• Sophie est-ce que tu peux chercher Fanny dans sa chambre s'il te plait? Ca fait 10 fois que je l'appelle pour descendre manger!
    Mais que fait-elle???
    Oui j'y vais tout de suite répondis-je à maman.
    J'ai monté les escaliers péniblement pour chercher ma petite soeur..., elle ne m'a pas entendu approcher et je l'ai découverte couchée sur le dos, les jambes en l'air contre le mur qui jouxte son lit, les mains et les doigts sur son petit minou épilé.
    Elle m'a regardé avec des yeux très effrayés, ni elle ni moi n'avons parlé et nous sommes descendu dîner.

    Après le repas, je suis allée dans sa chambre (moi qui n'y vais jamais) et nous avons commencé à parler, d'abord de tout et de rien et puis nous avons ri de la situation d'avant repas. Plus tard les sujets devenaient plus sexuels et nous nous confions sur la façon de se masturber.

    - Tu le fais souvent toi? lui demandais-je. 
    - Pratiquement tous les jours, pas toi?
    -Si si lui mentis-je? Et c'est mieux avec les jambes aux plafond?
    -Oui je trouve, je ne le fais pas toujours comme ça mais j'aime bien sentir le sang me monter dans la tête pendant que je jouis... d'ailleurs à cause de toi je n'ai pas pu finir, dit-elle en rigolant.
    -Ah mais tu peux terminer ça ne me dérange pas, lui lançais-je sur un ton de défi.

    Là je la vois dégrafer son jean slim à la mode et descendre sa culotte tout en me regardant droit dans les yeux. Je me suis sentie toute chose, moi qui ai un an de plus qu'elle je crois que je suis bien plus coincée que cette petite salope.

    -Si je le fais tu le fais aussi!
    -Je te disais ça comme ça.
    -Trop tard! Maintenant je veux voir comment tu te touche! Mais d'abord moi, regarde moi.

    Son débardeur s'arrêtait juste au dessus de sa chatte et de ses longues jambes.

    Elle s'assit sur le carrelage les jambes écartées au maximum et se caressa le sexe d'un doigt fin et discret, elle était vraiment belle.
    Au fur et à mesure quelle rajoutait des doigts et de l'aplomb à sa caresse, elle se laissait aussi glisser sur le sol jusqu'à se retrouver allongée. Sans comprendre, je salivais de la voir se donner du plaisir et déjà une petite voix trottait dans ma tête, me disait, me forçait de m'approcher de plus en plus, lentement de son entre jambe. Ses mains étaient mouillées, je voulais ses doigts dans ma bouche.

    Je ne pus plus me retenir, je mis directement ma langue sur, puis dans son sexe si juteux, j'aspirais le venin de ma petite soeur et ses petits cris me disaient de continuer. Je frottais tout mon visage sur cette si belle vulve qui sentait si bon, je devenais folle, mes longs cheveux collaient à mon visage, mon corps était transpirant et ma chatte dégoulinante. Il me fallut peu de temps pour enlever mes vêtement et m'asseoir sur le visage de ma soeur, presque l'étouffer de mon jus et de mon plaisir. Je ne sais pas pendant combien de temps nous restèrent à nous lécher, sans doute une éternité. Nous avons jouis longuement et presque en même temps.
    Juste après nous nous sommes embrassées au moins aussi longtemps que nous nous sommes lécher, l'excitation ne baissait pas et nous avons recommencez à nous lécher cette fois tout le corps, le visage, les seins, le cou, le dos, le sexe, les pieds, l'anus, les genoux puis nous nous sommes embrassées.
    Cette nuit là nous nous sommes ainsi léchées jusqu'à l'épuisement, ce qui fait que je me suis réveillée au matin avec le visage collé au sexe de ma soeur, je l'ai alors à son tour réveillée à coups de langues délicats..

    On était mercredi et nos parents étaient partis travailler depuis longtemps. Avec ma soeur nous avons décidé de ne pas allez à l'école de toute la journée et d'au lieu de ça, préparer une petite pyjama party, vu que les parents ne rentrent jamais le mercredi soir.

    L'après midi fut délicieuse, passée nue dans le jardin et dans la piscine à se faire du bien et à décider de quelles amies nous allions inviter pour la soirée. Nous avons finit par convenir de Louise, Lucie, Clara, Sidonie et Juliette. Ensuite nous préparâmes des gâteau avec beaucoup de nos jus dans les recettes car nous ne nous lavions pas toujours les doigts après nos masturbation. J'aimais ma soeur et elle m'aimait, nous étions au paradis. 

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  • je suis Denis et mon épouse se nomme Claire... Tout va bien entre nous, amoureusement et sexuellement. Comme la majorité des couples nous essayons de mettre un peu de piment dans notre vie sexuelle, car la routine a tendance à s'installer. Ce samedi soir nous décidons d'un commun accord de nous faire un pti' sortie, puis d'aller au cinéma. Je demande à Claire de s'habiller sexy, pas comme une pute, mais sexy. Elle est très bonne et j'adore voir la convoitise dans le regard des autres hommes lorsqu'elle se promène à mon bras. Eh oui! on est un mâle et on ne se refait pas. La voila qui apparaît dans une jupe noire au dessus du genou, des bas noirs à motifs, des escarpins avec la petite lanière de cuir qui enserre la cheville, un bustier blanc: moulant parfaitement sa poitrine généreuse (95D) avec un décolleté qui laisse apparaître la naissance de ses seins et surtout, cerise sur le gâteau, ses tétons que l'on devine à travers le tissu. Mamelons toujours dehors en toutes occasions et pour peu qu'elle soit excitée alors là, je peux vous dire que ça pointe. Bref, très bandante ma petite coch*nne .
    "tu as un slip ou un string" lui dis je
    "bien sûr,pourquoi?" 
    "et si tu l'enlevais ça serait mieux, non!, de plus il ne fait pas froid dehors. Je t'avoue que ça me plairait si tu n'en mettais pas" fis je en lui faisant un clin d'oeil.
    "tu as l'esprit coquin ce soir on dirait, d'accord, je l'enlèves" me répond elle en me faisant également un clin d'oeil.
    Et nous voilà partis direction du parc. Pendant le trajet je ne peux m'empêcher de poser ma main sur sa cuisse et de remonter jusqu'à son ventre. Mes doigts farfouillent son entrejambe jusqu'à rencontré enfin les lèvres. Elle se laisse aller sur le siège et pousse un peu son ventre en avant tout en écartant les jambes.
    "Hummmm, c'est bon mon chéri, mais si tu continues comme ça je vais jouir avant d'arriver au parc" me dit elle.
    "Et pourquoi pas, tu commences directement par le dessert" dis je en rigolant
    J'écarte ses lèvres comme je peux avec ma main et lui enfonce un doigt dans son puit d'amour, la réaction est immédiate, elle soulève son bassin et vient à la rencontre du doigt inquisiteur. Claire pousse de petits gémissements. Je profite de l'arrêt à un feu rouge pour lui mettre un second doigt;
    "oh oui mon chéri, c'est bon, va, pousse plus profond, hummmm, oui, plus loin, j'adore".
    Satané feu vert, je redémarre, elle a profité de ce petit arrêt pour poser sa main sur ma braguette. L'effet ne s'est pas fait attendre, d'une demi érection je suis passé à une verge tendue à l'extrême qui cherche sa place dans mon slip. Bander en roulant ça n'est pas très pratique. Mes doigts se sont posés sur son clito,qui lui aussi a grossi, je le roule entre deux doigts, Claire gémit très fort.
    "je vais jouir, ça vient, continues mon chéri, plus fort" dit elle entre deux ohhhh ahhhhhh.
    Je serre fort son clito entre mes doigts et elle explose.
    "Je jouiiiiiiiis,ouiiiiiiii,crie t'elle en se tendant comme un arc".
    J'ai de la cyprine plein les doigts, je les lèche, j'adore tout ce qui vient de ma coch*nne.
    "mince,on est arrivés ma chérie".
    "déjà, je suis sûre que je ne ressemble plus à rien, c'est de ta faute" me dit elle.
    Et voilà l'éternelle féminin qui reprend le dessus.
    "Mais non, ma chérie, tu es toujours aussi belle, et je dirais même plus désirable que lorsque nous sommes partis".
    Notre entrée dans le parc me donne raison, la majorité des mâles présents la détaille, et à mon avis, si les épouses savaient à ce moment là ce qui leurs passent par la tête il y aurait de la crise matrimoniale dans l'air.
    La promenade se passe tranquillement entre caresses, mots d'amour, mots cochons, promesses de ce chacun fera à l'autre une fois de retour à la maison. Toutes ces petites choses ont le don d'exciter Claire, et lorsqu'elle se lève pour aller aux toilettes, j'aime autant vous dire que ses tétons sont à l'étroit dans son soutien gorge. Au fur et à mesure qu'elle traverse le parc les hommes la regarde, j'imagine les commentaires des épouses. Et moi j'en éprouve une grande fierté, tous ces hommes qui voudraient faire l'amour à ma femme. Enfin, elle revient.
    "Tu te rends compte que tu as fait bander la moitié de parc, ma chérie" lui disje
    " que la moitié tu crois, alors j'y retourne?" me répond elle avec un sourire
    Le film va bientôt commencer il va falloir penser à partir ma chérie.
    ..........................................................
     

    Tout en nous rendant au bus nous marchons bras dessus bras dessous et j'en profite pour caresser le fessier de ma chérie, elle me regarde et me sourit.

    "tu es vraiment très excitante ce soir ma coch*nne, j'ai vraiment de la chance d'avoir une si belle femme"
    "et moi un homme et un amant si merveilleux" me répond t'elle
    "tu sais ce qui me ferait plaisir"
    "non,dis moi mon chéri"
    "Eh bien j'aimerais que tu enlèves ton soutien gorge, ainsi je pourrais te caresser à loisir dans le bus et au cinéma, ça serait très excitant tu ne crois pas" lui dis je
    "Tout ce que tu veux mon amour, malgré que mon chemisier soit assez transparent, mais bon je veux bien te faire plaisir ce soir"
    Nous montons en bus, Claire, celle-ci sépare parfaitement les 2 seins libres de toutes attaches et tend le tissu du chemisier sur tes tétons. Je passe mes doigts dessus et ils réagissent immédiatement dardant à travers le tissu.
    "regarde,on dirait qu'ils appellent ma bouche"
    "oui, peut être mais pour le moment tu dois regarder la route, mais tu peux continuer à me carresser si tu veux, j'adore ça, et tu le sais très bien " me dit elle
    il prends l'autoroute pour faire la dizaine de Km qui nous séparent du complexe cinématographique. le chauffeur cale le régulateur sur (60), il roule tranquille, peu de circulation et j'en profite pour peloter Claire, je la sens qui commence à être sérieusement excitée.
    "Merde, merde!,j'ai oublié d'acheté les tickets, quel idiot, enfin c'est pas trop grave, je sais qu'il y a une station avant notre sortie "dis je d'un ton rassurant"
    "toi alors, tu n'en loupes pas une, on va finir par arriver en retard au ciné, 
    On arrive.heureusement " me dit elle
    "quelle chance il n'y a du monde, on ne va pas perdre trop de temps" dit Claire.
    Je sors et je commence a dire on gagnera quelques secondes ma chérie"
    Claire sort du bus en tenant sa veste à la main

    ............................................................
    "laisse ta veste vas y comme ça" lui dis je, il n'y a qu'une femme à la caisse
    "décidément toi ce soir, tu as vu mes tétons comme ils sont sortis à force de m'avoir excitée," me dit elle avec un grand sourire
    "tu ne risques rien à moins que la caissière soit une gouine"
    A peine est elle entrée qu'une voiture arrive, un homme en descend... pendant que 2 autres entrent et se dirigent droit vers la caisse ou se trouve Claire. Je les vois qu'ils la détaillent. Ma femme tourne la tête vers moi, je la vois un peu affolée. Je me la remet en question et elle arrive.
    "tu as vu les blacks" me dit elle
    "oui et alors"
    "tu aurais du voir comme il me regardait, un des deux avait les yeux rivés sur ma poitrine sans aucune gêne, il a même sifflé en disant belles paires de mamelles"
    "c'est normal, ma chérie, tu ferais de l'effet à une huître ce soir" lui dis je
    "t'es bête"
    "Regarde ils s'en vont", en effet ils passent devant nous.
    ont se dirigent vers eux, à peine ai je fait 27m...
    "c'est eux ne t'arrête pas" me dit Claire un peu apeurée
    " mais chérie, il n'y a rien à craindre et puis ils ont peut être besoin d'aide, regarde d'ailleurs il y en a un qui nous regarde et qui nous fais signe de venir".
    Je m'arrête derrière eux et!???, je vois celui qu'il braquer une arme vers moi
    "bouge pas, fils de pute, ou je te fais sauter la tête" me crie t'il
    Il vient vers moi, ouvre la porte arrière, et me dis de descendre, dès que . Claire commence à sangloter et me dit
    "Pierre,j'ai peur"
    "ta gueule pouffiasse, ferme la, et toi tu vas suivre gentiment mes copains, ok, allez "ordonne t'il
     La nuit commence à tomber.
    "J"ai peur Denis, ça va mal finir, je le sens" me dit Claire
    "Ne t'inquiète pas ma chérie, tant que je serais là personne ne te fera de mal" lui dis je en essayant de la rassurer
    "vos gueules les bourges" aboie notre passager. Ont s'est arrêté devant un vieux portail qu'un des hommes va ouvrir. Nous pénétrons dans ce qui semble être une casse, il n'y a que des carcasses de voitures aussi loin que les phares éclairent, puis nous arrivons devant un hangar ou une porte métallique est en train de s'ouvrir certainement actionnée par une télécommande. Les 2 véhicules pénètrent à l'intérieur, la porte se referme, aussitôt une lumière blanche et crue illumine tout l'intérieur.
    "On est arrivé tout le monde descend" nous ordonne l'homme derrière nous
     et Claire toute affolée vient se réfugier dans mes bras.Les 3 blacks sont face à nous et nous regardent en rigolant.
    "Mais qu'est ce que vous voulez à la fin?" s'écrie Claire
    "tu vas bientôt le savoir poupée" lui répond celui qui semble être le meneur. Il ordonne d'ailleurs à un autre d'aller chercher une chaise et des cordelettes. Claire tremble contre moi. La chaise arrive, il l'attache à un poteau qui soutient la charpente puis ils me font signe de venir m'asseoir.
    Claire ne veut pas me lâcher, mais le fait de voir un des lascars brandir à nouveau son arme vers nous la pousse à la raison et elle me laisse aller. A peine suis je assis qu'il me ligote sur la chaise.
    "Bon à toi maintenant ma jolie" dit il à Claire et tous les 3 s'approchent d'elle...................................
    Claire me jette un regard désespéré, et elle recule au fur et à mesure que les 3 hommes s'approchent d'elle;
    "ça n'est pas la peine de te sauver, tu veux aller ou pétasse, viens ici"
    Résignée, elle s'approche d'eux en tremblant.
    "alors comme ça on excite les hommes dans la rue en se promenant sans soutif, et on veut montrer ses gros tétons à tout le monde, et si ça se trouve t'as pas de culotte non plus" dit le "chef"
    un des blacks s'approche d'elle et met sa main dans l'échancrure de son chemisier et tire un coup sec.Claire pousse un cri, mais le tissu léger a cédé et à présent les seins de Claire sont totalement dénudés.
    "Putain! quelles paires de mamelles elle a, et t'as vu ces tétons, la vache!" s'écrie celui qui lui a déchiré son corsage. Claire commence à sangloter et j'assiste impuissant à la scène.
    "enlève ta jupe,grosse pute"
    "non je ne veux pas" s'écrie Claire
    Le chef s'approche d'elle la prend par les cheveux et lui tire la tête en arrière
    "si tu ne l'enlèves pas on l'enlèvera nous mêmes et pas avec douceur, t'as le choix"
    en pleurant Claire s'exécute, elle est à présent toute nue à l'exception de ses escarpins
    "c'est un sacré morceau on a tiré le gros lot ce soir les gars" dit le chef, les 2 autres ricanent
    "allez, amusez vous les gars" leur dit il. Aussitôt les 2 se jettent sur Claire qui pousse un cri de frayeur
    "ici tu peux gueuler tant que tu veux personne ne t'entendra" dit un des sbires
    Claire se débat mais les 2 la tripote dans tous les sens, l'un malaxe ses seins, triture ses tétons, pendant que l'autre a enfoui sa main entre ses cuisses et fourrage dans son intimité. Claire hurle, pleure, mais cela ne fait que rajouter à l'excitation de ses bourreaux. Ils la pétrissent, la fouillent,la sucent, la lèchent, la doigtent, c'est une poupée entre leurs mains. Puis un des blacks prend 2 morceaux de cordelettes et les attachent à chaque poignet de Claire, il la tire vers la voiture et la couche le torse sur le capot, il attache les cordes de chaque côté aux rétroviseurs, puis ils font de même avec ses chevilles qu'ils attachent aux jantes avant, Claire est totalement écartelée, sa raie est ouverte et on voit très bien les lèvres de sa vulve. Le chef s'approche d'elle et dit:
    "Bon ma petite blanche on va voir quel goût a ton abricot" il se met à genoux derrière elle et plante son visage dans sa raie culière. Claire a un soubresaut et crie de tout ses poumons 

     

     "non je ne veux pas, laisser moi, ne me touche pas" peine perdue l'homme commence à la lécher, d'abord sa vulve, il aspire les lèvres, les mordille, puis remonte le long de la raie jusqu'à la rosette, avec la pointe de sa langue il agace l’œilleton. Il a introduit un doigt dans son vagin et commence à la pistonner en même temps. Les 2 autres pétrissent le fessier de Claire et jouent avec ses seins. Au bout d'un moment les cris de Claire se font plus rares et je me surprend à entendre un gémissement.

    "Eh les gars cette grosse salope à l'air d'aimer ça on dirait" dit le chef, il faut pas la décevoir, Il se relève et baisse son pantalon en extirpe un sexe d'ébène tendu comme un arc d'une dimension fort respectable, il approche le gland du puit d'amour et d'un grand coup de rein s'enfonce dans le ventre de Claire.
    "ahhhhhh! salaud, non pas ça, je vous en supplie ,nonnnn, ahhhhhhhh" s'écrie ma femme.
    le chef la pistonne comme un fou. 
    "elle mouille cette salope, putain elle mouille, elle aime ça cette grosse truie"
    En effet les cris se sont transformés en gémissements, on dirait que Claire apprécie à présent.
    Au bout de plusieurs va et vient le chef se retire et lâche sa semence sur les fesses de mon épouse, il est aussitôt remplacé par un de ses comparses, mais celui ci ne la pénètre pas avec sa bite mais il est plus adepte du doigtage apparemment ,il met directement 3 doigts dans le sexe de Claire et commence à la doigter comme un fou furieux. Il ne faut pas longtemps pour avoir une réaction de ma chérie, elle pousse des ohhh! et des ahhh! révélateurs du plaisir qui l'envahit. Ses fesses tressautent sous la vitesse du pistonnage, il plonge son autre main sous le ventre de Claire à la recherche du clitoris, une ruade du fessier de mon épouse prouve qu'il l'a trouvé. Elle gigote sur le capot en poussant de long feulement et soudain son corps s'arqueboute dans un cri: elle jouit.
    "je crois qu'elle est domptée, détachez la" dit le chef.
    Libérée de ses liens, elle se retourne, son visage est défait, son maquillage a coulé mais quelque chose a changé dans son regard.
    "alors ma grande on va être plus docile" lui dit le chef.
    "va te faire foutre sale con" lui répond ma femme.
    "ok comme tu veux on va t'apprendre à vivre alors" lui dit il.
    Il fabrique un noeud coulant et le passe autour du cou de Claire en le serrant un peu.
    "alors tu vas être bien gentille maintenant sinon à chaque fois que tu désobéiras je serre la corde, ok ma colombe, pour commencer tu vas aller à quatre pattes sucer ton vieux ok" lui ordonne t'il.
    Claire s'approche de moi à 4 pattes tenue en laisse par son gardien.
    "allez sors lui la bite, tu le suces et tu le fais cracher sur ta gueule de salope" lui ordonne t'il.
    Claire ouvre ma braguette et je vois l'étonnement dans ses yeux lorsqu' elle s'empare de mon sexe qu'elle trouve gonflé à bloc.
    "t'as vu notre petite séance à même fait bander ton vieux, allez avale et pompe le comme tu l'as jamais pomper sinon je serre OK".
    Mon épouse me prodigue effectivement une fellation comme j'en ai toujours rêver je ne tarde à jouir, elle me connaît et au moment opportun elle sort ma bite de sa bouche et dirige mon gland vers son visage comme l'a ordonné son maître. Je me répands sur elle, une quantité impressionnante de foutre sors de mon tuyau et s'écrase sur son visage. J'ai joui comme rarement et au regard de ma femme je vois qu'elle s'en est rendu compte, elle est aussi étonnée que moi
    "tu t'es bien débrouillée grosse chienne, on dirait que ton vieux à apprécié, allez viens, il y a une surprise qui t'attend"
    Au grand étonnement de Claire on lui enlève la corde qu'elle avait autour du cou et il la laisse seule debout, les 3 sbires discutent entre eux, soudain le chef s'adresse à Claire.
    "on va te montrer un truc que tu n'as encore jamais vu, vas y momo déssapes toi"
    le dit momo est celui qui n'a que caressé ma femme pour l'instant. Celui-ci se déshabille en nous tournant le dos et lorsqu'il est nu se retourne lentement vers nous,
    Claire porte ses 2 mains à sa bouche et laisse échapper un"MON DIEU". En effet le sieur momo est pourvu d'un sexe, que dis je, d'une trompe qui doit faire dans les 25 cm et d'un diamètre en proportion.
    "t'en as jamais vu des comme ça en vrai, viens le sucer ma salope, je vois que tu en crèves d'envie, fais le bander"
    "non je ne veux pas" tout en prononçons ces mots Claire avance vers momo, une fois devant lui elle n'ose plus bouger son regard est vissé sur la chose qui pend entre les jambes de momo.
    "à genoux chienne de blanche et suce moi" lui intime momo.
    Claire pose sa main sur le sexe et soulève le gland vers sa bouche.
    "non je ne peux pas elle est trop grosse" dit Claire. 
    "ok on va t'aider un peu alors" lui répond le meneur. 
    Il se met derrière elle et lui bloque la tête contre ses jambes, momo prend sa queue dans la main l'appuie contre la bouche de ma femme tout en lui pinçant le nez de l'autre main. Au bout d'un moment, Claire manquant d'air ouvre la bouche toute grande et momo en profite pour y engouffrer son gland, elle a vraiment les lèvres distendues par la colonne de chair qui viole sa bouche. Au bout d'un moment de ce traitement la queue à momo commence à prendre des proportions éléphantesques. Il la retire de la bouche de Claire et l'agite devant ses yeux comme un trophée.
    "tu sais ou je vais te la mettre maintenant" dit il à mon épouse.
    "NONNN pas ça, ça ne rentrera jamais, vous allez me déchirer,je vous en supplie ne faites pas ça" implore mon épouse.
    " mais non tu vas aimer, tu vas voir salope de blanche, vous fantasmez toujours sur les grosses queues des blacks et à présent que tu en as une à ta disposition tu vas pouvoir en profiter" dit le chef en ricanant.
    "allez fous toi en levrette et cambre bien ton cul pour mon pote momo"
    "non,non, je ne veux pas" sanglote Claire.
    "ah c'est comme ça tu ne veux pas, ok, alors à toi de choisir" et il s'adresse au troisième larron.
    " va chercher de quoi la persuader" lui dit il.
    Cela dure quelques minutes et le voilà de retour en tenant en laisse un énorme rottweiler, Il s'approche de ma femme qui pousse un cri d'effroi en voyant le chien. Celui ci tire sur la laisse et vient renifler mon épouse, elle est tétanisée par la peur et n'ose plus bouger. Le chien lui renifle les seins, les fesses, le ventre, Claire supplie:
    "s'il vous plaît, s'il vous plaît,enlevez le"
    "d'accord, alors tu as le choix, soit tu baises avec momo ou alors on laisse le chien te baiser, c'est toi qui choisi" dit le chef.
    Clair, totalement anéantie, se retourne, se met en levrette et tend son cul en écartant ses cuisses, elle est totalement ouverte et offerte. Le sbire relâche un peu la laisse du chien qui vient renifler la raie de Claire.
    "je te conseille de ne pas bouger si tu ne veux pas te faire bouffer le cul par mon clebs" lui dit il. 

    Claire est tellement terrorisée qu'elle ne bouge pas d'un centimètre, le chien commence à lui lécher la vulve, puis la raie, jusqu'à son anus. Soudain, je vois le cul de ma femme qui commence à bouger lentement et elle pousse de petits soupirs qui augmentent en intensité au fur et à mesure que la langue du canidé la fouille.

    « Bon, ça suffit, à moi, maintenant, elle est prête, dit Momo, en se mettant à genoux derrière mon épouse en tenant son énorme vit dans sa main. Écoute-moi, putain blanche, je vais mettre mon gland contre ta chatte et tu vas pousser ton cul dessus, jusqu'à ce que tu l'avales, sinon c'est le chien qui viendra à ma place, t'as compris, salope ? »

    Mon épouse pousse lentement ses fesses en arrière en se mordant les lèvres. Ils sont de profil devant moi et je vois la colonne de chair qui commence à s'enfoncer dans le ventre de ma femme. Elle grimace, mais tient bon, en poussant un long râle.

    « C'est bien, continue ma chienne, le gland est rentré ! lui dit son violeur, ça va rentrer tout seul maintenant ! »

    Et ce disant, il la saisit aux hanches et donne un puissant coup de rein, je vois la queue disparaître d'un coup. Claire lâche un cri de suppliciée, mais l'autre la tient et commence son va et vient.

    « T'as la chatte prête à exploser, mais tu mouilles tellement que ça glisse tout seul, c'est bon une bite de nègre, hein ? Dis-le que c'est bon !, lui dit-il.
    ‒ Ouiiiiiiii, c'est bon ! Ahhhh, aîeeee, doucement !, dit Claire entre deux demi sanglots.
    ‒ Elle commence à aimer ton tuyau, on dirait ! », dit le chef à Momo.

    Celui-ci la pistonne, à présent, de toute la longueur de son engin et désormais, ce ne sont plus que des soupirs de satisfaction qui émanent de la bouche de ma femme.

    « Oui, c'est bon, ahhhh, ouiiiii, à fond, je la sens au fond de mon ventre, continue, plus vite, plus vite ! »

    Pendant ce temps, le troisième larron s'est agenouillé près d'eux et avec sa langue, a entrepris de lécher l'œillet de Claire, pendant que l'autre la pistonne. Jugeant l'anus détendu, il décide d'y enfoncer un doigt. Claire réagit instantanément en poussant un cri et en cabrant ses fesses.

    « Elle est prête ! », dit Momo.

    Je bande comme un âne sur ma chaise en voyant ce spectacle. Momo s'arrache du vagin de mon épouse et positionne son énorme sexe devant les reins de Claire.

    « Non, pas par là, c'est trop gros, je vous en prie, tu vas me déchirer, nonnnnnnnnnnnn ! »

    Le non se perd dans une longue plainte, car Momo a donné une poussée et le gland commence à forcer le rectum de Claire.

    « Putain, elle est serrée, la garce, elle ne veut pas que je l'encule ! »

    Claire hurle de tous ses poumons, mais les 2 lascars n'en ont cure, le second passe une main sous le ventre de Claire et commence à lui astiquer le clitoris, à toute vitesse. Le résultat ne tarde pas, les cris sont remplacés, petit à petit, par des soupirs.

    « Ahhh, ohhh, ouiii, bande de salauds ! »

    Le chef vient à la rescousse, il s'agenouille aussi et commence à triturer les gros seins de Claire qui pendent dans le vide, il malaxe les tétons entre ses doigts, ma femme pousse maintenant de vrais râles de plaisir !

    « Oh oui, c'est bon, encore, ahhh oui, continuez plus vite, plus fort, je vais jouir !
    ‒ C'est bon, elle commence à s'ouvrir !, dit l'enculeur. Ça commence à rentrer ! »

    Effectivement, je vois que le gland a disparu dans le cul de mon épouse et celle-ci ne pousse plus de cris de souffrance, au contraire.

    « Oui, je sens ta grosse bite rentrer dans mon cul, vas-y. enfonce-la, fais-moi jouir, mon salaud ! »

    À ces mots, le sodomite ne se retient plus et donne un coup de rein qui l'envoie au fond des entrailles de Claire.

    « Ahhhhhhhh, je la sens, tu m'éclates le cul, elle est au fond, ohhhhhhh ouiiiiii, tu m'exploses les fesses, faites-moi jouir, je veux jouir, c'est trop bon ! »

    Le chef se lève et vient me libérer de mes liens, je me mets à genoux devant Claire et lui enfourne ma bite dans la bouche, elle me lance un regard plein de surprise, mais elle ne peut pas parler, mon sexe turgescent l'en empêche. Je lui tiens la tête des 2 mains et je lui pistonne la bouche, en m'enfonçant aussi loin que je le peux, au point qu'elle en a des haut-le-cœur. Elle est prise de partout, doigtée, malaxée, enculée !

    Son corps commence à trembler, elle va jouir, l'enculeur accélère sa cadence, tout le monde est pris de frénésie. Tout à coup son corps se tend, elle jouit, je retire ma bite et un long râle de plaisir sort de sa bouche !

    « Ahhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

    Je suis au bord de l'explosion, je lui envoie de puissantes giclées de sperme sur le visage, Momo, agrippés à ses hanches, la "trompe" bien ancrée, jouit au fond de ses entrailles pendant que les 2 autres, en se masturbant, lui envoie de longues traînées de foutre sur les fesses. Claire n'arrête plus de gémir.

    « C'est bon, mon dieu que c'est bon, je n'ai jamais joui comme ça ! »

    Mais, elle reprend vite ses esprits et en voyant ses agresseurs, elle vient se réfugier, encore tremblante de plaisir, dans mes bras.

    « Ça va, Paul, on n’a pas été trop dur avec ta pute ?, dit le chef.
    ‒ Non, c'était parfait ! », que je lui réponds.

    Alors là, Claire ne comprend plus rien, elle nous regarde tour à tour, moi et ses agresseurs, le regard plein d'interrogation !

    « Mais, mais, il connaît ton prénom ?, me dit elle et je lui réponds :
    ‒ Bien sûr, Marius est un pote... !
    ‒ Comment ça, ton pote..., je comprends rien, c'est quoi cette histoire ? me dit-elle.
    ‒ Eh bien, ça fait 9 mois qu'on se connaît, Marius et moi, au fil des mois, la confiance s'installant on a commencé à parler de nos vies conjugales et de nos femmes et surtout de leurs fantasmes et connaissant le tien, il m'est venu une idée !, lui dis-je.
    -- J'ai demandé, un jour, à Marius, si il ne connaissait pas un mec fortement membré et il m'a dit que oui, sur ce, j'ai échafaudé un plan, je savais qu'un de tes fantasmes était le viol par des blacks. J'ai rencontré les amis de Marius, on a mis au point notre stratagème, mais je leur ai demandé, avant tout, un test HIV, à tous les trois, ce qu'ils ont fait de bonne grâce et voila, les dés étaient lancés !
    ‒ On ne vous a pas fait trop peur, j'espère, madame ?, dit Marius.
    ‒ Oh que si, j'ai eu la peur de ma vie, surtout avec le chien, mais c'est vrai aussi que je n'avais jamais eu autant de jouissance que ce soir, surtout avec la grosse queue de monsieur là !, répondit Claire.
    ‒ Alors, tu as aimé mon cadeau, ma chérie ?, lui dis-je.
    ‒ Tu es le meilleur des connards et je te remercie !, me dit-elle.
    -- et vous 3, j'espère bien que l'on se reverra encore une fois, mais plus dans un parking, je préfère un lit, c'est plus confortable. Merci à vous 4 de m'avoir fait jouir comme ça ! Ça restera un grand souvenir. Quant à toi, tu ne perds rien pour attendre !, me dit-elle, en m'embrassant.
    -- Je t'aimeeee, mon amour ! » 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Je me balade dans la ville sans trop faire attention à ce qui se passe, lorsque je vois ma copine avec un homme grand, sexy et mignon. Comment ose-t-elle se balader avec ce type au vu est su de tout le monde. Elle sait pourtant que je suis jalouse, que je ne vis que pour les caresses que nous échangeons. Quand elle me voit elle me fait signe de venir. Et en plus elle a le culot de m’inviter à voir de près celui qui couche avec elle. 
    Je m’approche dans l’intention de lui flanquer une belle gifle sur la figure pour lui apprendre la politesse. 
    Elle est très belle et sexy Gaby. En un éclair passe dans ma tête son physique avec sa poitrine qui malgré sa taille ne tombe pas, ses fesses où j’aime bien égarer mes lèvres, sa toison bien taillée et son sexe où que j’aime mélanger avec le mien.
    - Enfin je te vois, me dit Gaby. Je te présente mon ami, JOUI12R... Il était curieux de te voir.
    Ouf, ce n’est que son ami. Je me fais un cinéma pas possible.
    Elle ajoute:
    - Tu sais, il est courant pour nous deux. 
    - Tu me rassure
    Il me regarde me souriant:
    - Vous pensiez que j’étais son amoureux? C’est vrai j’ai envie d’elle. Mais voilà, elle me refuse pour ne pas vous déplaire. Vous êtes aussi sexy que Gaby, si j’osais je dirais que j’ai aussi envie de vous.
    Drôle de type que ce JOUI12R. Il n’a pas froid aux yeux, il ne me déplais pas du coup.
    Gaby l’écoute avec un air intéressé. Je sais qu’elle a envie de baiser avec un homme pour avoir une bite en elle. Je m’interroge pour savoir si moi aussi je n’aurais pas une envie quelque part. Pourtant nous nous faisons l’amour souvent, nous avons même acheté des godes pour mieux nous prendre. C’est bon de se faire mettre par sa copine quand on en a envie, en ayant le choix de l’endroit, devant ou derrière. J’aime quand elle me sodomise. Je me vois en un éclair en levrette avec la bite de JOUI12R dans mes fesses. Je commence à mouiller
    - Elle a tord de se refuser, en tout cas moi, je me donne à condition que………………..
    Gênée je me tais. J’en ai trop dit où pas assez.
    Gaby me réveille:
    - Tu as envie de lui? Et moi dans tout ça.
    - Toi? Tu est avec nous non. 
    - Tant mieux parce que je crois que moi aussi j’ai envie de coucher avec lui.
    JOUI12R réagit:
    - J’ai droit à la parole? J’ai envie de vous deux. Où allons nous baiser?
    Finalement la meilleure décision vient de ce ami.
    Quand nous sommes chez Gaby, l’endroit où nous nous aimons souvent, JOUI12R nous prend par la taille, nous embrasse rapidement sur la bouche. Gaby nous entraîne dans sa chambre. Je connais assez les lieux pour m’asseoir sur le bord du lit. JOUI12R vient près de moi, commence à m’embrasser sérieusement sur la bouche. Sa langue est agréable sur la mienne. 
    Gaby entame les choses sérieuse en commençant à déshabiller JOUI12R. Elle fait tomber le chemise, caresse un peu le torse et s’attaque ensuite au pantalon pour ouvrir la braguette. Elle force beaucoup pour arriver à sortir une grosse bite bien dure. 
    Il y a longtemps que nous n’en avions pas vue, surtout dans cet état. JOUI12R semble me préférer pour l’instant. Il me caresse la poitrine à travers les vêtements. Je préfère enlever le polo que je porte pour qu’il vienne me défaire le soutif. Je suis plus libre pour bouger, ses mains en profitent aussi. Il m’excite beaucoup plus que je ne pensais. Je me laisse faire sans réagir alors que Gaby ne se démonte pas, elle a une queue à sa disposition: elle en profite un peu: elle l’embrasse sur le bout, sort sa langue pour aller lécher ce bout et le gland qu’elle fait bien ressortir à la main. 
    Je suis étonnée quand je la vois mettre le sexe dans sa bouche. Elle fait aller et venir sa tête, engloutit la majorité de la bite avant qu’il éclate en longs jets de sperme qu’elle laisse partir sur lui. 
    Il est plus calme d’un coup. Je vois sa bite débander: c’est dommage, j’en aurais voulu ma part dans mon ventre.
    JOUI12R se lève, nous fait face et sans complexe commence à se caresser la pine. Il arrive à bander très vite. Cette fois nous nous déshabillons entre fille comme toujours. Nous ne mégotons pas sur les baisers et les caresses entre nos cuisses. Je branle Gaby devant les yeux de JOUI12R qui passe une main par derrière pour aller caresser l’entrée du cul de sa copine. Prise ainsi Gaby prend un pied pas possible, elle crie au moment de son orgasme: c’est la première fois qu’elle réagit ainsi. 
    Maintenant JOUI12R vient à nouveau sur moi, il oublie mes seins pour caresser mon sexe. Je ne pensais pas qu’il sache branler une fille aussi bien. S’il caresse un peu le clitoris, il entre d’abord un doigt dans ma chatte puis un autre sur l’anus pour le mettre aussi dans le cul. Il fait coulisser sa main. Je serre les fesses pour mieux le sentir. Je fais bien: je jouis comme une folle. 
    Maintenant au tour de Gaby: il la couche sur le lit. Il va la baiser, c’est sur. Tellement sur qu’il la lui met rapidement, trop vite à son gré. Pourtant c’est un baiseur exceptionnel: il la fait jouir très vite: la grosseur de sa queue doit y être pour beaucoup, en plus il sait comment régler sa vitesse en fonctions des réactions de Gaby.
    J’assiste à cet accouplement en étant assise près d’eux, les jambes ouvertes, ma main sur la chatte. 
    Il me tarde qu’ils finissent. Enfin Gaby a son compte d’orgasme pour le moment. JOUI12R me désigne comme la suivante. Il ne me demande même pas ce que j’apprécie. Il me met sur le ventre. Ma poitrine est écrasée par mon poids. Il vient sur moi, mouille mon anus avec sa salive et met sa queue sur mon anus. Je ne me suis pas faite enculée réellement depuis je ne sais combien de temps, surtout avec une telle bite. Je me force à être détendue, j’y arrive fort bien. Il relève un peu mes reins, passe un doigt dans le cul pour le remplacer par sa bite. Je sens mes tissus s’écarter devant le pression. La douleur et le plaisir se confondent quand j’explose. Je jouis encore une fois. 
    Il me retourne, sa bite toujours plantée dans le ventre. Gaby vient me donner son clitoris. Je la suce avec plaisir, son goût mélanger à cette bite me donne encore du plaisir. Je la lèche longuement pour lui donner le maximum d’orgasmes. 
    Elle sort les deux godes. Je me tourne pour être sous JOUI12R. il comprend le message. Pendant qu’il m’encule il se propose de la en faire autant. il agit avec douceur puisqu’elle ne réagit que très tard: il la lui a mise à fond. Tellement qu’il me semble l’avoir également en moi. D'elle-même Gaby se met en levrette. JOUI12R est libre de faire à Gaby ce qu’il veut ou ce que nous voulons. Elle se laisse sodomiser avec plaisir puisqu’il éjacule sur elle et moi. JOUI12R ne sort pas le gode il me regarde un bon moment; je peux moi aussi l’enculer. Elle aime bien cette façon de baise, puisqu’elle jouit encore. 
    elle est sur le dos, le gode dans le cul, sa main autour de sa bite. Il se branle toujours: il nous excite tant que nous ne pouvons nous retenir: nous sommes vite en 69. Bien sur nous léchons nos sexe: nous nous passons aussi des doigts dans le cul de l’autre. Nous devenons des filles dévergondées comme il y en a peu en ville...

    tout comme3???? 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  •  
    Ma demi-sœur, fille d’un premier lit de la seconde femme de mon père,... ma cadette vint un jour de Perpignan et me demanda de l’héberger. J’acceptais bien volontiers tout en lui faisant remarquer que je n’avais guère de place.
    Elle avait bien changé depuis le temps que je ne l’avais vue. Vivant avec ma mère je voyais surtout mon père aux vacances, lorsque j’étais enfant. Mais je n’avais pratiquement plus vu ma sœur depuis..., sauf en coup de vent lorsque j’étais allé en Espagne via Perpignan.
    La toute jeune fille qui sonnait à ma porte, en fin d’après midi, était très jolie, pas très grande, la peau assez hâlée, les yeux plutôt verts, bien dessinés, les cheveux aux épaules, châtain avec des mèches plus claires. La bouche bien ourlée et souriante. Son visage me disait quelque chose mais je mis quelques secondes à la reconnaître. Il fallait effacer le souvenir de la gamine espiègle que j’avais un peu connue. Ce ne furent pas effusions, mais simplement embrassades et bavardages pour se reconnaître, ou tout simplement se connaître. Ce premier soir je travaillais de nuit, la dernière de ma période. Après un repas frugal parce qu’improvisé, je la laissais seule et partais à la bibliothèque la tête un peu obsédée par l’image de la presque inconnue qui avait partagé mon repas.
    En rentrant vers sept heures et demie, je fis un peu de bruit qui la réveilla. Je lui proposais de déjeuner avec moi et lui annonçais que, crevé, dormant debout, j’irais aussitôt me coucher. Elle me rétorqua:
    - Pas de problème, il est un peu tôt, mais j’aime bien me lever tôt et j’ai plein de trucs à faire dans Paris.
    Elle se leva pour passer dans la salle d’eau et je vis qu’elle avait dormi nue. Elle passa devant moi très naturellement, sans ostentation particulière. Elle était toute bronzée mais ne devait pas faire de l’intégral. Les traces du maillot deux pièces dessinaient de jolies formes blanches sur sa peau. En particulier de jolis petits seins pointus ou le mamelon tranchait en couleur sur le blanc laiteux de la peau, de belles fesses, bien blanches elles aussi, bien dessinées et une toison pubienne assez brune mais pas trop dense. Je mettais mon mouchoir sur mes réflexions, buvait un thé avec elle après qu’elle eut passé un peignoir, je pris une douche rapide et allais me coucher. J’avais l’habitude de dormir nu également, mais pour la circonstance j’avais mis un Tee-shirt XXL. J’allais m’allonger et dans un demi-sommeil je l’entendis tirer la porte derrière elle.

    Le soir, comme j’étais en repos le lendemain, je l’invitais dans une petite pizzeria en bas de chez moi. Nous prîmes un apéro et un peu de vin. Sans avoir trop mangé, après avoir beaucoup parlé, nous rentrâmes assez gais. Me déshabillant dans la salle d’eau et reprenant mon tee-shirt, je lui dis que nous serions contraint cette nuit, de partager le même lit.
    Elle me répondit:
    -Je le sais bien, mais tu es mon frère, non? Pour moi, il n’y a pas de problème.
    -Pour moi non plus. Sois tranquille.
    Je lui tendais un tee-shirt de la même taille et elle partit dans la salle d’eau. J’allais m’allonger dans le lit qui était assez grand et entrepris de lire un peu. Elle vint se coucher à coté de moi, côté mur, il n’avait pas de lampe de chevet de ce côté. 
    -C’est embêtant! J’aimerais bien lire un peu moi aussi, comment je fais?
    -Pas de problème, je suis un peu fatigué, tu vas prendre mon côté et moi le tien.
    Je me levais et faisais le tour alors qu’elle glissait sous la couette près de la lampe.
    J’étais presque assoupi lorsqu’elle éteignit la lumière et sembla se rapprocher de moi. Il ne faisait pas froid. Sentir sa présence à mes cotés me réveilla complètement. Je me retournais vers elle. En fait, elle était allongée sur le dos, les bras le long du corps sous la couette, mais à me toucher. Dans la pénombre, je voyais ses yeux ouverts qui regardaient au plafond, son profil joli qui se découpait.
    En me retournant, involontairement, sans y prendre garde, le tee-shirt était un peu remonté à ma taille et ma verge soudain dégagée se trouva au contact de sa peau, sa cuisse ou sa main, je ne pouvais le dire avec précision. Elle sembla ne pas sentir le contact et n’esquissa aucun mouvement de retrait. Moi, par contre, réalisant la situation, je ne pus contrôler une érection qui s’imposa assez rapidement.
    Par petites contractions, je faisais pression contre ce qui était sa cuisse ou le dos de sa main. Elle resta un temps sans réagir puis ses doigts s’agitèrent et s‘enroulèrent ou plutôt s’emparèrent de ma verge bandée. Elle me branlait doucement sans dire un mot, sans bouger le reste du corps, sans me regarder, les yeux toujours fixés vers le plafond. Enfin elle tourna son visage vers moi. Habitué à l’obscurité je voyais ses yeux brillants. J’approchais mon visage, effleurais le sien, nos bouche se touchèrent puis s’ouvrirent. Bouche très ouverte et langue agile, j’allais trouver la sienne et visiter ce lieu excitant. Sa main se serra nettement sur ma verge. Stimulé, j’allais chercher sous son tee-shirt, d’une main, sa toison et son sillon. Pour descendre entre ses cuisses, je fis un peu pression, car elle gardait les jambes serrées. Je glissais franchement la main entre ses cuisses et les écartais doucement. Sur ma sollicitation insistante, après une courte résistance, elle les écarta finalement lentement mais très largement. Je pus ainsi commencer à visiter des doigts sa jeune chatte à loisir.

    Je parcourrais d’abord les grandes lèvres que j’ouvrais délicatement. Après avoir effleuré son prépuce, ce qui lui arracha un murmure, j’encourageais son clitoris à se décalotter, Elle frissonnait et laissait échapper des grognements alors que nos langues s’emmêlaient. Bientôt je glissais très aisément un, puis deux doigts dans sa vulve chaude, qui était désormais bien mouillée d’excitation. Je me hissais sur un coude, la regardant dans la semi obscurité, tout en même temps je lui dis:
    - Je ne suis pas raisonnable, Marie-Claire, un frère et une sœur! C’est interdit! C’est de l’inceste! Mais je te trouve vachement attirante.
    - Justement, dit elle, c’est tabou! Mais c’est très excitant, l’interdit, l’immoral! Le secret de famille!
    - C’est ça qui t’excite à ce point et qui te fait mouiller comme ça? Ta chatte est vraiment trempée, c’est un plaisir de la visiter.
    - T’aimes ça? J’aime beaucoup tes caresses. Tu es très doux, et visiblement tu connais les femmes et même le sexe féminin. Et puis, t’es pas mal comme mec! Je suis une femme avant d’être ta sœur.
    Tout en parlant elle continuait à me branler.
    - Tu mouilles vraiment beaucoup, j’aimerais bien goûter ta liqueur, connaître ta saveur. J’ai très envie de lécher ta chatte, tu veux bien?
    - Tu ne vas pas me croire, mais c’est la première fois qu’on me le fait! Je veux bien, j’en ai bien envie, mais attends, ça t’ennuie si j’allume la lumière? J’ai très envie de te voir et de voir ce que tu fais.
    - Oui, allume! Moi aussi j’ai envie de te voir. Je suis très voyeur et j’aime bien regarder ce que je fais. Ça me plaît bien.

    Je retournais la couette pour nous découvrir, j’enlevais mon tee-shirt. Elle alluma la lampe de chevet et ôta également son tee-shirt. Je la contemplais nue, redressée sur ses avant bras, en attente, les jeunes seins blancs fermes, les petits mamelons hérissés, les cuisses désormais bien écartées sur ce triangle blanc et sa toison pubienne à peine fournie surmontant cette bouche rose pale et luisante qui m’attirait tant. Je m’allongeais entre ses jambes, écartais à deux mains les grandes lèvres de sa jeune chatte, j’ouvrais également doucement mais fermement les petites lèvres roses liserées, rouges foncés en haut et contemplais, béat, le joli puit rose, baignant dans une liqueur un peu blanche et crémeuse qui s’offrait à moi. Cette vision était terriblement excitante.
    Je ne pus résister à donner un coup de langue sur ses muqueuses liquéfiées, chargeant ma langue de sa liqueur. Elle eut un soupir. J’aidais alors, d’un doigt d’horloger, le clitoris à se décapuchonner complètement et se dresser plus encore. Rose presque blanc, il se gonfla de vigueur et d’énergie. Je le pris dans ma bouche alors que j’enfonçais et faisais, doucement, aller et venir deux doigts trempés de son nectar, dans sa vulve. Tout en la suçant, j’admirais ses seins durcis, ses tétons bruns dressés sur ces petites collines laiteuses, ses yeux qui ne me lâchaient pas.
    -Hoooo, c’est bon! dit elle, c’est super bon! J’aime! Tu aimes, toi?
    Je répondais par un « Hon, hon » affirmatif, sans desserrer mes lèvres. Je respirais sa toison, son odeur qui avait rapidement anéanti celle du gel douche. Sa respiration à elle, était maintenant plus lourde, et des soupçons de râles lui échappaient.

    Elle mit alors sa main droite sur ma nuque, glissant ses doigts dans mes cheveux. Mes doigts s’agitant dans son fourreau sentaient ses sphincters les enserrer. Je frottais doucement mais consciencieusement son méat puis la partie ferme et légèrement râpeuse qui le suit en entrant dans son vagin. Elle avait mis les deux mains sur mes tempes et agitait ses doigts à la cadence des miens.
    Elle me disait:
    -Oui, oui, oh j’aime! Tu me lèches super bien, c’est bon! je n'ai pas encore rencontré de garçon qui lèche...
    Je vis à ses yeux quand elle commençait à partir, et je le sentis à ses contractions. J’activais encore plus mes succions et le frottement de ma langue, j’accentuais aussi un peu la pression de mes doigts. Elle poussa un râle rauque, puis deux autres moins forts, son corps fut arc bouté, cabré, secoué, tendant sa chatte vers moi, puis elle retomba et me demanda doucement d’arrêter de la lécher. Je gardais ma bouche ouverte sur son sexe épanoui, mes doigts toujours fichés en elle. Sa respiration était devenue plus calme. Son regard était brumeux, très émouvant. Reprenant doucement ses sens, elle me dit:
    -Oh, la, la! C’est super bon! On ne me l’avait jamais fait avant! C’était génial! Quel pied! Ta langue et tes doigts! Tu es un expert! Vraiment super! Houou, c’est bon! C’est violent! J’ai vachement aimé!
    Je dégageais mes doigts trempés, les léchais avec volupté, ramenais fermement ses jambes vers son torse et lui dit:
    -Tu as mouillé très abondamment, ta chatte est encore pleine de liqueur, j’ai envie de la boire dans ta chatte.
    Avant toute réplique, j’enfonçais ma langue dans son vagin et lapais tout ce que je pouvais.
    Elle se laissait faire avec ravissement. Enfin rassasié, je me redressais en lui disant:
    -Merci, tu es succulente! Et très excitante!
    Elle me regardait tendrement en souriant, puis avisant ma puissante érection:
    - Et toi? Tu es toujours bien raide! Tu veux venir en moi? Tu peux, si tu veux, je prends la pilule tu sais!
    Je lui dis:
    - Non, laisse-toi aller. Récupère. On ne fait pas un troc. Ce n’est pas orgasme contre orgasme. J’ai eu énormément de plaisir à te lécher, à boire ta liqueur et à te sentir jouir. Tu es bien? Alors je suis bien.
    - Oui je suis très bien, mais ce n’est pas du troc. J’ai envie aussi de te faire plaisir. Tu veux bien? Tu m’as vue jouir, toi!
    - Oui, bien sûr que je veux. Mais tu sais ce que je voudrais?
    -Non, quoi?
    -Que tu me suces!
    -Ah bon? fit elle avec une petite moue, mais tu sais, j’aime pas trop le goût du sperme, me répondit-elle
    - Ah, tu vois! N’en parlons plus! C’est pas très important.
    - Non, non, écoute, je veux bien essayer. Je ne suis pas une oie blanche, je l’ai déjà fait, mais…
    - Mais…? Tu n’as pas aimé? Ne m’avale pas si tu n’aimes pas! Tu me recracheras dans un Kleenex, il y en a une boite là! OK? De toute façon je te préviendrai quand je vais jouir.
    - D’accord! Si tu veux!

    Je me redressais et je l’invitais à se mettre à genoux. Je la regardais, nue à mes pieds. A la dérobée je contemplais notre image dans la glace murale, elle agenouillée, assise sur ses talons, les mains sur ses cuisses, ses jolis seins blancs pointus tranchants sur sa peau bronzée, le visage tendu vers moi comme on attend l’hostie à la première communion. Elle était vraiment très excitante, très bandante. Moi, debout, la queue tendue vers son visage. J’approchais ma verge raide et gonflée de sa bouche, à toucher ses lèvres et, plongeant mon regard dans le sien, lui ordonnais:
    - Ouvre grand ta bouche, que je te fourre ma bite! Comme ça! Suce ma belle! Suce ma bite! Avale ma queue! Pompe la! J’ai les couilles pleines qui ne demandent qu’à se vider. Fais-moi gicler dans ta bouche!

    Je lui retirais ses cheveux longs en arrière et contemplais son visage d’encore jeune adolescente absorber doucement ma verge raide. Elle avait dans un premier temps, saisi ma queue dans une de ses mains et s’activait avec un réel talent. Je m’excitais à contempler sa bouche engloutir et ressortir, aspirer, suçoter et engloutir ma bite. De temps en temps, elle me relâchait et léchait au bout de mon gland, les larmes de sperme qui suintaient, comme on lèche une glace, puis me reprenait. La main gauche maintenant appuyée contre ma cuisse, elle caressait mes couilles gonflées de la main droite. J’avais le sentiment qu’elle y prenait un réel plaisir. Souvent je croisais son regard qui cherchait le mien, pour mesurer la qualité de sa prestation. En levant les yeux elle avait presque un regard implorant, mais de fines pattes d’oie rendaient ses yeux gais. Je lui disais:
    -C’est très bon! Continues comme ça! Suces ma queue, Marie! Tu pompes vraiment bien! T’es vachement excitante! Je n’arrive pas à croire que tu n’aimes pas ça! Moi, j’aimerai te regarder pomper des dards comme tu me suces! J’aimerais bien te regarder sucer des mecs devant moi!

    Je lui appuyais de temps en temps sur la nuque pour enfoncer mon gland jusqu’à sa glotte. Elle retenait alors son souffle pour me prendre jusqu’au fond de sa gorge. Puis elle me dégageait et se concentrait sur mon gland qu’elle tétait comme un veau tire sur le pis. Elle se montrait plus que docile, très active.
    Je lui dis alors *:
    - Tu suces divinement bien, petite sœur! Probablement comme une professionnelle, ou une actrice de porno! Et te regarder sucer est super excitant. Une bite dans ta bouche, quel spectacle! T’es vraiment une sacrée pompeuse! Pour quelqu’un qui n’aime pas le sperme, t’en as visiblement pompé déjà des bites! Des belles et grosses queues bien raides de mecs, hein! Et avec plaisir! Si ça se trouve c’est toi qui prenait l’initiative, n’est ce pas? ils croyaient te forcer mais tu n’attendais que ça! T’aimes bien avoir une bite raide dans la bouche, hein! Et je suis sûr que t’aimes bien sentir le mec jouir dans ta bouche! Tu dois aimer sentir la bite tressaillir lorsqu’elle fait gicler sa crème! Tu aimes quand tu as la bouche pleine de foutre épais, hein!
    Je contemplais son activité dans le miroir, ses jeunes seins durs à éclater piquaient presque mes genoux, et sa bouche qui s’activait.
    Mes mots m’excitaient bien sûr, mais la stimulaient également à continuer de plus belle, quand je lui annonçais:
    - Attention, mignonne, je vais venir! Je viens, Marie! Je vais gicler! Tu vas avoir la bouche pleine de mon foutre! T’es prête? Je-je…Ohhh, ohhhh, ouiii, ouii, je jouiiiis! 

    Je tenais son visage une main sur chaque tempes et me vidais par puissantes saccades au fond de sa bouche. Au bout de trois jets, que je sentais puissants, je me retirais assez pour ne pas qu’elle s’étouffe. Les dernières giclées, terminées à la main, allaient asperger son visage, une paupière et ses cheveux puis, barbouillant au passage une joue, allait ruisseler jusqu’au menton, d’où pendait maintenant un filet laiteux et gluant.
    Je lui dis alors:
    - Tu m’as bien reçu! Je t’avais prévenu, mais tu m’as gardé! J’ai bien vidé mes couilles! Ouvre ta bouche! Fais-moi voir ma purée!

    Elle se releva, le visage largement maculé de sperme, me fixa dans les yeux en ouvrant la bouche en grand. Sa langue était bien blanche de crème laiteuse un peu épaisse. Mes giclées avaient vraiment été puissantes. Elle en avait gardé beaucoup en bouche et ses lèvres étaient liées par des petits filets blancs collants. Mais contre toute attente, elle referma alors la bouche et commença à déglutir, toujours en me regardant et en souriant. Puis elle reprit ma bite en bouche pour achever son « travail »! Je me dégageais et m’abaissais pour l’embrasser et tenter de lui reprendre une partie de ma semence. Après tout c’était à moi! Elle en fut toute surprise mais ne partagea pas grand chose, bien que le baiser fût long, baveux et super collant.
    Elle me dit après:
    - Le sperme que j’avais goûté avant ne m’avait pas plu mais le tien est vraiment agréable. C’est une découverte. J’en ai avalé quand même, pas mal. Les premiers jets je ne pouvais pas y échapper! Et j’ai vraiment bien aimé! Mais te sentir exploser, et ma bouche se remplir, ça c’est super excitant! ça m'a fait mouiller terrible!
    Puis, après une pause:
    - Mais toi? Tu l’as déjà goûté, ton sperme?
    - Oui! Et toi? As-tu goûté ta liqueur? Moi, j’ai même goûté celui d’un ami. Alors, si tu aimes, la prochaine fois, tu avaleras tout, ma belle?
    - Oui j’ai déjà goûté mon jus en léchant mes doigts. C’est pas terrible… Mais visiblement tu aimes, toi. La prochaine fois, j’aimerais bien que tu viennes en moi, j’aimerais te sentir jouir en moi.

    Puis marquant une pose:
    - Tu as donc déjà sucé un garçon? Et tu as aimé?
    Je l’invitais à me suivre dans la salle d’eau, pour se passer un gant de toilette, elle sur le visage, moi sur ma verge.

    L’idée de voir deux garçons se lécher, semblait l’émoustiller.
    - Oui, j’ai un copain de cœur. Nous sommes très amis depuis longtemps, en absolue confiance et nous sommes allés ensemble aux sports d’hiver en février. Et un jour, en rentrant du ski, va savoir ce qu’il y avait dans l’air, il est sorti nu du bain, alors que j’allais me plonger dans la baignoire. Nous avons senti comme quelque chose d’indéfinissable. Lorsque je suis ressorti du bain, il ne s’était pas rhabillé, était étendu nu sur le lit, et sa belle verge avait un beau début d’érection. Je me suis approché, l’ai prise dans ma main, ce qui m’a fait bander et j’ai commencé à la sucer.

    Après une toilette de chat pour enlever les dernières traces de ma jouissance, nous nous étions rallongés et avions rabattu la couette sur nous. Marie-Claire se serrait contre moi, et m’enserrait d’un bras.
    - Alors, raconte, continue. Lui ne te faisait rien?
    - Si! En fait je me suis allongé contre lui mais nous étions tête bêche et il a également pris ma verge dans sa bouche. C’était délicieux
    - Comme moi?
    - Te vexes pas. Oui, presque aussi bon. Mais nous ne nous disions rien. L’instant était magique. Chacun cherchait en fait, à faire plaisir à l’autre. Nous nous caressions gauchement en même temps. Sa peau est très douce, il est mince, à la limite d’être maigre. Peut être s’était il excité avant que je sorte du bain, sa queue était bien plus grosse et longue que la mienne. Il est venu assez vite dans ma bouche. Il a à peine tenté de se dégager, mais je le tenais fermement, et sa verge était assez imposante pour ne pas m’échapper. Des giclées assez puissantes d’un sperme très onctueux qui m’a paru salé-sucré.

    Je ne voulais pas le lâcher, je déglutissais aussi vite que je pouvais, à chaque giclée. Mon excitation était à son comble, mais je ne voulais pas jouir tout de suite. Sentant qu’il redevenait flaccide, je l’ai abandonné et je me suis assis en tailleur. Il m’a repris dans sa bouche. Je contemplais son visage, sa joue bleue d’une barbe du soir qui se creusait au rythme des succions. Je caressais sa nuque à travers ses cheveux longs. Je contemplais ma bite qui disparaissait alternativement dans sa bouche. Je le prévins que j’allais jouir. S’il n’avait pas voulu me recevoir dans sa bouche, je ne me serais pas formalisé, mais il a continué avec plus de vigueur, m’a fait jouir très fort, m’a pompé complètement, m’a bu, puis a abandonné mon sexe et nous nous sommes embrassés. C’était étrange, j’avais encore son goût dans ma bouche et lui le mien dans la sienne. Alors, seulement alors, nous nous sommes parlés.

    Marie-Claire était vraiment collée à moi, et de sa main droite commençait à jouer avec ma verge.
    -Et que vous êtes-vous dit?
    -Que c’était étrange, que tous les deux, sans rien dire, nous avions senti que c’était inévitable, que c’était dans l’air. Pas plus l’un que l’autre nous ne nous définissons comme homo, ni hétéro, ni bi non plus d’ailleurs. Nous avons eu envie de l’autre comme un coup de foudre, et nous avons aimé tous les deux. Nous nous sommes de nouveau caressé, embrassé, léché, sucé mais sans chercher à finaliser quoi que ce soit. Et nous nous sommes écroulés de fatigue.

    Je rebandais à présent dans la main de Marie-Claire, elle me masturbait doucement.
    Je me tournais légèrement vers elle et allais glisser ma main entre ses cuisses qu’elle écarta immédiatement. Mes doigts trouvaient aisément sa vulve de nouveau bien mouillée. Visiblement mon aventure, mon histoire l’excitait beaucoup.
    -Tu le revois souvent? 
    -Oui, très souvent. Nous travaillons dans le même secteur. Je dois même le voir demain.
    -Ah oui, où ça? Au boulot?
    -Non, on avait prévu de manger ensemble dans un petit restau, pour discuter. Tu veux venir?
    -Ben, j’avais un rancard avec Joël mais je vais écourter!
    -T’es sûre? Notre discussion risque de te gonfler.
    -Vous n’allez pas parler que de boulot? Vous avez autre chose dans la vie. Le ciné, les vacances, la preuve!
    -Et après? Toi, tu as une arrière-pensée. 
    Mes caresses comme les siennes, s’étaient faites plus précises et plus insistantes.
    -Ben non! À moins que tu l’invites à prendre un dernier verre chez toi.
    -Un dernier verre? Tu es sûre que c’est à ça que tu penses?

    M’appuyant sur un coude je me haussais sur elle, m’imposant entre ses jambes. Elle guida ma verge qu’elle avait gardée en main dans sa vulve. Je la sentis s’épanouir doucement sous ma poussée. Elle était chaude, étroite, très accueillante cependant. Elle eut un gros soupir nasal lorsque je m’enfonçais plus profond, et remonta ses genoux pour faciliter ma pénétration. Je commençais à aller et venir doucement en elle. Elle m’accompagnait de petits « han, han » étouffés et cramponnait bien ses mains sur mes fesses. Ses seins durcis irradiaient ma poitrine. Je l’embrassais, puis elle m’embrassait, nos langues passant d’une bouche à l’autre. Puis abandonnant sa bouche, tout en la fourrageant avec ma queue raide, je lui parlais doucement à l’oreille:
    -Tu aimerais nous voir nous caresser, hein?
    Pas de réponse, simplement le bruit de nos respirations.
    -Tu aimerais nous voir nous sucer? Hein?
    Un « hen hen » faible qui ressemblait à un oui me répondit. 
    -Tu voudrais me voir sucer un garçon devant toi! Le voir plonger sa bite dans ma bouche!
    Ce n’était plus une question, mais une affirmation. Je ponctuais chaque phrase d’un coup de reins au fond de son étui bouillant.
    Elle me répondit:
    -Oui j’aimerais bien vous voir vous sucer et vous caresser!
    -Ça t’exciterait de me voire pomper une queue bien raide et gonflée, mais tu serais jalouse. Je t’ai dis qu’il avait une très belle queue, tu aurais peut être envie de la sucer toi aussi? Ou de la sentir s’enfiler dans ta chatte?
    -Oui j’aurais certainement envie de la goûter!
    Le « oui » était désormais franc et plus fort. Je sentais que son excitation montait. Ses muscles serraient fortement ma queue.
    -S’il vient ici, il n’aura peut être pas envie de moi, mais de toi! Et moi je ne pourrais pas rester simple spectateur! Que vais-je faire? Si tu le suces devant moi, je vais bander. J’essaierai d’aller planter ma queue dans ta chatte, tu ne crois pas? Et s’il te fourre sa grosse queue, car il a une grosse queue, pour écarteler ta petite chatte étroite, je le regarderais te pilonner et je m’imposerais dans ta bouche, Et lui! Tu imagines son excitation, voir un frère et une sœur baiser ensemble! Me regarder en gros plan t’enfiler sur ma bite, ou en train de lécher ta chatte?
    -Oui, oui, j’aimerais…
    Ses reins s’étaient mis à vibrer en cadence, elle cramponnait mon dos, en plantant ses ongles. C’était légèrement douloureux, mais je ne tentais pas de relâcher l’étreinte. 
    Je m’étais redressé sur mes avant-bras pour contempler ses petits seins blancs qui tressautaient à chaque coup de queue. J’admirais ma bite qui s’engloutissait dans son triangle brun entre les petites lèvres roses.

    -Tu seras prise de partout ma belle, deux garçons en toi! Quatre mains, deux bites et…
    -Oui, oui,… je viens, … je…. jouis….Ouuuiiiiii!
    Avant que je termine ma phrase, elle se cabra, me soulevant littéralement, puis retomba, les yeux évaporés. Elle eut encore quelques hoquets. Elle était superbe dans le plaisir. J’étais terriblement excité. Alors qu’elle sortait à peine de sa petite mort, je la prévins:
    -Tu es belle quand tu jouis, mais je suis trop excité, je vais venir moi aussi. Tu m’as trop excité! C’est trop fort!
    -Oui, viens! Jouis!
    -Je vais jouir en toi, petite sœur, je vais… vider mes couilles dans ta belle chatte gourmande,… je viens,… je vais gicl… Ohhhhhhh!
    -Oui! Viens! Laisses toi aller! Vides toi! Oh tu es beau! Tu es beau! C’est bon!

    J’étais secoué de violents spasmes, tout mon corps se vidait dans son étroit aven bouillant, ma verge était baguée d’un anneau tendre et musclé et ses caresses effaçaient les griffures. Je retombais bientôt, fourbu, vidé, anéanti sur elle. Je sentais ses mains qui parcourraient tout mon corps frissonnant et sa voix à l’oreille qui me disait:
    -Tu es beau, tu es très beau quand tu jouis. C’est bon, c’est très bon, tu sais! C’est un aveu terrible, mais mon frère est mon meilleur amant!

    Nous restâmes ainsi assez longtemps, puis je me dégageais d’elle, la caressais doucement et l’embrassais tendrement sur l’épaule. Je réalisais au bout de quelques minutes qu’elle s’était endormie. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

     
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  • On roulaient depuis 4 heures déjà, en route avec notre camping car, en vacance au bord de la mer!..., j’avais avec moi mon fils pierre assis à coté de moi et ma fille fanny  qui se prélassait tranquillement, allongée sur le lit au fond du camping car!!
    Je commençais à en avoir assez de conduire et j’avais surtout une trique d’enfer!!

    -pierre, remplaces moi il faut que j’aille me soulager!!!

    Il ricana et dans une manœuvre dangereuse, prit ma place au volant!

    Je me dirigeais vers l’arrière du camping car, pour aller jusqu’au lit ou était tranquillement allongée fanny:

    - coucou ma chérie, tu dors?
    - non j’essaie de faire passer le temps, mais c’est mieux de le faire allongé!!
    - j’aurais peut être quelque chose à te proposer si tu t’ennuies, allez vient donc faire une pipe à ton père!!
    - hmm! si tu veux!

    je baissais alors mon short, debout à coté du lit et libérais mon sexe, déjà bien bandé devant le magnifique corps de ma fille: brune, cheveux lisse mi long, des yeux vert.., une peau matte, des jambes magnifique, une poitrine généreuse, une bouche pulpeuse, un visage d’ange…. Elle aurait pu réveiller un mort!! 

    Elle sourit, s’allongea sur le coté, je passais ma main gauche derrière sa tète pour l’attirer vers moi pendant que ma droite dirigeait ma bitte dans sa bouche!! Je ne pus retenir un grand soupir d’extase quand je me sentis pénétrer sa bouche chaude et humide. Fanny ne perdit pas une minute pour commencer à me pomper d’abord lentement, pour me laisser le temps d’apprécier la douceur de sa langue sur mon gland et le contact de ses lèvres sur ma verge. Puis en accélérant le rythme de ses va et vient avec sa tête, pour me donner plus de plaisir rapidement! C’était une pro! je ne pus m’empêcher, tenant toujours sa tête, de me mettre moi-même à lui limer la bouche!!

    -putain pierre.. ta sœur suce trop bien!!
    -on le sait depuis le temps non? me répondit-il en rigolant!!

    Je baissais le regard vers elle, cette petite salope me regardait avec un air de vicieuse!! une bitte dans sa magnifique bouche, elle était sublime. Me sentant sur le point d’exploser, je préférais retirer ma queue de sa bouche, un fil de bave relia mon gland à ses lèvres, elle s’essuya la bouche du revers de la main!

    -Déjà fini papa?
    - je sais que t’aurais aimé que je gicle dans ta bouche, mais j’ai d’autre projet!!!

    Je grimpais rapidement sur le lit et l’allongeais sur le dos, avant de lui ouvrir les jambes. Je lui défis ensuite les boutons de sa chemise trop grande pour elle, unique vêtement qu’elle portait!
    Lui laissant sa chemise, mais ouverte pour admirer ses sein et son ventre, je la saisis par les cuisses et l’attira vers moi! elle glissa alors sur le lit jambe écartée vers moi qui la tirait plus prêt, sans broncher, sont regard de salope rivé sur moi, pendant que j’admirais ses seins qui bougeaient sous le mouvement. Je les massais puis me penchais sur elle pour les lui lécher et manger. je pris mon sexe de la main gauche pendant que la droite caressait cette généreuse paire de seins, et posais ma bitte à l’entrée de sa chatte toute mouillée. Je me mis à m’enfoncer lentement en elle, elle pencha la tète en arrière, ouvrit la bouche et gémit. Une fois enfoncé au max dans cette chatte étroite, humide et chaude, je me mis à la limer d’abord lentement puis en accélérant le rythme de plus en plus!! elle se mit à gémir, et pousser des cris sous mes coups de reins!! je finis par m’allonger sur elle et fanny en profita pour refermer ses jambes autour de ma taille 

    -ouii hmmm haha ma salope!!! t'es trop bonne!!!!
    -hahahahah papa, ouii c’est bonn encore!!!! haha pluussss forttt 
    - t'es qu’une salle chienne ma fille , t'es bonne qu’a te faire baiser salope!!!
    -hmm ouiiiiii! je suis ta chienne!!!!

    Bien entendu je ne le pensais pas, j’adorais ma fille, mais dans le feu de l’action se genre d’échange nous excitait!!!

    Je lui défonçais la chatte à grand coups de boutoir, le lit grinçait de plus en plus fort!!! et je me sentais sur le point d’exploser, je me retirais d’elle, me redressais, pris sa tète à deux mains et enfonçai ma bitte pleine de mouille dans sa bouche.. Pour finir par exploser dedans!! je continuais de limer un peu, le temps de tout sortir pendant que fanny avalait le sperme qui s’offrait à elle!!

    Une foi qu’elle eut fini de nettoyer ma queue, je me retirais de sa bouche et frottais mon gland sur son visage, pour être sur qu’il soit propre!! elle me sourit.

    - merci ma chérie , t'es un ange!!
    - de rien papa j’adore quand tu viens me baiser.
    - papa, cria pierre, viens prendre le volant, à mon tour de sauter ma sœur!!! 

     
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