• L’officine se vide, les derniers clients quittent la pharmacie. Toujours respectable la pharmacienne, Geneviève retourne chez elle. C’est-ce que tout le monde croit. Elle a rendez vous avec un homme très âgé qui ne vit que pour la voir faire l’amour. Elle a ses propres goûts, mais pas avec ce vieillard, un oncle avec qui il y a pas mal de temps elle a fait l’amour pour la première fois mieux qu'un film... Elle s’en souvient encore: elle était dans sa chambre presque nue, les jambes écartées quand elle se touchait la chatte. Cette habitudes de se caresser datait déjà depuis ses chansons en bonne recette, à peine formée quand sa mère lui expliquait qu’il fallait qu’elle se méfie des garçons qui ne pensent qu’à une seule chose, son bas ventre à elle. Se méfier des garçons, oui, mais de son oncle ? Son oncle, comme tout homme est sensible au spectacle d’une fille qui se donne du plaisir. Il l’a provoqué en la mettant au défi de lui toucher la bite, ce qu’elle a fait. Étonné de voir une bite pour la première fois et de la voir gonfler dans sa main elle a continué à le caresser. Ce qui devait arriver est arrivé: il a remplacé la main de la fille sur sa chatte par la sienne. Il l’a branlé bien mieux qu’elle. La suite s’est déroulée au lit quand il lui a écarté les cuisses pour la baiser. Bien sur elle a eu mal bien sur elle a joui ensuite. Depuis dès qu’il a envie d’elle, elle est à sa disposition. Son âge avançant il lui a laissé la liberté de faire l’amour avec qui elle voulait. 
    Les penchants naturels de la Geneviève étaient plutôt féminins: en fac elle était presque en ménage avec une colocataire: au bout de deux mois, elles se retrouvaient dans le même lit, partageant les mêmes plaisirs. Elles avaient dépassé depuis longtemps les 69. L’homme a inventé les godes, elles savaient s’en servir, surtout des doubles allant jusqu’à se sodomiser avec le même en même temps. Sa compagne aimait tant la sodomie qu’au mépris de tout elle demandait que Geneviève l'encule complètement avec le double gode. Elle le rentrait normalement puis accédant à la demande arrivait à le faire entrer complètement dans l’anus bien ouvert. Il disparaissait entièrement dans le cul. Le sphincter se refermait sur cet objet. D’un coup de rein il sortait un peu pour que Geneviève le remette à fond. Sa compagne jouissait sans fin. Pour parachever sa besogne Geneviève se mettait sous son amante pour lui lécher la chatte. Pour elle c’était toujours agréable d’avoir une autre langue sur sa chatte.
    Un jour elle en parlait à son oncle sans scrupule. Lui commençant à être assez raplapla ne la baisait presque plus. Elle devait le branler simplement. Quelques fois, sur sa demande elle le suçait. Elle crachait toujours le sperme, ce liquide qu’elle n’avait jamais aimé. Elle était habituée à la cyprine qui a un autre goût supérieur au liquide masculin. 
    Donc ayant dit à son oncle comment sa compagne aimait la sodomie il voulait voir le spectacle insolite. Un samedi après midi, Geneviève avec son amante viennent donc se donner en spectacle à l’oncle sacrément vicieux. Elles sont d’avance excitées de donner à voir leur baise. Elles ont pris le matériel préféré: un double gode qui permet à l’une de baiser l’autre dans le vagin et à elle-même de se le mettre dans son vagin: une invention qui leur plaît beaucoup. Deux godes ordinaires pour s’enculer pendant les 69 et enfin le fameux double cher à la compagne. 
    L’oncle les attend, habillé normalement. C’est à peina si on distingue sa bite presque morte. Les deux filles sont embrassées sur la bouches, Il les pelote un peu, manière d’affirmer qu’il est un homme. Il leur met une main sur les chattes. En passant sa main sous les jeans il n’arrivent qu’à exciter un peu des deux gouines. Depuis le temps elles sont installées chacune dans son officine, même si elle se voient presque tous les jours en se cachant à peine. Leur avantage est qu’elles vendent des objet coquins en donnant des conseils d’utilisation et quelques fois des démonstrations à des clientes toujours portées sur les plaisirs particuliers. 
    Maintenant il faut faire plaisir au premier amant de Geneviève, donc il faut donner tout ce qu’on a dans le ventre. Elle commencent par déshabiller l’oncle, le spectacle n’est pas à la hauteur, en tout cas rien d’excitant pour les deux tribades. Ce n’est qu’après que pour elles les plaisirs interdits démarrent. Elles se donnent l’une à l’autre: elles s’aiment c’est évident. Les baisers sur la bouche ne sont pas feints, les caresses sur les poitrines sont bien réels. Elles se masturbent jusqu’à la première jouissance. Ensuite elles entrent dans l’improvisation. Seul les désirs comptent. Geneviève a envie de la chatte de sa compagne sur sa bouche: simple elle se couche sur un divan, écarte les cuisses et se donne à la langue qui fait ce qu’elle veut, entre autre entre un peu dans le cul. Elle adore jouir par le cul. Pourtant elle jouit par la chatte, simplement en ayant la langue dans le vagin. Geneviève est redoutable dans ce domaine. Aucune femme ne pourrait résister à sa langue, même la plus résistante des hétérosexuelles. Enfin Geneviève prend le double gode, qu’elle pose bien dans son vagin avant d’aller baiser sa compagne. Les légères vibrations montent le plaisir. Les va et vient font qu’elles ressentent les mêmes plaisirs que si elle baisaient réellement. Bien sur les gémissement ne mentent pas: elles jouissent comme toutes les femmes si ce n‘est plus. Le plus, restant les caresses avec les seins entre elles. 
    L’oncle les regarde avec intérêt; il bande à peine, il se branle sans complexe devant les deux filles. Il est loin de jouir, le pauvre. Pourtant qu’aucun homme ne résisterait à les voir s’aimer. Pour changer elles se couchent presque, retenue simplement par les avant bras, les jambes emmêlées, les clitoris frottant amplement contre l’autre. L’orgasme ne tarde pas. L’amante a son besoin de pénétration plus que extrême. 
    Geneviève empoigne le double gode, l’enfonce un peu après avoir bien enduite l’anus de cyprine et de salive, il entre facilement tant l’anus est habitué à cette sodomie. Il est presque à l’intérieur quand l’amante s’occupe de le rentrer avec une main; elle l’accompagne jusqu’à l’intérieur à le faire totalement disparaître dans ses boyaux. Elle le garde sans bouger un bon moment pendant lequel Geneviève la branle. A chaque orgasme le gode sort un peu; elle le rentre à nouveau. Elle sont en 69. Chacune jouit à sa façon. L’oncle lui jouit, son petit jet est dépourvue de sperme: il a joui enfin depuis le temps. Les filles se sucent toujours jusqu’à l’orgasme final: Geneviève sort le gode, le donne à son amante: elle partage le nettoyage à grand coup de langue.
    Quand elles partent elles savent d’avance que l’oncle ne demandera plus rien, alors qu’elles s’aimeront longuement encore ce soir.
    JOUI12R@HOTMAIL.FR



     
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  • Angélique fut la première personne que j’ai vue lors de mon entretien d’embauche, il y a maintenant 4mois...et je cherchais, après de longues études, à entrer de plain-pied dans la vie active.

    En sortant de l’ascenseur, ce jour-là, c’est elle qui apparut et à ce moment-là, tout mon être fut retourné. Elle est sublime : vraie blonde aux yeux bleus, de 1 m 71, un visage d’ange qui laisse transparaître une dose d’espièglerie, une poitrine bien faite et bien ronde (un beau 90 B) et un cul généreux, incroyablement bien moulé dans le jean qu’elle portait ce jour-là. En la suivant dans le bureau..., je ne pouvais décrocher mon regard de ce postérieur parfait qui rebondissait à chaque foulée qu’elle faisait sur ses petits talons.

    L’entretien s’est bien passé, malgré mon éblouissement initial et avant même de terminer, je savais que je voulais ce job et que l’une des raisons était de pouvoir côtoyer cette Angélique, tous les jours. Pas vraiment dans l’espoir de pouvoir lui faire l’amour, mais plus pour avoir le plaisir de la mater tous les jours.

    Et ce que je vis, avant de partir, fit encore plus pencher la balance. J’avais déjà remarqué son piercing à la langue quand elle m’avait accueilli et quand, avant de me raccompagner vers la sortie, je la vis se pencher pour récupérer un dossier dans une armoire, pour découvrir un magnifique tatouage tribal, en forme de flèche, vers le bas, dans le creux de ses reins. Mon sang ne fit qu’un tour : en plus d’aimer sucer, cette salope devait aimer se faire prendre par derrière.

    À peine un mois plus tard, je débutais à mon nouveau poste. J’étais aux anges : le poste était intéressant, j’avais mon bureau, contenant une salle de bain que je partageais avec mon boss qui était à peine là, un jour par semaine et surtout, je pouvais voir Angélique, tous les jours. Je ne manquais jamais une occasion de la faire venir dans mon bureau pour lui faire ranger des dossiers dans les armoires et ainsi pouvoir mater son cul, toujours bien serré dans des pantalons ou des jupes étroites. Je n’hésitais pas, non plus, à me rendre dans son bureau où je profitais d’être debout pour mater ses décolletés qui étaient parfois d’une profondeur conséquente. Et quelle bonheur de la voir débarrasser la table de réunion des dossiers et autres tasses de cafés, me permettant ainsi de voir sa poitrine suspendue à son buste penché, laissant apparaître jusqu’au lien entre les deux bonnets, ainsi que le fameux tatouage au dessus de sa jupe, qui laissait souvent transparaître les traces de son string.

    Pendant plusieurs années, il ne s’est rien passé de plus entre nous. Si elle m’excitait furieusement, je n’osais pas franchir le pas. J’étais alors heureux dans mon couple (je le suis toujours) et je ne voulais pas tout gâcher pour cet objet de fantasme. Avec Angélique, nous entretenions des relations amicales au boulot, on se tutoyait, mais on ne se voyait pas en dehors. C’est ainsi que je l’ai vu se faire baiser, puis être en grosse coch*nne avec ses quatre copines. Ces deux mois furent des moments particuliers pour moi, car à chaque fois, j’ai pu contempler ses formes devenir plus généreuses, ses seins grossir pour atteindre un 95 C, son cul se développer pour être encore plus appétissant. Et quelle joie pour moi, quand je me suis rendu compte, après son retour de baise, qu’elle avait conservé ces seins fabuleux et ce fessier fantastique de salope.

    Cette période de tentation a duré près des semaines, pendant lesquels je me suis souvent branlé en pensant à elle, allant jusqu’à éjaculer sur des photos d’elle, faites lors de fêtes du personnel et ce, alors même, que je la savais dans le bureau d’à coté. À chaque fois, je me sentais toujours un peu pathétique de vivre cette frustration. Et puis un jour tout à changé. Je ne remercierai jamais Angélique d’avoir fait le premier pas et d’avoir bouleversé ma vie en ne la faisant plus graviter qu’autour d’une chose : le sexe !

    Le jour où tout à changé est celui où Angélique m’a invité à venir manger un midi chez elle, avec 3 de ses autres collègues de l’étage. Elles faisaient régulièrement ces petites bouffes, souvent le vendredi, quand l’activité est moindre et revenaient toujours plus volubiles que d’habitude.
    Le repas fut très sympathique et effectivement, assez arrosé. Et c’est au moment où je me suis proposé pour allez chercher le café dans la cuisine que tout a basculé. Je préparais le plateau avec les tasses quand Angélique est arrivée derrière moi, alors que j’étais contre le plan de travail.

    — « Ne bouge pas, j’attrape le sucre, il est dans le placard au dessus de toi ! »

    Sur le coup, je n’ai pas trop compris pourquoi elle ne m’avait pas dit de le prendre, sachant qu’avec mon mètre 89, c’était quand même plus facile. En sentant son bassin se presser contre mes fesses, ses seins se coller à mon dos, sa respiration dans mon cou, je sentis un frisson me parcourir le corps. En une fraction de seconde, le sang afflua dans mon sexe qui se mit à me faire mal instantanément, serré qu’il était dans mon jean. Le plateau du café se mit à trembler.
    Angélique, la boite de sucre dans la main, avait remarqué mon trouble. Quand je me suis retourné pour lui faire face, elle me regarda droit dans les yeux, mais ne dit pas un mot. Et, se penchant sur le plan de travail pour attraper la cafetière, elle me susurra tout doucement à l’oreille, tout laissant courir de façon prononcée sa main sur la bosse qui ornait désormais mon pantalon : « Tout à l’heure… !».

    Je restai là, appuyé contre le plan de travail, incapable de faire un geste ou de prononcer un mot pendant près de 3 minutes. Sous le choc ! Analyser la situation était impossible, une seule chose était certaine : je venais de me faire allumer par celle qui représentait mon fantasme absolu depuis 6 ans. Et il allait enfin se passer quelque chose. « Tout à l’heure… !».

    En revenant dans la salle à manger, je n’en menais pas large, mais j’essayais de garder une contenance. Personne ne semblait remarquer mon trouble (j’avais réussi à camoufler mon érection en sortant ma chemise de mon pantalon). Et Angélique semblait faire exprès d’éviter mon regard. Sur le chemin du retour, dans la voiture que nous partagions, j’étais assis à la place du mort, avec Angélique, derrière mon siège. Ça rigolait bien dans la voiture et les filles chantaient à tue-tête l’air qui passait à la radio en se trémoussant. Et c’est alors que je sentis, distinctement, des doigts effleurer mon coté droit. À la faveur de cette ambiance déchaînée, Angélique s’était rapproché de mon siège et avait posé sa main sur mon corps, glissant sous ma chemise pour toucher ma peau. Ma bite se dressa encore plus fort dans mon pantalon et je dus me tortiller pour que ça ne se voie pas trop.
    En croisant les bras, je pus, des doigts de ma main gauche, rejoindre ceux d’Angélique. Ce bref contact m’électrisa. Et lorsque je sentis la douce étoffe de satin et de dentelle que sa main contenait et qu’elle me transmettait à l’insu de ses collègues, je faillis m’évanouir : cette salope avait retiré son string un peu plus tôt et elle profitait du voyage du retour pour me le donner, au risque de se faire surprendre.

    En arrivant au boulot, je fonçai dans les toilettes, prétextant un besoin urgent dû à l’excès d’alcool. Une fois seul, je sortis, de la poche de mon jean, la pièce de lingerie que j’avais réussi tant bien que mal à camoufler, quelques instants plus tôt. C’était un string en satin noir paré de fine dentelle. Je ne parvenais pas à réaliser que j’avais entre les mains cette pièce de lingerie dont j’avais plusieurs fois pu apercevoir l’échancrure sous ses vêtements. L’humidité dont il était imprégné ne trompait pas : c’était bien le string qu’elle avait porté aujourd’hui. En le portant à mon visage, la douce odeur de cyprine qui s’en dégagea me confirma l’autre point essentiel : elle avait mouillé aujourd’hui, juste avant de retirer ce string. Notre rencontre dans sa cuisine, l’avait surement aussi excitée que moi.

    De retour dans mon bureau, j’étais complètement décontenancé, incapable de penser. Je n’osais pas en sortir de l’après midi et certainement pas pour aller dans le bureau d’Angélique. Je la savais dans son bureau, juste séparée de moi par une cloison, mais l’étage était encore beaucoup fréquenté. Ce n’est que vers 17 h que j’entendis, une à une, les portes des différents bureaux se fermer, indiquant le départ des autres occupants de l’étage. Puis le téléphone se mit à sonner : c’était le poste d’Angélique. Je décrochai fébrilement, sans prononcer un mot.

    — « Nous sommes seuls, j’arrive ! »

    A peine le temps de raccrocher, que je la vois entrer dans mon bureau, fermant la porte derrière elle. Je me souviens encore parfaitement comment elle était habillée: un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner son soutien gorge noir sur un pantalon noir assez moulant, et des petits escarpins, noirs également.
    Elle franchit les quelques mètres qui sépare la porte de mon bureau lentement, sans dire un mot, en me fixant intensément, tout en déboutonnant trois boutons de son chemisier. Elle s’arrête alors face à moi, de l’autre côté de mon bureau, et laisse tomber son chemisier sur le sol. Je vois alors que son soutien gorge complète ce string que j’ai remis dans ma poche. Ses seins ont l’air magnifique, et il me tarde de les découvrir enfin. Elle se penche alors vers moi, en s’appuyant sur mon bureau. Je découvre son décolleté magnifique comme jamais, ses seins paraissent lourds et fermes.
    « - Tu aimes ce que tu vois? »
    J’acquiesce sans arriver à prononcer un son.
    « - Ce n’est que le début. Ça fait tellement longtemps que j’en ai envie. Laisse toi faire. »
    Elle fait alors le tour du bureau et se penche vers moi pour m’embrasser. Ses lèvres se posent sur les miennes et rapidement, sa langue trouve son chemin à travers ma bouche pour venir tournoyer autour de la mienne. Ce baiser est à la fois tendre et fougueux, et je ne peux m’empêcher de frissonner. Au bout d’une minute, sa main prend la mienne, et la pose délicatement sur un de ses seins. L’objet de toutes mes convoitises est enfin à ma portée. Je le caresse doucement à travers le soutien-gorge: il est si doux, le toucher de sa peau m’électrise. Je commence ensuite à le soupeser et à le palper plus fermement, il est ferme et souple, tout comme je l’avais imaginé.
    Constatant que ma main gauche est inoccupée, Angélique continue de prendre les choses en main: elle la saisit pour la poser fermement sur sa fesse droite, en la faisant presque claquer.
    « - Je vais quand même pas tout faire toute seule! Occupe toi de moi! »
    Je me mets donc à malaxer ces fesses sublimes, et toujours en m’embrassant, Angélique déboutonne son pantalon pour le faire glisser jusqu’au sol. Son cul est maintenant complètement nu, car elle n’a rien remis après avoir retiré le string qu’elle m’a donné. J’en profite pour le saisir à deux mains et le pétrir vigoureusement, laissant mes doigts glisser le long de sa raie. Angélique se retourne alors, s’asseyant sur mes genoux, faisant des va et vient le long de mes cuisses. Je peux enfin voir ce cul splendide, surmonté par ce magnifique tatouage que je n’avais encore vu qu’en partie. Il est incroyablement beau, à la fois charnu et rond. Je ne parviens à détacher mon regard de cet incroyable objet de désir. C’est alors que ma secrétaire entreprend de retirer son soutien gorge. Avant même de les voir, j’attrape fermement ses seins enfin libérés de leur carcan de satin. Au toucher, je devine leurs formes, entre la pomme et la poire, et je sens ses tétons furieusement dressés. Mes mains, assez grandes, semblent avoir la dimension parfaite pour les saisir et les pétrir.
    Après quelques instants, Angélique se lève et se retourne enfin. Je la vois enfin entièrement nue devant moi, uniquement chaussé de ses escarpins. Malgré ses deux grossesses, son corps est fabuleux. Le grain de sa peau est magnifique, ses seins, qu’elle porte haut, assez lourds ont une forme quasi parfaite. Ses aréoles sont assez claires, et les tétons, s’ils ont une taille standard, sont durcis par le désir et remontent légèrement. Son ventre n’est que très légèrement rebondi. Le galbe de ses jambes, rehaussé par les talons, lui donne une silhouette élancée. Enfin, j’aperçois son sexe joliment épilé, seuls quelques poils courts sur le pubis venant surmonter sa chatte. Celle-ci est splendide, les grandes lèvres sont charnues et les petites ne se laissent pas encore deviner. A deux mètres de distance, j’aperçois déjà que son clitoris est gorgé de sang. A la brillance de sa fente, je peux voir qu’elle doit déjà pas mal mouiller.
    Je n’ai toujours pas prononcé un mot. Elle semble comprendre mon mutisme, et décide de combler le silence.
    « - Depuis le premier jour, j’en ai envie, mais je n’ai jamais osé. Aujourd’hui, j’ai décidé que ça suffisait. Je sais que je te plais, j’ai vu comment tu me regardes, la façon que tu as de regarder mes seins en essayant de ne pas te faire remarquer. Quand j’ai senti ton corps contre le mien, tout à l’heure chez moi, j’ai su que ça ne pouvait qu’arriver. Je me suis souvent touché en pensant à toi, j’ai souvent rêvé de ton corps, j’ai souvent imaginé ta queue. Je veux la voir maintenant. »
    Et sans même me laisser le temps de répondre, Angélique se met à genoux et de ses mains expertes, elle fait sauter les boutons de mon pantalon. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve avec le pantalon sur les chevilles, assis en caleçon sur ma chaise de bureau avec ma secrétaire entièrement nue entre mes cuisses, son visage à hauteur de mon sexe. Elle tâte la bosse de mon entrejambe qui est devenue énorme. Je peux dire que j’ai été gâté par la nature, avec un sexe à la fois long et épais, mais je crois que je n’avais jamais eu de ma vie une bite aussi gigantesque et dure qu’à ce moment là. La vision de mon sexe à travers le tissu laisse d’abord Angélique sans voix. A ses yeux écarquillés et sa bouche béante, je comprends qu’elle est impressionnée. Elle laisse courir ensuite ses doigts sur ma verge à travers le caleçon, avant de finalement empoigner celui-ci à pleine main et à le faire glisser vers le bas.
    Enfin libéré de son carcan, ma bite surgit tel un ressort de façon si subite qu’Angélique ne peux éviter le contact avec sa joue. Elle éclate alors d’un rire un peu gêné.
    « - Si j’avais su ça, je me serais décidé plus tôt.
    - Et moi donc. J’ai fantasmé cet instant des centaines de fois. Je crois rêver.
    - Ce n’est pas un rêve ce que je tiens »
    Elle attrape alors mon sexe dans sa main. La chaleur de sa paume sur ma queue me fait frémir. Sans me quitter des yeux, elle rapproche son visage et le caresse avec mon sexe. Sa peau est délicate comme un voile de satin. La vision de ma bite énorme passant et repassant sur son visage d’ange est magique. Les deux placés ainsi côte à côte
    « Elle est douce, dit-elle, j’espère qu’elle a aussi bon goût.. »
    Et sans me laisser le temps de répondre, elle ferme les yeux et donne un grand coup de langue depuis la base jusqu’au sommet du gland. Puis les rouvrant, elle me regarde de ses yeux bleus fantastique et me dit: « elle est bonne, je crois que je ne vais pas m’en lasser. Tout en continuant à me regarder, elle enfourne alors mon gland dans sa bouche. L’appétit avec lequel elle se met à l’ouvrage renforce encore mon excitation. Elle entreprend des va et vient, sa bouche enserrant mon gland, en s’attachant à bien saliver. L’intérieur de sa bouche, chaud et humide, est un réceptacle de choix pour ma queue. De temps en temps, elle arrête ses mouvements pour mieux faire passer sa langue sur toute la longueur de ma queue, pour finir par s’attarder sur mon gland en tournoyant. Puis elle le reprend en bouche, allant jusqu’à le mordiller, me procurant ainsi une extase intense.
    Ce petit exercice dure plusieurs minutes, et ces jeux délicats ne font qu’augmenter mon désir de prendre les choses en main.
    Je profite d’un instant ou Angélique est en train de me pomper délicatement le gland pour saisir sa nuque et forcer ma queue au fond de sa gorge. Je sens d’abord une résistance: si ma queue n’avait pas encore été plus loin dans sa bouche, c’est que sa taille rendait la chose difficile. Mais j’étais convaincu, après tout ce qui s’était passé aujourd’hui, du potentiel de salope qui sommeillait chez Angélique. Elle avait voulu ma queue, elle allait l’avoir tout entière.
    Tout en maintenant la tête de ma secrétaire, je me mets à faire bouger ma queue d’avant en arrière dans sa bouche. Elle essaie de se débattre doucement, mais je lui dis doucement à l’oreille:
    « - Laisse toi faire, fais moi confiance, tu vas adorer ça, j’en suis sur ».
    Elle relâche alors la tension qui animait son corps, et laisse ma queue pénétrer toujours plus profondément dans sa bouche. Ses yeux s’embuent alors et sa respiration se coupe par moment. Deux larmes coulent alors doucement sur son visage.
    « - Tu veux que j’arrête?, dis-je en retirant ma bite presque entièrement d’entre ses lèvres.
    « - ..Hon!» parvient-elle à peine à prononcer, mon gland appuyé contre sa langue.
    Je recommence alors mon va et vient, toujours plus profond, enfournant presque jusqu’à la garde mon sexe dans cette bouche exquise. Ma grosse queue lui déforme le visage, la salive ruisselle d’entre ses lèvres inondant mes couilles, et son Rimmel coule sur ses joues comme deux petits ruisseaux. Je n’ai plus besoin de lui tenir la tête, Angélique effectue elle-même les va et vient, cherchant à prendre en elle toujours un peu plus de ma queue.
    Je profite d’avoir les mains libres pour passer l’une d’elles entre ses cuisses. Sa chatte est littéralement détrempée. Je n’ai aucun mal à trouver son clitoris qui est encore plus gonflé que tout à l’heure. Ma secrétaire est tellement bouillante que j’ai à peine à l’effleurer pour la faire jouir. Elle redouble alors d’ardeur, faisant monter mon sperme à la limite.
    « - Je veux jouir sur ton corps, est-ce que je peux? »
    « - Oui, je t’en supplie, je veux sentir ton sperme partout sur moi. »
    Je me lève alors d’un bond et pendant qu’Angélique reste accroupie devant moi, totalement nue, les cuisses recouvertes de cyprine et le visage et les seins brillants de salive, je saisis ma queue et éjacule alors abondamment sur son corps offert. Les deux premières giclées atterrissent sur ses seins, puis je redirige le jet de semence vers son visage. Je crois que ce jour là, ce sont au moins dix jets de foutre fournis que j’ai balancé sur Angélique. Son visage est recouvert de semence blanchâtre et épaisse jusque dans ses cheveux, et elle ruisselle de ses seins jusque sur sa chatte.
    Je me rassieds alors, épuisé par le relâchement soudain de cette tension sexuelle accumulée depuis des années. Angélique, assise par terre, vient se blottir contre ma cuisse, et caresse mon sexe encore dur.
    « - C’était plus incroyable que tout ce que j’aurai pu imaginer, dit-elle. Dire que nous avons perdu tant de temps.
    « - Pense plutôt à ce qui nous attend pour le futur. J’ai le sentiment que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. »
    J’étais loin pourtant d’imaginer à quel point.

    Le souvenir de ce moment incroyable, de ce baiser passionné enfin devenu réalité, de ma queue enfoncée au plus profond de la bouche d’Angélique, de son corps nu recouvert de mon foutre ne me quitta pas du week end.

    Le lundi suivant, on se serait cru en plein été. La chaleur était suffocante pour la saison, il faisait près de 30 degrés à 9h de matin. 
    Lorsqu’Angélique arriva dans mon bureau, la température monta de quelques degrés supplémentaires. Elle portait une robe orange garnie d’imprimés fleuris. Le décolleté en V laissait peu de mystère au rebondi parfait de ses seins. Le bas de la robe se déployait en corolle à mi-cuisse, laissant admirer le galbe de ses jambes affiné par ses chaussures à talon de corde. 
    « J’ai oublié la clé de mon bureau, j’ai besoin de la tienne » m’annonce-t-elle à voix haute tout en franchissant d’un pas leste les quelques mettre qui sépare mon poste de travail de la porte de mon bureau. 
    Ne sachant pas comment réagir à une entrée en matière aussi cavalière et décontractée, je me tourne vers le tiroir situé à ma droite et en retire la clé demandé. A peine le temps de revenir à ma position initiale, assis sur ma chaise, que je constate qu’Angélique a déjà contourné mon bureau. Avant même que j’ai le temps de me lever, elle se penche sur moi. La profondeur de son décolleté se révèle alors à mes yeux : je peux voir la dentelle de son soutien gorge, ainsi que les dessins des bonnets. Je relève alors le regard pour attraper le sien, et avant que j’aie eu le temps de bouger, ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Interdit, je sens sa langue franchir la barrière de mes dents pour venir tourner autour de la mienne. Tout en m’embrassant, elle pose sa main sur mon sexe, qui est déjà complètement tendu, et le serre à travers mon pantalon. 
    « Il fait chaud aujourd’hui, non ? » me dit-elle avec un sourire malicieux et pervers à la fois. « Il parait que ca va continuer de monter en température tout au long de la journée. » Elle attrape alors la clé qui était resté dans ma main et, contournant de nouveau mon bureau, se dirige vers la porte. Arrivée à mi chemin, elle laisse alors tomber la clé sur le sol. Sans se retourner, elle se baisse alors pour la ramasser, ses jambes superbes tendues sur ses talons. Sa robe remonte alors le long de ses cuisses, puis découvre ses fesses. Aucun obstacle ne vient barrer la vue de son sexe : elle ne porte aucune culotte ni string. Elle ramasse la clé, se redresse et repart sans rien dire. « Ca va être une longue journée » me dis-je.

    Une demi heure plus tard, Angélique refait son apparition. L'air malicieux, elle referme la porte en m'annoncant que l'ensemble de l'etage participe a une reunion de service, mais qu'elle nous en a dispensé en inventant quelque dossier urgent a boucler. C'est presque en courant qu'elle me rejoint a mon bureau, et s'assoit sur mes genoux. Nous nous emrassons langoureusement, comme les deux amants passionnés sue nous sommes devenus.
    Le haut de sa robe était constitué de deux pans de tissus qui couvraient sa poitrine, en haut desquels passaient deux cordons faisant office de bretelle et qui étaient noués ensemble au dessus de ses seins. C’est avec une émotion intense que je tire lentement sur l’un des deux cordons. Le nœud se défait alors doucement, mais les deux morceaux de tissus, retenus par la bosse que forme les seins d’Angélique, restent en place. Je continue alors de tirer sur le fil, qui entraine le tissu avec lui vers le bas, découvrant le bonnet gauche de son soutien gorge. C’est un soutien gorge en coton blanc, brodé d’une fine dentelle. Assez épais, il ne laisse pas deviner la chair qu’il recouvre. Je place alors ma bouche délicatement sur le tissu qui cache le globe de chair tant convoité. Angélique soupire. Au moment ou ma bouche s’ouvre légèrement pour en laisser sortir ma langue qui se met à effleurer le soutien gorge, sa tête bascule en arrière, ses yeux se ferment, sa peau se retrouve couverte d’une chair de poule. Ma langue continue de courir sur le tissu, et trouve son téton à travers l’étoffe. Aussitôt, celui-ci se dresse durci par l’excitation et le désir. Après quelques titillement du bout de la langue, je le prend entièrement en bouche et le met à le sucer, d’abord doucement. Angélique répond à cette succion par de petits soupirs étouffés. Elle aime ça se faire sucer les seins. J’entreprends alors de renforcer l’exercice en augmentant l’aspiration. C’est presque la moitié de son sein qui est maintenant dans ma bouche, déformé par l’action de ma bouche. Je sens de la pointe de ma langue sont téton prendre encore du volume, son aréole se plisser sous la tension de la peau. Les soupirs deviennent gémissements, puis râles au moment où j’attrape son sein droit de la main tout en continuant à sucer son frère jumeau de plus en fort, de plus en plus bruyamment, salivant de plus en plus. Ma main triture le second globe de chair, le malaxe presque sans ménagement, ne m’arrêtant que pour pincer son téton droit qui a rejoint la taille du gauche. Sur mes genoux, Angélique tressaute de plaisir, elle ne parvient presque plus à retenir ses cris. 
    « - Putain, c’est trop bon, continue, n’arrête pas ».
    Son encouragement me motive à ne pas diminuer la cadence. Je veux la faire jouir des seins. Je retire ma bouche de son sein : ma salive a rendu le coton blanc du soutien-gorge entièrement transparent. Planté en plein milieu du morceau de tissu, je peux voir son téton dressé fièrement au milieu du cercle brun. Il se soulève et se rabaisse au rythme de la respiration d’Angélique, qui peine à reprendre son souffle.
    « - Tu y tiens à ton soutif ? » je lui demande, en plantant mon regard dans ses yeux bleus. 
    « - Rien à foutre, tant que tu continues, je vais venir ! »
    J’attrape alors son soutien gorge par le milieu, et d’un coup sec, je le tire vers moi. J’entends les agrafes craquer sous la pression. Instantanément, sa poitrine est libérée, et ses seins n’ont même pas finir de rebondir que je suis déjà reparti à leur assaut. Un dans chaque main, ma bouche navigue de l’un à l’autre, aspirant à chaque fois un peu plus de chair entre mes lèvres, mordillant à chaque fois ses tétons un peu plus fort. J’avoue que j’en suis arrivé à un niveau d’excitation ou je ne me contrôle plus. J’attrape ses cuisses pour la caler un peu mieux sur mes genoux, sa chatte venant se coller à travers sa robe sur mon sexe dur comme de la pierre toujours prisonnier de mon pantalon. Elle se met aussitôt à effectuer des mouvements de bassin pour frotter contre cette bosse énorme son entrejambe. En à peine trente secondes, je sais que le tissu de sa robe est en train de se tremper de sa mouille. 
    Les seins d’Angélique sont désormais marqués par mon « œuvre ». Des traces rouges de succion ont fait leur apparition sur le nacre de sa peau, et sa poitrine ruisselle de ma salive. Ma secrétaire n’est plus qu’un animal en rut, elle tremble comme une feuille pendant que ses seins sont sucés, léchés, triturés, malaxés comme jamais ils ne l’ont sans doute été. Puis je sens son corps se tendre comme un arc, au moment où, rapprochant de mes mains ses deux seins au maximum l’un de l’autre, j’ai pris ses deux tétons dans ma bouche en même temps, allant de l’un à l’autre avec ma langue tout en aspirant du plus fort de mes poumons. Après dix secondes de tensions extrême de son corps et un long râle de plaisir, elle se relâche totalement, ne devant plus qu’une poupée désarticulée entre mes mains. Elle s’écroule contre moi, mon visage enfoui entre ses deux seins magnifiques.
    Nous restons ainsi quelques minutes avant qu’elle ne prenne la parole : 
    « - Merci, merci. C’était incroyable. Je n’avais jamais ressenti ça, je n’avais jamais joui des seins.
    « Ta poitrine est la plus belle que j’ai jamais vue, elle méritait pareil traitement. Désolé pour ton soutien gorge, je n’ai pas pu résister. »
    « Pas grave, ca valait le coup. Je te le laisse en souvenir. Et puis surtout, ca va me permettre de te chauffer pour le reste de la journée. » 
    Elle attrape alors les deux bouts du cordon du haut de sa robe, et remettant en place les deux pans de tissus sur sa poitrine, elle les renoue ensemble. Ses seins sont désormais libres sous le tissu orange. Je peux voir à travers le tissu ses tétons toujours durs et même ses aréoles le haut de la robe toujours humide de ma salive. 
    « Heureusement que j’ai un gilet dans mon bureau, sinon tout le monde va me prendre pour une salope, à me balader ainsi sans soutien-gorge toute la journée. Mais rassure-toi, je ne le mettrai pas quand je reviendrai te voir ». Elle se lève alors et entreprend de quitter le bureau. Sans soutien gorge, sa robe épouse encore mieux les courbes de ses seins, découvrant encore plus de chair sur les côtés. A chaque pas, sa poitrine rebondit divinement. Au moment ou elle atteint la porte de mon bureau, je la rappelle.
    « - Ton gilet, il est long ? » Elle me regarde interloqué, et après 2 secondes de réflexion, elle sourit et jette un coup d’œil à ses fesses par-dessus son épaule. Trempée par la cyprine, l’arrière de sa robe est devenu presque transparent et lui colle à la peau, dévoilant son fessier sublime. Même sa raie se devine largement sous le tissu. Dans l’encadrement de la porte, Angélique est là, dans une robe humide de salive, de sueur et de mouille, sans aucun sous vêtement. Elle parait comme nue. Et son sourire ne trompe pas : elle aime ça.

    Le reste de la journée a été marqué par les petits jeux auxquels nous nous sommes livrés sans retenue. Obligés de mener à bien nos activités professionnelles et surtout pour éviter de nous faire soupçonner, il était difficile de nous enfermer dans le bureau. Nous avons donc passé l’après midi à nous rejoindre dans les bureaux de l’un et de l’autre, à essayer de nous toucher sans attirer l’attention. Le fait qu’Angélique était restée sans sous vêtements m’a pas mal facilité la tâche. En allant dans son bureau, je pouvais me pencher par-dessus son épaule et, tout en faisant mine de regarder avec elle sur son écran, je pouvais me délecter de la vision de sa poitrine moulée dans le tissu de sa robe. L’air de rien, je laissais ma main courir sur le coté, effleurant la peau de son sein qui dépassait de sa robe, glissant les doigts sous le tissus pour en caresser plus de centimètres carrés, laissant la pulpe de mes phalanges s’aventurer jusqu’à son téton que je prenais plaisir à faire se dresser. Pendant ce jeu, Angélique faisait remonter sa main le long de ma cuisse, pour venir flatter la bosse qui déformait mon pantalon. Les va-et-vient qu’elle faisait sur ma poutre apparente me faisaient monter les sangs, tant et si bien que, malgré le risque énorme de nous faire surprendre par la porte de son bureau restée grande ouverte, je finis par glisser mes deux mains dans son décolleté pour saisir ses seins à deux mains et les malaxer. 
    « - Arrêtes, c’est trop dangereux ! » me dit Angélique dans un soupir de plaisir en faisant un mouvement de recul, mais l’excitation était si forte que je continuais à lui peloter la poitrine pendant plus d’une minute avant qu’elle parvienne à me faire lâcher prise. Au regard qu’elle me lança, je vis qu’elle était partagée entre la peur de se faire surprendre et le plaisir intense qu’elle retirait de ce moment interdit. 
    Je battis donc en retraite, et ce n’est qu’à moitié étonné que je le vis arriver dans mon bureau moins de 5 minutes plus tard, disant quelle avait une info à me demander sur un dossier en cours. Elle passa alors de mon coté du bureau pour ouvrir sur mon PC le document dispo sur le réseau, adoptant pour se faire la position que j’avais moi-même dans son bureau quelques instants plus tôt. Debout à ma droite, le buste penché sur mon écran, son décolleté m’arrivait en plein sous les yeux. Je pouvais voir ses seins, libre de toute emprise, se balancer à quelques centimètre de mon visage. 
    « - tiens, dis-moi ce que tu en penses » dit-elle en ouvrant le document. Le fichier Word s’ouvre alors pour laisser apparaître ces quelques mots seulement : « je crois que je n’ai pas séché de partout depuis ce midi, tu peux vérifier ? ». Je tourne alors mon regard vers elle, mais elle feint de ne pas le remarquer et continue à scruter l’’écran, comme si elle lisait un document important. Je dirige alors mon regard dans la même direction, et entreprend de répondre à ses attentes en faisant remonter ma main entre ses jambes. A peine arrivé à mi-cuisse, je sens les premières gouttes de cyprine me glisser entre les doigts.
    « - Effectivement, tu as tout à fait raison. » Mes doigts se trouvent comme aspirés par sa chatte détrempée. Angélique ferme alors les yeux un instants. Ses seins commencent à se balancer sous mes yeux, ondulant au rythme des mouvements de son bassin, qui répond au va-et-vient de mes doigts dans son vagin. A l’intérieur, c’est doux et chaud. Du pouce, je trouve son clitoris sans difficulté. Il n’est pas énorme, mais je sens qu’il est tendu, gonflé. Le gémissement qu’elle laisse échapper au moment où j’effleure son bouton est sans équivoque. Elle essaie de garder son sans froid, mais je sens qu’elle lutte. Pendant que je continue à explorer ses entrailles de mes doigts, elle commence à murmurer.
    « - Oh c’est bon, vas-y, branle-moi. C’est incroyable, j’ai jamais ressenti ça, mon clito est prêt à éclater, chaque fois que tu l’effleures ca me fait une décharge. Et ma chatte, putain, qu’est-ce qu’elle est trempée. Rajoutes un doigt et va plus loin, plus profond… » . 
    Je retire alors les deux doigts insérés pour en rajouter un troisième et les enfoncer le plus loin possible, jusqu’à ce que je sois bloqué par le reste de ma main. Les va-et vient se font plus intense, je sens sa mouille qui glisse le long de mon bras pour venir tomber de mon coude sur la moquette du bureau. J’ai du mal à la branler correctement, d’abord parce qu’elle tressaute sous l’effet du plaisir, et ensuite parce que je suis toujours à l’affut d’une visite impromptue dans mon bureau, prêt à arrêter au moindre indice d’une venue intempestive. Et en même temps, j’ai du mal a détacher mes yeux du spectacle d’Angélique, debout à ma droite, planté sur ses talons, le buste penché en avant, me livrant la beauté de ses seins qui remuent à chaque fois que j’enfonce mes doigts un peu plus loin dans sa chatte, les cuisses ruisselantes sous sa robe, son cul magnifiquement cambré dont le tissu maintenant trempé de sueur ne peut que relever la courbe majestueuse. Ses yeux ne fixent plus l’écran, ils sont soit fermés, concentré qu’elle est dans l’atteinte de son extase, soit ils me fixent d’une façon à la fois dur et tendre quand je repousse un peu plus loin les limites de sa jouissance. A ces moments là, Angélique semble vouloir dire : « Mais comment tu fais ça, comment tu peux oser me faire autant jouir, plus que jamais je n’avais joui auparavant ? »
    C’est alors que d’une oreille, je perçois un bruit de pas s’approcher du bureau. Je commence à vouloir retirer ma main, mais Angélique, qui a entendu comme moi, plaque alors autoritairement ma main contre son sexe. 
    « Restes» me dit-elle dans un souffle. Je me retrouve donc avec 3 doigts dans le vagin de ma secrétaire, le bras glissé sous sa robe, quand une collègue fait son apparition à la porte du bureau. Toujours debout à coté de moi, Angelique s’est redressé, mais l’écran de mon PC masquant toute la zone médiane de son corps, il est impossible pour la visiteuse de s’apercevoir de quoi que ce soit. 
    « - Angélique, je te cherchais, je ne retrouve plus mon dossier sur « XXX » tu n’en aurais pas une copie ? »
    Angélique semble imperturbable, et son assurance lui donne un air si effronté que je ne me retiens pas de lui caresser le clito de mon pouce resté à l’entré de sa vulve. A ses tressautements imperceptibles, je sens que la tiens à ma merci
    « - OK je l’ai à côté, pas de souci. Tu permets, je termine ici et je te l’amène tout de suite. »
    A peine la collègue disparue de l’embrasure de la porte, Angélique se jette sur ma bouche pour y enfoncer sa langue. Puis, dans un mouvement d’une parfaite inconscience, elle soulève sa robe pour révéler sa chatte détrempée et mes doigts qui glissent à l’intérieur. Cette vision me rend fou, et je ne suis que soulagé lorsque qu’elle attrape ma nuque de sa main libre pour venir plaquer ma tête entre ses cuisses. Ma bouche se retrouve d’entrée collé à sa chatte humide. Un liquide chaud me coule instantanément dans la gorge. C’est si bon. SA chatte épilée est de la douceur de la soie. Son clitoris roule sous ma langue, pendant qu’elle attrape un de ses seins et le fait sortir de sa robe pour le malaxer. Appuyée contre le mur, Angélique jouit. Je lui plaque la main sur la bouche pour l’empêcher de crier, car le spectacle que nous donnons à ce moment là ne doit être vu par personne. 
    Imaginez une belle blonde, en train se malaxer le sein droit à l’air libre, la main gauche tenant relevé le bas de sa robe pendant que moi, son patron je lui bouffe la chatte, une chatte splendide qui dégouline de cyprine jusque sur mes joues. Heureusement pour notre secret, cela ne dure pas trop longtemps et Angélique atteint vite l’orgasme. Elle laisse alors retomber ses bras, et je me retrouve la tête sous sa robe. Je m’en dégage rapidement.
    « - C’était chaud, t’es dingue, on aurait pu se faire choper dix fois, je croyais que c’était trop dangereux ».
    « - Désolé, mais je n’ai pas pu résister, tu m’avais trop chauffé dans mon bureau tout à l’heure. Et quand on a failli se faire surprendre tout à l’heure, ca m’a excité d’une façon que je n’avais encore jamais connu. J’avais besoin de te sentir en moi, dans le danger, et quand elle est partie, je n’ai plus pensé qu’à ta langue dans mon con. »
    « - OK c’était énorme, mais quand même, on n’est pas passé loin, et après, on a été fous, faut qu’on arrive à se limiter un minimum, sinon ca pourra pas durer ».
    « - T’as raison, je suis allé un peu loin, faut limiter les risques. Pas plus loin que la caresse quand on est comme ça en pleine journée et que les portes sont ouvertes, ca te va ? »
    « - OK pour moi. 
    « - On fait comme ça alors. Bon là, faut que je file, je dois aller chercher mes gamines. Mais on remet ça demain, et on va plus loin cette fois… »
    C’était incroyable. Ces aventures avec Angélique étaient si folles, si irréelles, que je m’étais à peine rendu compte que si on avait eu des relations orales, si on s’était branlé, jamais encore ma queue n’étaient allée visiter sa chatte. Le meilleur était encore à venir.
    « - Demain c’est pas possible, je suis deux jours en conférence. Et jeudi c’est férié, et je sais que tu fais le pont. On se revoit pas avant une semaine.» 
    « - Ca va être long, mais je penserai à toi » me dit Angélique. « Je suis sûre que je continuerais à les sentir au fond de moi » dit-elle en attrapant m’attrapant la main qui quelques instants avant seulement étaient plaquée contre son sexe. Puis sans me quitter du regard, elle ouvre la bouche et aspire les trois doigts qui étaient enserrés par son vagin humide il y a juste 5 minutes et les lèche longuement. 
    « - Désolé, mais moi aussi j’aime bien goûter ma chatte. Mais je sais que tu en as eu assez pour tenir jusqu’à la semaine prochaine ».
    Les trois jours qui suivirent ne furent pas de trop pour me permette de reprendre mes esprits. La conférence qui m’occupa les deux jours suivants eu au moins le mérite de laisser mon esprit se focaliser sur ce qui venait de se passer depuis les 5 derniers jours. Ne me demandez pas de quoi sur quoi les débats ont portés lors de ce colloque, je ne me souviens de rien. Seuls les souvenirs du corps nu d’Angélique, de ses seins recouverts de mon sperme, du goût de sa mouille, de sa chatte distendue par l’action de mes doigts, de son visage déformé par mon sexe englouti presque tout entier dans sa bouche, seul ces souvenirs là revenaient inlassablement dans mon esprit. Le jour férié qui suivant me parut interminable, et savoir qu’il serait encore suivi par 3 jours sans la voir me minait les sangs. 
    Mais j’étais cependant content de retrouver le bureau ce vendredi. Il me serait au moins possible de revenir sur les lieux de ce rêve éveillé que j’avais vécu. 
    J’arrivais tôt ce jour là. Il n’y avait pas d’urgence particulière à être au bureau de bonne heure, mais a posteriori, je me dis que j’avais peut être eu une intuition... 
    Le parking était quasiment vide. Pendant les ponts, il y avait souvent peu de monde. Je savais même qu’à l’étage, je serais seul ce jour là. Mais ca ne me dérangeait pas de profiter du calme du bureau.
    J’attaque donc cette journée comme toutes les autres, par la lecture de la presse quotidienne en buvant mon café. Et je n’ai même pas le temps d’arriver aux pages sports du Parisien que j’entends la porte du bureau d’Angélique s’ouvrir. Je n’ose pas y croire. Elle m’avait dit qu’elle faisait le pont, je lui avais même signé moi-même sa feuille de congé. Cependant, mon cœur se met à s’emballer dans ma poitrine. Et si c’était elle…
    Je me lève alors pour aller voir qui vient d’ouvrir la porte d’à coté. Mais je n’ai pas le temps d’arriver à la porte de mon propre bureau qu’elle surgit. C’est bien elle. 
    Elle porte une jupe gitane noire et un petit pull marron. Une large ceinture de cuir noir lui ceint les reins. Elle a habillé son cou d’un collier de perles de verre laquées noires. Ses cheveux blonds détachés illuminent son visage. Ses lèvres sont ourlées d’un gloss rose brillant. Un fard à paupière gris souligne le bleu de son regard qu’elle vient planter dans le mien. 
    « - Mais, qu’est-ce que… » J’essaie de bredouiller.
    « - Je pouvais pas attendre. J’ai dit qu’on avait besoin de moi ici pour une urgence et je suis venue. J’avais besoin de ça. »
    Et elle se précipite contre moi, plaquant ses lèvres contre les miennes, sa langue déjà à l’ouvrage au fond de ma bouche. Ses bras me serrent contre elle, je sens ses seins s’écraser contre mon torse. Je lui rend fougueusement son baiser et son éteinte. Elle attrape alors une de mes mains et la pose sur sa cuisse, avant de la faire remonter pour découvrir sa peau sous le tissu noir. Je m’empresse de continuer le mouvement, et bientôt, c’est sa fesse que je rends à l’aire libre. Qu’il est doux ce cul. Quelle texture de satin, quelle douceur de la peau, quel galbe sous les caresses. J’attrape alors ses cuisses et soulève Angélique du sol. Ses jambes entourant mes hanches, sa jupe relevée jusqu’à la taille, je la plaque contre le mur, juste à coté de la porte. Sans cesser de nous embrasser, elle attrape le battant resté ouvert et le repousse. La porte de mon bureau se referme et se verrouille automatiquement. Nous sommes seuls, libres de nous consacrer l’un à l’autre sans risquer de nous faire surprendre. Enfin.
    Je repose Angélique sur le sol. Je la retourne face au mur et d’une main, je relève sa jupe au dessus de ses hanches. Si je n’étais pas aussi consumé par le désir, je crois que je ne m’arrêterai pas de fixer, d’admirer ce fessier magnifique, rond et généreux, dont la raie parfaite fait glisser le regard jusqu’à un sexe d’une beauté inégalée. Mais déjà, j’entends Angélique qui gémit doucement. Je passe donc à l’action en laissant courir ma main sur le galbe de ses fesses. Très vite, je me dirige vers sa fente, simplement recouverte d’un string de dentelle noire et blanche. En le faisant glisser pour révéler son sexe, je ne peux que me rendre à l’évidence : il est déjà bien mouillé. 
    « - Tout le long du chemin en voiture, je l’ai fait avec ma main entre les cuisses, me dit-elle entre deux soupirs, je ne pouvais pas attendre, rien que pensant à toi, j’ai joui deux fois.
    « - Commencer sans moi, c’est pas bien, surtout que ta chatte est faite pour ma langue, plus que pour tes doigts. »
    Et sans attendre plus longtemps, j’enfonce mon visage entre ses fesses, la langue en avant pour prendre possession de son vagin. Angélique m’accueille avec un véritable cri de plaisir. Que c’est fait bon, humide et chaud dans sa chatte. Avec ma bouche, je sens la douceur de ses grandes lèvres gonflées par le désir, l’humidité de ses petites lèvres, les plis qui tapissent l’intérieur de son vagin. Rapidement, sa mouille commence à couler, et je m’en abreuve avec délectation. Angélique à la tête en arrière, les yeux révulsés par le plaisir. Elle a pris le pan de sa jupe entre ses dents et me mord pour éviter de crier trop fort. 
    Après quelques minutes de ce cunnilingus de folie, j’avoue que mon altruisme commence à me faire défaut. Bien sûr, je passerai des heures à lui bouffer la chatte, mais autant que faire se peut, j’aime autant qu’on me rende la pareille.
    Je me relève alors et entreprend de déshabiller Angélique. D’un seul regard, elle comprend et commence à faire de même avec mes habits. Je laisse glisser sa jupe et son string sur le sol pendant qu’elle enlève ma chemise. Je lui retire ensuite son pull, elle déboutonne mon pantalon. Et avant même que j’ai fini de retirer son soutien gorge, ma queue est déjà dans sa main.
    « - C’est pas possible, je m’étais persuadé que j’avais exagéré, mais elle est vraiment grosse ! J’ai fait comment pour avaler ça».
    C’est vrai que ma queue peut de prime abord paraître assez impressionnante : mesurant 24 cm depuis la garde, elle est aussi très épaisse en son milieu, avec près de 6 cm de diamètre. 
    « - Comment t’as fait, j’en sais rien, on a qu’à regarder ».
    Je la saisi alors assez fermement et je l’allonge sur le dos, sur la table de réunion toute proche, la tête au bord de la table. Je reste debout, ma queue au dessus de la tête d’Angélique. Mes yeux vont alors à la rencontre des siens. Sans rien dire de plus, j’approche ma bite de son visage, et lui pose le gland sur les lèvres. Elle ferme alors les yeux et ouvre la bouche pour le laisser rentrer. 
    « - Non, je dis. J’aime voir tes yeux. Ils sont tellement beaux. Regardes moi, pendant que tu me suces. »
    Elle rouvre alors ses paupières, me jette un regard bleu acier et d’un air décidé, enfourne quelques centimètres de chair supplémentaire au fond de sa bouche. Je ne sais pas ce qui est le meilleur : sa manière exquise de me sucer, sa façon de saliver sur ma hampe, de faire courir sa langue sur mon gland, ou bien ce regard extraordinaire qu’elle me lance, un regard rempli de fierté, de plaisir assumé, de vice également. Je ne savais pas qu’il était possible de paraître à la fois comme une ingénue et comme une salope. Angélique y arrive, elle le transpire même. 
    Mais toute bonne suceuse qu’elle est, je ne la laisse pas se débrouiller seule. Pour renforcer mon plaisir, je prends parfois les choses en main. D’abord en entreprenant de caler mon gland à l’intérieur de sa joue, déformant ainsi son visage magnifique pour le rendre malléable à mon bon plaisir. Puis je lui mets impérieusement mes couilles dans la bouche. A son petit mouvement de recul, je comprends que lécher ou sucer des couilles ne lui était jamais venu à l’esprit. 
    «  - T’inquiètes pas, c’est super bon. Aspire-les dans ta bouche, tu vas me faire jouir. »
    Angélique se met donc à l’ouvrage, aspirant d’abord doucement, puis s’enhardissant pour finir par sucer mes boules rasées comme si elle souhaitait en extraire tout le jus. Je suis aux anges, et je peux voir qu’elle aussi : ses tétons sont dressés sur des mamelons gonflés de plaisir, et je peux déjà voir que la mouille échappée d’entre ses cuisses commence à se répandre sur la table. Pour rajouter du bonheur au bonheur, je lui saisis doucement les seins, les pelote avec tendresse avant de les saisir plus fermement. Puis, je me penche vers le sexe d’Angélique. Nous sommes, pour la première fois, en plein 69. Je dévore sa chatte, faisant courir ma langue entre les lèvres de sa vulve, parfois ne faisant qu’effleurer ou souffler doucement sur son clitoris, parfois allant jusqu’à l’aspirer de toutes mes forces, lui tirant à chaque fois un râle de plaisir. J’introduis aussi ma langue dans son vagin, cherchant à en tâter les moindres plis, en découvrir les moindres aspérités. Ma salive vient se mêler à sa cyprine, leur mélange donnant un breuvage dont le goût et l’odeur enivre mes sens. 
    Angélique a profité de notre position pour reprendre ma queue dans sa bouche, et pendant que je continue de lui brouter le con, elle attrape mes fesses avec ses mains et tire mon bassin vers son visage. Sa tête est désormais basculée en arrière sur le rebord de la table. Je comprends instantanément. Sa première gorge profonde lui a plu, et elle veut remettre ça. Et sa position est idéale pour aller encore plus loin. Je réponds donc à ses attentes et lentement, je commence, par des allers et retours de mon bassin, à baiser la bouche d’Angélique. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, sa gorge forment un écrin de choix pour mon sexe, qui effectue des allers retours de plus en plus loin, de plus en plus vite. Je sens la salive inonder mon chibre, dégouliner le long de mes couilles, se répandre sur son visage si doux qui n’en devient que plus beau, parce que souillé de son propre vice. Au bout de quelques dizaines d’allers retours, je sens quelque chose frôler mes testicules à chaque passage : si le nez d’angélique qui se retrouve à toucher mon scrotum à chaque passage, c’est qu’elle a réussi là ou je n’avais pas réussi à la faire aller quelque jour plus tôt : elle avale enfin mon sexe en entier, jusqu’à la garde, une vraie gorge profonde dont la simple vision fait monter en moi la semence. Je reste alors quelques secondes tout au fond de sa gorge, mes couilles écrasées contre son visage qui ruisselle de salive et de larmes. Je m’y sens tellement bien. Puis, lentement, je retire mon chibre jusqu’à ne laisser que le gland à l’entrée de ses lèvres. Elle me regarde alors de ses yeux bleus embués, et d’un léger hochement de tête, me donne son approbation : ma queue tressaute alors, et j’envoie dans sa bouche, contre sa langue et son palais, plusieurs longues giclée de mon sperme, blanc et épais, qui vient bientôt remplir une bonne partie de sa cavité buccale. Une fois ma décharge finie, je m’agenouille afin de placer mon visage à hauteur du sien, plantant mon regard dans le sien. Par ses lèvres encore entrouvertes, je peux voir plusieurs centilitres de foutre couler sur sa langue et ses dents. 
    « - Vas-y, avales, avales tout. » 
    Angélique ferme alors la bouche, et dégluti longuement, fermant les yeux comme si elle avalait un mauvais médicament. Puis dans l’instant suivant elle les ouvre, le visage comme illuminé, dessinant un large sourire avant d’ouvrir la bouche en grand, comme remplie de fierté de montrer qu’elle a tout avalé, comme une grande. Et Angélique de récupérer du bout de son doigt quelques gouttes de sperme ayant coulé du coin de ses lèvres, et de se sucer le doigt avec gourmandise.
    « - J’aurais pas cru, ca m’avait toujours dégoutté avant, me dit-elle quelques instants plus tard, une fois ses esprits recouvrés, mais avec toi c’était vachement bon. J’étais tellement excitée de t’avoir eu tout entier dans ma bouche, je n’avais qu’une envie c’était de t’avaler encore plus, de t’avoir encore plus en moi. 
    - C’était énorme ce que tu as fait, moi non plus je n’étais jamais allé si loin, je n’avais jamais rencontré une fille capable de me prendre comme ca, en entier. Tu es naturellement douée. Du coup je n’ai pas pu résister, j’espère que tu ne m’en veux pas d’avoir joui dans ta bouche.
    - Au contraire, je n’aurais pas supporté que ca finisse autrement. Quand j’ai senti ton sperme dans ma bouche, si chaud sur ma langue, rien que ça ca m’a fait jouir. J’avais toujours refusé ca avant, mais là, comment dire, ca allait de soit. Comme une évidence. Je regrette qu’une chose, c’est de ne pas avoir pu te sentir dans mon ventre. J’aimerai tellement voir ta queue me dilater la chatte.
    - Mais t’inquiètes pas, dis-je en me relevant, la journée ne fait que commencer. » Et d’exhiber assez fièrement ma bite toujours dressée, plus dur que jamais à l’idée de bientôt trouver sa place dans ce réceptacle de choix : la chatte d’Angélique.

     

    Angélique et moi sommes maintenant debout l’un contre l’autre, entièrement nus, enlacés, ses seins écrasés contre ma poitrine, ma queue dressée contre son ventre. Nous nous regardons. Sans parler, nous savons que ca y est, c’est le moment, nos sexes vont se rencontrer, se toucher, s’emboiter. Délicatement, je soulève ma secrétaire par les fesses et je l’assieds sur la table de réunion. Elle écarte alors largement les cuisses, révélant ainsi sa chatte épilée qui continue de briller d’humidité. Appuyée sur ses mains, Angélique garde le torse droit et refuse pour le moment de s’allonger. 
    « - Je veux la voir rentrer en moi pour la première fois, je veux me rendre compte de mes yeux de ce que ca va avoir l’air, un si gros pieu dans ma chatte.
    - Je te comprends, moi aussi je veux voir ça, j’en rêve depuis si longtemps de ma bite enfoncée au plus profond de ton sexe, t’ouvrant les lèvres en grand. »
    Alors doucement, délicatement, je pose le sommet de mon gland sur sa vulve mouillée. Ce contact seul me fait presque défaillir. La douceur de sa peau est encore plus étonnante perçue par les terminaisons nerveuses de mon sexe. Je commence alors à caresser ce trésor jusqu’alors interdit avec le bout de ma queue, faisant glisser ma queue chaque fois un peu plus haut le long de la fente humide, frottant à chaque passage contre son bouton rose qui prend du volume et rosit à chaque coup. Les yeux d’Angélique sont rivés sur nos deux sexes, le spectacle de leurs caresses semble la fasciner, Sur son visage se lisent à la fois curiosité, désir et excitation, des sentiments qu’à vrai dire je ressens moi même. 
    Après quelques dizaines de secondes de ce petit teasing, je me sens chauffé comme jamais : ma queue est dure comme de l’acier, et je la sens plus longue et épaisse que je ne l’ai jamais vu.
    Je place alors ma queue devant l’entrée de son vagin et sans que nous nous quittions du regard, je fais rentrer ma b ite dans la chatte d’Angélique. Au moment ou le gland disparaît entre ses petites lèvres brillantes, ma secrétaire laisse échapper un long gémissement de plaisir. Moi-même je ne retiens pas un grand « ooohh » de bonheur et de satisfaction. Ca y est, après toutes ces années de désirs masqués, de fantasmes inassouvis, l’incroyable se produit : nos deux sexes sont l’un dans l’autre, nos intimités les plus profondes sont liées par l’acte le plus beau et le plus parfait qui soit. Je suis en Angélique, et Angélique me reçoit. 
    Je pousse plus loin ma colonne de chair, et ma secrétaire ne parvient pas a réprimer un petit cri de douleur. Ma bite enfoncée à moitié dans son con lui fait déjà mal. Je rectifie alors la position du bassin de ma belle blonde sur la table, et lui saisit une jambe pour la poser sur mon épaule, afin d’ouvrir davantage ses cuisses et l’entrée de son vagin. Tout de suite, je la sens plus à son aise, et je ré-enfourne ma verge dans son sexe. Prenant sa cuisse levée entre mes mains, je m’en sers comme point d’appui et je commence à faire bouger mon bassin d’avant en arrière, mon pieu planté dans sa chair. Angélique me regarde, entre deux basculements de têtes en arrière, les paupières closes. 
    « - Ooohh, Ooohhhh oui, c’est bon, qu’est-ce que c’est bon. Tu me remplis tellement. Tu es tellement gros dans ma chatte. Ta bite en moi, c’est si bon.» 
    Elle se lèche les doigts et entreprends de masturber son clitoris pendant que je commence à la limer, toujours en ne la pénétrant pas plus que de la moitié de ma queue. Ses petites lèvres, à chaque allers et retour, entre et sortent de son vagin, accompagnant en rythme les exploits de mon chibre. Ce spectacle est si beau, je ne me lasse pas de le contempler. Angélique aussi d’ailleurs, que je vois dévorer ce spectacle du regard.
    « - Oh mon dieu, t’as vu, t’as vu ce que ta queue fait subir à ma chatte ? Elle est complètement dilatée, et elle mouille comme jamais. Continues, t’arêtes pas, c’est trop bon, j’étais faite pour recevoir ton engin. »
    Je profite de cette remarque pour titiller ma secrétaire, dont les paroles très crues ne m’excitent que davantage. Je sors alors ma queue de son vagin et procède alors à des entrées/sorties répétées, laissant à chaque fois à son orifice le temps de se refermer un peu avant de le remplir de nouveau, chaque fois un peu plus. Ce traitement rend folle ma partenaire. A chaque fois je sors, elle lâche un soupir de dépit, et dès que je rentre, j’ai droit à un cri de plaisir et d’impatience.
    « - Arrêtes c’est pas humain, je te veux en moi et tu n’arrêtes pas de sortir, continues à me prendre, je t’en supplie, je veux que tu me baises.
    - T’en fais pas, je vais reprendre, mais regarde juste un peu ou je suis en toi en ce moment. »
    Angélique baisse le regard vers nos sexes : ma bite est enfoncée dans sa chatte presque entièrement, il ne reste plus qu’une demi-douzaine de centimètres à faire entrer jusqu’à la garde. 
    «  - Oh putain, c’est pas vrai, j’aurais jamais cru que je pourrais me prendre tout ça. C’est trop bon, vas-y continues rentre moi tout, prend moi entièrement. »
    Je recule alors de quelques centimètres avant de plonger au plus profond de son être, son vagin enserrant mon pénis de tout son long. Je sens le bout de mon gland taper fortement contre le fond de son puits. Ce mouvement nous arrache un cri de plaisir intense. Je reste ainsi sans bouger quelques secondes et je fais ensuite gonfler mon sexe en bougeant mes muscles pelviens. Cette action seule, rien d‘autre qu’une petite variation de volume de ma verge dans son orifice provoque en Angélique un énorme tressautement. Je sens son corps se raidir, je vois une chair de poule apparaître sur sa peau. Elle jouit. Être prise ainsi, entièrement, totalement, la fait jouir.
    Je reprends alors mes mouvements de va et vient, faisant glisser ma queue de plus en plus vite. Angélique ne se retient plus, elle est en furie.
    «  - Vas- y, vas-y, c’est bon. Encore, donne m’en encore, plus fort. Refais moi jouir au plus profond, ca m’était jamais arrivé avant, pas aussi fort, pas autant. »
    Ses encouragements me pousse à redoubler d’ardeur, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort, ne ralentissant que quand je sens la sève monter. Je ne veux pas jouir trop vite, je veux que ca dure des heures. Sa façon de parler crument me donne aussi envie de lui dire tout ce que je ressens. Je veux lui faire savoir le bien qu’elle me procure
    « - Moi aussi j’aime ça, c’est bon, je suis si bien dans ta chatte. Elle est si douce, si serrée, si humide, elle est faite pour ma queue. 
    - Je suis d’accord, ta queue me remplit tellement bien, c’est le paradis. Tu me baises bien, et je veux te baiser à mon tour, laisse moi venir sur toi».
    A ces mots, j’attrape Angélique sous les fesses et en la portant, je prend sa place, le dos allongé sur la table de laquelle elle a si souvent desservi les cafés, et je la place à califourchon sur moi. Pendant ce changement de position, ma bite n’a pas quitté son vagin. 
    Appuyée sur ses genoux, Angélique se met alors à monter et descendre sur mon chibre. Son mouvement est surtout un mouvement du bassin, ce qui a pour effet de faire fortement remuer ses fesses qui s’agitent à chaque aller-retour. Ce spectacle doit être merveilleux, mais je suis mal placé pour le voir. Je décide donc de le sentir en plaçant mes mains sur ses fesses. Son cul qui gigote ainsi autour de ma queue, je crois que j’en tombe amoureux. Il est si large, si doux, si ferme et moelleux en même temps. Je le saisis à pleines mains, enfonçant mes doigts dans les muscles et la graisse. Je le malaxerai ainsi pendant des heures, aidant Angélique dans son mouvement autour de ma bite.
    « - Claques-moi le cul ! »
    Je reste interloqué par cette demande. C’est bien ma secrétaire qui me demande de la fessée.
    « -T’es sûre ?
    Oui. J’ai jamais eu envie avant, mais là, je sens que ca monte. Claques moi le cul je te dis. »
    J’administre alors une petite claque sur sa fesse gauche. Angélique laisse pousser un petit cri d’extase.
    « - Encore, et plus fort je suis pas en sucre » dit-elle, semblant galvanisé par son audace et le plaisir certain qu’elle en retire.
    Je lui claque donc plus fort une fesse puis l’autre. Au fur et à mesures de mes gifles, Angélique augmente le rythme de son bassin. Elle me baise de plus en plus vite, de plus en plus fort, s’empalant toujours un peu plus sur mon chibre, tellement fort qu’il me fait presque mal. Tout en baisant, elle attrape ses seins à pleines mains, les malaxes, triture ses tétons. Puis elle appuie ses mains contre ma poitrine et plante son regard dans le mieux, en continuant ses mouvements. Ses yeux bleus semblent exprimer mille choses : l’envie, le bonheur, la plénitude, la volonté. Je sens qu’elle s’est fixé un but celui que nous jouissions ensemble, les yeux dans les yeux, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. Alors je me laisse aller complètement entre ses hanches expertes qui terminent de faire monter mon foutre dans ma bite toujours enserrée dans son vagin. Nous écarquillons les yeux au même moment, de même que nos bouches s’entrouvrent. Au moment où nous explosons, Angélique se précipite pour m’embrasser, sa langue fondant sur la mienne, ses mains s’agrippant à mes épaules. Mes bras enserrent sa taille et j’enfonce au plus profond mon sexe dans le sien au moment ou je sens mon sperme être expulsé de ma queue avec une force prodigieuse pour venir remplir son vagin et finir par ruisseler d’entre ses cuisses jusque sur mes couilles.
    Nous restons ainsi quelques minutes sans échanger aucune parole. Il y a des instants out le vocabulaire du monde ne saurait retranscrire la vérité d’un regard.

     

    Ca y est, nous avons franchi le pas, Angélique et moi venons de faire l’amour, complètement, jusqu’au bout, pour la première fois. Mon pénis est toujours en elle, et malgré notre orgasme récent, il ne semble pas vouloir revenir au repos. Il va pourtant falloir que l’on se sépare, que mon sexe quitte ce nouveau refuge où il a trouvé sa place. 
    « - Faut qu'on se rhabille et que j’ouvre la porte, le type du courrier va pas tarder à passer ». 
    Avec regret, ma secrétaire recule son bassin, laisse échapper de sa chatte ma queue gluante de sperme et de cyprine. Une flaque de ce mélange s’est formée sur la table de réunion. 
    Je commence alors à me rhabiller, remets mon pantalon et reboutonne ma chemise, pendant qu’Angélique replace sa jupe sur ses hanches. Puis, avant même de remettre son soutien-gorge, je la vois attraper quelques serviettes en papier posées sur un des meubles du bureau et commencer à nettoyer la table, couverte des traces de notre adultère. Je ne peux m’empêcher de la regarder, le buste penché sur la table, ses seins encore libres oscillant sous les mouvements de son bras, ses fesses laissant deviner leur galbe sous la jupe noire. Qu’elle est belle, que sa poitrine est magnifique, que son cul est excitant. Je sens le sang affluer de plus belle dans mon sexe. Pourtant, je sais que je ne dois rien faire, que je ne peux pas recommencer, la porte verrouillée ne sera pas un obstacle pour le type du courrier, car avec son passe, un jour comme aujourd’hui où il n’y a quasi personne dans les locaux, il pourrait avoir l’idée d’ouvrir la porte pour poser le courrier sur mon bureau et risquerait de nous surprendre.
    Alors qu’Angélique finit de nettoyer la table, la poitrine toujours entièrement nue, j’entrouvre alors la porte et voit le préposé au courrier pénétrer dans un des bureaux de l’étage. Ce n’est qu’une question de seconde avant qu’il soit ici. J’avertis ma secrétaire, qui ramasse alors en vitesse son pull, son soutien gorge et son string. Elle n’a pas le temps de se rhabiller, et file donc se cacher sous mon bureau. Celui-ci ayant une paroi sur le devant, elle sera invisible de tout visiteur. Je suis à peine installé sur mon siège, que je sens la main d’Angélique se poser sur ma braguette. Et quand on entre dans le bureau, ma bite est déjà à l’air libre, la main de ma secrétaire en enserrant la base. 
    Pendant que notre collègue s’approche du bureau, je tente de maintenir une contenance : difficile quand je sens la seconde main d’Angélique se positionner sur la première. Désormais, presque l’intégralité de ma queue est recouverte par ses deux mains, seul le gland dépasse. Il ne reste pas longtemps à découvert. Je sens des lèvres se refermer rapidement sur lui. 
    La dépose du courrier ne dure pas longtemps, à peine quelques banalités sont échangées, mais pour moi le temps dure des heures : pendant que je discute du temps qu’il fait, je suis en train de me faire sucer le gland. Angélique prend même un malin plaisir à le mordiller, histoire de me faire sursauter. Quand nous nous retrouvons enfin seuls dans le bureau, je recule ma chaise, prêt à passer un savon à ma secrétaire pour ce comportement qui aurait pu nous faire prendre. Mais je n’arrive pas à lâcher un mot. Angélique a toujours ma queue dans une main. Un filet de salive relie encore sa bouche à ma bite. Elle me regarde avec cette expression incroyable, mélange d’innocence et de perversité. Je craque complètement. Faisant fi du risque potentiel de nous faire surprendre, la porte étant toujours ouverte, j’attrape sa nuque et tire son visage vers moi. Je l’embrasse goulûment et la laisse reprendre sa fellation. 
    Elle laisse courir sa langue le long de ma hampe, remontant de la base jusqu’au gland, avant de prendre celui-ci entre ses lèvres et continuer à le mordiller. Chacune des pressions de ses dents contre le bout ultra-sensible me procure comme un électrochoc. De temps en temps, elle prend le corps de mon sexe entre ses mâchoires, comme si elle croquait un épi de mais, et entreprend de faire glisser ses lèvres le long de ma colonne de chair. Pendant qu’elle me suce, je profite du spectacle de son visage si pur, je passe mes doigts dans ses cheveux, je caresse ses joues. Quand elle me laisse un instant de répit, je prends ma queue et la passe sur son visage, frôlant son nez, glissant sur ses pommettes. Elle me regarde avec amour, semblant apprécier le contact de mon gland contre sa peau de satin. Elle ouvre la bouche, comme pour quémander que je lui fasse offrande de ma bite. Doucement, je m’amuse alors à faire claquer ma queue contre ses joues, la retirant toujours au moment ou les lèvres d’Angélique sont prêtes à se refermer sur elle. 
    « - Allez, j’arrête, ouvre grand et sors la langue » dis-je. Elle sourit et s’exécute. Je tape alors mon gland à plusieurs reprises contre sa langue tirée, suscitant de sa part un gémissement plaintif, de frustration et de plaisir mêlé. Ne voulant pas la faire souffrir trop longtemps, je lui laisse reprendre la main. Comme pour se venger, elle saisit ma queue à deux mains et commence à me sucer profondément, ses joues se creusant sous l’effet de l’aspiration. Rapidement, ma queue est trempée de salive. Elle profite de cette humidité pour mettre ses doigts en action, et commence à me branler des deux mains tout en continuant à me pomper. Cette masturbation est experte : ses mains branlent ma bite de bas en haut tout en tournant. De temps en temps, elle arrête de sucer mais laisse ses mains continuer le travail.
    « - Elle est bonne ta queue, si grosse que je ne parviens pas à faire le tour avec mes doigts. Et mes deux mains bout à bout ne la recouvre même pas totalement. Elle est si dure, si belle dans mes mains, si parfaite dans ma bouche, je pourrais te sucer des heures. Et s’étouffer dessus c’est si bon » dit-elle avant d’enfoncer les ¾ de ma hampe dans sa bouche. « Tu aimes ça ?, reprend-elle, essoufflée par cette pipe intense, j’espère parce que moi, j’adore, ça m’excite trop ». Et de recracher un filet de salive sur ma queue, de le faire courir entre ses doigts avant de le réaspirer et de reprendre sa fellation.
    « - Oh putain, je suis dans un autre monde, c’est trop bon, tu vas me faire jouir. Tu suces si bien, tu es si belle avec une bite dans la bouche. Je suis si bien entre tes lèvres ». 
    Ces compliments la font redoubler d’ardeur. Ma bite déforme maintenant son visage, mon gland venant s’appuyer à l’intérieur de sa joue. J’en profite pour le stimuler davantage en donnant des petites claques sur cette bosse qui corrompt son visage innocent tout en révélant sa vraie nature perverse.
    « - T’as vu comment je l’ai mouillé ta bite, t’as vu ce que je fais pour toi ? Je peux sucer tes couilles aussi ? » ET tout en gardant ma bite dans la main, elle descend vers mon scrotum qu’elle avale goulûment. Oublié les réticences de tout à l’heure, mes testicules sont devenus les jouets de ses lèvres et de sa langue.
    « - Mmmm, j’aime ça aussi, sucer tes grosses couilles, je savais pas que c’était si excitant d’avoir des couilles dans la bouche. Et ta bite entre mes seins ça donne quoi.»
    Angélique se redresse alors, place ma queue entre ses deux globes mammaires, lâche un filet de salive sur le sommet de ma bite et commence à me branler entre ses seins.
    « - Oh oui, juste comme ça, c’est bon. Ta queue est bien grosse entre mes seins. Tu les aimes mes seins, ils ont la taille parfaite pour servir d’écrin à ton sexe. Vas-y, branle-toi dans mes seins, tu peux faire ce que tu veux de moi. »
    Ce va et vient de mon chibre entre ses nichons me fait un bien fou, et tout en me gardant excité, il me permet aussi de reprendre le contrôle et de faire retomber le foutre qui était prêt à exploser. Je prends un plaisir inouï à cette branlette espagnol, à ce spectacle de voir ma secrétaire à genoux devant moi, ses seins entourant ma queue et prenant du plaisir à voir mon gland aller et venir entre ses loches, ses tétons durcis par le contact répété avec mon chibre. Pour qu’elle ait encore plus de plaisir, je prends le relais de ses mains pour serrer ses seins contre ma queue, libérant les siennes. Immédiatement, celles-ci trouvent le chemin de sa chatte, l’une allant et venant dans son vagin, l’autre tournoyant sur son clitoris.
    C’est au moment où je suis prêt à jouir qu’Angélique s’interrompt et se redresse. Elle saisit alors ma bite dressée, et la tire, me forçant à me lever. 
    « - Tu vas jouir, je te promets, mais pas tout de suite. Je veux que tu me prennes d’abord. »
    Et me traînant toujours par la queue, elle s’approche du comptoir devançant la baie vitrée de mon bureau, et penchant son buste par-dessus, me tournant le dos, elle me dit : « Je veux que tu me prennes comme ça, par derrière. »
    Elle remonte alors sa jupe au dessus de ses fesses. Je peux admirer son splendide fessier, surmontant ses jambes tendues. Le galbe de ses mollets, la ligne parfaite de ses cuisses conduisent mon regard à ce cul fabuleux, fendu d’une raie profonde qui aboutit sur une moule gonflée par le désir, suintant la cyprine. Les petites lèvres sont cachées par le bourrelet des grandes, et c’est à peine si je peux apercevoir l’œillet de son anus. Bien qu’elle soit déjà bien humide, je ne peux résister à l’appel de sa chatte humide, et ma langue trouve vite le chemin de son berlingot. Je glisse sur son clitoris, écarte ses lèvres délicatement, caresse l’entrée de son vagin, remonte jusqu’à l’extrémité postérieure de son sexe, et arrive naturellement jusqu’à son trou du cul. Pour y parvenir, j’ai commencé par m’aider de mes mains pour écarter ses fesses, mais Angélique m’a rapidement suppléé, écartant ses deux globes au maximum pour m’offrir le plus beau des spectacles. L’ensemble de son intimité la plus secrète se révèle à moi, sa délicieuse chatte épilée, son anus à peine plus brun que le reste de sa peau. Lui aussi semble luire de désir. J’ai envie de photographier cet instant, de garder toujours en mémoire ce con et ce cul ouverts à tous mes désirs, à tous mes vices. Mais ma secrétaire me tire rapidement de ma torpeur.
    « - Viens, dévores-moi, Je veux sentir ton visage entre mes cuisses, entre mes fesses. » 
    Je replonge alors au cœur de son intimité. D’abord doucement, puis furieusement, je fouraille dans ses entrailles, envoyant ma langues dans sa cavité vaginale, suçant son bouton rose, me désaltérant à sa mouille sucrée-salée, léchant tout son périnée imberbe d’une douceur d’ange. Je remonte jusqu’à son œillet, et commence à le lécher copieusement. Angélique tressaute.
    « - Ah oui, là, comme ça, c’est si bon. Ta langue, ta langue ! » Je continue plus avant, et m’enfonce doucement à l’intérieur de son anus. Les odeurs qui s’en dégagent, ce parfum de savon mêlé à sa propre odeur m’enivre. Sous l’action de ma bouche et de ma langue, ma secrétaire tressaille. Se faire bouffer le cul, elle aime ça. C’est semble-t-il une nouvelle révélation. Après un ultime sursaut, elle attrape mes cheveux sans même changer de position.
    « - Je te veux en moi, prends moi, dépêche toi, je peux plus attendre. »
    Je me relève, et prend position derrière son cul. Lentement, je fais glisser ma queue dans sa raie, prenant soin d’attarder quelques instants mon gland sur son petit trou. Angélique sursaute. Je sens l’appréhension mêlée à l’excitation l’envahir. « Pas encore » je pense. Remontant sa jupe plus avant, je découvre ce fameux tatouage au creux de ses reins, ce tatouage qui plus que tout autre chose, m’a fait fantasmer pendant des années. Je prends le temps de repasser par dessus le dessin avec l’extrémité de mon chibre. 
    « - Il te plaît, hein ? Je t’ai vu si souvent le mater, quand je me baissais devant ton bureau. Je faisais parfois exprès de mettre un pantalon taille basse avec un chemisier court, pour t’offrir ce spectacle. » 
    Je ne reviens pas de cet aveu de perversité. Cela décuple mon envie de la prendre, de la baiser, là tout de suite comme ça, comme mon amour, mais aussi comme une chienne. Ma chienne.
    Je laisse couler un filet de salive dans sa raie. Le liquide glisse entre ses deux fesses, et semble faire une pause dans le trou de son oignon. Je joue alors à lui faire peur en plaçant mon gland dessus, juste le temps de récupérer le liquide, et je descends vers son vagin, dont je force l’entrée sans ménagement. Angélique se cambre, appuyé sur ses mains, et bascule la tête en arrière. Je peux voir dans le reflet de la vitre ses tétons qui dardent sur sa poitrine gonflée entre ses bras. Dans cette position, ma queue trouve plus vite encore son espace pour évoluer. Le puits d’Angelique me serre le chibre encore plus fort que par devant. Je commence à la limer, enfonçant chaque fois plus profond dans son intimité mon sexe turgescent. A mes coups de boutoir, ma secrétaire répond par des mouvements du bassin, d’abord parallèles à mes mouvements, comme pour m’empêcher d’aller trop loin. Je lui dilate la chatte, peut être un peu trop. J’attrape alors sa gorge, tirant son visage vers le mien, et je plaque sa bouche contre la mienne. Pendant que nos langues tournoient l’une contre l’autre, je saisis de ma main libre une de ses hanches et je force son rythme à s’inverser. Angélique raidit tous ses muscles, tente de résister. Mais l’orgasme que lui procure alors ma queue au fond de son vagin, la stimulation de ma colonne de chair contre ses parois intimes a tôt fait d’annihiler toute résistance, et c’est bientôt de concert que nous nous mettons à baiser, furieusement, intensément. 
    Débarrassé de cette résistance, je me concentre sur mon ouvrage, j’augmente les mouvements de mes hanches pendant qu’Angélique se repenche vers l’avant, creusant davantage ses reins, s’empalant sur mon chibre à chaque impulsion. Nous sommes chanceux que le parking en bas de mes fenêtres soit désert : quiconque passerait par là en ce moment verrait une blonde magnifique, les cheveux défaits, le torse entièrement nu, en train de bouger d’avant en arrière dans un mouvement sans équivoque, ses seins se balançant et s’entrechoquant en cadence. C’est en tout cas ce que je peux voir dans le reflet de la vitre. Ce spectacle me rend fou, encore plus quand je lui rajoute la vision de son cul venant s’écraser contre mon pelvis à chaque coup de boutoir, la graisse et les muscles secoués au rythme de ma queue limant sa chatte trempée. Une main agrippant le tissu de sa jupe remontée en ceinture au creux de ses reins, je me mets à claquer ses fesses au rythme de mes coups de bite. Chaque gifle tire d’Angélique un cri de douleur et de plaisir mêlés. Bientôt, l’empreinte de ma main apparaît en rouge sur sa peau délicate. Quel bonheur de marquer mon empreinte sur l’objet de mes désirs les plus fous. 
    Une fois qu’elle a le cul bien rouge, sans arrêter de baiser, je dis à Angélique : 
    « - T’inquiète pas, je m’agrippe juste à quelque chose pour bien te prendre ». Et sans attendre sa réaction, j’enfonce mon pouce humide dans son anus. En un éclair, je sens son vagin se resserrer sur ma queue. Ses fesses se contractent, et mon doigt se retrouve prisonnier de son sphincter. Angélique tourne ses yeux vers moi, d’un air suppliant. 
    « - Avec un tatouage pareil, me dis pas que tu t’es jamais fait prendre par là.
    - J’ai essayé avec mon mari une ou deux fois, mais ça m’a pas plu. D’abord, il a jamais vraiment réussi à bien rentrer, c’est trop serré et il bandait pas assez fort.
    - Avec moi ça va passer, tu verras. Ton petit trou est déjà trempé, tu l’as lubrifié sans même t’en rendre compte. Ca veut dire que tu es excitée à mort, tu pourras m’accueillir, j’en fais mon affaire. 
    Et sans attendre sa réponse, j’introduis l’index de mon autre main en plus de mon pouce resté à l’intérieur. Tout en restant dans son vagin, je commence à remuer mes doigts à l’intérieur de son cul, qui est effectivement bien humide. Tout en reprenant mes allers et retours dans son con, j’entreprends de dilater son deuxième orifice. Rapidement, ce sont quatre doigts qui sont insérés dans son intimité anale, tirant d’Angélique des soupirs de plaisir. Je la sens anxieuse, concentrée sur ce qui est en train d’arriver à son fondement. Pour abréger son anxiété, je décide que le moment est venu.
    « - Deux choses sont importantes, tu dois être relâchée, et nous devons être lubrifiés. Ton cul est bien humide, mais il faut s’assurer que ma queue le soit aussi. » Je quitte alors son vagin et lui donne alors ma bite à observer.
    « - Je crois que c’est bon dit-elle, elle est couverte de ma mouille. 
    - Deux précautions valent mieux qu’une, je réponds, en plantant mon regard dans le sien. Elle se retourne alors et sans rien dire d’autre, elle avale ma queue presque jusqu’à la garde. Je la sens saliver autour de mon chibre.
    « - Parfait, être bien lubrifié c’est la clé, il faudra recommencer plusieurs fois pour éviter des frottements trop douloureux.
    Je redresse Angélique, la remet en position de levrette, relève sa jambe droite pour la poser sur le comptoir et après un dernier crachat de salive contre sa rondelle, je pose mon gland à l’entrée de son anus. Puis lentement, tout doucement, je pousse jusqu’à ce que mon gland ait entièrement passé son barrage.
    Dans le reflet de la vitre, je vois Angélique grimacer. 
    « - Relâches –toi, j’y vais doucement, je te jure, fais moi confiance ». Je sens ses muscles se relâcher un peu. J’enfonce mon sexe de quelques centimètres supplémentaires et je reste ainsi, sans bouger, juste en bandant plus ou moins ma queue. Angélique se tourne vers moi, me regardant par dessus son épaule. Elle a la bouche grande ouverte, et laisse échapper un gémissement à chaque fois qu’elle sent mon sexe gonfler dans ses entrailles.
    « - Tu vois ça se passe bien, tu te débrouille bien.
    C’est incroyable, ça fait mal et ça fait du bien en même temps. Continues, mais doucement, et arrêtes toi dès que je le dis. Ta bite me fait du bien à l’intérieur, mais je pourrais jamais tout prendre.»
    Je commence à lui limer le fion, doucement, sans forcer, ma queue même pas à moitié enfoncée dans son anus. Peu à peu, la douleur cède la place au plaisir pour Angélique. Pour moi, tout n’est que volupté et plaisir des sens. Son anus serré stimule ma bite et mon gland de façon continue, et son étroitesse semble peu à peu se transformer en écrin pour mon chibre. Comme si son trou du cul se mettait à prendre la forme parfaite pour ma queue, comme si je façonnais l’intérieur de son corps avec mon sexe. De temps en temps, je me permets de faire une pause dans mon entreprise en sortant ma verge entièrement de son anus et en l’y remettant quelques secondes plus tard. A chaque sortie, je vois son anus se refermer un peu moins vite, un peu moins complètement. A chaque rentrée, je pénètre un peu plus loin dans son ventre. Peu à peu, les hanches d’Angélique réponde à mon bassin : son cul s’ouvre, comme une fleur au printemps, ma queue glisse plus profondément, plus facilement. Bientôt, nos mouvements sont presque aussi amples que tout à l’heure dans sa chatte.
    « - Oh oui, c’est bon, mais que c’est bon, dit Angélique. J’en peux plus, tu vas me tuer, c’est si bon.
    - Tu réalises ce qu’il se passe ? Dis le, dis le moi !
    - Je suis en train de me faire enculer, j’ai ton énorme bite dans le cul et j’adore ça ! Encore, plus fort ! »
    Je bascule Angélique sur le coté ses deux cuisses serrées l’une contre l’autre, et je reprends mes quartiers dans son anus. Dans cette position, son cul parait plus rond et plus gros, son conduit est encore plus serré, je voir ses seins bouger à chaque fois que ma bite pénètre entre ses fesses. Angélique à peine à ne pas hurler, elle est obligé de plaquer sa main sur sa bouche. J’attrape son autre main et je la colle sur sa fesse.
    « - Vas-y, écartes bien, c’est si beau, je veux voir ma queue te pénétrer le cul. »
    Prenant appuie sur ses hanches, j’augmente la puissance de mes allers-retours. Voir son beau cul si rond avaler ainsi mon chibre me procure une sensation électrisante de plénitude. Angélique semble sur une autre planète. Lorsqu’elle sent monter l’orgasme, je plaque ma bouche contre la sienne pour en étouffer le son. Je la laisse reprendre son souffle quelques instants mais je ne compte pas en rester là. 
    « - Viens, empale ton cul sur moi, je veux que tu me fasses jouir avec ton anus. 
    Je m’allonge sur la moquette et ma secrétaire vient vite me rejoindre.
    « - Tu devrais lubrifier ma queue un peu plus, sinon ça va te brûler. 
    Angélique approche sa bouche de ma bite et laisse tomber un filet de salive dessus, tout en me branlant.
    « - Ca risque de pas suffire. Moi je dis ça pour ton bien ! » Je sens qu’Angélique hésite à sucer ce sexe qui vient de ramoner son trou du cul. Mais cette hésitation ne dure pas, et comme si elle prenait son courage à deux mains, elle engloutit ma queue. Je sens qu’elle ne tarde pas à retrouver rapidement sa dextérité buccale. Au bout de quelques instants de fellation bien bruyante et baveuse, elle me regarde et dit de sa bouche couverte de salive : 
    « - Putain c’est excitant de goûter mon cul, j’aurais jamais cru. J’ai honte, je sens que je deviens une vraie salope.
    - Une salope, non ! Mais ma salope oui ! Allez viens, je t’attends. 
    Angélique s’accroupit face à moi en posant son œillet contre mon gland. Elle descend alors doucement, contrôlant totalement l’entrée de ma queue dans son fondement. Ce contrôle lui plait. Elle commence à monter et descendre son anus autour de mon chibre, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Je bascule son torse vers l’arrière, me dégageant ainsi une vue parfaite sur son anus dilaté par mon pieu, surmonté par sa chatte rose qui perle de cyprine. Son clitoris n’a jamais été si gros. J’entreprends alors de lui masturber la moule pendant qu’elle me baise avec son cul. En a peine quelques secondes, je la fais jouir sans difficulté. Cela a pour effet de liquéfier ses membres. La gravité faisant son effet, elle descend alors sur mon chibre jusqu’à la garde. Tout entier, je suis dans l’anus d’Angélique, ma queue perforant ses intestins. Ma secrétaire n’est plus qu’une poupée désarticulée dans mes bras.
    Tout en restant en elle, je la tourne pour placer ses fesses face à moi. Maintenant entièrement allongé sur moi, Angélique me laisse reprendre la main. Appuyé sur mes jambes, je recommence à limer son cul, je suis maintenant à fond, sans me soucier de lui faire mal. Elle est au royaume de l’extase, au-delà de toute douleur. Je la baise à un rythme infernal, mon bassin claquant sur ses fesses à chaque coup. D’abord bringuebalé sous mes assauts, ma partenaire reprend peu à peu ses esprits, et commence même à se masturber en rythme. Elle jouit une nouvelle fois, et je sens sa chatte dégouliner encore plus fort. Moi-même je ne suis pas loin de l’extase, mais je ne veux pas jouir dans cette position. 
    Je place ma poupée blonde en position de levrette, la tête sur la moquette, le cul relevé telle une offrande à ma bite. Je reprends alors ma place dans son anus, la queue raide et tendue comme jamais, non sans avoir remarqué que son œillet et maintenant bien dilaté. Dès que je remets en route la machine, J’arrache à Angélique un cri : jamais je n’avais été si loin en elle, si profondément. Elle est désormais totalement livrée à mes assauts. Il ne me faut d’ailleurs pas beaucoup de temps pour sentir monter la sève. Rien que la vision de ma secrétaire à quatre patte, le visage sur le sol, ma queue plantée dans son cul aurait pu me faire jouir. 
    Au moment où je suis sur le point d’exploser, je retire ma queue tout en gardant le gland collé à son anus. J’envoie les deux premières giclées de mon sperme dans son trou encore dilaté, réservant la troisième pour en asperger sa vulve humide. Puis je me place au dessus de sa tête encore collée au sol et je termine de vider mes couilles sur son visage, arrosant abondamment ses cheveux, son nez, sa bouche et même ses yeux. Je m’écroule ensuite à côté d’elle. Angélique n’a pas bougé, son cul toujours dressé vers le plafond, le visage recouvert de foutre tourné vers moi. Lentement, je la vois placer sa main sous son entrejambe. Elle y récupère ma semence qui dégouline de son anus et de sa chatte. Et porte alors sa main recouverte de sperme au bord de ses lèvres, et commence à la lécher consciencieusement. Une fois qu’elle a terminé, je lui prends la main tendrement. Je ne veux pas qu’elle se nettoie le visage, pas tout de suite. Je veux profiter encore longtemps de son visage d’ange qui vient de découvrir sa perversité. Du visage d’Angélique recouvert de mon sperme.
    JOUI12R@HOTMAIL.FR

     

     
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  • Bonne occasion pour draguer, pardon se faire draguer. J’adore cette manifestation annuelle de dégustations de vins de l’agglomération. Moyennant une modique somme, on peut déguster trois verres de très bons vins. Tous les vendredis d’été les jeunes ou moins jeunes viennent s’y promener, boire un peu ou draguer beaucoup. J’ai débauché ma jeune voisine Black heart pour la dessaler un peu. Elle...je sais qu’elle n’est plus vierge depuis longtemps et surtout qu’elle aime jouir. Nous ne faisons guère de frais d’habillement, vêtue normalement, elle avec une mini robe et moi en jean. Nous sommes dès l’entrée la proie de nombreux casses pieds aussi lourd qu’un 15 tonnes de c………. La plus part on déjà leur compte, ils se sont laissés aller à faire le plein en dehors des lieux de détente. Nous trouvons tout au fond une table avec, miracle, 4 chaises libres. Nous commençons notre dégustation quand un jeune..., vient près de nous. Il est mignon tout plein, poli, ce qui ne gâche rien, prévenant: bref il nous plaît bien. Black heart craque déjà pour lui. Si elle s’écoutait elle partirait chez elle avec lui sans autre forme de procès.
    Il lui plaît, il me plaît aussi. Nous changeons de place pour qu’il soit entre nous deux. Il comprend vite que nous sommes prête à nous « battre » pour lui. Ca doit être formidable pour un homme de se sentir désiré par deux filles. Je me lance la première pour le toucher, je pose ma main sur sa cuisse pas loin de son sexe. Je sens une autre main sur la cuisse d’à coté. Black heart suit mon exemple. Je pose ma tête sur son épaule: il comprend vite: il m’embrasse sur la bouche. Nos langues s’enroulent dans la bouche de l’autre. Black heart a envie de lui: elle lui pose la main sur la bosse du pantalon. Heureusement que nous sommes dans une zone presque sans lumière. Notre « amoureux » change de bouche.Black heart a de la chance, il embrasse fort bien. Il ne m’a pas abandonné: il garde un bras autour de mes épaules. Je passe une main sous son t-shirt pour caresser son dos. Sa peau est aussi douce que celle d’un bébé. 
    Je peux voir que la main de Black heart sort la bite bien dure. Pour le moment elle n’en fait rien. Par contre lui passe sa main sous la robe. Je ne sais pas si elle a une culotte. En tout cas il ne se gêne pas pour la caresser, au moins l’intérieur des cuisses. Elle doit se faire masturber: je le vois au mouvement de la main du garçon. Nous ne savons rien de lui, sinon qu’il fait vite ce qu’il faut. Black heart commence à gémir de plus en plus. Elle en oublie la bite bien bandée. Je la prend en main. Elle est raide comme un de bout de bois, je descend lentement le prépuce pour la branler. Il sait bien que c’est moi qui lui fait du bien. Il n’empêche que le fait de le masturber m’excite encore plus. Je ne vais pas vite sur sa queue. 
    Black heart pousse un cri en jouissant. Elle en veut encore. Je lui conseille de se coucher sur la table, jambes ouvertes pour recevoir une langue sur sa chatte. J’arrive sans le faire exprès à faire juter notre mâle. Il est hors jeu pour le moment. Black heart demande la langue qu’il ne veut pas donner. Je me dévoue: je lèche sa chatte comme si ce n’était pas ma première fois. Le plus fort est que je prends goût à son sexe et surtout à sa cyprine. Je sens ses poils pubiens contre mon nez, c’est agréable. Je lui fait ce que j’aime qu’on me fasse quand on me fait un cunnilingus. Mes doigts participent à la fête, j’entre dans sa caverne et descends lentement vers son anus. Je le caresse longuement sans qu’elle proteste. Je sens ses orgasmes. 
    Mon action sur la chatte de Black heart réveille la libido du garçon. Je sens contre moi la bite grandir. Il m’attire sur lui, me baisse le jean, m’assied sur lui. Je ne porte pas de sous vêtement, c’est facile de me la mettre là où je veux. C’est à moi de choisir l’orifice. N’importe où m’est égal, je choisis le petit trou. J’aime me faire enculer par une bite comme la sienne. Je me laisse aller lentement sur la pine qui écarte doucement mes chairs du sphincter, qui écarte le début de mes boyaux qui entre au fond à tel point que je sens les couilles velues contre mes fesses. Je reste ainsi un petit moment pour déguster ce nœud dans ma pastille. Enfin j’entame des va et vient qui me donne un plaisir monstrueux. Je lui demande de me branler le clitoris, de ne pas arrêter, même si je jouis. Comme il a jouit, il met un bon moment avant d’éjaculer dans le cul. 
    Et Black heart,la coch*nne...
    attention un role peu caché une autre, attention elle s'éduit en choc!!!...elle se masturbe en nous regardant comme la numération des maison,en héritage visible en (petite-caporal). Elle me donne envie de recommencer à la sucer. Elle ne savait pas que c’était ma bouche qui officiait. Au début elle ne veut pas de ma langue, j’insiste: elle accepte finalement. Cette fois je la lèche comme tout à l’heure sauf que ma langue entre dans son anus. Je peux branler son clitoris et lui mettre un doigt dans le vagin pour y trouver son point G. Elle jouit toujours brillamment. Je n’arrête pas mes léchages ou masturbation: il faut qu’elle jouisse...c'est une vraie pti' coch*nne en culture nature.C’est vrai que je jouis comme une dingue avec cette bite dans le cul et les doigts de mon amant qui s'appelle JOUI12R sur ma chatte. Je jouis 7de voir le monde,à l'épreuve des amies,parfois mieux faut travaillé seule d'ètre entouré je ne sais combien de fois. C’est plus que jouissif de sentir une bite dans son cul en jouissant: la queue parait plus grosse. Je la sens grossir encore juste avant qu’il me donne sa semence. Qu’elle baise avec lui. Black heart n’a pas profité bien longtemps de sa bite. Je la laisse faire devant lui, elle se masturbe avec application la chatte d’abord et ensuite le cul en y mettant deux doigts. Elle l’excite vite fait, comme elle m’excite aussi. Je retournerai la sucer encore, sauf que notre amant se lève pour lui mettre son instrument dans son étui. J’assiste à la baise en spectatrice qui se touche. J’admire les mouvements de fesses et les muscles qui serve à baiser. Black heart recommence sa sérénade en gémissant: il faut dire que son tiroir est juste aux dimensions de la queue qui la serre. Je vois en me penchant un peu la pénétration dans ce sexe d’où ma bouche sort. Elle semble jouir plusieurs fois. Cette fois elle ne crie pas, sa bouche est fermée par celle de celui qui la baise. 
    Je regarde aussi le cul de l’amant: je suis forcée par un démon d’aller y fourrer un puis deux doigts. Il semble s’en accommoder, puisqu’il jouit encore une dernière fois. 
    Nous sommes fourbus. Les lumières se sont éteintes autour de nous. Il est très tard. Il nous donne son nom, enfin:.. Il semble que le courant passe bien entre lui est Black heart. Il passe tellement qu’ils devient amis ou amants, comme on veut. Il arrive, rarement qu’elle me demande de la lécher. Mais il faut qu’elle me le rende.                                                  JOUI12R@HOTMAIL.FR
     



     
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  • Enfin samedi soir. Je prétexte un rendez vous avec un copain pour sortir. Je monte à l’étage supérieur rencontrer mon amante, la mère qui m’a promis que sa fille était d’accord pour baiser avec moi. J’ai eu de bonnes leçons avec la mère qui m’a appris des trucs et des machins pour faire jouir une femme. Quand j’arrive, la mère sort:
    - Entre, ma fille n’attend que toi, elle s’est déjà masturbée deux fois dans la chambre. 
    La mère s’en va après un léger baiser sur la bouche. Je ne sais pas trop ce que vaut la fille. A la grâce d’Eros, j’espère qu’elle a un bas ventre aussi accueillant que sa mère. Je la trouve mollement installée sur le divan, regardant un film assez olé olé. C’est à peine si elle me voit. C’est normal, le film retrace les aventures d’une sacrée fille qui baise à tout va, homme, fille et surtout elle avec un énorme gode. 
    Je remarque également qu’elle porte un jean, que la braguette est ouverte, sa main sur son sexe: elle se branle sans complexe devant moi. Quand elle se tend elle jouit encore une autre fois. Je me poste devant elle, la regarde: enfin elle me regarde. Ces yeux turquoise m’enchantent déjà. Sa bouche gourmande se tend comme pour me faire un baiser. Sa langue la lèche comme pour m’y attirer. Je bande déjà: elle le voit. Alors je suis surpris par sa réaction: elle se lève pour m’embrasser sur la bouche. Je la surprend un peu en entrant ma langue dans sa bouche le premier. La surprise est vite passée. Elle répond facilement. 
    Elle a oublié un détail, son jean est toujours ouvert. La pesanteur fait son effet qui ne la gêne pas du tout, le jean tombe sur ses chevilles. Pour moi c’’est plus simple. Je comptais lui caresser les seins, je vais le faire sur ses fesses comme à sa mère. Je sens son ventre contre ma bite. C’est à croire que sa mère lui a donné des leçons. Quand je passe ma main entre ses fesses, il appuie d’avantage sur mon ventre. J’arrive sur son anus. Je me demande si je vais le lui branler ou si je vais vers sa chatte. Je n’ai pas à réfléchir, d’elle-même elle ouvre son cul. J’ai les doigts secs, tant pis, je ne force pas du tout: j’entre à peine un doigt que je fais tourner. Ce doit être une bonne chose pour elle: elle jouit. 
    Il faut maintenant qu’elle me branle, je n’ose pas le lui demander. Mais je n’ai rien à demander, d’elle-même elle sort ma bite, la serre dans une main bien avant de commencer à me satisfaire. Elle se sert de ses doigts pour caresser le fût de colonne de ma bite. Enfin elle me prend dans une main qu’elle agite lentement de haut en bas. Son autre main est sur mes couilles. Elle est aussi avertie que sa mère. Quand elle arrête, elle sait que si elle continue je vais jouir. 
    Nous sommes vite nus pour nous asseoir sur le divan. Avant nous parlons un peu, surtout de sa mère: elle pourrait en être jalouse. Pas du tout, elle connaît les besoins de l’auteur de ses jours. Il lui faut bien de temps en temps une vrai bite dans la chatte ou ailleurs. Pour elle aussi, elle demande une bite, justement la mienne lui plaît et en plus j’habite très près de chez elle: nous pourrions devenir des amants sans crainte. 
    J’aime sa façon de faire, sans affectation, avec des mots sans doute un peu salés. Je me jette sur elle, ma bouche est encore sur la sienne. Ses baisers sont à la limite du supportable pour moi. Maintenant sa langue lèche mes lèvres. Je n’y tiens plus je passe ma main sur la chatte: je ne la masturbe pas, enfin pas le clitoris, j’entre deux doigts dans le vagin. Je les fais aller et venir: elle ferme les yeux. Je vois son ventre se creuser: l’orgasme n’est pas loin. Juste avant de jouir, elle reprend ma bite. Elle me branle aussi. Pour moi l’heure n’est pas au touche pipi. Je me couche sur le dos, en la faisant venir à l’envers sur moi. Elle connaît bien le 69 pour sans doute l’avoir déjà pratiquer. Avant que ma bouche soit sur son sexe, le mien est déjà dans la bouche de cette fille. Attention elle est redoutable, elle suce mieux, bien mieux que la mère. Je me demande comment elle a trouvé cette façon, sa langue voltige sur le gland, sur toute la longueur de ma queue. Elle part des couilles pour aboutir au prépuce qu’elle remonte avant de le faire descendre. Cette façon de faire me réjouit puisqu’elle poursuit en me donnant un plaisir qui finalement en me fait pas jouir immédiatement comme le font les bouches que j’ai déjà connu malgré mon jeune âge. J’ai toute sa chatte à ma disposition, je ne laisse aucun endroit vierge de léchage. Son clitoris est sucé, léché, aspiré, son trou est enfoncé par le bout de langue avant que je n’aille sur son rectum. Là je n’ai aucune peine à entrer un peu le bout de ma langue dans le cul. Je l’ai possédée en entier. Elle se venge en me suçant normalement: je suis aux bords de sa glotte quand je décharge mon sperme. Bien sur elle garde tout dans sa bouche: elle tire même la langue pour me montrer ma semence qu’elle avale en la dégustant. Elle est délicieusement dégueulasse. En attendant je débande, alors, comme sa mètre elle va chercher l’instrument de ses masturbation; un joli gode pas très gros qui semble lui suffire. Normalement elle s’en sert pour se sodomiser. Elle se met en levrette, ses fesses tournées vers moi, se mouille l’anus avec la salive. Lentement après l’avoir posé sur le cul, elle le fait entrer: je suis aux premières loges pour voir la pénétration dans l’anus de cette bite factice. Son autre main est sur son clitoris. Elle mélange les deux plaisirs. Ma bite ne résiste pas: je bande à nouveau. Elle le sait vite quand elle se met sur moi les jambes écartées. Je suis son étalon qu’elle chevauche. Ma bite dans son antre y est bien, c’est chaud, humide et sensuel. J’avoue préférer la fille à la mère. D’abord elle est jeune et ensuite elle est plus désirable et cochonne que sa mère. Elle profite de la cavalcade pour se toucher encore le bouton. Je sens ses orgasmes de plus en plus puissants. 
    Nous changeons de position; elle est à plat dos, les jambes toujours ouvertes. Je pense qu’elle me veut dans la chatte, alors qu’elle me demande de l’enculer. Ce n’est pas la position la plus pratique pour visiter un anus. C’est pourtant très excitant: elle le sait. Je suis étonné d’entrer si facilement dans son fondement. J’y glisse presque comme dans son vagin. Mes couilles battent vite contre ses fesses. Elle jouit encore deux ou trois fois quand à mon tour je jouis.
    Elle ne fais pas comme sa mère, elle ne me suce pas après la sodomie. Dommage j’aimais bien. 
    C’est le seul défaut. S’il fallait que je les note, la mère aurait 17/20 et la fille 19 ½ sur 20.
                                     JOUI12R@HOTMAIL.FR



     
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  • Ma Présentation

    Ma présentation

     

    Coucou!Alors je vais vous faire une petite présentation de moi et

    de mon copain.

    Alors moi c'est Nayanelle et j'ai actuellement l'anus bien dilaté

    par un suppuratif JOUI12R.

    Pour résumé on me dit que je suis de caractère un peu trop têtue

    et sadique

    mais bon c'est dans ma nature T.T

    Alors j'aime:

    i!i!i!, a bon?...

    Mon dieu!Oh Au taas de chose que je pourrais pas tous mettre!

    Alimentation:Nutellaa!!Nutella!Les bonbon gélitifié

    avec du sucre dessus  hum!

    Pour résumé cas-y tous les bonbon!Coté chocolat:Les kit-kat,

    Mars,Lion,Crunch,Kinder,

    baah tous type de chocolat SAUF Bounty je  deteste

    c'est pas boon!

    et surtout les cookie de 'Chez Peter' le boulanger Roi des cookie

    délicieux!

    Sport:Escalade surtout sur les mur penchant

    j'aime troop!natation,kayak,basket-ball,

    Hand-ball, et j'aime bien le foot(souvent la  ligue

    et match de l'équipe officiel!)

    mais j'en joue paas!Bah je suis plutôt bonne sportive

    et j'aime tous les sport sauf volley,tennis,athlétisme

    je déteste sa!

    Bon bon passons à ce que j'aime pas!

    JE DETESTE:

    Alimentation:TOUS les légumes!Le Bounty enfin tous ce qui est

    pas bon u_u

     je deteste  lire sauf les manga/BD porno

    Sport:Les seules sport que je deteste c'est:  

    -Le volley:surtout quand on doit jouer avec un gros soleil

    qui attaque vos yeux

    qui doivent rester rivée en haut!

    -Le tennis:sport dans le quel on bouge à peine plus emmerdant

    tu meurt

    -l'athlétisme:Surtout quand mon prof de sport nous donne 4min

    pour faire du 800m!

    Il est lourd!Et de plus il nous compare à Usain Bolt

    alors qu'on lui arrive même pas à la cheville coté athlé'!

    Sur la plage quand on se retrouve il me mets en maintenance,

    quand je j*uis ,il prend tout sa part et donne rien en échange

    quand on est en pleinne savane en un lieu unique

    les étoiles chantent dans ma tète....elle prennent

    1 ans pour charger

    et puis 'JOUI12R' un type bizzard

    qui m'envoie des paroles cru très p*rnographique,

    dit des choses porno sur moi

    Il fait beau et chaud sur la plage de cap-d'ail,

    la mer provence-alpes-cote d'azur est bleue,

    l'endroit est idyllique. Il est généralement fréquenté par des nudistes

    et c'est le coeur battant que mon petit Ami qui est trop beau!

    Tous le monde disait que c'été la plus belle grosse bite de

    l'année dernière *O*

     

    Qu'allons-nous y découvrir.Alors j'aime bien mes amie!Tous d'abord

     Nous avons profité de cette journée de semaine

    pour venir ici sans Ma Besta Friend!

    *se réveille*

    Mais comme cette année elle est au camping

    et moi je suis à la plage

    je la vois moins qu'avant T.T  

     Ma meilleurs amie depuis des année^^

    mais elle fait toujours touus pour me voire >.<

    *déception*  

    Nous avons envie de nous mettre nus

    et de voir l'effet que cela va nous faire de se montrer à d'autres.
    Manque de chance pour l'excitation l'endroit est désert,

    mais il peut encore arriver d'autres baigneurs.
    Fébriles cependant d'excitation, nous nous sommes dévêtus

    et avons laissé de côté nos maillots de bain.

    Une heure passe, nous sommes seuls au monde,

    déçus.mon ami est beaux...,

    allongés l'un à côté de l'autre nous ne tardons pas à nous embrasser.

    Cet endroit même désert nous échauffe, agit sur notre libido, je mouille

    et mon petit ami m'ouvre ses cuisses.

    L'invite est sans équivoque.
    -Viens,suce moi, fais le moi!-t'es fou et si on vient
    -Il n'y a personne, je veux te bourrer ma chérie j'ai trop envie!
    -Coquin l'endroit te fais bander mon cochon?
    -Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l'ont fait ici.
    C'est trop tentant. Allongé sur mon petit copain je m’enfonce

    mon conin humide.

    Il bande fort mon coquin, il est aussi excitée que moi. Il me baise lentement.

    moi sous lui je ferme les yeux. Moi aussi cela m'excite de faire ça ici.
    Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là!

    A quelques dizaine de mètres,

    à demi caché dans les rochers un homme, un obsédé nous observe.

    Il a vu que je l'ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l'œil.

    Voyant que je ne réagis pas à sa présence il en profite.
    Sous moi, mon copain geint doucement à mes poussées.

    Son gland frappe le fond de ma grotte d'amour.

    Il bouge sous moi, remue son petit cul et l'autre se régale.

    La situation m'excite.

    Le cochon doit bander, sans doute se branle t'il.
    -chéri!
    -Quoi?
    -un type, un pervers est là-bas dans les rochers et nous regarde.
    -Il nous voie?
    -Oui!
    -On fait quoi?
    -Rien ma puce, il mâte et alors. Cela m'excite, pas toi,

    qu’il nous regarde baiser?
    -Cochon !
    -Ça ne t'excite pas?
    -Euh.....!!
    -Petite cochonne avoue, ça t'excite toi aussi?
    -Oui….. Mais tu crois qu'il me voit toute nue sous toi?
    -Oui, ma chérie, tu es belle ma petite salope, il en profite.

    Je crois qu'il se branle.
    -T'es sûr. Il se caresse en me regardant.
    -Oui. Tu l’excites, il se branle en s’imaginant dans ta petite chatte sur toi

    à ma place.
    Sous moi ma petite femme s'anime de plus en plus. Puis elle parle,

    je vois l'excitation intense dans ses yeux.
    -Dis, il doit avoir une grosse queue.
    -Oui ma chérie, il bande et s'imagine dans toi en se caressant la bite.

    Il te baise en rêve le cochon.
    -Il s'imagine qu'il me baise! Tu crois?
    -Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, il a envie de te baiser,

    de te mettre sa grosse queue

    dans ta petite chatte de salope.

    Il la voit, il voit ta bite qui entre en moi. Tu aimes qu'il te regarde,

    qu'il voit ton beau cul, ma petite chatte,

    mes seins!
    -Oh Oui; Oh oui! Sa bite, sa grosse bite, dans ta chatte!!!!! 
    -Tu as envie de sa queue, qu'il me la mette et me baise devant toi,

    j'ai envie moi?
    -T'es folle!
    -Non mon salaup, il te ferait jouir. Tu n'as pas envie d'une grosse queue

    pour ta pti' cochonne? 
    je veux sa grosse queue. Et toi tu veux. Tu ne vas pas être jaloux s'il vient

    me le faire?
    -Oui, un peu mais c'est tellement excitant. Tu de souviens avec ton prof...

    quand nous étions au parc.
    -Oui il voulait me baiser devant toi. Il en avait une,

    bien plus grosse que la tienne,

    mais il ne savait pas comment me la mettre.

    Il n'a pas pu l'entrer dans ma petite foufounette

    et a joui sur mon ventre le cochon.
    lui il va pouvoir me la mettre mon chéri, tu me dis toujours que tu as envie

    qu'un autre baise avec nous. 
    -OUI, je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore? Je ne le vois pas.
    -Il est toujours là. Je crois qu'il a compris qu'on veut bien.

    Tu lui fais signe de venir mon chéri?
    -T'es folle!
    -C'est l'occasion ma cochon, on se connaît pas, après on le reverra plus.

    J'ai envie que tu vois avec un autre.
    -Oui, oui vas-y mon amour, après tout tu as raison,

    personne ne nous connaît ici.

    Rien qu'une fois pour voir comment c'est. Je veux bien mon chéri puisse

    que tu en as envie.
    toi aussi?
    -Quoi?
    -Tu as envie, qu'il me baise, qu’il me fasse l’amour?
    -Oui....j’ai envie de voir sa bite, de te voir baisée par un autre que moi.

    Mais je ne seras pas jaloux après?
    -Non, promis ma chérie...promis, ça va être si bon de le voir sur toi.

    De te voir jouir sous lui.
    - Bon, dis-lui de venir!.....
    De la tête tout en besognant, je fais signe a ce obsédé.

    Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort

    de derrière ses rochers.

    C'est un homme de grand corpulence,très beau,un regard purificateur

    de cochon. Moi je le vois maintenant.

    Je tremble un peu sous lui, ne voulant plus trop participe.
    -Chéri c'est fou! J'ai peur!
    -Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.
    L'homme est vite tout près et nous regarde d'un air interrogatif.

    Il le lui souris tourné vers lui,

    Moi aussi mais timidement. Je suis encore sur lui,

    mais son membre n'est plus dans ma petite chatte.
    -Bonjour. 
    Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gêne.

    Si nous ne disons rien, il va repartir.

    Alors je me lance.
    -Je te plaît?
    -Oui!
    -Tu nous regardais en souffrance d'amour?
    -Euh...Oui! J'ai vu que tu voulais bien que je vous regarde,

    tu ne m'as pas fait signe de partir.
    -Elle est belle hein, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans? 
    Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short.

    Mon copain aussi le voit et j'ai les yeux fixés dessus.

    Cela encourage notre nouvel ami.
    -Oui! Oh oui elle est belle. C'est ta salope de pti' femme?
    -Oui. Elle a envie de ...., enfin tu comprends... avec toi.
    de la baiser en son du cloché

    -Avec moi?
    -Oui! Tu veux c’est bon dans sa chatte tu sais, elle a envie?-Oui,

    elle est belle!

    Je ne l'ai jamais fait avec coch*nne comme toi qui à 

     les cheuveux Brun clair/chatain

    et les yeux qui change de couleur!Marron clair courrament

    -Et doré/miel en été et qu'il fait pas sombre.

    Et il change en hiver ils deviennent bruns clair!?.

    -Coch*nnnnnneee, de consomation...n'est ce pas!?
    -Viens! Monté sur moi, prend la,je te montrera...

    j'ai envie de ta grosse queue, vois tu!? 
    Mon ami c'est relevé en lui laissant la place.Mon chéri consentant a gardé

    mes cuisses ouvertes

    et lui bref c'est un type

    qui commence à me faire flipper '-'

    Je me demande qui se cache derrière cette enfoiré..u_u

    tu vas me donner tout çà que tu donne en blanche nuit,

     -J'expose ma chatte brune avec impudence. Je tend en une main

    énergétique vers lui,

    l’invite à venir sur moi,au plus vite a me donné des ailes.

    La bosse qui déforme le devant de son vieux short aux couleurs délavées

    est si évidente sur l’envie qu’il a d’elle.

    L’homme les yeux rivés sur le ventre de moi baisse son short.

    Il ne porte rien dessous.

     

    -Oui, j'ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c'est Nayanelle,

    ta pti'coch*nne et toi mon chéri?
    -moi c’est JOUI12R, t'es brune..., t’es très belle, tu as une belle pti'chatte

    toute rose de mouille en turbulence

    en visage d'angeoudemon dedans!

     j'y crois pas??? Comme je le pensais, il a une pti'bite et épaisse, noueuse

    aussi, car c'est une pti bite comme sà' .

    -Ton cocoro est pti'??? ah! ah! ah!, (rire)

    impossible de faire autrement,

    mets le moi facilement en bonne formule, d'un regard embrassé...

    viens sur moi mon chéri,

    en entré lible ,tu ne peu pas comblé moi! en cette bonne voiture à la française

    Prend moi en bonne eau  j’ai envie que tu me baise longtemps !

    ah! ah ! ah! (rire)
    -Elle se fait cochonne ta salope de chérie, elle a franchi le pas,

    tu t'apprête à faire l'amour

    avec un autre qui te trompe l'oeil, attend cochonne tu seras peureuse

    en casse tète!

    et te donnera sa force en bonne mélange de chaleur qui se dégagera

    et se dilatera en3

    Ah! ah! ah! (rire)un JOUI12R qui est un beau goss pornographique au visage

    californien,violent et radical

    et très pertubé ah! ah!! ah! (rire) à le gros « cocoro » quand le réservoir

    est rempli en tuyau comme on dit cap d'ail.

    Je mets mes yeux à mi-clos et je devine ce qu'il regarde

    pendant que notre nouvel ami s'agenouille

    entre mes cuisses.

    Ta petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d'une grosse bite,

    elle va être bien servie.

    -Oo!!!?dit je...j'espère qu'elle va bien jouir. Car avec moi, c'est si rare.

    Oh! elle est belle,

    bien grosse, viens sur moi et entre très vite mon chéri,

    et boum!!!!! ,il doit ètre règlé a tout pris.

    ma petite chatte est pas habituée à une si belle queue.
    Mon copain me regarde alors que l'homme se couche sur moi.

    D'une main passée entre leurs deux ventres,

    je le vois qui se guide. Déjà son petit gland est en contact avec ma vulve

    de sa douce.

    Pour l'aider j'ouvre largement mes jambes. Mon copain m'a tendu sa main

    et je moi la lui prends dans la mienne

    comme pour le rassurer. Il bande, c’est si excitant

    ce que nous faisons tous les trois.
    Mon ami me regarde encore alors que le gland ouvre ma fente aux lèvres

    charnues et gonflées par le désir de l’autre.

    Il se place devant l'entrée de son petit conin d’amour, ma petite chatte

    qui n’a connu que des gros gland 

     Il vois soudain que mes yeux de sa douce salope s'écarquiller,

    sa menotte serre fort la mienne.

    D'une brève poussée JOUI12R vient de me pénétrer.

    D'abord son pti gland commence a ce déposer

    et se cumule au fond a venir épais qui distend mes chairs intimes.

    -i!i!i!

    Coch*nnnnnnnnnnnnnnnnnneee démesuré

    Puis le mâle pousse encore mes fesses en avant tout a fait oublier

    de ne pas voir sa valeur

    et la tige noueuse s'enfonce. Je pousse un soupir rauque,

    un autre, puis un autre encore qui s’achève en râle de plaisir.

    D'une dernière poussée,

    JOUI12R vient d'entrer toute la longueur de sa grosse verge.

    -i!i!i!, comment sà!??? 
    Trop excité sans doute de prendre une pti'coch*nne comme toi,

    sans lui laisser le temps

    de s'habituer aux dimensions imposantes de mon membre!???

    i!i!i!,je te la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins.

    Sous lui, ta petite femme, les yeux fermés,

    tes concentrée sur les sensations que je te procure ce gros membre

    qui te baise, s'anime.

    Pourquoi as tu lâché la main de ton cocu, t'accroche a mon cou

    qui te chevauche.

     joint tes jambes derrière les reins de ton amant pour mieux l'avoir en toi

    .coch*nne!!!!!!!!

    tu va à ma rencontre!!!!?

    -Je décolle mes fesses du sable pour me l’enfoncer

    en plus dans ma grotte d’amour en plusieur mois.
    Ils baisent.Ont est l'un à l'autre mon copain ne compte plus.

    Lui il regarde et il bande.

    Il bande comme jamais après plusieur moi cela ne c'est jamais arrivé,

    on le trouve chez les hommes.
    Mes nerveuses fesses cuivrées, ceintes des cuisses de sa douce s'élèvent,

    puis s'abaissent en cadence. Je geint à chacune des poussées de JOUI12R.

    Mes gémissements plaintifs au début car je m'en moquais à plusieurs vu,

    puis de ravissement maintenant.

    i!i!i!, je suis flatté....


    Ma tête nichée dans le creux de l'épaule de lui,

    je m'abandonne complètement,

    Je me livre toute entière à l'assaut fougueux de son amant improvisé.
    Nous sommes seuls sur la plage tous les trois. A part le bruit des vagues

    frappant le récif,

    Mon copain n'entends que le bruit des deux corps qui se frottent, nos ventres

    qui se frappent,

    les gémissements de plus en plus ravis de sa douce,

    le souffle rauque de JOUI12R qui la besogne maintenant

    depuis plus de dix minutes.

    Il m'empoignes mes seins, les malaxe, en suce mes tétons dressés.

    Je geint de plus en plus vite,

    de plus en plus fort. j'aime ce qu’ il me fait.
    Je vois le gros sexe entrer et ressortir presque complètement

    de ma chatte brune de mon petit chéri.

    -i!i!i! tu mouille abondamment,

    preuve de ton excitation et de l'effet de moi que je te procure, coch*nne!!!!.
    Puis je vois toi moins passive maintenant, caresser mon corp,

    je vais te prendre par les fesses comme pour t'enfoncer encore plus loin.

    Mes râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts

    de plus en plus rapprochés JOUI12R accélère ses pénétrations.

    Ont va jouir.
    Un long cri de femme comblée, le corps de moi s'arque,

    je soulève mon amant pour l'avoir encore plus profond dans son minou.

    Aux crispations des fesses de JOUI12R,

    accompagnées de ses râles de délivrance,

    j'ai deviné et senti la pression en giclées de sperme qui s'épanchent,

    abondantes, dans mon ventre de sa coch*nne,

    dans mon vagin serré autour de la hampe qui se vide en moi.

    Je l’étreint de son étroit fourreau,

    la masse pour en tirer tout son jus.
    Sans se toucher mon copain, a joui dans le sable chaud

    tellement son excitation

    était alors arrivée à son paroxysme.

    C'était il y a longtemps. ...

    Ont est restés enlacés. Lui dans moi,

    moi en le gardant entre mes cuisses rondes.

    Puis je les ai regarder et sa petite coch*nne reconnaissante du plaisir reçu,

    j'ai ouvert ma bouche et l'a collée à celle de JOUI12R. Notre baiser a été long,

    si long. que mon copain en a eu encore mal mais il en bande encore

    en écrivant ce que nous avons fait ce jour-là.

    Jamais nous n'avons osé recommencer.
    Puis JOUI12R repu de sa pti' femme coch*nne,

    après l'avoir prise une seconde fois devant lui,

    l'une des branches de cette arbre

    et un dernier baiser d’amour, s'est relevé et s’est éloigné sans se retourner. 
    Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés,

    en silence car ne sachant quoi nous dire,et moi nous nous sommes engagés

    sur le petit chemin,

    qui au travers de la végétation dense, mène à la petite crique à l'abri des

    regards indiscrets.

    avons regagné notre chemin,

    abasourdi encore par ce que nous venions d’oser.
    Chez nous, sur mon lit, avant le retour des amies nous avons fait l'amour.

    sa petite femme était déchaînée

    et j'en ai profité pour la visiter par la petite porte.

    Celle que rarement il n'a permis de forcer.

    Sans doute a-t-il dit alors de pensé qu'elle avait des choses

    à se faire pardonner.
    Après, après seulement nous avons parlé de ce qui s'était passé

    sur la plage déserte.

    J'ai dit à mon petit ami que pour moi cela avait été un acte d'amour.

    JOUI12R que je lui ai dit ma fait jouir si fort.
    Longtemps après, par la suite il a été avec nous quand nous faisions l'amour.

    -i!i!i!, tand mieux pour lui......COCH*NNNNNNEEE!!!!???

    Quand Je pâmée sous lui j'arquait mon petit corps, parfois j'ai cru l'entendre

    prononcer « oh JOUI12R.

    -Oui. Oui ; encore mon chéri!!! » 

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

    i!i!i!

    tu as jamais été plus belle quand tu te masturbe...

    ps:.......

    envoie moi tes video's' fais maison sur ton portable au visage

    caché ou pas, en très xxl masturbé..

    POUR QUE JE FACE UN CLIC MUSIK DE TOI u_u, lol!!!!!

    -Quest-ce-que tu en pense de cette proposition d'ètre une stars..

    d'en faire plus de visiteurs en fans de  toi.

     

     

     

     

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