• En passant de combine en petite affaire, d'un petit coup de commerce à une petite arnaque. Tout cela me valait d'avoir du temps, un peu d'argent, une réputation de vilain garçon sans être méchant qui plaisait aux filles. Je plaisais aux filles et parfois à leur mère. Les dames mùre n'ont pas attendu que l'on explique la chose pour aimer s'envoyer en l'air avec le petit ami de passage de leur fille. Par ce que je ne pouvais être qu'une distraction pour des jeunes filles bien comme il faut ; pas sérieux ce type là qui ne travaille pas, se lève à neuf heures, et n'a jamais de souci !
    Bref en dehors de cela le café me servait de bureau et d'annexe au bureau. Jean un garçon un peu maigre me servait d'homme à tout faire pour mes transactions. Simple présentant bien, il est ce type de personne qui aime bien qu'on lui dise ce qui faut faire, comment et quand et il le fait bien.

    Un soir, il est venu avec une jeune fille fraîche et délicieuse, une fille friandise, une de celle que l'on aime consommer pour passer un bon moment. Oh, je sais, il n'est pas bien de parler comme ça des filles, mais je dois admettre que mon sens moral est assez primaire et je ne fais pas grand-chose pour essayer de l'améliorer. Et puis de toute façon je suis de ceux qui reçoivent un sourire quand on demande à une fille « tu veux bien me sucer ? » quand d'autre reçoive une baffe. Pourquoi c'est un mystère, ben bon je préfère être sucé que baffer ! Donc tout va bien ! Quand Jennifer est arrivée avec son air de gamine, ses longs cheveux roux, ses petits nichons un peu plats dont les tétons tiraient le tee short. Rapidement je l'ai approché et sans beaucoup de chichi je lui ai proposé de venir partager la soirée avec son frère et moi. Certes nous avions un peu bu, certes il est possible que l'alcool embrume les esprits mais vers deux heures du matin nous nous sommes retrouvés chez moi.

    En montant l'escalier, derrière elle, je lui flattais les fesses 
    -« T'as un p'tit cul qui mérite mieux qu'une caresse de ma main »
    -  Ca dépend si ta main fait bien on peut voir pour ensuite et autre chose !
    J'ouvris la porte et Jean s'écroula sur la banquette, il semble vaincu par la fatigue. 
    Dans l'entrée, je retourne vers moi Jenni et doucement de mes lèvres je lui caresse son cou, sa nuque, en revenant sur ses lèvres. Elle apprécie, et ses lèvres viennent répondre à mes lèvres. 
    Les habits entre les caresses tombe sur le sol et je m'aperçois que je n'ai pas refermé la porte d'entrée. 
    Bandante cette nana !
    Ton frangin est aux abonnés absents, lui dis-je en la menant vers la banquette où est affalé Jean.
    C'est un vicieux, il fait semblant, me glisse t-elle dans l'oreille
    nan tu crois ?
    En plus il doit être pédé, il ne parle que de toi, attends tu vas voir je vais l'exciter.

    On pousse un peu Jean et on continue nos échanges manu-manu. 
    Ces petits seins sont fermes, même durs avec comme un deuxième petits seins plus tendres sur lesquels trônent deux framboises qui semblent lui refiler des décharges électriques à chaque coup de langue, chaque titillage de mes dents. 
    J'adore ça !
    Je sens ses mains devenir baladeuses et prendre fermement la fermeture de mon pantalon, encore rescapé à cette heure, mais plus pour longtemps !
    Je tends mes mains vers son ventre, ses hanches. 
    Je l'agrippe pour lui faire un tête à queue, elle légère et comprend vite, et aide à la manœuvre. Me voici avec une petite chatte encore toute fermée. 
    Juste un trait surmonté d'un petit triangle roux et raz. 
    J'adore cette odeur. 
    J’entrouvre son sexe pour y aller chercher quelques merveilles, que je ne tarde pas à trouver. 
    Elle de son côté semble aussi avoir trouvé son bonheur, je sens ses mains qui me caresse l'entrejambe, ses doigts qui se promènent sur mon anus, l'effleure, le rend nerveux, ses mains qui me massent délicatement les bourses et dans sa bouche, je crois desceller plusieurs autres organes inconnus qui font passer un test de résistance à ma queue que je sens grossir au-delà de ses habitudes.
    Elle est balèze cette gamine. 
    Une vraie amatrice éclairée de sexe. 
    Alors je m'applique, c'est du lourd mes frères ! 
    Je vais chercher la perle rose de son clito que je fais rouler entre mes doigts et remonte avec ma langue. Des petits coups, pas trop vite, et puis juste les doigts. Puis aspire tout comme à vouloir m'en rassasier ! Je sens, j'écoute, je palpe, je recherche l'effet de mes caresses, comme un marin se dirigeant à la corne de brume j'y vais sur son souffle. 
    Et d'une main, se détachant de son clito, je remonte vers l'entrée de sa chatte. J'entrouvre et glisse mes doigts doucement. 
    Bordel quelle odeur, c'est mieux que du 5 de chanel ou je ne sais quelle eau de parfum enivrante. C'est à la fois chaud, un peu miel et une pointe de thym. 
    Quelque chose comme ça ; les rousses c'est toujours un vrai bonheur pour les sens. 
    Sensuel c'est sûrement cela. Prenant du bout des doigts je franchis le centimètre pour venir caresser l'entrée de ce petit cul. 
    L'instant de vérité ! 
    Enfin c'est ce qu'elle m'a dit. 
    Promis ? 
    Vas savoir !
    C'est étroit mais pas hostile, je ne sens ni surprise ni recul. 
    Je récupère un peu de mouille et je reviens pour faire une plus ample connaissance avant d'être plus profonde. Voilà que ce petit cul m'attire vraiment. Je commence une contorsion pour venir lécher ce puits encore fermé, et j'y vais doucement pour ne pas laisser des bouts de mon attribut dans sa bouche.
    Je ne sens plus ses doigts, bizarre. Je verrais ça plus tard j'ai de quoi faire encore. Mon pouce s'enfonce dans son cul, et c'est doux. Ma langue cherche à baiser sa chatte et je la sens qui relève les fesses, elle se cambre en écartant les jambes. Elle se met en position pour que j'aille plus loin, et j'y vais !
    En reprenant un peu une respiration après ses travaux en apnée, par sa position en tordant le cou, je vois que ces mains sont en train de branler son frère jouant les grands endormis sauf de la bite visiblement. 
    Bof, cela reste en famille, c'est mieux que « sans famille ». 
    Alors doucement pour ne pas interrompre sa caresse familiale je me dégage et je viens me placer derrière elle, je rentre dans sa chatte et je commence à limer doucement. 
    C'est jeune serré et très doux, je me régale. Doucement je veux sentir sur la peau de ma bite chaque millimètre de cette douceur. 
    Perle de chatte !
    Sa bouche est passée sur la queue de son frère et ses doigts semblent s'occuper de son cul, il s'écarte. Il semble apprécier des visites dans son trou de balle. Je vois son poignet s'enfoncer entre les jambes de Jean, je l'entends ronronner ! Un vrai petit diesel !
    Cela m'excite, mais si je veux tenir la distance il me faut calmer la bête ! 
    Pas le moment de laisser l'écume sortir. 
    Je m'accroche à ses hanches, je lui caresse le dos, je reviens dans son anus lui rappeler mes doigts à son souvenir. Je lui prends l'épaule près du cou, je vais chercher ses seins que je pince pour sentir son dos s'arrondir et ses fesses venir se coller contre moi.
    Et elle continue de sucer la queue fraternelle et de doigter le trou de balle avec ardeur. Je ne vois pas tout mais je suis sûr qu'elle lui met au moins trois doigts dans le fion !
    Et le ronron s'accélère, il commence un grimace.
    Aaaahh, je viens. Nous dit-il !
    Il lui prend la tête et il la plaque sur son ventre, elle n'a pas eu le temps de se sortir de son pieu, et bordel il est bien monté le bougre. Ça doit aller chercher dans les 20 centimètres le bestiaux. Tout est dans la bouche et la gorge de la sœurette qui ne semble pas gêner pour autant.
    Il y a de la descente mon neveu, et l'autre il ne ronronne plus, il rugit, il jouit, il remplit la bouche de sa sœur de sperme, de foutre, de ce que vous voulez !
    Elle avale, elle relève la tête se sortant de la queue de son frère, c'est hallucinant de voir sortir une telle quantité de matière de cette petite bouche. Elle relève la tête, me regarde avec un drôle de petit sourire et elle me dit :
    Maintenant, prends le, tu vas voir s’il n'est pas aussi un peu pédé !
    Elle lui enlève son pantalon baissé alors que je me retire d'elle. Je relève les jambes de Jean et s'en plus de manière je rentre ma queue dans son cul et je m'enfonce à fond ! Je le regarde droit dans les yeux et je vois les sien qui tourne ; il aime ça !
    Et je commence à le limer. 
    Sans tendresse, avec vigueur mais sans brutalité je vais et je viens. Il plie ses jambes derrière moi pour attirer tout en lui. 
    Putain cela ne doit pas la première fois ! 
    Il me regarde mais sans me voir, il est à son plaisir et il est content que je le bourre. 
    Je suis sûr à ce moment que ces deux-là m'ont manipulé. Ils vont voir, ils vont en avoir pour leurs attentes. Ils ne vont pas être déçu !
    Elle vient à califourchon sur le ventre de son frère me présentant sa chatte et son cul, elle embrasse son frère et lui dit quelque chose à l'oreille. Eh bien tu n'est pas venue pour rien ma belle !
    Prends ça lui dis-je en lui mettant une bonne claque sur les fesses !
    Et je passe d'un cul à l'autre. Elle se débat un peu, s’agrippe à son frère, le griffe. Lui s'accroche à elle. Mais je continue j'entre ! Et ça passe. Je lime un peu et je retourne bourrer le cul de jean. Et je vais de l'un à l'autre. Je vois la queue de jean reprendre un peu de vigueur alors je l'aide d'une main amicale, je le branle en cadence en même temps que je viens et ressors de son cul et dés que elle est juste un peu durcie je la fourre dans la chatte de sa sœur et je retourne mettre mon pouce dans son cul de fille magnifique, tendu. 
    Elle se débat encore un peu ce qui fini de redonner de la vigueur à la bite de Jean, lui est immobile et c'est elle qui vient s'empaler sur le sexe qui continue à se tendre.
    Elle commence à respirer fortement, on sent l'effet qui monte alors je me sors de Jean et je viens de nouveau enculer ce cul extraordinaire. 
    Je rentre avec vigueur sans douceur, une fois pour elle une fois, pour lui. Et ils viennent contre moi pour encore mieux de me sentir, me recevoir. Nous baisons à l'unisson, nos corps sont synchro, je sens son sang battre dans ses tempes, je sens son souffle soulever son ventre, je sens qu'ils communient ensemble, je sens sa chatte se contracter. 
    Tiens ça c'est pour vos cachotteries !
    Je suis tendu, au bord de l'explosion. A force de faire le coq, cela commence à me remonter à la gorge. Alors j'attrape les hanches de Jennifer fermement, je rentre dans son cul sans ménagement, je m'introduis franchement, jusqu'à aux couilles. Et je lui fracasse la rondelle, je la défonce, je me défonce. Jean essaie de m'attraper pour donner encore plus d'élan à mes coups de bite, il me pousse en elle ! Et elle, elle monte, elle nous engueule, elle crie, elle souffle, elle se tend, se durcit. Elle crie :
    Salaud, encore, oui !
    Mais elle jouit, elle aussi, elle exprime fort bien le moment. 
    C'est trop. 
    Je ne sais pas à qui elle s'adresse mais c'est le bouquet et je jouis, je sens mon intérieur partir, vouloir sortir par ma queue, je sens ma tête qui se vide, je ne vois plus clair, mes jambes commencent à flageoler et ça sort, et encore, encore.

    Je tombe, je m'écrase sur son dos et roule sur le côté sur la banquette.

    Le truc de l'ange, c'est maintenant !

    - Élève appliquée me dit-elle, en venant se lover dans le creux de mon épaule, nous échangeons un baiser au goût de sperme de son frère, de sueur, et un peu de sang.
    Salope ! C'est tout ce que je trouve à dire comme si dans ce mot, toutes les merveilles des livres qui parlent d'amour étaient des diamants que je lui offrais !

    Jean fini de se branler dans son coin et après un petit râle il éjacule et deux minutes plus tard on l'entend ronfler doucement ! Cette fois il dort !

    Plus tard, ils ont bien essayer de me faire croire que c'était la première fois. 
    Ils voulaient réaliser un fantasme
    Pourquoi pas. 
    La prochaine fois je baise avec qui sa mère ?
    En fait je m'en fous, heureusement cela n'a pas été la dernière fois !
    Pour moi c'était mon premier mec et j'ai aimé, la première relation avec des incestueux, j'ai aimé, ma première histoire bi,, j'ai aimé.



     
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  • Les élèves arrivent séparément dans l'institution. L'enseignement est particulier : les parents savent bien ce qu'ils font en envoyant leur enfants au château, surtout les filles qui ne sont admises... 
    En gros c'est comme un lycée, pour l'enseignement général, sauf que tout le monde est pensionnaire. Les dortoirs sont tous sur le même étage, les filles d'un coté, les garçons de l'autre. 
    Les professeurs savent tous ce qui attend les élèves le soir ou la nuit. Parce que l'enseignement le plus important est sous la coupe d'un couple marié. Lui, Robert,est taillé comme un rugbyman, elle, Martine, au contraire est fine comme une déesse. Ils s'aiment depuis toujours, ils aiment surtout les plaisir qu'ils se donnent. Les seuls moments les plus prisés pour eux, ce sont les vacances, au moins il font ce qu'il veulent autant de fois qu'il veulent.
    Donc à partir de 20 heures, après les heures d'études, le repas et le moment de détente, commence la leçon pris en commun, filles ou garçon souvent mélangés. La salle est simplement un dortoir. Là où leur montre tout ce qui fera d'eux des filles et des garçons du grand monde. Monsieur Robert, se met en tenu, c'est à dire nu. Madame Martine reste habillée légèrement. Le spectacle du corps de Robert intéresse au plus haut point les filles, à degré moindre les garçons qui restent admiratif des dimensions du sexe au repos. La première leçon commence par l'apprentissage des bonnes façon de se masturber. Tous les élèves se regroupe autour du professeur. Robert a la faculté de ne pas avoir de pudeur et surtout de bander sur commande. Tous les garçons regardent la bite monter et gonfler. Les filles regardent la même chose avec des yeux différents. Les garçons regardent pour prendre une réelle leçon de branlette. Robert leur montre les diverses façons de prendre un plaisir solitaire. Comme il est long à jouir, il peux demander aux élèves, filles ou garçons de venir lui toucher la bite. Les filles curieuse viennent toutes le toucher, lui caresser la bite, certaines même posent leur lèvres sur le gland. 
    La leçon s'arrête vite, sauf qu'il y a un prolongement, destiné aux filles : branler un homme. Là, c'est Martine qui après un streptease en règle vient contre son mari, l'embrasse sur la bouche. Elle prend ensuite la queue de son mari, l'embrasse un peu avant de la prendre à pleine main. Elle fait coulisser sa main sur la queue. Si elle est lente au début, elle fait remarquer qu'elle va de plus en plus vite. Les filles regardent toujours intéressées les mouvements.
    Presque tous les garçons se branlent en regardant le spectacle. Certaines filles en font autant. Souvent Martine arrête les mouvements, Robert n'aiment pas jouir trop vite. Martine fait approcher les filles pour voir comment elle finit et surtout voir le sperme jaillir. A la fin, la main de Martine s'agite très rapidement, jusqu'au moment ou Robert jouit. Son jet de sperme va très loin avec une force insoupçonnée. Certaines filles en reçoivent sur le peu de vêtements qu'elle portent

    Le lendemain, c'est le tour de Martine. Elle arrive nue pour ne pas perdre de temps. Elle reste debout entourée de tous. Elle commence par se caresser les seins, un long moment. Quand elle sait qu'elle mouille elle écarte les jambes à la recherche de son bouton. Avant de satisfaire son désir, elle prend sa chatte entière dans une main. Ensuite, elle caresse son clitoris longuement en arrêtant souvent : elle veut faire durer son plaisir. Si les garçons se masturbent en la regardant, la plupart des filles font comme elle : elles sont nues ou presque, passent leur mains sur leur sexe bien mouillé. 
    Quand Martine pose un doigt sur l'anus, la plupart ne croient pas qu'elle en ai un plaisir particulier. En regardant de plus près on peut voir le doigt s'enfoncer dans le rectum qui en connaît d'autre. Martine aime se branler souvent, pour elle c'est un genre de récompense. Elle enseigne bien au fille que se masturber le cul est comme se masturber la chatte. Certaines essayent par curiosité. 
    C'est à partir de la fin de ce cours que les filles surveillées par le couple peuvent au su de tous se branler dans leur dortoir. Presque toutes suivent les meneuses vers la salle d'eau. Là se déroulent les leçons particulière du couple enseignant. Certaines se font masturber par Martine ou Robert. Elles n'ont pas de préférence. D'autres s'arrangent entre elles. La toilette du soir devient souvent un début de partouze, encouragée par des profs qui vont baiser tout à l'heure. Tout le monde est nu, tout le monde voit de sexe de l'autre, surtout la bite du Prof. Robert aime cette ambiance de filles en chaleur, il bande toujours, quelque fois encouragé par une main de gamine. Le quartier libre se termine. Tous doivent rejoindre leur lit. La plupart profite ce sera pour la prochaine fois.
    Pour Robert et Martine enfin il peuvent s'aimer comme un couple presque normal. Sauf que Martine s'est laissée masturber par une des filles les plus salopes. Ce n'est pas cette petite faveur qu'elle a eu qui remplace ce qu'elle adore : la bite dans le ventre ou dans la bouche, elle jouit pareil. Nus ils étaient, ainsi ils sont libre de se coucher. Leur chambre n'est séparée du dortoir que par un cloison ouverte la plus part du temps : ainsi ils peuvent montrer tous les ébats. Comme tous les premiers jours, après les masturbations les filles restent prostrées de fatigue : elles sont trop jeunes encore pour jouir longtemps.

    Le lendemain comme tous les soirs, Robert et Martine donnent leur cours. Les choses sérieuses commencent.  Les élèves vont commencer à apprendre à bien baiser. Avant il fait expliquer les règles de la jouissance, les garçons pensent que le simple fait d'entrer dans une fille suffit à lui donner du plaisir. Les filles plus pratiques espère se faire bien caresser avant de se faire mettre. Le couple d'enseignant se déshabille devant les élèves comme tous les jours. Cette fois il n'est pas nécessaire de dire pour se mettre tout nu. Le peu de pudeur a déjà disparu. D'ailleurs certains couples se forment.
    Robert couche Martine sur le lit. Ils s'embrassent longuement sur la bouche. Robert entame la partie préférée de Martine, il embrasse ses seins, lui suce les tétons, passe sa main sur le sexe de sa femme pour lui caresser le clitoris, c'est oublié des garçons. Robert bande fortement, ce qui attire la main de sa femme.
    Tous les élèves sont excités, certains se masturbent devant leur camarades, d'autre entame des liaison pas encore apprise, surtout les filles qui se masturbent entre elle. Les garçon sont plus « sage » : aucun ne branle l'autre sinon un couple qui va plus loin en suçant la bite de l'autre : procédé pas encore enseigné. 
    Robert enfin se positionne entre les jambes écartées de sa femme qui en prenant la bite en main la place comme il convient juste à l'entrée de son puits. Martine, elle pose ses talons sur les hanches du mâle, prête à l'assaut final. La bite va et vient dans son sexe, elle glisse plutôt. Tous les jeunes les regardent de près, examine comment la bite entre et sort, où est le clitoris pendant cette baise. Ils regardent les couilles qui viennent frapper les fesse de la baisée. Certains s'intéressent également au seins écrasés par le poids de l'homme. Le couple oublie qu'il est regardé par des jeunes ; ils baisent, ils vont jouir ensemble c'est la seule chose qui compte. Mais tous emportés par le spectacle vivant ne peuvent faire autrement que se satisfaire. 
    Ce soir pas de cours privé, chaque pensionnaire doit réviser. Chez les garçons, les discutions vont bon train. Ça doit être bon de baiser, quel est le sommet du plaisir atteint. Les nudités laissent voir les bites bien dures et bandées. La plupart des élève de ce dortoir se couchent nus, parlent encore en se masturbant. Les jets de spermes font que l'odeur s'en repend dans toute la pièce.
    Chez les filles, les conversations sont du même domaine que chez les garçons. Il leur tarde de pouvoir baiser, aussi, elles sont nues sur leur lit, les mains entre les jambes pour compenser le manque de bite : elles aussi se caressent dans le seul but de jouir.  Les plus gourmandes recommencent une ou deux fois. Un seul couple portée vers le lesbianisme s'aiment en se suçant, bien en avance sur l'enseignement.
    La fin de semaine est consacrée au repos. Sauf que les professeurs de baise restent sur place. Ils profitent de samedi soir pour s’aimer en baisant. Logés dans le dortoir des filles ils savent qu’ils sont espionnés : peu leur importe : leur nature exhibitionniste est de nature à augmenter leur plaisir en se sachant regardés par les autres jeunes qui finalement ont ainsi des leçons supplémentaires. Les garçons rejoignent les filles pour regarder eux aussi. Si les filles et les garçons restent sages un peu, là les couples se forment non pas pour baiser : ils n'en sont pas capables encore, au moins les garçons de faire jouir les filles normalement. 
    Ils se contentent de baiser très appuyer et de masturbations : toutes les filles en sont friandes. Souvent des couples se forment selon les goûts de chacun et s’isolent, non pas pour se cacher, mais pour être plus tranquilles. Les garçons commencent toujours par embrasser les filles et leur caresser les seins, pour descendre lentement sur la chattes. En gros, ils appliquent ce qu’ils ont appris. Les filles attendent toujours d’avoir au moins un doigt sur le clitoris avant de prendre la bite dans une main. Les plus attirés sont les garçons qui ne pensent encore qu’à leur propre plaisir. Les filles, plus pratiques et surtout attirées par les garçons s’arrangent toujours pour jouir avant leur petit copain. Certaines curieuses font jouir leur partenaire dans leurs bouches curieuses du goût de sperme.
    Si les élèves s’amusent à touche pipi, Robert et Martine baisent même s’ils sont vus. Robert a déjà peloté sa femme, qui adore ce genre de distraction. Dès qu’une main de Robert est sur la chatte, Martine ouvre ses jambes pour recevoir la main de son mari-amant. Son clitoris est déjà proéminent. Elle murmure qu’elle veut être branlée. Elle prend déjà dans sa main la pine de son époux. Elle ne le branle pas encore. Elle attend de jouir des mains de Robert. Ses jambes s’ouvrent de plus en plus et pourtant en jouissant elle emprisonne la main de Robert entre ses cuisses. Elle commence à branler lentement la bite de son mari. Elle le connaît : elle sait qu’il met très longtemps à jouir. 
    Ce soir elle a envie de se faire mettre partout. Elle se met sur Robert, son sexe près à être traversé par la queue de Robert. Elle est à la manœuvre : elle se laisse tomber doucement jusqu’au moment où elle sent le bout de la bite contre la matrice. Elle se relève pour recommencer. Son désir est tel qu’elle commence à raconter n’importe quoi :
    - C’est bon, j’aime ta bite, je vais te la bouffer quand tu me boufferas la chatte. Elle est dure, tu me la mettras au cul ? Pelotes moi les seins, branles moi le clito.
    Robert fait tout ce qu’elle demande pour jouir. Quand sans avertir elle jouit autour de la queue, elle sort lentement pour planter la pine dans son cul. Elle est penchée en arrière se reposant sur ses bras posé sur les cuisses de Robert. Elle fait aller et venir la bite dans son cul en poussant des petits cris de plaisir. Robert se laisse aller en jouissant dans le cul.
    Les élèves ont pris une bonne leçon de baise. Les filles les plus dévergondées, celles qui s’aiment à deux le soir se proposent aux garçons, avec le risque de se faire repérer par Robert ou Martine qui interdisent tous véritables rapports. Un seul couple se fait des débuts de baise, tous ratés à cause de ‘inexpérience. Ils sont tous là pour apprendre à bien baiser et à bien en jouir, pas comme ça au débotté.
    Presque tous les élèves sont fatigués, alors que Robert et Martine n’ont toujours pas fini leur séance d’amour. Après un lavage aux lavabos, ils retournent finir leur entreprise. Cette fois c’est Robert qui veut faire un 69 : il y a longtemps qu’il n’a pas eu d’orgasme dans la bouche de Martine. C’est lui qui commence par se mettre sur le dos, la bite bien plantée en l’air. Martine vient sur lui, le sexe contre la bouche de Robert, en arrangeant bien ses seins sur son mari. Elle prend la bite à la base bien dans sa main, l’autre vient également pour faire descendre un peu le prépuce. Enfin, elle lèche légèrement le gland pour le manger entièrement. Sa tête monte et descend lentement en tenant la queue dans la bouche. Elle connaît son homme : elle sait exactement le moment de la jouissance. Elle fait durer longtemps la fellation. Quand elle estime que l’ultime moment arrive, elle ne fait plus que lécher en laissant la bite là où elle est. Le jet puissant de sperme ne l’effraye pas au contraire. Elle garde longtemps le sperme dans la bouche, en le dégustant. Avant de l’avaler, elle le partage avec la bouche de Robert qui le lui rend. 
    Le dimanche est férié pour tous, même les élèves qui voient leur famille à qui ils racontent leur aventures. Certains parents, rare, demandent à leur rejeton de partir avec eux, la plupart des parent les laissent en leur donnant des conseils, surtout les mamans. On peut entendre par exemple :
    - Fais bien tout ce qu’on te demande, quand tu seras en âge de te marier, tu auras de grandes chances de tomber sur un garçon peu évolué ; tu lui apprendras à baiser comme il faut. Tu jouis bien au moins.
    Ou encore :
    - Tu apprends bien mon fils, tu sais tu rendras une fille heureuse si tu la baises bien.
    La semaine suivante commence enfin les choses plus sérieuses. Il s’agit de se donner du plaisir en couple. Même si les élèves filles ou garçons se sont amusés, il faut leur apprendre sérieusement comment bien faire. Cette fois Robert et Martine sont habillés. Ils refont les mêmes gestes qu’un couple normal fait en début de « fréquentation ». Cette fois les élèves doivent être par couple pour refaire ce qu’ils voient. Les choses sont simple, passer une main sous une jupe ou dans un jean, aller à la rencontre d’un clitoris ou d’une bite. Le principal étant de faire jouir la fille en premier et le garçon en second, en même temps que la fille jouit une autre fois. 
    Ce que font Robert est Martine semble simple et pourtant la plupart des élèves ratent leur exercice. Il faudra que les garçons soient patients pour bien faire jouir leur compagne. La suite de la leçon est reportée au lendemain. L’attente les a fait mûrir, cette fois, sauf un garçon tous réussissent à faire ce qui était demandé. Il est visible que les exercices portent leurs fruits. Il arrive souvent, maintenant de voir de jeunes couples se former pour jouer ensemble. Le plus remarquable est que les couples n’est pas fidèle, les participants changent souvent.
    Les semaines se suivent pour bien assimiler les diverses situations. 

    La suite montrera la montée en puissance de la baise proprement dite.
    Cette nouvelle semaine est l'ouverture des contacts à deux, pas encore à deux sexes. Non, aujourd'hui les filles doivent apprendre à faire l'amour et faire jouir d'autres filles. Les garçons assistent aussi aux leçons. Martine est la professeur chargée de ses cours. Robert la laisse se débrouiller, il n'aime pas la voir se donner aux autres filles, sinon, il sauterait sur le premier cul venu. 
    A la surprise générale quand Martine entre dans la salle, elle est déjà nue. Elle porte avec elle du matériel éducatif : gode simple ou double. Suffisamment bien faite et sexy, elle s'en fiche un peu. Elle sait qu'elle va faire des jalouses : elle doit choisir une partenaire pour une baise entre filles. Si Martine aime ce genre d'amour, les filles sont rare à savoir comment les femmes peuvent se donner du plaisir entre elles. Chaque fille inscrit son nom sur un papier avant de le mettre dans une boite d'où sortira la participante. C'est le seul moyen de ne pas faire de jalouses.
    Le sort est de bonne augure, la fille élue est très sexy, d'après ce qu'en sait Martine elle n'est pas tout à fait vierge. Comme toutes les participantes doivent être dénudées, Martine connaît déjà les plastiques des unes et des autres. Martine prend dans ses bras la fille, l'embrasse sur la bouche, chose qui étonne la plupart des élèves pour qui un baiser se pratique entre un garçon et une fille. Sa langue entre dans la bouche de sa compagne du moment. L'autre se laisse faire, même quand elle reçoit la langue au fond de sa bouche où là elle commence à rendre le baiser. 
    Les mains de Martine sont vite en chemin pour caresser le jeune corps qui en frémit. Le pelotage commence par les épaules pour descendre sur les seins. Là, elle commence à caresser en corolle avant de triturer à peine les tétons qui commence à durcir. La fille ferme les yeux la tête en arrière pour profiter du plaisir qu'elle sent arriver. Il est trop tôt pour un orgasme, il faut que la main vienne sur la chatte. Martine sait bien branler les jeunes filles. Elle passe par dessus la fourrure pour arriver sur la fente du sexe. 
    Elle fait tout en douceur, surtout quand elle écarte les grandes lèvres. Son objectif n'est que le bouton. Elle trouve une chatte bien mouillée, ce qui est bon signe, ensuite elle prend à deux doigts le clitoris pour le branler. Son amante du moment se laisse tomber de plaisir. Martine l'accompagne pour lui donner l'orgasme qu'elle sent proche. La fille jouit comme une folle : elle gémit très fort en disant des mots tel que
    Oui, c'est bon, j'aime me faire branler, j'en veux encore, remets ta main, fais moi jouir encore.
    Martine ne l'écoute pas : elle sait qu'elle va encore jouir. Par contre elle demande à la fille de s'occuper à son tour de son sexe. Ignorante de la façon de masturber une autre femme, elle le fait presque contrainte et forcée. Elles sont couchées maintenant, Martine une cuisse sur celle de l'autre, dirige la main de son amante vers son sexe. La fille cherche un peu le bouton avant de trouver l'endroit où masturber l'autre chatte. Si au début, elle est maladroite, rapidement elle comprend ce qu'il faut faire. Elle est fière de recevoir des félicitations de Martine quand celle ci jouit à son tour. 
    Toutes les élèves se masturbent soit isolées, soit le plus souvent avec une copine. Martine demande aux impétrantes de ralentir leur plaisir, le plus important arrive. Même Martine désire que tout se passe dans l'ordre, elle a trop envie d'avoir sur sa chatte la bouche de l'élève. Elle la tourne pour que son sexe soit en vue de tous, elle se couche sur elle sort sa langue pour lécher toute la chatte, sans oublier le petit trou où elle force un peu avant d'entrer. Sa partenaire ne connaissait pas du tout ce qu'elle ressent.

    Depuis les leçons de masturbations les filles savent déjà comment jouir en se branlant le cul. Elles ne se doutaient pas qu'une langue serait aussi, sinon plus jouissive qu'un doigt. 
    La cobaye jouit encore, et recommence quand son clitoris est léché. Il lui faut un moment avant de penser à lécher Martine qui aussi attend ce plaisir, même si après elle se fera mettre par Robert, qui, malgré ce qu'il dit la regarde se livrer à un combat de lesbiennes. Les deux filles sont en 69, elles jouissent pour la dernière fois ensemble, ce qui vaut à la jeune fille un baiser passionné sur le bouche. 
    Martine invite maintenant les filles à faire ce qu'elle vient de faire. Les couples se forment vite, toutes les filles sont couchées au milieu de la salle en 69, toutes se lèchent pour finalement jouir à peu près toutes aussi.
    Cette nuit, Martine sait que les filles cette fois se retrouveront à deux dans un lit, cette fois avec une préférée. Après avoir bien baisé avec Robert, il feront un tour dans le dortoir pour voir les résultats du cours. Ils savent qu'il est inutile d'aller voir les garçons qui de toutes façons se branlent déjà. 

    Le lendemain arrive le tour des garçons à apprendre à jouir avec un camarade. Robert aime beaucoup moins ce cours, et pourtant il jouit bien quand un joli garçon pas mal de sa personne le suce.
    Nu, comme presque toujours Robert arrive dans la salle de cours. Il désigne au hasard son partenaire. Les garçons bandent déjà, pour Robert, c'est simple, il commence par une fellation qu'il donne à ce garçon. Il ne le fait pas jouir encore, alors que la plus part des élèves suce un voisin. Aujourd'hui Robert est en forme. Il se fait sucer devant les autres. La langue du jeune garçon est agile sur sa bite. Le prépuce est vite descendu, la gland déjà dans le bouche. Robert qui habituellement ne veut pas jouir avec les garçon cette fois se laisse aller. Son jet de sperme et puissant : il déverse tout dans la bouche de son amant qui avale tout sans se plaindre. 
    Toujours en forme, Robert veut montrer aux autres comment se faire enculer avant de leur montrer comment enculer. Il excite fortement son jeune amant qui bande à nouveau : sa bite semble même avoir grossit de savoir qu'elle va dans le cul du prof. Robert se met en levrette, ouvre ses fesses à deux mains, demande au jeune de lui tartiner le cul de salive et de poser sa bite sur le petit trou. 
    Le fait de se faire enculer excite Robert qui bande comme un âne. La bite va et vient dans son cul, il sent bien les mouvements et la grosseur. Il sait qu'il va jouir encore. Cette fois il jouit bien avant celui qui l'encule : son sperme part en cascade au sol. 
    Le résultat avec les garçon est mitigé : certains sont contents de se faire mettre, d'autre de l'avoir mise. Quelques un, rares, n'ont pas aimé l'avoir dans le cul. Il leur apprendra plus tard d'autre formule pour jouir avec une fille qui met un doigt ou plusieurs dans leur cul : ils adoreront.
    C’est la dernière semaine.Martine et Robert réunissent tous les élèves pour les dernières leçons, celles qui leur serviront toute la vie : baiser en couple. En plus il faudra que tous jouissent. Les enseignants connaissent déjà tout les élèves, ils savent que tous sans exception seront capable de trouver des orgasmes : jusqu’à présent tout ce qui a été enseigné l’a été dans ce but. Le couple s’installe au milieu de tous les élèves, très attentifs : ils savent qu’il faudra qu’ils se baisent pour arriver au vrai plaisir de copuler à deux. La scène et la même que dans une chambre. Robert et Martine s’embrassent sur la bouche. A partir de ce moment rien n’est truqué, le plaisir montré sera réel. Robert descend sa bouche sur la gorge de Martine qui penche la tête pour bien profiter du baiser. Il commence à lui caresser les seins à travers les vêtements avant de revenir sur le cou. Martine tient son mari contre elle par la taille. Il lui tarde d’avoir un sexe dans sa chatte ou son cul, dans son ventre quoi. Robert part du principe que même si elle le lui demande il ne fera rien pour la satisfaire vite. C’est meilleur quand le désir est à son comble. 
    Martine gémit en demandant de se faire mettre. Tranquillement Robert se penche pour relever la jupe de sa compagne afin de baisser le string pour que sa langue aille dans la chatte. Martine écarte les cuisses pour que le cunnilingus ait lieu rapidement : elle a une envie folle de jouir. Quand Robert pose le bout de la langue sur le clitoris, Martine pousse un soupir de soulagement : il lui tardait d’avoir un orgasme. Elle pose une main sur la tête de Robert, comme pour lui interdire de partir. Il la connais assez pour savoir comment la faire jouir encore mieux, il entre un doigt dans le fondement de Martine qui ne peux s’empêcher de gémir fortement. Son orgasme et rapidement venu. Elle se couche en entraînant son mari. Elle sort la bite bien bandée. Martine le branle à pleine main. Robert l’empêche d’aller trop loin : il se relève pour se mettre nu. 
    Martine l’attire sur elle. Robert trouve sa lace entre les cuisses. Sa bite connaît le chemin du puits de son épouse. Il est vite juste à l’entrée de la chatte, entre les lèvres très humidifiée par la cyprine délivré sans mal par le vagin. Il attend encore un peu. Enfin la bite entre lentement dans le vagin offert. Aussitôt les jambes de Martine se nouent sur les fesses de Robert. Il ne forme plus qu’un seul corps réuni par les sexes. 
    Bien sur tous les élèves sans exception regardent en étant très excités : la plupart se branle déjà. Tous ont déjà appris que la hâte ne sert à rien en matière de plaisir.
    Robert lime sa femme devant, donc tous. Elle gémit de plus en plus fort, juste avant de jouir. Robert sort du con pour la retourner et l’enculer. Les garçons pensent à juste titre que l’enseignement donné l’autre fois sert à quelques chose : certains doivent se retenir de faire des propositions homo à des camarades qui y succombent.
    Robert jouit dans le cul de sa femme qui en jouit également. 
    Maintenant tous les élèves connaissent les façons de jouir, en solo, en double ou en baisant normalement. Pour cette nuit, les garçons sont invités chez les filles qui ne demandent pas mieux, sauf quelques unes qui préfèrent les filles. 
    La nuit est très chaude ; les couples se forment vite. Les inspirations très fortes indiquent que l’un ou l’autre du couple prend son pied. Certains cris aiguës indiquent une jouissance féminine. L’ambiance est telle que personne n’arrête. La nuit tourne à une partouze géante. Ils ont vite fait le lien entre leur jouissance propre et celle des voisins. Certain comprennent vite qu’en partageant les partenaires leur sexualité augmente vite.
    Vient alors le surlendemain l’examen final. Les deux enseignants sont les seuls à noter. Quoi qu’il arrive, tous seront reçus : ils ont fait suffisamment d’heure d’apprentissage qu’ils sont capables de baiser même avec des gens très portés sur les orgasmes.
    Pour favoriser les masturbations, des films pornos, ultra réalistes sont projeté. Les surprises viennent quand ils s’aperçoivent que certaines scènes orgiaques viennent d’eux même. Les mains vont de plus en plus vite sur les sexes humides pour les filles et durs pour les garçons. Tous voudraient recommencer une immense partouze. L’orgie finale est pour ce soir. Ils seront libres de s’organiser comme ils veulent. 
    Après les masturbations, viennent par ordre : les contacts homos soit filles soit garçon. L’étonnant est de voir que les filles se livrent facilement à d’autres filles pour prendre leur plaisir, suivis de positions pour baiser ou enculer.
    Au début certains filles trouvaient dégradants de se faire mettre par derrière. Beaucoup y ont pris goût et le réclament. Les garçons sont toujours volontaires pour loger leur bite dans un cul. 
    Martine surveille le déroulement des baises. Elle connaît déjà les vainqueurs de l’examen. Elles laissent se dérouler les baises comme les étudiants le veulent. 
    Quand elle donne les résultats, comme toujours les gagnants sont fous de joies. Les autres se font une raison : de toute façon en sortant ils sauront faire bonne figure au cours de réunions particulières organisées par des particuliers. Certaines filles se destinent à la prostitution de luxe : devenir escorte girl est leur rêve. Pourquoi pas. 
    Enfin la finale est là, la grande orgie à laquelle participent tous les élèves et pour la première fois Martine et Robert. Ceux ci ont porté tous ce qui est nécessaire : godemichés de forme différentes, huiles pour faciliter des pénétrations spéciales qu’ils feront à certains. Martine arrive habillées plus que sexy, alors que Robert, même si ça ne ce voit par ne porte sur lui qu’un pantalon et un débardeur. 
    L’ambiance est à la fête. Tous savent que demain ils ne se réveilleront que très tard, certains rompus des contacts physiques avec une autre personne. 
    Attardons nous sur Martine qui se livre à ses propres plaisirs : ce soir elle est libre de baiser avec qui elle veut. Elle ne veut que des filles, surtout une qui lui a tapé dans l’œil : brune, yeux clairs, grande et au fessier majestueux. 
    Quand elle l’aborde la fille comprend vite ce que lui veux Martine, elle n’est pas contre une relation lesbienne, au contraire. Par contre elle se laisse guider, intimidée par son professeur. Pourtant dès le premier baiser, elle se détend complètement. Sa nudité est parfaite pour la suite qui vient ; une main de Martine est vite sur sa chatte. Elle ouvre les cuisses pour se faire masturber : ce n’est pas ce que chercher Martine : elles se couchent sur un lit. Là, enfin Martine cherche le bouton de son amie, elle la branle pour arrêter rapidement. C’est sa bouche qui va donner le plaisir. Elle embrasse la fente comme si c’était une bouche. Entre les jambes bien écartées, Martine lèche toute la moule. La fille se laisse aller dans un remarquable concert de gémissements. Quand elle enjambe son amante, son sexe est sur la bouche de l’autre. Elles commencent une série de 69 qui les mène plusieurs fois au 7° ciel. Martine plus au courant entre trois doigt dans l’anus de la fille qui essaie de lui en faire autant.
    Robert a repéré une fille des plus âgées, aux lèvres gourmandes qu’il a déjà vu faire des fellations. Il lui semble qu’elle se débrouille pas mal. Elle est déjà avec un des garçons. Elle se fait baiser avec un plaisir non dissimulé. Robert s’approche du couple, donne sa bite à lécher : la fille doit bien aimer ça. Deux bites ensemble dans son corps, pourquoi pas.
    C’est vrai qu’elle pompe plutôt bien. Malgré son retard en jouissance, Robert se laisse avoir, la fille doit être la reine des suceuses. Il sent venir très vite le sperme. Il ne se retient qu’un très court instant. Il doit jouir vite. Ses jets de semence sont puissants. La fille en a la bouche qui déborde. Tant pis, elle avale ce qu’elle peut en récupérant ce qu’elle a laissé filer. Elle aussi jouit, sans que Robert soit certain que c’est à cause de lui ou de l’amant de la fille qui lui aussi lâche son sperme dans le sexe de l’autre. 
    Les baises se terminent quand la plupart des élèves sont épuisés. 
    Le lendemain après midi, tous sont près pour partir et rentrer chez eux. Les séparations sont l’objet de nombreux baisers. 
    Armés pour la vie, les élèves deviennent monsieur et madame tout le monde. Sauf qu’entre leur jambes ils sont les plus fort. Ils peuvent conquérir le monde des débauchés.



     



     




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  • i!i!i!..          Bonjours à tous... En effet malgré un certain charme et une personnalité sympathique j'ai eu bien du mal à me faire cet7e salope'S', pourtant j'avais dans ma classe une belle brochette de salopes pour lesquelles je n’étais qu'un mec parmi d'autres. Je suis aussi un pervers, je l’avoue, il n'y a pas d'autre mot (comme vous d’ailleurs qui êtes en train de lire ceci).Je suis sans me vanter plutôt bien fait : pénis légèrement inférieur en centimètres en érection et assez large, ce qui peut donner d’énormes sensations à ces dames qui deviennent vite accro. Mais récemment tout a changé, en effet suite à la chance et à un incroyable culot j'ai réussi à en faire ma pute. Alice c’était le fantasme de tous les mecs du lycée ! 1m68 et 55kg environ, un corps magnifiquement sculpté par le sport c'est une handballeuse, cheveux noirs, un beau visage avec une belle bouche, des lèvres de bonne pute, les seins font un 90C bien ferme. L’été c’était impossible de ne pas la croiser sans avoir une érection ! une petite robe d’été très fine ou comme c'est la cas dans cette histoire un débardeur laissant admirer ses seins, bien sûr sans sous vêtement, et une jupe ras la chatte qui permettait d'apercevoir un string ridiculement petit. Le tout sur de grands talons hauts !
    En plus de cela, c’était une véritable salope et tout le monde le savait ! Toujours à rouler du cul en marchant, à se pencher devant moi pour dévoiler ses magnifiques fesses! De sales rumeurs couraient à son sujet : en effet elle aurait déjà participé à des parties fines avec l’équipe de basket du lycée ou encore elle se serait tapée des profs pour remonter ses notes.                    i!i!i! coch*nnnnnneee!!!!, n'est-ce pas!?...
    Mais voici le jour ou tout a basculé En cours de maths (le prof est une femme ce qui explique que ce soit une des matières ou Alice galère). Elle est assise à coté du capitaine de l’équipe de football du lycée, elle commence à le tripoter en plein cours juste sous mes yeux et je commence à avoir une sacrée "gaule", le professeur s'aperçoit de ce qui se passe et demande à Alice de venir s'asseoir à coté de moi ! Au début j’évite juste de la regarder mais vite je me mets à la mater (pas de soutif) et elle s'en rend comte cette salope. C'est alors qu'elle commence à me faire du pied, mais alors vraiment du pied ! sa jambe nue (jupe) s'enroulait autour de la mienne !
    Ma tige était devenue une poutre, d’ailleurs on pouvait même voir le gland qui dépassait de mon short ! Cette coch*nne n'a pas manqué ce détail et tout en faisant mine de suivre le cours qu'elle écrivait avec sa main droite elle me branlait avec la main gauche ! A mon tour je glissais ma main sous sa jupe... Son string était trempé ! Une flaque se formait sur sa chaise elle mouillait énormément !

    Puis la sonnerie a retenti et elle a quitté la salle... Cependant je n'avais pas jouis ! Dans le couloir je la rattrapais et elle m'a fait signe de la suivre dans les toilettes du premier étage...

    A peine nous sommes entrés que je l’attrape, l'embrasse tout en malaxant ses seins ou ses fesses. Puis je pousse sur sa tête pour la faire mettre à genoux
    -maintenant tu vas me sucer grosse chienne !!!
    Docilement elle s’exécute malgré un léger moment d’hésitation devant les dimensions de mon sexe. Ce n'était plus elle qui me suçait mais bien moi qui lui baisais sa petite bouche de pute, en gorge profonde puis lorsqu'elle fut presque incapable de respirer je la relâchais, mon sexe était plus dur que jamais...

    Madame la cochonne est inondée ! Je la retourne et la prends en levrette contre le mur ! Chaque coup de queue l’amène à la jouissance, elle crie son plaisir aussi fort qu'elle peut. Je suis persuadé que des gens dans le couloir nous ont entendu...
    -OuiOuiOui, baise moi ! BAiiiiiiiSE moi ! Encore ! Encore ! OuiOuiOui comme ça !!!! 
    -ho oui, ho tu es vraiment une grosse pute !
    -OUI ! OUI ! JE SUIS TA PUTE, ... , JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Elle a eu un orgasme démoniaque, on aurait presque dit une mini crise d'épilepsie. La jouissance s’était propagée tout le long de sa colonne vertébrale, pendant quelques instants elle avait même oublié son nom et ce qu'elle faisait là, ce qu'elle savait c'est qu'elle ne vivrait plus que pour mon sexe.

    -maintenant je vais te prendre par le cul !
    -non !!! tu ne peux pas tu es bien trop gros, si tu m'encules comme tu viens de me baisser je vais mourir !
    -tu aurai dû y réfléchir avant de m’allumer salope !

    Et d'un seul coup sans préliminaire je lui plante mon gourdin entre les fesses !
    Je sens tout d’abord sa surprise et sa douleur, elle mordille ses lèvres jusqu'au sang pour ne pas crier trop fort, si quelqu'un ne nous avait pas encore entendu maintenant c’était fait !
    Comme je l'avais fantasmé, plus je m’enfonçais entre ses fesses, et plus la douleur laissait place à un plaisir encore plus intense que quand je prenais sa chatte.

    - Ahhh!ahhh!oh oui défonce moi ma petite rondelle !
    Elle s’empale avec violence sur mon sexe, elle la suce, elle l’aspire même avec son cul, comme si il s’agissait de sa bouche !!!
    Elle en redemande, elle en réclame, elle me supplie presque ! ses mots m’excitent encore plus.

    - OuiOuiiiiii ! Déchires moi !! HhsssAhhahhh, casses moi l'anus comme une chiiiiiienne !!! J’aime çaaa aaH !!
    -Alors si tu aimes ça, bouges !!! encore et encore plus ton gros cul petite traînée, colles toi !!! je te dis, que je vais te l'enfoncer jusqu’aux couilles !!!

    Là elle déguste, elle savoure, c’est une vraie salope, cela l’excite . Plus je la matraque et plus elle jouit, puis je me mets à caresser sa minette, ma main est pleine de son jus qui dégouline encore plus que tout à l'heure, j’ai réussi à enfoncer trois doigts dans son abricot qui se contracte pour apprécier pleinement !!!
    Avec mon pouce je constate que son clitoris est gonflé comme une petite bite de singe, je sens que l’orgasme est proche pour ma partenaire ! Je la caresse et continue à la bourrer avec force et vigueur.
    Mon gland se contracte au maximum et j'explose presque en silence dans son trou !!!! 
    J’expulse un jet puissant qui tapisse ses entrailles, son anus est rempli de mon sperme chaud, des gouttes perlent sur ses cuisse jusqu’à aller se loger dans ses chaussures à talon de lycéenne bourgeoise et salope !

    Elle a également eu un énorme orgasme encore pire que le premier, après de longues minutes nécessaires pour lui faire reprendre ses esprits j'entends dans un dernier râle :
    - Aaaaaaahhh! Ouiiiii, c’est trop bon....je suis une vraie catin !!!!!

    Je me retire alors comme je suis entré, brutalement et sans précaution !!!
    Je me rhabille je m'aperçois avec joie que je ne suis pas taché ce qu'y n'est pas le cas de ma partenaire.

    Elle est en effet dans un triste état : couchée dans une flaque de sperme et de cyprine dont ses vêtements en sont imprégnés, incapable de se relever car ses jambes tétanisées, ne la portent plus...
    -Désormais tu sera ma salope et je t'interdis de coucher avec d'autres sauf si je te le permets ! Tu dois venir en cours habillée comme une pute , limite à poil ! Tu dois toujours être assise à coté de moi et à chaque cours tu me masturberas, à chaque pause je te sauterai, c'est bien clair ?!

    Sans attendre la réponse je quitte les toilettes, à ma grande surprise il n'y a personne qui écoute dans le couloir, et je laisse Alice, désormais ma chienne....

    Elle était absente des cours de l’après midi, le lendemain elle était là, juste vêtue d'une robe très courte sans rien dessous et elle s'est assise à côté de moi en disant :
    -bonjours maître JOUI12R
    JOUI12R@HOTMAIL.FR



     
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  • Que faire quand on s’ennuie...!? Je lis, tout simplement. A dire vrai j’ai pris un livre dans l’enfer de la bibliothèque familiale, l’endroit où sont toujours cachés des livres qu’on m’interdit de lire. J’ai eu raison de prendre le bouquin que j’ai entre les mains. Le Kamasoutra illustré de très nombreuses images très érotiques. J’en ai le bas ventre mouillée. Je ne lis pas à vrai dire : je regarde attentivement les couples dans des positions impossibles baiser. Je suis obligée de faire tomber et mon jean et mon slip. 
    J’écarte les cuisses pour que ma main droite puisse venir caresser ma chatte. J’aime bien me branler quand je suis seule. Je trouve même le moyen de le faire avec Martine, une copine. C’est très agréable quand ses doigts me caressent la moule. Je le lui rends bien. Je suis certaine qu’elle ne dirait pas non à aller plus loin aujourd’hui, même si ce sont des couples mixtes. 
    J’aimerais bien faire ça avec un garçon. Les seuls que je connaisse sont d’une paresse extraordinaire devant les filles, ou alors il faut que j’aille chercher dans des cafés réputés pour la drague. Je suis parait-il trop jeune pour y aller. 
    Ma famille est des plus rétrogrades, je suis élevée dans un cadre strict. Si jamais mes parents savaient que je me fais du bien le soir dans mon lit, ils m’en voudraient terriblement : une file qui se masturbe : impossible et en plus une fille qui partage ses plaisirs avec une autre fille de bonne famille !!!
    En attendant je me donne un plaisir extraordinaire en regardant et me masturbant. Je suis même obligée d’arrêter de lire pour finir de me branler, juste avant l’explosion finale dans le ventre. Que c’est bon de se faire ce genre de plaisir.
    L’heure tourne, je pose le livre en le remettant soigneusement en place. D’ailleurs comment se fait-il que cet ouvrage soit dans la bibliothèque familiale ? Mes parents cachent leurs divertissements ? Sans doute.
    Ce soir je reprends ma caresse. Comme toujours je me mets nue sur le lit. Je me sens libre, je peux faire ce que je veux. Ce que je veux le soir c’est jouir, même si je l’ai fait dans l’après midi. Je commence par me caresser les deux seins. J’aime voir mes tétons jaillir de ma poitrine. D’une main je caresse mon ventre en entier. Ensuite je caresse ma fourrure pour la mettre en ordre, comme si les poils gênaient. Ma main gauche prend le haut de mes lèvres pour les tirer vers le haut : je dégage le petit clitoris qui n’attend que ma main droite. J’ai pris l’habitude de caresser mon bouton avec deux doigts. Je les mouille avec ma salive. Je caresse très lentement pour que le début du plaisir arrive, ensuite je vais bien plus vite jusqu’au moment de ma jouissance. Ce soir j’avais encore en tête les couples du Kamasoutra. J’avis à peine joui qu’il a fallut que je recommence. Cette fois j’ai pris des libertés : pour la première fois j’ai essayé de mettre un doigt dans l’anus. A cet endroit je ne mets normalement qu’un thermomètre quand je suis malade. Mais mon doigt a une faculté : il me donne un autre plaisir. J’en suis même surprise de voir avec quelle rapidité je tire un autre orgasme. 
    Je pense que mon futur mari n’aura pas à se plaindre de moi. 
    J’ai une envie de plus en plus pressente d’avoir une queue dans mon puits. Martine est comme moi, elle se donnera au premier venu pour perdre sa virginité. Vendredi nous étions seules dans ma chambre comme d’habitude nous nous sommes caressées. Nous avons joui presque ensemble. Une fois de plus nous avions besoin de quelque chose dans nos cons. La décision est prise : nous irons ensemble dans un café samedi soir en prétextant une séance de cinéma. 
    C’est-ce que nous faisons. Le bar et remplit de jeunes filles ou garçons mélangés. Certains s’embrassent sur la bouche, comme nous le faisons avec Martine. Nous voyons un couple qui se caresse dans un coin caché. La fille tient la bite de son ami en faisant des va et vient. A un moment elle pose un kleenex sur la queue de son ami, l’y laisse un moment avant de le cacher dans le fond de son sac. C’est ainsi que nous voyons comment branler un garçon. 
    Avec Martine nous sommes déjà mouillées. Heureusement que deux garçons un peu plus âgés que nous viennent nous tenir compagnie. Il nous paye un verre de coca. Je n’aime pas trop ce goût, mais je ne vais pas refuser cette consommation. Ils nous parlent et racontant des balivernes que nous faisons semblant de croire. Nous changeons de place pour nous trouver en couple. C’est bien un de nos objectifs. 
    Le premier embrasse Martine sur la bouche, j’attends que l’autre m’en face autant. L’attente ne dure pas. J’ai des lèvres sur les miennes. Je sens sa langue qui ouvre ma bouche pour chercher ma mienne que je donne aussitôt. La suite est logique, je sens des mains venir sur ma poitrine. Ce type triture mes seins comme des outres. Je supporte la chose avec philosophie. Ca ne dure pas longtemps, il pose une main sur un genou. J’espère qu’il connaît bien la suite. Là il est très doux, presque autant que Martine. Sa main monte lentement entre mes jambes. J’écarte les cuisses pour lui céder le passage. Il sait que je suis excitée quand il arrive à ma culotte très humide. Il passe une main dessous : je le laisse toujours faire. Il cherche un peu avant de trouver mon bouton. Je sens ma cyprine couler entre mes cuisses. Il commence à me masturber. Il ne se débrouille pas mal puisque j’arrive à avoir un orgasme. 
    Sans qu’il me demande je pose ma main sur sa braguette ; je sens qu’il bande. J’essaie de sortir son sexe, je n’y arrive pas : il faut dire que c’est la première fois que j’essaie cette manœuvre. Il se débrouille tout seul pour me donner sa bite. Je la prends dans ma main. Qu’elle est dure : comment avoir dans son ventre un tèl morceau.
    La serveuse passe, nous sert et nous regarde en souriant. Elle sait parfaitement ce que nous faisons. 
    J’essaie de faire comme la fille de tout à l’heure. Je prends sa bite à pleine main, je la fait monter et descendre. J’arrête quand il pose à nouveau un doigt sur le clitoris. Il murmure
    - Continue, n’arrête pas pendant que je te branle.
    - C’est bon comme ça ?
    - Oui, tu te débrouille bien.
    - Tu sais c’est ma première fois. Tu ne voudrais pas qu’on aille chez toi pour continuer ?
    - Chez moi, bien sur.
    J’entraîne avec moi Martine qui en est au même point.
    Nous arrivons dans une chambre dans un petit immeuble. Un seul lit est là. Mon copain me déshabille lentement : je le laisse faire : je ne veux plus être pucelle. L’autre, le copain de Martine en fait autant. Nous nous retrouvons nues toutes les deux. Martine va au devant du désir de son ami : elle ouvre la braguette, lui sort la bite pour l’embrasser. Mon copain lui se déshabille seul. Je peux ainsi voir la proportion de sa bite plus grosse que l’autre. Il m’embrasse, me tripote mal les seins, avant de venir ma branler encore. Je jouis dans sa main. Il me fait asseoir sur le lit les jambes ouvertes. Je crois connaître la suite : il pose sa bouche sur ma chatte. C’est sa langue qui me caresse maintenant, il la fait aller du clito jusqu’à mon petit trou que j’ai sensible. Il comprend vite que je veux jouir par là. Sa langue se durcit pour entrer à peine dans le cul. Je suis en train de vivre un instant privilégié que je n’oublierais jamais : ma première fois. Il me fait jouir encore. Quand il se relève j’ai sa bite bien grosse à hauteur de ma bouche. Je vais lui rendre ce qu’il m’a fait. Je le retiens avec une main : sa queue est très dure. J’ouvre la bouche pour la prendre. Je ne savais pas qu’existant un prépuce, j’en suis étonnée. Je le fais descendre avec mes lèvres. J’ai dans la bouche son gland qui a un drôle de goût. Je fais coulisser mes lèvres sur sa queue. Il tend sa bite vers moi le plus possible. Je le sens grossir dans ma bouche quand il en sort :
    - Je ne veux par jouir dans ta bouche, je préfère te baiser.
    Au moins c’est net, sauf que j’ai failli le faire jouir par accident. Nous allions nous coucher en oubliant l’autre couple. Ils sont plus avancés que nous puisque Martine n’est plus vierge depuis un instant : elle a dans son ventre la pine de son amant : elle ne semble pas s’en plaindre.
    Nous nous allongeons tout au bord du lit, contre les autres. Il m'a même fait écarter les jambes pour venir sur moi. Je sens sa queue palpitante entre mes cuisses et sur l’entrée de mon puits. Il entre très lentement en s’arrêtant juste sur l’hymen. 
    - Attention je vais te la mettre, tu vas avoir un peu mal.
    Il donne un coup de rein ; en effet je sens une fulgurante douleur qui passe très vite. Ensuite je ne fais que le sentir aller et venir quand je perçois enfin un drôle de plaisir très différent. Je ne veux pas qu’il arrête de me baiser. Je jouis bien avant lui. Mon vagin a des spasmes autour de sa queue. Je me retire, même si lui veut continuer. Je sais d’après le kamasoutra qu’une bite peut et doit aller se loger ailleurs.
    - Mets-moi ta queue dans le cul.
    Il est étonné qu’un semi vierge lui demande cette faveur qu’il aime bien. Martine a la même demande. Nous nous retrouvons toutes les deux en levrette, un peu trop serrées sur ce petit lit. Mon amant sait comment faire, son jeune âge m’en faisait douter. Par précaution il puise de mon jus sur et dans ma chatte pour m’en mettre sur l’anus. 
    Il entre un puis deux et enfin trois doigts. Il me fait un peu mal. Je sens que ses doigts coulissent bien dans la gaine. Il se positionne derrière moi, prend mes seins qu’il maltraite. Je sens le bout de sa bite qui entre doucement dans mon cul. Bien sur j’ai un peu mal quand il entre comme il fait avec beaucoup de tendresse. Je sens son pubis contre mes fesses quand il me l'a mise à fond. 
    Je jouis rapidement, surtout quand il jouit et que je sens son jet de sperme envahir mon intérieur. Je pense qu’il peut encore me sodomiser : il débande. A mes cotés Martine est comme moi, en panne d’amants. Nous avons encore envie de jouir. 
    Sans pitié nous faisons se lever nos amants d’un soir pour nous allonger commodément. Nous nous caressons un peu, elle me caresse le seins normalement en me les suçant ce que je lui rend. Nous sommes en bonne position en descendant un peu pour nous lécher. 
    Nous trouvons sur nos chatte les goûts habituels de cyprine et celui inconnu de nous: le sperme. Ce n’est pas désagréable. La prochaine fois que je sucerai une bite j’irai jusqu’au bout pour déguster cette semence. A force de jouir nous recommençons vite pour nos orgasmes simultanés. 
    Les garçons nous voyant baiser bandent à nouveau. Celui de Martine vient pour l’enculer à nouveau. Elle doit aimer ça encore plus que moi. Le mien voudra me baiser encore. Je viens juste de jouir, je peux attendre, alors je prends sa bite dans la bouche. Il me laisse faire, il se souvient du plaisir que je lui aie donné. Je me méfie quand je sens qu’il va jouir, je le retiens dans la bouche et je reçois un drôle de jet dans le fond de la bouche. Il m’a donné beaucoup de jus. Je garde le tout dans la bouche longtemps : c’est trop bon pour le gaspiller rapidement. C’est à toutes petites gorgées que je le déguste. 
    Finalement j’ai eu sa semence dans le sexe, le cul est la bouche. Pour une première fois c’est complet et j’en ai joui à chaque fois. 
    Nous nous rhabillons, avec Martine pour rentrer à la maison. Quand je laisse Martine entrer chez elle, c’est plus fort que moi, je l’embrasse sur la bouche. En me couchant je reste nue pour une dernière caresse sur le clitoris qui commence à être douloureux.
    Je suis heureuse je peux donner du plaisir à une fille et le plus important à un homme, sans parler de mon corps que je satisfais.



     
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  • J’invite une dizaine d’amis chez moi.
    Il y a Quentin, un petit punk assez costaud, Kevin, un grand mec musclé avec des yeux magnifique, Guillaume, petit et un peu gros, Alex petit blond androgyne, Manu un grand brun aux cheveux long, Éric, rasé très court et un peu enrobé, Colline, une brune avec des seins assez gros mais pas trop non plus et Salomé, une brune aussi avec de longues jambes qui donnent envie ! Toutes les deux ont des bouches pulpeuses d’enfer ! D’ailleurs ces deux salopes ont déjà sucé presque toute la bande ! Colline m’avait fait une pipe et avait tout avalé, en revanche je n’avais pas eu l’occasion de goûter à Salomé.

    La fête commence, on a tous la vingtaine, on boit un peu, on met de la musique et on rigole. Je suis assis sur le canapé avec Salomé, Colline et Kevin. On essaye de les chauffés un peu.
    Je caresse Salomé et l’embrasse dans le cou, Kevin a la main sous la jupe de Colline.
    Je descends le petit haut de Salomé sous lequel elle est poitrine nue. Je lui caresse les mamelons et les léchouilles un peu.
    Elle éclate de rire et me repousse d’un coup. Elle se met debout sur la petite table du salon et, toujours les seins à l’air, appelle les autres :
    « Alors écoutez-moi ! Si vous voulez, Colline et moi on peut vous faire un petit spectacle… »
    Tous les mecs approuvent bruyamment.
    « Mais ! Il n’y a qu’une condition vous allez devoir vous masturber en nous regardant, celui qui gicle en premier aura une petite punition alors que le dernier aura une belle récompense ! »
    Une fois de plus les mecs approuvent en riant.
    Tous les mecs s’assoient dans le grand canapé en arc de cercle, les filles montent sur la table et commence leur spectacle.
    Elles s’embrassent et se caressent. Colline dévore la poitrine de Salomé qui soulève la jupe de Colline pour lui caresser les fesses, nous dévoilant ainsi sa petite culotte blanche.
    Je suis entre Alex et Quentin. Je commence à me sentir très à l’étroit dans mon short. J’hésite pourtant à sortir ma bite.
    C’est là qu’Alex fait preuve d’un peu de courage en déboutonnant son jean et en sortant sa belle queue longue et fine. Il commence à se branler devant tout le monde sans gène.
    Je contemple sa bite avec envie. Je veux sentir ce gland chaud contre mes lèvres. Tous le monde sait qu’Alex et moi avons déjà baisé plusieurs fois ensemble, en se servant de l’autre comme d’un vide-couille.
    Salomé vient de retirer la culotte de Colline et de la lancé sur la queue d’Alex. Je peux voir la trace de souillure qu’à laisser cette petite cochonne.
    Je craque et dégaine mon sexe pour me masturber à mon tour.
    Salomé enfile deux doigts dans le cul de Colline. Quentin n’y tient plus et sort sa bite, assez large bien que peu longue. Tous les autres mecs se lâchent alors et se branle devant le spectacle des deux pétasses.
    Colline est assis sur la table les jambes grand écarté et se fait brouter le minou par Salomé qui vient de se mettre totalement nue (il faut dire que sous sa robe elle ne portait rien !)
    Je sens alors la main d’Alex glissé vers bite et commencer à remplacer la mienne.
    Je laisse faire et décide de m’amuser un peu ! Je quitte ma queue, la laissant aux bons soins d’Alex et passe sur celle de Quentin. Il me regarde me sourit et me laisse sa queue.
    Alex semble attirer par la bite de Kevin ce mec cent pour cent hétéro. Il abandonne ma bite et se penche donc vers lui. 
    Je me concentre alors sur celle de Quentin et le prend en bouche dans un mouvement d’excitation !
    « Quelle salope ! »
    Au bout de quelques minutes j’entends un gémissent de jouissance provenant de Kevin, on tient notre perdant ! Quentin le suit et décharge tout son jus dans ma bouche, je n’avale pas et laisse couler son jus entre mes lèvres.
    Je me tourne vers les filles.
    Salomé est à quatre pattes et Colline lui lèche l’anus en la doigtant énergiquement.
    Kevin et Quentin se retirent et se s’assoit à la grande table de la cuisine, contemplant la fin du spectacle.
    Alex me regarde, il a les lèvres couvertes de sperme, bien joué !
    On s’embrasse alors passionnément partageant le jus de nos amants précédents. Je le renverse, les jambes en l’air, lui retire ses sous-vêtement, lui enfile deux doigts et après l’avoir rapidement doigté et avoir retiré mes propres vêtement, je place mon gland contre sa rondelle et l’enfonce d’un seul mouvement. J’entame une sodomie violente. Au bout d’une minute ou deux je sens une queue bien raide coulissé entre mes fesses et se branler contre ma rondelle.
    J’ai envie qu’il me prenne !
    « Encule-moi putain ! »
    « Non ! Répond la voix de Manu, je veux juste jouir sur ton beau petit cul ! »
    Je lâche tout dans le cul Alex qui à son tour ne peux se retenir et jouis sur son ventre, Manu se vide alors sur mon petit trou et va rejoindre les autres.
    Je reste un moment comme ça, mon anus frétillant couvert de jus, quand un doigt farceur masse mon trou avec ce bon foutre et pénètre délicieusement.
    Salomé me mord dans le cou en me commentant :
    « Je savais pas que t’étais une salope toi aussi, sinon on se serait amuser plus tôt toutes les deux »
    Nous sommes tous assis autour de la table à boire un verre, tous à poil, les queues à l’air et les jolis minous trempés des deux filles sous nos yeux.
    Salomé prend alors la parole :
    « Bien ! C’est l’heure de la récompense et de la punition ! »
    Tous applaudissent en criant, l’ambiance est plus que chaude !
    « Le gagnant est donc Eric ! Il aura le droit d’enculer l’une de nous deux et de prendre la chatte de l’autre ! »
    Grande ovation ! Eric semble content de lui !
    « Le perdant est Kévin ! Il devra se faire enculer par tous les autres mecs sauf Eric »
    Kevin boit cul-sec sont verre de whisky pur, il n'en est pas au premier, heureusement, sinon il serait sans doute parti.
    Mais Kévin reste ! Il ne dit rien et semble approuver la sentence des filles
    Colline se tourne vers Eric :
    « Bon par laquelle tu commences et dans quel trou ? »
    Elle a un regard de grosse cochonne.
    « Par toi salope ! Répond Eric, Et dans ton petit trou du cul ! »
    Colline ne se le fait pas dire deux fois ! Elle se met à 4 pattes et attend qu’Eric l’encule.
    Celui-ci ne bande pas encore très dur et réclame une petite pipe d’abord.
    Salomé intervient :
    « Ok tu as le droit à une fellation , mais c’est l’un de tes potes qui te la fait ! Et c’est moi et Colline qui décidons lequel sera ta petite suceuse ! »
    Je prends alors la parole :
    « Il faut faire pareil pour Kévin, que l’un de nous lui lèche bien le cul avant qu’on lui défonce l’anus. »
    Salomé réfléchit un instant puis décide que la suceuse sera le deuxième mec à avoir juter, et le lécheur de cul l’avant dernier. Ce sera donc Quentin et Manu, aucune protestation, l’alcool et l’ambiance de la soirée y sont pour quelque chose.
    Quentin passe sous la table et commence à sucer Eric sans hésiter.
    Kevin se met à quatre pattes à coté de Colline, il est bien bourré…et on va le bourrer !
    Manu lui enfonce sa langue humide dans son petit œillet, Kévin frémit mais peu à peu semble apprécier.
    Pendant ce temps, ceux qui ne sont pas occupés peuvent s’amuser entre eux, mais sans pénétration.
    On est tous debout autour de Colline qui attend impatiemment la bite d’Eric et de Kevin qui se fait bouffer le cul par Manu.
    Je me masturbe doucement en regardant le petit trou de celle-ci bailler, tellement elle en a envie.
    C’est là qu’un doigt s’enfonce dans mon anus !
    « Alors petite cochonne, on reprend là où on en était ! »
    Salomé me doigte énergiquement, je tends les fesses pour qu’elle me pénètre plus profondément.
    Sa chaude langue vient m’élargir, un second doigt s’invite dans mon petit trou.
    « Tu aimes ça petit pédé ?! »
    « Oh ouiiiiii !!! Vas-y Salomé défonces moi ! »
    Alex s’agenouille devant moi et me suce la bite, sa langue voyage le long de ma verge et autour de mon gland.
    Pendant ce temps Quentin a arrêté de pomper Eric qui s’est attaqué au petit cul de Colline avec violence :
    « Prends-toi ça chiennasse ! »
    « Qu'est ce que j’adore ton gros chibre dans mon cul ! »
    Ses couilles tapent contre les fesses de Colline alors qu’il s’accroche à ses hanches.
    Manu a positionné son gland contre la rondelle frétillante de Kévin qui après le merveilleux léchage que son ami vient de lui prodiguer, n’attend qu’une chose : Se faire empaler !
    Manu pousse un peu, le gland est aspiré par l’anus de Kevin qui gémit doucement, Manu force encore un peu l’entrée, Kevin cède, la verge s’enfonce toute entière dans le beau fondement de celui qui une heure plutôt ce serait qualifié d’hétéro pur et dur. Il pousse un cri de douleur qui se transforme au fil des va-et-vient langoureux de Manu, en complainte de plaisir.
    Salomé me dévore mon entre fesses, Alex me bouffe la bite, et Quentin vient nous rejoindre en se demandant quoi faire. Il s’allonge en dessous et entreprend de lui manger la chatte.
    Guillaume regarde Kevin et Colline se faire prendre en se branlant.
    Je suis au bord de la jouissance, aussi je demande à Alex et à Salomé que l’on change de position, je me retrouve ainsi à sucer la bonne bite de Guillaume qui s’est enfin décidé à participer plus activement. Pendant que Quentin se branle entre mes fesses, titillant mon anus dilaté, Guillaume lèche la minette de Salomé qui s’occupe de faire reluire le petit trou d’Alex. Il récupére les restes du foutre que j’avais expulsé dans ce petit cul tout à l’heure.
    Enfin ! Manu se vide dans Kévin qui jouit comme une pucelle !
    Il se retire et vient se faire nettoyer le gland par moi, en passant ainsi le relais à Guillaume qui s’enfonce dans Kevin comme dans du beurre.
    Je lèche avec application la bonne queue pleine de foutre de Manu.
    Quentin qui s’excite entre mes fesses n’y tient plus, il crache sur mon anus et enfonce sa pine d’un mouvement sec.
    « Aaaaaaaaaaah !!! » Je pousse un cri aigu, plus de surprise que de douleur, car mon fondement n’attendait que d’être rempli !
    Salomé se rend ainsi compte de la pénétration qui vient d’avoir lieu alors que c’était interdit.
    « Mets-toi à quatre patte chienne ! »Ordonne la belle à Quentin en allant chercher un gros gode rose dans son sac, décidément cette salope pense toujours à tout !
    Pour punir Quentin, elle lui enfonce ce gros phallus sans ménagement ! Celui-ci hurle, il faut dire qu’en plus du diamètre imposant du gode et de la violence avec laquelle il se fait mettre, c’est sa première sodomie !
    Guillaume jouit dans Kevin, Alex prend la suite mais éjacule en une minute ! C’est donc au tour de Quentin de prendre son copain. Ce qui met fin à son supplice, mais c’est douloureusement qu’il casse la rondelle de Kevin.
    Eric se lâche enfin dans l’anus de Colline qui n’en peut plus ! Il décide de se reposer avant de prendre Salomé qui continue à me triturer alors que je nettoie les bites de nos amis.
    Colline s’occupe de sucer celle d’Eric, sentant le cul et d'où coule du jus encore chaud.
    Quentin se vide les burnes dans Kevin, c’est donc à moi de l’emmancher.
    Je place mon gland sur sa rondelle d’où coule un flot important de sperme
    Je m’enfonce avec bonheur dans la chaleur de ce cul humide et commence à le piner avec envie.
    Il gémit, il adore ça ce cochon !
    Plus rapidement que je ne l’aurai cru je me lâche, mêlant mon sperme à celui de mes amis.
    Je me retire et Colline vient me sucer avec plaisir ! Eric a entrepris de baiser la jolie chatte de Salomé.
    Pendant que cette grosse cochonne pompe ma bite molle et dégoulinante de foutre, j’enfonce ma langue entre les fesses de Kevin, goûtant à tout ce bon jus.
    J’en avale une bonne dose, le reste coule sur mon menton, Alex se fait un plaisir de récupérer le sperme sur mon visage.
    Eric ne tarde pas à expulser ce qu’il lui reste au fond de la moule de Salomé.
    On discute alors tous ensemble en se caressant, gentiment, 
    On décide tous de remettre ça toute la journée de demain, mes parents ne rentre qu’après demain, nous avons la maison pour nous adonner au sexe pur et sans tabou.


     
     i!i!i! si ce début vous avez fait bander^^
     



     
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