• ON A BESOIN DES RECOMPENCE POUR...
    AVANCER

    Comment faire jouir

    une coch*nne

     

     

    Quelles sont les techniques, trucs et astuces

     pour donner du plaisir, faire jouir une femme

    et l’amener à l’orgasme ? Pour cet article, un résumé

    de ce qui a été posté sur les forums de JOUI12R en

    réponse à la question « Comment faire jouir une femme ».

    Les membres de JOUI12R prennent la parole. 

    Faire durer les préliminaires

    Caresses et doigté

     Je commence par un bon massage si je la sens tendue;

    si ce n’est pas le cas; je fais des allusions chaudes

    pour l’émoustiller.

     Un point essentiel à ne pas négliger, la phase

    d’éveil du désir (effleurement des lèvres de son sexe,

    baisers dans le cou, caresser l’intérieur des cuisses)

    pousser la fille dans ses derniers retranchements jusqu’à

    qu’elle vous supplie de la pénétrer les sensations s’en

    verront décupler.

     Alors, concernant les préliminaires, je n’utilise mes doigts

    qu’en surface sur la plupart des filles. Beaucoup d’hommes font

    l’erreur de vouloir pénétrer la fille avec leurs doigts, et

    sous estime la masturbation clitoridienne. Ma copine est

    vaginale, et elle m’a clairement dit que j’étais le premier à

    lui donner vraiment du plaisir par le clito, parce que mes

    prédécesseurs n’exerçaient pas une pression suffisante…

    Donc: petites caresses en rond sur le clito, et vous

    pouvez aussi recouvrir sa chatte avec tous vos doigt,

    en appuyant fortement, et en augmentant progressivement

    la pression exercée. La position doit être la même que

    quand ELLE se masturbe. Encore une fois la discussion

    est fondamentale, demandez lui de vous guider,

    en mettant sa main sur la votre par exemple…

    Le cunni

    Après, concernant le cunni. Ne vous contentez

    pas de glisser votre langue comme dans les pornos,

    mais « MANGEZ » sa chatte (c’est une image,

    n’allez pas la mordre hein). Commencez par glisser

    votre langue entre les lèvres, et pénétrez son vagin

    avec votre langue (pénétration très superficielle, on

    est d’accord). Ce faire lui fera ressentir une frustration,

    et elle n’attendra qu’une chose: que vous remontiez

    vers son clito. Pour le clito, faites un rond avec votre

    bouche autour, lorsque vous sentez qu’elle est très

    excitée ou même lorsqu’elle vient. Je vous conseille

    aussi de sucer, sucer et sucer. Aspirez son clito,

    la peau de ses lèvres et jouez sur les succions…

    Si vraiment vous voulez

    apprendre comment faire

    des cunnilingus

    qui les rendent

    folles, lisez le Guide du cunni.


    Seuls 5% des hommes connaissent le secret des cunnilingus
    parfaits pour donner des orgasmes incroyablement intenses
    et explosifs. Avec ces techniques, vous rendrez votre partenaire
    accro au cunni, au sexe...
    et à vous !Lisez ce guide ma petite cochonne, écrit par JOUI12R ,
    pour connaître ces techniques pour bien faire un cunnilingus.
    Des conseils simples pour lui donner des orgasmes
    inoubliables et la rendre accro au sexe…
    juste avec votre langue ! 

    Zone érogènes

    N’oubliez pas de vous occupez de ses seins lorsque

    vous la pénétrez ou que vous lui faites un cunni.
    Enfin, j’adore mettre un doigt dans le cul de ma

    partenaire quand je la pénètre, ça a un effet

    magique. Si vous ne savez pas comment amener

    la chose, ou que vous trouvez ça sale, vous pouvez

    exercer une pression avec deux de vos doigt

    (index et majeur) sur l’anus mais excentré, sur la région

    entre l’anus et le vagin. Vos doigts doivent être à plat.

    N’ayez pas peur d’exercer une réelle pression, vous êtes

    des hommes, vos contacts doivent être virils!

    (ils doivent aussi être doux et allez y progressivement,

     La conversation est une forme de communication,

    le contact aussi. Par une caresse, une pression

    au bon endroit au bon moment, un geste, une façon

    de tenir sa partenaire, on exprime une quantité

    inconcevable d’émotions et de sentiments. Les femmes

    sont ultra-réceptives à ça et la plupart ne savent

    même pas que c’est possible. Il faut savoir s’immerger

    dans le rapport, faire un avec son souffle et

    ses mouvements… son bassin qui se soulève…

    l’accompagner, la pousser, la tirer, la contrarier,

    la punir, la récompenser et lui faire perdre des moyens.

    Savoir la faire attendre, faire monter son désir,

    lui résister. Négliger à ce moment là les zones

    érogènes classiques mais toujours tourner autour.

    Justes sous ses seins, au dessus, dans le pli de

    sa cuisse, embrasser ses lèvres, jouer sur les

    pressions, poser une main à plat sur son ventre,

    et prendre le contrôle. Lui faire comprendre

    qu’on lui donne son plaisir quand on en a envie,

    qu’elle est entièrement à notre merci. Insister là dessus.

    Être tactile. Se servir de ses mains, de ses lèvres,

    de ses doigts, lui écarter les cuisses avec les vôtres,

    tenir ses poignets fermement, l’immobiliser.

    L’embrasser aussi, très important. Et oublier

    un peu les bisous partout, leur préférer l’usage

    de la langue, des lèvres qui frôlent, des doigts

    qui effleurent ou qui contraignent. Un mélange

    de douceur et de possession.

    Être partout à la fois, sur elle et autour d’elle, la

    materner et l’envelopper, peser sur elle sans l’étouffer.

    Pénétration

    Faire de petits va et viens

     Jamais je ne la pénètre tant qu’elle ne mouille pas, et

    lorsque je le fais, je commence toujours pas des petites

    pénétrations, puis je ressors, j’entre, je ressors

    (en veillant à ne faire rentrer que le gland) ceci jusqu’à

    ce qu’elle me supplie. Mon dernier conseil sera celui-ci :

    il faut toujours veiller à érotiser les pensées de la femme. 

     Je confirme, le coup de faire des petits va et viens

    en ne rentrant que le premier tiers du sexe, c’est

    de la dynamite, en général ça plait. Lorsque les

    choses sont plus avancées, j’ai remarqué que changer

    les angles, voire, opérer une rotation du bassin rencontrait

    plus de succès qu’un bête va et vient d’avant en arrière.

    J’ai aussi remarqué que pas mal de filles avaient plus

    de sensations lorsqu’on les pénètre par derrière

    – mais là, ça doit dépendre des cas, à vous de connaitre

    votre partenaire, ou d’avoir suffisamment de feeling

    pour deviner si elle est du genre à aimer, toutes

    n’aiment pas levrette et compagnie.

     +1, testé. Bien « racler » partout, ça fait des étincelles.

     Les sexologues chinoises de la Chine ancienne

    préconisaient d’alterner pénétration profondes

    et pénétrations superficielles, par exemple 1 profonde

    pour 8 superficielles au début, puis 1 profonde

    pour 5 superficielles. Les résultats sont très bons,

    il faut trouver le rythme qui vous correspond et qui

    correspond à votre partenaire.

     Je trouve ça plus évident à faire pendant les préliminaires

    que pendant la pénétration… car des rotations du bassin

    sont quand même plutôt limitées en angle. Ce que j’ai

    justement remarqué: pendant des préliminaires où on

    fait travailler ses doigts, au lieu de faire de bêtes va

    et vient avec le doigt tout droit… au bout d’un moment

    il vaut mieux que le doigt soit légèrement courbé,

    et associer le va et vient à une rotation du doigt

    justement (enfin y’a pas que le doigt qui tourne,

    c’est lié au poignet, je crois que vous me comprenez)

    histoire de « bien racler partout » ! [...] Sinon j’ai testé

    2 fois un truc qui a pas mal marché pour exciter la fille

    et lui donner du plaisir pendant les préliminaires.

    Je la doigtais, elle me masturbait, et j’ai commencé à

    caler mon rythme et mon amplitude exactement sur le rythme

    de ses caresses… En gros comme si elle contrôlait ma

    main avec mon sexe J Situation très érotique, effet garanti ^^

    Changez de rythme

     J’ai remarqué que « de temps en temps » un coup qui va

    plus loin que les autres et qui marque un temps d’arrêt,

    obtient de bons résultats.

     Changements de rythme, oui, ça parait élémentaire

    comme ça mais c’est toujours bien de le rappeler

    (on sait jamais, peut-être qu’il y en a qui ne savaient pas…).

    Surtout que les pornos ne sont pas le meilleur exemple de ce côté-là.

    Généralement la fille jouit à coup sûr si ça reste

    dynamique et dure longtemps. Pour que ça reste dynamique

    soit je garde un rythme rapide et ample et dans

    ce cas je fais des « poses » et reviens aux préliminaire

    quand vraiment j’en peux plus ou que je me sens

    venir -et accessoirement je change de position après,

    soit je vais plus lentement, mais toujours en restant ample,

    et la je me concentre sur les murmures,

    les caresses/massage/baisés des seins, du clitoris,

    le cou, les hanches/bas du dos, le haut de la nuque,

    la partie occipitale du cuir chevelu (derrière la tête quoi… ;) ),

    et toutes les autres parties qu’elle a précédemment

    décrit/gémit comme érogène. Mais mon vrai plaisir

    c’est les préliminaires, si vous la faite jouir pendant

    les préliminaires vous partez au front déjà vainqueur.

    Et puis, c’est divin d’entendre de doux gémissements

    mêlant délice et impatience.

     Alterner la profondeur de la pénétration en rythme

    croissant (un coup profond sur dix au début,

    1 sur deux vers la fin, pour finir pas que des coups

    profonds), c’est vieux comme le monde! Mais

    pas assez de gars le connaissent. Ce qui est génia

    l c’est que ça titille énormément votre partenaire.

    Elle attend le coup profond, et des que vous

    accélérez le rythme ça la surprend. Donc elle

    prend du plaisir, elle a le temps de préparer

    l’orgasme (c’est rythmique et ça dure quand même

    un certain temps), et il reste un élément de surprise.

    Aphrodisiaques

     Les Aphrodisiaque, certains fonctionnent super bien,

    d’autre pas du tout, mais quand ils marchent…

    Les effets sont flagrants ! Deux effets possibles,

    soit la durée de l’acte est doublée et facilitée,

    soit la durée de l’acte est diminuée mais l’on

    prend encore plus de plaisir. Précisons que

    certains aphrodisiaques ont juste des effets psychologiques.

    SOURPUVEZ VOUS EN RETOUR SUR TERRE...

    Point G & SOURPUVE TOI

    Lisez cet article sur MASTUR12RBER : une zone érogène

    encore plus puissante que le point G chez une femme.

    JOUI12R a écrit : Le point G serait situé à environ 5 cm

    a l’intérieur sur la paroi supérieure du vagin c’est à dire

    quand la fille est couchée sur le dos, c’est la partie vers

    le haut. Il faut savoir que cette zone peut varier

    de 1 à 2 cm selon la fille. Je ne pense pas vous

    apprendre grand chose…mais la technique consiste

    a glisser d’abord un doigt pour qu’elle mouille bien,

    et quand cela est possible, un autre (selon la taille

    des doigts, si tu as des doigts de bucherons ça risque

    de lui faire mal!!) et de les recourber au niveau

    de cette zone afin que le bout des doigts soit en

    contact avec le point g. S’ensuit une séance

    de localisation en fonction de ses sensations

    de ses cris et de ses gémissements… pour vous

    dire ça vient avec la pratique et moi, presque

    a chaque fois elle a un orgasme et même

    il m’est arrivée d’avoir des cas d’éjaculation féminine.

    sourpuve toi : Voici l’une des techniques

    que j’ai expérimentée : Je place ma main droite

    comme si je voulais saisir un énorme hamburger,

    et je la pénètre avec mon pouce. Je ressers

    mes 4 autres doigts sur son sexe, comme si ma main

    était une pince. Avec le pouce, je fais des rotations

    comme si son vagin était une horloge et mon pouce

    une aiguille. Et en posant ma main libre sur

    son bas-ventre et en faisant de petites pressions,

    la sensation s’intensifie.

    SOURPUVE TOI ; MASTU12RBER vous :

     lisez l’article « en JOUI12R zone Érogène :

     » – qui n’est pas le point G – est une zone érogène

    plus facile à stimuler que le clitoris et les orgasmes

    sont plus puissants (ils viennent de « l’intérieur »).

    J’ai testé et les résultats sont plus que probants.

    Communication,

    osmose et écoute

     Tout ça c’est très bien ! Mais c’est aussi pas mal

    de discuter avec la fille pour lui demander ce qui lui plait.

    Les filles ne se ressemblent pas toutes niveau sexe.

    Certaines aiment que ça claque dur et d’autres

    apprécieront plus la douceur. Alors ne lésinez pas

    sur la communication, c’est selon moi la meilleure

    méthode pour s’améliorer. pour faire jouir une femme,

    il me semble qu’il y a un bouquin : le Kâma-Sûtra.

    Le Kâma-Sûtra ne se limite pas qu’aux positions

    (un seul chapitre du bouquin est en réalité consacré

    aux positions sexuelles) mais parle aussi

    de ce qu’apportent les 5 sens (qui d’ailleurs

    ne sont pas aux nombres de 5 mais beaucoup plus).

    Caresse, massage, griffures, tirer les cheveux

    (à la base de la nuque), pincer les tétons, lécher,

    embrasser, utiliser des parfums, la musique,

    se parler (Casanova disait « Sans la parole, le plaisir

    de l’amour diminue au moins de deux tiers. »),

    se regarder dans les yeux, ou dans un miroir :

    si tu limites toute la jouissance à une petite zone

    du sexe de la femme, c’est que tu n’as rien compris.

    L’intellect et tous les sens doivent être mis à contribution.

    Un principe général que j’ai remarqué : si une fille

    te fait un truc qui te semble anodin (parfois elle peut

    même insister dessus), c’est qu’il y a de forte chance

    pour que ça ait un énorme effet sur elle. Donc n’hésitez

    pas à lui faire en retour la même caresse.

     en effet l’intellect est très important. Le désir est

    le moteur principal du plaisir… Avant l’acte il faut

    échauffer l’esprit de la demoiselle: fuck her brain!!

    « Un principe général que j’ai remarqué :

    si une fille te fait un truc qui te semble anodin

    (parfois elle peut même insister dessus),

    c’est qu’il y a de forte chance pour que ça ait

    un énorme effet sur elle. Donc n’hésitez pas

    à lui faire en retour la même caresse. » =>

    Je t’approuve totalement, c’est le cas

    de ma copine elle me fait pour les massages

    ce qu’elle souhaiterait recevoir, l’analogie

    avec les caresses sensuelle est facile…

    L’avis

    des filles

     Ca : « je commence toujours pas des petites pénétrations,

    puis je ressors, j’entre, je ressors (en veillant à ne faire

    rentrer que le gland) » et ça : « Pour que ça reste

    dynamique soit je garde un rythme rapide et ample

     et dans ce cas je fais des « poses » et reviens

    aux préliminaire quand vraiment j’en peux plus

    ou que je me sens venir -et accessoirement change

    de position après, soit je vais plus lentement,

    mais toujours en restant ample » =>

    j’adore qu’on me le fasse, c’est excellent.

     Toi je crois qu’au delà de la technique pure et dure,

    certaines attitudes, certains gestes peuvent

    nous amener bien plus au septième ciel.

    Faire jouir une fille ce n’est pas qu’une question

    de technique bien maitrisée, c’est souvent

    une question d’osmose, d’excitation…
    Pour moi rien ne vaut la fougue, l’imprévu,

    les gestes maladroits et l’impatience qu’un enchaînement

    de positions, de vas et viens (rythmés de façons différentes)

    et une parfaite maitrise de l’acte sexuel.
    Moi je préfère de loin quand l’acte sexuel démarre

    sur un regard, commence contre un mur,

    finit par terre, quand les fringues sont éparpillées

    un peu partout et qu’on ne sait plus ou on habite…

    c’est très visuel, sensoriel et je trouve ça plus jouissif.

    Le mot de la fin 

     L’important n’est pas ce

    qu’on fait mais la façon dont on le fait.

     Le coté bêtement mécanique reste essentiel MAIS au lit

    comme dans la vie les femmes attendent une attitude.

    Une attitude masculine de préférence. Douce et ferme,

    protectrice et directive. Initiative reste le maître mot.

    Le sexe est une danse et un miroir de l’âme. Il peut être

    mécanique comme dans un porno ou bien à l’opposé,

    devenir une forme de communication profonde comme

    on n’en trouve pas ailleurs. Dans l’acte sexuel d’un couple

    on retrouve tous les contentieux, tous les malentendus,

    toutes les joies et tous les disfonctionnements.

    Les cœurs parlent à travers les corps. Aucun geste n’est anodin.

    L’amour est un langage. Il s’agit de savoir le parler.

    Et comme dans le dialogue où c’est le ton qui compte,

    l’attitude, les frames et méta-frames, l’humour,

    la légèreté et la profondeur; dans le sexe les gestes

    pratiqués sont secondaires. Les femmes attendent

    de nous qu’on les transporte, tant par le lieu et

    l’ambiance comme ça a été dit plus haut par China,

    que par l’alchimie que l’on sait produire dans ce contact

    unique. Si l’on sait sentir l’autre, alors les bons

    gestes suivent. Et souvent ils ne sont pas ceux auxquels

    on s’attend. Un univers à explorer.

     La technique et les performances sont importantes,

    mais c’est comme tout. Le but est de les intégrer pour

    que ca devienne naturel. Par contre, si la performance

    est l’unique objectif, on ne prendra pas autant plaisir.

    Il faut rendre le conscient inconscient et vice et versa.

    La technique devrait venir sans y penser, pour laisser

    place aux émotions ou à l’envie pure et dure.

    Pour la suite, n’hésitez pas à poser vos questions

    et à réagir sur le forum Sexe de JOUI12R.
    Vous pouvez y poster sous couvert de l’anonymat

    pour les plus timides d’entre vous.

    Livre sur l’orgasme

    féminin et le plaisir

    A lire, « 267 techniques simples et efficaces

    pour devenir un vrai bon coup« , très bon coach

    en sexualité. Au programme : la position qui amènera

    à l’orgasme toutes les femmes clitoridiennes, comment être

    sûr de trouver son point G, les techniques efficaces

    pour retarder l’éjaculation, 10 astuces pour bien

    doigter une femme, comment l’amener à aimer la sodomie,

    10 endroits insolites pour faire l’amourdangereusement,

    20 trucs pour devenir un pro du cunnilingus, etc.

    Bref, vous saurez comment rendre votre copine

    accro au sexe étaillée

    Lisez aussi

    Comment draguer en boite

    Petites recommandations pour bien draguer en boite,

    où tout est différent. En boite, on ne drague pas pareil

    que "dehors" : les filles sont à la fois davantage prêtes

    à faire des rencontres, tout en étant sur leurs gardes

    en raison[...]Salut à tous les lecteurs de JOUI12R !

    Une fois n’est pas coutume, je vais écrire un article

    sous un angle un peu plus personnel, j’espère que vous

    ne m’en voudrez pas de vouloir partager

    avec vous mes réflexions :) Vous le savez[...]

      • i!i!i!

        Comment faire des rencontres, comment séduire et comment aller plus loin avec les filles qui vous plaisent... JOUI12R

         

         regorge de milliers de conseils, mais dans cet article, je vais résumer ce que vous avez  de besoin de savoir : les trucs[..

         

         

         

         

         

         

      •  

         

     
     
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  • Déborah, belle brune..., dont Elle est depuis six ans avec Frank, et ont une entente parfaite sexuellement,
    faisant parfois l'amour une grande partie de la nuit. Déborah adore le sexe.
    Cependant, depuis quelque temps, après avoir joui ensemble une paire de fois, il lui
    arrive de finir sa femme en la suçant ou en la masturbant.
    "Ce n'est que passager pense-t-elle. Je ne vais pas prendre un amant pour çà. Je suis
    fidèle et je le resterai"
    Sylvie, sa copine, est une plantureuse blonde... Une beauté. SI elle
    était lesbienne, c'est avec une fille comme çà que Déborah pourrait faire l'amour. Ce vendredi, Sylvie a pris son après midi pour se rendre chez sa mère malade.
    N'ayant que deux cours a traiter, Déborah décide elle aussi de prendre son après midi
    et quitte le lycée à quatorze heures. A quatorze trente, elle arrive chez elle.
    Une fois chez elle, elle se dirige vers la salle de bain, passe un peignoir, et repart vers
    le salon. Là son attention est attirée par des bruits venant de la chambre, dont la porte
    est restée entrouverte. En fait, ces bruits sont des gémissements, des plaintes, des
    petits cris même.
    Elle s'approche pour jeter un coup d'oeil, et là, le choc. Sylvie, sa meilleur amie est allongée sur le lit, entièrement nue, les jambes écartées, et Frank, son ami, en train de la pénétrer.
    Son sang fait qu'un tour. Que faire. Elle ne peut pas laisser passer çà. D'autant plus que çà 
    explique les pannes sexuelles de son copain.
    Elle rentre comme une furie dans la chambre.Frank fait un bond de l'autre côté du lit les
    mains sur la tête.
    -Calme toi chéri, dit-il, c'est pas ce que tu crois. C'est un malentendu.
    -Sors d'ici, salaud, hurle Déborah, je vais m'occuper de ton malentendu
    -Viens ici toi, dit-elle a Sylvie, tu étais en train de te le faire mettre, sale pute.
    Sylvie essaie de prendre le même chemin, mais Déborah la saisie, par les cheveux et la ramène sur le lit. Au passage, elle lui met deux gifles. S'engage alors une lutte farouche,
    pas pour se crêper le chignon, ni se sortir les yeux, mais chacune voulant se maîtriser.
    Et à ce jeu, Sylvie semble plus calme et plus sereine. Elle évite avec assurance les coups
    envoyés par Déborah, dont le peignoir c'est complètement ouvert. Elle se retrouve sur le ventre de Sylvie, seins contre seins
    Sylvie, toujours aussi calme, glisse une main entre les cuisses de Déborah, jusqu'à sa chatte, et d'un doigt lui caresse le clitoris. La surprise est telle que Déborah se trouve
    paralysée.
    -Qu'est-ce-que tu fais, s'exclame-t-elle, lève ton doigt.
    -Chut, chut, répond Sylvie, calme toi ma chérie, tu vas voir comme je vais te faire du bien.
    De sa main libre, Sylvie attire le visage de Déborah vers le sien. Les deux femmes sont lèvres contre lèvres. Sylvie glisse sa langue, et contre toute attente, Déborah entrouve
    ses lèvres pour recevoir le baiser. C'est maintenant avec fougue que les deux langues 
    se cherchent..
    Sylvie fait basculer Déborah et la couche sur le dos.
    -Laisse toi faire, lui dit Sylvie, je vais te faire l'amour.
    Sylvie couchée sur le côté, a rentrée l'index et le majeur dans la chatte de Déborah, et, du pouce lui frictionne le clitoris, complètement sorti de son capuchon. Déborah a la chatte
    toute mouillée et toute excitée.
    -Mon dieu dit-elle qu'est-ce-que c'est bon, vas y, je t'en prie, tu me fais jouir oui ouiiii.
    Tout en la branlant,Sylvie lui suce le bout des seins.
    -Tu as aimé, petite salope, tu as vu comme je t'est faite jouir. Tu t'es régalé, je t'ai bien
    doigter. Cà y est tu devenu bi. On pourra s'amuser maintenant au bureau quand ont
    aura du temps de libre.
    -Qu'est-ce-que tu m'as fait du bien, chérie il y a un moment que je n'avais pas joui
    comme çà. Quel orgasme. Pour le bureau, le temps on le trouvera.
    Sylvie prend la tête de Déborah, et l'embrasse goulument.
    -Je te laisse, lui dit-elle, je pense que tu as un problème à régler avec ton copain. Tu as de
    la chance, Déborah, il baise comme un dieu.
    Une fois Sylvie partie, Frank s'aventure dans la chambre pour parler à sa femme toujours couchée sur le lit.
    -Hors de ma vue, lui dit-elle, et écoute bien, Demain soir on a un soirée. Ne t'étonnes pas
    si je ramène un homme à la maison pour me faire baiser, et devant toi. Tu as intêret
    d'obéir.
    Le lendemain soir, Déborah met une tenue vestimentaire de sa propre ligne de vêtements.
    à faire bander un mort.
    -Mais c'est pas ton voisin qui s'avance vers nous, dit-elle. Toujours aussi charmant
     On va l'inviter à prendre un verre à la maison après. C'est Jean,
    je me trompe pas.
    -Non Déborah, pas çà, pas lui, prit-il, tu vas me faire çà?
    -Tu n'est pas trop bien placé pour posé tes conditions, dit-elle. Ce soir je m'offre à lui, il
    pourra faire de moi ce qu'il veut. Mon corps lui appartient.
    -Bonsoir mes amis, vous êtes toujours autant ravissante, mes demoielle. Quelle chance Frank.
    -Merci, répond Déborah, justement on voulait vous inviter à prendre un verre à la maison.
    -Mais avec plaisir, poursuit-il, qu'en vous voulez.
    -Allons y de suite, reprend Déborah en prenant Jean par le bras. Allez viens Frank, tu conduiras. Je passerai derrière avec Jean.
    Au début, Jean ne comprend pas trop, Frank chauffeur, bizarre. Il commence a comprendre quand la main de Déborah ouvre sa braguette et lui sort le sexe. En un rien de temps sa
    queue en érection est avalée par la bouche de Déborah. Jean commence a avoir des
    sursauts de plaisir.
    -Mais Déborah, on a rien pour s'essuyer, fait-il
    -Ne vous en faites pas, je vais tout avaler, et en prime, je vous nettoierai le gland avec ma
    langue.
    Jean n'en peut plus, il envoie son sperme dans la gorge de Déborah en gémissant de
    plaisir.
    Elle a fait ce qu'elle avait dit. Frank, au volant a tout entendu et des larmes coulent sur ses joues.
    Ils arrivent à la villa. Déborah est en pleine forme.
    -Allez Frank, sert nous a boire,commande Déborah..
    Frank ramène les glaçons et se fige en entrant dans le salon. Au milieu de la pièce, debout et tout nus, Déborah et Jean s'embrassent passionnément. On peut même voir leur langue
    se nouer entre elles. Déborah tient la queue de Jean et la branle doucement, partant du
    gland jusqu'au couilles. Elle a mis un pied sur une chaise pour bien donner accés a sa
    chatte. Jean la fouille sans retenu. Déborah commence a gémir. Elle tire Jean par les couilles, et l'amène vers la table. Elle s-y allonge dessus, écarte les jambes. Jean plonge sa tête entre les cuisses de Déborah.
    -Vas y Jean, bouffe moi la chatte, oh putain, passe bien ta langue sur mon bouton, vas y
    que c'est bon. Viens voir Frank ce qu'il me fait, comme il me suce bien. Allez, viens chéri
    déshabille toi.
    Frank enlève ses habits et s'avance vers la table, la queue en érection.
    -Quelle queue, çà t'excite de voir ta copine baisée par un autre homme. Fait moi plaisir
    prend le par la queue et demande lui de me baiser.
    Frank comme un automate, saisit la queue de Jean et la guide jusqu'a la chatte de ta salope.
    -Allez y, baisez cette salope, elle en a envie, et moi aussi. J'aimerai bien la voir niquer par un autre.
    Jean pénètre Déborah jusqu'a ce que ses couilles heurtent sa chatte.
    -Oh mon dieu glousse Déborah, vas y Jean, nique moi, profond, s'il te plait. Frank, approche
    viens en profiter.
    Elle saisit la queue de son mari et l'enfonce dans sa bouche.
    -Toi aussi elle est dure, et les couilles bien pleines. Vas y branle toi dans ma bouche, tu
    aimes quand je te suce hein, allez régale toi, envoie moi tout dans la gorge, et toi aussi
    Jean tout dans la chatte. Vous allez voir je vais vous les vider vos couilles à tout les deux.
    Frank joui le premier.
    -Han,hanhanouiou vas y, pipe salope, avale ha ha.
    -Moi aussi je viens , enchaine Jean. Tu sens ce que je t'envoie dans la chatte, petite pute.
    oua, tu as vu comme j'ai baiser ta femme, tu es cocu maintenant..
    -Oh oui ,je joui ,tu m'as eue Jean, salaud, vas y bourre moi. 9à c'est de la baise, oh putan
    vous m'avez remplis de sperme de partout.
    Jean est toujours dans le corps de Déborah, on le voit qui se crispe, qui pousse des 
    petits cris.
    -Mais tu crache encore, fait remarqué Déborah, c'est un vrai réserve, Tu te vide hein mon salaud. Vas y te gène pas, j'irai me doucher après.
    Une fois Déborah parti, les deux hommes, gênes se regardent.
    -A propos Frank,commence Jean, les promotions sont en places. Voulez vous passer
    à lundi.
    -Bien sur, répond Frank, j'espère avoir de l'avancement.
    -Surtout si ta salope se montre coopérative.
    La dessus Déborah sort de la douche nue.
    -J'espère que vous avez encore des ressources tout les deux. J'ai envie de me faire
    niquer toute la nuit.

    Apparemment, c'est une nuit hard qui s'annonce.

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Enfin je suis en vacance. Enfin je retrouve les lieux de mes exploits. Dès que je suis en bord de mer je vais me jeter à l’eau. Comme mon coin est toujours désert, j’en profite pour être nue, comme j’aime: tant pis pour les autres, s’ils ne sont pas contents, ils n’ont qu’à changer de place. 
    J’ai eu tord de me jeter dans cette eau froide: malgré le soleil, le cers que les ignares assimilent au mistral ce vent désagréable a réussi son coup: je me gèle. Le seul moyen est de me mettre à l’abri d’une petite dune. J’y cours après avoir récupéré ma serviette. Ouf enfin la chaleur. Je me retrouve tartinée de crème solaire. A coup de pile et face, je m’expose partout. 
    L’ennui commence à venir, j’ai eu tord de ne pas venir avec une bonne copine (ne croyez pas qu’il y a des cachotteries entre nous). Je me retrouve comme en salope jeune fille. Je sens ma boule dans le bas ventre alors que ce matin je me suis masturbée. Je sens mon sexe demandeur d’autres caresses. Un coup d’œil à droite, un autre à gauche: personne. Je peux écarter les jambes, y mettre mes deux mains, sortir le bouton de sa cache. Je le mouille avec de la salive, je le sens gonfler encore. J’aime le sentir sous mes doigts. Dès que je le caresse un peu il me semble gonfler encore. Je me branle maintenant avec mes fantasmes: je me vois entourée de 5 garçons qui veulent me baiser. Je n’ai rien contre, au contraire. Il me semble les sentir le premier dans mon sexe, l’autre dans ma bouche le troisième est dans mon cul et je branle des deux autre. Si ça pouvait être vrai. Je reste sur ce souhait en jouissant. 
    J’essuie ma fente à cause du trop plein de cyprine. J’ai bien joui cet après midi. Je sens que je le referais tout à l’heure dans mon lit, à moins que sous la douche…….
    A l’hôtel je monte vite dans la chambre, me mets nue à nouveau. Je file sous la douche. Je rince d’abord mes cheveux. L’eau coule sur mon corps. C’est agréable cette sensation de caresse que donne cette eau chaude. J’écarte encore les jambes je ne me pose plus de question: cette fois je reprends ma rêverie: ces 5 hommes ont changé de bites: elles sont plus grosses que tout à l’heure: il me semble que j’ai le cul enfoncé par une queue d’âne. Je sens au fond de mon ventre l’éjaculation de ce type. 
    L’heure tourne, je suis bien forcée d’aller au restaurant: presque plein qu’en j’arrive. Je suis placée à une table restante, la seule, d’ailleurs. Bien sur arrivent d’autres personnes, entre autre un gars qui ne me déplaît pas du tout. Un type au langage très xxl... J’aimerai qu’il soit près de moi. Le garçon doit entendre ma prière; il me demande d’accepter à ma table un autre hôte. J’accepte bien sur. 
    Quand il s’installe, il me demande de l’excuser de son intrusion. Il est pardonné déjà. J’ai envie de lui, comment arriver à mes fins? C’est simple à dire. Enfin c’est lui qui me cherche, à la façon d’un Apollon qu’il est. Il me complimente longuement en me détaillant. Il me ferait presque rougir.
    Il cesse de parler pendant que nous dégustons un très bon repas accompagné des crus des Corbières. Il me semble être comme un oie après le gavage. Lui est en pleine forme. Il m’invite à passer un moment dans une boite voisine. Nous n’y restons qu’un instant: l’ambiance est négative.
    Nous nous promenons: il prend ma main que j’abandonne. Il la passe ensuite sur ma taille. Il y a longtemps que personne ne m’a touchée là. Je le laisse faire en m’appuyant contre lui. Il nous arrête: sa bouche se pose sur la mienne. De sage, son baiser tourne vite à l’outrage aux bonnes mœurs. Nos langues se connaissent enfin. Il me colle contre lui. Je me laisse faire tout en appuyant mon bas ventre contre lui. S’il ne comprend pas je suis une sotte. Je sens se développer sa queue contre mon ventre. J’aurais pu la toucher: je n’ose pas comme une pucelle. Par contre lui ne se gêne pas; il me touche à peine la poitrine, ses mains descendent vers ma chatte. Vite qu’il la touche, vite qu’il me fasse des machins que normalement nous ne devrions pas faire. Il commence les machins quand il soulève l’arrière de ma robe: il y cherche ma raie fessière. Un seul doigt descend vers le bas: il cherche ma chatte à l’envers. J’ai bien écarté les jambes quand il trouve enfin le clitoris. Il me branle à sa façon: ce n’est pas celle que j’aime, pourtant il me fait jouir rapidement. J’essaie de rendre la politesse: je n’arrive pas à sortir sa queue. Il laisse tomber me robe, me reprend par la taille: nous partons vers l’hôtel. Il prend sa clé: juste à coté de la mienne. Pour ne pas être obligée de redescendre je prend la mienne aussi. 
    Il ouvre à peine sa porte quand il m’embrasse encore comme si j’allais me sauver. J’ai toujours envie de lui. Nous sommes presque au pied du lit. Il abandonne ma bouche pour se consacrer à ma mise à mort, enfin il me déshabille avec dextérité. Je ne peux que défaire sa ceinture: le reste lui appartient. Il est vite nu. Quelles tablettes de chocolat, quels muscles et qu’elle bite. 
    Contre moi encore, je sens maintenant tout son corps et sa bite bien dure. Il est comme moi, il a envie de baiser. Je voulais le branler un peu: je n’ai pas le temps, il me couche sur le dos au bord du lit, les jambes près du bord. Il se met à genoux pour m’honorer à sa façon: c’est sa langue qui opère. Il ne fait rien que je ne connais déjà, sauf qu’il a la manière en plus. Il sait exactement quand il doit me laisser jouir, quand il faut changer d’endroit. Bref il la passe partout dans la chatte. J’ai commencé à frissonner deux secondes après le premier contact, je fini de le faire quand elle quitte. Entre temps j’ai joui je ne sais combien de fois, surtout quand il m’a introduit la langue dans l’anus. 
    Il arrêterait maintenant que j’aurais eu ma dose. Lui n’a pas joui, il veut aussi sa part. Il me fait mettre au milieu du lit. Je suis sur le dos, les jambes ouvertes comme s’il ne connaissait pas mon sexe. Il vient près de moi, embrasse ma poitrine, fait bander encore mes tétons. Mon désir reprend. Mon sexe le demande. Comment il va s’y prendre, comment il va me prendre. Je me pose des questions ridicules. Il vient sur moi, ses jambes entre les miennes que je noue autour de lui. Il est très lent à venir. Je le sens enfin juste à l’entré de ma grotte. J’attend une entrée brusque. Il est d’une douceur extrême: il doit mettre plus d’une minute pour entrer son mandrin. Par contre une fois dedans, il n’en sort plus même pendant les aller et venues. Je le sens dans mon ventre, comme je sens ses couilles. La vache, il me fait encore jouir. Il accélère son allure; je pense qu’il va éjaculer. Pas du tout. Il est dur à la jouissance. Alors il me tourne sur le ventre. Il est encore entre mes jambes. Je sens sa queue contre mon anus. Il ne va pas l’enculer, je n’aime pas trop ça. Il me mouille l’entrée avec sa salive, il me mouille beaucoup. Quand il pose sa pine sur le rectum je la sens bien sur, il écarte mes chairs sans me faire mal, au contraire. Quand il est à fond dans mes boyaux, je ressent pour la première fois de ma vie un étrange bien être en moi. Je connais cet état; il va me faire jouir du cul. C’est vrai, je jouis différemment mais je jouis. Je ne pensais jamais jouir ainsi.
    Il jouit aussi; je sens sa queue avoir des soubresauts dans mon postérieur. Quand il sort, je me retiens pour ne pas le sucer. 
    Nous restons un bon moment sans rien faire, uniquement des baisers. Nos bécots entraînent inévitablement son réveil: sa bite reprend une forme normale pour un couple nu dans un lit. Il me caresse encore la chatte. Je lui rend la même chose, je prend sa bite à pleine main pour le branler. Elle est dure, pleine de veines apparentes, avec un beau gland violacé. Elle me plaît autant dans mon ventre qu’entre mes doigts. Et si j’essayais de la goûter. Je me tourne pour la sucer. Il en profite pour passer sous moi, prendre encore ma chatte dans la bouche. Je sens sa langue dans mon intimité avant que je l’ai dans ma bouche. Je prend son gland violacé dans la bouche: je trouve qu’il est doux de ce coté. Il gémit quand je l’ai au fond de ma gorge. Mes lèvres l’entourent comme le ferait ma boite à jouissance. J’ose même lui entrer deux doigts dans le cul. Je suis déchaînée. J’ai pris ses couilles dans une main, j’occupe entièrement son bas ventre. Il est à moi pour le moment. Il m'a fait jouir sans cesse, j’arrive à lui faire cracher le sperme enfin. Il jouit comme s’il n’avait pas éjaculer depuis de longues semaines. Il remplit ma bouche. Je peux déguster sa semence un long moment. 
    Nous reprenons un positions normale. Il me félicite pour mes capacité: pour lui c’est rare de trouver une fille comme moi. Pour moi c’est rare de trouver un baiseur pareil.
    L’après midi nous allons dans mon coin, l’eau est froide. C’est un bon prétexte pour baiser encore, nu, dans la nature, devant la mer. Que demander de mieux pour la durée des vacances...

    ...Ps''''''''  3,tu ne sais pas qu'est-ce que tu rate?  découvrez-vous....on n'y vas... 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  •  Je me souviens de mon départ du village, ma nounou Annie. C’était hélas il y a longtemps, c’est un souvenir marquant. Presque tous les ans mes parent « m’expédiaient » chez ma nounou. Elle me comblait de petits cadeaux, de diverses choses que j’aimais... est arrivé le temps de mes premières masturbations, précédées d’une émission nocturne, la première, en plus chez elle. Je me souviens encore du réveil en pleine nuit, la petite bite bandée qui giclait encore une dernière goutte, pendant que je finissais de déguster ma première jouissance. Je me suis vite rendormi. Le matin j’étais honteux de ce qui m’étais arrivé. Je me demandais ce que je devais dire ou taire. J’ai préféré ne rien dire, il me semblait honteux ce qui m’était arrivé. 
    Annie en faisant mon lit a bien du s’apercevoir que j’avais déchargé dans les draps. Elle ne m’en a rien dit: elle a simplement changer les draps pour faire une lessive. Brave Annie. 
    Je me souviens que je prenais l’habitude que je conserve encore de me branler. Pour ne pas laisser trop de traces, je jouissais maintenant dans un mouchoir, sauf si je prenais un bain, j’adore les bains ou je lavais mon corps en général et ma bite en particulier. J’étais presque entièrement dans l’eau chaude, ma main autour de ma petite bite, petite même bandée. Ma main faisait ce que font toutes les mains des garçons de mon âge. Evidemment je le faisais deux fois, une première fois d’urgence dès que je mettais un pied dans la baignoire. La suivante fois c’était avant de sortir: je préférais cette deuxième branlette qui durait longtemps. Je me régalais de jouir, et de voir mon sperme flotter sur l’eau.
    A chaque grande vacance, je revenais. Puis vint l’année... J’étais grand, j’avais du poils au pattes, je me sentais un homme. Pour moi c’était une jeune chienne en chaleur. Comme souvent je me branlais dans ma chambre. Seul détail, j’avais oublié de fermer la porte. J’étais pratiquement nu, ma main pleine de ma queue. Je ne sais même pas si je fantasmais. Je sais que je sentais mon plaisir venir, j’arrêtais souvent pour ne pas jouir de suite. J’ai senti une main, celle d’Annie qui remplaçait la mienne. J’ouvris les yeux: elle regardait ma bite en souriant.
    - Laisse moi faire, tu jouiras bien mieux.
    - Et après?
    - Après je t’apprendrai ce que tu ne sais pas.
    Ce que je ne sais pas, à mon âge je savais comment étaient les hommes et les filles, je savais que ma bite devait aller dans un con. Je savais que ça faisait du bien.
    Elle m’a fait jouir mieux que moi. Pendant qu’elle partait finir son ménage je me rhabillais lentement. Je ne connaissais pas la suite, j’espérais qu’elle n’en parle pas à mes parents, qui sait. Au repas le soir, elle bavardait comme si de rien n’étais. Au moment du dessert elle s’est levée, a ouvert son peignoir, elle était nue dessous!!! Ma première femme nue, défraîchie sans doute, mais une vrai femme. Je voyais sa poitrine un peu tombante, son ventre et surtout sa chatte poilue. 
    - Approche petit, viens toucher, viens caresser mon con.
    - Je n’oses pas.
    - Tu dirais ça à une fille qui se donne à toi? Non, alors, viens me caresser, sinon je ne te branles plus. 
    Je bandais comme un taureau, je m’en souviens comme si c’était hier. J’avais mal à la bite, pourquoi il fallait que j’aille lui caresser la chatte? Elle pouvait bien me branler encore. 
    J’étais obligé de faire ce qu’elle voulait. Debout près d’elle j’ai le regard fixé sur ce sexe de femme. Elle laisse tomber son peignoir, nue, maintenant elle m’entreprend. 
    - Déshabille toi, toi aussi, n’ai pas honte, je t’ai vue petit nu je ne sais combien de fois et tout à l’heure je t’ai fait jouir, même que ton sperme est venu sur moi. Allez, presse toi. 
    Elle me bouscule alors que je pensais que l’amour était plein de douceur. Elle prend ma main droite, la pose sur ses poils, la fait descendre vers son sexe humide. Elle prend deux doigts qu’elle pose sur un petit organe, son clitoris. 
    - Caresse le, doucement, sans appuyer. Je sens qu’il grossit comme une petite bite. Plus il grossit plus Annie gémit. Arrive un moment ou elle me demande d’appuyer un peu plus: dans les secondes qui suivent je la sens se crisper:
    - Salaud, tu m’a fait jouir. Suce moi maintenant.
    Elle colle ma figure sur son con, je sens des odeurs inconnues, excitantes. Je retrouve l’engin que je lèche: son goût m’excite encore plus que cette odeur de femelle. Elle est appuyée sur la table, les jambes écartées, ma bouche posée sur elle. Ma langue lui fait du bien. Je suis tellement excité que je commence à me branler, tant pis pour elle, elle l’aura cherché. 
    Pas question que je jouisse seul. Elle a un orgasme plus fort que tout à l’heure. Cette fois elle s’assied sur une chaise, me fait appuyer sur la table. Je la regarde avec curiosité quand elle me prend dans sa bouche. Le premier contact de sa langue sur ma queue, l’entrée dans sa bouche ouverte. Les va et vient: elle a pris ma bite jusqu’au bout, je sens ses lèvres contre mon pubis. Ses joues sont pleines de ma queue. Je suis écroulé de plaisir. Il me semble trembler: quelle jouissance, quel orgasme inconnu. Je ne me doutais pas qu’une simple femme donne tant de plaisir. Elle accompagne sa fellation d’autre caresses sur les couilles, un doigt visite mon cul pour s’y loger un instant: elle me fait jouir. C’est bon avec son doigt dans le cul. Je ne pensais jamais jouir ainsi. 
    - Maintenant tu vas te coucher, nous recommencerons demain ou alors cette nuit, si j’ai envie de jouir.
    - Maintenant je ne peux pas: je débande.
    - Tu l’aura voulu.
    Elle m’embrasse sur la bouche, sa langue vient contre la mienne. Nu comme je suis, je commence à bander un peu. 
    - Attends, allons dans la chambre, je vais te montrer des détails que tu ne connais pas.
    C’est vrai je ne connais pas ce qu’elle se fait: couchée les jambes bien ouvertes à ma vue, je vois toute sa féminité de son cul à son clitoris. Elle passe une main rapidement comme pour chercher quelque chose. Elle arrête vite sur son clitoris. Avec deux doigts elle caresse ce bouton. Elle soupire jusqu’à crier en jouissant. Elle n’arrête pas ainsi, elle se met un engin dans le con. C’est un godemichet qui ressemble à ma bite, elle le rentre directement dans le puit. Elle le fait aller et venir. Elle demande ma bouche pour l’embrasser. A mon tour d’entrer ma langue. Je vois du coin de l’œil sa main guidant l’engin. Elle le sort. Je pense qu’elle a fini, pas du tout, elle le rentre dans son cul. Elle s’encule seule, avec moi à ses coté. Ma bite a vite repris son aspect civilisé: elle bande.
    Annie la voit, elle arrête sa sodomie pour me demander de la baiser. Je suis d’une maladresse extrême. Elle fini par prendre la queue dans sa main. Elle pose la bite sur son vagin, appuie juste un peu. Je me sens aspiré par son ventre. Qu’elle impression de bonheur, de jouissance, de plaisir. Elle commence la danse de l’amour: elle me fait glisser en elle. Ma bite vit dans un paradis, humide et chaud. Je m’y sens bien à l’aise et pourtant je la sens autour de moi, entièrement, c’est moi le prisonnier. Mais que c’est bon. Hélas tout a une fin: je jouis comme jamais. Je sens mes spasmes accompagnés des siens. J’ai joui, elle a joui. 
    Elle me veux encore: elle me suce une autre fois, me demande de la sucer aussi. Nous sommes en 69. Le premier, pas le seul de ma vie. Elle lèche tout le sperme que j’ai autour de ma pine. Elle arrive surtout à me faire bander à nouveau, à mon âge c’est parait-il normal.
    - Viens me la mettre au cul.
    - Maintenant?
    - Oui, j’en ai besoin, tu vois j’aime tout, surtout dans le cul, souviens-t-en pour les autres filles, elle refusent souvent et quand elle y goûtent elles adorent.
    Elle se tourne, écarte les fesses: je vise le trou noir que je vois. Ma bite est assez dure. J’entre en elle assez facilement. Elle aussi se donne du plaisir avec le gode. Je le sens à coté de ma bite. Je sens surtout ses jouissances et la mienne en dernier: j’ai du vider mes couilles. 
    Hélas, tout a une fin: je dois rentrer chez moi. La veille nous avons fait l’amour plusieurs fois, elle est même venue sur moi pour se la mettre au cul. Ce matin, avant de partir, nous ne pouvions baiser, alors elle m’a sucé une dernière fois. La prochaine est dans un an. Qu’elle leçon de choses elle m’a donné. Depuis je ne l’ai jamais oubliée, surtout pendant mes masturbations. 

     

    L’année suivante je suis retourné chez mon ancienne nounou, Annie. Il me tardait d’arriver pour baiser. Elle m’avait tout appris, il ne me tardait que d’une seule chose, quelle me branle avant tout. Ma bite était celle d’un adolescent de 17 ans, pratiquement celle d’un homme. 
    Je n’avais jamais pu baiser une de mes camarade de classe, sauf rapidement une fille dégourdie qui ne cherchait qu’à faire du « chiffre » en amant. J’en avais été déçu, même si elle m’avait fait jouir normalement. 
    Maintenant j’avais libre cours pour mes désirs: je voulais l’enculer à nouveau: son anus me plaisais dès cette seule fois. Je m’y étais trouvé bien logé, bien serré, mon sperme avait plus de place là que dans sa chatte. 
    Dès que nous étions dans la maison, seuls, elle m’embrassait sur le bouche. Cette fois c’est ma langue qui entre dans la bouche. Elle pose sa main sur ma bite: je bandais déjà. A mon tour, je pose ma main sur sa chatte: je ne sens pas de sous vêtement. La garce a prévu le coup. Elle aussi doit avoir envie de moi. Elle me le disait bien que je bandais comme il faut, que je la baisais vite. 
    Elle commence à me déshabiller, comme les autres fois, depuis que je suis petit. Je me laisse faire: ma queue se dresse comme un mat devant moi. J’ai envie de jouir. Pas question maintenant: il faut ranger mes affaires dans l’armoire: comme elle reste près de moi pour me surveiller, je range comme je peux, nu de la tête aux pieds avec ma bite qui ballote. De temps en temps elle caresse une fesse. Elle va même jusqu’à passer un doigt dans la raie fessière. Je la laisse faire: tout ce qu’elle prodigue est formidablement bon; même si le doigt caresse l’anus pour y entrer un tout petit peu.
    Enfin j’ai terminé. Nous ne sortons pas de ma chambre qu’elle aussi est nue. Elle s’allonge sur le lit, les jambes ouvertes. Sans pudeur elle fait ce que j’aime la voir faire: sa main caresse le clitoris. Son ventre se creuse quand le plaisir arrive: elle arrête tout ce qu’elle fait. Dès qu’elle est calmée, elle recommence. Quand elle jouit je ne me retiens plus, je bande trop: je me branle et jouis en quelques seconde sur son corps. 
    - C’est bien mon petit, c’était bon pour moi. Et pour toi?
    - Oui, mais trop rapide. 
    - Nous allons recommencer après manger, tu verra. Ne t’habille surtout pas: je vais te bouffer la queue. 
    En guise de bouffe de queue c’est un vrai repas de fête qui nous attend. Il commence par un concombre assez gros: il n’est que pour elle. Sa chaise est poussé assez loin de la table, elle y pose ses talons, le concombre lui sert de gode. Je regarde la pénétration du légume dans son ventre. Pour accentuer son plaisir elle pose deux doigts sur son anus. Je les vois entrer dans le cul facilement. Sa tête ballote dans tous les sens; elle gémit de plus en plus fort. Son regard est toujours sur ma bite que je caresse devant elle. Le concombre entre et sort de plus en plus vite: elle se régale, allant jusqu’à crier son plaisir. J’éjacule sur la table, dans les assiettes, sur la nappe même dans un verre. 
    Elle sort le légume de sa chatte pour le changer d’endroit: elle écarte bien les fesses, ouvre son anus comme rarement et entre lentement le bout du concombre. C’est un spectacle que je n’ai jamais vu. Elle arrive à le rentrer en entier, et même, je ne croyais pas ça possible, le mettre tout entier dans son cul. Je me demande comme elle va le faire sortir: d ’une seule poussée, comme si elle allait au gogues, le légume ressort. Il ressort en la faisant jouir. 
    Je ne pensais jamais qu’elle soit si débauchée. Elle n’insiste pas quand je refuse de manger comme elle le concombre.
    Nous prenons un repas rapide, elle m’emmène dans sa chambre. Nous nous couchons, elle me caresse, je lui rend ce qu’elle fait. Quand elle prend ma queue pour la masturber un peu, je maltraite son clitoris.
    L’heure n’est pas à la masturbation. Elle vient sur moi, m’enjambe avant de se planter la bite dans le con. Je suis presque immobile, j’attends simplement les résultats de son gamahuchage. J’ai retrouvé son intérieur, son puit mouillé, agréable. Elle se fait mettre à fond. Je ferme les yeux comblé par cette femme âgée. Enfin je sens monter de mon intérieur un plaisir inouï. Avant moi, je la sens jouir. Je dois éclabousser tout son vagin avec ma semence. Pour l’après midi nous arrêtons là. C’est à cet instant qu’elle m’annonce la nouvelle, sa fille que je connaissais plus âgée que moi arrive tout à l’heure. 
    J’en suis peiné, je ne pourrait plus baiser avec ma nounou. 
    - Ne t’en fais pas; elle aussi aime baiser, tu devra satisfaire deux femelles en chaleur. 
    Moi, baiser deux femmes, je n’y arriverai jamais.
    C’est une fille hyper sexy qui arrive. 
    Même au lycée, les plus impudiques des filles sont plus vêtues: elle porte une jupe ras de la touffe, un chemisier transparent, des petites bottines lacées et…………c’est tout. La baiser doit être une rareté. Elle embrasse sa mère au coin des lèvres, à la limite un peu sur la bouche. Pour moi, aucun embarras, directement un baiser sur la bouche. 
    - C’est toi qui baise maman?
    - Oui, c’est elle qui me l’a demandé.
    - C’est bien, elle baise comment?
    - Pour moi très bien.
    - Moi aussi elle me baise bien. Si tu veux nous pourrions baiser maintenant à trois.
    J’ignorais qu’à trois on pouvait baiser, ça semblait normal aux deux femmes. 
    - Je m’appelle Sophie, comme celle de la comtesse. 
    Sophie vient m’embrasser mieux que sa mère. Elle prend ma queue pour la jauger: je bande pas mal:
    - Dis moi, tu bande bien pour un jeune de ton âge, tu dois faire du bien dans le cul. Mais avant je te veux dans ma chatte que tu suceras aussi.
    Elle s’allonge à coté de sa mère qui lui caresse les seins et tient une main comme pour la soutenir. Je mets ma tête dans ses jambes ouverte. J’y vois une chatte bien humide, rasée, avec de grosses lèvres très apparentes et en haut son clitoris qui bande déjà. Je ne cite que pour mémoire le petit trou bien sympathique. Je passe ma langue depuis ce petit trou vers son clitoris. Je goûte au passage sa cyprine; qui est moins forte que celle de la mère. Je m’attarde juste un peu dans le puit. Je chemine ensuite vers son cul. Là je lèche l’anus qu’elle entrouvre: le goût est différent, j’entre la langue le plus possible. Elle est l’objet de convulsions de jouissance. Sophie me prend par la tête pour que je remonte. Je survole son ventre et sa poitrine: nous avons les bouches soudées. Ma bite est juste là où il faut pour la satisfaire, pourtant c’est elle qui fait ce qu’il faut pour que je la baise. Ses bras m’entourent en me serrant fort. Je sens pourtant un doigt venir sur mon cul et y entrer. Mes mouvements de va et vient font que j’enfonce ce doigt dans l’anus: c’est drôlement bon. 
    Sophie jouit encore juste après moi. 
    Pour les deux femmes, la mère et la fille il faut continuer. J’assiste à un embrassement de sexe. C’est la seule fois de ma vie que je vois une mère et sa fille se faire l’amour, même si plus tard j’ai vu des nanas baiser entre elles. Ce n’est pas excitant, c’est hyper excitant. Je les vois se branler, se sucer en 69, se lécher les culs, les seins et tout ce qu’une femme peut avoir à être sucer. Je les regarde en bandant toujours. Elle m’offre deux culs, j’en profite. J’encule d’abord la nounou qui ne demande pas mieux de m’avoir dans le cul avec la langue de sa fille sur le clitoris. Dès que je sens sa jouissance je vais dans le cul de la fille. Avec elle c’est différent: son anus est plus étroit, plus jouissif donc. Je suis au paradis. Elle aussi certainement puisque elle jouit encore plusieurs fois. 
    Je sens que mon séjour va être différent, plus fatiguant mais récréatif. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Cette histoire s’est passée il y 3 années, elle est restée un secret entre son amie Sabrina et elle, je n’en ai connu l’existence que depuis peu.

    J’ai souhaité que ma Bernadette, vous raconte comment elle a été initiée, et très vite attirée par nos amis à quatre pattes.

    Petite blonde, mariée depuis un peu plus de deux ans, je fais la connaissance lors d’une soirée entre amis, d’une fille Sabrina, elle aussi en couple, sensiblement du même âge que moi, nous sommes toutes les deux petites et blondes….
    Le courant est très vite passé entre nous, c’est devenu très vite ma meilleure amie, elle est assez portée sur tout ce qui touche ou à un rapport avec le sexe, et nous sommes devenues assez vite amantes.

    Aujourd’hui, mardi, nous avons convenues de nous retrouver chez elle à quatorze heure, je me suis fait une beauté, jupe légère et assez courte, petit haut transparent sans sous vêtement, je suis pressée de la retrouver pour comme d’habitude, se donner du plaisir pendant une bonne partie de l’après midi, j’adore cette fille avec qui je passe une grande partie de mon temps.
    Ma copine est très souvent en manque de sexe, car son mari est absent toute la semaine pour son travail et il ne rentre la retrouver que pour le week-end.
    Je retrouve enfin Sabrina, nous nous enlaçons, et nous embrassons dans de sensuels et profonds baisers, nos langues s’enroulent, et nos mains vont à la rencontre de nos courbes avides de caresses.
    Le moment des retrouvailles passé, avant de rejoindre sa chambre et le lit qui est le témoin de nos amours torrides, nous nous asseyons chacune dans un canapé pour déguster comme souvent un bon café.
    Nous discutons de notre week-end, de nos amours avec nos conjoints, quand tout à coup, son chien rick, un genre d’épagneul, vient poser sa tête sur mes genoux.
    Ce chien lui a été offert par son époux pour lui tenir compagnie dans la semaine, il est très affectueux, et je lui caresse la tête, je ne sais pour quelle raison, aujourd’hui, rick met son museau entre mes cuisses qui sont légèrement ouvertes.
    Le moment de surprise passée, j’essaie de le repousser, mais la tête du toutou, est très vite arrivée à mon string, attiré sans doute par l’excitation de la femelle en chaleur.

    Je regarde ma copine d’un air interrogateur, elle a un petit sourire et me conseille, de me laisser faire et d’écarter mon slip, excitée, j’écarte alors un peu plus mes jambes, le chien me lèche mon entre cuisses avec sa langue râpeuse, ce qui me donne bien du plaisir et m’électrise la chatte à chaque coup de langue.
    Mon amie encourage son compagnon, par des allez vas y rick bouffe lui bien la moule à cette cochonne, le chien s’active de plus belle avec sa langue qu’il enfonce bien dans ma moulette qui coule de plaisir, je respire fort, transpire, et souffle, tant le plaisir qu’il me procure est intense.
    J’enlève ma culotte, j’ai les cuisses grandes ouvertes, avec mes mains j’écarte mes lèvres vaginales pour que cette appendice aille encore plus en moi, c’est moi maintenant qui l’encourage à bien me fourrager mon intimité.
    Je me positionne pour qu’il s’aventure un peu plus bas sur mon anus, cette langue sur mon petit trou me fait lâcher quelques petits cris tant le plaisir est intense.

    Sabrina se caresse le minou en nous regardant, le chien s’active toujours entre mes cuisses, mon amie positionne alors une couverture au sol, et me demande de m’agenouiller dessus, en posant la tête sur le fauteuil qui est devant moi.
    C’est en changeant de position, que j’aperçois la bite toute rouge de rick qui est bien sortie de son fourreau, et qui à ma surprise a une bonne dimension.
    Excitée et un peu perdu par ce qui se passe, j’hésite, et à la fois j’ai envie de me faire prendre par cet animal.
    Me voyant indécise, et assez surprise, Sabrina me conseille de me laisser faire, tu vas voir comme c’est bon de se faire sauter par un chien, le plaisir est intense, et lui, est rarement fatigué, de plus, tu verras, c’est un excellent amant.
    Ma compagne tape légèrement sur mes fesses, l’animal a tout compris, il saute sur mon dos en enserrant mon buste avec ses pattes avant.
    Il s’active avec vigueur pour me pénétrer avec sa tige effilée qui coule abondamment, sa maîtresse, positionne alors son vit à l’entrée de ma grotte toute suintante de mouille, que j’écarte avec mes mains pour faciliter cette pénétration que j’appréhende un peu.
    Je suis très excitée par ce que je viens de subir, mais quand même anxieuse par cette façon de faire l’amour que je découvre.
    Avec l’aide de mon amie, la pine qui n’est pas très grosse, mais assez longue a pénétrée vigoureusement mon sexe.
    Mon amant s’active à une cadence impressionnante, je pousse un cri à chaque pression de son pénis, contre le fond de mon utérus.
    Le rythme va en diminuant, je sens alors une boule qui grossit, les chairs de mon sexe se tendent, presque à me faire mal, un liquide chaud coule dans ma grotte, tout cela m’angoisse malgré le plaisir que je ressens.
    Mon partenaire est maintenant immobile, la langue pendante et le souffle court, un liquide chaud, coule toujours en moi, ma copine me rassure, en me disant que nous sommes accouplés pour quelques instants.

    Sabrina s’assied sur le fauteuil qui est devant moi, cuisses bien ouvertes, et me demande de lécher sa vulve qui est trempée de jouissance.
    Tout en la léchant, je mordille son clitoris et fais coulisser un puis deux doigts dans son sexe, la fille crie et m’encourage crûment à lui donner du plaisir.
    Pendant ce temps, mon amant s’est détaché, laissant échapper un liquide tiède qui coule sur mes cuisses, et qui est très vite absorbé par la langue de rick, qui va également nettoyer l’entre cuisses de sa maîtresse.

    Je me remets doucement de mes émotions, ma copine plaisante, et fini de se nettoyer, pendant que l’épagneul se lèche le sexe qui est toujours hors de son fourreau.
    Je suis toujours à genoux, le mâle se met alors à tourner autour de moi, la langue pendante, il me fait comprendre qu’il veut de nouveau me saillir, je n’en ai pas trop la force, quand Sabrina me demande de me positionner à quatre pattes, la tête à même le sol, les fesses bien cambrées.
    L’animal bondi sur mon dos et tente de me saillir une nouvelle fois, la bite tape contre mes fesses, Sabrina positionne la verge à l’entrée de mon petit trou.
    Elle sait que j’adore la sodomie, cette nouvelle pénétration, aussi intense que la précédente me fait de nouveau transpirer.
    La bête en rut se démène dans mon étroit canal légèrement lubrifié par l’excitation précédente, mon amie a fait obstacle à la pénétration de son nœud, de peur que se soit douloureux pour mon petit cul.

    Ma copine m’a avouée qu’elle se faisait prendre par rick depuis quelques mois et qu’elle avait souhaité me faire connaître cette forme de plaisir
    Nous avons continué à nous donner du plaisir en faisant quelques fois participer notre ami le chien qui nous donne des émotions et une satisfaction très différente. 

     

    Mon amie Sabrina m’a fait connaître comment prendre du plaisir avec nos amis à quatre pattes.

    Cette histoire que je vais vous racontée, s’est passée environ deux mois après la précédente.
    Un jour, après nous être aimées en compagnie de rick, qui nous donne une autre forme de plaisir, ma copine, m’annonce qu’elle voudrait connaître autre chose.
    Je la regarde un peu surprise, car je ne vois vraiment pas ce qu’elle veut dire.
    Elle me dit qu’elle a eu connaissance, que pas bien loin d’ici, un homme a dressé quatre très beaux berger allemand, dans le but de donner du plaisir aux femelles en chaleur, elle me fait part de son envie d’y aller voir.
    Malgré ma réticence à ce projet un peu fou, elle a bien vite fait de me décider à l’accompagner à cette escapade qui ne me parait pas très raisonnable.
    Elle a tout en sa possession, l’adresse et le nom du type, de plus, ce n’est pas très loin me dit elle, une trentaine de kilomètres, et si cela ne nous plaît pas, nous ne sommes pas obligées de consommer.

    Une semaine après, un peu anxieuses, nous nous présentons devant un grand portail en fer forgé, nous sonnons et nous présentons à l’interphone.
    La grille s’ouvre, nous roulons quatre cent bon mètres, et arrivons devant une bâtisse imposante, ou un homme assez grand, bel homme d’une cinquantaine d’années nous attends, dans ses yeux, je vois qu’il semble un peu surpris, il nous fait entrer dans une vaste salle très bien aménagée: moquette rouge au mur, de grands tapis au sol, plusieurs canapés et fauteuils genre gynéco , de grandes tentures rouge masquent fenêtres et portes, des meubles en bois sont disposés, ce sont des genre de chevalet qui ont diverses formes.
    Après nous avoir fait asseoir, il nous demande le but de notre visite, Sabrina lui fait part qu’elle a eu connaissance par une amie de chiens dressés, le type a un petit sourire, et nous dit que c’est exact, et qu’il est le propriétaire.
    Il nous dit que d’ordinaire il avait une clientèle un peu plus âgée, des jeunes femmes il en recevait quelques fois.
    Sabrina lui demande les tarifs, il nous regarde en nous disant que c’est gratuit, si nous acceptons qu’il participe, nous nous regardons avec Sabrina en souriant, et nous lui répondons un pourquoi pas, d’autant que le mec est attirant.
    Selon ses dires, il n’a pas besoin de cela pour vivre, il fait çà pour son plaisir, et surtout en donner à ses animaux.

    Après lui avoir fait part de nos attentes, il nous présente un genre de registre, dans lequel se trouvent des photos de chiens en érection, pour choisir lesquels nous voulons.
    Après avoir choisi, il nous demande de nous mettre en sous vêtement, pendant qu’il va préparer les deux chiens.
    Avec mon amie, nous nous regardons avec un petit sourire, nous sommes assez anxieuses de ce qui va suivre, d’autant que les mâles que nous avons choisis sont pourvus d’attributs bien au dessus de ce que nous connaissons. 
    Il revient avec deux molosses qui sont de toute beauté, des grands chiens assez corpulents, avec une crinière impressionnante, les deux bêtes nous regardent, comme s’ils avaient compris que nous allons devenir leurs chiennes.
    Le maître des lieux, nous fait signe de nous installer dans les fameux fauteuils « gynécologique », nos jambes surélevées, sont sanglées dans des étriers, les cuisses bien ouvertes, le bassin bien en avant, est à bonne hauteur pour nos futurs amants.
    Nous sommes positionnées de façon que notre chatte et nos fesses soient bien ouverte, je suis tellement excitée, que je sens ma moulette fondre de plaisir, ma jouissance coule sur mon anus.
    Les deux monstres sont à nos pieds, ils attendent le signal, leurs maître vient se rendre compte de notre état en introduisant un puis deux doigts dans notre grotte.
    Eh bien, c’est les mâles qui vont être content, dit il avec un large sourire, il porte ses doigts tout gluant à ses narines, en laissant échapper: les salopes elles ne vont pas être déçues de ce qui les attend.

    Il tape sur nos cuisses, et les deux bêtes se lèvent et se dirigent vers l’intimité des femelles.
    Le premier contact m’électrise, et me laisse échapper un cri, le museau bien ancré entre mes lèvres, je sens cette appendice qui s’active sur et dans mon petit trou, elle pénètre profondément ma minette qui pleure de plaisir, l’assaillant insiste sur mon clitoris qu’il râpe, c’est une vraie toile émeri.
    Mon amie à coté émet des petits cris, en encourageant son amant à aller plus loin et plus vite.
    Pendant un bon moment sous les caresses de nos soupirants, nous avons transpirées, criées, sous leurs assauts, le propriétaire, leur ordonne de se coucher.
    Les deux géniteurs, sont couchés, leur sexe tout rouge violacé est maintenant bien en évidence, d’une longueur et d’une grosseur qui me laisse pensive et qui m’angoisse.
    Il nous libère, et nous demande de nous installer sur un genre de chevalet bien rembourré, la tête bien en bas, les fesses assez relevées, les jambes sont bien écartées et sanglées pour qu’elles restent en position bien ouvertes.
    Une fois installé, le patron tapote nos fesses, et les deux mastodontes sautent sur notre dos, s’arque boutant, il enserre mon buste avec ses pattes avant, il m’embroche d’un seul coup, me faisant émettre un cri strident.
    Pendant un bon quart d’heure, il s’active violemment, venant buté à chaque poussé au fond de mon utérus, m’arrachant à chaque fois une plainte.
    Je ne sais plus trop ou je suis, ma tête tourne, je transpire et couine, mon vagin que je ne sens presque plus, coule de plaisir.
    Ma copine à coté de moi, est dans le même état, durant ce coït, elle n’a pas arrêtée de pousser de petits cris en encourageant son partenaire à bien la baiser.

    Les deux canidés, ralentissent le rythme, je sens mon vagin enfler, pendant qu’une liqueur chaude envahis mes entrailles, je suis soudée, mon partenaire, tire la langue et halète.
    Le maître profite de la situation pour exhiber un sexe de bonne dimension devant notre bouche, et nous ordonne de le sucer à tour de rôle.
    Cette bite est tellement épaisse, que j’ai du mal à la prendre en bouche, il pince alors mes narines, et l’enfourne, je manque à plusieurs reprises de m’étouffer.
    Les deux bergers se sont désunis laissant couler un foutre presque transparent, qu’ils nettoient consciencieusement avec leur langue.

    Après quelques instants de récupération, nous sommes de nouveau positionnées et sanglées sur un autre chevalet, pratiquement dans la même position, sur un signe de leur chef, les deux amants sautent sur le dos des femelles, et enfournent leur tiges d’un trait dans les entrailles, des deux filles qui sont sodomisées.
    Au début, les chairs de mon étroit canal sont martyrisées et irritées, je gueule, très vite emportée par un tourbillon que cette pénétration anale me procure, l’animal continue de m’embrocher, je sens son nœud, qui élargit mon anus, un élixir assez chaud coule dans mes intestins, des gouttes de sueur, et des larmes perles sur mes joues.
    J’ai joui une nouvelle fois avant que mon amant ne se détache.
    Avec mon amies, nous sommes exténuées, sur le chemin du retour, nous sommes comblées, un peu honteuses, nous sommes bien des salopes…. 

     

     

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