• Cette histoire commence à mon entrée à la fac, et je ne connaissais personne pas plus à la fac qu'a la ville. J'avais choisi d'étudier l'informatique, domaine très masculin que peu de filles arrive à supporter. Physiquement je suis assez rond je fais 1.80m pour 105kg mais on me donne toujours 15kg de moins surement à cause d'os assez lourds et des muscles (pas très visibles). Mon seul problème est ma timidité je n'arrive pas à aborder une fille sans bredouiller des mots qui n'ont aucun sens. Voilà pour la présentation.

    Le jour de la rentré je fus surpris du nombre de filles présentent dans mon groupe de TD il y en avaient quatre nombre exceptionnel pour une classe d'informatique. 
    Notre premier cours fut un cours de mathématiques très utile pour la pratique de l'informatique. Il était enseigné par le seul professeur féminin que nous aurions cet année, une seule peut être mais quelle prof, la trentaine blonde yeux bleus une paire de seins qui devait bien remplir son soutien gorge que l'on devinait noir a travers son chemisier blanc. Quand elle se retourna pour écrire son nom au tableau je pu constater que le verso était bien assorti au recto: un cul a faire damner un saint bien rebondi dans son pantalon taille basse qui laissait apparaître un string quand elle se baissait. Autant dire que tout les mecs de la classe restèrent scotché devant cette bombe.

    Les premières semaines de cours passèrent, mes camarades se rendant compte de ma timidité avec tout le monde me prirent comme tête de turc, on me faisait toutes les mauvaises blagues possibles. Je restait donc dans mon coin pour étudier commençant à gâcher mes plus belles années d'études.
    Jusqu'au jour où quelqu'un frappa à la porte, la prof de math ouvrit et fit entrer une jeune fille d'apparence timide mais d'une beauté extraordinaire. Elle était brune et avait un corps parfait.
    Il ne restait plus qu'une place dans la salle, a coté de moi elle s'y assit et commença a écouter le cours. A la fin du cours la prof de math nous appela tous les deux:

    Raoul pourrait tu t'occuper de Samia qui arrive de Tunisie et qui ne connaît pas trop notre pays.
    Je ne savais pas quoi dire à cause de ma timidité.
    Elle continua:
    Je vois que tu es toujours seul et a ton age ce n'est pas bon et ce service pourrait t'aider.
    Ok dis-je

    Nous sortîmes donc de la fac et prenant mon courage a deux main je réussi a parler un peu a Samia et lui donna rendez-vous le lendemain matin devant la fac pour notre première journée.

    Le lendemain la plupart des garçon essayèrent de prendre ma place de guide pour Samia mais pour une raison qui m'échappe elle refusa et préféra rester avec moi.
    Au bout de quelques jours notre prof de math nous appela et demanda à Samia comment se passait la découverte de la fac et des habitudes française. Elle répondis que tous se passaient bien et que j'étais un bon guide. En disant ça je remarquais qu'elle rougissait. La prof lui demanda de partir, je restais donc seul avec elle. Elle me dis:

    Tu vois ça se passe bien je vois même qu'il se passe des choses entre vous.
    Non répondis-je rapidement
    Pourtant elle a l'air de beaucoup t'aimer quel est le problème
    Je... Je suis trop timide pour ça
    Tu n'as jamais eu l'occasion de donner du plaisir a une fille
    Non
    Tu es trop mignon quand tu rougis je vais te donner ta chance avec elle
    Mais j'aurai trop peur de pas assurer
    Bon alors je vais t'aider. Je pourrai être virée si on apprends ça alors pas un mot.
    D'a...D'accord
    Viens et embrasse moi

    Je m'approchai et commença a toucher ses lèvres. Puis elle pris les choses en mains en mettant sa langue dans ma bouche. Je commençais a bander comme un âne, elle s'en aperçu assez rapidement et commença a déboutonner mon pantalon. Elle sortie mon sexe et fut étonné non pas par sa longueur qui est assez honorable mais par sa largeur. Elle commença a le branler tout en défaisant son chemisier pour me laisser voir ses gros seins. Elle pris ma main et la posa sur l'un d'eux. Voyant que je ne bougeait pas elle le sorti du bonnet et guida ma main. “Voila doucement pince un peu mes tétons”. Mon excitation était telle que je ne pu me retenir et commença a lui lécher ce téton qui avait grossit sous ma caresse. Son souffle s'accélère et elle s'agenouilla pour me prendre en bouche. Sa langue me procurait un plaisir infini quand elle chatouillait mon gland. Mais elle avait l'air d'avoir du mal a monter et descendre ma bite lui déformant la bouche.
    Elle du sentir que je ne serai plus long a venir car elle arrêta de me sucer et plaça ma queue entre ses seins et commença a la faire allé et venir. Ses seins étaient vraiment doux et fermes j'étais vraiment dans un autre monde Je ne pu me retenir plus longtemps et mon sperme fusa pour aller jusque dans sa bouche. 
    Elle pris un mouchoir m'embrassa et me dis:

    Pour une première fois c'est pas mal tu as bien tenu et la largeur de ta bite est un délice je suis impatiente de l'avoir dans le minou.
    C'était vraiment trop bon je suis vidé je ne pourrai pas faire l'amour avec vous.
    On va mettre les choses aux clair: nous ne ferons pas l'amour, on va baiser, il n'y aura pas de sentiments. Les sentiments ça sera avec Samia. On ne baisera pas ici c'est trop dangereux même si je vois que ça t'as excité à mort.
    On fera ça où alors ?
    Chez moi ça sera comme des cours particuliers. Mais il faudra être discret, je suis divorcée mais ma fille vie chez moi et elle n'a pas l'habitude de voir des jeunes hommes dans ma chambre.

    On se donna rendez-vous pour le lendemain soir. J'étais impatient de continuer. Je ferai tout pour guérir ma timidité.
    Pendant toute la journée du lendemain, je ne pensais qu'à cette future soirée et en arrivant le soir devant la porte de ma prof je commençais déjà à être excité. A peine la porte fut ouverte que mon slip faillit exploser. Ma prof avec un chemisier déboutonné jusqu'au début des seins et noué pour laisser apparaître un ventre nu et une mini jupe qui ne devait pas cacher grand chose de ses fesses.
    Elle me fit signe d'entrer et nous nous dirigeâmes vers le salon où sa fille de 18 ans travaillait sur son ordinateur. Les présentation faite ma prof dit à sa fille que je venais pour de l'aide en math et que pour ne pas la déranger nous allions travailler dans son bureau. Arrivé dans le bureau je me rendit compte qu'il servait d'antichambre et que derrière la deuxième porte se trouvait la chambre de ma prof.
    A peine arrivés dans la chambre elle m'embrassa puis me repoussa sur le lit et me déboutonna mon pantalon pour sortir ma large queue. “Je vais commencer par te vider pour que tu puisse mieux assurer la suite” me dit elle. Elle débuta sa pipe et sa bouche s'élargissait de plus en plus à cause de l'épaisseur de ma bite. Pour m'exciter encore plus elle enleva son chemisier laissant apparaître un soutien gorge bien remplit et approchat ses seins de ma queue. Ma bite était maintenant coincé entre ses seins et le soutien gorge. J'avais du mal à passer entre ces deux obus serrés et doux, entre deux va et vient elle me léchait le gland. Je ne pus me retenir plus longtemps et ma bite explosa envoyant une bonne quantité de sperme sur son visage.
    “Maintenant on va passer à la leçon” dit-elle. Elle se déshabilla complètement et je pus admirer son sexe rasé en ticket de métro. “Je vais te guider et tu vas me faire un cunni”. Elle était déjà mouillée et je n'eus aucun mal à lui entrer deux doigts. Je me suis alors rappelé une video que j'avais vu sur le net qui expliquait comment faire jouir une femme. J'appliquais les conseil de la vidéo tout en me laissant guider par ma prof. J'approchais alors ma bouche de son clitoris bien gonflé et commençais à l'aspirer, le mordiller légèrement. Elle haletait et ses gémissement m'encourageaient de plus belle, jusqu'au moment où je la sentis jouir. “Tu te débrouille pas mal pour une première fois maintenant tu vas mettre ton gros machin dans mon nid douillet”. Elle sortit une capote de sa table de nuit et essaya de me l'enfiler mais elle n'était pas assez large. Heureusement m'ayant sucé la veille elle s'en était douté et avait pris la taille au dessus. Je m'allongeais et ma prof se mit sur moi et approcha sa fente de mon engin et descendit d'un coup sec avec un râle de bonheur. Nous restâmes dans cette position figée quelques instant le temps qu'elle s'habitue à la grosseur. Puis elle commença à monter et descendre son souffle s'accéléra et elle se mit à gémir. C'est à ce moment que je décidais de prendre les choses en main je la retournais dans la position du missionnaire et mit en marche la machine. Je la pilonnais tout en essayant de ne pas jouir tout de suite. Elle se mit alors à crier, je me suis alors calmé et essayais des coups brefs et forts. Elle me demanda alors d'arrêter car ça lui faisait trop mal. Pour me faire pardonner je me calmais et lui suçais un peu les seins mettant ma tête entre eux, aspirant les mamelons. Je me mis assis et elle vint s'empaler sur moi je pus alors caresser ses fesses tout en la pénétrant. C'est à ce moment que j'explosai dans la capote. Je me suis retiré de son vagin et je suis devenu mou. 
    - “Dommage j'étais prêt de l'orgasme tu es un peu trop violent c'est pour ça que tu as jouis trop vite mais bon tu t'amélioreras avec le temps et la pratique.
    - Oui je me suis un peu laisser emporter par le désir
    - Certaines femmes aiment ça mais ça vient avec l'expérience pas sur que Samia aime ça. Autre remarque n'hésite pas à caresser ta partenaire au début de l'acte, elle ne se résume pas au sexe.
    - J'ai adoré vos seins et vos fesses mais j'ai eu peur de passer pour un fétichiste
    - Mais non les femmes aiment ça en plus avec Samia tu vas te régaler elle à l'air d'avoir une belle poitrine je m'amuserai bien avec
    - Vous êtes bi? Le rêve …
    - Oui mais arrête tout de suite de rêver c'est pas pour tout de suite les deux femmes apprends à en satisfaire une avant.
    Nous nous sommes rhabillés et je remarquais que la porte de sa chambre était entrouverte alors que nous l'avions fermé. En partant ma prof me dit que si j'avais besoin de conseils je ne devais pas hésiter à venir. Je dis au revoir à sa fille qui me regarda d'un air coquin. Si la fille aussi sexy que la mère commence à me faire des avances je crois que les branlettes sur le net vont vite être terminées. Je partis donc de chez ma prof heureux et plus confiant sur mes capacités sexuelles, je vais pouvoir passer à l'action avec Samia.

    C'est lors de la soirée d'intergration de la promo que je décidais de passer à l'action. Samia était vétue d'une robe bleue qui la met bien en valeur, ses seins bombés et son cul rebondi. Je prends mon courage à deux mains et l'invite à danser. Tout se passe bien jusqu'a l'arrivée des slows, nos corps serrés l'un contre l'autre, ses seins s'écrasant sur ma poitrine je ne peux réprimer une érection. Elle s'en aperçoit et me demande si c'était elle qui m'exitait comme ça. Je lui réponds que oui et c'est là qu'à ma grande surprise elle m'embrasse en enfonçant sa langue dans ma bouche. 
    Moi aussi je suis exitée dit-elle 
    Pour les hommes c'est quand même plus flagrant 
    Alors suis moi je vais te le prouver. 

    Elle me prend par la main et on se dirige vers les toilettes. On s'enferment dans une cabine et elle fait lentement tomber sa robe. Je découvre ses seins aux mamelons durs comme la pierre, je ne peux m'empêcher d'aller les téter. Elle prend ensuite ma main et la met sur sa culotte et me dit: “tu vois que tu m'excite je suis toute mouillée”. En effet je vois une tache humide, ce qui m'excite encore plus. Je ne me contrôle plus, je lui enlève sont string et lui fais un cunni. Je la sens trembler sous ma langue elle n'en peut plus, elle me supplie de la prendre sauvagement. Je prends une capote; la déroule et commence à la pénétrer. Son vagin est chaud et accueillant, je rentre et sort sans difficulté tellement sont sexe est humide. Quelques minutes plus tard je lui demande de se mettre en levrette les deux mains sur la cuvette des toilettes. Je peux la prendre tout en gardant une main sur un sein et l'autre caressant son clitoris. Je sentais les deux bout de chair se gonfler de plus en plus. Elle a eu alors un orgasme fulgurant les parois de son vagin enserrent ma queue à la limite de l'éjaculation. Elle veut maintenant se venger elle prend mon sexe et l'enfourne comme une furieuse. Je lui fais signe que je vais venir mais cela ne l'empêche pas de continuer et mon sperme inonde sa bouche. Elle joue un peu avec puis l'avale. 

    - Tu es vraiment cochonne lui dis-je 
    - Oui je suis vraiment chaude je ne pensais pas que l'adultère existait autant. 
    - Quoi ??? tu es mariée et tu m'as donné de faux espoirs en me faisant les yeux doux depuis qu'on se connaît et en baisant ce soir avec moi ? 
    - Je suis désolée que tu es pensé ça pour moi tu es un ami avec qui j'aime être mais j'aime mon mari plus que tout 
    - Alors pourquoi avoir baisé avec moi ? 

    Car je suis en manque et qu'il fallait que je trouve quelqu'un pour y palier et je crois qu'avec toi j'ai trouvé un bon baiseur à qui il manque un peu d'expérience mais après quelques baises en plus ça devrait aller mieux. 
    Ah parce que tu veux continuer après ça, je n'en ai plus trop envie. 
    Oui je veux bien continuer comme des fuck friends 
    Tu me dégoûtes 
    Je pris alors mes affaires en la laissant seule et nue dans les toilettes. 

    En sortant des toilettes j'ai croisé ma prof de maths elle a bien vu que j'étais énervé et me demande de lui raconter ce qui s'était passé. Après avoir écouté elle me dit qu'elle allait lui parler et me demande de surveiller sa fille en attendant. 
    Sa fille s'appelle Amandine, elle est aussi belle que sa mère et presque aussi bien gâtée par la nature. Elle est habillée d'une robe qui met bien en avant sa poitrine et ses fesses. En me faisant la bise je remarque qu'elle n'hésite pas à venir très près de moi. J'ai envie d'oublier Samia je l'ai donc invité à danser et c'est là que j'ai vu que la fille de ma prof était aussi chaude que sa mère elle se collait a moi et faisait en sorte que mes mains descendent vers ses fesses. 
    C'est alors que sa mère est arrivée, elle nous sépare violemment et me dit: 
    - Je t'avais demandé de la surveiller pas de la peloter 
    - Mais c'est elle qui m'a chauffé, elle est presque aussi douée que vous. 
    Elle me mit alors une claque magistrale en me disant que sa fille était encore innocente et que je ne devais plus la voir. 
    Elle est partie de la fête avec sa fille. Je suis tellement dégoûté de cette soirée que je décide de rentrer. Quand je prends ma veste je vois qu'un papier sort d'une poche, c'est un mot d'Amandine. 

    "MA MERE CROIT QU'ELLE PEUT TE GARDER POUR ELLE TOUTE SEULE. 
    ELLE SE TROMPE TU NE M'ECHAPPERAS PAS. 
    AMANDINE" 
    Elle était donc au courant, cela ouvre des perspectives surtout avec une fille aussi acharnée.
     



     
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  • Il est 17 heures, je viens de rentrer... et suis assis tranquillement sur mon balcon en décompressant d'une journée de labeur. Je suis seul dans la maison, j'aime bien ces moments de solitude ou je peux profiter du calme et écouter le chant des oiseaux dans le jardin. Tout à coup un bruit parasite vient troubler mon petit moment de "béatitude", on sonne 
    " Merde ,encore un emmerdeur" me dis je en me levant. Pas possible d'être tranquille 5 mn. J'ouvre la porte en affichant une mine qui ferait fuir le premier démarcheur venu.
    "Salut papa, je ne te déranges pas!" me dit Claire.
    "Mais non, je viens juste de rentrer du boulot, je buvais un verre sur le balcon" lui dis je tout en la faisant entrer.
    "viens installe toi, tu veux boire quelque chose"
    "oui je veux bien, surtout avec cette chaleur je suis en nage, la clim dans la voiture est en panne" me répond elle.
    "vas t'installer, je prends un coca pour toi et j'arrive"
    Je la rejoins sur le balcon ,elle est installée en plein soleil.
    "je vais en profiter pour bronzer un peu" me dit elle en riant.
    "dans ce cas là tu as autant te coucher dans le transat si tu n'es pas trop pressée"
    Non ça va j'ai le temps, Pierre n'est pas encore rentré et les enfants sont chez la nounou, je passerai les récupérer en rentrant, elle a l'habitude que je sois en retard ,elle n'est pas regardante sur l'heure.
    "déshabilles toi, et profites du soleil un petit 1/4 d'heure" lui dis je.
    "oui tu as raison mais ça me gêne de me déshabiller devant toi" me répond elle.
    "tu as un slip, tu as un soutien gorge?"
    "bien sûr"
    "alors ou est le problème, tu sais à la plage c'est pire que ça, et puis je te rappelle quand même que je suis ton vieux père" lui dis je en rigolant
    "c'est vrai, comme d'habitude tu as toujours l'argument qui convainc" me dit Claire avec un sourire
    "ça sert à ça l'expérience des plus âgés" lui dis je en lui rendant son sourire
    Elle enlève sa jupe, puis son chemisier et apparaît en soutien-gorge et string minuscule .Je ne peux m'empêcher de l'admirer, elle a un corps parfait malgré ses 2 grossesses. Un ventre à nouveau plat, pas de vergetures, un 95 c à mon avis, un fessier rebondit et de belles jambes fuselées. Une belle plante comme on dit. Je ne peux m'empêcher de lui dire:
    "Pierre est un homme très chanceux"
    "pourquoi tu dis ça, papa"
    "eh bien! d'avoir une femme aussi magnifique" lui dis je.
    "PAPA! t'as pas honte"
    "honte de quoi, tu es une très belle femme et étant ton père je pense que j'ai le droit de te le dire, non! y a pas de mal à ça"
    "oui, c'est vrai, mais c'est la première fois que tu me fais un compliment comme celui là, je n'ai pas l'habitude venant de toi" me dit elle.
    "tu sais Claire, je le pense depuis très longtemps, tu as toujours été ma préférée à tous les niveaux. Mais par respect pour ton frère et ta soeur je n'ai jamais voulu te le dire pour ne pas faire de distinction entre vous" tout en disant ces mots je me suis levé et accoudé à la rambarde du balcon.
    Claire se lève aussi, vient vers moi, elle me prend dans ses bras et tout en se serrant contre moi me dit.
    " moi aussi, je t'aime papa et très fort, tu es vraiment le seul homme en qui j'ai et j'ai toujours eu confiance, tu as toujours été là pour moi"
    De sentir le corps de Claire appuyé comme cela contre le mien, d’avoir passé mes bras autour d'elle avec mes mains posées sur ses reins juste au dessus de ses fesses, me fait monter une douce chaleur dans le ventre. Et ce qui devait arriver arriva, je commençais à bander, imperceptiblement mes mains attiraient Claire contre mon ventre, son pubis entra au contact de la bosse qui avait pris forme dans mon pantalon. Elle pencha la tête en arrière et me regarda dans les yeux
    "papa?"
    "oui, Claire"
    "tu as une érection" me dit elle sur un ton interrogateur.
    "oui, ma chérie je sais, je suis bien placé pour le savoir" dis je en souriant.
    "mais tu ne peux pas bander en tenant ta fille dans tes bras, c'est pas moral papa" me dit elle.
    " tout dépend dans quel état d'esprit on se trouve au moment ou cela arrive ,ma puce" lui dis je.
    "comment ça, que veux tu dire par là"
    "eh bien en ce moment ce n'est pas ma fille que je tiens dans mes bras mais une très belle jeune femme de 35 ans, dans ce cas la réaction que j'ai est tout à fait normal, tu es une femme je suis un homme" lui dis je.
    " et toi ça ne te fais rien, j'ai eu la vague impression de sentir tes mamelons durcirent contre ma poitrine, je me trompe?"
    "non, papa " me dit elle en rougissant et en baissant les yeux.
    "il faut que je te dise quelque chose et c'est un peu pour ça que je suis venue, mais je ne savais pas trop comment aborder le sujet" me dit elle.
    "C'est à propos de Pierre et moi, ça ne va pas très fort entre nous, nous ne couchons plus ensemble depuis plus d'un an, on dort toujours dans le même lit mais il ne se passe plus rien entre nous" me dit elle.
    "ce qui explique la réaction épidermique de tes tétons, ça fait un an qu'un homme ne t'as pas touché! " lui dis je.
    « Claire, as-tu envie de faire l’amour en ce moment? »
    "PAPA!!"
    je répètes ma question
    ",Claire as tu envie de faire l'amour"
    "oui, papa"

    "Alors tu vas m'obéir comme quand tu étais petite, tu me fais confiance?"
    "oui, papa"
    "enlèves ton string et ton haut, couches toi dans le transat et ferme les yeux, laisses toi aller" lui dis je. Je l'admire pendant un moment, elle est belle ma fille j'ai toujours été secrètement amoureux d'elle sans oser me l'avouer. A présent mon sexe est tendu comme une barre de fer, je me déshabille et m'agenouille à côté de Claire. Je lui caresse le visage doucement, j'effleure ses lèvres, mes doigts glissent sur son cou puis vers le haut de sa poitrine au fur et à mesure que je m'approche de ses seins je sens sa respiration changé de rythme. Je caresse son sein droit avec la paume de ma main pendant un instant puis saisis son mamelon entre mes doigts.
    " ohhh, papa!
    "Doucement ma chérie détend toi" lui dis je à l'oreille.
    "oui, papa, j'aime quand tu me caresses, tu es tellement doux, c'est bon" me répond elle.
    Pendant que je continue à lui agacer le mamelon de mes doigts j'aspire l'autre dans ma bouche, la réaction est immédiate, son bassin se lève et elle tend son corps comme un arc.
    " papa c'est bon, j'aime, continues, oui c'est bon, encore, encore, continues" supplie t'elle.
    "oui, ma fille, papa va s'occuper de toi"
    Pendant que ma langue et ma bouche continue de jouer avec ses tétons dures comme des pointes d'acier, ma main vagabonde sur son corps, elle arrive sur son nombril, mes doigts courent sur sa peau pareil à ceux d'un pianiste sur son clavier. Elle a saisi ma tête entre ses mains et m'appuie dessus à chaque fois que je lui aspire ses mamelons.
    Elle pousse de petits gémissements de satisfaction. elle aime ce que je lui fait. Je pose alors ma main ouverte sur son pubis, je la referme, mes doigts venant au contact de ses lèvres intimes déjà toutes humides. Elle se raidit et un long soupir de satisfaction sort alors du plus profond de sa gorge. Elle serre ses cuisses très fort sur ma main, elle tremble. Je la laisse goûter à cet instant. Lorsqu'elle relâche son étreinte je quitte ses seins et relève mon torse, je la regarde et lui dit:
    "ouvres les yeux ma chérie et regardes moi" ce qu'elle fait en me souriant, je prends alors sa main gauche dans la mienne et la pose doucement sur mon sexe tendu tout en continuant à la regarder dans les yeux. Lorsque ses doigts arrivent au contact de ma verge tendue elle a un petit mouvement de recul mais j'accentue légèrement la pression ,elle se laisse faire, et ses doigts se referment autour de ma colonne de chair. Au même moment j'en profite pour insinuer un de mes doigts dans sa corolle humide, la réponse est fulgurante, sa main se resserre instinctivement sur ma verge. Nous restons comme cela quelques secondes, puis je commence à bouger le doigt qui est en elle ,en réponse elle entreprend un léger va et vient sur ma hampe.
    "papaaa, jamais on a été aussi doux avec moi, c'est vraiment bon, je t'aime, continues" me dit elle en me regardant. Ses yeux plein de douceur traduisent un abandon total.
    Je lui caresse la joue tendrement, elle minaude comme une chatte en fermant les yeux. Je la quitte un instant.
    "papa ou vas tu?"
    "nul part je reste là, ne t'inquiètes pas, fais moi confiance, je vais continuer à m'occuper de toi ma chérie"
    Je m’agenouille à ses pieds, lui saisis les chevilles et lui écarte doucement les jambes. Elle se laisse faire, abandonnée totalement. Une fois le compas ouvert, je commence à l'embrasser sur les chevilles puis remonte lentement vers le haut, elle réagit en tortillant parfois ses jambes, ma bouche progresse, j'arrive sur ses cuisses, je les lèche, ma langue remonte toujours, je sens sa respiration qui s'accélère, je suis arrivé à l'étape ultime, je m'arrête un instant pour profiter du spectacle que m'offre cette vulve d'un brun tendre, les gouttes de cyprine sont accrochées à ses poils comme la rosée du matin l'est dans les herbes. Je pose mes lèvres sur ses lèvres intimes, instantanément son corps se tend comme victime d'une décharge électrique
    "ahhhhhhhhhhhhhh, c'est bon ,papaaaaaaaaaaaaaa"
    je pousse ma langue à l'intérieur sans attendre, son bassin vient à la rencontre de ma bouche, ,je lui mâchouille les lèvres ,les mordille, les aspire, je remonte vers son clito et là commence une danse effrénée
    "papa,papaaaaaa, oui c'est trop bon, oui comme ça, oui papaaa, continueees, je vais jouir"
    Ma langue joue sur son bourgeon turgescent, je lui introduit 2 doigts dans son vagin et commence à la pistonner, d'abord lentement puis de plus en vite. Les gémissements du départ sont à présent remplacés par de vrai cris de femelle en rut.
    "oui papa ahhhhh, tu me lèches bien oui continues comme ça, ohhhhhh appuies ta langue plus fortttttttttttttt, ahhhhhhhhh, enfonce tes doigts plus loin, vas yyyyyyyyy, ça vientttttttttttttt"
    Je me donne comme un damné pour faire jouir ma fille, je veux qu'elle se souvienne de son premier orgasme avec moi. Je la lèche et la doigte comme un fou, puis l'instant attendu arrive.
    son corps se tend en arc de cercle pendant une fraction de seconde plus aucun son ne sort de sa bouche puis elle lâche un long feulement
    "aaoooaaohhhhhhhh, je jouiiiiiiiiiiiiis papaaaaaaa, je jouiiiiiiiiiiiiis, tu m'as fait jouirrrrrrrrr, c'est génialllll"

    je continue?
    Elle retombe, complètement désarticulée. Je me relève et l'admire, elle est belle comme une femme qui vient de jouir, mais elle l'est encore plus pour moi car c'est ma fille. Elle me jette un regard attendri et me dit
    "viens ici papa, viens chez moi, viens chez ta petite fille" je m'approche d'elle en souriant et en la couvant du regard, m'agenouille à ses côtés, elle me prend la tête entre ses mains, m'attire vers elle et me dit
    " je t'aime encore plus qu'avant papa et dieu sait que je t'aimais déjà, tu m'as donné énormément de plaisir aujourd'hui et je veux te le rendre, viens"
    "non mon bébé, laisse, ça n'est pas grave, le principal c'était toi, et puis tes enfants t'attendent va à présent rentre chez toi, moi ça n'est pas important, tu sais depuis le temps j'ai une autre méthode pour me faire du bien"
    "papa je te jure qu'a partir d'aujourd'hui tu n'auras plus besoin de te masturber quand tu auras envie de faire l'amour, je vais partir maintenant tu as raison, mais je reviendrais vite te voir " me dit elle tout en m'embrassant sur la joue.
    2 jours plus tard Claire est de retour.
    « bonjour papa, comme il fait beau aujourd’hui, j’ai décidé de prendre mon après midi pour venir bronzer avec toi sur ton balcon, tu n’y vois pas d’inconvénient » me dit elle avec un petit sourire en coin.
    « Euhh non, j’avais juste prévu de faire une lessive et un peu de repassage mais cela attendra » lui dis je.
    « je peux repasser pour toi si tu veux »
    « oui, je veux bien, je l’avoue le repassage ce n’est pas ma tasse de thé. La table est sur le balcon avec le panier de linge à côté, j’avais tout préparé. Je descend à la buanderie pour démarrer une lessive, fais comme chez toi ma puce »
    Je descends à la cave en me posant milles questions sur l’attitude que je dois adopter vis-à-vis de Claire compte tenu de ce qui c’est passé entre nous il y a 2 jours .Après tout laissons faire le hasard, on verra bien. Je remonte à l’étage, Claire n’est plus dans le salon, elle n’est pas plus sur le balcon mais je remarque que le fer est allumé et les vêtements que portait Claire en arrivant sont soigneusement pliés sur une chaise. Intrigué je retournes à l’intérieur et entend soudain du bruit dans la cuisine, je m’avance vers la porte et ce que je vois à ce moment là me tétanise sur place. Claire est à genoux devant l’évier en position de levrette ,la tête dans le placard, ce qui a pour effet de cambrer son fessier mais le plus beau ,ELLE EST NUE! Je voudrais que cet instant ne s’arrête jamais, je me repais de ce spectacle, j’essaie de l’imprimer dans ma mémoire à tout jamais. Elle a dû m’entendre car elle sort sa tête du placard et me dit le plus naturellement du monde
    « je cherche l’eau déminéralisé pour le fer, je pensais qu'elle se trouvait là »
    « quoi? l’eau déminéralisé pour le fer, ah oui! attend laisse moi réfléchir » lui dis je, pris de court.
    « papa? papaa? Ça va, tu te sens bien, tu as l’air un peu bizarre »
    « non ça va, mais ça n’est pas tous les jours que j’ai la chance de voir ma fille préférée toute nue en levrette dans ma cuisine et qui plus est, ses fesses tournées vers moi, alors tu comprendras que je sois un peu bizarre comme tu dis »
    "jamais je n'aurai penser qu'un jour j'arriverais à te troubler à ce point, si tu veux, je peux reprendre la pose" me dit elle en souriant.
    "non, non, ça va, mais dis moi je croyais que tu étais venue pour bronzer et d'après ce que je vois tu ne veux pas avoir de marques de maillot, c'est quoi ces manières de se promener nue devant son père. Quand je pense que la dernière fois tu avais des scrupules à te montrer en slip et soutien gorge"
    "tu veux que je me rhabille papa" me dit elle sur un ton étonné.
    " mais non voyons, je rigole, je ne vais pas me plaindre de pouvoir admirer une si belle femme"
    "tu peux faire plus qu'admirer mon petit papa" me dit elle d'un air ingénue
    "eh bien! tu as fait du chemin depuis l'autre jour" lui dis je
    "grâce à toi mon petit papa"
    "oui, bon, ok euh, si on allait repasser un peu"
    Je suis un peu déboussolé, c'est le monde à l'envers, c'est ma fille qui arrive à me mettre mal à l'aise maintenant. Sur le balcon le soleil tape dur, j'enlève mon tee-shirt et attrape la première chemise venue que j'étale sur la table à repasser et pose le fer dessus, mais mon esprit n'est pas très concentré sur la tâche à accomplir. Soudain la voix de Claire me sort de ma torpeur.
    "papa,c'est comme ça que tu repasses une chemise! ah, les hommes, décidément sans nous vous seriez perdu" me dit elle en rigolant.
    "je vais te donner un petit cours de repassage" me dit elle tout en se plaçant derrière moi.
    "je te montre comment procéder avec le fer à repasser ,je vais guider ta main" elle pose sa main droite sur la mienne qui tient le fer et joignant le geste à la parole commence à m'expliquer tous les secrets du repassage de chemise. A chaque mouvement qu'elle imprime à ma main, je sens ses seins frottés mon dos et petit à petit ses tétons durcissent, je les sens bien à présent me caresser la peau. C'est une position très très agréable et bien sûr mon sexe qui n'était déjà plus tout à fait au repos depuis tout à l'heure parachève son ascension dans mon short. Je bande comme un âne. J'arrête ce petit manège en bloquant ma main et je dépose le fer sur son reposoir.
    " tu arrêtes!" me dit Claire.
    Je me retourne vers elle en lui faisant face, la saisit aux hanches et l'attire avec autorité vers moi, son ventre contre le mien
    "woahhh! eh bien, dis donc papa, tu es en super forme on dirait, je pense vraiment que tu devrais ôter ton short, elle doit se sentir à l'étroit là-dedans, attends je vais t'aider"
    Elle se baisse devant moi saisit mon short de chaque côté et tire dessus lentement mais à un moment il bloque, elle tire plus fort, le short descend et ma verge jaillit comme un ressort pour se dresser fièrement devant son visage;
    "eh bien! tu as vu dans quel état tu es " me dit elle d'un ton réprobateur
    "c'est de ta faute, c'est toi qui m'as mis dans cet état, à toi de te débrouiller maintenant"
    Claire se relève, passe ses bras autour de mon cou et appuie tout son corps contre le mien.
    "papa,je voudrais que tu me fasse jouir, mais pas comme la dernière fois, cette fois ci je veux ton sexe dans mon ventre, je prends la pilule, on ne risque rien" et tout en me disant cela sa main droite descend vers ma bite elle s'en saisit, plie un peu les genoux pour ouvrir ses jambes et la place dans son entrejambe puis elle resserre les cuisses dessus. Je suis prisonnier d'elle. Sa tête est au creux de mon épaule,elle commence à agiter lentement son bassin. 
    "oh c'est bon papa, je te sens contre ma chatte, tu es tout dure et chaud hummm que c'est bon"
    Sa cyprine commence à humidifier ses lèvres car ma bite coulisse désormais librement entre ses cuisses. A ce rythme là je ne vais pas tenir longtemps. Mais c'est elle qui met fin au manège.
    " je t'ai dit la dernière fois qu'a notre prochaine rencontre ce serait moi qui m'occuperais de toi alors je vais tenir ma promesse" me dit elle en me regardant.
    Puis elle se laisse glisser le long de mon corps et se met à genoux devant moi, son visage à hauteur de mon pénis dressé, elle le contemple et dit
    "elle est vraiment belle et en plus comme je les aime, je vais te donner du plaisir comme tu m'en a donné la dernière fois" et elle dépose un baiser sur le bout du gland. C'est comme si j'avais eu une décharge électrique dans les reins, ma bite tressaute sous la caresse.
    " on dirait qu'elle est très énervé, elle répond au quart de tour" dit elle 
    Claire pose ses mains sur mes hanches, remonte sa tête, pose ses lèvres sur mon gland et pousse lentement. Je sens mon dard écarter ses lèvres, sa bouche descend lentement sur moi. Elle m'avale petit à petit, c'est divin comme sensation, je suis au fond de sa gorge mon gland bute contre sa glotte elle a un petit haut le coeur mais ne me relâche pas, je reste un petit moment comme cela fiché dans sa bouche puis je sens sa langue qui commence à s'animer sur ma hampe, je la saisis par la tête et commence à bouger doucement dans ce cocon doux et chaud.
    "c'est bon, oh oui c'est bon, suce moi, avale moi, trait moi" elle lève ses yeux vers moi, ma bite fiché au fond de sa gorge, sa main droite passe entre mes jambes et remontent vers mes bourses. Elle saisit mes couilles à pleine main et les malaxe avec douceur. Jamais je n'aurai cru qu'elle sache sucer de cette façon,une vrai pro. A présent ma colonne de chair glisse dans la cavité buccal sur toute sa longueur, elle me lâche un instant et me dit
    " tu aimes papa"
    "oh oui, j'aime continue ne t'arrête pas"
    " tu veux jouir dans ma bouche" me demande t'elle.
    Cette proposition a pour effet de faire gonfler mon sexe encore un peu plus, jouir dans la bouche de Claire jamais je n'aurai penser que cela puisse m'arriver un jour.
    " oui, mon bébé, je veux jouir dans ta bouche, je veux te donner tout mon jus" lui dis je.
    Commence alors un pompage en règle de mon instrument, sa langue court sur mon gland, titille le frein, une fois elle ne me suce que le gland une autre fois elle m'enfonce au plus profond de sa bouche jusqu'à la glotte, je sens le plaisir monter dans mes reins. Mon étreinte sur sa tête se fait forte, elle le sent, et c'est à ce moment là qu'elle me prodigue une caresse qu'aucune femme ne m'avait faite avant elle. Elle mouille son index dans sa chatte et me l'enfonce dans le rectum, elle le courbe à l'intérieur pour chercher le contact de ma prostate et dès qu'elle l'a trouvé je n'arrive plus à me retenir, mon sperme jaillit. Claire tient bon ,elle a refermé ses lèvres autour de ma hampe pour rendre étanche le tout, elle a cessé ses mouvements de tête, il y a juste son index qui bouge en moi, elle me laisse me déverser en elle. Ma bite se contracte 4 ou 5 fois et à chaque fois je sens le sperme qui en jaillit. Je ne bouge plus et attend de me vider, je relâche l'étreinte de mes mains sur la tête de Claire ce qui est un signal pour elle que ma jouissance est terminée. Elle tire sa bouche sur mon sexe sans écarté les lèvres, jusqu'à me libérer totalement puis elle déglutit plusieurs fois
    "Ton sperme a un très bon goût papa, j'aime bien" me dit elle.
    Elle reprend mon sexe en main et le porte à sa bouche.
    "je vais te nettoyer mon papa chéri, regarde il y en a encore quelques gouttes" mais dès qu'elle pose sa langue sur mon gland c'est comme si on m'enfonçait des milliers d'aiguilles. Je repousse sa tête des 2 mains
    "ouaahhhh ma chérie non elle est encore trop sensible, faut lui laisser le temps de se remettre, tu sais elle n'est plus habituée à ce genre de traitement depuis longtemps" lui dis je.
    Elle me regarde en souriant.
    "ok papa mais c'était bon, j'ai aimé tu sais"
    "et moi donc, mais dis donc tu te débrouilles vraiment très bien, tu m'épates. Jamais je n'aurai pensé que tu faisais d'aussi bonne fellation"
    "papa! avec Pierre ça n'a pas toujours été comme aujourd'hui, on a eu de bons moments aussi et j'avais déjà vécu avant lui"
    "c'est bon, c'est bon, je ne veux pas en savoir plus. Bon et si on allait bronzer un peu maintenant" lui dis je en rigolant.
    "ah oui c'est vrai qu'au départ c’était la raison de ma visite" me dit elle en me faisant un clin d'œil.
    « au fait papa ton anniversaire c’est bien dans 1 mois, le 25 juillet il me semble »
    « oui, absolument, et pourquoi me demandes tu cela »
    « il faut que je pense à ton cadeau » me dit elle. 
    « Oh tu sais j’ai tout ce qu’il me faut à présent et ne va pas faire de grosses dépenses, garde ton argent, le simple fait que tu penses à me le souhaiter me suffit amplement »
    « on verra, je vais réfléchir et je trouverai, tu me connais quand j’ai un truc en tête… » répond t'elle.
    « je vais partir en stage 1 mois pour mon boulot dans le cadre d’une promo interne alors on se reverra à ce moment là »
    « une promo! c’est bien je suis fier de toi, ne t’en fait pas pour moi j’ai de quoi m’occuper d’ici là » lui dis je.
    « tu ne vas quand même pas te masturber tous les jours » me dit elle en riant.
    « et pourquoi pas j’ai encore de l’énergie et en plus je le ferai en pensant à toi » lui dis je.
    « PAPA! tu vas me faire rougir si tu continues »
    « je pense que c’est un peu tard pour ça ,tu ne crois pas après ce que l’on a fait tous les deux » lui dis je. Nous passons le reste de l’après midi à nous dorer gentiment au soleil. De temps en temps Claire prend des postures sur son transat qui me font bouillonner les sens mais je me retiens je ne veux pas lui donner l’impression d’être un vieux pervers qui ne pense qu’a sauter sa fille. Une position en particulier a failli me faire craquer, j’ai dû faire appel à tout mon self contrôle pour ne pas me jeter sur elle. Le soleil s’étant déplacé vers mon côté c'est-à-dire qu’il était pratiquement derrière moi, elle s’en aperçut, se leva tourna son transat en biais et se remit dessus mais au lieu de se coucher sur le ventre comme auparavant elle se mit à genoux.
    « je me mets comme ça parce que je ne veux pas avoir une ligne blanche sous chaque fesse » me dit elle.
    « euh! oui bien sûr autant être bien bronzé partout » lui dis je.
    J’avais le cul en levrette de ma fille à portée de main. Le faisait elle exprès pour me tester, je ne savais plus quoi faire, moi le père, le patriarche, j’étais là fasciné par le spectacle de ses fesses qu’elle offrait à mes yeux sans aucune retenue. J’avais très chaud et même le morceau de chair qui était affalé au bas de mon ventre commençait à se réveiller. Soudain le clocher du village se mit à sonner, le carillon compta 5 coups.
    « Mon dieu, il est déjà 5 heures, il faut que j’aille chercher les enfants à l’école* dit elle en se relevant.
    «  c’est dommage j’étais bien dans cette position » me dit elle en me regardant droit dans les yeux.
    « le temps passe trop vite quand je suis avec toi, papa » rajoute t'elle avec un sourire enjôleur.
    «  ouf! sauvé par le dieu Chronos » me dis je, car je ne pense pas que j’aurai pu résister bien longtemps devant ce spectacle malgré toute ma bonne volonté.
    « on se reverra dans un mois alors, lorsque tu reviendras de ton stage » lui dis je.
    « compte sur moi mon papa chéri et j’espère que d’ici là j’aurai trouvé ton cadeau » répondit elle.
    Elle m’embrassa comme une fille embrasse son père, mais juste au moment de partir elle se retourna et me déposa un chaste baiser sur les lèvres qui me laissa avec mes incertitudes.
    « au revoir Claire et bon stage »
    «  au revoir papa à dans un mois » et la porte se referma sur elle. Quelle journée!
    Je mentirais si je disais ne pas avoir pensé à elle au cours de son mois de stage et ce ne furent pas toujours des pensées racontables il m’est même arrivé de me donner du plaisir en pensant à elle. En tant que père, je m’en voulais d’avoir cédé à la tentation, mais en tant qu’homme, je voulais absolument aller plus loin, mon esprit était en contradiction constante. J’en étais là, de mes atermoiements, lorsque le téléphone sonna .

    « Bonjour papa, c'est moi, Claire, ça y est, je suis revenue, mon stage est terminé, tu m’as manqué, tu sais, pendant tout ce mois, j’ai souvent pensé à toi !, me dit-elle.
    - Bonjour ma puce, je suis content de t’entendre, tu m’as manqué aussi !
    - J’ai trouvé ton cadeau, au fait, je peux passer samedi soir pour te le ramener ? Pierre va au cinéma avec les enfants voir le dernier dessin animé à la mode, ses parents vont avec, comme tu le sais, entre sa mère et moi, ce n’est pas le top, alors je lui ai dit que je passerai te voir !
    - Euhh non, je n’ai rien prévu, tu peux passer, mais je t’avais pourtant dit de ne rien m’acheter, comme d’habitude, tu n’écoutes pas !, lui dis je en élevant un peu la voix
    - oui je sais, mais à mon avis, ça va te plaire ! À samedi papa !, me dit-elle.
    - À samedi Claire » et elle raccroche.

    Le samedi arrive, je ne peux m'empêcher, tout au long de la journée, de penser à la soirée, que va-t-il se passer ? Je ne sais toujours pas comment me comporter avec Claire, je suis comme un ado qui attend son premier rendez-vous, j'ai une boule au ventre;
    19 heures, il est temps de me préparer, je passe à la salle de bain et me douche ensuite passage devant la glace pour un rasage en règle, j'en suis là, le visage tartiné de crème à raser quand j'entends :

    « Papa tu es là ? Ma fille est là et je ne suis pas encore prêt.
    - Oui Claire, je suis dans la salle de bain, en train de me raser ! »

    20 secondes après, la porte s'ouvre sur ma fille :

    « Salut papa, tu n'as pas honte de te montrer tout nu devant ta fille ?, me dit-elle.
    - C'est plutôt toi, la voyeuse, il me semble, attends, j'ai presque fini ! »

    Je la vois dans la glace, elle porte une mini avec un t-shirt, hyper moulant, sous lequel ses seins s'ébattent librement, car on voit très bien ses tétons .Elle est bandante à mort ! Devant cette vision, mon sexe se réveille et commence à relever la tête. Je pense qu'elle s'en est aperçue car elle vient se placer derrière et plaque tout son corps contre, moi en m'entourant de ses bras.

    « Alors, mon petit papa, je t'ai manquée ? » me dit-elle.

    La motivation qui manquait à mon chibre pour terminer son ascension lui est donné par le contact de sa poitrine sur mon dos et de son ventre contre mes fesses.

    « Oh oui, je t'ai manquée, on dirait ! » dit elle, en descendant une main, attrapant mon engin érigé.

    Elle commence un léger va et vient, pendant que son autre main me caresse un téton. J’apprécie la caresse à sa juste valeur, mais je sais aussi que je ne résisterai pas longtemps à ce traitement.

    « Tu es pressée, ma chérie, on a tout le temps, tu crois pas ?, lui dis-je.
    - Oui, tu as raison, nous avons toute la soirée pour nous, tu as vu comme je me suis fait belle pour mon papa. Je n'ai pas mis de soutien gorge et pas de slip. Tiens, mets ta main ! »

    Elle me tend ses fesses et je passe la main sous sa mini, en effet, il n'y a aucune barrière de tissu, je suis directement au contact de sa vulve. Je glisse un doigt, elle est déjà toute humide.

    « Mets ta main devant ! », me dit elle.

    J'obtempère, elle s'est rasée complètement, son mont de vénus est tout lisse, ainsi que sa chatte.

    « Tu as senti ? Plus un poil ! Je me suis fait une chatte toute neuve, comme quand j'étais petite fille, ça te plaît, papa ?
    - Bien-sûr que ça me plaît, j'adore, j'y goûterai tout à l'heure, à l'heure du dessert ! Au fait, c'est ça, mon cadeau d'anniversaire ? Lui dis-je, en souriant.
    - Non, ça c'est un avant-goût, j'ai mieux que ça pour toi, mon petit papa, je te fais cadeau de ma virginité ! Me dit-elle, en souriant.
    - Ta virginité, je te rappelle que tu as eu 2 enfants, alors à moins d'avoir été mise enceinte par le saint esprit, je ne vois pas comment tu pourrais être encore être vierge ?, lui dis je, sur un ton étonné.
    - je ne te parles pas de cette virginité là, mais de celle ci !, me dit elle, en se retournant, levant sa mini et me montrant ses fesses qu'elle écarte des 2 mains.
    - L'idée m'est venue en stage, la première nuit à l'hôtel, je me caressais en pensant à toi et mes doigts se sont égarés plus loin que d'habitude, je me suis dis que ça serait ton cadeau, personne n'est jamais passé par là, même pas Pierre, je n'ai jamais voulu car j'avais peur d'avoir trop mal. Mais toi, tu es tellement doux et je te fais confiance, alors voilà papa, je t'offre le dépucelage de mes fesses, BON ANNIVERSAIRE !
    - Je suis très touché, ma chérie et je t'avoue que j'en crève d'envie depuis que je t'ai vue en levrette !
    - Alors, qu'est ce qu'on attend ? Tu as vu comme tu bandes, ton pénis va exploser !, en même temps qu'elle dit cela elle enlève sa jupe et son haut.
    - Putain ! Qu’elle est bandante, ma fille !, lui dis je.
    - Viens me lécher ! », me dit-elle.

    Elle me prend par la main et me tire vers la chambre. Elle se couche sur le lit, sur le dos et écarte les cuisses au maximum, elle ouvre sa chatte avec ses mains et y met un doigt.

    « Tu as vu je suis déjà toute mouillée !, puis, elle prend ses tétons et commence à les malaxer entre ses doigts. Je n'y tiens plus, je m'agenouille devant son ventre, enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la lèche directement !
    - Ohhhhhhhh ! Oui, c'est bon, j'attendais ce moment depuis 1 mois !, me dit elle.
    - Lèche-moi à fond, enfonce ta langue en moi, branle moi avec tes doigts, je veux te sentir !
    - Tu veux me sentir en toi ? Dans ce cas, j'ai mieux que mes doigts ! »

    Je me couche sur elle, pointe mon dard vers sa vulve, mets mon gland au contact et l'empale d'un trait !

    « Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, tu es gros, je te sens jusqu'au fond, vas y papa fais-moi l'amour, fais-moi jouir, fais jouir ta fille, mets-moi ta grosse bite ! »

    Ces mots me font l'effet d'un coup de fouet, je commence à la pilonner comme un malade.

    « Oui, ouiiiiiiii, vas y, défonce-moi avec ta grosse queue,-vas yyyyyyyyyyy,-à fond... ! »

    Je prends ses jambes et lui les relève en les écartant au max, ses seins ballottent dans tous les sens, sa tête balance de droite à gauche, ses doigts sont crispés sur le drap comme des serres, elle crie :

    « vas-yyyyyyy, je vais jouir, envoie moi ta liqueur, coule dans mon ventre, continueeee, plus forttttt, baise-moiiiiiiiiiiiiiiii, oui, ouiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis ! »

    Je sens son vagin se resserrer sur ma bite, elle jouit, je n'y tiens plus et je lâche ma purée, mon sperme gicle par saccades, je n'ai plus joui comme ça depuis des années, je me répands en elle. Je m'affale sur son corps, elle resserre ses jambes autour de mes reins et m'attire vers elle comme une forcenée. Je prends son visage entre mes mains, pose ma bouche sur la sienne, elle l'ouvre et nos langues s'entremêlent dans un baiser passionné, un baiser d'amants comblés. Elle laisse retomber ses jambes, je me couche à côté d'elle.

    « Papa, c'était super, je n'ai jamais joui aussi vite et aussi fort, j'en veux encore !
    - Je n'ai plus 20 ans, mon ange, il faudra que tu attendes que mes batteries se rechargent !, lui dis-je en rigolant.
    - J'attendrai, mais je te préviens. ça n'est pas fini pour ce soir, je veux que tu me donnes encore du plaisir et puis, tu n'as pas encore profité de ton cadeau, ça ne serait pas gentil de ne pas l'essayer ! »

    Elle se penche vers moi et me dit à l'oreille en chuchotant :

    « Papa, tu m'enculeras avec ton gros dard tout à l'heure, je veux que tu me défonces avec ! »

    Je la regarde et lui réponds :

    « Comme tu veux, ma petite salope adorée !
    - Papa ! Tu me traites de salope ? »

    Sur le coup, j'ai peur de l'avoir choquée, suis-je allé trop loin, mais elle me rassure vite :

    « Tu as raison, je peux en être une, mais à condition d'avoir un partenaire avec lequel je me sente en osmose. Avec Pierre, même en dernier, lorsque nous faisions encore l'amour je ne l'étais plus, il était devenu égoïste et ne pensait plus qu'a son plaisir ! Avec toi, c'est différent, tu sais me donner du plaisir, alors, je me lâche ! me dit-elle.
    - Je suis content et fier que tu aimes ma façon de faire, je serai le dernier des idiots de gâcher un moment que j'attends depuis si longtemps, si on allait grignoter quelque chose, j'ai préparé des toasts, si ça te dit ?
    - OK, papa chéri, il faut que tu reprennes des forces ! », dit-elle avec un sourire.

    Nous évoluons tous les deux, tous nus dans la maison, je n'arrive pas a détacher mon regard de ce corps parfait, je la détaille à chaque geste qu'elle fait. Mon cerveau fonctionne comme un appareil photo, j'essaie d'imprimer chaque image de ses seins de ses fesses de sa chatte. Je sens que mon sexe reprend de la vigueur, elle le remarque.

    « Eh ben, dis donc ! Tu es en super forme pour ton âge, tu rebandes déjà ! Attends, je vais t'aider un peu ! »

    Et ce faisant, elle vient contre moi et plaque ses fesses contre mon ventre, puis les remuent contre ma verge dans une danse style lambada. Elle se penche en avant, les mains agrippées à la table et continue de plus belle. Ma bite gonfle en un clin d'œil, Claire pousse son cul dessus, mon chibre est à la verticale, contre mon ventre, elle l'emprisonne entre ses globes et entreprend, dessus, un frottement vertical. Je la saisis aux hanches.

    « NON papa ! Tu ne me touches pas, laisse-moi faire, interdiction de poser les mains sur moi, jusqu'à ce que je te le dises, tu mets tes mains derrière ton dos, OK ? »

    J'obéis et la laisse faire, je suis gonflé au max, j'ai l'impression que tout le sang de mon corps a convergé vers mon sexe. Elle continue, encore un moment, sa caresse diabolique, puis se tourne et tombe à genoux devant moi, prenant l'objet de sa convoitise dans la main et le porte à sa bouche. Sa langue agace mon gland, le frein, la hampe, elle lèche le liquide transparent qui s'écoule du méat, elle se caresse, maintenant, les seins avec, écrase mon gland violacé sur ses tétons et le frotte dessus, elle s'amuse à écarter le méat et à le présenter devant un de ses tétons, comme pour le pousser à l'intérieur, ses mamelons sont durs comme des pointes de crayon. Elle gémit et moi aussi, d'ailleurs, c’est tellement bon que ça en devient insoutenable .Ensuite elle pose ma colonne de chair entre ses seins et me prodigue une cravate de notaire. Je me branle entre ses mamelles, c'est divin !

    « Claire ma chérie, je n'en peux plus je vais jouir si tu continues !, lui dis-je, entre 2 gémissements.
    - Non papa, pas encore, ta petite salope n'a pas encore fini ! », me répond-elle.

    Aussitôt, elle me lâche et se dirige vers le canapé en me laissant, planté là. Elle se met à genoux sur le bord, les jambes écartées à l'extrême, en position de levrette, les reins cambrés à se les casser. Je ne vois plus que son cul écartelé.

    « Viens papa, viens chercher ton cadeau d'anniversaire, je te laisse faire, dépucelle-moi, j'ai confiance en toi et pas touche avec les mains OK ! »

    Je m'approche d'elle, les mains toujours derrière le dos, je m'agenouille et approche ma bouche de la raie ouverte, je la lèche sur toute la longueur, du début de sa chatte jusqu'à sa rondelle où je m'attarde. Avec la pointe de ma langue, j'essaie de l'enfoncer, elle pénètre un peu, je tourne, je pousse, je lèche, puis je redescends vers sa vulve, j’attrape ses lèvres dans ma bouche, les mordille, les aspire, enfonce la langue dans sa chatte le plus loin possible !

    « Hummmmm, c’est bon, continue papa !»

    Elle mouille, ma salive se mêle à sa cyprine, je lui humecte l’anus avec. Elle se relève et vient devant moi, je suis toujours à genoux, elle me présente sa chatte, écarte ses lèvres avec ses doigts et me la plaque contre la bouche.

    « Vas-y, lèche-moi fort, enfonce ta langue, suce-moi le clito, j’adore quand on me l’aspire, suce le comme si c’était un petit pénis ! », me dit elle.

    Décidément, ma fille a des talents cachés, jamais je n’aurais cru qu’elle était aussi expérimentée sous ses airs de sainte nitouche. Je fais tout ce qu’elle me demande et elle gémit de plus en plus fort.

    « C’est bon, je crois que je suis prête, papa, tu peux te servir de tes mains, maintenant, je vais me remettre en levrette ! »

    Elle reprend la position qu’elle avait précédemment, totalement écartelée et offerte. Cette fois ci, c’est moi qui lui écarte les fesses, je lui lèche à nouveau sa rondelle, mais lui mets, en même temps, 2 doigts dans la chatte et je commence à la pilonner avec, ses gémissements se transforment vite en râles, puis, je lui met enfin 1 doigt dans son œillet et je pousse. Couvert de sa mouille, il n’a aucune difficulté à glisser dans son rectum, je l’enfonce en entier, puis je commence de léger va et vient.

    « Oh oui, c’est trop bon, continue, ahhhhhhhh, j’adoreeeeee... ! »

    J’en profite pour lui mettre un second doigt dans le cul, je lui doigte les 2 orifices, elle commence à remuer ses fesses de plaisir. C’est le moment ! Je retire mes doigts, dépose ma salive sur l'orifice convoité et présente mon gland, je tiens ma bite fermement, commence à pousser. Le gland disparaît en un instant, je m’arrête, autant pour profiter de cette merveilleuse sensation, que pour lui laisser le temps de se faire à cette intrusion contre-nature. Je reprends ma progression, mais voilà le passage le plus délicat, l’anneau rectal, la réaction est immédiate, je sens son sphincter qui se contracte.

    « Papa ! Ça commence à faire mal, c’est trop gros, ça ne rentrera pas, arrête !, me dit-elle, un peu paniquée.
    - mais non, détends-toi, ma chérie, fais confiance à papa, tu vas te caresser le clito et quand tu commenceras à avoir du plaisir, tu pousseras, doucement, tes fesses sur mon sexe, moi je ne bouge plus, j’attends !
    - OK, d’accord, je veux bien essayer ! »

    Elle se caresse, de plus en plus vite, d’ailleurs et les gémissements reprennent, je sens qu’elle pousse ses fesses vers moi, je ne bouge pas mais mon chibre a gagné quelques millimètres, ses râles montent en puissance et sa rondelle se dilate.

    « Ça rentre papa, je te sens glissé à l’intérieur, ça rentre toujours, ahhhhhhh ! »

    Je suis pratiquement au fond d’elle, je la saisis aux hanches et la tire doucement contre mon ventre, ça y est, ses fesses sont contre moi, j’encule ma fille, à fond !

    « je suis complètement en toi, tout au fond de tes reins !, lui dis-je.
    - Oh ouiiii, je la sens bien, elle m’écartèle tout l’anus, c’est chaud, c’est bon !
    - Ça va être encore meilleur, tu vas voir !, et je commence à bouger doucement en elle.
    - Ohhhhhhhhhh ouiiiiii, ahhhhhhhhhhhhhhh », crie-t-elle, tout en accélérant le traitement qu’elle inflige à son clito.

    Je suis complètement sorti et je replonge d’un coup en elle, à fond !

    « Ahhhhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me dépucelles le cul papa, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’écarte mes fesses, je m'ouvre pour toi, défonce moi, jouis en moi, donne-moi ton jus, baise-moi comme une chienne ! Je veux ton foutre dans mes entrailles ! »

    Ces mots me font me déchaîner, je la tiens fort aux hanches et la pistonne comme un soudard, ne pensant plus, maintenant, qu’à mon propre plaisir. Je sors en entier de ses reins, pour mieux replonger en eux aussi loin que la nature le permet. Claire hurle son plaisir !

    « Oui papa, ouiiiiiii, vas-y, je vais jouir du cul, continue, lime-moi à fond, je vais jouirrrrrrrrrr, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »

    Je n’y tiens plus, je me lâche aussi, mon foutre gicle au fond de ses entrailles.

    « Oouiiiiii, je sens ton sperme qui coule en moi, c’est chaudddddddd, que c’est bon, remplis-moi, mon petit papa adoré ! »

    Je n’en peux plus, je sue comme un damné, je la tiens fermement, je termine de m’écouler en elle, puis je m’écroule sur le côté. Quelle jouissance !

    « C’était bon, tu m'as fait jouir par un endroit où je croyais cela impossible, je ne regrette pas mon cadeau, tu sais, tu es le meilleur amant que je n'ai jamais eu !, me dit-elle.

    Je me laisse aller sur le dos, elle vient se coucher entre mes jambes, sa tête reposant sur mon aine, sa bouche se saisit de mon sexe ramolli, elle le suçote comme une tétine, extirpant les dernières gouttes de sperme qui subsistent, je savoure cet instant.

    « Si je reste comme ça, je vais m'endormir comme quand j'étais petite avec une tétine dans la bouche !, me dit-elle.
    - Oui, mais les tétines que tu avais, étant petite, ne grossissaient pas dans ta bouche, lorsque tu les suçais !, lui dis je, en rigolant.
    -Oui, c'est vrai, celle-là est déjà un peu plus grosse qu'au début, j'ai bien envie de voir jusqu'où elle peut aller ! »

    Claire me gratifie, alors, d'une fellation digne de la reine de Saba, afin de me redonner de la vigueur, puis jugeant que l'objectif est atteint, elle s'agenouille sur moi et enfonce l’objet de sa convoitise au fond de son ventre. Elle prend les directives, d'un bout à l'autre, je ne fais rien, à part apprécier la danse, tantôt langoureuse, tantôt effrénée, à laquelle elle se livre sur mon pieu, ma fille me fait l'amour. Pour ne pas être en reste, je caresse ses seins, les malaxes, jouant avec les tétons dressés, ce qu'elle apprécie au plus haut point. Elle accélère la cadence, puis s’arrête pour changer d’orifice, elle présente mon gland devant son anus et s’empale lentement dessus, jusqu’a ce que ses fesses reposent sur mes cuisses, la sarabande reprend. Elle se sodomise, elle-même, sur toute la longueur de ma hampe, je sens monter le peu de semence que mes testicules ont encore en réserve.

    Claire a entamé une chevauchée fantastique sur ma bite, fichée au fond de ses entrailles, elle se déchaîne, se pétrit les seins, se maltraite son clitoris. De sa bouche, sortent des mots crûs, elle n’est plus qu’une femelle qui ne pense plus qu’à sa jouissance. De sa gorge, sort un long râle, suivi d’un cri bestial, elle jouit à nouveau. C’en est trop pour moi, je lâche mon foutre et pris dans la tourmente, je lui dis :

    « Je viens aussi, ma salope adorée, je jouis, à nouveau, dans ton cul !
    - Vas-y, baise le cul de ta chienne de fille, remplis-le de ta semence, mon papa adoré ! »

    Mon corps se tend en arc de cercle, sous l’effet de la jouissance, ma queue la perfore un peu plus loin, ce qui lui arrache un cri, puis elle s'écroule sur ma poitrine, je la prends dans mes bras et lui dis :

    « Tu es belle, tu es magnifique, je t’adore, je t'aime, ma chérie !
    - Moi aussi, papa, je t'aime ! »

    Nos bouches se joignent dans un baiser fougueux, nos langues s’entremêlent comme des serpents, elles explorent, le plus loin possible, la cavité buccale de l’autre. Le temps, pour nous, s’est arrêté, nous restons ainsi, prostrés, l’un sur l’autre.
    23 heures, il faut bien revenir sur terre.

    « Je crois que ça va être l'heure pour toi de rentrer, ils sont certainement revenus de leur séance de cinéma !, lui dis-je.
    - J'aimerais tant passer la nuit avec toi, je suis si bien dans tes bras papa !, me dit-elle.
    - Moi aussi, ma chérie, mais tu sais bien que cela n'est pas possible, nous avons, déjà, franchi pas mal de limites, tous les deux, ces derniers temps, tu ne crois pas ? Alors, on va s'en contenter !
    - Oui, tu as raison, mais rien, ni personne, ne peut nous empêcher de recommencer quand on le souhaitera, je vais rentrer à la maison ! », me dit-elle.

    Je l'aide à s'habiller, puis, après un dernier baiser, elle s'en va.

    « Bonne nuit, mon petit papa, je t'aime !
    - Bonne nuit, ma chérie, moi aussi, je t'aime et merci encore pour ton inestimable cadeau, je m'en souviendrai le reste de mon existence !, lui-dis je et elle franchit la porte d'entrée, me laissant avec des images plein la tête ! »
    Après une bonne nuit de sommeil, je me réveille en pleine forme, que la vie est belle. Le téléphone sonne, je décroche, c'est Damien, mon fils qui m'appelle pour me souhaiter un bonne anniversaire.

    « Mes sœurs te l'ont déjà souhaité ?, me demande-t-il.
    – Pour l'instant, il n’y a que Claire, Julie par contre, pas encore, comme d’habitude, elle a dû oublier ! Claire est d'ailleurs passée hier soir pour me le souhaiter !
    – Ah, ok, elle est à la maison aujourd'hui ?
    – Je ne sais pas, je pense que oui, elle ne m’a pas dit qu'elle faisait quelque chose de spécial, pourquoi ?
    – Oh, pour rien, je voulais juste lui demander un "truc" !, me répond-il.
    – Appelle-la, tu verras bien !
    – Oui, je vais l'appeler, allez, à plus papa et bonne journée ! »

    Claire est affairée à préparer le repas dominical lorsque sonne son portable, c'est Pierre, son mari qui décroche.

    « Allo... ?
    – Salut Pierre, c'est Damien, ça va beau frère, je pourrais parler à Claire, stp ?
    – Oui, bien-sûr, je te la passe !
    – Salut le célibataire, comment vas-tu ?, dit Claire.
    – Salut, ça va, j'aurais un service à te demander, tu pourrais passer chez moi en fin d'après midi, j'ai un rapport très important à présenter pour lundi et j'aimerais que tu le relises, vu que tu es super douée en français, moi les tournures de phrases, tu sais que c'est pas trop mon truc. Viens plutôt sans les enfants, nous serons plus tranquilles pour la correction !
    – OK, frérot, je passerai vers 17 heures, prépare le café et du vrai, pas du café de célibataire, d'accord ?, dit Claire en rigolant.
    – OK, pas de problème, à tout à l'heure, sœurette ! »

    Damien est le jeune frère de Claire, il a 10 ans de moins qu'elle et vit seul en appartement.
    A 17 heures précises, Claire sonne chez lui, il ouvre la porte, vêtu d'un simple caleçon.

    « Eh bien, en voilà une tenue pour accueillir ta grande sœur, tu ne te foules pas beaucoup !
    – Ah, c'est sûr que comparé à toi ! T’es fringuée comme une ado qui aurait le feu aux fesses !, dit Damien.
    – Comment ? Ma tenue te plaît pas ?
    – Si, bien-sûr, si j'osais, je dirais même que tu es canon comme ça, viens, entre et mets-toi à l'aise ! »

    Elle enlève sa petite veste sous laquelle elle n'a qu'un top à fines bretelles, mettant son opulente poitrine en valeur, s'assied dans le canapé, sa jupe remontant largement sur ses cuisses.
    Son frère s'assied en face d'elle dans le fauteuil, pendant un moment, ils ne parlent que de banalités. Mais Claire remarque que Damien a une drôle de lueur dans les yeux, il la détaille plus que d'habitude, son regard reste souvent accroché sur sa poitrine et sur ses cuisses. Il se lève et elle voit nettement la bosse qui déforme son caleçon, mais ne lui en fait pas la remarque. Damien vient se mettre assis, à côté d'elle et lui pose une main sur le genou ce qui la met un peu mal à l'aise.

    « Je voudrais te montrer quelque chose !, dit Damien.
    – Ben oui, je suis venue pour ça, montre-moi ton texte !, répond Claire,
    – Non, non, il ne s'agit pas de ça, mais plutôt de ça ! »

    Ce faisant, il se lève et fait tomber son caleçon. Son sexe, tendu à l'extrême, jaillit tel un diable de sa boîte, il bande comme on peut bander à 25 ans, c'est à dire comme un âne !

    « Mais Damien, tu es fou, qu'est ce qui te prend ?, s'écrie Claire.
    – Tu me fais bander, je n'y peux rien, j'ai envie de faire l'amour avec toi !
    – Faire l'amour avec moi, mais je suis ta sœur, tu as perdu la raison, qu'est-ce qui t'arrive ?
    – Ce qu'il m'arrive ? Et bien, il m'arrive que depuis l'âge de 15 ans, j'y pense, tu as hanté toutes mes nuits d'ado ! Je me suis branlé des dizaines de fois en pensant à toi, je t'épiais quand je le pouvais pour voir un bout de sein ou un bout de tes cuisses, tu m'as rendu fou, à certains moments, tellement je fantasmais sur toi !
    – Je ne le savais pas et crois moi, je suis franchement désolée que tu te sois mis dans des états pareils à cause de moi. De toute façon, cela ne change rien au fait que je ne coucherai pas avec toi, nous sommes frère et sœur, tu l'oublies !, lui dit Claire.
    – OK, j'ai compris, je n'insiste pas alors... !
    – C'est bien, tu es raisonnable, mais si tu veux te soulager, tu peux, je comprendrais très bien !
    – Non, ça ira, je vais brancher mon PC sur le grand écran et on va commencer à faire la correction !
    – OK, c'est mieux comme ça, allez fais-moi voir ce texte ! », lui dit Claire avec un sourire.

    Tout en démarrant le système, il dit à sa sœur :

    « Avant de te montrer le texte, je voudrais que tu regardes une petite vidéo marrante que j'ai depuis hier, je suis sûr que tu vas aimer !
    – OK, on peut rigoler un peu avant de commencer ! »

    Mais dès que la vidéo a démarré, le sourire de Claire se fige, elle se sent mal tout à coup, le sang se retire de son visage. Les images qui défilent à l'écran ne sont rien d'autre qu'elle en levrette, totalement écartelée et son père, leur père enfonçant son sexe profondément dans ses reins.

    « Alors grande sœur, on dirait bien que tu as pris ton pied avec papa ? dit Damien en se tournant vers elle.
    – Mais co..., comment ? Mais, où as-tu eu ces images ?, dit Claire, complètement affolée.
    – Et bien, samedi soir, je suis passé chez papa pour lui souhaiter son anniversaire, j'ai sonné plusieurs fois, mais personne ne répondait, je savais que tu étais là car j'avais vu ta voiture devant la porte ! Pensant que vous étiez dans le jardin, j'ai fait le tour de la maison, arrivé sur la terrasse, j'ai entendu des gémissements, je me suis approché doucement et je vous ai vu en train de faire l'amour, j'ai sorti mon portable pour filmer, plutôt réussies, les images, tu ne trouves pas ?
    – Damien, je ne sais pas quoi te dire !, dit Claire, totalement désespérée. Tu vas faire quoi avec cette vidéo, ne fais pas de bêtises, je t'en supplie, tu pourrais gâcher ma vie et celle de papa !, supplie Claire
    – Cela n'est pas mon intention, d'ailleurs, je suis prêt à te la donner ou à l'effacer, comme tu le voudras, mais pour cela, je veux quelque chose, ma chère sœur !
    – Tu veux quoi, Damien, de l'argent ?
    – Ne soit pas bête, Claire, je veux simplement baiser le fantasme de mon adolescence et la boucle sera bouclée ! En clair, je te veux, toi et te faire l'amour, comme papa te l'a fait !
    – Il n'en n'est pas question, tu rigoles, tu me prends pour qui ?
    – Tu as fait l'amour avec papa, tu peux très bien le faire avec moi aussi, personne ne le saura, à part nous deux !
    – Avec papa, ça n'était pas pareil, c'est venu naturellement, tandis que toi, tu fais du chantage !
    – Je suis désolé, Claire, mais je n'ai trouvé que ce moyen et j'ai beaucoup trop envie de toi pour y renoncer !
    – Écoute Damien, à la limite, je veux bien te masturber pour te soulager, mais il est hors de question que je couche avec toi, je pense que tu ne voudrais pas te fâcher avec papa, en diffusant cette vidéo ! »

    Claire venait de marquer un point, Damien se mit à réfléchir.

    « OK, sœurette, je dois admettre que tu as raison, dans ce cas on va faire un deal tous les deux, tu vas faire ce que je te demande pendant, disons 10 minutes, ça te va ?
    – Bon, OK, si ça peux te faire plaisir, mais pas de pénétration, on est d'accord ?
    – C'est promis !, dit Damien
    – Bon, tu veux que je fasse quoi ?
    – D'abord, tu commences par te déshabiller, je veux, enfin, pouvoir admirer tes seins ! »

    Claire se met debout, fait passer le top par dessus sa tête, puis enlève sa jupe pour se retrouver en sous-vêtements, soutien-gorge et string.

    « La vache... ! Tourne sur toi-même, doucement que je puisse te contempler ! », lui commande Damien.

    Claire s'exécute en faisant plusieurs tours.

    « Ça va, monsieur est satisfait de la marchandise ? », dit-elle.

    Pour toute réponse, il lui ordonne d'enlever le reste. Claire obéit et se retrouve à présent toute nue devant son frère.

    « Attends, je vais nous mettre à égalité ! », lui dit il en retirant son short.

    Sa verge est tendue à l'extrême, pratiquement à la verticale. Claire ne peut s'empêcher de poser son regard dessus. Il s’approche d’elle et tend la main vers un sein.

    « Je peux les caresser ?, demande-t-il.
    – Oui, OK, d’accord, je veux bien t’accorder cette faveur, depuis le temps que tu en rêves ! »

    Il pose délicatement ses mains sur les deux globes et les caressent, les pétrissant, les frottant et les serrant l’un contre l’autre. Ses doigts s’attardent un peu sur les tétons qui se mettent à bander sous l’effet du contact étranger. Il passe derrière elle et s’arrange pour qu’au passage son pieu brûlant vienne frotter contre les fesses de sa sœur.

    « Damien, je crois que ça suffit !, lui dit Claire, un peu remuée, quand-même, par ces différents attouchements. On peut dire que tu es vraiment excité, petit frère !
    – C'est de ta faute, si tu ne veux plus que je touche ta poitrine, alors, caresse-la toi-même et ton minou aussi !
    – Tu rigoles... !
    – Tu m'as promis de faire ce que je te demanderai, tu renies ta parole ?
    – Non, pas du tout, c'est vrai, je te l'ai promis ! » Répond-elle.

    Claire obéit et commence à se caresser la poitrine d'une main, tandis que l'autre descend sur son mont de vénus. Damien empoigne son membre et débute une lente masturbation, en regardant sa sœur.

    « Vas-y, malaxe tes tétons entre tes doigts et caresse toi le clito ! », dit il en s'approchant d'elle 

    Claire s'exécute et au bout de quelques instants, commence à ressentir les premières prémices agréables des caresses qu'elle se procure.

    « Retourne-toi maintenant, mets-toi en levrette sur le canapé et continue à te faire du bien. Oui, voilà, comme ça, cambre plus tes fesses, je veux que tu t'enfonces un doigt dans ta grotte !
    – D'accord, mais après ça, j'arrête, je te préviens ! », lui dit Claire avec une voix légèrement chevrotante.

    Damien qui est derrière elle, voit le doigt de sa sœur disparaître entre ses lèvres intimes, il se déplace et va se positionner devant elle.

    « Regarde, sœurette, regarde comme tu me fais bander, elle va exploser ! »

    Claire lève les yeux vers le sexe turgescent de son frère.

    « C'est vrai qu'elle est grosse et gonflée à l'extrême, je crois qu'il est temps qu'on en finisse !, dit elle.
    – OK, d'accord, mais je veux que tu continues à te doigter pendant que tu me branleras ! »

    Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable, se dit Claire, un petit orgasme pour elle, pendant qu'elle branle Damien, de toute façon dans l'état où il est, il ne mettra pas longtemps à venir. Elle saisit le chibre fraternel et commence les mouvements de va-et-vient d'une main, pendant que de l'autre, elle entreprend son clitoris .Damien est aux anges, les mains sur les hanches, il pousse son bas-ventre en avant, au devant de la main de sa sœur, son sexe est brûlant et cette chaleur se transmet instantanément à la paume de la main de Claire, traverse son épiderme et progresse jusqu'a son cerveau, déclenchant une réaction primaire, venue du fond des âges ! Elle veut ce sexe de mâle, sa vulve humide le réclame !

    « Non, non, je ne dois pas, mais qu'est-ce qui m'arrive, non pas avec mon frère, mais j'en ai tellement envie, je veux sa queue au fond de mon ventre, NON !!! OUI !!!!! »

    Imperceptiblement, son bras se replie, rapprochant ce pieu brûlant de son visage, son autre main maltraite son clitoris, si fort à présent, qu'elle sent monter en elle l'orgasme. Elle n'y tient plus, au moment où celui ci éclate dans son ventre, elle ouvre la bouche et ses lèvres se referment sur le gland violacé. Damien avait fermé les yeux pour apprécier la masturbation que lui prodiguait sa sœur, lorsqu'il sent les lèvres se refermer sur son gland, il pousse un rugissement de fauve. Claire pompe le champignon de chair pendant que sa main continue d'agiter la hampe.

    « Putain ! Frangine que c'est bon, je vais jouir !
    – Non, pas encore, je veux sentir ton membre en moi, tu es si gros et si chaud, je veux que tu me prennes, viens derrière-moi, enfonce-toi en moi, je suis toute mouillée, tu as réussi à m'exciter grave ! »

    Elle le lâche et Damien se précipite à l'arrière de sa sœur.

    « Quel cul tu as ! Cambre-le à fond, stp. ! »

    Elle s'exécute, creusant ses reins autant qu'elle le peut et ouvrant le compas de ses jambes au maximum.

    « Tu es toute mouillée, tu as vraiment envie de ma bite ! »

    Damien saisit sa queue et en frotte la tête sur le sillon luisant de cyprine, Claire se met à gémir :

    « Vas-y Damien, enfonce-toi, viens, je suis chaude, remplis-moi mon ventre avec ta matraque ! »

    Jamais celui ci, même dans ses rêves les plus fous, n'avait songé être un jour à pareille fête avec ses fesses qu'il convoitait depuis des années. Il retarde le moment où il plongera son chibre entre ses lèvres humides d'envie, voulant profiter, à satiété, de la vue de cette croupe de femelle en rut. Puis, n'y tenant plus, il agrippe sa sœur aux hanches, la tient fermement, plie un peu les genoux pour présenter son gland à l'entrée convoitée, donne un grand coup de rein qui le propulse directement au fond du puits d'amour, tant les parois de celui-ci sont lubrifiées par l'excitation.

    « Ahhhhhhhhhhhhh oui ! Qu'elle est grosse et brûlante, reste au fond de moi, je veux profiter de cet instant, je te sens tout en entier en moi, tu me touches au fond, ohhhhhhhh que c'est bon ! », crie Claire.

    Il l'attire contre son ventre autant qu'il peut, voulant la pénétrer le plus loin possible, se frotte contre les fesses de bas en haut, dans l'espoir de gagner quelques millimètres, son cerveau explose dans une myriade d'étoiles, tant la sensation que cette pénétration lui procure est intense.

    « Je te sens, petit frère, ohhh, comme je te sens bien, fais-moi l'amour, je t'en prie, fais jouir ta grande sœur, baise-moiiiiiiiiiii... ! »

    Les deux derniers mots résonnent comme un coup de fouet à ses oreilles, il entame, alors, une danse endiablée, accroché aux fesses de sa sœur, il la perfore, la pistonne, la fore, la laboure. Elle n'a jamais été prise avec tant d'ardeur, ne mouillant plus, mais coulant littéralement, chaque coup lui arrache un gémissement. Des gémissements qui vont crescendo, accompagnant la cavalcade folle à laquelle se livre son frère.

    « Damiennnnnnn... ! Je jouiiiiiiiiiiis, ohhhhhhhhhhh mon dieu, que c'est bon, hummmmm ! vas y, encoreee, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh... ! »

    Damien ralentit, petit à petit, la cadence, puis se retire du ventre de Claire, le sexe toujours aussi tendu et couvert de la cyprine de sa sœur. Elle se retourne vers lui, tout son mascara a coulé, ses cheveux sont collés par la sueur.

    « Et bien petit frère, je vais te faire une confidence, je ne regrette pas d'avoir cédé à la tentation ! Tu m'as baisée comme une bête, jamais ma chatte n'avait subi un tel traitement, j'ai eu un orgasme de folie ! Mais; dis-moi, tu n'as pas joui, toi, tu bandes encore comme un étalon !
    – Non grande sœur, j'ai d'autres projets pour ça !
    – Ohhhh, je te vois venir, toi, je suis d'accord, mais doucement et prépare-moi un peu avant !
    – Viens, mets-toi par terre ! »

    Claire obéit, se positionne au sol, fessier cambré au maximum et jambes serrées, le visage plaqué au sol, position qui remonte ses fesses et à l'avantage de présenter, en premier, sa rosette.
    Damien s’agenouille derrière elle et commence à promener sa langue sur la raie offerte, il va des grandes lèvres jusqu'au petit orifice, Claire commence à couiner aussitôt. Il dépose un filet de salive sur la petite étoile afin de la lubrifier avec la pointe de sa langue, sa sœur passe ses mains derrière elle, attrape ses globes pour les écarter au maximum, afin de faciliter l'introspection linguale. Damien met un doigt, l'enfonce doucement en le tournant, celui-ci disparaît, sans effort, en provoquant juste un couinement plus prononcé de la part de Claire. Il entreprend un va-et-vient avec son index, puis au bout d'un moment, ajoute un second doigt qui ne pose pas plus de problème que le premier.

    « Ohhh..., c'est bon ce que tu me fais, j'aime, ouiiiii... ! »

    Deux doigts dans le rectum, il en met deux autres dans le vagin et lui pistonne les deux orifices.

    « C'est bon, oui, oui, oui, encoreeeeee, continuuuue... ! »

    Mais le brave Damien n'en peut plus, il veut prendre son plaisir aussi, il veut jouir maintenant.
    Il se relève, se met debout, une jambe de chaque côté du cul offert, sa main pousse son chibre vers le bas, puis il descend lentement vers l'orifice luisant et palpitant. Son gland arrive au contact, cela lui envoie une dose d'adrénaline dans les reins, il continue sa descente, le gland comprime les chairs pendant un moment, puis disparaît, comme aspiré.

    « Oh, comme c'est chaud, continue frérot, continue, sodomise-moi... ! »

    Damien poursuit sa progression, il sent qu'il est en contact avec le fameux anneau rectal, il pousse, Claire râle, gémit, puis d'un seul coup, il glisse jusqu'au plus profond du conduit, accompagné d'un feulement de bête venant du fond de la gorge de Claire. Son rêve se réalise.

    « Enfin, je l'ai eue, j'encule mon fantasme, je vais enfin pouvoir jouir dans ce cul qui m'a obsédé pendant toutes ces années !, se dit-il dans sa tête.
    – Oh Damien, comme tu es gros, tu me remplis en entier, je te sens tout le long, tu m'ouvres à fond ! Fais-moi jouir- aussi de ce côté là, vas-y ! »

    Damien ressort son chibre et replonge direct en entier, ne pensant plus qu'a son propre plaisir, à ses fantasmes. Il essaie toutes les combinaisons qui lui viennent à l'esprit, lent, rapide, ressortir, replonger, juste le gland, il fait même un 360°, le sexe fiché dans le cul de sa sœur. Celle-ci n'en peut plus, elle appelle la jouissance, supplie Damien, mais lui n'en a cure. Il se dégage d'elle et lui dit :

    « Viens, lève-toi et suis-moi, on va dans la salle de bains ! Appuie-toi au lavabo, ainsi je pourrai te voir dans la glace lorsque tu jouiras, cambre bien tes fesses en arrière !
    – Hummm, t'es un petit pervers frérot, mais j'aime ça ! », répond Claire et elle se met en position.

    Damien présente son gland entre ses deux globes et lorsqu'il est au contact du conduit l'embroche d'un seul coup.

    « Ahhhhhhhhh, petit salaud, tu te lâches, on dirait, heureusement que tu m'avais déjà bien ouverte ! »

    Damien ne l'entend déjà plus, accroché à ses hanches, il la besogne comme un fou, les gros seins de Claire ballotent dans tous les sens, elle est obligée de se cramponner au lavabo.

    « Tu la sens dans ton cul, ma grosse queue, espèce de salope, grosse chienne, je vais te le baiser, ton gros cul de vache !
    – Ouiiiiiii, gros porc, vas-y, défonce-moi mon gros cul, donne-moi ton foutre, arrose-moi les entrailles avec, vas-y plus fort, éclate-moi les fesses, prends-moi les mamelles, malaxe-les, allezzzzzz..., vas-yyyyyyyyyyy... ! »

    Damien s'accroche aux seins de sa sœur et les pétrit comme de la pâte, il lui pince les tétons à l'en faire crier.

    « Je viens, je viens dans ton cul de jument !
    – Oui, ouiiiiiiiii, viens, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, envoie ta sauceeeeeeeeeeeee !
    – Ça y est, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ! », crie Damien.

    Il est accroché au fessier de sa soeur, ne bouge plus et se vide en elle en longs jets.

    « Oh oui, je te sens, tu coules dans mes reins, je sens ton sperme qui gicle en moi, ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, que c'est bonnnnnnnnn... ! »

    Il reste un moment accouplé, puis Damien se retire et s'assied sur la baignoire, le souffle court, Claire se retourne vers lui :

    « Hé bien, petit frère, qu'est-ce que tu m'as mis ! Regarde tout ce sperme qui coule sur mes cuisses. Tu es un super amant ! »

    Elle s'approche de lui et lui dépose un baiser sur la joue :

    « J'avais tellement envie de ça, depuis si longtemps, tu sais ?, lui dit il.
    – Oui, je m'en suis rendue compte !
    – Euh, Claire, tous les mots crus que je t'ai dit tout à l’heure, tu sais, je les pensais pas, c'était sous le feu de l'action !
    – Je sais bien, gros bêta, pour moi c'est pareil, quand c'est trop bon, on a du mal à se contrôler, en tout cas, sache que je ne regrette rien et que je ne t'en veux plus pour le petit film !
    – Ah oui, viens, on va l'effacer tous les deux !
    – Va, passe devant, je préfère être derrière toi, on ne sais jamais, au cas où mon gros cul de salope réveillerait tes bas instincts, je ne tiens pas à me faire agresser entre ici et le salon !, lui dit Claire, en rigolant.
    – Voilà, c'est fait, Claire, j'ai tout préparé pour effacer la vidéo, à toi l'honneur !
    – Oui, merci, on a le temps, apprécions d'abord, dans le calme, le moment que l'on vient de vivre tous les deux !
    – J'espère que ce ne sera pas le dernier !
    – Qui sait ? Entre toi et papa, j'ai le choix à présent, en plus de mon mari !, répond Claire, en lui faisant un sourire. Je vais prendre une douche, j'ai ton sperme qui me dégouline sur les cuisses !
    – Pas de problème, grande sœur, moi je vais me reposer un peu sur le canapé, tu m'as vidé au sens propre, comme au figuré ! »

    À peine Claire est-elle dans la salle de bains et Damien couché que la sonnette de la porte d'entrée retentit. Julie, soeur de Claire et de Damien, est une jeune femme célibataire, étudiante aux Beaux-Arts, c'est une féministe convaincue . "Le mâle qui me dictera sa loi, n'est pas encore né !", telle est sa devise. Un peu bohème et très libérée, elle prend la vie comme elle vient, profitant au maximum de l'instant présent. Dans sa petite chambre de bonne, elle connaît souvent des fins de mois difficiles, mais heureusement que son père est là pour l'aider. Et ce mois-ci a été particulièrement dur, sa fierté lui interdit de retourner voir son père qui lui a déjà donné son argent du mois.

    Je ne peux pas demander à Claire, elle a une famille et son mari ne la porte pas trop dans son cœur, donc il ne reste que Damien, se dit-elle. Lui, comprendra, il est célibataire, comme moi et il est passé par là aussi, avant d'avoir un travail régulier. Sa décision est prise, elle ira voir son frère, le temps de mettre son casque et d'enfourcher son scooter, la voilà partie. Arrivée devant sa porte, elle est déjà un peu moins sûre d'elle et s'il me remballe, se dit-elle, allez courage, ma fille, je n'ai pas fait tout ce chemin pour me dégonfler maintenant, elle appuie sur le bouton de la sonnette.

    Damien attrape vite fait son caleçon, l'enfile et va ouvrir.

    « Salut Damien, comment tu vas, je passais dans le coin quand l'idée m'est venue de te faire un petit coucou !, lui dit-elle avec son plus beau sourire.
    ‒ Ah, c'est toi Julie !, répond-il.
    ‒ Ça fait plaisir de voir à quel point tu es content de me voir, je dérange ?, dit-elle, dépitée.
    ‒ Non, non, mais je ne m'attendais pas... !
    ‒ Je peux entrer ?
    ‒ Oui, oui bien-sûr, viens ! », dit Damien, un peu mal à l'aise, ce que ne manque pas de remarquer Julie.

    Elle pénètre dans l'appartement et voit de suite les habits de femme qui traînent sur le divan, de plus elle entend le bruit de la douche. Elle se retourne vers son frère et lui dit :

    « Je vois bien que je dérange, tu es en bonne compagnie, j'espère que je ne suis pas arrivée en plus au mauvais moment ? »

    Damien n'a pas le temps de répondre que s'ouvre la porte de la salle de bain, Claire en sort toute nue, une serviette sur la tête, en train de s'essuyer les cheveux.

    « Damien, tu n'aurais pas une autre serviette propre, tu pourrais m'essuyer le dos ?, dit elle, en même temps qu'elle baisse la serviette.
    ‒ JULIE !
    ‒ CLAIRE ! mais c'est quoi ça ? s'exclame Julie, puis elle se tourne vers Damien.
    --Ne me dis pas que vous avez baisé ensemble, réponds frangin, ton caleçon est plein de taches !
    ‒ Ben si, Julie, Claire et moi, on a couché ensemble !, répond-il.
    ‒ Eh ben, merde alors ! Si je m'attendais à celle-là, toi Claire, faire l'amour avec notre frère, alors que je te croyais coincée comme une porte d'abbaye, alors là, tu m'épates !, s'exclame Julie.
    ‒ Je peux tout t'expliquer... !, lui dit Claire, complètement décontenancée.
    ‒ Tu n'as rien à m'expliquer, je m'en fous comme de l'an quarante que vous baisiez ensemble, je suis simplement surprise et le mot est faible. Jamais je ne t'aurai cru capable de ça !, dit Julie.
    ‒ Tu ne le diras à personne, alors ?, demande timidement, Claire
    ‒ Mais non, voyons, pourquoi je ferais ça, je t'ai dit que je m'en foutait, ça ne changera rien entre nous trois !, lui répond Julie.
    --Mais, dis-moi, t'es vachement bien gaulée pour une mère de famille, je comprends que le frangin ait craqué ! »

    Tout en disant cela, Julie s'approche de sa sœur, pose une main sur un sein et l'autre sur ses fesses,

    « Eh ! Ça tient la route tout ça, tout est bien à sa place ! »

    Sans prévenir Julie se déshabille, elle est nue en un clin d'œil.

    « Et voilà, comme ça, nous sommes tous les trois à égalité, allez frangin, enlève-moi ce bout de tissu ! », dit Julie.

    Damien s'exécute.

    « Humm belle pièce frérot, la nature t'as gâté !, lui dit Julie sur un ton admiratif, puis elle se retourne vers Claire
    --Tu sais que tu me fait de l'effet, grande sœur !, dit Julie
    ‒ Comment ça ? Je te fais de l'effet, que veux tu dire ?, répond Claire qui a repris un peu d'assurance.
    ‒ Tu me fais de l'effet, tu veux que je fasse un dessin, regarde, j'en ai la chair de poule et mes tétons se sont durcis ! »

    Tout en parlant, elle contourne Claire, vient se placer dans son dos, la prend par la taille et se plaque contre elle, écrasant sa poitrine contre sa sœur.

    « Tu les sens comme ils sont durs ?, lui demande-t-elle.
    ‒ Mais enfin, Julie, qu'est-ce que tu fais, arrête ! », dit Claire, totalement surprise par le comportement de sa sœur.

    Celle-ci a déjà remonté ses mains et emprisonne ses seins entre ses doigts.

    « Tu as des seins superbes, ma belle, bien plus beaux que les miens, tu permets que je les caresse ? »

    Sans attendre la réponse de Claire, Julie commence ses attouchements, s'attaquant directement aux tétons qui ne tardent pas à réagir. De plus, elle frotte son pubis contre les fesses de sa sœur en un lent mouvement circulaire.

    « Julie arrête stop, je ne suis pas une...
    ‒ Une quoi ? Une lesbienne, tu veux dire, eh bien moi non plus, mais juste un peu bi. Tu n'aimes pas ce que je te fais ?
    ‒ Si, c'est bon, mais je n'ai jamais eu ce type de rapport !, lui dit Claire.
    ‒ Et bien, c'est le moment d'essayer, tu ne crois pas, laisse-toi faire, tu verras, c'est aussi bon qu'avec un homme et parfois, mieux même ! »

    Damien qui n'a pas perdu une miette du spectacle que lui offre ses deux sœurs bande déjà comme un taureau.

    « Regarde notre petit frère, notre manège lui fait un sacré effet en tout cas, tu as vu comme il bande, je suis sûre qu'il ne demanderait pas mieux qu'une de nous deux le suce !, dit Julie
    ‒ Oui, sûrement !, répond Claire, un peu déstabilisée par les attouchements de sa sœur sur son corps.
    ‒ Tu aimerais sucer sa grosse queue pendant que je m'occupe de ta chatte et de ton petit bouton ? »

    Le langage qu'emploie Julie a le don d'ébranler sérieusement les dernières réticences de Claire.

    « Assieds-toi sur le canapé, tu vas voir, tu vas aimer ! », lui dit-elle, tout en la poussant doucement.

    Julie s'agenouille devant sa sœur et lui écarte les jambes.

    « Avance-toi un peu plus vers le bord et ouvre tes cuisses, ferme les yeux, ça n'en sera que meilleur ! »

    Claire obéit, se positionne, Julie enfouit sa tête entre le compas ouvert et commence à promener sa langue sur l'intérieur des cuisses, là où la peau est la plus douce. Au moment où Claire sent le contact de la langue de sa sœur, elle se raidit légèrement.

    « Zen, sœurette, laisse-toi aller ! »

    Julie continue ses caresses linguales. Imperceptiblement, elle sent Claire se détendre, elle n'est plus très loin de l'antre convoité, sa langue effleure les grandes lèvres, s'insinue entre elles pour se frayer un chemin, puis s'enfonce au plus profond du puits d'amour. Claire pousse un gémissement que Julie interprète comme un acquiescement, elle la fouille désormais dans les moindres recoins de sa vulve, la cyprine envahit peu à peu son palais. Sa bouche remonte vers l'objectif ultime, elle s'en sert comme d'une ventouse et aspire le capuchon protecteur, puis le repousse avec ses lèvres pour découvrir la chair convoitée. La langue de Julie entreprend une sarabande effrénée sur le clitoris découvert, les mains de sa sœur se posent sur sa tête et la force contre son ventre, ses gémissements montent en puissance. Damien a les yeux fous, jamais il n'aurait imaginé pouvoir assister à une telle scène. Julie lui fait signe de la main de venir se mettre à côté de leur sœur sur le canapé, ce qu'il fait immédiatement.

    « Donne-lui ta queue et caresse-lui les seins ! », ordonne Julie à son frère.

    Damien obtempère et présente son chibre tendu devant la bouche de Claire en écrasant le gland sur les lèvres. Elle l'ouvre de suite et avale le membre offert, elle saisit la hampe, puis commence une fellation en règle. Tout en lui martyrisant le clito de ses caresses, Julie fouille le vagin de sa sœur de ses doigts, un, deux, puis trois, le bassin se met en mouvement, allant au devant de cette pénétration manuelle. Mais Julie ne s'arrête pas là, elle veut explorer tous les orifices dont la nature a pourvu sa sœur. De son autre main, elle caresse, de l'index, la petite corolle plissée, elle la mouille de sa propre cyprine, puis l'enfonce doucement dans le fondement de Claire. Dès qu'elle sent les intentions de sa sœur, Claire lève légèrement le bassin pour lui faciliter la tâche, le doigt disparaît au fond des reins. Julie mouille comme une folle, l'excitation de la situation, plus l'envie de jouir, font qu'elle se déchaîne à présent sur sa sœur !

    « Viens Damien, prends-moi, mets-moi ta grosse queue, viens me baiser, aussi ! », hurle-t-elle.

    Délaissant Claire, il se jette littéralement sur le fessier de Julie et sans autre forme de procès, l'embroche d'un seul coup, complètement à fond !


    « Ouaaahhhhh, la vache ! Mon salaud, quelle matraque ! Heureusement que je suis bien lubrifiée ! Tu me remplis toute ma chatte, je te sens jusqu'au fond, vas-y, bouge ! », dit-elle, en remuant son fessier sur le sexe enfoncé dans son ventre.

    Puis, elle continue de s'acharner sur la vulve de Claire, celle ci a une vue imprenable sur le sexe de Damien qui va et vient entre les fesses de sa soeur, ce qui en rajoute encore à son excitation. Ce ne sont plus que cris, gémissements et râles de la part des 3 protagonistes. Claire n'en peut plus, la jouissance monte inexorablement dans son ventre, ses mains pétrissent ses seins, ses doigts triturent ses tétons, durs comme du granit, elle agite sa tête de gauche à droite, son bas-ventre est animé de mouvements qu'elle ne contrôle plus, se projetant au devant de la langue, des doigts qui la fouillent jusqu'au plus profond de son intimité. L'orgasme libérateur éclate, un long cri sort du plus profond de sa gorge, en même temps que ses doigts crochètent les cheveux de Julie, comme des serres et plaque sa bouche sur sa chatte dégoulinant de mouille.

    « Ahhhhhhhhhhhhhhhhh, je jouissssssssss, ma Julieeeeee, ohhh, que c'est bonnnnnnnnnnnnnn ! »

    Elle resserre ses cuisses sur la tête de Julie qui descend crescendo l'intensité de sa caresse buccale jusqu'à ce que sa sœur détende tous ses muscles et se laisse aller sur le divan comme une poupée désarticulée.

    « À moi, maintenant, vas-y Damien emmène ta sœur au septième ciel, fais-moi voir de quoi ta grosse queue est capable ! », dit Julie.

    Celui-ci se démène comme un forcené sur la vulve offerte, se retirant entièrement et replongeant, d'un trait, le plus loin possible. Julie s'écartèle encore un peu plus, cambrant ses reins, afin de sentir au maximum la colonne de chair qui la fouille. Cette position découvre un peu plus le petit oeilleton plissé qui réveille les envies de sodomie de Damien, il mouille son doigt et le pose sur la rosette, il pousse et rentre sans difficulté, Julie apprécie en poussant un "hummmmmm" de contentement. Il n'en fallait pas plus, il prend ce gémissement pour une invite, se retire de la chatte et présente son gland sur l'orifice étoilé.

    « Mais on dirait que ce brave frangin veut m'enculer !, dit Julie en tournant sa tête vers lui.
    --Alors, vas-y, enfonce-la-moi, mais vas-y mollo, quand-même ! », dit elle.

    Claire qui est remise de sa jouissance lesbienne, vient se placer derrière sa sœur pour assister à la pénétration anale.

    « Aide-le, écarte-moi les fesses, Claire ! »

    Claire, qui souhaite voir le gros sexe de son frère sodomiser Julie, obéit, place ses mains sur les globes pour les écarter, du coup, l'anus convoité baille légèrement, puis elle dépose, sur l'ouverture, un maximum de salive, attrape la hampe fraternelle pour poser le gland turgescent sur l'orifice, celui-ci disparaît dans le fondement de Julie à la première poussée !

    « Ouahhhh, je la sens, purée, t'es bien monté, petit frère, vas-y, rentre-la-moi en entier ! »

    Damien continue, il sent que ça accroche, mais pousse plus fort, résistance éphémère, puis toute la colonne est avalée, son ventre butant sur les fesses écartelées.

    « Ohhhhhhhhhh, tu m'ouvres en deux, attends que je m'habitue à ton calibre, tu me remplis le cul, Claire, caresse- moi le clito et les seins ! », ordonne Julie.

    Chauffée par la situation, elle ne se fait pas prier. Dès que Julie sent les mains de Claire sur son corps, elle commence un léger va et vient sur la bite qui lui fore les reins. Au bout d'un moment, elle s'empale, d'elle même, sur toute la longueur de la tige qui la fouille. Damien n'y tient plus, l'attrape par les hanches et lui impose sa propre cadence qui va en s'accélérant au fur et à mesure qu'il sent progresser son besoin de jouissance.

    « Ahhh, je vais te lâcher tout mon jus dans ton cul !
    ‒ Oui, vas-y, bourre-moi à fond, donne ton foutre, vas-y Claire, plus vite et plus fort sur mon clito, écrase mes tétons entre tes doigts, ohhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiii, j'aimeeee, j'adoreeeeeeeee, faites-moi jouir tous les deuxxxxxxxx ! »

    Damien laisse éclater sa jouissance au fond des entrailles de sa sœur, il donne deux ou trois coups violents, tout en expulsant son sperme.

    « Ahhhhhhhhhhhhhhh, tu m'éclates, je sens ton foutre chaud qui se déverse dans mes fesses, je jouisssssssss, donne-moi toutttttttttttt, ohhhhhhhhhhh que c'est bonnnnnnn ! »

    Damien est collé aus fesses de Julie, la tirant contre son ventre de toutes ses forces, puis il la relâche, elle s'écroule lentement au sol comme un pantin, submergée par l'orgasme qu'elle vient d'avoir !
    Petit à petit, tout le monde reprend ses esprits...

    « Tu parles d'une partie de baise ! Je ne sais pas pour vous mais moi c'est une des meilleures que j'ai vécue !, dit Julie.
    ‒ Et moi donc, je me suis fait mes deux frangines dans la même journée, c'est le pied non ?
    ‒ Pour moi, cela aura été ma première jouissance avec une femme, donc journée positive pour tout le monde !, dit Claire, en rigolant.
    ‒ À mon tour de prendre une douche ! Damien se lève et part vers la salle de bains.
    ‒ On va se remettre de nos émotions en attendant notre tour ! », dit Claire à Damien.

    Les deux sœurs s'asseyent devant la télé, Julie attrape la télécommande pour faire démarrer l'appareil, Claire n'y prête pas attention...

    "oh un film X " dit Julie
    Claire réalise ,mais il est trop tard
    "mais c'est papa ! et la femme ? mais,mais, c'est toi "dit Julie en se tournant vers sa sœur
    "putain!, t'as baisée aussi avec papa eh bien bonjour la moralité, alors là grande sœur tu m'épates de plus en plus, je passe pour une nonne à côté de toi. Mais tu es une vraie nymphomane ma parole!"
    "Julie ça n'est pas ce que tu crois, cela s'est fait petit à petit" balbutie Claire et elle lui raconte toute l'histoire depuis le début, mentionnant également le plus ou moins chantage de Damien
    "tu me diras je les comprends tous les deux c'est vrai que tu as un corps de déesse même moi tu m'as fait craquée " 
    "je vais être honnête avec toi, aussi loin que je me rappelle ce sont les meilleures orgasmes que j'ai eue de ma vie, plus avec papa quand même qu'avec Damien et je pense que je recommencerai surtout avec papa" dit Claire
    "j'aurai bien envie d'essayer aussi avec lui mais je me vois mal aller le voir et lui dire que je voudrai qu'il me fasse l'amour alors que lui n'en n'aura peut être pas forcément envie. Surtout que tu as toujours été sa préférée, je le remarquais bien mais j'ai fait avec pendant toutes ces années "
    "je suis désolée Julie, tu sais je n'ai jamais rien fait pour ça"
    "mais je ne t'en veux pas tu es toujours ma grande sœur adorée et même un peu plus encore aujourd'hui" répond Julie tout en se penchant et posant un baiser sur un téton de Claire, elle se relève brusquement et s'exclame 
    "j'ai une idée!"
    "une idée pour quoi?"
    "une idée pour amener papa à me faire l'amour. On va attendre que Damien sorte de la douche pour lui en parler, il faut qu'il participe sinon ça ne marchera pas et si cela lui permet de refaire l'amour avec nous je pense qu'il sera d'accord de suite" dit Julie
    Damien arrive enfin et Julie expose son plan à son frère et à sa sœur
    "je pense que ça marchera " dit Damien 
    "je suis de ton avis" répond Claire
    "donc il ne reste plus qu'a mettre mon plan à exécution, Claire tu vas appeler ton mari pendant ce temps là je vais cacher mon scooter " claironne Julie
    "Pierre ! c'est moi chéri ,on a pris du retard pour la correction du texte de Damien car Julie est passée, on a bavardée comme des pipelettes et je n'ai pas vue le temps passé. Ne m'attends pas pour le dîner je rentrerais tard, Damien en a absolument besoin pour demain. Tu fais manger les enfants et tu les couches. Je t'aime mon amour, à tout à l'heure"
    " voilà ça c'est fait, maintenant au tour de papa "dit claire à Julie 

    "Allo papa ! c'est Claire , écoute je suis chez Damien il m'a demandé de lui corriger un texte sur son pc, un rapport qu'il a absolument besoin pour demain matin. On avait commencé et puis il a eu un coup de fil et il a du s'absenter, je suis toute seule je ne sais pas ce qui s'est passé mais il n'y a plus de courant dans l'appartement ça m'empêche de finir. J'ai essayé de l'appeler mais je n'arrive pas à le joindre. Tu aurais le temps de passer pour regarder ce qu'il y a, surtout que la nuit ne va pas tarder à tomber et je n'ai pas du tout envie de me retrouver seule dans le noir" 
    "Bien sur Claire j'arrive, a ton âge aurais tu encore peur du grand méchant loup " répond son père en plaisantant
    "non papa surtout si le grand méchant loup c'est toi, j'ai de quoi l'amadouer, je ne pense pas qu'il voudra me dévorer avant de goûter à ce que j'ai a lui offrir" dit Claire sur un ton mutin
    "je me sens tout à coup comme le loup dans les dessins animés de Tex AVERY, ouhhhhhhhh!je saute dans ma rolls et j'arrive, poupée"
    "dépêche toi papa ........... je t'attends " lui chuchote Claire
    "je crois bien que là il est chaud notre géniteur, tu sais allumée le feu quand tu veux" s'exclame Julie en s'adressant à sa sœur
    "bon, c'est bien beau tout ça, mais on fait quoi maintenant" dit Damien
    "d'abord tu vas couper le courant et ensuite tu ramènes un truc qui éclaire, bougie, portable, lampe de poche, quelque chose qui fasse de la lumière" dit Julie
    "toi Claire tu restes toute nue et tu iras ouvrir a papa avec la lampe de poche ensuite tu lui feras croire que tu as envie de lui et tu l'emmèneras dans la chambre de Damien, tu lui proposeras de lui mettre un bandeau sur les yeux pour pimenter la situation, une fois fait je sortirai de ma cachette et je resterai tout le temps a côté de toi, tu parleras et moi j'agirais pour faire croire à papa que c'est toi qui t'occupes de lui mais en réalité ce sera moi, après on verra bien ce qui se passera"
    "ouais ça m'a l'air de tenir la route comme plan, et à la fin on baisera tous les 4?" dit Damien
    "ça, ça dépendra de papa" dit Claire
    "viens Damien on va se cacher dans la chambre tous les deux, papa ne va pas tarder" dit Julie
    Effectivement deux minutes plus tard on frappe à la porte
    "c'est toi papa?"
    "non, c'est le grand méchant loup" répond une voix
    "oh mais je ne sais pas si je dois lui ouvrir, je suis toute seule et je ne veux pas me faire manger"
    " mais non il ne te mangera pas, il ne te fera que des choses agréables, crois moi"
    "dans ce cas je vais ouvrir alors" 
    "eh bien !on dirait vraiment la tanière du loup, tu n'as pas une lampe de poche" lui dit son père
    "si, si attend 2 secondes que je l'allume,voilà"
    La faible lumière éclaire le corps nu de Claire
    "quelque chose me dit que je ne vais pas regretter de m'être déplacé" lui dit son père
    "je me suis dit que l'on pourrait joindre l'utile à l'agréable, et j'ai même imaginée un petit jeu" dit elle
    "et ça consiste en quoi ton petit jeu"
    "d'abord tu te mets tout nu et après ça je te banderai les yeux puis tu me suivras, je te prendrai par la main pour te guider, t'es d'accord" lui dit elle
    "plutôt deux fois qu'une" dit il tout en commençant à se déshabiller
    Une fois nu Claire lui met un bandeau sur les yeux, s'assure bien qu'il n'y voit rien et l'emmène vers la chambre non pas en le prenant par la main mais en lui empoignant le sexe
    "ça démarre fort Claire je commence déjà à bander, décidément tu m'épates de plus en plus"
    "oui je la sens qui gonfle dans ma main, ce n'est que le début mon petit papa, attends qu'on arrive dans la chambre"
    "au fait, Damien ne risque pas de rentrer à l'improviste?"
    "non, c'est arrangé, j'ai réussi à le joindre et lui ai dis que je t'avais appeler. Il m'a dit que dans ce cas il prendrait son temps et ne rentrerait pas avant 2 ou 3 heures du matin, tu vois on a tout le temps pour s'amuser un peu. Voilà on est arrivé papa, à partir de maintenant tu vas faire tout ce que je te dis, tu es d'accord?" dit Claire
    "tu es vraiment mystérieuse ce soir, presque bizarre, mais je suis d'accord" dit son père
    "j'ai pris une cravate à Damien et je vais t'attacher les mains dans le dos"
    "eh! pas de sado maso"
    "t'es bête papa, je n'ai envie de te faire que du bien"
    Claire lui lie les mains et s'assure de la solidité de l'attache, pendant tout le dialogue Julie a rampé doucement sur le lit et s'est mise assise au bord. Claire laisse son père tout seul et vient s'asseoir sur le lit derrière Julie
    "papa avance doucement, je te dirai quand tu devras t'arrêter"
    Son père avance lentement et lorsqu'il arrive à 20 cm de Julie, Claire lui ordonne de s'arrêter
    Julie pose sa main sur le sexe de son père et commence à le caresser, il grossit a vitesse grand V. La main entreprend une lente masturbation
    "tu aimes papa?" dit Claire
    "oh oui c'est bon ma fille, tu me fais bander fort"
    "imagine ça pourrait être la main de n'importe qui et peut être aussi la bouche" dit Claire et au même moment Julie se penche et prend le gland paternel entre ses lèvres
    "oh Claire ! c'est divin, c'est excitant comme situation, j'ai bien fait de venir"
    Julie avale tout le chibre aussi loin qu'elle le peut pendant que ses mains caressent les bourses gonflées, son père pousse son bas ventre en avant à la rencontre de sa bouche accueillante
    "Claire, Claire, si tu continues je vais jouir dans ta bouche" Julie lâche le membre turgescent et Claire en profite pour dire
    "papa tu veux me prendre ?"
    "oui Claire je veux m'enfoncer en toi, viens donne moi tes fesses et délie moi les mains"
    "non papa, ce soir c'est moi qui vais te faire l'amour, tu veux me prendre par ou?" pendant ce temps là Julie se positionne en levrette au bord du lit
    "je veux jouir dans tes fesses"
    "d'accord papa, attend je me mouille un peu mon petit trou" ce que fait Julie aussitôt en se lubrifiant l'anus avec sa salive
    "viens papa approche toi, viens me sodomiser"
    Son père approche sa queue et vient au contact des fesses tendues, Julie saisit le membre et le plante sur son anus
    "tu ne bouges pas papa, c'est moi qui vais m'empaler sur ta queue" dit Claire 
    Julie commence un léger mouvement de va et vient sur la bite tendu comme un arc, son anus ayant plus de pratique que celui de sa sœur le gland disparaît sans effort
    "ouahhh ça rentre tout seul ma chérie! "
    "oui papa j'en ai vraiment envie, vas y enfonce la en entier d'un coup"
    Ce que fait son père sans se faire prier, Julie est surprise par l'attaque soudaine et lâche un cri
    "c'est toi qui as crié Claire" dit son père pendant que Julie agite ses fesses sur l'instrument qui lui perfore les reins. Claire pendant ce temps s'est déplacée pour se placer derrière son père écrasant ses seins lourds contre le dos paternel tout en lui malaxant les testicules
    "non papa ça n'est pas moi qui ai criée" 
    "Mais, mais, tu es derrière moi, alors qui est devant moi a qui sont ces fesses" dit son père
    "à ton autre fantasme,tu veux voir " lui dit Claire
    Damien qui est allé remettre les fusibles entre temps allume la lumière, Claire enlève le bandeau des yeux de son père, celui ci met quelques secondes pour s'habituer à la clarté 
    "JULIE ! c'est toi"
    "oui papa, c'est moi, vas y défonce moi mon cul, j'adore ta grosse bite dans mes fesses, fais moi jouir"
    "vas y papa fais la jouir, ta seconde fille veux que tu la fasses jouir attends je vais te simplifier la tâche" Claire détache les mains de son père. Celui ci pendant un petit instant ne sait plus quoi faire, mais les mouvements de l'étroit conduit dans lequel est enfoncé son chibre viennent à bout de sa réticence. Il saisit Julie par les hanches et commence à la pistonner comme un damné. Claire grimpe sur le lit également pour se mettre en levrette cuisses grandes ouvertes à côté de sa sœur. Leur père n'en revient pas, les fesses de ses deux filles offertes devant lui, il est déchaîné, n'étant plus qu'un mâle en rut il délaisse le cul de Julie vient se placer derrière Claire pose son gland bouillonnant de sève sur l'orifice étoilé et s'enfonce d'un coup en elle. Claire crie comme une bête qu'on écorche mais son père n'en a cure, il est déjà au fond de ses entrailles entreprenant un va et vient bestial, c'est alors que surgit Damien au côté de son père ils se regardent un moment tous les deux puis Damien saisit son sexe le place entre les fesses de Julie et s'enfonce dans ses reins. Le père et le fils s'enfoncent à grands coups de toute la longueur de leur membre dans les culs écartelés des deux sœurs. C'est une frénésie de débauche, les femelles gémissent, râlent, hurlent leur plaisir. Les mâles se prêtent les orifices, passant de l'une à l'autre des femmes. Julie s'écrie
    "je veux les deux en moi, remplissez moi mes deux trous bande de sauvages"
    son père se couche au sol sur le dos, Julie grimpe sur lui et s'empale la chatte directement sur sa bite dressé, Damien vient se placer derrière elle s'enfonçant de suite au plus profond de ses reins. Julie exulte, les deux sexes gonflés de sang s'enfoncent au plus profond d'elle. Claire n'est pas en reste et vient s'asseoir sur la bouche de son père lui présentant sa chatte dégoulinant de mouille, elle fait face à Julie. Les deux sœurs se caressent mutuellement les seins, les malaxant, pinçant les tétons bandés, leurs bouches se rejoignent et leurs langues se mêlent. C'est Damien qui joui le premier
    "tiensssss soeurette je t'envoie mon jus dans ton cul" hurle-t-il en s'agrippant au cul de Julie pour s'enfoncer le plus loin possible en elle afin de déverser son foutre au fond de ses entrailles
    "ouiiiiiiiiii c'est bon je te sens frérot, je sens ton sperme giclé en moi ohhhhhh ouiiiiiiii ouiiiiiii"
    Claire n'en peux plus de la danse effrénée à laquelle se livre la langue de son père sur son clito et part également dans un grand cri
    "je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiii papa ouiii, ouii, ouiii, que c'est bonnnnnnn"
    "vas yyyyyy papa, à toi, donne moi ton jus aussi, gicle dans mon ventre " crie Julie tout en montant et descendant aussi vite qu'elle le peut sur la bite paternel
    Celui ci ne résiste plus longtemps il saisit sa fille aux hanches et dans une dernière poussée homérique lâche sa semence dans le ventre ouvert
    "ahhhhhhhhhhhhhhhhh tiens prend tout ma petite salope" s'écrie-t-il
    "oui vas y lâche tout, inonde moi de ton foutre papa ohhhhhhhhhhh je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
    comme une folle encore,encoreeeeeee" en se poussant le plus loin possible sur la queue qui se déverse en elle.
    les tensions s'apaisent, peu à peu tout le monde revient sur terre, les 4 acteurs sont vidés de leur énergie tous s'affalent au sol en se regardant l'un l'autre. Le père est le premier à réagir
    "tu parles d'une embuscade, qui a mis ça au point?"
    "Claire et moi, il fallait bien que je te fasse un petit cadeau d'anniversaire aussi surtout après avoir découvert celui que Claire t'as fait" répond Julie
    "eh bien, nous sommes vraiment une famille de dégénérée, c'est pire que Sodome et Gomorrhe"
    "mais non papa, il ne faut pas le voir comme ça, on est tous adultes consentant en plus on se connaît ce qui élimine à 99% les risques de MST ou autres et comme dit le proverbe -il n'y a pas de mal à se faire du bien-" répond Julie
    "donc vivement l'année prochaine pour mon anniversaire" lui répond son père
    "pourquoi attendre aussi longtemps" répond Claire tout en se couchant entre les jambes de son père, saisissant son sexe flasque dans sa main pour emprisonner le gland dans sa bouche
    "quel appétit sœurette" s'exclame Julie 



     
     


     
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  • Réciprocité et embrouilles
     Pourquoi se vieillit-elle? Pour ne pas m’effrayer par la différence d’âge?, elle n’en sait rien, je ne m’en suis pas vanté. Mais si elle ne me souhaite pas un bon anniversaire par ignorance, elle me fait ma fête! Et quelle fête. A l’arrivée elle m’a roulé un palot à inscrire au livre des records. Je l’attendais un peu, sans l’attendre vraiment. Je lui avais donné une adresse et une heure. J’avais pris la précaution de me doucher, de me laver les dents, de me passer quelques jets de déodorant, j’étais fin prêt mais sans certitude. Viendrait, viendrait pas?
    Marié depuis un peu plus d’un an, après des années de célibat peuplées de compagnes éphémères, je savais comment amener progressivement une fille entre mes draps. J’avais appris à draguer en faisant rire, sans rien précipiter, en prenant le temps de tisser ma toile. Je savais faire raconter les rêves, les désirs, je m’intéressais habilement à ses projets, je savais être amical, me rapprocher sur patte de velours, laisser ma main toucher un coude ou une main, remettre gentiment une mèche en place et sourire. J’usais patiemment de mon charme et je peux me vanter d’avoir ramassé très peu de râteaux proportionnellement au nombre de mes tentatives de séduction. Le principe premier était d’amener au consentement. 
    Entre l’année du bac et ma quarantaine j’avais concouru avec mon ami Charles. C’était à qui battrait le record de conquêtes, surtout pendant nos années d’études. Pendant les classes préparatoires nous écumions les sorties de lycées et chassions un gibier jeune aux saveurs de lait maternel. Les filles étaient tendres, la littérature leur bourrait le crâne de preux chevaliers romantiques, nous jouions les princes charmants. Payer un cinéma ou une boisson en terrasse nous privait d’un repas, mais nous nous nourrissions de bécots, de la tendre chair d’un cou, d’un lobe d’oreille et finissions habituellement par nous abreuver de salive. Le tour était joué, la mouche prise dans la toile trouvait ma chambre soigneusement entretenue, aimait le parfum qui planait dans l’air, mon goût de l’ordre. Et moi j’aimais la douceur de sa peau, la fraîcheur de son parfum. Mon menu s’améliorait de sécrétions vaginales en échange de sperme dont je n’étais pas avare. En souvenir d’un bon moment elle oubliait une petite culotte sous mon oreiller. Charmant prétexte pour un « bis repetita placent » à renouveler si l’envie persistait. Le « revenez-y » fonctionnait pour mon plus grand bonheur.
    Mais si je devais établir un classement de la meilleure, de la plus rapide et de la plus combative, cette Émilie aurait le maillot blanc de la meilleure jeune, le maillot vert de la plus rapide au sprint, il y a deux heures, et le maillot blanc à pois rouges de celle qui monte le plus fort au septième ciel. Car le maillot jaune revient incontestablement à Marie, la femme que j’ai épousée. Jusque là elle avait tous les maillots. Il lui reste celui de l’endurance: elle a réalisé l’exploit de rester au sommet pendant un temps record: treize mois et vingt jours. J’ai rencontré Marie sur un site internet, nous avons échangé des idées, des photos. Nous nous sommes donné rendez-vous sur un quai de gare. Elle trouvait qu’à l’approche de la quarantaine il était grand temps de s’établir de façon solide et définitive. Moi-même, lassé des aventures sans lendemain, j’éprouvais l’envie de me poser. Depuis un certain temps, la moyenne d’âge de mes compagnes grimpait. 
    Après les étudiantes de la faculté de médecine toute proche de mon école supérieure de commerce, imbues de leur supériorité intellectuelle mais curieuses de compléter concrètement leurs cours d’anatomie j’avais exploité, avec Charles, les étudiantes en psychologie tout aussi bonnes observatrices à l’affût des recoins de mon moi profond et désireuses de bien comprendre ce qui pouvait être le moteur de l’union des sexes. Mon moteur fonctionnait bien, trop bien puisque la plus délurée philosophe et psychologue voulut m’épouser à 25 ans. Elle avait tout faux. J’ai fui ses chaînes et j’ai recherché des filles plus simples, adonnées à l’amour plus qu’à la recherche. Pourquoi toujours creuser le pourquoi du comment lorsqu’il était si facile et si agréable de faire, de saisir le plaisir au vol sans souci du lendemain? Un beau corps, un visage plaisant, une lueur dans l’œil et le mécanisme se mettait en branle, parfois en concurrence avec mon ami. C’était un challenge. Il arrivait même que le perdant devienne le consolateur quand le vainqueur se lassait. Nous procédions à des échanges sans le dire, d’autant plus facilement que nous connaissions les us et coutumes, les goûts et les dégoûts de ces demoiselles en transit dans nos lits.
    A la trentaine j’ai trouvé que j’avais encore quelques belles années à vivre en dévorant les occasions à belles dents. Les filles étaient moins jeunes, mais plus attentives, avaient du savoir faire et du savoir vivre à revendre. Le compagnonnage était plus serein, on commençait à se lasser moins vite. Mais il fallait bien tester notre capacité à gagner un cœur ou un corps qui embrasait notre imagination toujours en éveil. La chasse à l’oiseau rare conduisait à des ruptures douloureuses quand l’aimée se faisait trop possessive. Les complications se multipliaient et le résultat pouvait se révéler décevant. Les baroudeuses trop expérimentées finissaient par exiger la bague et le passage en mairie. La perte de quelques cheveux, l’apparition de rides, minaient la folle idée de la jeunesse éternelle et conquérante. La vie de solitaire paraissait aussi plus reposante, les compromis devenaient plus difficiles à accepter. 
    Advint ce coup de foudre: Marie! A sa descente du train, j’ai été ébloui. Quelle allure, quelle classe, quel charme. Cette fois j’ai su qu’elle était LA FEMME, celle que je cherchais dans toutes les autres.
    Belle, intelligente, sensible, charmeuse, chaleureuse. Le coup de foudre fut réciproque. Elle abandonna sa province, son emploi et accepta d’emblée mon hospitalité. Elle passa par convenance une nuit dans la chambre d’amis de mon appartement. Mais dès le lendemain matin nous étions amants.
    L’âge n’avait pas altéré le caractère, le corps était magnifique, ses grands yeux bleus éclairaient la face d’ange et l’ensemble des courbes de son corps formait un délice pour mes yeux qui en avaient tant admirées. Quand il fallut passer aux travaux pratiques, elle me permit de découvrir un à un les trésors cachés sous les vêtements. Ses seins sortaient tout neufs du moule qui les avait créés, les cuisses avaient été tournées par un dieu, les hanches généreuses accrochaient les doigts, les fesses inspiraient des rêves de feu et sous la toison blonde du pubis je découvris une fente parfaitement dessinée entre le double renflement de la vulve ciselée dans la chair pulpeuse par le grand peintre Boucher, c’était Diane au bain, vue de près, livrée à mon admiration, objet d’adoration d’abord, comble de la tentation. Mais accessible, humaine, heureuse de me plaire, offerte à ma convoitise et ouverte à toutes les propositions. Plus que ça, elle aussi était admirative, franche, directe, tentée et décidée à succomber à la tentation. 
    Ses yeux me disaient que tout était permis et que mon audace serait récompensée. J’ai posé un bécot sur son front, un autre sur une joue, un troisième dans son cou. Elle a frémi comme une eau qui se met à bouillir. Ses lèvres se sont entrouvertes, ont appelé les miennes, j’ai penché ma tête à droite, elle a incliné la sienne, nos nez se sont évités, j’ai voulu happer sa bouche, elle a voulu m’en faire autant, j’ouvrais ma bouche pour m’emparer de la sienne, elle répondait à mon essai par une autre tentative. Nous nous sommes amusés en bisous manqués, en bécots déviés, en chocs de lèvres dévoreuses. Nous en avons ri et nous nous sommes rencontrés, bouches unies, la peau des lèvres dans ce frottis-frotta renouvelé était électrisée. J’avais fermé les yeux, plein de dévotion, Marie aussi. J’ai levé les paupières et j’ai lu sur son visage la plus belle expression du bonheur. C’était un instant sublime, inoubliable. Elle a souri, a rouvert ses quinquets, a éclairé mon cœur. J’ai caressé sa joue, elle a ronronné de plaisir. Nos bouches se sont saisies pour un long baiser langoureux, plein de fougue. Les pointes de nos deux langues se sont heurtées, Marie a pris un avantage en profitant de mon hésitation, est entrée et m’a roulé une pelle incroyable faite de mouvements vifs de la langue qui tournoyait sous ma langue, contre une joue, contre l’autre, sur ma langue, sous mon palais chatouilleux. Nous n’étions plus des adolescents innocents et je sus que j’étais en bonne bouche, en bonnes mains: Marie a démontré une expertise, une hardiesse de femme mature, sûre d’elle, expérimentée. Nous étions d’égale à égal, au diapason de cette langue qui me pénétrait oralement à la manière d’un sexe. J’appréciai l’invasion, luttai et rendis coup pour coup. Ce combat présageait heureusement l’union de nos sexes et de nos cœurs.
    Le lit a accueilli deux corps chauds. Les barrières étaient tombées, nos derniers vêtements avaient chuté, nous étions nus, nous palpions, nous effleurions, nous caressions. La vue nous poussait à toucher, à identifier les formes, la communion des bouches livrait nos saveurs, nous nous goûtions, nous voulions percer nos mystères, nous allions nous pénétrer dans les parties les plus intimes et nos mains en exploration reconnaissaient le terrain. Marie tenait dans les siennes mon membre dressé par l’afflux de sang. Mes doigts vérifiaient la douceur des lèvres de sa vulve, parcouraient la ligne entre les bourrelets, cherchaient un passage, dégageaient le minuscule mais dur bouton, droit au-dessus de la baie humide, éperon en veille armée à la porte du sexe. Leur contact l’avait durci, agacé, fait vibrer et tout le corps de la belle avait traduit dans un long frémissement la vibration du gardien du paradis. Mon index espiègle avait répété le contact, avait appuyé en secousses successives qui avaient déclenché autant de petits bonds. Le doigt sur le bouton de sonnette faisait trembler quelque part un petit marteau saccageur, accélérait les battements du cœur, ravivait la circulation sanguine, rougissait les joues, enflammait la base du cou et des seins. Les poumons soulevaient en convulsions sévères les côtes et les rondeurs généreuses de sa poitrine parfaite. Ma bouche voulut téter leurs pointes, mes lèvres les encerclèrent et la pointe de ma langue les chahuta, encouragée par la pression de deux mains dans ma chevelure.
    Une main aux longs doigts fins de pianiste enserra avec force ma verge et se mit à coulisser le long de la hampe. Qui menait, qui guidait, qui inspirait? Le nœud de nos corps se défaisait et se renouait. Mon gland fut mouillé et pris dans la chaleur de sa bouche, sa langue tourbillonna tout autour, lacéra le méat. Je me raidis puis plongeai à mon tour sur son minou en ébullition, y fourrai ma langue en écartant des deux mains le rose de son losange vulvaire. Et le clitoris voulut échapper à l’attaque conjuguée d’un doigt frétillant et de ma langue. Marie poussa un rugissement rauque, sauvage, cambra son dos, se mit en arc de cercle. Nous étions comme deux aimants, pôles contraires attirés, plus fort que notre volonté, liés, collés, pris d’une sorte de rage dans la tension brutale qui devait nous confondre, elle en moi, moi en elle. C’était vertigineux, en mouvements constants qui changeaient ou recomposaient les positions. Je venais d’avaler une bouchée de cyprine, elle avait savouré les prémisses des poussées de sperme. Déjà, dans le tourbillon de volupté elle pointait mon sexe contre le sien, enduisit la tête de ma verge du jus suintant de sa chatte brûlante, le baigna à l’entrée de la grotte dans un tendre mouvement, projeta son ventre vers moi et s’ouvrit sous a poussée de mes reins. Tout était consommé? Non. Notre envie de nous perdre dans l’autre fut décuplée, nos ventres se bousculaient, nos bras étreignaient, nous nous accrochions comme des noyés désespérés à la bouée de sauvetage de l’autre corps. Puis nos mains s’affolaient, s’emplissaient des muscles des fesses pour les attirer encore plus surement vers la jonction des sexes confondus, lancés en ruades violentes vers la réalisation du rêve impossible. Harassés, brisés nous faisions une pause pour mieux repartir à l’assaut de l’imprenable citadelle, du plaisir fuyant, quand les yeux donnaient le signal. Nous étions deux complices à la lutte, tendus, traversés par l’implacable force du désir d’arracher à notre chair la preuve de notre amour. J’en avais mené des combats amoureux, j’avais connu des filles, des jeunes encore acidulées, des plus âgées forcenées en quête d’orgasmes dévastateurs. L’engagement charnel n’avait rien à envier aux précédents, mais il se doublait d’une force nouvelle: nous nous aimions. Ce serait pour toujours.
    Marie en cette époque de chômage retrouva rapidement un emploi à sa convenance. Après l’indispensable période d’observation et d’échanges amoureux, nous décidâmes de donner forme légale à notre vie commune. Je l’épousai. Charles en fut attristé, mais jura, la main sur le cœur qu’il respecterait notre décision et renonça à toute tentative de séduction en direction de ma chérie. Il devrait chasser seul à l’avenir. Notre amitié n’en souffrirait pas, il fut mon témoin de mariage.
    Il nous invita pour un repas, fut cuisinier émérite, œnologue averti. Je connaissais l’appartement et le mobilier et lui laissai faire visiter les lieux à Marie. Il avait gagné une amie et je me réjouissais de le voir attentionné avec mon épouse. Ils discutaient: Chaque bibelot avait une histoire, le conteur était habile et enjoué. Marie riait, approuvait. Pour aller aux toilettes je passai à l’extrémité du couloir qui menait aux autres pièces. Charles s’était tu. Marie était juste engagée à l’entrée de la chambre à coucher. Placé derrière elle, plutôt assez près, dans une sorte d’enveloppement amical, Charles avait la main gauche sur la hanche gauche de Marie, tendait le bras droit vers l’intérieur de la chambre, le ramenait sous l’aisselle de ma femme et allait fermer sa main droite sur le sein le plus proche, penchant en même temps sa bouche vers et sur la nuque de Marie. Je toussai discrètement pour annoncer mon déplacement. Le brusque retour à une position moins proche m’étonna plus que le murmure à l’oreille. 
    Quand ils me rejoignirent Marie parut contrariée malgré les plaisanteries de Charles. J’étais un peu embarrassé d’avoir surpris ce que Charles avait juré de ne plus faire. Ce n’était pas grave, Charles lui-même avait une jeune compagne dont il me disait monts et merveilles. Peut-être était-elle trop jeune pour en faire une épouse, c’était à l’orée de son automne l’amante qui le consolait de mon mariage. Il nous la présenterait. Chaque soir de semaine, en revenant de son travail, Marie achetait une baguette chez le boulanger. Rentré avant elle, je participais aux tâches ménagères, vidais la machine à laver le linge, lançais le sèche-linge, rangeais la vaisselle etcétéra… Je l’attendais sans voir passer le temps. La première, elle attira mon attention sur son retard en m’expliquant que le boulanger avait eu une panne de four. Étrangement les pannes se multiplièrent, l’artisan envisageait d’acheter un four neuf. Curieusement le pain de la fournée qui avait retenu Marie n’était pas chaud, je le constatai en silence. A la boulangerie personne ne faisait allusion à une ou plusieurs pannes. Je relevai que Marie était en retard le mardi, presque chaque semaine et toujours environ une demi-heure, parfois plus. Elle menaça de changer de boulangerie si les pannes lui faisaient perdre son temps.
    Un mardi donc je fis le guet. Je la vis entrer et sortir en hâte de la boulangerie, sa baguette en main. Le boulanger conserverait la cliente. A ma surprise Marie se trompa de direction. Intrigué je la suivis de loin. Elle marchait à pas pressés, s’arrêta devant l’immeuble où demeurait Charles, elle n’eut pas à sonner, la porte s’ouvrit, Charles l’accueillit avec un baiser plus amoureux qu’amical et la fit entrer. Dans ma poitrine je sentis s’abattre un grand froid tout noir, mon cœur se contracta, me fit mal, très mal. Quand avec un retard accru Marie maudit le boulanger, je lui fis remarquer que c’était malheureux pour le pauvre homme. Il enfournait son pain selon les caprices de sa machine. Et je pensais à Charles qui enfournait en vitesse sa baguette dans le four de Marie, un four de qualité qui ne connaissait de panne ni avec moi, ni avec lui. J’observais la menteuse qui manquait d’imagination, elle aurait pu savoir que les pannes à répétitions éveilleraient des soupçons. Avec un peu d’invention elle aurait dû servir d’autres fables. 
    Charles nous invita à faire connaissance de sa nouvelle amie. Nouveau repas bien arrosé. La demoiselle s’appelait Émilie. Émilie était jolie, si jeune, si fraîche mais avec un je ne sais quoi de triste dans le regard. Ses longues jambes sous sa légère minijupe jetèrent le trouble dans mon cœur qui portait le deuil des mardis. Car Charles continuait à réchauffer sa verge dans le ventre de Marie quand le four du boulanger refusait de travailler assez vite le mardi. Fallait-il pour autant perdre l’ami et l’épouse?
    -Émilie, dans le tiroir de la commode j’ai une nappe qui appartient à Polo. Voudrais-tu la lui rendre. Il te montrera de quelle nappe il s’agit. 
    Charles venait de trouver un moyen de m’éloigner de Marie. Je suivis le parfum de la charmante jeunette, avec des réminiscences des temps heureux où je décidais de ma vie, de qui m’accompagnait, de qui me quittait. Au lieu de s’accroupir pour chercher dans le tiroir du bas de la commode, Émilie écarta ses pieds et se pencha, pliée en deux à hauteur du bassin. La minijupe laissa paraître dans l’entrecuisse la bande blanche d’une culotte petit bateau un tantinet démodée mais marquée en son milieu d’un pli long en creux assombri par une humidité récente. Par déception, par désespoir suicidaire ou par esprit de vengeance je cédai à une pulsion violente, pointai un index sur le sillon dévoilé et en parcourait l’étendue; du clitoris à l‘anus j‘insinuais davantage le tissu dans la fente et des pensées libidineuses dans sa tête. En temps normal j’aurais jugé le geste indigne, d’une goujaterie condamnable et j’attendis une gifle qui ne vint pas. Émilie s’était figée dans la position, tourna vers moi sa tête penchée, l’air triste et désabusé et tenta un sourire. Je posai la nappe sur le lit et l’aidai à se redresser. A ma surprise, elle plongea sa main sous son oreiller en extirpa une boule de fine dentelle couleur chair et me déclara:
    -Je croyais que Charles m’aimait. Voyez ce que j’ai trouvé mardi soir sous son oreiller. Ce string appartient à une autre. 
    Elle le déploya. Je le reconnus: je l’avais offert à Marie en pensant que les petits cadeaux entretiennent l’amour.
    -Viens chez moi, mardi. Mardi après-midi, j’aurai mis de l’ordre dans les affaires de Charles
    -Le mardi je suis un cours de perfectionnement en anglais
    -Dommage, ce mardi j’ai un congé.
    Notre retour apparemment trop rapide désunit les quatre mains de Charles et de Marie.

    Voilà comment je me retrouve aujourd’hui rajeuni par l’impressionnante ardeur d’une jouvencelle que j’aurais jugée hors de portée. A peine lui avais-je annoncé le nom de sa rivale distraite, en lui montrant la jumelle du cache-sexe oublié ou offert en cadeau à renifler à ce vieux vicieux de Charles, que la gentille Émilie a voulu me consoler et se venger. Pas de travaux d’approche, pas de petits bisous, elle m’a sauté au cou, a profité de ma stupéfaction pour plonger sa langue dans ma bouche et m’a roulé un patin propre à me plonger en apnée. Pfouh! Sa fougue alimentée par sa colère a envoyé ses jambes autour de mes hanches. Je ne l’ai pas séduite, elle s’est jetée sur moi, m’a dévoré, m’a mis a ses pieds. Elle n’oublierait pas sa culotte dans mon appartement, elle n’en portait pas. Debout devant moi, elle a poussé ma tête sur son minet tout frais et m’a dit:
    -C’est à toi, prends-le et fais-en ce que tu veux. Venge-moi, venge-toi et fais moi plaisir, baise-moi.
    J’avais aussi une vengeance à prendre, sur Marie, sur Charles et sur ma naïveté. Jamais conquête n’avait été aussi rapide et inattendue. Dans le lit conjugal, j’ai répondu à son attente. Je la pénètre avec égards, elle exige que je la bouscule. Je donne quelques coups de lime, n’ai pas le temps de pendre la cadence: elle se met à gigoter et à brailler un orgasme d’une rapidité inouïe. Elle veut prendre le dessus, m’enfourche, pousse ma baguette dans son four étroit et joue à l’arrache-moyeu. Elle monte sur mon manche en spirales redescend en trombe, tournoie sur mon pieu, le tord dans tous les sens, bave, écume, monte trop haut, me perd et l’écrase dans son sillon trempé, le rattrape d’une main pour l’enfouir encore et le remettre à la torture. En quelques minutes elle a raison de mes réticences, m’arrache une première bordée de sperme et s’élance vers les cimes comme Pierre Rolland à l’assaut de l’alpe d’Huez. Elle reprend ma bouche, balance devant mes yeux éblouis ses deux jolis seins moelleux qui n’ont pas atteint leur pleine maturité, m’en plante malicieusement un dans le bec. Charles lui avait fait connaître bien des positions du kamasoutra. J’ai droit à un festival, couché sur le dos, en cuiller, le papillon droit ou à l’envers, le taureau…Un récital épuisant. Agile, souple, avec la légèreté de la jeunesse et sa désinvolture elle m’étourdit de caresses, de baisers, promet un amour éternel.
    Je viens de jouir pour la troisième fois, elle va m’épuiser mais reste insatiable et si ma bistouquette faiblit elle s’assoit sur ma bouche et réclame le service de ma langue. Elle pivote, fait demi-tour, se penche, me montre la rose de son anus, demande que j’y glisse un doigt puis un deuxième, recommence ses loopings et ses spirales sur mon index et mon majeur et me reprend en bouche, me branle sans pitié, prétend me ressusciter pour un nouvel accouplement féroce. Elle va me tuer. Mon petit pain est de nouveau enfourné, ma panne n’a pas duré ou je n’ai pas vu passer l’heure. Je geins de plaisir, la belle espiègle laisse éclater sa joie et chante son bonheur, elle souligne son orgasme de cris aigus et s’affale enfin heureuse, repue et satisfaite. 
    -Il va falloir s’arrêter, ma petite chérie. Marie doit être en train de brunir dans son four la baguette de ce traître de Charles. C’est sa demi-heure d’indépendance hebdomadaire. J’espère qu’elle ne va pas me ruiner en petites culottes oubliées. 
    Émilie s’ouvre à l’humour. Ses sens apaisés lui rendent le sourire. Avoir deux amants à partager avec Marie? C’est une excellente idée, admet-elle. Mais si je voulais d’elle, j’aurais la plus fidèle petite femme. A étudier.

    Le four du boulanger est réparé, baguette en main Marie se tient au pied du lit, plus tôt que prévu pour un mardi. Elle pousse un cri de colère et s’enfuit en sanglots. Elle revient et me jette un biscuit d’anniversaire sur le lit. Émilie ne demande pas son reste. Marie ouvre son armoire et jette pêle-mêle vêtements et sous-vêtements dans un coffre en maudissant son époux adultère, le parjure, l’infidèle pris en flagrant délit le jour de son anniversaire. 
    -N’oublie pas ce string retrouvé par Émilie, il y a une semaine, un mardi de panne à la boulangerie, sous l’oreiller de Charles.
    Sa fureur tombe, fait place à la stupeur. Elle fond en larmes, s’agenouille devant mon petit Jésus en déroute, pose ses mains sur mes genoux dans le geste de supplication des anciens.
    -Tu peux rester, Charles et moi avons toujours tout partagé.

    Elle se vexe, replace ses effets dans l‘armoire. Le biscuit n’est plus consommable. Je dois promettre de ne plus la partager avec Charles. A croire que je l’avais poussée dans ses bras. Restaurant ce soir pour mes quarante ans. Le four du boulanger a cessé ses caprices. Émilie continue ses cours d’anglais, Charles est fier de ses progrès et annonce qu’il va l’épouser.
    Le four de Marie, ma baguette…un peu de tolérance.

    QUESTION 
    Pourquoi le four du boulanger tombe-t-il en panne le mardi ?



     
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  • Étant célibataire, je n'ai donc plus de rapports sexuels depuis quelques temps...Une après-midi, la chaleur et l'envie me poussèrent à aller visiter un site d'escortes girls sur internet. Je trouvai une annonce et je décidai de téléphoner...Une jeune fille à la voix très coquine me répondit...Elle m'expliqua ses prestations et les tarifs...j'acceptai...Elle me proposa un rendez-vous et de l'appeler une fois en bas de l'immeuble !



    L'heure arrivée, je suis donc en bas de l'immeuble..j'appelle...elle me répond...okay...elle m'ouvre à l'interphone...elle me dit..c'est au premier étage...je monte les escaliers, à la fois excité et un peu anxieux...

    Soudain, je vis une porte s’entrouvrir...j'entrai dans la pièce...je vis une fille d'environ 20/25 ans...en string noir et soutien gorge très sexy...des cheveux châtains et longs...bref une vraie déesse...très maquillée un corps sublime....jusqu'à là pas de souci me direz-vous...sauf que je reconnus cette fille...qui est en réalité....ma cousine....oui cette cousine de 25 ans sur laquelle je fantasme depuis mon adolescente...Elle sur qui je me suis tant masturbé en l'imaginant soit: nue, en petite tenue, en la revoyant en maillot de bain toute mouillée, en revoyant ses débardeurs sexy avec sa poitrine et surtout...son cul rond et bombé qui m'a tant fait bander surtout quand elle m'était des jeans taille basse ultra moulant...ou alors quand je l'ai surprise de dos et cambrée en train de chercher des choses dans son sac....elle m'en a fait passer des nuits sans sommeil cette cousine !!! Mon fantasme se tenait là devant mes yeux...à portée de main.....



    Je dis:

    - Mais cousine, je bafouais? que fais-tu là enfin tu fais escorte ??

    - Et oui comme tu le vois, ça me rapporte pas mal pour faire du shopping etc...alors on a eu envie de se faire plaisir cette après-midi ??

    -Oui mais malheureusement je vais devoir aller voir ailleurs étant donné que l'on est cousins !!

    - Personnellement, ça ne me pose aucun problème...je compte sur ta discrétion et personne n'en saura rien...ça te dit ?....tu seras un client comme un autre!!!



    Après avoir été bien refroidi en la voyant, je commençais à être bien excité...



    Elle me dit :

    -Je masse, je suce et pénétration, en revanche je ne pratique pas la sodomie et tous mes rapports sont protégés que ce soit fellation ou rapport !!



    Je la paya. Je me déshabille...il ne restait plus que mon slip...et là comme un idiot je lui dis...

    - Je le garde pour l'instant ?

    Et elle...

    -Tu peux mais quoi qu'il en soit, je viendrai te l'enlever !!



    Elle était désormais nue sur son lit...quelle bombe...ce cul et ces seins qui m'avaient tant fait fantasmer étaient devant moi....Je me mis sur le ventre.....Elle me massait le dos avec ses doigts de fée...que c'était bon....



    -ça te plait cousin ??..

    -OH que oui tu es très douce 

    -Merci



    Elle caresse mes jambes désormais...puis s'attaque à me fesses....elle les caresse et enfonce ses ongles Hummmmmmmm....je commençais à avoir la bite qui gonflait un peu...



    -Hum jolies fesses cousins...



    Puis, elle s'allongea sur moi, sa poitrine sur mon dos...elle faisait des vas et viens comme cela, c'était trop bon...



    -Hum cousine qu'est-ce-que c'est agréable..

    -Oublie que je suis ta cousine...je suis tout à toi maintenant...tourne toi sur le dos...Tu peux me toucher tu sais...dit-elle en rigolant !!



    Elle était à califourchon sur moi...enfin je pouvais caresser son corps de déesse, ses gros seins et enfin son cul..et quel cul...elle avait un cul qui aurait même fait bander un ange...enfin je le caressais !!! Oh que c'était bon mon fantasme se réalisait....elle passait sa poitrine sur mon torse....je la caressais de partout...

    Elle pris une capote et me la mit...Elle prit ma bite et la mit entre ses deux beaux seins. Ensuite, elle commença par me toucher les boules etc...puis à me sucer...elle me regardait droit dans le yeux...hummm J'ai vraiment dû combattre pour ne pas éjaculer tout de suite !!



    Elle me dit:

    -Veux-tu que je te chevauche ??

    -Vas y...

    -Hum

    -Ahhh c'est bon

    Je lui caressais sa poitrine...elle était si étroite, que c'était bon !!!!!!! Ses seins rebondissaient devant moi...elle changea de côté, elle me chevauchait toujours sauf que j'avais son cul en fasse de moi...qu'il était beau...



    -Attends arrête deux secondes sinon je vais venir trop vite !!

    -OKay...ta cousine te fait tant d'effet...dit-elle en rigolant...avoue que je te faisais bien bander depuis longtemps non ??

    -Oui j'avoue...tu as un tel corps...tu es si douce et si hot !!



    Je la pris en missionnaire...j'accélérais le rythme...elle criait beaucoup, je ne sais pas si elle simulait ou pas mais c'était très bon...j'étais en sueur...je lui caressais les seins en même temps...au bout d'un moment, je ne puis me retenir ...je me retirai, soulagé...



    -Ça va ?? tu as aimé ??

    -Oui cousine, merci c'était génial..!!

    -Merci pour tous ces compliments.

    -Je ne dirai rien à la famille ne t'inquiète pas !!

    -Je ne suis pas inquiète, c'était cool...et si tu veux recommencer...tu connais mon numéro.....



     
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  • Bonjour je m'appelle Mélissa et je vais vous raconter une petite partie de ma vie, ce qui me permettra peut-être de me soulager d'un poids, et de retrouver un équilibre dans ma vie...
     Sur mon physique (57kg pour 1m78, des fesses rebondies juste ce qu'il faut et un petit bustier 80A, rien que je trouve vraiment extraordinaire). Ce que je crois surtout, c'est que ce sont mes goûts vestimentaires strictes mais féminin qui faisait fantasmer la gente masculine.
    .............................Nous voilà parti avec quelques amis pour ce séminaire d'une semaine. Nous avions tous droit à une chambre individuelle, pas besoin de faire chambre commune entre femmes, ou entre hommes c'est selon.

    Le réceptionniste nous appela les garçons de chambre pour nous diriger vers nos chambres. Tout cela était fait dans les règles de l'art, avec les politesses et les manières d'usages. Du moins au début!

    En me laissant m'installer le jeune homme sortit de la pièce en refermant les portes derrière lui, et je cru apercevoir en me retournant,son regard s'attarder sur mes fesses. Bien qu'il fut agréable jeune homme, j'avais laissé derrière moi mon petit ami qui me suffisait amplement!

    Le même soir, lorsque je rejoignis ma chambre, je repensais au regard du jeune homme, et je me disais que ce devait très certainement être mon imagination qui me jouait des tours! Je téléphonais à mon homme vers dix heure du soir, pour lui donner de mes nouvelles et prendre les siennes. La discussion vira doucement sur des penchant de plus en plus sensuel d'abord, avant de parler carrément de sexe et de fantasmes téléphonique.
    Au plus la discussion avançait, au plus ma main libre me caressait, je la retenais de moins en moins. Lorsque j'en fis part à Stéphane, celui-ci ne se doutait pas ce qui allait advenir de moi en me demandant de décrire le trajet de ma main baladeuse, et de me laisser aller à mes plus folles envies. Ce que je fis évidement!
    Je me caressais les seins pour commencer, puis je descendais lentement pour caresser les tissus de mon entre-jambe. Je continuais en me déshabillant complètement et à me caresser de plus en plus ardemment jusqu'à me faire jouir après m'avoir caresser les lèvres, le clitoris, et m'être pénétré la vulve de mes doigts que j'imaginais être ceux de mon amour. J'en criais presque sans retenue de plaisir ce qui n'était pas pour déplaire à ma moitié si loin de moi, et que j'aurais préféré au plus profond de mon être!

    C'est toute chose que je finis par lui dire à demain. Que je prendrais du temps pour lui tous les jours aux soirs avant de revenir faire l'amour auprès de lui, comme des fous, dès mon retour de ce séminaire qui me paraissait déjà tellement long loin de lui!

    Je m'endormis encore toute moite de sueur, les lèvres encore toutes chaudes et pleines de cyprine.

    La journée suivante, nous dûmes nous retrouver tous ensemble dans le local de réunion, et travailler sans arrêt jusqu'en fin d'après-midi. Nous avions reçu le reste de la journée de libre pour nous délasser et nous prélasser avant la journée suivante qui serait tout aussi remplie!
    Je ne me fis pas prier pour retourner dans ma chambre, je comptais bien me rafraichir un peu avant de profiter du merveilleux soleil au jardin.

    En rentrant dans ma chambre je fus surprise de voir une petite tablette à roulette généralement utilisée pour les petits déjeuner au lit, où était déposé une cloche en argent sur laquelle était mise une petite lettre. Qui pouvait bien m'avoir envoyer un tel cadeau? Stéphane? Ça lui ressemblait assez comme petite surprise.

    Je pris la lettre, et souleva le couvercle d'argent avant même de lire le petit mot. De nature gourmande, je voulais savoir directement ce que j'allais pouvoir déguster.

    Quel fut ma surprise lorsque je vis un cd, sur lequel était marqué: "COPIE"
    J'insérais le cd directement dans mon PC pour connaître la nature de l'objet. Lorsque je me vis occupée à me masturber, à me doigter, à me lécher les tétons, à me pénétrer la vulve et y insérer jusqu'à trois doigts, je ne compris pas. Ou plutôt si je comprenais... mais je voulais en avoir le cœur net! J'ouvris la lettre d'un coup net, et parcouru le papier.

    "Si vous ne voulez pas vous voir vous masturber demain sur l'écran géant de la grande salle au petit déjeuner, rendez-vous à 20h15, dans le petit cagibi téléphonique à côté de la réception en tailleur gris, bas noir, sans soutient et sans culotte ni string"

    J'étais piégée, entre un salop, et mon honneur!!!

     

    Je n’en revenais toujours pas de cette lettre, de ce CD, de cette mise en garde, de ce chantage! Je savais bien que si j’acceptais ce chantage, ce salop s’amuserait à abuser de la situation à son avantage, à abuser de moi, mais si je n’acceptais pas ce chantage, je me verrais honteuse à vie!

    Au lieu de sortir comme je l’avais prévu en quittant la réunion, je passais l’après-midi à ruminer dans ma chambre, à réfléchir, à me rendre compte qu’il me tenait, j’étais à sa merci! En plus, ce connard avait bien calculé son coup, car si j’allais manger habiller normalement, et que je revenais me changer rapidement en chambre, je n’aurais jamais été à l’heure au rendez-vous, ce qu’il avait bien souligné comme étant un faux pas qui me coûterait mon film sur grand écran!

    Je me rendis donc au repas en tailleur, chemisier blanc très pigeonnant et sans sous-vêtements. Comme chaque collègues venait en tenue décontractée, je faisais un peu tâche au milieu d’eux, et c’était bien ce qu’espérait mon maître chanteur! Au plus le repas passait, au plus je me sentais fixée du regard de mes collègues. Me sachant nue comme un ver sous mes vêtements de bureau, je sentais mes joues chauffer comme jamais, je devais être rouge pivoine. J’avais hâte que ce repas finisse, tout comme la soirée que j’appréhendais très fortement!

    Le repas contrairement à la veille s’attardait, et je dus pour mon bien quitter mes collègues avant le dessert, pour ne pas arriver en retard au fameux cagibi que j’avais pris le soin de dénicher en descendant au repas.
    20h10, j’arrive devant la porte, elle est fermée. L’enfoiré! Je cours jusqu’à la réception demander la clef, il n’y a personne. J’utilise la petite clochette pour appeler le personnel, une jeune femme arrive bien à son aise. Je lui demande mon besoin oppressant avec insistance. Elle trouve enfin cette satanée clef qu’elle me tend.
    20h14, je trébuche devant la porte, je ne trouve que difficilement la serrure. Je rentre, le téléphone sonne, je décroche la voix tremblante!
    - Allô…
    - …
    - Allô!
    - Calme toi ma douce, tu as l’air nerveuse…
    - Salop!
    - Ta gueule sale chienne… Maintenant tu m’écoutes, où je ne donne pas chère de ta place et de ton avenir !
    Ce fils de … a trouvé les mots pour me calmer de force. Je m’exécute et le laisse parler. J’écoute. 
    - Voilà qui est mieux ma belle. Tu vois quand tu veux! Tu as dû courir pour arriver à temps! Il valait mieux d’ailleurs, car je ne rigole pas, tu pourras voir une autre copie sous le socle du téléphone. Tu le vois?
    Je soulève le socle, et trouve le CD. Je ne dis toujours rien. Mais ma respiration devient plus difficile!
    - Je te laisse la nouvelle copie, j’en ai encore quelques-unes en stock! Pour information, je te sonne de ta chambre, ou tu trouveras un plan du domaine. Je t’attends dans une demi-heure à l’endroit indiqué sur le plan. Habillé de la même manière. Tu pourras retourner dans ta chambre vers 23h00. …
    Il a raccroché. Je me sens piégée, dépitée, violée, mais je ne savais pas encore à quel point! Je remonte dans ma chambre, je trouve l’enveloppe posée sur mon oreiller. J’examine le plan. Il est simple précis, je le suis.
    J’arrive devant la pièce indiqué dix minutes avant l’heure prévue. Je décide d’y entrer pour me rendre comptes de ce qui va m’arriver. C’est un autre petit cagibi, assez sombre. Derrière moi j’entends un cliquetis, on a refermé la porte à clef! Je suis dans le noir complet! Je suffoque!
    La lumière d’un écran s’allume, et illumine la pièce sombre. Mes yeux ne sont pas encore habitués. Au dessus de l’écran, une nouvelle enveloppe. Je l’ouvre.
    « Tu peux voir sur l’écran la pièce où tu mangeras demain matin et comme tous les autres matins et au fond, l’écran dont je t’ai déjà parlé. Si tu n’exécutes pas les envies de chaque partisan de ce soir, je lance instantanément ta vidéo. Tu pourras te rendre comptes de la qualité de notre projecteur! »
    Mais de quoi parle-t-il? Quand je me rends compte doucement que ce cagibi est destiné à ne laisser entrer que les membres gonflés d’hommes, qui ne veulent pas se faire voir de leur chienne qui devra les sucer au travers des parois, et je ne sais encore quel fantasmes! Et cette chienne c’est moi! Habituellement dominatrice de mes émotions, des larmes coulent le long de mes joues…

     

     
    Décomposée, soumise, complètement dégoûtée de moi, de ce qu'on attendait de moi, de ce qu'on venait de faire de moi...

    Il est 23h passée, je viens de rentrer dans ma chambre. J'ai la fente qui dégouline encore, le petit trou écartelé, j'ai mal! Je viens de passer près de deux heures en enfer et j'ai honte! Mais les larmes ne coulent plus...

    Pendant près de deux heures j'ai été un jouet, une vulgaire poupée, un trou, un garage à bite, un trou à foutre, une chienne, une salope, leur chienne, leur salope, et je sais déjà que ça ne fait que commencer!

    Je n'arrive pas à croire ce qui c'est passé, ce qui m'est arrivé. Je venais de découvrir l'écran, la lettre, le mot! Et j'entendais déjà des ricanement derrière les parois "Voilà notre salope!". Un sexe déjà gonflé faisait son apparition par le trou en face de moi "Suce, suce moi la queue cochonne! Et dépêche toi un peu ça traîne!". Je m'avançait vers le sexe qui m'obligeait, quand un second apparu par un second trou "Touche moi le dard sale pute, tu vas voir ce qui t'attend!"
    Je commençais à ouvrir la bouche et à suçoter la verge face à moi, et à doigter l'autre, quand deux autres membres tendus à bloc faisaient leur apparition.
    "Suce moi mieux que ça grosse truie, ouvre ta bonne gueule et avale moi le gland" je ne disais rien, je faisais. "Et surtout ne laisse pas nos copains comme ça, il t'attendent aussi!"

    Je suçais de plus en plus, de plus en plus profondément, de la salive me coulait sur le menton, je risquais de m'étouffer à chaque enfournage de queue, cette queue qui me frappait le fond de la gorge à chaque bouchée! Je tentais de m'occuper de toutes les bites qui m'étaient destinée... Je crois bien qu'il y en avait 6 ou 7. 

    "Lève ton petit cul et colle le bien en face d'un trou qu'on vienne te le prendre petite chienne!" j'en ai assez de cette manière de me parler, de me traiter de salope, de pute, de chienne, mais c'est pourtant ce que je suis à accepter un tel chantage, mais ai-je vraiment le choix? Je relève mes fesses et colle mon sexe bien en face d'un trou comme exigé, je suce toujours la bite face à moi, les murs sont suffisamment proche que pour pouvoir se faire prendre par les deux côtés en même temps, on dirait l'endroit étudier pour çà. La queue que je suçais disparaît et se fait vite remplacer, c'est elle qui vient à l'encontre de mon sexe qui est sec comme le désert. Compréhensible, car je n'avais vraiment aucune envie de me faire prendre par tant d'étrangers! "Écartes tes lèvres salopes, je ne vais pas rentrer!" j'écarte à peine mes lèvres qu'un coup de boutoir me force l'entrée, je hurle de mal, mais ce n'est que le début, après ce coup de pinne, d'autres suivent encore et encore et encore et encore, plus puissant les uns que les autres! 
    Après m'être occupée de nombreuses bites, certaines revenant même plusieurs fois se faire sucer, et avoir été pilonnée pendant plus d'une demi-heure, la chatte en feu, les lèvres rougies de douleurs et pourtant humide comme jamais! J'avais honte de la situation, honte de me faire prendre comme une chose, comme une vulgaire pute, et malgré tout je prenais du plaisir!
    "Abaisses toi un peu grosse chienne, tu n'as plus l'air aussi rebutante à l'idée de toutes ces bites en toi! Et bien écartes nous ton trou du cul maintenant!"
    - Non, pas ça, je vous en prie, je ne l'ai jamais fait et je tiens à ça!
    "Tu refuses, chienne, c'est comme tu veux, mais regarde bien l'écran alors! ahahahah"
    Avant même que je tourne la tête, je descendis mon cul, écartant mes fesses et priant pour un peu de douceur...
    "Ta première sodomie et à la chaîne en plus, tu vas t'en souvenir de ton dépucelage anal ma belle! En plus tu as voulu refuser! Prends ça connasse, garage à bites, trou gluant!..."
    Je n'entendais plus ses insultes, il m'avait fourré le cul comme on fourre une dinde. On trouve le trou, et on enfourne sans aucune délicatesse. Je n'avais même pas eu le temps du réflexe de compression, qu'il m'avait déjà empalé sur sa verge tendue, je ne sentais plus mon cul, ou non, je le sentais, j'avais l'impression d'être pilonnée par un gode énorme, un pieu de torture. Les coups de reins n'étaient pas là pour ralentir l'intrusion, mais pour me faire comprendre que même mon trou du cul auquel je tenais et que j'avais toujours espéré tenir petit et ferme, leur appartenait. Qu'ils en feraient ce qu'ils voudraient et me l'élargirait au possible!
    Après une heure et demi de pilonnage facial, vaginal et anal, on m'ordonna de me tenir à genoux près de chacune des queues prêtes à gicler, et que je n'avais le droit que de réajuster mon tailleur avant de faire ma toilette une fois dans ma chambre.

    J'avais pleurer toutes les larmes de mon corps pendant ma soumission, et je devais encore éviter tous les regards que j'aurais pu croiser avant d'arriver dans ma chambre sous peine d'être prise pour la pire des chiennes par mes collègues!!!

    Écroulée sur mon lit, un message m'attendait sur ma table de nuit.
    "Bonne nuit mon ange, repose toi bien avant tes ébats de demain!!!"
    "Salope, suce, ramène ton cul que je te le fourre, montre nous ton cul, écarte les fesses, ramasse dans ton fion grosse pute, ..." Tout ce que j'ai vécu hier, j'ai rêvé de tout, tout revécu d'une vision extérieur. Je revoyais les parois, les bites, tous ces sexes tendus près à éclater me fourrer, tous ces membres que j'ai sucé telle une chienne... Tout ce foutre me giclant dans le cul, sur ma vulve, me coulant sur le visage, ma mouille dégouliner le long de mes jambes entremêlées au sperme chaud de mes assaillants...

    Je me réveille au son de mon réveil, j'avais honte de moi, de ce que j'avais subit, de ce que je n'avais pas le choix de refuser... J'avais honte d'être devenue pour la soirée d'hier, une pute d'un soir, un garage à bite, un réservoir à foutre... J'avais honte d'en avoir rêvé... J'avais honte de m'être réveillé humide de mon intimité...

    Je revenais dans ma chambre pour me rafraichir après le déjeuner où j'avais eu l'impression d'être dévisagée, d'avoir été démasquée par mes collègues, quel folies, comment auraient-ils pu savoir quoi que ce soit?

    Sur mon lit, un colis, une boite allongée, avec dessus, une enveloppe carrée. Je m'empresse de l'ouvrir, j'y découvre un mot et un nouveau CD : "COPIE N°2"

    J'allume rapidement mon PC, insère le CD, visionne la copie, et m'aperçoit que mes exploits d'hier on aussi été filmé. Vite le mot :"Alors ma petite salope, bien remise de ta soirée d'hier? Contente d'avoir des souvenirs? Ne t'inquiète pas, tu en auras d'autres! Maintenant ouvre la boîte, et fais toi plaisir maintenant avec le gros jouet, le petit ce sera pour après! Attention, ne me déçoit pas, joue, donne toi du plaisir, mais surtout ouvre toi bien de partout que je ne rate aucune miette de tes trous intimes!!!"

    J'ouvre le paquet, y découvre deux emballages bien distincts. Je déballe le plus imposant. Un gode en plastique semi dur d'une taille impressionnante. Un bon 35 cm de long pour 8 bon centimètres de circonférence. Comment vais-je bien pouvoir m'insérer un tel monstre?
    Je dépouille mon lit de toute couverture, seules restent mes oreillers qui me servent de supports. Je me déshabille complètement et commence à me toucher les seins, tout en me caressant les lèvres. Il ne me faut pas longtemps avant de sentir ma vulve mouiller d'excitation due à la situation incroyable ou je me trouve... Chienne et soumise à un total inconnu qui fait de moi ce qu'il veut et ou je commence à aimer ça! Tout y passe, mes doigts, le gode, je m'enfourne tout dans ma chatte, et pendant que les va et viens viennent et reviennent avec de plus en plus d'insistance entre mes cuisses, je me chauffe le petit trou de mon autre main. Mes doigts me chauffe l'anus, j'entre d'abord un puis deux et trois doigts assez facilement. La petite réunion d'hier soir y est pour quelque chose! Mais cela ne sera pas suffisant pour y insérer ce gode gigantesque. Autant il entre assez aisément en moi par mon intimité vaginale, autant je n'arriverai pas à rentrer ne fusses que la tête de l'engin dans mon petit trou! Je tente un quatrième doigt pour m'ouvrir encore, il passe, mais ce n'est plus du tout par envie, ni par plaisir! Je place la tête du gode devant ma petite entrée qui au contact du morceau se referme. Le gode est trempé, et comme je n'ai pas le choix, je force la pénétration. Ça ne rentre toujours pas... je me mets comme pour me faire prendre en levrette, la face contre mon matelas, le cul relevé vers le plafond, je pousse comme quand je vais à selle et je sens mon trou s'entre-ouvrir. Ni une ni deux, je pousse le gode de toutes mes forces, et ma mouille aide l'engin à entrer en moi. Malgré le fait que je mordais dans un de mes coussins, j'émets une plainte de douleur intense, j'ai mal, mais je ne peux pas m'arrêter là, je sais bien que mon tortionnaire ne serait pas satisfait de cette simple insertion. Poussant toujours pour ouvrir mon sphincter au maximum, je commence des va et vient avec l'engin entre mes fesses. Je n'arrive pas à croire que cette pénétration est de plus en plus facile, mais que cela m'irrite le cul!
    Après un bon quart d'heure de godage anal, et de prise de plaisir malgré moi, je m'arrête, suant de tout mon corps sur le lit, gardant bien en moi, au plus profond de mon cul, cet objet que je commençais à apprécier!

    J'ouvris le deuxième emballage d'où s'échappa un petit message. "Enfonce toi ça bien calé dans ton petit cul et rejoint tes collègues. Attention, important, ne l'enlève pas avant d'en recevoir l'ordre et ne met pas de culotte sans quoi tes exploits seront exposé à tous les regards!!!"
    Un plug, j'avais reçu un plug, moins imposant que le gode, mais je devais passer la journée avec... Et si jamais il lui venait l'idée de tomber de mon cul élargit au possible, il n'aurait même pas de filet de sécurité pour l'empêché de tomber au sol...
    Je passais vite à la toilette, puis à la salle de bain me donnant un rapide coup de frais. J’insérais le plug en mon intimité comme un couteau dans du beurre liquide. Aucune résistance à l’entrée de mon cul, le plug tenait à peine, je resserrais les fesses du mieux possible et priais le seigneur de ne pas relâcher la pression avant que mon petit trou ait retrouvé une taille normale qui empêcherait d’elle-même le plug de ressortir sans mon consentement!Quel honte, quel délice, quel supplice, quelle surprise.Mais que m’arrive-t-il? Manipulée, offerte à son bon vouloir, à ses désirs, à ses plaisirs. Soumise, pute et salope, je ne trouve pas les mots exacts pour me définir… Moi la prude, la sainte ni touche, prise au dépourvu, complètement à sa merci… Et je ne le connais pas, je ne sais qui il est, quel histoire mon dieu…

    Son dernier supplice est idiot, et pas si bête puisqu’il veut que je lui sois entièrement soumise… Me balader toute la journée avec ce plug dans le cul… Et si ce n’était que ça, malgré mon refus complet à la sodomie avant de venir ici dans mon enfer… Mais après m’avoir obligée à m’ouvrir la croupe avec un gode énorme… Je fais tout ce que je peux pour serrer les fesses du mieux que je peux pour ne pas laisser tomber ce fichu plug que je ne peux pas retenir car je dois me mouvoir sans sous-vêtements…
    J’arrive enfin dans la salle où je rejoins mes collègues avec presque une heure de retard… Je m’excuse, je trouve une excuse des plus simpliste, je m’assieds, quel délivrance, je ne dois plus faire d’efforts pour retenir cet intrusion obligatoire… Plus les minutes passe, moins je sens ce jouet qui s’est pourtant bien mieux enfoncé dans mon cul depuis mon assise… La journée passe, et je n’arrête pas de penser à ce que je pourrais encore subir ce soir… 
    17h00, enfin la délivrance… Je retourne vers ma chambre, je me dirige vers la salle de bain, je veux retirer cet intrus de mon cul… Une lettre sur le seuil de ma porte… Je l’ouvre, et file dans la salle de bain… « Un nouveau jouet t’attend sur le rebord du bain. N’oublie rien, et avant d’aller manger, remet donc ton copain d’aujourd’hui »…

    Quel monstre! Un gode pire que celui de ce matin! Un arbre de noël sur trois étages… Premier palier cinq bon centimètres de diamètre, six et demi pour le second, et un bon huit pour le dernier… Quel folie, mais je n’ai pas le choix, et surtout, jusqu’où dois-je aller? Dans l’ignorance, je décide de tout faire rentrer… Comment me mettre pour m’enfourner un tel mastodonte? Je décide de me mettre à même le sol, le gode pointant de toute sa longueur vers le ciel… Les premiers centimètres ne sont plus si désagréables, et j’arrive au premier palier sans trop de difficulté. Après cette insertion, je souffle, en sentant toute cette matière m’emplir le trou du cul. Comment vais-je faire pour introduire le reste? J’avais prévu un gel douche que j’avais mis prêt de moi au cas ou, et je décide d’enduire le reste du gode de savon pour facilité l’entrée… Au bout d’effort intense, me mordant les lèvres pour ne pas crier de douleur, j’achève le deuxième palier en pleurant de mal…

    Le téléphone sonne, dois-je répondre, ressortant l’entièreté de l’engin je fil cul nu jusqu’au combiné.

    - Allô.
    - Ne t’arrête pas en si bon chemin, ordonne une voix déformée.

    J’avais la réponse à ma question, suivie d’un bip sonore ponctuant la conversation. Je retourne n'afférer et me torturer le trou du cul, jouant de plus en plus avec mon entrée sur le deuxième palier en espérant préparer mon cul au troisième, mais la souffrance est bien présente, m’emplissant le fion d’un engin monstrueux. Je pleurs de douleur, de mal, de souffrance, et pourtant j’appréciais de plus en plus cette position de soumise, de chienne, mais jusqu’où allais-je être entraînée? Allais-je jouer le jeu jusqu’au bout? En ai-je vraiment le choix?

    C’est avec le cul meurtri, le trou béant, le fion acceptant le petit plug dans sa totalité, que je descendis manger avec mes collègues qui s’interrogeaient de ma démarche titubante, maladroite à leurs yeux. 

    Je ne me plaignais pas de ma souffrante jouissance.

    Sur ma table de nuit, une nouvelle lettre était posée.
    Encore une satanée lettre. Prête à me faire faire les pires folies immonde et qui me dérange de moins en moins. Comment cela est-il possible? Que suis-je devenue?

    Je la prends, je l'ouvre, et je trouve un nouveau mot. Vais-je encore devoir m'ouvrir le cul comme tout à l'heure? il n'en peut plus le pauvre il souffre.

    "Tu peux te retirer ton plug ma belle, un colis t'attend à la réception. Dépêche toi, le temps presse."

    Je n'ai même pas le temps de m'asseoir, de me reposer, je suis un jouet qu'il ne veut pas lâcher, qu'il ne veut pas reposer. Je n'en peux plus, mais si je cède, ma carrière est foutue... Je ne prends même pas la peine de me retirer le plug et descend jusqu'à l'accueil où m'attend un colis. Je me met à l'écart près de la réception pour ouvrir le colis de la manière la plus discrète possible. On ne sait jamais.

    "Monte dans ta chambre, met toi au lit, met le bandeau sur tes yeux, et les menottes près de ton oreiller. Surtout n'oublie pas la combinaison. Si tu oses entraver les règles, tu sais ce qu'il se passera, et surtout n'enlève jamais ton bandeau sous peine d'être dévoilée au grand jour."

    Dans quelle galère me suis-je fourrée?

    Je m'exécute. Une fois couché, je me tourne et me retourne dans tous les sens. Le bandeau me gêne, et ce n'est pas le pire. Que va-t-il m'arriver encore?

    En pleine nuit, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir. On me lève, me met les mains dans le dos et me menotte. J'ai bien mis le corset noir, le string fendu de la même couleur, et les bas résille. On m'enfile des chaussures à hauts tallons et on me pousse dans le couloir avec un sac sur la tête. Je ne vois absolument pas où je vais, heureusement mon bourreau me soutient le bras. Je n'imagine pas si je devais croiser un collègue dans les couloirs ce qu'il pourrait se passer, j'essaye de chasser cette idée folle de ma tête, mais je n'y arrive pas. je tremblote, j'ai peur, que va-t-on me faire? Vais-je mourir?

    On me place à l'avant d'une voiture assez basse. J'ai mon corps gelé, la peau qui frissonne, les tétons qui pointent, et une envie pressante que je n'ose avouer. Je n'ose même pas parler. La route défile pendant bien une bonne demi-heure avant qu'on ne descende de l'autoroute. Je sens à nouveau l'air frais sur ma peau, mon conducteur viens d'ouvrir la fenêtre coté passager. J'entends des pas, et des voix d'hommes. Je n'ose à peine imaginer ce qu'on espère de moi. Le conducteur est descendu, il va saluer les hommes qui s'approchaient en leur demandent les 20euros de commissions. Il ne faut pas attendre plus longtemps pour entendre les noms d'oiseaux voler à mon égard.

    - Voilà enfin notre belle petite pute prête à se faire démontée.

    C'est vrai, je ne suis plus rien qu'une pute à leur yeux, il paye pour me sauter. Je prie le ciel pour ne pas souffrir ni pendant, ni après.

    La porte de la voiture vient de s'ouvrir devant moi. Un homme me tire par les cheveux. Je tombe au sol, à leurs pieds, traînée dans la boue tel leur traînée. Je me relève à peine que je sens une queue me taper le front.

    - Suce ma salope. Suce moi la queue!!!

    J'ai à peine le temps d'ouvrir la bouche qu'un autre me relève le cul, me cambre et m'enfile sa verge dans le cul.

    -Quel trou ma parole, j'avais jamais eu aussi facile à enfiler une si jeune salope. Les exercices que tu lui a fait faire ont eu de l'effet!! D'ailleurs on ne pouvait s'attendre qu'à de la bonne qualité de salope avec ces vidéos!

    Ces vidéos? Elles ont circulées alors que j'ai fait tout ça pour qu'elle ne circule pas. Ça y est mon honneur est totalement bafoué. Et pourquoi cela ne se trouverait pas aussi sur internet? Des larmes coule sur mon visage et sur la queue du salaud qui m'enfourne sa bite dans ma bouche. Je n'ai plus la force de me retenir. il me souille, me baisent me pénètre de plus en plus fort, j'ai le visage dans la boue, le cul relevé, enfilée comme une simple catin, j'ai même droit au double enfilage anale. Je ne sais même plus combien ils sont, tous occupés à me remplir de foutre. Que peut-il encore m'arriver de pire? Ma dignité est complètement bafouée.

    Sur le chemin du retour j'entends la somme que mon bourreau à récolté, un petit 400euros. 20 mecs me sont montés dessus, vingts bites mon souillées, vingts bites que je me refusais d'accepter, de sucer et qui mon fourrées comme une grosse dinde. Vingt bites, vingt grosses bites bien dure qui ne m'ont même pas fait mal, et qui en plus m'ont fait jouir, car oui, ce qui m’écœure le plus ce n'est pas ce salaud qui m'a offerte, ce ne sont pas toutes ces bites qui m'ont bourrée, ce n'est pas tout ce foutre qui me coulent encore entre les jambes. Ce qui m’écœure le plus, c'est tout le plaisir, toute la jouissance que j'ai tiré de cette nuit de baise.
    Plus je sentais ces bites m'enfiler, plus je sentais ces mains me peloter les seins, plus je sentais toute cette sueur de mâles en rut disposer de leur salope que je suis plus je prenais du plaisir, plus j'en demandais, plus je voulais être prise comme une chienne. Je ne sais pas combien de temps j'ai été baisée, et malgré la fatigue, je n'avais pas envie que cela finisse.

    En me déposant dans ma chambre, mon bourreau m'enleva mes menottes. Il avait bien compris que j'étais devenue une vrai chienne en chaleur, et que j'en voulais encore. J'espérais même qu'il me monte dessus, mais le supplice fut pire, il ne me toucha pas.

    - Pourquoi tu ne me baises pas? Je te dégoûte de part ma perversion que tu as su faire éclater malgré moi?
    - Oh que non, mais j'ai mieux pour toi, ne t'inquiète pas.
    - Mieux...

    Il y eu un blanc pendant lequel je le sentais quitter la pièce.

    - Merci...

    J'en arrivais à le remercier de ce qu'il avait fait pour moi, et pour ce qu'il me promettait.

    Avant de m'endormir, il m'en fallait encore. Et je ne suis doigtée toute seule comme une grande. Une fois mouillée comme j'arrivais à l'être de plus en plus rapidement à force de m'exercer grâce à mon maître. Chienne que je suis devenue ne se satisfaisait plus de son index et de son majeur. Mais je devais m'enfiler toute ma main pour ressentir l'extase suprême du plaisir solitaire infini.

     

     
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