon jean
    - Je ...heu ....Non....enfin....oui mais non...
    - Tu m'as vu c'est ça? dis elle un peu sèchement
    - Écoute Armelle je t'assure que....
    Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'Armelle pose ses deux mains sur mon t-shirt et me pousse alors dans la réserve médicale. 
    - Écoute moi bien....Tu ne dois rien dire ok? J'ai eu...une dure semaine, les horaires s'enchaînent, mon copain, pas souvent là....
    - Non mais calme toi hein Armelle bien sur, je ne dirais rien, mais...fais attention quand même la prochaine fois, dis je avec un petit sourire croyant pouvoir détendre l'atmosphère par le simple pouvoir de mon sourire. 
    - Tu dis rien ok? Toute façon je dirais que c'est de ta faute ...
    - Quoi? Ma faute? Mais qu'ai je fait? demandais je alors abasourdi 
    - Oh s'il te plaît ne fais pas le malin hein, tu crois que je te vois pas reluquer mon cul, et la bosse que tu as la? c'est pas en reluquant non? dit elle me montrant du doigt mon érection
    -Wow wow wow oki oki j'avoue je suis repéré je matte ton cul oui et je peux pas mentir j'ai une érection oui, désolé mais...honnêtement tu as un ...
    J'allais dire le mot mais elle met son doigt sur ma bouche
    - Surtout ne dis rien.... J'ai compris..
    Malgré son doigt je dis: 
    - Heu...ok ...bon ben tu vas y aller non ? 
    Armelle ne me répond pas et me sourit alors. 
    - Écoutes....tu me tiens, et je te tiens....on pourrait s'arranger non? dit elle se rapprochant de moi, son doigt se retirant de ma bouche, sa main se posant sur mon épaule, toute souriante.
    Je sursaute gêné, n'en croyant pas du tout mes yeux parce que je peux vous assurer qu'Armelle au travail, c'est le modèle gentille employée qui travaille et ne dit rien, mais là je peux vous assurer qu'elle en dit des choses. 
    - Tu...et tu penses à quoi? demandais je
    - Toi dis moi à quoi tu penses en voyant mon cul, dit elle souriante, s'écartant un peu et me montrant ses fesses ayant même l'audace de les prendre en main. 
    - Je...Je ne suis pas sur que tu veuilles entendre cela tu sais... dis je n'arrêtant pas de mater ses fesses.
    - Dis toujours, ça m'intéresse je dois dire...me dit elle se retournant alors et s'avançant vers moi me poussant gentiment une main sur mon torse contre le mur, puis ses mains défaisant ma braguette 
    - Oh mon dieu...heu je peux pas dire quand même ....dis je réellement troublé de ses mains.
    - Dis moi détend toi y a personne, dit elle s'agenouillant alors, baissant mon jean et mon caleçon, exhibant ainsi mon pénis. 
    Je la regarde faire alors tétanisé d'excitation et de surprise venant de sa part
    - Tu veux pas me dire? me dit elle en me regardant et léchant mon gland alors.
    - Ohhhh oo...je...je fantasme de ....hummm ohhhh oui...de sodomiser ton joli petit cul... dis je haletant de plaisir alors qu'Armelle donne des coups de langues sur mon gland
    - Hum ben tu vois, on va pouvoir arranger ça mais d'abord...dit elle alors qu'elle engouffre mon pénis dans sa bouche. 
    Je gémis de plaisir la regardant faire, elle me suce avec un certain désir, adoptant de suite une allure vive concernant les va et vient. J'halete de plaisir ne voulant pas réveiller tout le monde, Armelle fait des bruits de succion digne de films pornos et je sens bien qu'elle bave aussi sur ma bite. Je ferme les yeux de plaisir de temps en temps alors puis soudain elle me masturbe. 
    - Bon allez ...tu me sodomises vite fait, tu jouis dedans, et j'y vais dit elle me masturbant un peu avant de se relever de baisser son bas de survêtement et son string, puis de se coller, dos à moi, au mur d'en face, se cambrant bien. 
    - Allez Marc on n'a pas toute la nuit! me dit elle.
    - Mais attend comme ça là...sans préparation? lui demandais je, voulant paraître poli malgré cette immense instant de sexe.
    - T'inquiètes pas mon cul en a vu des queues allez dépêches, je dois partir...
    Je ne me fais pas prier, voyant que je m'approche Armelle écarte au maximum ses fesses me montrant alors son anus. 
    - Et ne te trompe pas de trou ok? la chatte c'est pour mon mec...
    - Ok dis je alors approchant mon pénis de l'anus, je crache dessus mais Armelle a l'air de s'énerver.
    - Mais putain t'es con ou quoi! dit elle tenant mon sexe alors et d'elle même se le plante dans l'anus
    Je n'en crois pas mes yeux ma bite entière s'y faufile sans réelles difficultés.
    - Allez Marc grouille! 
    Je sors de ma rêverie et lui tenant les hanches je commence donc à la sodomiser là debout dans la réserve médicale. Armelle halète de plaisir, bougeant son cul contre ma bite aussi. Moi je crois défaillir, j'accélère mes va et vient dans son anus gémissant de plaisir aussi. Armelle gémit un peu plus fort et moi aussi. 
    - Ah oui défonce moi bien le cul Marc, putain oh! oui je la sens bien, allez viens dans mon cul, remplis moi le. 
    - Ah ouiiii ouiii continue, je te le défonce bien ton cul de salope je vais te le remplir tu vas voir.
    - Oui ouii gémit elle
    Je deviens fou, il n'y a pas de mots. Je prend fermement ses hanches et j'y vais de bon coeur, donnant des coups de reins vite et fort. Je commence à raler, le sperme monte direct, je la pistonne sauvagement, alors et au bout d'une dizaine de minutes de sodomie je me vide dans son anus en ralant de plaisir. Armelle gémit tout le long de mon ejaculation dans son anus. Une fois terminé, je me retire. Armelle soupire de plaisir avant de remonter tous ses habits.
    - Hum à bientot Marc, ferme la réserve médicale pour moi tu veux? 
    Un petit bisou sur la joue, je me rhabille alors vite fait, reprenant mon souffle et mes esprits, me demandant si je ne rêve pas. Une fois arrivé sur l'unité, je couche alors ma derniere résidente, repensant à cette sodomie....tellement excitante.... 

     

    Bonsoir, je viens après un petit laps de temps, vous raconter une suite de mon petit harem si je peux dire cela, qui se trouve à mon travail. Pour résumer, je travaille avec sept femmes dans mon équipe, et je suis donc le seul homme. Mais parfois, je ferais de petits écarts, car dans les deux autres unités de mon boulot, il y a aussi de petites perles mais ce sera pour plus tard. 
    Continuons donc par Émilie, même taille que moi, brune, les yeux marrons clairs, et elle aussi très gâtée par la nature niveau poitrine, je dirais un 95d.
    Je travaille donc avec Emilie ce matin, et le matin, c'est la plus dure des journées étant donné que c'est le moment des douches. Mais avec Emilie, on travaille bien et efficacement ce qui fais du coup que notre matinée de travail s'achève officieusement vers les 10h30. Nous avons donc une heure et demie avant que le repas du midi n'arrive. Emilie va bientôt se marier avec son compagnon avec qui elle est depuis six ans. Ce matin là comme tout les matins, je taquine Emilie sur différents sujets d'actualités mais je vois bien qu'elle est très fatiguée. Et pourtant, bizarrement, elle qui d'habitude s'habille en survêtement sans se maquiller ni se coiffer, et bien aujourd'hui elle porte une mini jupe en jean avec des bas noirs, de jolis chaussures noires avec talons, un haut manches longues noir bien moulant, qui du coup moule bien sa poitrine aussi. Elle est aussi maquillée, très peu mais cela lui va bien, et elle a laissé ses cheveux lâchés et même lisses. 
    Ce matin là donc Emilie m'avouait qu'elle avait passée une mauvaise nuit remplie de dispute et qu'elle était partie dormir chez sa mère d'où la tenue qu'elle portait. Curieux comme je suis, je posais mille et une questions et compris que le compagnon d' Emilie avait préféré jouer à la console plutôt que de faire son devoir de mâle. 
    " Mais ça va s'arranger Emilie voyons, ça veut pas dire qu'il n'a pas envie de toi, dis je la rassurant tout en lui souriant admirant sa poitrine dès que je pouvais.
    - Ouais j'espère pour lui quoi, il m'a laissée sur le carreau c'est horrible, me répond elle.
    - Oui mais toi au moins tu as de quoi satisfaire tes besoins sexuelles, moi je suis tout seul, dis je alors rigolant.
    - Ah! oui j'ai oublié que tu étais puceau, me dit elle partant à rigoler franchement.
    - Ah! ah! ah! très drôle je ne suis pas puceau pffff, dis je un peu vexé
    - Mais bien sûr, tu es puceau tu arrives même pas à choper une meuf....
    - Ah! ben c'est sur que si tu venais comme ça me chauffer, je te choperais toi hein? 
    - Prends pas tes rêves pour tes réalités marc, me dit elle.
    - Ah! tu serais vierge Emilie? dis je souriant, essayant de l'énerver.
    - Moi non mais toi oui. 
    - Je suis sur que je fais mieux l'amour que ton copain.
    - Arrêtes un peu tes bêtises va. 

    Emilie remplit des papiers concernant notre travail, moi je vagabonde un peu sur les autres unités puis je reviens une demie heure plus tard. Il est onze heures lorsque je reviens sur l'unité et ne voit pas Emilie. Je questionne quelques résidents mais ils me disent ne pas l'avoir vu. Je regarde sur le bureau et voyant les clefs je comprends donc qu'Emilie n'est pas au toilettes peut être est elle allée voir d'autres membres du personnel. Je vais pour prendre les clefs et me diriger vers les toilettes de notre unité quand un tout petit gémissement venant d'une chambre supposée vide m'interpelle. Curieux comme je suis, je m'y dirige discrètement et là je suis médusé: Emilie allongée sur le lit d'un résident, les volets de la chambre fermés, petite lumière allumée, se masturbant en silence. De ce que je peux distinguer apparemment, les bas qu'elle portait avait un trou spécial et elle n'avait pas mis ni string ni shorty ni rien.
    Je la regardais faire complètement scotché, me disant qu'elle était perverse et assez folle car tout le monde pouvait la repérer. En voulant changer discrètement d'angle de vue, elle s'arrête d'un coup et me voit.
    - Putain Marc mais que fais tu là? Entre et ferme la porte.
    - Désolé ...je croyais que...
    J'entre en fermant la porte très rouge gêné, mais excité. 
    - Ouai! c'est ça je sais que tu me matais bien, et si t'approchais de plus près pour voir comment c'est: petit puceau hein? me dit elle souriante, se masturbant devant moi.
    - Mais t'es folle pas ici voyons? et ton mec alors? 
    - Ça fais six ans que je me prend la même queue toutes les soirs, j'ai le droit de changer non? et puis je ne suis pas marié, enfin pas encore, allez approches.
    - T'es une cochonne toi, dis je souriant.

    Je viens me placer entre ses jambes et commence à lécher son vagin de haut en bas, ce dernier mouille déjà beaucoup tellement que j'y fais entrer deux doigts et la doigte alors. 
    - Oh putain oui c'est bon, c'est vrai que tu sais y faire avec les chattes, halète Emilie, sans crier mais on peut entendre le plaisir dans sa voix.
    - Je vois que tu mouilles bien ça rentre tout seul, dis je léchant le clito lentement.
    - Ah oui! oh! putain vas y marc prend moi là j'en peux plus je bous 
    - Bah! non je suis puceau tu as dit, tu dois m'apprendre, dis je souriant continuant à la lécher, mes doigts vont et viennent très vite en elle, on entend même le floc des va et vient. 
    - Ah putain je vais exploser, sors la vite , me dit elle criant un peu fort alors.
    - Chut putain... Rejoins moi dans les toilettes dans 5 minutes, sinon on peut pas laisser les gars seul.
    - T'as intérêt à venir...

    Je repars sur l'unité voyant si tout le monde va bien, puis voyant l'heure 11h15, je me dirige aux toilettes dont je ferme la porte, mais pas à clef. J'entends Emilie répondre à une question puis plus rien, je suis assis sur la cuvette des toilettes le sexe sorti très dur. Décidément dans ma tête, je me dis que je travaille qu'avec des cochonnes. Emilie entre et ferme la porte à clef, puis se rue sur mon pénis qu'elle commence à sucer. Mais au bout de 5 minutes elle se lève, se positionne dessus et commence à s'empaler dessus. 
    - Ah! putain, oh ouiii! Marc comme elle est bonne ta queue, me susurre t'elle dans mon oreille.
    - Tu vois que je ne suis pas puceau, dis je souriant, l'embrassant torridement.
    Ma queue rentre en entier dans sa chatte et Emilie commence à monter et descendre assez rapidement. Je gémis de plaisir dans son oreille alors.
    - ahh! ouiii! Emilie tu m'excites trop, je ne vais pas tarder à jouir si tu continues.
    - Vas y! remplis moi la chatte, j'adore me sentir remplie de sperme...
    - Tu préfères pas dans la bouche? 
    - T'inquiètes pas je prend la pilule... Et puis je sens que tu va bien me remplir ...
    Elle continue à aller plus vite sur ma bite, voir même très vite, je commence à pousser un " ohhh" signe de ma jouissance: mais Emilie me mange la bouche et accélère encore plus. Je commence alors à exploser en elle abondamment, mais elle continue quand même à se faire défoncer le vagin par ma bite. Je la regarde faire, elle sait s'y faire je débande même pas. 
    - Qui t'as dit que je ne voulais pas une double dose et en plus je sens que t'es encore dur me dit elle chaudement.
    - Mais arrête tout le monde va nous cherch....
    Soudain son portable sonne dans la poche de sa mini jupe. Tout en continuant à sauter sur ma bite elle répond.
    - Allô....oui mon coeur...oui toujours au boulot tu sais bien
    Je suis rouge de honte mais excité elle me sourit
    - Ah oui très dur ce matin, oui .... Mon mal de tête? ça monte ça descend. 
    Elle me sourit continuant à sauter sur ma bite.
    - Ouais c'est clair que t'as pas assuré hier, t'as de la chance que je vais pas voir d'autres bites. 
    Je souris alors, sentant lentement un deuxième orgasme approché, ne sachant pas que je pouvais jouir deux fois d'affiler. Elle accélère ses va et vient sur ma bite cela fais du bruit même. 
    - C'est rien un résident qui s'amuse à taper sur le mur. 
    Elle me regarde se mord la lèvre, moi je n'en peux plus, tout cela est excitant, je commence à exploser, faisant tout l'effort du monde pour ne pas crier. 
    - Ouuhhhhhhh ahhhhhhh, non non rien désolé mon coeur...j'ai failli avoir un vertige
    Emilie se retire de ma bite se met à genoux et toujours le téléphone à la main me lèche la queue. 
    - Ouais ben on verra bien ce soir, ok là je n'ai pas le moral et je dois te laisser. 
    Emilie raccroche et me sourit, continuant à lécher mon sperme
    - J'aime pas quand c'est sale, me dit elle 
    - Cochonne va.
    Elle me sourit alors puis se réajuste un petit peu. 
    - Tu es un très bon amant je ne sais pas si je vais pas te garder sous la main on ne sais jamais. 
    - Ta mon numéro tu m'appelles hein? 
    Je lui souris me relève et m'habille puis attend un peu. Je tire la chasse et sort des toilettes comme si de rien n'était... 

     
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  • J'aime son ventre, sa délicieuse chatte
    Qui m'excite lorsque je les mate
    J'aime sa frimousse, ses tresses
    Ses seins généreux, ses belles fesses
    Je voudrais souvent la baiser
    En hiver, au printemps, en été
    Lui mettre ma bite dans son four
    Caresser ses seins de velours
    Elle veut toujours être enconnée
    Et aussi se faire enculer
    Son cul est comme une rose
    Je crois que l'amour en est la cause
    Je donne des baisers sur son orifice
    Je le lèche, c'est délicieux et bien lisse
    Je rêve de gicler dans son trou d'amour
    Et je veux le faire tous les jours
    Je ne parle pas de son con
    Qui est doux, chaud et qui sent bon
    Mais d'investir un trou plus étroit
    Qui est le trou du cul, je crois
    Je veux y déposer de gros baisers
    Car c'est un trésor caché
    Je ne pense pas qu'une fille ait tort
    Quand elle veut offrir son corps
    Quand elle écarte les cuisses, ouvre la bouche
    Et qu'un garçon la caresse, la touche
    Qu'il s'allonge sur son ventre, tête bêche
    Pendant qu'il introduit dans son cul 
    D'abord un doigt, puis une langue pointue
    Une fille ce n'est pas seulement un trou
    Où on rentre d'un seul coup
    C'est un être fragile,qu'il faut dorloter
    Caresser, câliner et aimer
    Une fille c'est comme une fleur
    Il ne faut pas lui faire peur
    Afin qu'elle reste belle, toute nue
    Il faut prendre soin de son cul
    Toujours l'embrocher avec prudence
    Ne pas l'enculer avec violence
    Pour que son trou du cul soit décontracté
    Et pour que le garçon puisse souvent le pénétrer
    Embrasser longuement une fille, c'est bon
    Enculer, c'est ce que les garçons font
    Et il faut que ça soit toujours possible 
    Que son cul soit souvent disponible
    Je pense qu'une jeune fille pas trop coincée accepte au moins une fois dans sa vie
    D'être pénétrée dans sa bouche, son con,son trou à merde aussi
    Et surtout aussi ne jamais refuser aucun vit
    Baiser avec trois hommes simultanément 
    Et accepter de baiser très souvent
    Offrez votre trou du cul à votre amoureux
    Pour le rendre jour et nuit très heureux
    Faites beaucoup de gosses, de beaux moutards
    Faites en un ce soir, il n'est jamais trop tard
    Faites votre premier bébé à votre copine
    A votre femme, à votre sœur, à votre voisine. 

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • le début de la fin

    Jeune Femme j’étais délaissée par mon copain perpétuellement en ses étude. Lors de ses retours, souvent le weekend, il me faisait l’amour rapidement sans prendre le soin de s’inquiéter de mon propre plaisir.

    Désabusée par son comportement, mes semaines se passaient lentement à la maison.

    Pour passer mon ennui, je fantasmais sur internet, en discutant avec des hommes et des femmes sur les sites de rencontre. Je compris rapidement que mes fantasmes me poussaient à discuter avec des hommes directifs.

    Un certain Robert m’excitait particulièrement. Il semblait, de part son descriptif, être gros et poilu. Il était plutôt vulgaire et aimait m’insulter. Tout le contraire de mon mari et justement je pense que c’est ce qui m’excitait chez lui. Il m’avait indiqué qu’il était de la même région que moi mais je ne m’étais pas attardée sur les lieux où l’on habitait, ne voulant pas lui donner d’indices sur ma personne ou mon adresse (il n’insista d’ailleurs pas sur ce point ce qui me mit en confiance). Je le retrouvais plusieurs jours dans des scénarios de plus en plus hard.

    Avec beaucoup de retenue au début, je finis par me lâcher un peu plus et par accepter de le retrouver sur MSN, pour échanger plus convivialement disait-il… puis acceptant de me montrer, je passais sur la webcam.

    Me dévoilant devant l’écran, suivant ses consignes, d’abord pour montrer ma poitrine opulente, puis ma toison brune et enfin à jouir devant lui sous ses insultes en me caressant d’abord seulement mon sexe, en passant ma main dans la culotte, puis ôtant ma culotte. Il m’incitait à me rabaisser et à parler vulgairement. 

    Ce que je ne savais pas, c’est qu’il enregistrait tous nos échanges, et chaque jour en apprenait un peu plus sur ma personne en me posant des tas de questions. Au début je faisais attention à ne jamais montrer mon visage, mais en jouissant, en me caressant, en me pénétrant même avec des objets du bureau ou, à sa demande en léchant l’écran pour virtuellement lui lécher le gland qui venait d’éjaculer, il enregistra mon visage, et de nombreuses données personnelles.

    Nos scénarios portaient souvent sur des histoires de chantages où une bourgeoise était totalement abusée par un homme dégoutant qui faisait de cette femme un simple objet de plaisir, humiliée quotidiennement, prêtée a ses amis, à des inconnus, devant se prostituer pour lui. Je me laissais porter par ses fantasmes de plus en plus rabaissant pour cette pauvre femme que je m’imaginais être.

    Robert me disait apprécier les femmes négligées qui n’étaient pas épilées. Il me persuada de ne plus m’entretenir la toison, et me félicitait chaque jours des progrès que je faisais dans mes insultes, et dans le débordement de mes poils pubien des culottes que je portais.

    Au bout d’un mois, notre relation virtuelle avançait plus loin. Lorsqu’il n’était pas connecté, il m’envoyait des mails pour me donner des consignes telles que porter la même culotte que la vieille et me masturber au travers pour jouir dix fois dans la journée en pensant à sa « bite » et l’attendre sagement le soir, habillée seulement de mes dessous odorants devant l’écran… ce que je faisais avec ravissement. Il me fit faire cela trois jours d’affilée avec la même culotte, un string blanc en dentelle transparente qui ne cachait rien de ma vulve velue et laissait désormais dépasser ma toison de chaque coté ainsi qu’au dessus de mon pubis.

    Le soir venu, je lui racontais fièrement ma journée, combien de fois j’avais jouis, dans quelle pièce de la maison je m’étais masturbée, ce que je m’imaginais faire avec sa bite. Lui m’écoutait et me félicitait en se branlant devant l’écran me montrant sa bite qu’il disait ne pas avoir lavée depuis trois jours, portant le même caleçon.

    Il me proposa alors, après que nous aillions tous les deux jouis une nouvelle fois de nous envoyer par la poste nos dessous. Ne voulant pas donner mon adresse je refusais poliment mais fermement.

    Il me répondit alors, d’un ton totalement différent :
    « Tu sais salope, puisque tu refuses de m’envoyer ta culotte, je vais venir la chercher chez toi ».
    - « Comment cela ? vous ne savez pas qui je suis et je vous ai dit que je ne voulais pas vous donner mon adresse » dis-je un peu énervée.
    - « Mais je n’ai pas besoin que tu me donnes ton adresse. Figures toi qu’avec toutes les informations que tu m’as données, ton adresse IP et tes vidéos que j’ai enregistrées je sais tout de toi. Il se trouve que tu es de la même ville que moi, c’est pour cela que je t’ai choisie. Et je sais que tu t’appelles Béatrice Marson, que tu habites 6 avenue du Bastion. ».
    À ces mots, je devins blême, refermant mes cuisses sur mon string trempé, le regardant avec son sourire vicieux qui m’avait tant excitée jusqu’à présent et qui maintenant m’affolait : « Comment… ? Comment savez-vous tout cela ? »
    - « Je sais que tu es mariée à Francis Marson, un commercial international et numéro 3 de la plus grosse industrie locale. Je sais également quand il est en ville et quand il est en voyage. Tu vois, dit-il avec cynisme, je sais tout de toi et je pense que tu aurais intérêt à être bien sage avec moi… il ne serait pas bien vu que la femme d’un homme aussi important se retrouve affichée en pleine action sur internet ou sur des mails adressés aux membres de la compagnie de ton mari tu ne crois pas ?! »

    Je devins tout d’un coup livide, mes épaules abaissées par le poids de ces menaces, je le regardais par écrans interposés d’un air hébété. Je le voyais ricaner et se branler doucement en train d’observer mon visage apeuré.

    - « Alors petite conne, tu ne dis plus rien ? je t’ai posé une question. Quelle est ta réponse ? Tu veux que j’envoie des mails avec des photos de toi en train de te doigter à tous les collègues de ton mari ? »
    - -« Non non bien sûr que non je vous en prie ne faites pas cela ! » dis-je horrifiée.
    - « bien ! tu ne veux pas de scandale n’est-ce pas ? »
    - Non pas de scandale je vous en supplie »
    - « bon donc désormais je veux que tu sois bien sage, comme tu l’étais avant et bien plus encore est-ce que c’est compris ?
    - « oui »
    - Oui qui ? et oui quoi ? dit-il sèchement tout en continuant à se branler lentement devant la webcam.
    - Oui monsieur c’est compris je… je vais être bien sage comme je l’étais avant.
    - Je préfère, te voilà redevenue raisonnable. Alors, pour être sûr que nous nous comprenons bien, je vais te fixer quelques règles de conduite. Tu es d’accord ?
    - Euh… est-ce que j’ai le choix… monsieur ?
    - Cette réponse n’est pas satisfaisante répond pétasse !!!
    - Oui je suis d’accord monsieur
    - Tu es d’accord pour quoi ?
    - Pour que vous me fixiez des règles de conduite
    - Bien voilà qui est mieux. Règle numéro 1 : je ne veux plus entendre de non à mes ordres. Règle numéro 2 : je veux que tu répètes les règles que je te fixe.
    - Hésitante devant son silence pesant, fixant sur l’écran que sa bite branlée et ses couilles poilues je finis par dire « oui monsieur règle numéro 1 je n’ai plus le droit de dire non. Règle numéro 2 : je dois répéter les règles que vous me fixez ».
    - C’est bien, tu es lente à comprendre mais ça va s’améliorer avec de l’exercice. Règle numéro 3 : ma bite… (il zoome alors sa webcam sur son entrejambes écarté) doit devenir ton obsession. Tu dois toujours penser à elle et toujours vouloir la satisfaire ».
    - Règle numéro 3… votre… bite est mon obsession. Je dois… je dois toujours penser à elle et toujours vouloir la satisfaire ! dis-je d’un souffle en pensant à l’horreur que ces paroles signifient.
    - Règle numéro 4 : Quand tu la vois, tu dois immédiatement te fourrer d’une main la chatte et de l’autre te doigter le cul, peu importe où tu es ou avec qui tu es.
    - Règle numéro 4 quand je vois votre bite je dois… oh mon dieu je dois immédiatement me fourrer la chatte d’une main et de l’autre je dois me doigter le cul quel que soit l’endroit ou avec qui je suis ». Dis-je en sentant une larme couler le long de ma joue.
    - Et alors grosse conne qu’est-ce que tu vois là ?! tu ne respectes même pas tes premières règles de vie ! me crie-t-il en faisant bouger son gland visqueux et ses couilles poilues devant la caméra toujours en gros plan !
    Je sursaute à ces cris et tremblante passe ma main droite dans le string porté depuis trois jours pour me doigter la chatte et, de ma main gauche, la passant derrière entre mes fesses, j’écarte le tissu du string pour me doigter l’anus cuisses écartées, perdant tout plaisir que j’avais à faire ce que je faisais auparavant devant la même personne.
    - C’est mieux dit-il d’une voix un peu moins dure. « Tu vas enregistrer l’image de ma bite souillée que tu vois à l’écran et voilà ta règle numéro 5 : tu vas mettre cette image de ma bite en fond d’écran de ton ordinateur et tu vas en imprimer une en petit format pour la mettre en photo dans ton portemonnaie. »
    Tout en continuant de me doigter mes orifices, inquiète de ce que cela entraînera je répète malgré tout ma 5ème règle de vie : « oui monsieur je vais enregistrer l’image de votre bite et la mettre en fond d’écran de mon ordinateur. Je mettrai cette image également dans mon portemonnaie. » tout en disant cela j’obéis et de ma main droite je fais la manipulation pour enregistrer l’image de sa bite et la positionner en fond d’écran puis je reprends ma masturbation du pubis.
    - Bien voilà une sage greluche. Maintenant je vais venir te rejoindre chez toi puisque tu ne veux pas que l’on s’échange nos dessous par la poste. Tu vas rester devant ton nouveau fond d’écran en m’attendant bien sagement. Donc tu vas appliquer la règle numéro 5 jusqu’à ce que j’arrive sonner chez toi. Laisse ta web Cam branchée car j’enregistre tout, je vérifierai que tu m’as bien obéis. Et tu appliqueras la règle numéro 6 : tu as interdiction de jouir en te masturbant, sauf si je t’y autorise. Si tu as de trop fortes envies tu arrêtes de te branler, tu sors tes doigts de tes trous à bite et tu les nettoies avec la langue puis tu les suces. Une fois tes doigts propres tu les remets dans tes trous sans te branler, les laissant fichés dans ta chatte et ton cul le temps de retrouver tes esprits. Dès que tu peux, tu reprends tes branlages jusqu’à sentir le plaisir arriver et tu arrêtes de nouveau. Et ainsi de suite ! Tu dois devenir une salope surexcitée en permanence »
    - La règle numéro 6 est que j’ai interdiction de jouir en me masturbant, sauf si vous m’y autorisez. Je dois arrêter de me branler quand l’envie est trop forte, les nettoyer avec ma langue et ma bouche puis me redoigter et je dois garder les doigts dans mes orifices le temps de me calmer puis je peux reprendre mes caresses et ainsi de suite car… je dois… oh non mon dieu je dois devenir une salope surexcitée en permanence »
    À ces dernières paroles sorties je ne sais comment de ma bouche il disparaît de l’écran et je me retrouve honteuse, voyant mon image se refléter sur l’écran en surimpression devant ce fond d’écran de sa bite rougie, suintante de sperme, ses couilles lourdes et poilues débordant d’un caleçon qui était blanc il y a quelques jours.
    Ma web Cam toujours allumée, je continue, dans une attente angoissée, à me doigter la chatte et l’anus. Mille questions me viennent en tête en même temps.
    Que va-t-il me faire subir ? Combien de temps vais-je devoir l’attendre dans cette position ? Pourquoi me suis-je inscrite sur ce site de chat ? Comment vais-je cacher à mon copain tout ça ? Et cette image obscène sur l’ordinateur !? La femme de ménage va forcément la découvrir ! Mes amies, que vont-elles penser de tout ça ? Personne ne doit être au courant ! Surtout pas !!! Quand cet homme sera là je vais le raisonner… je le paierai s’il le faut pour qu’il me laisse tranquille… dans combien de temps arrivera-t-il ? Oh mon dieu je n’en peux plus je vais bientôt jouir ! Non je ne dois pas !!! Quand mais quand arrivera-t-il?... 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Encore une journée au collège, de mauvaises notes, encore une fois, je me dis que maman ne va pas être contente de moi… Mais dans l’absolu, pour le moment ce n’est pas vraiment ce qui me travaille, c’est plutôt mes hormones, cela fait quelques mois que je change, mes poils poussent, mon sexe a décidément bien grossi et mes centre d’intérêts ont changés, le basket avec les potes ne m’intéresse plus vraiment et je suis plutôt attiré par mes petites copines de classe, surtout Delphine, assise à coté de moi en classe de biologie… Les beaux jours sont là et je suis heureux que les petits shorts en jean fassent leurs apparition ! Au dernier cours, j’avais du mal a cacher mon érection en voyant la ficelle de la petite culotte de Delphine, jaune fluo qui dépassait vers sa hanche… « Qui met des bikinis pour aller à l’école ! » me chuchotes à voix haute… J’étais tellement excité que je suis allé au toilettes à la pause, regarder des photos de cochonnes, de salopes, de Teens vraiment prêtes à tout que je garde en cachette sur mon téléphone, ca ma fait tellement de bien de sentir mon sperme couler hors de mon sexe, par gros paquets… Je l’imaginais glissant sur les lèvres de Delphine… Impossible de me passer cette érection …

    Personne à la maison, ma soeur doit-être encore au lycée et mes parents au taf, je vais pouvoir tranquillement me regarder un petit film de cul, avec un peu de chance cela va me rassasier ! Je monte dans ma chambre et passe devant celle de ma soeur, un coup d’oeil pour voir son bordel habituel, des fringues partout, en vrac, sale ou propre et des tonnes de maquillage sur son bureau, au milieu de papiers en tout genre. « Qu’elle cochonne, y’en à vraiment partout, je me demande pourquoi les parents ne lui font pas une scène »… Faut dire que ma soeur ces derniers temps est en mode rebelle, maquillage noir outrancier, décoloration intensive de ces cheveux, piercing, je pense que les parents en on un peu marre de lui courir après pour tout et tout le temps…Je m’en vais pour partir quand je vois au milieu de ce désordre, un bout de dentelle qui git au pied de son lit, une petite culotte, plutôt un boxer vu la forme, merci à mes « études » sur internet, je suis devenu un vrai expert en la matière ! Toujours personne à la maison, j’en profite pour aller y jeter un oeil, visiblement elle est sale… Le fond est plein de traces blanchâtres… Je l’approche de mon nez et son odeur déclenche tout un tas de réactions dans mon cerveau c’est comme si une vague intense de désir me submergeais, des images pornos déferlent dans ma tête, des culs, des pipes, des sodos… Et toutes ces images ont le visage de ma soeur ! Quelle horreur !! Ma soeur gothique qui ressemble à rien en ce moment… Je jette la culotte par terre et me précipite pour allumer mon laptop, un petit tour dans mon dossier secret « putain je suis tellement excité que j’arrive pas a taper mon mot de passe !!! » J’ai le sexe énorme, tellement dur, il me ferait presque mal ! Un peu d’huile de monoï que j’ai piqué à ma mère et caché dans un pot de gel pour les cheveux et me voilà à m’astiquer devant cette salope de Jada Stevens, ma pornstar préférée, elle me fait juter à tous les coups à faire dandiner son gros cul et se prendre des bites énorme dans son trou du cul… Et toujours avec le sourire ! La femme de mes rêves ! Mais cette fois ca ne viens pas. Des bribes d’un souvenir récent me reviennent, la culotte de ma soeur… Son odeur enivrante… Et me voilà de nouveau à revoir ma soeur à poil en train de faire des horreurs… Les images défilent sur mon portable mais je ne les vois plus, j’ai le regard vide, mon imagination à prit le dessus et je la vois littéralement se faire défoncer comme toute ces salopes que j’adore regarder… Et à cet instant, je jouis comme jamais, j’ai les cuisses et le pubis couvert de sperme bien chaud qui se met à couler… Je suis haletant… Pantelant, je tremble encore de cet orgasme incroyable… Et c’est bien sur alors que j’ai le froc sur les chevilles et du sperme partout que ma mère rentre !! En catastrophe je plie tout, m’essuie à l’arrache, et cache la culotte dans un tiroir… Alors que je suis tout essoufflé ma mère vient me saluer et prendre de mes nouvelles, regarde mon écran ou j’ai eu le temps d’ouvrir un fichier de travail pour l’école… Il s’en est fallut de peu !

    Les couilles encore gonflées de désir, je suis ma mère pour faire mine d’aller aux toilettes, à peine est-elle descendu que je retourne dans la chambre de ma soeur pour replacer la culotte… De retour dans ma chambre, les images se chamboulent et m’assaillent à nouveau, cette odeur délicieuse, forte… Et merde ! Il s’agit de ma soeur quand même ! Je n’arrive pas à chasser ces pensées de ma tête et je n’arrive pas à jouer au dernier jeu que je viens de pirater… Sophie … Ma soeur… Sophie… Je me jette sur mes devoirs et je ne fais pas grand chose de bien, je bâcle… Comme à mon habitude en fait… 

    Vient l’heure de manger… Je descends avec de la peine vers la cuisine où mes parents m’attendent, Sophie, toujours aussi maquillée à le visage penché en avant, elle ne m’adresse même pas un regard, depuis sa période « Noire » elle ne nous parle pas, ne nous regarde pas, comme si nous étions des pestiférés.

    Et avec ma dernière aventure, je suis distant aussi, toujours un peu renversé par ma dernière satisfaction manuelle. J’ai un mal fou à jeter un regard à ma soeur et ma mère le remarque fatalement… « Sophie tu as fait quoi encore comme sale tour à ton frêre ? Tu lui as encore piqué son argent de poche ? »

    - Tu te moques de moi maman ? Tu penses vraiment que je pourrais voler quelque chose à mon frère
    - Ne me la fais pas ce n’est pas comme si c’était la première fois que Yann se plains de ça !
    - Et moi de rétorquer « Non maman, Sophie n’y est pour rien, je me sens juste un peu patraque ce soir, je pense que je vais remonter dans ma chambre pour vite finir mes devoirs et me coucher »
    - Ouais tu vas encore regarder du porno ! Marmonne Sophie
    - Et moi de rougir, et de lancer discrètement une « connasse ! » ce qui me vaut un regard méchant de ma mère et amusé de mon père…

    De retour dans ma chambre seul, l’écran de mon ordinateur vide affiche une demande de mot de passe -que mes parents connaissent- mais rien n’y fait, je pense encore et toujours à la même chose, cela vire à l’obsession et remplace toutes les images de films qui me font fantasmer habituellement… J’entends Sophie refermer à clef la porte de sa chambre -une concession des parents pour éviter de l’entendre râler-, mettre de la musique… Elle doit être sûrement à chatter sur des sites gothiques, sont rêve étant de se faire tatouer. Pour le moment le véto parental tiens… Mais pour combien de temps… Je me mets à rêver secrètement que demain la culotte, -le shorty- soit encore à sa place quand elle partira à l’école que je puis encore me satisfaire avec, et encore… Et encore… Je me met à penser que demain je serai malade, histoire de rester seul et de fouiller plus en profondeur la chambre de ma soeur, j’ai déjà trouvé ses cloppes mais ce n’est pas vraiment ce que je recherche… 

    Au réveil je joue la comédie et comme je n’étais pas vraiment bien la veille, ma mère m’autorise à rester au lit, elle appelle le collège et me demande de l’appeler dans la journée pour lui dire comment je vais… Mais une idée à germée dans ma tête au cours de la nuit, une envie, un désir profond, il faut que je la voie nue, que je vois ses fesses, sa chatte que j’espère rasée… Que je la voie enlever ses culottes et savoir ou elle jette les fraîches… Pas de chance pour ce matin, alors que tout le mode est parti je me rends compte que ma mère est passée avant moi et à tout jeté dans la machine qui tourne déjà… Je me connecte sur internet à la recherche de petite caméra de surveillance, je suis vraiment étonné de la quantité de produit disponible, et je trouve rapidement ce que je veux… Pas plus grosse qu’une pile AA, couleur, HD… Vraiment c’est parfait… Reste à trouver un magasin qui vends ça pas trop loin de chez moi, je me vois pas vraiment la commander sur internet. La chance est vraiment du coté de ma lubricité et la trouve en vente en ville. Un tour rapide en vélo, mes économies envolées - tant pis pour la petite télé dont je rêvais- me revoilà dans ma chambre, le contenu du petit carton éparpillé sur mon lit. C’est vraiment enfantin à mettre en place, reste juste à trouver un endroit discret… Ou filmer ? Vers son lit ? Son armoire ? Au final je me rabats sur une valeur sûre, son lit dont les couvertures trainent par terre, c’est sans peine que je cache la petite caméra parmi son fouillis… La journée passe… Tout est en place, logiciel d’amélioration vidéo, d’enregistrement et j’en passe… Il me tarde de voir le spectacle ! J’ai des érections spontanées à longueur de journée et je me retiens de ne pas m’astiquer comme un furieux ! 

    La fin de journée pointe enfin le bout de son nez et pour une fois je suis heureux de voir débarquer ma soeur que mes parents ramène de l’école -apparemment elle à encore séché…-, je descends donc les marche pour montrer que je vais mieux à tout le monde, mais ma mère hurle sur Sophie et l’envoie punie dans sa chambre… Des fois je me dit qu’il y a un Dieu pour les pervers… Je retourne dans ma chambre prétextant de jouer un peu le temps avant le repas… Je fonce dans ma piaule, lance le petit programme de surveillance et… C’est la déception, elle est sur un coin de son lit, à bouquiner, la caméra n’est pas très précise mais je me fais déjà une bonne idée de ce qui ce passe. Un de ces regards furtifs à l’air de regarder en direction de l’objectif et je me tétanise de trouille, je sens une lame froide remonter le long de ma colonne et me hérisse les poils, une voix dans ma tête me hurle que la caméra est découverte, que mes parents vont me tuer, que ma vie est clairement finie ! Mais non, sa tête bascule sur un coin de son lit, elle à l’air de rêvasser, elle rumine sûrement l’engueulade des parents… Je la vois se lever et fouiller derrière son bureau, elle va probablement fumer, elle à peur de rien ! Si les parents sentent ça va barder !! 

    - Yann tu descends le diner est servi ! Sophie tu es toujours punie, ce soir tu jeunes !
    - Je descends maman, j’arrive !

    Mais je n’arrive pas à lâcher l’écran, j’ai peur de rater quelque chose ! Alors je lance l’enregistrement, baisse la luminosité de mon écran et quitte ma chambre à regret…

    - Tu veux voir quoi ce soir à la télé ? me lance ma mère
    - hmmm ? 
    - Oui on est mercredi et ce soir tu choisis ce que tu veux voir !

    Je crois que c’est clair, le Dieu des pervers m’a oublié ! Faut que je trouve une solution

    - Tu sais m’man j’étais malade et je vais me coucher tôt pour l’école demain
    - Tu me caches quoi ?
    - Pardon ?? -je rougis-
    - Et en plus tu rougis, allez dit moi tout ! C’est une fille j’en suis sure, tu discutes sur ton ordinateur avec une fille ?
    - méeuuh !! Pfff mé - Je saisi la perche histoire d’être tranquille - C’est oui… C’est une fille…
    - Bravo ! Et quel est son petit nom ? Elle est à ton école ? Elle à quelle âge ? Elle est blonde ? Oui je suis sur quelle est blonde !
    - M’MAN ! Elle… Elle s’appelle Sophie !
    - Comme ta soeur c’est vraiment pas très original ! Mais bon ca veux dire que tu aimes bien ce prénom et tant mieux ! Allez files petit briguant je vois que tu n’arrêtes pas de regarder l’heure…

    Et me voilà de retour dans ma chambre, avec ce petit manège je suis sur que mes parents ne vont pas venir me déranger ! Malin ! C’est la main fébrile que je remonte la luminosité de mon écran, et découvrir ma soeur, allongée sur son lit, elle n’a plus que son T-shirt et sa culotte, cette fois on dirait du coton… Et mon sexe de se dresser… Je me met vraiment à fantasmer sur ma soeur, je sais pas si c’est malsain mais je m’en fiche, je glisse une main sur mes jambes et défait mon pantalon qui à tôt fait de se retrouver sur mes chevilles… Et me voilà à m’astiquer sur une image de pas très bonne qualité qui me montre ma soeur en train de téléphoner sur son lit… Je vire au pathétique moi qui stocke des giga de pornos bien trash… Je fais pas mieux que mes premiers catalogues de lingerie… Les heures passent et le sommeil arrive, elle bouge peu, trop peu et je me lasse de me caresser, ma mère frappe à ma porte.

    - Dit bonne nuit à ta chérie et va te coucher, demain tu n’éviteras pas l’école petit valentin !
    - Sophie, extinction des feux dans 5 minutes sinon ton père te coupe l’électricité directement depuis le tableau !

    Je baisse la luminosité de mon écran avant de rejoindre mon lit et laisse tourner l’enregistrement, mais je sens que cela va virer au fiasco… Encore de l’argent bien investit ! Chapeau ! … Et effectivement le lendemain le drame se confirme, elle à éteins la lumière et la caméra n’a enregistré qu’une bouillie de pixels noir et gris… 

    Le lendemain matin je suis un peu choqué et déçus, j’en oublie même de me branler dans mon lit au réveil… Ma soeur est déjà partie au lycée -tant mieux-, je me jette sans trop d’appétit sur mes céréales que j’abandonne assez rapidement. Ma mère me relance pour me bouger et partir au collège… La journée se passe sans trop de relief et je me dis que j’espère que ce soir m’apporteras de meilleures surprises que la veille… Mais c’est la même chose, rien de rien… Et les jours passent, il m’arrive de voir un petit bout de fesse en petite culotte qui me fait immédiatement palpiter le gland mais c’est trop furtif, trop bref pour que j’ai une chance de faire quoi que ce soit de ma main gauche…

    Jusqu’à ce soir là, et quel soir, alors que je m’apprêtais à rejoindre ma chambre et discuter avec la fictive Sophie, j’entends ma soeur discuter, et un peu s’engueuler avec quelqu’un au téléphone… Elle finit par lâcher un « connard » et je l’entends jeter un truc, probablement sur téléphone… Je rejoins ma chambre, lance mon inutile programme de surveillance et la voit déambuler dans sa chambre, elle cherche un truc par terre. Je me dis que je pourrais lui indiquer ou est son briquet pour gagner du temps… Mais non elle pousse une petite commode sur le coté et sors un petit truc, on dirait un briquet blanc… Elle rejoint sont lit et s’allonge sur le dos… Et voilà c’est fini pour ce soir je me dis. Mais non ! Elle ! Je rêve elle se caresse le ventre, les seins ! Immédiatement mon sexe se dresse, sa main descends vers sa culotte et passe dessous ! Et la je deviens fou, je n’enregistre pas depuis des jours, plus de place sur mon disque ! Je sacrifie mon dossier porno pour la bonne cause et lance enfin l’enregistrement, entre temps elle à commencée à se caresser sous sa culotte et moi de virer mon froc et caleçon en un tour de main de faire pareil. Je suis en transe, comme quand j’ai trouvé son petit shorty sale, odorant… Elle se frotte avec sa culotte, que je dois impérativement récupérer, tout ce jus de chatte qui coule dessus, qui imprègne de son odeur ce petit bout de tissu blanc ! Enfin elle tire sa culotte sur le coté, découvre une petite chatte sans poils, elle à des lèvres roses, bien gonflées, comme une pêche et des petites lèvres invisibles. Le pied vraiment une petite chatte de rêve ! Je m’astique comme un fou, pas le temps de prendre de l’huile, je me crache dans la main, je tremble de bonheur. Enfin je sais à quoi servait son petit briquet qui en fait était un petit vibromasseur qu’elle applique sur son clitoris… Merci internet de m’avoir tout appris ! Elle cambre son dos et se caresse de plus belle, alors que de l’autre coté du mur je sens qu’un orgasme ravageur va m’arriver, des jours que je ne me masturbe plus… Elle mord son drap et je ne sais pas si je rêve mais le simple fait d’imaginer entendre ses cris étouffés de l’autre coté du mur me font grogner fortement et une belle quantité de sperme vient s’étaler sur mon ventre, une autre sur le clavier et encore une sur mes cuisses… Je la vois au travers de mon écran rouler sur son lit et éteindre sa lumière… Je penche la tête en arrière le souffle court. J’ai l’impression de m’être vidé et d’avoir vu le porno ultime… J’ai du mal à tout essuyer tant j’en ai mis partout, et le fait qu’il commence à sécher n’arrange rien ! Ma mère me demande de couper la lumière, mais en quelques minutes je fais deux copies de secours du film, je ne peux pas me permettre de le perdre !! Toute cette attente récompensée, des mois d’argent de poche enfin utilisés à bon escient !

    Je me couche et je fais des rêves torrides, ou je couche avec ma soeur, c’est chaud, sauvage et violent, je la maltraite presque tant j’abuse de son corps de ses trous… Au réveil, cela n’a pas loupé, le lit est tâché et pas qu’un peu… Heureusement que ma mère ne va pas changer les draps tout de suite, ce soir je ferai partir les tâches… Ce soir, secrètement je suis déjà pressé d’y être ! Avec un peu de chance j’aurai un autre show privé ! Et effectivement les soirs suivant j’ai un petit spectacle avec des variations aussi jouissive que possible, celle ou elle s’est inséré un doit dans le cul ou celui ou elle se caressait à quatre pattes… Ma collection de petites vidéo s’agrandie littéralement et j’ai complètement oublié les films X, j’ai ma propre star… J’ai récolté plusieurs de ses petites culottes que je stocke dans un faux tiroir, dans un sac Zip pour congelés… Et toujours cette odeur incroyable quand je l’ouvre, j’adore me mettre celle en coton sur le nez quand je regarde des vidéos de ma soeur. 
    Les jours passent à nouveau avec des hauts et des bas, -comprendre pas de spectacle- quand les vacances arrivent et nos parents de nous convoquer…

    - Cette année vous êtes grand et Sophie à l’air enfin sur la voie de la sagesse, nous avons donc décidé de vous laisser un peu d’argent et de vous laisser seuls à la maison. Nous irons chez vos grands-parents quelques jours. Soyez bien conscient que c’est un test et que si vous voulez revoir cette situation de nouveau vous avez intérêt à vous tenir à carreaux ! Sinon cet été vous irez tout les deux chez les grands-parents à la campagne ! Où ils n’ont ni internet ni téléphone portable…

    Les jours passent et plus de spectacle, je visionne en boucle un petit montage que je me suis fait avec iMovie et arrive toujours à en tirer satisfaction en découvrant toujours des petits détails, un doigt qui glissent sur sa chatte ou un spasme de son corps. Finalement le grand jour arrive et nous sommes seuls à la maison, Sophie me demande de la rejoindre au salon.

    - Yann, bon on à plein de course et y’a sûrement 3 mois de ton argent de poche sur la table, je sais que l’on se parle jamais mais bon tu veux faire quoi avec ta part ?
    - Ma part ? 
    - Oui j’ai fait au prorata de nos âges et ça te fait un joli magot, je pense qu’on va pouvoir vivre sans peine avec les courses qu’il y a et on sera à la diète si cela te va. 

    Je suis sous le choc que ma soeur me parle comme ça, plus que le fait d’hériter d’un joli paquet… Des semaines qu’au mieux, elle me fusillait du regard on me balançait des vannes. Je suis un peu décontenancé de lui parler, à elle sur qui j’éjacule au moins une fois par jour dans mes fantasmes… Je lui fais un signe de la tête et sans rien dire emmène ma part du gâteau. Le soir arrive, et après avoir mangé des chips et du ketchup je rejoins ma chambre… Difficile de faire le mur car les parents nous appellent à des heures aléatoires le soir, difficile de prévoir… Un soir de plus j’allume mon ordi et la plus d’image. De nouveau une peur immense m’envahit, elle l’a trouvé cette fois c’est clair ! J’entends la télé s’allumer en bas et ma soeur répondre au téléphone, probablement mes parents, je me dit que c’est le moment de contrôler mon installation, je m’avance discrètement, pénètre dans sans chambre et j’entends un craquement derrière moi, mon coeur explose dans ma poitrine et s’arrête de battre pour quelques secondes… Je me retourne et vois ma soeur, appuyée contre le chambranle de sa porte, ma petite caméra qui pend au bout de ses doigts…

    - Je me demandais si c’était toi au Papa…
    - …
    - Tu n’as rien à dire ?

    Mon cerveau ainsi que la majorité de mon corps ont à cet instant stoppé de fonctionner à l’unisson, j’ai le regard fixe, plus de salive dans la bouche et aucun son ne sors de ma gorge… Sophie me fixe du regard, un regard noir encore plus prononcé par la tonne de maquillage noir qu’elle étale autour des yeux… Elle se redresse, je n’ai toujours pas bougé d’un centimètre… 

    - Vous les mecs vous êtes juste que des porcs et je suis me doutait bien que ce soit mes petits copains qui m’ont largué ou mon propre frère vous étiez tous les même…
    - Sophie j… Je…
    - Et en plus tu n’as rien à dire et ce ne sera sûrement pas très intelligent… Je vais te dire, ramène moi aussi mes culottes qui manquent.
    - Oui je… Je suis désolé !
    - C’est bien ce que je disais, rien d’intelligent. Je vais te dire, si les parents découvrent ca, tu es un homme mort, ils vont sûrement directement te mettre à l’internat ! Tu es vraiment un malade dégénéré ! 
    - NON ! Hurle-je
    - Tu imagines bien que je ne vais rien leur dire, par contre tu va me devoir cher, services, limite mon esclave, tu vas prendre cher sale porc ! Maintenant dégage de ma chambre ! Je veux plus te voir de la semaine.

    En état de choc, je rejoins ma chambre, pour la première fois depuis des semaines j’éteins mon mac. Je me couche les yeux grands ouverts. Je suis littéralement terrifié, je sais que mes parents vont me tuer pour ça. Mais quel con j’ai fait ma soeur, ma propre soeur, je suis un malade, comme ces types qui couchent avec des clébards ou même pire !

    Le lendemain matin, Sophie est déjà partie me laissant un mot sur la table. Je devais bien m’en douter, c’est une liste de tâche à faire avant ce soir, elle est courte, mais c’est tout à fait ce que j’imaginais, 3 petit mots « range ma chambre ».

    Et me voilà en short à tout vider, jeter les poubelles, trier ce qui traine par terre, mettre en boite, j’en ai le dos en vrac… Après quelques heures sans aucune découverte intéressante, je me décide à lui piquer une cloppe. Je ne suis plus à ça prêt de toute façon, j’ai déjà un pied en enfer, autant y mettre directement le deuxième pour en finir plus vite. Je glisse une cigarette dans ma poche. La chambre commence presque à ressembler à un lieu normal alors que je remet en place sa petite commode et de me rappeler ce qui y est caché derrière… Je retourne le petit meuble et vois son petit vibro sans un sachet zip agrafé dans le bois. Curieux j’ouvre le petit sac et devant l’objet je ne peux que le glisser dans ma bouche en espérant y trouver un goût, le goût de ma soeur… Un pas de plus en enfer, ce goût salé réveille une érection en moi que mon petit short de sport à de la peine à cacher. Je remet tout en place et descend les poubelles, ma soeur entre à ce moment la et me lance :

    - C’est propre j’espère !
    - Oui !
    - Bien mon petit chien-chien, tu es vraiment idiot ! Tu n’imagines pas que j’aurai autant de problème que toi si je révélais tout ça aux parents ? Qu’est-ce que tu peux être con !
    - Tu es vraiment une connasse !! Je jette les poubelles par terre et sors les larmes aux yeux. Je ne l’aurai pas imaginée cruelle en plus.
    Elle me rejoint sur la terrasse, sors des cloppes et m’en offre une.
    - Tu as déjà fumé ?
    - Oui !
    - Tu es vraiment qu’un sale menteur en plus… Je parie que non. Je vais chercher du feu et de bières que j’ai ramenées ce soir on va être un peu plus frère et soeur ce soir.

    Après ma première cigarette ou j’ai lamentablement toussé et attaqué ma deuxième canette, j’ai la tête qui tourne, une grosse nausée et une envie de vomir qui je fais tout pour contenir.

    - En fait fréro tu es plutôt cool au final, je te voyais comme tout ces sales gamins geeks qui ne jurent que par leur jeux à la con. Je suis contente que tu picoles avec moi, ce me fait de la compagnie.
    - Sophie tu sais je…
    - Oui tu es un garçon, je suis une fille et tu as des besoins sexuels qui arrivent et je comprends que tu te branles sur tout ce qui bouge. Je trouve ça dégueu et malsain que tu te tripote ta petite bite en regardant ta soeur, c’est malsain et très bizarre. D’ailleurs fait la voir.
    - Quoi ??
    - Ta bite bien sur, je suppose que tu as vu ma chatte alors tu me dois bien ca ! Allez trouillard sors la !
    - Non !
    - Sors la tout de suite je te dis ou c’est moi qui la sors !

    Tout rouge, la tête en vrac, je me lève de ma chaise, j’ai les mains qui tremble quand je commence à défaire mon short. Ma soeur à tourné sa chaise pour se retrouver pile face à moi, son visage a moins de 50cm de mon ventre, elle affiche un grand sourire mêlé à de l’excitation.

    - Alors tu accouches !
    - Ok…

    Et mon short de tomber sur les chevilles, trop ivre pour avoir une érection.

    - Touches-toi ! Je veux la voir dure ! 

    Je me penche pour reprendre mon short mais elle me stoppe à hauteur des genoux, sont visage s’est encore rapproché de mon sexe qui à l’air de vouloir se réveiller. Est-ce que c’est ces grand yeux noir ou le fait que je vois ses seins lourd dans son décolleté qui me réveillent ?

    - Mais ça a l air d’exciter mon cochon de frère ! Par contre tu bandes mou c’est la honte !
    - C’est la bière !
    - Tu veux un peu d’aide peut-être ? 

    Elle se recule et prends un air ridicule en passant sa langue sur ses lèvres, en poussant des soupirs et en me lançant des regards digne de starlettes de films de cul. La ce n’est plus la même, mes hormones se remettent en route et mon sexe se dresse massif, violacé devant son visage. Elle applaudit devant le spectacle

    - Elle est si grosse !

    Machinalement ma main descend sur mon sexe et je commence à me caresser

    - Bonne idée ! Fait toi jouir ! Je veux voir ton jus !

    Je m’astique alors sauvagement, met un peu de salive sur mes mains, mon sexe brille. 

    - Aide-moi ! Je lui lance
    - Ok je vais faire ma salope si tu veux. 

    Et elle commence à se peloter les seins. Je ne rêve pas, je suis en train de me branler devant ma soeur qui se tripote les seins ! Rien que cette idée me rend fou et j’accélère le mouvement de va et vient. Je sens le sang affluer dans mon sexe qui me fait presque mal. Sophie rigole doucement, pouffe et me regardant quand tout d’un coup un long filet de sperme sors de mon sexe pour aller se loger sur son visage, du menton jusqu’a sa frange, son nez est couvert d’un gros grumeau laiteux. Elle se recule brutalement alors que d’autres spasmes me broient le ventre et font couler le sperme…

    - Tu es dégueulasse ! Tu aurais pu me prévenir me hurle t’elle !
    - Désolé ! Je savais pas ! Pardon !!

    Elle me sourit et me lance :

    - Tu as bien mérité une petite récompense vu que tu as pas l’air de débander…

    Elle se redresse de sa chaise, se met a genoux dessus et me tourne le dos. Sa jupe en jean à du mal à contenir ses fesses un peu grasses.

    - Enlèves ma culotte maintenant.

    Sophie est visiblement ivre… Et tant mieux ! Je m’approche d’elle, me met à genoux par terre, mon visage près de ses fesses. Des deux mains je prends les cotés de sa culotte et la fait glisser sur ses hanches, ses cuisses. En premier je vois son trou du cul, il est si beau, parfait avec ses tout petit plis. Il me prend le désir fou d’y mettre ma langue et de l’enfoncer dans ce trou, mais je continue à descendre sa culotte et aperçois ses lèvres bien juteuse, et je vois qu’elle mouille fort… A peine descendu de quelque centimètre de plus que je sens sa main empoigner mes cheveux et enfoncer mon visage dans ses fesses… Sous mes lèvres, son anus, sa petite chatte. Je passe de l’un à l’autre à grand coup de langue sentant son miel se répandre sur mes joues. Je lui empoigne les fesses pour enfoncer encore plus mon visage dans son gros cul. Ma soeur est vraiment une grosse chienne. Je lui dévore littéralement le cul et je l’entends couiner sur sa chaise. Elle crie comme une petite salope. Je vis dans un de mes films X. Après quelques minutes à lui avoir mangé le cul je me redresse derrière elle, toujours à quatre patte, elle se retourne vers moi un cil collé par le sperme séché et les yeux rouge de larmes.

    - Je lui lance : Sophie, ma soeur, apprête toi à te faire défoncer comme jamais, et plusieurs fois par jour…

    Sans hésiter je lui crache sur le trou de balle. Elle est sonnée encore par l’alcool et n’a pas compris qu’après lui avoir mis tant de salive dans son anus que j’allais en prendre possession. Je vais perdre ma virginité dans quelque secondes, dans le trou de balle de ma soeur.

    Je pose mon gland sur son trou et elle se retourne violemment vers moi, les yeux grands ouvert

    - Yann tu vas pas me prendre dans le cul ! 
    - Si et je vais t’insulter comme une salope ! 

    Et de pousser encore plus fort dans son petit trou étroit… Très étroit, à force de cracher et de pousser mon sexe rentre, millimètres après millimètres, puis enfin des centimètres. Sophie hurle et sanglote à la fois. Je commence mon va et vient, toujours plus vite, toujours plus fort mais après quelques secondes, un gros orgasme me submerge, je me sens me vider à l’intérieur de ses fesses, encore et encore alors que elle pousse un long râle de plaisir et de douleur. Je me retire et vois le sperme couler de ses fesses et je m’effondre sur les mienne, par terre, totalement a bout de souffle, je me laisse à m’allonger sur notre petite terrasse, KO.
    Sophie s’allonge près de moi, tout son maquillage à coulé avec le sperme et les larmes, on dirait une femme battue.

    -Yann tu sais, après tout je suis plutôt contente de t’avoir comme frère…

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