•     Je m’appelle Sarah et je ne suis pas très belle ni super moche, plutôt quelconque. Depuis mon enfance je suis transparente, personne ne me remarque et je suis d'une nature timide et réservée. J'habite depuis dans un HLM d’un quartier populaire, je n’ai aucuns diplômes et je fais des petits ménages, mon ami est au chômage depuis 12 mois. Nous vivons de façon précaires mais nous y arrivons en se serrant la ceinture. Lorsque je fais le bilan de ma vie, mon plus gros regret c’est d’être stérile et d’être seule au monde, je n’ai que Yves que j’aime et que je suis toute dévouée. Je n'ai connu que lui sexuellement et je fais mon devoir conjugal à chaque fois qu'il me le demande, on peut dire que je suis une femme modèle.
    Depuis que mon mari est au chômage il boit beaucoup d’alcool, passe son temps au bar du quartier et rentre de plus en plus tard et de plus en plus saoul, je le comprends il vit très mal cet échec, je ne peux le critiquer moi qui n'ai jamais travaillé et vécu à ses crochets, d’ailleurs il ne fait que me le répéter depuis quelques mois lorsqu’il rentre du bar avec son copain JOUI12R
    Ce soir là mon mari et JOUI12R arrive chez nous comme d’habitude, je suis en train de faire à manger dans notre petite cuisine, ils rentrent et s’installent à la table de la cuisine, je fais la bise à JOUI12R qui ne sent pas l’alcool frelaté et une hygiène plus que douteux . Depuis longtemps il me regarde d’un air pervers qui me transperce et me gêne, je baisse les yeux à chaque fois toute rouge.

    _Alors Sarah ça va?? Qu’est ce que tu nous prépares de bon?? hummm j’ai faim, tu as de la chance d’avoir une femme comme elle et en plus belle comme elle est> s’écrie jean d’un sourire narquois.

    _ Ouais ça va, mais bon ce n’est pas non plus un mannequin mais ce qui me manque le plus c’est le fric car en ce moment c’est light question pognon> réplique Yves.

    Je continuais à cuisiner sans rien dire, ils se servaient encore de l’alcool et après plusieurs verres ils commencèrent à chuchoter.

    _ Et question cul elle est comment ta bourgeoise> demande tout doucement JOUI12R

    _ Elle est super bonne, elle fait tout ce que je veux, mais tu sais en ce moment je picole trop et elle ne m’excite plus comme avant > répond yves l’alcool aidant.

    _ Fais gaffe si tu ne l’arroses pas de temps en temps elle va se barrer et cela fait combien de temps que tu ne la baises plus.

    _ Je ne sais plus avec la perte de mon job, l’alcool et le manque de fric je ne sais plus trop: heuu peut être 4 à 5 mois attends….. Sarah cela fait combien de temps que l’on a pas baisé > demande t'il fort en riant.

    _Heuuuuu je ne sais pas mon amour et en plus c’est intime je ne répondrais pas à cette question devant ton copain> je suis rouge de honte et gênée.

    _Ha ça va, ce n’est pas non plus un secret d’état > réponds Yves énervé.

    _Ha haha heureusement quelle fait tout ce que tu lui dis de faire, t'es vraiment un mytho> enchérit JOUI12R et se marrant.
    Yves énervé tape du poing sur la table et me prend par les cheveux. 

    _Tu me fais passer pour un con devant mon pote, alors réponds à ma question et vite>

    Je n’en reviens pas, lui qui n’avait jamais été violent avec moi, juste un peu brute et dominateur dans nos ébats amoureux.
    _Cela fais 6 mois que nous n’avons plus fait l’amour dis je d’une petite voix

    _Et bien voilà: alors JOUI12R tu es content cela fait 6 mois que je ne l'ai pas baisée cette petite chienne, dis que cela te manque, que tu l’aime ma grosse bite.

    Sous l’emprise de l’alcool il avait pété les plombs.

    _Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais je pense qu'elle mérite une fessée, il faut que tu lui montres qui est le maître ici ajoute JOUI12R. 

    Yves se lève et me prend sur ses genoux et me relève ma robe. Protesté ne sert à rien alors je me laisse faire et je reçois une fessée devant JOUI12R qui est aux anges de voir son plan se dérouler comme il l’avait prévu.

    _Ho la belle culotte blanche de grand mère que voici s’exclame JOUI12R devant ce joli scénario.

    J’ai les larmes aux yeux, je viens d’être humiliée par son chéri devant son copain.

    _ J’espère que maintenant tu vas filer droit, allez dépêche toi de nous servir à manger, te corriger ma ouvert l'appétit.

    Je leur sers le dîner sans un mot les yeux rouge ainsi qu’une douleur au postérieur visible au moment où je m’assieds pour manger. Les 2 compères continuent à picoler et en débarrassant la table, je renverse sans faire exprès et surtout à cause du stress de la fessée de tout à heure le verre de vin qui s’écoule sur le pantalon de JOUI12R.

    _Ho en ce moment tu n’en rates pas une, allez nettoie tout cela.

    Je me retrouve aux pieds de JOUI12R, lavant le sol avec une serpillière,JOUI12R me regarde en nettoyant son pantalon et ne cache pas son érection visible à la grosseur dans son pantalon, je fais semblant de ne rien voir et baisse les yeux devant cette scène obscène. J’ai peur que ce repas ne tourne aux cauchemars……… 

     

    Je fais la vaisselle, JOUI12R et mon chéri sont au salon pour le digestif et je l’entends encore se plaindre de notre manque d’argent, c’est alors que JOUI12R mis en marche son plan
    _ tu veux de l’argent j’ai bien une idée mais je ne sais pas si je peux t’en parler 
    _ et bien vas y balance
    _ voilà ta femme elle me fait bander grave, je te donne du pognon pour que je la baise, dis moi combien tu veux
    Yves le regarda d’un air surpris et dit
    _ Et tu aboulerais combien ??
    _ j’ai 50 euro sur moi, ça te va ??
    _ok mais pour cela je vais devoir la chauffer et après tu la sautera, dès que tu entendra le mot <soumise> tu te dessape et tu rapplique sans faire de bruit ni quelle te voie
    Yve se rend à la cuisine, je suis en train d’essuyer la vaisselle et je dis
    _ JOUI12R est parti ??
    _oui chérie tu es belle ce soir, je suis désolé pour la fessée mais cela ma beaucoup excité j’ai envie de toi là maintenant
    _ tu ma humiliée devant ton copain, tu n’aurais pas du, je fais toujours tout ce que tu veux mais là c’est trop Yves
    Il me baisse ma robe et ma culotte et me retourne, je sens ses doigts me pénétrer 
    _ mais tu mouille comme une chienne, cela ta plu que je te dresse devant mon pote
    Il continue de plus en plus vite je n’en peux plus depuis le temps que je n'es pas eue de rapports sexuels, je gémis 
    _ vas y dis le que tu as aimé
    _oui continue prends moi
    -allez dis le
    _oui j’ai aimé que tu me dresse
    _dis le que tu n’es qu’une petite chienne qui aime être dressée par son maitre
    _oui je suis ta chienne prends moi je t’en supplie
    _ dis le que tu es ma soumise et je vais te baiser comme une pute que tu es
    _oui je suis ta soumise criais je fort
    _mets toi à 4 pattes que je te prenne allez grouille toi et ne te retourne pas tu ne dois pas voir ton maitre
    JOUI12R était derrière nous nous regardant le sexe en érection, Yves lui fit signe de venir derrière moi et bien sur je n’avais encore rien compris à ce qui allait m’arriver
    Je sens le sexe de mon chéri rentrer en moi alors que c’était celui de JOUI12R
    _ hummm c’est bon je prends mon pied criais Yves pour masquer cette supercherie
    _ je vais te foutre un doigt dans ton cul en même temps que je te lime sale chienne ajoute Yves
    _ oui je vais jouir fais de moi tout ce que tu veux je t’appartiens haaaaaaaa oui que c’est bon
    Je sentis un crachat tomber sur mon anus
    _laisse toi faire soumise je vais t’enculer, te jouir dans le cul, caresse toi on va jouir ensemble chienne
    Son gland rentre lentement dans mon petit trou assez serré, je crie
    _aie cela fait mal 
    _ caresse toi cela va passer
    J’obéis et la douleur s’efface au plaisir et je jouis comme jamais et je sens le sexe ressortir laissant le sperme couler sur le carrelage et je m’effondre sur le ventre avec des spasmes
    JOUI12R en profite pour s’éclipser sans que je ne vois rien, mon chéri parti au wc et je me rendis dans la salle de bain, une fois toute propre je rejoins Yves qui était dans le lit
    _ cela ta plu dans la cuisine 
    _ oui je l’avoue c’était vraiment bien 
    _ tu sais très bien que tu faites pour être une bonne soumise, c’est dans ta nature alors des à présent je vais te faire jouir qu’en te soumettant à tous mes désirs et c’est un ordre
    J’acquiesça de la tête et je m’endors dans ses bras avec un peu mal aux fesses mais aussi avec une joie que j’avais perdue depuis si longtemps, j’attends avec impatience la prochaine fois 

     

    Le mois passe rapidement, rien n’a changé, mon mari picole toujours autant et je fais mes ménages, au moins lorsqu’il se saoule au bar je suis tranquille alors je m’évade en regardant les soaps de l’après midi, les feux de l’amour et autre feuilleton à l’eau de rose, je rêve que mon mari m’aime, soit romantique mais bon je ne suis pas aussi naïve que vous le pensiez, je sais bien que c’est un ours bourru colérique et violent mais je mets cela sur le compte de l’alcool et oui que voulez vous l’amour rend aveugle….
    Nous sommes vendredi soir, j’entends la porte s’ouvrir, il n’est que 18h30 je suis agréablement surprise enfin un WE qui va commencer sans beuverie du vendredi soir
    _ chéri c’est toi je suis heureuse que tu rentre tôt, tu vas te régaler j’ai fais ton plat préféré
    J’aperçois Yves dans l’encadrement de la porte de la cuisine 
    _Installez vous dans le salon les gars et mettez vous à l’aise
    Je reste bouche bée, qui est ce qu'il a encore ramené comme pochtron à la maison
    _chéri tu peux venir dans la cuisine stp
    Yves est maintenant devant moi, il a l’air pas pété comme un coing, je le trouve même différent presque sobre
    _Qui est-ce encore, j’espère qu’ils ne vont pas rester tard ni à manger
    _ j’ai invité 3 potes pour l'apéro, amène nous à boire dit il d’un ton sec et retourne au salon
    Je prépare l'apéro avec tout qui va bien sur un plateau, je vois 3 types alias pilier de bar que je croise de temps en temps dans la citée. Ils me regardent bizarrement sans rien dire, le silence me gène et ils comprennent que je suis mal à l’aise
    _ donc voila ma femme Sarah, vous l’avez sans doute croiser, c’est une femme exceptionnelle, elle fais très bien à manger et le ménage, c’est une perle rare que j’ai la chance de posséder si je peux m’exprimer ainsi hahahaha
    Mais qu'est ce qu’il lui prend, c’est bien la 1ère fois qu’il me fait des compliments devant ses potes, moi qui d’habitude sert plus de mobilier que de femme à ses yeux et pourquoi rit il en disant tout cela à mon sujet
    _ hahaha que t’es con Yves, pour la posséder tu la possède bien ahahahah s’écrie un invité
    Je ne comprends toujours pas ses sous entendu et cela me rend encore plus mal à l’aise
    _ bon je retourne à mes casseroles maintenant que vous êtes servis donc je ne vais pas vous déranger plus longtemps
    _non reste là j’ai un truc à te montrer me dit Yves en appuyant sur lecture de la télécommande
    La vidéo démarre et je vois un homme prendre en levrette une femme, ce n’est pas d'une grande qualité et soudain je reconnais le visage de  JOUI12R ainsi que ma cuisine. Tout se met en place dans ma tète Yves a filmé avec son téléphone portable sa duperie et l'a graver sur un DVD pour une platine de salon
    Je fis tomber le plateau vide sur le tapis, je resta au milieu du salon les yeux rivés sur l’écran ne sachant pas si je devais hurler ou fuir, comment a t-il pu me faire cela. Yves augmenta le son quand j’hurlais mon orgasme. Quelle honte en plus j’entendais les commentaires des autres
    _ ho putain comme elle prends son pied c’est vraiment une salope de jouir comme cela
    _ t’as raison se faire enculer par un pote devant son mari il faut vraiment être une pute
    Je m’enfuis à la cuisine en pleurs, non je vais me réveiller ce n’est pas réel, je lève la tête Yves est là devant moi et me dis
    _ allez lève toi et va vider les couilles de ces 3 cons
    _ non va te faire foutre, tu mas trompé, tu n’as qu'a aller les vider toi même
    Je reçois une gifle et je sens mon bras être tiré vers le haut
    _je tiens à te souligner que JOUI12R ma pas payer pour te baiser et en plus ta jouis comme jamais
    _mais, mais, mais Yves je croyais que c’était toi et c’est pour cela que j’ai jouis parce que je t’aime 
    _hé bien si tu m’aime lève toi et retourne dans le salon eux aussi mont payé d’avance et c’est ton tour de remplir la marmite ce n’est pas avec tes ménages de merde que l’on va sen sortir, et en plus tu es faites pour être soumise, ma chose, mon objet alors si dans 5 min tu n’y va pas je les rembourse et je te fous dehors, tu ira dormir sous les ponts avec les SDF et là tu te ferras sauter pour rien 
    Yves me laissa ainsi et reparti au salon, il fallait que je fasse vite la raison me disait de fuir et le cœur de rester, et si il avait raison que ma place à ses cotés serait d’être à lui corps et âme. Un sursaut de courage je me lève et je les rejoins au salon
    _ ha enfin on commençait à désespérer soupirent les 3 compères
    _ c’est bien ma chérie tu as fais le bon choix, ne t’inquiète pas je reste là avec vous et si il y a un problème on arrête tout ok les gars !!!
    Yves s’approche de moi et me susurrai à l’oreille 
    _pense que c’est moi si cela peux t’aider, allez ma puce fais le pour nous et on se sortira de cette merde
    Sa présence me rassure un peu, je ne sais pas quoi faire 
    _fous toi à poil crie l’un d’entre eux
    -oui montre nous ta chatte
    Avec ces mois sans sexe je m’étais laissé aller, Yves de me regardait plus donc c’était la foret vierge entre mes cuisses, je devais aller à l’esthéticienne bientôt mais le manque de moyen aidant
    Je me déshabille maladroitement, j’ai honte, j’ai chaud, ils me dévorent des yeux, je tremble, je ne vais pas y arriver.
    Yves vient à ma rescousse, m’enlève ma robe rapidement, décroche mon soutient gorge puis ma culotte, je me retrouve nue au milieu du salon une main sur mes seins et l’autre sur mon intimité poilue
    _ôte tes mais et tourne toi dis Yves
    J’exécute craintive, les autres pervers sont déjà en érection, leur tige à la main 
    _ penche toi devant chacun et écarte tes fesses
    Encore j’ exécute, je me dis quand allant vite tout sera fini rapidement
    _ vous voyez cette belle chatte et son trou du cul, hé bien la prochaine fois vous pourrez y goûter si vous allongé plus de monnaie car aujourd’hui pour 20 euro vous pouvez la toucher et vous faire sucer uniquement
    Quoi il ma vendue pour une somme modique, soudain un se lève et me fais mettre à 4 patte et commence à me tripoter les seins, cet abruti est brusque et me pince un téton, je ne suis pas excitée mes tétons non plus d’ailleurs, il tire dessus je crie, cela à l’air de l’amuser.
    _ho doucement n’abîmer pas la marchandise crie Yves
    Un autre m’enfonce un doigt, je suis sèche, il le sens et lubrifie son doigt avec sa salive, je le sens entrer, il a de gros doigts, un 2ème arrive, j’ai mal, je grimace.
    Le 3ème me fout son sexe sous le nez, il pue, j’ai des hauts de cœur et je sens un autre doigt essayer de rentrer dans mon anus à sec, j’ouvre la bouche pour crier quand le 3ème en profite pour fourrer son sexe dans ma bouche, voila c’est fait j’ai ce goût horrible dans la bouche, instinctivement je ne mords pas mais commence à le sucer, il a raisons mon mari je suis soumise. 1 dans ma bouche, le 2ème qui me triture les seins et le 3ème qui s’excite sur mes 2 trous, je cherche du regard Yves qui filme avec un caméscope qui n’est pas à nous d’ailleurs ; Le 1er jouis dans ma bouche au bout d'une petite minute, je recrache le sperme sur le tapis, quelle conne c’est moi qui va nettoyer après, l’autre lâche enfin mes seins et pointe son gland entre mes lèvres encore maculées de sperme, lui aussi vient rapidement et pour celui-ci je recrache dans main, je commence à améliorer ma technique, je sens un liquide chaud sur mon cul le 3ème n’a même pas pu se retenir heureusement pour moi et a éjaculer sur mon anus, le sperme coule dans ma fente jusqu’à souiller mes poils pubiens.
    Voila c’est fait j’ai fais mon job tout s’est déroulé sans bruit juste mes gémissements de douleurs et les râles de plaisir des autres cons.
    Je me dirige dans la salle d’eau sans leur parler ni les regarder, puis je reste sous la douche pour me purifier, je lâche enfin ma haine je suis en pleurs, je ne sais pas si je pourrais recommencer, tout cela pour 60 euro mais pour uniquement un quart d’heure, cela en représente des ménages. Je prends peur en réalisant que je suis en train de calculer combien cela ferait pour une heure, c’est ce que vaux mon humiliation, mon dégoût, ces actes dégradants et comment vais je réagir la prochaine fois que je les croiserais dans la citée, tout se mélange dans ma tête.
    Yves rentre dans la salle de bain, je suis en train de me sécher, il m'enlace dans ses bras, me dit des mots d’amour et cela me fais quelque chose, il a tant d’emprise sur moi que je ne peux rien lui refuser et il me dit que je suis sa femme, sa Sarah dévouée. 

    Maintenant ma vie chavire entre les activités de la vie banale, les courses le ménage et ma prostitution sous curatelle de mon chéri. Son nouveau jeu il faut que je le suce dans le salon lieu de perdition pendant qu'il regarde mes exploits en vidéo, il me dit des mots grossiers et je dois avaler sa semence. J’ai enfin compris que mon mari aime me voir être humilier et qu’il n’y a qu’ainsi que je l’excite, je sais c’est pathétique mais je l’aime.
    Nous avons encore toujours des dettes mais nous avons stoppé l’hémorragie. Mes petits extras nous permet de vivre, même malgré notre interdit bancaire. Ce liquide net d’impôts paye le quotidien, Yves me rappel que dans la citée beaucoup de gens sont précaires alors il faut faire des petits prix, je suis un peu le LIDL de la bagatelle, on me loue pour un prix modeste. Vous voulez voir les tarifs que Yves a fixer à ce jour (les 50 euro demandés à mes débuts ne ramenaient pas assez de client donc Yves a du baisser les tarifs)
    5 euro la branlette pendant que je me laisse tripoter
    10 euro la fellation nature + 5 euro si j’avale la semence
    20 euro pour me faire culbuter + 10 euro la sodomie
    Le plus souvent je fais des fellations à 15 euro et je me limite à 2 à 3 clients max uniquement l’après midi et soirée, car le matin je n’arrive pas à avaler et j’en profite pour faire mes taches ménagères. J'ai eue beaucoup de mal au début à avaler le sperme, ce goût horrible et cette odeur qui fait penser à l’eau de javel et peut être le savez vous mais le goût du sperme dépend de ce que l’homme mange, alors imaginez le goût de ceux qui mange épicé. Et le sida ou autre maladie pensez vous ??? hé bien oui j’y pense à chaque fois mais Yves me dit que si on leur fait mettre des capotes ils partirons, alors je fais confiance à mon mari car c’est lui qui les sélectionne en prenant que des hommes de la citée qu’il connaît, qui ne se drogue pas afin de limiter tout risques.
    Je deviens leur femme soumise et docile qui ne refuse aucun de leur fantasme pendant le moment qu’il paye et comme je suis stérile je ne risque pas de tomber enceinte.
    Il est 15h mon 1er client de la journée arrive, il a la cinquantaine petit trapu moche, pour l’instant je n’es pas encore eu d’apollon comme client bien au contraire, je suis devenue qu’un objet de plaisir à bas coût dans un quartier populaire. Yves est absent car c’est un habitué, mon mari reste présent que lorsque c’est un nouveau client pour plus de sécurité.
    Je l’emmène donc dans le salon, unique lieu de perversité et peut être aussi la cuisine, de plus ils viennent pour se vider alors ils se foutent de la pièce où ils sont. Je m’assois sur le canapé et il se met devant moi ouvre sa braguette et sort son sexe, je lui demande s'il veut que je lui lave son pénis avant
    - Non tu vas me le laver quand il sera dans ta bouche de salope »
    Je ne répond pas et ouvre la bouche docilement, le client est toujours roi dirais Yves, je sens son gland frotter sur ma langue dégageant un goût d’urine et de transpiration, je le suce du mieux que je peux pour que cela passe plus vite, je me force, j’imagine que c’est le sexe de mon mari dans ma bouche et au bout de quelques longues minutes je sens qu’il va jouir.
    - Oui c’est bon continue salope haaaa avale toute la purée…… »
    Je sens ma bouche se remplir d’un liquide épais, je rassemble toute sa semence dans ma bouche pour pouvoir l’avaler d’un trait et en priant que le goût passe rapidement. Je dégluti et ouvre ma bouche pour preuve que j’ai respecté le contrat. Il me sourit et me tapota la tête.
    - Bonne petite chienne comme d’habitude je dirais à Yves que tu as encore bien travaillé, je reviendrais 
    J’avais oublié de vous dire que le client doit faire part de chacune de mes prestations à mon mari et également je dois lui raconter en détails ce que j’ai ressenti lorsqu’il n’est pas présent.
    Revenons à nos moutons, je lui sourie, il me donne l’appoint soit 15 euro en petite monnaie, on aurait dit qu’il avait fait les troncs d’église avant de venir mais tout argent est bon à prendre surtout que je l’ai bien mérité à la sueur de ma bouche, je le raccompagne à la porte il en profite pour me peloter les fesses
    - Hum la prochaine fois je prendrais la totale, tu vas aimer ma jolie »
    - J’attends cela avec impatience mon chou « je lui réponds en souriant
    « Tu parle je préfère 1000 fois te sucer plutôt que sentir ta queue toute vieille dans ma petite foufoune toute sèche espèce de gros porc « me dis-je dans ma tête.
    Yves refuse que les clients le paye directement pour des raisons pénales il ne veut pas tomber comme proxo, c’est à moi d’encaisser et toujours après la prestation, au moins il sait que je vais m’appliquer pour être payé.
    Mon prochain client est dans une demi-heure, j’en profite pour me rincer la bouche, aérer la pièce et me refaire une beauté. La sonnette retenti et encore le même refrain mec pas beau, direction salon, j’ouvre ma bouche, j’avale, il me paye et se casse, moi qui n’avait vu qu’une seule bite en 20 ans me voila maintenant experte en zizi comme dans la chanson de Pierre Perret.
    Mon dernier client de la journée, j’ai mal à la mâchoire à force de le sucer et j’ai envie de vomir vous comprenez pourquoi, enfin il se vide le bougre il me rempli la bouche, j’ai de plus en plus de mal à avaler, je triche je recrache une partie discrètement dans la paume de ma main, que j’essaye d’essuyer sur le tapis discrètement. D’ailleurs je ne comprendrais jamais les hommes, qu’est ce que cela peut leur faire si oui ou non on avale leur sperme lorsqu’ils ont déjà joui. Il se rhabille je lui souris comme une conne il me paye enfin « dégage de chez moi » criais je dans ma tête
    - Merci et à bientôt j’espère »
    - On verra tu crois que je ne t’es pas vu recracher mon sperme tu me déçois ma petite »
    - Ne dites rien à Yves je vous en prie il ne comprendrait pas » 
    Il passe sa main sur ma joue et dit :
    - Ne dis rien à ton Yve et je ferais pareil » 
    Il claque la porte et disparaît dans le couloir, je m’empresse de nettoyer les indices sur le tapis et je repars dans la vie courante.
    3 jours ont déjà passés, cet après midi je n’es aucun client de prévu, Yves est parti au bar depuis un bon moment, je m’apprête à aller faire un tour dans le parc en ville, la bas personne me connait et encore moins mes activités, quand soudain la porte s’ouvre et je vois Yves en compagnie de mon dernier client de il y a 3 jours
    - Où vas-tu Sarah » me dit-il d’un ton autoritaire avec une haleine alcoolisée
    - Au parc tu le sais bien je t’en ai parlé à midi »
    - Lorsque je t’ai demandé le rapport d’il y a 3 jours, tu ma certifié que tout s’était bien passe et là je croise notre fidèle client et il m’apprend que tu as essayé de l’arnaquer »
    Je viens de comprendre que cet enfoiré m’a tendu un piège, je ne sais pas quoi dire, alors je décide de dire la vérité
    - Oui c’est exact Yves pardonne moi »
    - Tu me prends pour un con, je passe pour qui devant les autres, je vais t’apprendre moi à respecter les règles »
    Il vient vers moi me pousse en avant je me retrouve à 4 pattes dans le couloir, il remonte ma jupe et descend mon tangua, l’autre n’en perd pas une miette, je sais que protester ne servira à rien alors j’attends ma correction sans un mot, j’ai honte, j’ai chaud, je ne me sens pas bien.
    - Tu peux lui faire tout ce que tu pour 20 euro, c’est un cadeau de la maison »
    Il ne se fit pas prier, me voir ainsi l’avait déjà fortement excité, j’entends sa braguette s’ouvrir, un crachat comme lubrifiant et je sens son gland à l’entré de mon intimité, il me l’enfonce d’un coup sec, je crie ,il continue de plus belle il me laboure, je serre les dents. Après quelques va et vient dans mon vagin, il se retire, je suis soulagé il a déjà fini je pense, soudain je sens son doigt forcer mon petit trou à sec, j’essaye de me dégager en lui criant dessus, une gifle me rabat le caquet.
    - Ferme la, si tu en es là c’est de ta faute alors assume et que cela te serve de leçon » me cria Yves en me tenant la tête, l’autre voyant tous les feux au vert s’empresse de me mettre son gros pouce, je suis encore un peu serré à cet endroit, il s’amuse avec chacun de ses doigts, j’ai très mal surtout qu’il a réussi à enfoncer 2 de ses gros doigts, je sers les poings.
    - Je suis en train de te faire le passage pour ma grosse bite, tu ne vas pas pouvoir t’assoir pendant quelques heures hahahahahaha »
    Il retire enfin ses doigts pour y placer avec un crachat son gros gland sur ma rondelle meurtrie, il pousse de toute ses forces, je crie si fort que les voisins ont du appeler le SAMU, il me ceinture, son sexe est tout entier dans mes boyaux et il commence à me ramoner avec virulence, ça brûle c’est horrible, des larmes coulent de mes joues, je suis certaine qu’il ma déchirée, je me vois déjà aux urgences, je me mords les lèvres pour ne pas crier, j’étouffe mes cris puis vient la délivrance il gicle dans mes entrailles avec un long râle de plaisir, le mien arrive lorsqu’il se retire, je reste là affalé sur le sol le cul en bombe, le trou béant.
    - Tu vois là tu n’as pas triché et tu m’as donné ce que je voulais, t’es trop bonne » me dit il en partant, la porte se referme et j’en profite pour ouvrir les yeux, je vois Yves en train de me filmer sous tous les angles.
    Il me montre le sol avec son doigt et me dit :
    - La prochaine fois que tu me mentiras ce sera la même punition et je te ferais nettoyer le sol avec ta langue »
    Je me relève avec beaucoup de mal, je vois une flaque de sperme et de matière fécale, il s’est bien vidé le salaud et moi aussi apparemment, je laisse le sol ainsi, ce n’est pas de moi qui suis super maniaque, mais là j’ai du mal à rester debout, je me dirige vers la salle d’eau, une bonne douche me requinquera.
    De cette épreuve j’en tire une bonne leçon, il est temps de le quitter et partir faire ma vie. 
    Mon chéri est reparti à son endroit préféré, j’en profite pour prendre mes affaires, mes papiers, mes bijoux et surtout mes économies que j’avais heureusement gardées en cas de coup dur.
    Je descends vite les escaliers, je regarde partout s’il n’est pas dans les parages. Enfin le bus arrive, je m’installe à son bord et je regarde cette citée perverse s’éloigner en me disant « voilà ma fille maintenant tu es libre, direction paris pour refaire ta vie » 

     

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  • Cette histoire commence comme une histoire d’amour, mais …. Pourquoi n’en serait ce pas une après tout! 
    Prés de chez nous coule une rivière, à cette saison son niveau à fortement baissé, ce week-end au cours d’une balade, au bout d’un petit chemin entre des champs de maïs, avec mon mari nous y avons découvert un endroit sublime, bien à l’abri des regards, une petite clairière borde la rivière, nous avons fait l’amour longtemps, sublimement, allongée sur une pierre plate, par égard à mon confort, à moitiée recouverte d’eau qui tombe en cascade, je me suis empalée sur lui, tantôt assise, tantôt couchée pour profiter de la vivacité du courant sur mes seins, puis nous avons lézardés au soleil …..
    Aujourd’hui, revenue seule au même endroit, je suis allongée nue sur cette même pierre repensant à la veille, une main entre les cuisses je me masturbe, ma chatte est aussi mouillée à l’intérieur qu’à l’extérieur, mais pas par le même liquide!
    Soudain, des aboiements qui se rapprochent très vite, et qui dit aboiements dit maître ….vite, je sors de l’eau, j’ai juste le temps de me cacher derrière un arbre pour voir débouler deux superbes berger allemand, ils ont tellement soif qu’ils ne m’ont même pas senti! mais toujours pas de maître, ils sont seuls… sûrement une fugue, je connais bien ces animaux là, quand j’avais douze ans mon grand père en avait un couple qui m’a laissé bien de souvenirs, ils doivent avoir à peine plus d’un an, deux beaux mâles, je suis très attirée par cette race, mon mari connaît mon amour pour eux, il m’a toujours promis qu’il m’en offrirait un mais j’attend encore! 
    Bon, je ne vais pas rester là tout l’après midi! À peine ai-je fait un pas en direction de ma serviette posée au sol avec mes habits qu’ils sortent de l’eau, s’ébrouent, et viennent vers moi en remuant la queue leur regard est amical, rieur, d’ailleurs l’un d’eux s’assied à mes pieds et me tend la patte, je me baisse pour la lui prendre et lui caresser la tête quand l’autre passe derrière moi et pose sa truffe glacée juste entre mes fesses, ma masturbation récente doit y être pour quelque chose je dois dégager des phéromones …. Surprise par le contact, au lieu de me lever je me baisse et perd l’équilibre, me voilà les quatre fers en l’air sur ma serviette, le premier profite de ma position pour lui aussi poser son museau juste sur ma motte suintante de mouille, d’un seul coup de langue voilà mon abricot ouvert en deux, mon clitoris sortis de son capuchon par la langue râpeuse, provoque une onde électrique dans tout mon corps. 
    Deuxième mauvais réflex, mais n’est il pas volontaire?.... je replie mes genoux et les écartent au lieu de les resserrer, un souffle puissant et la langue s’introduit au plus profond de mon vagin ….. Mon dieu que c’est bon. …..Tantôt roulée et dure, elle me pénètre tel un pénis, très loin, tantôt souple elle ramène mes sécrétions épaisses fouillant les moindres replis de ma moule.
    Une impression de chaleur au dessus de moi me fait ouvrir les yeux, le ventre de l’autre mâle est là sa verge rose pointue dépasse de la gaine velue, il semble attendre que ma main la saisisse.
    J’appuie mes talons prés de mes fesses, et tend mon bassin vers le museau gourmand je prends la gaine velue à pleine main et retrousse pour faire apparaître la queue animale qui grossit à vue d’œil, devient violacée, effilée à la pointe, elle devient énorme, veineuse au milieu pour s’affiner vers la base, et les ‘boules’? trop tard pour les sortir! elles sont énormes il faut mes deux mains pour les envelopper. 
    Tandis que celui qui fouille toujours ma chatte minutieusement, je branle la bite poisseuse, j’hésite à la sucer car une forte odeur d’urine plane alors je me contente de masturber ce qui semble contenter le chien car il baisse son ventre vers moi, et …. Si je me la mettais dans la chatte ??.......je resserre les cuisses obligeant celui qui me lèche à se retirer, je me redresse tremblante d’émotion ….
    - Coucher le chien!
    Docile celui-ci se couche, immédiatement je lui mets la main au paquet alors il se met carrément sur le dos, je l’enjambe …il me regarde anxieux
    - Là … çà va aller petit ne bouge pas…… 
    Cette tige pointue me fascine, lentement je me baisse maintenant le fourreau poilu en bas du ventre, une queue de dix huit centimètres, aussi grosse que celle de mon mari devient violacée les protubérances gonflées restent à l’intérieur, pas de risque majeur ….aller courage … elle est très raide, c’est vrai que les chiens possèdent un cartilage au centre, Ouiiiii! Je suis enfilée!! Lentement je monte et descends savourant cet accouplement contre nature, soudain un premier jet jaillit puissamment dans ma matrice suivit de nombreux autres, çà coule abondamment hors de ma chatte …soudain, les chiens dressent l’oreille, se regardent, je suis éjectée vigoureusement et ils détalent aussi vite qu’ils sont arrivés, les sens exacerbés je m’allonge, est-ce bien réel ce qui vient de se passer? Mon ventre inondé est là pour attester, les animaux ont du percevoir un sifflet ultrason, quel dommage j’étais prête à tester plus longtemps …..
    Je reviens à la maison encore sous le choc, pour l’instant je vais cacher cette aventure à mon mari, au moment de prendre ma douche je me rends compte que j’ai oublié mon slip sur l’herbe! une fois lavée je revêts une simple nuisette, il faut que mon mari éteigne l’incendie qui ronge ma moule, dés son arrivée il est un peu étonné de me voir à demi nue tournant autour de lui comme une guêpe.
    - Tu es allée à la rivière cet aprèm?
    - Oui chéri pourquoi?…
    - Tu as fait une rencontre ?
    - ….. Non voyons! Pourquoi cette question?
    - Parce que quand tu te fais chatte comme çà c’est que tu as très envie de te faire sauter! J’ai bien dis ‘sauter’ pas de faire l’amour!
    - Tu as bien deviné chéri, ce soir j’ai envie d’être ta chienne que tu me défonce sans préliminaires comme une salope!
    Immédiatement je vois une bosse se former dans son pantalon, en deux secondes il est à poil la bitte tendue vers moi. 
    - A quatre pattes chienne tu va voir ce que tu va voir…. bien cambrée, plus que çà …voilà ….salope ta chatte est toute ouverte, çà suinte? On dirait que tu t’es faite baisée tout l’après midi! …..TIENNNNNN! 
    - HAAAAAAAA! OUI va y défonce moi!!! 
    Il me cramponne par les hanches et me bourre le fourreau à grand coups de reins, mes seins ballottent en tout sens, la tête sur mes avant bras je savoure le plaisir et la douleur mélangés en pensant à ce que les chiens auraient pus me faire ….
    Je jouis sans retenue et quand il me saisit par les cheveux pour me tirer à lui pendant qu’il se vide les couilles dures collées à mes lèvres, j’hurle 
    - OUI JE SUIS UNE CHIENNE !!!!!!!
    Et nous nous effondrons tous les deux! Çà a été du rapide mais extrêmement intense, quelques minutes plus tard ….
    - Dis moi chérie, c’est bizarre que tu insiste vouloir être une chienne, justement ces jours ci je pensais à ton ‘cher fantasme’ et j’ai téléchargé une vidéo zoophile, tu veux que nous la regardions ensemble?
    - Ho oui! Fais moi voir! …c’est vrai qu’une femme peut restée collée à un chien?? C’est un berger allemand sur ta vidéo?
    - Bien sur, c’est un berger, mais c’est dangereux de laisser entrer les protubérances, si l’animal prend peur il peut arracher tout le système vaginal de la femme, et tu ne le verras pas sur la vidéo, qui est purement commerciale, mais c’est à voir!
    Assise devant l’écran je ne peux m’empêcher de me toucher tout en regardant bien la position de la femme bien cambrée, la bête l’enserre au niveau des hanches et pilonne vigoureusement un peu au hasard puis enfin il trouve la faille, la femme ouvre grand la bouche, il est bien entré là ou il faut! je passe une main… mon mari bande à nouveau!
    - Chérie j’ai encore envie, mais plus lentement cette fois ci!
    - Moi aussi je suis apaisée mais très excitée! fait moi l’amour !............
    Toute la nuit j’y ai pensé, et s’ils étaient là encore demain?, oui je vais y aller ne serait-ce que pour récupérer mon slip et advienne ce que pourras …….. 

     

    Le lendemain fébrile comme une collégienne qui va à son premier rencard je me précipite à la clairière, cette fois je ne me suis pas encombrée de slip, j’ai bien l’intention de faire tout ce qu’il faut pour me faire sauter rapidement car à la rapidité ou ils bandent, pas de préliminaires! Là ou pas là? 
    OUI! Ils sont là allongés, le museau sur ma petite culotte, bien malin qui pourrait s’en emparer à part moi! Ils se lèvent pour venir me faire la fête tournant autour de moi en poussant des jappements aigus, sans perdre de temps ma robe passe par-dessus ma tête, me voici nue les pieds écartés, légèrement fléchie, ma motte déjà humide offerte, c’est auquel viendra poser le premier sa truffe entre mes jambes je suis obligée de les calmer, je suis sure que ces animaux n’ont jamais étés à la femelle. 
    - Allons mes petits doucement, calmez-vous! Toi, couché! tout à l’heure tu y auras droit.
    Docile le chien dont j’ignore le nom se couche
    - Allez lèche maman mon chéri…. sens comme elle sent bon. 
    De mes deux mains je m’écarte les grandes lèvres suintantes, aussitôt la langue généreuse pénètre ma caverne. 
    - Bien….. Attends maman va se mettre en position et tu vas lui monter dessus ……
    A quatre pattes, bien cambrée, il retrouve le chemin de ma chatte avec son museau, un nouveau léchage intense, mon cœur bas à mille à l’heure, je suis folle de faire çà seule ….
    - Aller hop! Monte sur moi! Aller!!
    Le chien ne comprend pas il tourne autour de moi en glapissant, sa bitte commence à dépasser du fourreau il est plus que temps, je me tape sur les fesses. 
    - Aller vas y monte là ici là!
    CA Y EST! Ses deux pattes avant viennent enserrer mes hanches non sans m’érafler au passage, mais j’oublie la douleur, il donne des coups puissants au hasard, sa pine tape n’importe où, il faut que je le guide ….je tends la main … voilà je la tiens, la positionne en face ma fente ….
    - AIE! Doucement sauvage!
    Ça y est! Je suis enfilée! Il donne de violents coups rapides, maintenant il faut que ses ‘boules’ entre …….je les sens là à l’entrée ……
    - Pousse petit pousse encore!!!
    Comme s’il m’avait comprise d’un coup plus fort que les autres les protubérances sont en mon… mon dieu qu’ai-je fait! çà gonfle à une rapidité terrible repoussant mes chairs, je suis envahie, remplie, comblée, enfin le manque de place le calme il ne bouge pratiquement plus, heureusement car mes hanches ont bien dérouillées! 
    C’est terrible comme impression …. Me voici collée au chien, les jets puissants déferlent ajoutant la sensation de gonflement, soudain l’animal d’un bond souple passe au dessus de moi, nous voilà cul à cul, des images de mes douze ans repassent, je revois les chiens de mon grand père collés, je me demandais comment cela était possible, maintenant je le sais!! Je suis véritablement une chienne!!
    L’autre animal regarde la scène d’un air étonné, mon utérus n’en finit pas de gonfler de ce liquide qui doit inséminer directement la chienne par pression tellement l’étanchéité est bonne, pas une goutte ne fuit de mon vagin. 
    La seule chose que je regrette c’est de ne pas me voir attelée ainsi! combien de temps encore?? A chaque giclée son appareil génital fait des bonds dans mon ventre, je n’ose pas bouger, le chien halète, il doit être aussi surpris que moi de se retrouver dans cette position!!
    Enfin le déferlement de sperme se calme la bête essaie de se dégager, j’ai la trouille? Il me semble qu’il va m’arracher les entrailles……
    Le deuxième chien sent qu’il va se passer quelque chose, nerveux il tourne autour de nous la langue pendante ……
    Et soudain: FLOP! Sous le choc j’ai piqué du nez, je suis libérée, un torrent n’en finit pas de fuir de ma chatte, je vois le chien sur le coté l’air penaud lécher sous lui une bitte encore monstrueuse encore suintante, est-ce possible que tout ceci était en moi??
    MON DIEU!! J’en ai oublié l’autre chien! Trop tard le voici sur moi me gratifiant au passage de nouvelles griffures, ma chatte béante l’accueille du premier coup, non, ce n’est pas vrai!! Je suis à nouveau enfilée totalement, les boules se dilatent, c’est fait! Je suis à nouveau collée pour une deuxième saillie, de plus il est mieux monté que son frère! Mon fourreau s’allonge davantage et à l’entrée du vagin je suis compressée à l’extrême, mes muqueuses mises à vif la première fois ressentent le moindre mouvement, cette fois je vais jouir …..Surtout pas de cris qui pourraient l’affoler ….Je me mord les lèvres tandis qu’il déverse en moi son litre de foutre, ma moule se contacte sur ce monstre de chair qui lui aussi bouge fortement. 
    Ma tête reposée sur mes avants bras, à demi inconsciente, il ne me reste plus qu’à attendre que la bête débande.
    Enfin un bruit obscène d’un évier qu’on débouche et toute la sauce tombe sur ma serviette! Cette fois je me recroqueville! les deux animaux se regardent l’air satisfait de leur bonne fortune, puis détale me laissant faire un minimum de toilette avant d’enfiler ma robe, ma chatte est toute déformée! J’espère qu’elle va rependre une forme ‘humaine’ rapidement!
    Cette fois je ne vais pas jouer les vamps devant mon mari car à la douche je m’aperçois que j’ai de larges zébrures sur les flancs, comment vais-je expliquer cela ???????
    Au moment du coucher j’essaie de raser les murs …..
    - Fait voir?........ Qu’est ce que c’est? tu t’es griffée? 
    - Euuuhh …. Oui à une branche ….
    - A une branche? exactement au même endroit des deux cotés? Tu te fous de moi?, aller dis moi tout tu t’es faite agressée?
    - tu jures de ne pas te fâcher?
    - Parle, nous verrons après …
    - Hé bien voilà je vais tout te dire …. Hier à la rivière, deux bergers allemand m’ont surprise et je suis tombée à la renverse, ils m’ont sentie ….et je les ai laissé me lécher …. Je me suis même assise sur la pine d’un des deux, il bandait tellement ….
    - AH! Je comprends mieux tes chaleurs d’hier soir! Mais çà n’explique pas tes éraflures.
    Je remarque qu’une bosse se forme à sa braguette, çà m’encourage à avouer ….. 
    - j’y suis revenue aujourd’hui car j’y avais oubliée ma petite culotte 
    - Comme par hasard!
    - Pourtant c’est vrai, bon ne m’interromps plus ce n’est pas facile …..Ils étaient là …. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais j’ai eue envie d’essayer 
    - D’essayer?
    - Oui! De me faire prendre 
    - Et ….. Tu a réussi??
    J’ai gagné! Il bande à mort maintenant! J’y vais franco 
    - La preuve, c’est à cause de çà les estafilades ….je…
    - Attend! Déshabille toi chérie regarde dans quel état tu m’as mis tu va me raconter pendant que je vais te baiser. 
    Écartelée sur le lit en missionnaire je me laisse enfiler avant de continuer, sa queue fait des bonds énormes dans ma chatte. 
    - Va-y mon amour, la suite …tu as encore de son sperme dans la chatte?
    - oui, Y’en a un qui m’a léchée, alors avant qu’il ne bande trop je me suis mise à quatre pattes, il a vite compris malgré que çà devait être la première fois pour lui, il m’a sauté sur le dos en me griffant, sa bitte tapait au hasard alors je l’ai guidé et ….. Il m’a tout mis, les boules aussi
    - Salope! Tu t’es faite saillir par un chien …..HO putain que c’est bon! Tu es restée collée?
    - Oui chéri un bon moment, il m’a remplie d’une quantité incroyable de sa sauce 
    - AAAAAAAHHHHH, je jouiiiiiiiiiiiiii!!!!!! 
    Pendant qu’il reprend ses esprits je continue mon récit. 
    - Ce n’est pas tout….. Avant que je n'ai eu le temps de me relever le deuxième m'a prise lui aussi, je me suis faite bourrée par deux chiens cet après midi mon amour, c’était divin ……
    - Oh putain que j’aurais voulus être là ….
    - …… Si tu veux on peut aller voir s’ils sont encore là demain ……..Je le ferais devant toi ….
    - C’est vrai tu ferais çà? oh oui je pourrais filmer….
    - OUIIIIIIIIII! Baise moi encore chéri mélange ton foutre à celui de mes amants!!!
    - N’empêche que tu as pris un gros risque, tu es folle d’avoir fait çà! 

     

    Toute la nuit j’ai prié pour qu’ils soient au rendez vous…. mon mari est plus excité que moi! caméscope à la main nous entrons dans la clairière……. oui! Ils sont là! Mais chacun d’eux à un bout de corde rongée autour du cou, ils devaient être attachés et ont rongés la corde pour s’enfuir ……
    - Bonjour mes chéris! qui vous a fait çà? Venez me voir je vais ôter cette corde….
    Il grogne mon époux qui s’est approché, pas de doute je suis leur chienne, leur propriété.
    - Reste un peu à l’ écart chéri commence à filmer je me prépare 
    La serviette étendue j’ôte ma robe sous laquelle je suis nue, aussitôt les deux chiens approchent leurs museaux de ma fente qui mouille déjà bien qu’elle soit encore gonflée de la veille 
    - Du calme les chiens! Maman va s’allonger, toi tu te couches, et toi viens sens … hummmm çà sent bon hein? Aller fait jouir ta chienne!
    J’ai choisi de retenir celui qui va me saillir car si je le laisse bander avant il ne pourra pas me prendre correctement c'est-à-dire rester collée 
    Que c’est bon une langue de chien, rien à voir avec un humain, mon mari à ôté son pantalon pour pouvoir se branler tout en manipulant le caméscope 
    Estimant que je suis assez dilatée je resserre les cuisses la bête se retire à regret. 
    - Coucher! Pas bouger!
    Le temps de me mettre à quatre pattes et que mon mari jette une serviette sur mes reins afin de ne pas être à nouveau griffée. 
    - Aller viens, viens baiser maman ….
    Le second chien se lève frétillant de la queue très vite son museau se colle à ma moule et lèche, sent, respire à grands coups. 
    - Aller petit monte ….
    Je me cambre attendant l’assaut, l’animal bondit sur moi pour me saillir quand une voix tonitruante s’élève derrière nous. 
    - MONSIEUR ET MADAME ‘D’, ÇÀ ALORS! si on m’avait dit!!!! Alors c’est à vous que je dois tout ce foutoir! 
    Mon dieu! C’est un riverain du coin, imposant par sa propriété, sa voiture, son embonpoint et …. Aussi par la queue imposante bandée, encore suintante de sperme qui dépasse de sa braguette!
    - Monsieur ‘V ’ce n’est pas ce que vous croyez, je vais vous expliquer …
    - M’expliquer? M’expliquer pourquoi je ne peux plus tenir mes chiens au chenil? Pourquoi madame se fait lécher par mes bêtes? Et probablement que si je n’étais pas intervenu elle se serait faite baiser? M’expliquer pourquoi ils essaient depuis deux jours de sauter ma coch*nne? ce matin je les ai suivis je savais qu’ils venaient par ici mais j’étais loin de me douter pourquoi! Alors? J’attends! et inutile de vous cacher madame je vous ai vue dans les moindres détails!
    - Euuuuuh oui évidement mais ….
    - MAIS? Mais je vais déposer plainte pour maltraitance sur animaux, et aussi réclamer des dommages et intérêts parce ces chiens là ne voudrons plus aller avec une chienne, une vraie! Et je comptais sur eux pour saillir des femelles de concours !alors?
    Que faire mon dieu?, je dois tenter quelque chose, les bras écartés la paume des mains ouverte, laissant ma pudeur de coté je m’adresse à ce monstre 
    - Je vous en prie monsieur ne faites pas ça on peut sans doute s’arranger? ….
    - AH! Tien que proposez vous madame ?
    - Faites de moi ce que vous voulez ……
    - Tu es folle chérie? Qu’est ce qui te prend?
    - Chéri, tu te souviens de ton fantasme? Ou tu regarderais volontiers un homme bien membré me baiser? de plus tu filmes!
    - Euuuh, oui, c’est vrai mais ……
    - Monsieur? Je suis à vous….
    Je sens que je tiens le bon bout si je puis dire, l’homme bande de plus belle en se manipulant la manthule. 
    - EH! EH! Voyon ……. bon, mais êtes vous prête à vous faire monter par un chien après? J’aimerais assister à çà! et promis j’oublie tout!
    - Merci monsieur merci beaucoup... Comment…. voulez vous?
    - Comme vous étiez quand je suis arrivé! En levrette j’adore çà!
    Mon mari réticent au début bande comme un âne, bien cambrée j’attends que cet étalon vienne me monter. 
    - Putain quelle croupe! Houa la chatte baille, dites moi vous êtes restée collées avec les chiens?
    - Oui! 
    - Vous vous êtes fait les deux?
    - Oui! 
    - A voir les marques qu’ils vous ont fait je m’en doutais!! Ah la salope! Voilà ma queue madame…. vous ne resterez pas collée mais je vous promets une belle saillie!!!!
    - Baisez moi qu’on en finisse. 
    Ses deux mains puissantes enserrent mes fesses son gland écarte mes chairs encore gonflées et à vif de la veille, son mat se plante dans ma matrice écartant celle-ci encore plus que ne l’ont fait ses bêtes 
    - Chapeau, elle est serrée votre femme dite donc je vous envie!! Aller, j’accélère qu’on en finisse comme elle dit!
    - Chéri …. OOOOHHHHH, excuse moi il me fait du bien je vais crier …. AAAAAAAHHHHH approche je vais te sucer en même temps … OUIIIIIIIIIIIIIII ? FILME CHERI FIIIIIILLME !!!!!!!! Je jouiiiiiiiiiie aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh quelle queue !!!!!!!!
    À demi-cosnciente j’entends les chiens aboyer, les pauvres voient leur femelle prise par leur maître et çà ne leurs plaît pas du tout!!
    A chaque poussées les couilles énormes s’écrasent sur mon clitoris, dommage qu’il ne puisse pas les rentrer je resterais sûrement collée!!
    - Attention madame D je vais décharger …… OOOOOOOOOOHHHHHH PUTAIN !!!!!!!!!!! AAAAAAAHHHHH çà c’est boooooooooonnnnnn,………….. y’a pas à dire changer de femme pour une plus jeune c’est bon!!!!!
    Un torrent de foutre épais coule à l’intérieur de mes cuisses et tombe en paquets sur la serviette 
    - Merci monsieur D, elle est bonne votre nana!! Restez comme çà, les chiens vont vous nettoyer, lequel voulez vous pour vous monter??
    - Euuuh celui là …. 
    - Yago? L’autre c’est Yoga! Bon choix ce doit être le mieux monté!!... Yago? Viens ma bête viens lécher la dame! 
    - Chéri jette l’autre serviette sur mes reins, vite ……Yago? Monte sur maman …….viens mon chien chien!!
    L’animal pousse un cri aigu et lestement vient me recouvrir, très vite la queue pointue trouve la faille largement ouverte et graissée par son maître les va et vient que j’adore me secouent puis les protubérances finissent de m’élargir le col, encore quelques mouvement du bassin et … voilà je suis à nouveau prise!!!! Le maître vocifère de joie, poussant des ‘putain de putain ‘ à tout va en soufflant comme un bœuf! qu’est ce que çà va être quand son chien va se retourner!!!
    - HOUA!! Y’a pas! faut que je fasse faire çà à la patronne! combien de temps çà dure?
    - Oh un bon quart d’heure. 
    - Pauvre bète il tire une de ces langues!! Est-ce qu’elle les a sucés?
    - Je ne crois pas mais ils sentaient trop fort de la queue! Vous allez voir quand ils vont se décoller tout ce qu’il lui a injecté dans la chatte….
    Effectivement en même temps que le ‘floc’ final une averse de sperme incolore tombe sur la serviette sous l’œil médusé de l’agriculteur. 
    - Quel après midi! quelle partie de cul!! Vous savez quoi? Et bien si vous voulez je vous donne Yago pour le plaisir de madame! de toute façon ils ne voudront plus monter une chienne, je veux dire une vraie!! L’autre je vais l’offrir à ma femme… je sais qu’elle en a envie mais elle ne sait pas comment s’y prendre … vous seriez d’accord à lui donner des conseils madame?
    - Avec plaisir! Et merci pour Yago! On le prend hein chéri?
    - Ai-je le droit de dire non?!! Mais a une condition: pas trop souvent, disons, une fois par mois et devant moi Ok?
    - OK!! MERCI! Yago viens voir maman, on rentre à la maison !! 

     

    Une fois par mois? Je ne peux pas…. En douce, je me fais sauter une fois par semaine à l’insu de mon mari qui es un peu jaloux du plaisir que je prends avec l’animal, c’est un amant merveilleux! je l’ai dressé à ne pas mettre le museau à l’entre jambe des femmes qui nous rendent visite à la maison, par contre l’ancien propriétaire a fondé un club, des femmes en manque de sensations viennent se faire sauter par le frère de Yago, il m’a même prise comme coach pour conseiller et initier les nouvelles venues! Et a l’occasion j’entretiens de bonnes ‘relations ‘ avec Yoga!!
    C’est une merveilleuse histoire d’amour avec Yago et j’aimerais bien me confier à quelqu'un… Sandra? C’est la seule copine qui est capable de garder un secret……
    - Allo, Sandra tu peux venir cet après midi? 
    - Oui, que ce passe t'il?
    - Rien de grave rassure toi au contraire …
    - Que de mystère… bon je viens tu parles!!
    Quelques heures plus tard. 
    - Bonjour, alors raconte vite ma chérie. 
    Dans la cuisine dont la porte est fermée Yago aboie
    - Tiens! Tu as un chien??
    - Euuuh… oui….. Un chien!
    - Ah depuis que tu en voulais un, mais …… c’est pour la garde?
    - Non …. Je …. Euuuuuh, attend je le fait entrer... Yago vient, sage la bête sage….. pas bouger.
    - Il est dressé?
    - Euh oui.
    - A quoi? À tuer? Attaquer?
    - T’es folle?!!
    - Ben à quoi?
    - Je dirais à sauter…
    - Ah! Et à combien il saute? Un mètre? Deux mètres? 
    - Moins que çà….
    - bon, tu parles à la fin!!
    - Souvient toi un jour tu m’avais dit que si l’occasion se présentait tu essaierais volontiers. 
    - Je ne vois pas …
    - Assieds toi Sandra, relève ta jupe, çà va te revenir … Yago? Va sentir ……
    - OOOOHHHHH!!!! Il me met le nez à la chatte!!!! NON!!! Tu veux dire que ……c’est çà ton secret!! C’est vrai maintenant çà me revient, alors tu veux dire que … tu te fais sauter par lui?
    - Avance-toi sur le bord et écarte ta culotte ….tu va comprendre 
    - HOUA! Il m’enfonce sa langue…. Ou …. Vas-y le chien, c’est booooonnnnnnn ……je mouille! attends Yago je vais ôter mon string!
    Sandra se met debout Yago la saisie à la taille et mime le coït sur sa jambe ….
    - Hé! Le chien!! Il veut me sauter? Tu te fais prendre? C’est çà?
    - Tu as tout compris, je ne pouvais pas garder çà pour moi alors j’ai voulus me confier, ai-je eu tord?
    - Ma chérie si tu m’as fait venir tu sais que tu peux avoir entièrement confiance, mais raconte moi vite!!!
    En quelques phrases je lui raconte toute notre aventure 
    - Tu le ferais devant moi? 
    - Bien sur, mais pourquoi tu n’essaierais pas toi?
    - Me faire prendre? Je peux restée collée? Houa… j’en meure d’envie mais aussi de trouille….
    - Fait moi confiance, aller hop à poil ma grande, assied toi et écarte bien les cuisses, si il sent que tu es prête à baiser tu vas connaître la jouissance de ta vie, après on ira sur le carrelage car çà va être la grande inondation!! Montre-moi ta moule? Çà va pas trop de poils; Écarte bien les lèvres… çà va tu peux supporter ‘l’engin’, tu n’a pas de problèmes particuliers? Je veux dire écorchure ou autre?
    - Tu as peur pour ton kleps? 
    - Mais non grande folle mais une déchirure pourrait s’agrandir au passage des boules…
    - Tu me fais flipper…
    - Oublie!! Aller Yago mange la chatte de ma copine!!
    Quel bonheur pour moi de voir de près ce que j’ai ‘subi’!, je me sens bien en meneuse de ballet! délicatement la langue s’insinue entre les lèvres de plus en plus profondément fouillant les moindres replis du vagin, la bête s’arrête une seconde pour renifler et replonge aussitôt dans la matrice qui s’assouplie 
    - OOOOOOOHH il me fait jouiiiiir ton chien ma chérie …..il me la met même dans le cul!
    - Es tu décidée à sauter le pas? Car si oui il va falloir arrêter les préliminaires. 
    - A bon? Quel dommage! Et pourquoi?
    - Si on l’excite trop il ne pourra pas t’enfoncer ses boules, et de se fait ne pas restée collée, là tu raterais quelque chose je te le jure. 
    - Alors c’est oui, dit lui d’arrêter!!
    - Yago au pied!
    - Houa! J’en ai les babines qui flageolent!!
    - Aller à genoux, cambre toi au maximum, les avants bras au sol, ta tête dessus, écarte les genoux bien grand, relâche toi, je ne veux voir que ta vulve derrière, et dieu sait qu’elle est belle! quand il va poser sa bite sur tes lèvres pousse comme... . Excuse le terme comme si tu voulais chier !! Il va te lécher encore un peu pour te préparer à la saillie, le début parait brutal mais la suite est grandiose!
    Le chien s’énerve il a compris que cette femelle est pour lui, des jappements aigus, il tourne autour de sa victime ….. 
    - Sens mon chien sens ta femelle …
    - J’ai la trouille ……..Ha il me lèche encore!
    Le moment est venu, je pose rapidement une serviette sur la chute de reins magnifique de ma copine, sa moule dépasse, proéminente de ses fesses? Hummmm si le chien n’en veux pas …..J’en fais mon dessert!
    - Va-y Yago monte! Monte!
    Un dernier jappement et il s’élance les deux pattes enserrent les hanches et les coups de reins pleuvent, accroupie à ses cotés je saisis la bite raide et la guide vers la fente liquéfiée.
    - AAAAAHHHH?! çà fait maaaaaal!! … non …. Çà fait du bieeeeeennnnn, C’est pas du tout comme un mec….. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii vas y mon chien baise moi …… 
    Je le laisse forniquer un moment puis j’attrape les proéminences et les poussent contre les lèvres, que c’est beau cette moule éclatée…….
    - Respire un grand coup, pousse … MAINTENANT !!! Voouufff !!!Çà y est tu es prise ma chérie …..
    - NON! PAS ÇÀ! Çà grossit çà grossit encore, je vais éclater ……..
    - Mais non! Ha çà prend toute la place c’est sur, mais tu va apprécier quand il va décharger!!! Il va cesser de bouger et se retourner, tu va être cul à cul, c’est doux la fourrure hein?
    - Chuuuuutt, laisse-moi apprécier …. Houaaaaa, il me pisse dans l’utérus…çà n’en finit pas ….il en coule à l’extérieur?
    - Non, tu gardes tout en toi, il t’insémine par pression, tu vas avoir un petit chien ma belle 
    - T’es conne! Çà ne se peut pas hein?
    - Je rigole! tu imagines un toutou à quatre pattes avec ta tête?!!!! Çà y est! Il se retourne ….. 
    - Aaaaaah sa bite se vrille dans mon con, il entraîne mes chairs… putain que c’est bon, merci ma chérie, il décharge encore…. combien de litres? çà fais des glouglous là-dedans!
    - Regarde attentivement entre tes cuisses quand il va se décoller c’est impressionnant, un vrai torrent! Et regarde aussi le paquet de chair que tu avais dans la chatte, pauvre chien tu verrais comme il tire la langue! il a l’air tout penaud– C’est bien Yoga c’est bien! tu l’as bien baisée cette salope!
    - Dit donc salope toi-même!.... ha, il commence à tirer à lui…. mes lèvres vont déchirer…. hhaaahhhh! Quel vide çà fait ….Çà COULE !!J’en ai plein les cuisses, jusqu’aux genoux 
    - Regarde sa bite ….
    - Houa, ce n’est pas possible? Tu te rends compte? 
    La pauvre bête le dos arqué, haletant, attend patiemment que son sexe reprenne sa place dans son fourreau poilu et ma copine toujours à quatre pattes que sa chatte finisse de se vider.
    - Tu as déjà essayé par le cul? Tu as déjà sucé sa bite? 
    - Tu poses trop de questions à la fois si tu veux tout savoir revient me voir ………….. 

     
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  • Salut à tous, Je m’appelle Guillaume. Ma mère, Sylviane, est une belle femme  Blonde, un visage fin, des yeux verts. Une allure d’aristocrate. Une bourgeoise distinguée et raffinée. Pas très grande mais elle met souvent des chaussures à talons ce qui la grandit. Elle est très féminine, toujours en jupe très sexy. Comme aujourd’hui ou elle portait une jupe courte sur des bas clairs. Je savais que c’était des bas parce que ce matin, je l’ai surprise par l’entrebâillement de la porte de sa chambre en train d’enfiler ses bas, un pied posé sur son lit, remontant lentement le nylon sur ses cuisses fuselées. J’espionne souvent ma mère et parfois je la surprends en train de s’habiller. Je sais qu’elle est très amatrice de lingerie fine. Quand elle s’absente, je vais parfois fouiller dans son tiroir ou est rangé sa lingerie. Touchant ses bas, ses guêpières et ses porte-jarretelles…Un jour je me suis masturbé dans un de ses strings. Mon père, Charles, est rarement la. Il se déplace souvent à l’étranger pour son travail. Sylviane ne travaille pas, les revenus de mon père nous permettent d’avoir un bon train de vie. Nous habitons dans un immeuble très bourgeois dans une ville huppée de la région parisienne. 

    Nous revenions d’une visite chez ma tante pour son anniversaire ou j’avais retrouvé ma soeur, Charlotte. Elle venait de se marier récemment et ça m’avait fait plaisir de la revoir.
    - Je t’avais dit de tourner à droite, maman…
    - Mais le GPS a dit tout droit !
    - Y doit être détraqué, je ne sais pas moi…
    Nous tournions en rond depuis une bonne vingtaine de minutes, la nuit était tombée et je n’arrivais plus du tout à me repérer. Maman conduisait notre Mercedes et je ne sais trop comment nous nous étions complètement perdus. 
    Nous nous retrouvons soudain dans un quartier entourés de barres d’immeubles dans un état de délabrement avancé. Je m’inquiète un peu de l’environnement et le fait remarquer à Sylviane. 
    - Nous devons être dans la cité. Tu as raisons, nous ne devrions pas nous attarder ici…
    La cité, c’est la cité tristement célèbre pour ses …meutres à répétitions qui se trouve à quelques kilomètres de la ville collet monté ou nous résidons. 
    Nous apercevons un groupe de 6 jeunes qui discutent bruyamment au pied d’un immeuble. Ma mère ralentit la Mercedes devant eux. 
    - Je vais leur demander notre chemin…
    Elle appuie sur le bouton commandant l’ouverture de sa vitre électrique. 
    - Excusez moi messieurs, nous sommes perdus, pouvez vous m’indiquer la direction de …
    Les jeunes se rapprochent sifflant en découvrant la Mercedes. Faisant le tour du véhicule en faisant des commentaires sur cette bagnole de riches. Un des jeunes, un grand balèze, capuche sur la tête, se penche par la portière. Il me jette un oeil puis lorgne les cuisses de maman dévoilées par la jupe courte. Il regarde le tableau de bord en noyer et les fauteuils en cuir et sourit à ma mère. 
    - Bien sur madame, mais ça va pas être facile de vous expliquer, ce n’est pas simple pour sortir de la cité si on ne connaît pas. Venez, je vais vous montrer. 
    Je ne suis pas du tout rassuré que ma mère sorte de la voiture mais elle s’exécute, ouvrant la portière. Elle dévoile généreusement ses cuisses aux regards des 6 jeunes en sortant. Instantanément, Sylviane se retrouve entourée par le groupe. Elle me jette un regard apeuré et je sors de la Mercedes. Maman est coincée par les jeunes. Ils la poussent la dirigeant vers un bâtiment !
    - Viens par là , ma belle !
    On l’agrippe par le bras et elle pousse un cri. Je vois des mains qui s’égarent sous sa jupe ! Je veux intervenir et sauver maman mais je suis vite neutralisé par deux types qui me maintiennent solidement. J’entends ma mère protester. 
    - Mais ! ça suffit enfin… Arrêtez…
    On nous pousse vers un escalier qui descend visiblement dans les caves de la cité. Je pense aussitôt aux tournantes dont on a entendu parler. Je suis paniqué et maman aussi, je l’entends m’appeler au secours. Je tente de me débattre mais je reçois un coup de poing qui me met ko. 
    On force maman à descendre les escaliers, elle trébuche sur ses talons aiguilles. 
    Nous nous retrouvons dans un couloir et on nous entraîne vers un local assez grand ou se trouve un canapé dans un piteux état et quelques fauteuils. Je suis assis sur un des fauteuils et solidement attaché avec une corde. On me bâillonne avec une serviette roulée en boule. Maman se débat dans les bras de ses tourmenteurs qui lui soulèvent la jupe découvrant les bas et le string. On déchire le haut moulant qu’elle portait découvrant les seins emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle dont on s’empresse de baisser les balconnets exhibant les seins de ma mère qui sont aussitôt malaxés et sucés par des bouches avides. Maman gémit et donne des coups de pieds; Je suis horrifié d’assister impuissant au viol de ma mère. On écarte le string et on lui enfonce des doigts dans sa fente. On la branle sans ménagements. Sylviane se débat, tente d’échapper à l’infamante pénétration. On lui écarte les jambes au maximum exhibant sa fente. Un des jeunes, celui qui semble être le chef, lui enfonce un doigt et le secoue énergiquement. Il en enfonce un second, puis un troisiéme. Derrière elle, un autre jeune claque les fesses de ma mère et lui introduit un doigt dans son anus ce qui fait hurler ma pauvre maman. On lui malaxe les seins, tirant sur les pointes. Celui qui la doigte se penche et lui suce le clitoris. Maman pousse un gémissement et le jeune ricane :
    - Elle mouille cette salope !
    Elle se retrouve à genoux devant les 6 jeunes. Le jeune avec la capuche sort sa queue et s’approche de Sylviane.
    - Suce-moi, sale pute!
    Maman détourne la tête et proteste. 
    On la tire par les cheveux et le jeune force ses lèvres engouffrant sa bite dans la bouche de maman. Ses joues sont déformées par l’épaisseur de la bite. Le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans sa bouche manquant de l’étouffer. Des larmes lui monte aux yeux mais elle s’exécute, suçant la bite avec des bruits écœurants. Plusieurs jeunes ont sortis leurs téléphones portables et ils font des photos et même des films ! On fait des photos de ma mère en gros plan avec une bite dans la bouche. Le jeune s’active et dirige ma mère en la tenant par les cheveux et lui donnant des instructions. 
    - T’es pas douée connasse, t’as jamais sucé ou quoi ? Sors ta langue ! Suce le gland ! Reprends-moi en bouche ! 
    Sylviane pompe la bite aussi vite qu’elle le peut. Finalement, il éjacula libérant un torrent de sperme. Maman voulut recracher son foutre mais il lui ordonna de tout avaler « comme le font les bonnes chiennes ». Maman ne put obéir à cet ordre, cela choquait trop sa morale bourgeoise. Elle recracha le sperme qui s’écoula sur son menton. 
    Les autres se précipitent et de nouveau, ma mère doit sucer des bites. On ne lui laisse aucun répit ! Sa bouche est envahie à tout moment. A peine si elle peut respirer. Ceux qu’elle ne peut sucer, se branle au dessus d’elle et jouisse sur son visage. Elle est recouverte de sperme. Elle en a dans les cheveux, sur son menton, ses seins. Certains veulent se branler entres ses seins et elle doit rapprocher ses mamelles et les masturber. Les yeux fous je regarde ma maman être traitée comme la dernière des putes. Elle, la bourgeoise distinguée, bonne épouse et bonne mère de famille. Et en observant la déchéance de ma mère, je bande comme un fou....



    - On va l’enculer !
    Un grand black agrippe ma mère et la met à quatre pattes. Maman pousse un cri désespéré :
    - Oh non, je vous en prie, pas ça....
    Le black lui claque ses fesses dodues. 
    - On va te baiser d’abord ! 
    Il a sortie sa queue qui est d’un diamètre imposant. Il agrippe les hanches de Sylviane et pénétre sa chatte. Il donne des coups de reins violents faisant tressauter le corps de maman qui halète. Ses seins ballottent dans tous les sens. Le grand black la bourre violemment. Les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, maman subie les assauts du black en se mordant les lèvres. Une bite se présente et elle l’avale sans rechigner. Le black accélère ses coups de reins et il éjacule sur le dos de maman en poussant un grognement. 
    Un autre le remplace aussitôt. Celui qu’elle suçait lui gicle dans la bouche et se retire. Deux autres arrivent et la force à prendre leurs deux bites dans sa bouche. Elle pousse des grognements étouffés. Sa bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites. 
    Le type à la capuche, le chef, se présente derrière Sylviane et lui introduit son index dans l’anus « pour la préparer ». Maman pousse un petit cri. Il fait tourner son index puis rajoute son majeur faisant coulisser les deux doigts dans le trou du cul de maman. Il se masturbe un peu et pointe son gland sur l’ouverture des reins. Il pousse et maman supplie une dernière fois. Sans pitié, le chef agrippe les hanches de ma mère et dans un violent coup de reins s’engouffre dans le cul de Sylviane qui pousse un hurlement étouffé par les bites qu’elle pompe. 
    Les commentaires vont bon train.
    - Regarde ta maman, elle se fait enculer ! 
    - Elle aime ça la salope. 
    Le chef va d’abord doucement puis de plus en plus vite. Sa bite coulisse de mieux en mieux dans l’étroit canal. Il l’encule sauvagement et ma mère pousse des râles.


    Maman n’est plus qu’un objet sexuel. On l’encule à tour de rôle. Elle poussera un hurlement déchirant qui me fera frissonner quand le grand black lui déchirera l’anus à grand coups de pines. Cela dure des heures, elle est baisée comme une chienne. Je ne la reconnais plus. ; Elle est recouverte de sperme. L’humiliation suprême aura lieu quand le chef s’apercevant que j’avais une érection impressionnante ; il obligea ma mère à venir me sucer. Celle-ci lutta, protesta, pleurnicha mais rien n’y fit. Toujours attaché, je me débats également mais il arrive à dégager ma queue, dur comme l’acier, tendue à faire mal. On appui inexorablement sur la tête de ma mère et elle se retrouve avec ma bite posé sur ses lèvres. Un dernier bastion de morale l’empêche d’obéir et elle garde obstinément la bouche fermée. On lui tanne le cul avec une ceinture et elle pousse un cri ouvrant la bouche. Aussitôt, on la force a gobé ma bite. Sous les cris de nos tourmenteurs, elle me suce avec application. Me pompant le gland, salivant sur ma bite. Sa langue me titille le gland. Elle me masturbe de ses doigts manucurés. On la filme en train de me sucer. Je ne résiste pas longtemps et j’éjacule dans sa bouche…



    Les 6 jeunes nous ont libérés et nous avons pu rentrer chez nous. Maman n’étant pas en état de conduire je ramène la Mercedes. Inquiet tout de même. Le chef du gang nous a menacés de mettre les films et les photos sur Internet si on portait plainte. Ce serait trop humiliant…Et surtout, ils ont fouillés dans le sac à main de maman et découvert ses papiers. Maintenant ils connaissent notre nom et notre adresse. 
    Ils nous ont promis de passer nous voir... 

     

    Plusieurs jours se sont écoulés depuis l’odieuse agression dont a été victime Sylviane. Nous avons décidé tous les deux de n’en parler à personne; Mon père n’est pas au courant et ma sœur non plus. 
    Nous pensions même que les 6 jeunes n’oserait pas mettre leur menace à exécution…Nous nous trompions…



    Je venais de rentrer du Lycée et ma mère s’apprêtait à se rendre à une réunion de son association caritative en faveur des personnes âgées qu’elle avait créé avec d’autres femmes de notables. Elle était vêtue d’un chemisier blanc sur une jupe beige. Ses talons aiguilles crème allongeaient encore plus ses longues jambes gainées de bas blancs. On sonna à la porte et j’allais ouvrir. Je reconnus immédiatement nos agresseurs et je voulus refermer la porte mais ils arrivèrent à rentrer de force. Me repoussant sans ménagement. Il y a parmi eux une jeune fille d’à peu prés mon âge. Ils ne sont pas aussi nombreux que la dernière fois. Ils sont trois dont le chef. Ils débarquèrent dans le salon et ma mère poussa un cri en les voyants. 
    - Mais…Que faites vous ici ? Comment êtes vous montés ? 
    Je ne comprends pas non plus. Le gardien aurait du les stopper se rendant compte que ce n’était pas vraiment le style de cet immeuble très bourgeois ou ne vivent que des familles « respectables ». 
    - Salut salope ! Tu pensais qu’on t’avait oublié ? 
    - Viens un peu par ici ! 
    Ma mère avance doucement vers le chef du gang qui lui demande si elle a apprécié la séance de l’autre jour. Sylviane ne répond pas. Les jeunes s’installent dans le canapé et les fauteuils de notre salon. Ils font des commentaires sur le luxe de notre grand duplex. Le chef prend la parole.
    - Je m’appelle Momo et dorénavant tu m’obéiras ! Vous m’obéirez tous les deux ou on envoi à ton mari les vidéos de l’autre jour. On a créé un blog spécialement pour toi ma salope ! Avec les photos et les films qu’on a tourné l’autre jour. Et tu sais quoi ? les internautes en raffolent, ils en demandent d’autres. On est donc là pour tourner un autre film. 
    - Ca ne va pas non!! m’exclamais je furieux. 
    - Toi, tu la fermes ! me lança le chef méchamment. Brahim ! Rachid ! Occupez vous de ce petit con ! Les deux jeunes se précipites et m’attaches les mains derrière le dos avec une corde. La fille s’approche de moi. Elle a un sourire mauvais sur les lèvres. 
    - Je vais m’occuper toi ! 
    Elle sort ma bite de mon pantalon et agite ses doigts autour de ma verge. 
    Un des jeunes sort une caméra numérique et la met en marche. On demande à Sylviane qu’elle leur serve à boire. Elle dut obéir mais la séance prit vite un tour exhibitionniste. Elle déambule dans le salon, sur ses talons aiguilles, La jupe relevée autour de la taille. Elle a du enlever son string et à chaque fois, les mains s’égarent dans sa fente. Elle doit bien se pencher en avant pour servir les verres, après avoir quasiment ouvert tous les boutons de son chemisier et baissée les balconnets de son soutien-gorge. Le chef lui demanda alors de prendre des positions suggestives. Elle s’allonge sur la table du salon, jupe relevée dévoilant ses bas et son porte jarretelle. Maman rouge de honte doit obéir à leurs ordres. 
    - Ecarte les jambes, montre nous ta chatte. ! Doigte-toi pouffiasse, fais les rêver !
    Ma mère contrainte et forcée écarte ses lèvres intimes, s’enfonçant son index et son majeur dans sa fente. Elle agite ses doigts. Maman doit s’emparer de ses seins et les montrer en gros plan à la camera. 
    Pendant ce temps, la fille, Elle s’appelle Farida, me masturbe violemment, me faisant mal parfois, elle me malaxe méchamment les couilles. Elle ne prend aucune précaution. Je gémis et la supplie d’arrêter.
    Elle me relève en m’empoignant les cheveux et je me retrouve allongé par terre. Elle pose le talon de sa bottine sur mes couilles et appuie tout doucement. Je pousse un cri. 
    Maman se retrouve à quatre pattes sur le parquet de notre salon, exhibant son cul. On la force a écarté ses fesses pour bien montrer sa raie. 
    - Ca manque de piment ! T’as pas un gode la bourgeoise ? demanda le Chef. 
    Maman tourna la tête et répondit que non. 
    - Il faudra t’en acheter un lui ordonna t’il. On ira faires des courses dans un sex-shop. Tu viendras avec nous !
    Brahim et Rachid partirent dans la cuisine et ramenèrent un concombre et une carotte. Momo prit le concombre et s’approcha de ma mère lui enfonçant le légume dans sa fente. Maman poussa un grognement. 
    - Avance comme une chienne, salope ! A quatre pattes ! 
    Maman s’exécuta, avançant péniblement, le concombre dépassant de sa fente. 



    Farida me retourna et me força à me mettre aussi a quatre pattes ; Elle me baissa mon pantalon et mon caleçon lui exhibant mon cul. Elle m’enfonça son majeur dans l’anus et le fit tourner plusieurs fois. L’agitant sans ménagement. Me fessant violemment le cul dès que je protestais. Sylviane courbée en avant sur la table du salon, les seins écrasés dut subir l’infamante pénétration de la carotte dans son trou du cul. Malgré ses pleurs et ses supplications, Brahim lui enfonça presque entièrement le légume dans le cul. 
    Momo s’approcha de ma mère et s’enfonça de tout son long dans sa chatte. Lui agrippant les hanches et la besogna comme un fou pendant que Rachid lui enfonçait sa bite dans la bouche. Farida m’agrippa les cheveux et me força à marcher à quatre pattes pour nous rapprocher de maman. 
    - Regarde ta maman, comme elle se fait bien défoncer ! On va en faire une bonne petite pute et toi tu seras mon sex-toy. J’ai pleins de copines à te présenter ! Tu vas en baver. 
    Momo, tout en bourrant ma mère qui poussait des gémissements étouffés par la bite de Rachid, lança :
    - Et tes copines, elles ne pourraient pas s’occuper de la mère aussi ? 
    - Une bonne séance de gouinage ? Pourquoi pas ? 
    Momo se retira et Rachid prit sa place pendant que Brahim forçait les lèvres de maman. Elle salive sur la queue, ses joues sont déformées par l’épaisseur de la bite. 



    Farida m’a relevé et je dois me masturber tout en regardant maman se faire baiser. Je suis aussi filmé par Momo. 
    - Il va enculer sa mère ! lança Momo ca fera une super scène !
    Maman poussa un cri étouffé et je protestais également ! 
    - Non, pas ça, ne faites pas ça. 
    Farida me poussa en rigolant. Rachid se retira et je dus me positionner derrière ma mère. Je vois ses fesses trembler. Momo et Farida m’houspillèrent, me poussèrent et mon gland se trouva collé sur l’ouverture des reins de maman. J’hésite, je ne peux pas faire ca. Je reçois de violentes claques sur les fesses. Farida m’empoigne la bite et la positionne sur le trou du cul de ma mère me poussant en avant. Je force le sphincter de maman qui sanglote. Je donne des coups de reins d’abord hésitant puis de plus en plus violent, j’halète. 
    - Mais il aime baiser le trou de cul de sa mère, c'est un petit pervers en fait. S’exclame Farida. 
    Je suis filmé en gros plan bien sur. Et le visage de maman aussi. Je la défonce violemment, m’enfonçant dans son cul. Je ne tarde pas à jouir me vidant dans ses intestins en poussant un râle. 



    Nous sommes contraint, maman et moi, de nous allonger sur le sol, pendant que Momo, Brahim et Rachid se masturbe au dessus de nous. Ils éjaculèrent en même temps nous éclaboussant de leurs spermes. Ecœuré, j’en reçu sur le visage et maman sur ses lèvres, ses cheveux, son menton. Nous fumes relevés et je dus nettoyer le visage de Sylviane en léchant le sperme. Manquant vomir de dégoût je m’exécutais et maman dut faire la même chose pour moi. Farida m’ordonna de me rhabiller et ma mère fit de même. Enfin presque, Momo lui ordonna de laisser son chemisier ouvert. Il nous poussa vers la porte. Affolée à l’idée de sortir dans cette tenue, maman protesta :
    - Mais...ou voulez vous allez ? 
    Momo se retourna, hilare. 
    - Tu voulais savoir comment nous étions montés ? On a montré la vidéo au gardien, on a vite sympathisé et on a trouvé un accord. Lui et son fils t’attendent, ils veulent baiser une bourgeoise salope comme toi. Ca fera une deuxième vidéo!
    Horrifiés, nous fûmes traînés dehors malgré nos supplications… 

     

    Nous arrivons devant la loge du gardien et nous entrons. José, le gardien, vient aussitôt vers nous. Il a une quarantaine d’année, un ventre de buveur de bière et une allure négligé. Ma mère ne l’aime pas. Elle le soupçonne de mater les femmes et jeunes filles de l’immeuble. Son fils, Bruno, la vingtaine, surgit à son tour. Ils dévisagent maman avidement avec un regard pervers. Ils matent ses seins sans vergogne.

    « Mme B, lança José goguenard, je ne vous croyais pas si salope ! 
    ‒ Une vraie chienne, renchérit aussitôt Momo, on vient de la baiser ! »

    José s’approcha de maman et lui palpa les seins, les soupesant et les relâchant. Lui tordant les pointes.

    « Depuis le temps que tu m’excites avec tes airs de bourgeoise coincée, je vais enfin pouvoir te défoncer. Attends un peu… ! »

    Il alla chercher un sac et son fils rigola…

    « Papa ramène son matériel, lança-t-il à l’attention des autres. Il a tout ce qu’il faut, Mme B ne fait pas parti de ses « clientes », mais il en a deux de l’immeuble qu’il baise régulièrement. 
    ‒ J’adore humilier les bourgeoises dans son genre, je les fais gueuler avec mes outils… ! »

    José sourit et expliqua qu'il exerçait un chantage sur la fille du médecin. 
    Je sursautai. Je voyais bien de qui il s’agissait, c’était Aurore, qui avait 19 ans, comme moi. Une jolie blonde.

    « Et je me tape la comtesse ! »

    Momo regarda José incrédule.

    « Une vraie comtesse ? »

    José haussa les épaules.

    « D’après elle, oui. Elle a 76 ans mais elle est encore bien gaulée. Elle est veuve ! »

    Il sortit de son sac, une paire de menottes, un gode aux dimensions monstrueuses, un collier en cuir et une laisse, ainsi qu’un bâillon. Il s’approcha de maman qui, terrorisée, voulu fuir. Elle courut maladroitement sur ses talons aiguilles, mais fut vite rattrapée par Momo et ses sbires. Le concierge ramena ses bras dans le dos et la menotta. Il lui enfonça le bâillon qui était composé d’une boule en latex que l’on attachait derrière la tête avec une lanière. La mâchoire de ma mère était complètement déformée et ses cris se transformaient en gargouillements. Il attacha le collier autour du cou et y fixa la laisse. 

    « Allez ! À genoux, chienne ! »

    Tirant sur la laisse, il contraignit maman à se mettre à quatre pattes et lui fit faire le tour de son appartement sous les rires des autres. Le fiston alla fouiller dans le sac et tendit une cravache à son père. José asséna quelques coups de cravache sur les fesses de maman qui rougirent aussitôt. J’entendis les gémissements étouffés de ma pauvre mère. Il dirigea maman vers son canapé et la força à se coucher sur l’accoudoir du canapé, exhibant ainsi son cul à tous les autres. De nouveau, il lui fouetta le cul. Sylviane criait sous son bâillon. Puis, il plongea ses doigts dans la fente de maman.

    « Viens-voir, fiston, elle est trempée ! »

    Bruno se précipita et remplaça son père, fouillant la chatte de ma mère sans ménagement. Il me regarda tout en branlant ma mère. 

    « T’as déjà gouté a ta chienne de mère, y parait ? 
    ‒ Il la même enculée, tout à l’heure ! », renchérit Farida.

    José prit le gode et l’enfonça dans la chatte de maman qui poussa un gémissement. Il était vraiment énorme. Il le fit coulisser rapidement. Les yeux exorbités, Maman grognait dans son bâillon. De la bave coulait sur la boule. Pendant ce temps-là, Bruno malaxait les seins de ma mère. Le concierge releva ma mère en la tirant par les cheveux.

    « On va l’amener à la cave ! »

    ***********

    Nous sommes sortis dans le hall, maman toujours bâillonnée et menottée. Les seins à l’air. Elle fut trainée vers les caves de l’immeuble. Elle descendit les escaliers tenus en laisse par le gardien. Nous arrivons dans un couloir sombre et il se dirige vers sa cave. Il ouvre la porte et nous rentrons. Sa cave est assez grande et elle est surtout aménagée pour des séances BDSM. Il ya des chaînes, des lanières, une croix de Saint-André et un anneau fixé au plafond.

    « C’est la que j’amène la comtesse, comme ca on n’entend pas ses cris !
    ‒ Faudra que tu nous la présente celle-la !, demanda Momo.
    ‒ Oui et la jeune aussi ! », lança Farida.

    J’imaginais bien ce qu’elle pensait déjà lui faire subir….
    José détacha maman et fixa les menottes à l’anneau du plafond. Elle se retrouva les bras relevés, en équilibre sur la pointe de ses talons aiguilles. José se présenta derrière elle et il la pénétra sauvagement la tenant aux hanches. Son fils se mit devant et il lui suça les seins. José pilonnait ma mère qui couinait derrière son bâillon. Elle est en sueur, les cheveux défaits, le visage ravagé. 

    Ce fut une véritable orgie. José défonçait maman comme une brute. Il se retira et l’encula brutalement. Bruno en profita pour introduire sa bite dans la fente de ma mère. Ma pauvre maman était défoncée par le père et le fils qui alternaient leurs coups de reins. Ils ne tardèrent pas à jouir éclaboussant de leurs spermes le cul de maman. 
    Le concierge se retira encore raide et lança la cantonade :

    « Quelqu’un en veut encore de la bourgeoise ? »

    Ce fut la curée…
    On se précipita sur maman totalement impuissante. Livrée à ces pervers. On lui palpa les seins, des doigts s’introduisirent dans sa chatte. On lui titilla le clitoris de longues minutes jusqu'à ce qu’elle jouisse en grognant. On lui enfonça index et majeur dans son anus. On la pénétra par tous les orifices, elle dut subir des doubles pénétrations voire des triples…. Son corps est secoué comme un prunier par les coups de reins de ses tourmenteurs. On la défonçait avec vigueur. On lui fouettait le cul et les seins. José la détacha et maman s’affala sur le sol. Ses bas étaient en lambeaux. 

    Ils se réunirent tous autour d’elle et ils se masturbèrent. Certains éjaculèrent sur elle, l’aspergeant de foutre. Elle en eut sur les fesses, les seins, les cheveux. D’autres lui urinèrent sur le visage malgré mes protestations et les supplications de ma mère. L’urine coula sur ses lèvres et son menton. On l’obligea même à ouvrir la bouche et Momo lui pissa dedans, la traitant de « pissotière ». Ma pauvre maman était anéantie sur le sol, recouverte de sperme et d’urine. 

    ***********

    Nous sommes remontés de la cave et Momo et ses complices nous ordonnèrent de remonter chez nous. Il nous rappela, néanmoins, que demain, pendant que je serai au lycée, ils viendraient chercher Sylviane pour l’emmener dans le sex-shop. Il fut aussi convenu avec le gardien et son fils que très bientôt une « fête » serait organisé avec Sylviane, Aurore et « la comtesse »… Momo a assuré qu’il viendrait avec du renfort. Cela ferait un super film et cela ne lui déplaisait pas de penser que grâce au gardien, il allait avoir de nouveaux esclaves sexuels…. 

     

    Le lendemain, Momo et Farida débarquèrent donc chez ma mère dès le matin. Mon père venait juste de partir au travail ; José avait du le signaler a ses nouveaux amis. Sylviane n’est pas encore habillée quand elle ouvre la porte. Elle porte un déshabillé de soie sur une nuisette rose légèrement transparente. 
    - T’es pas encore prête, espèce de chienne ! lui lance Momo. 
    - On va t‘emmener au sex shop, t’as des achats à faire. 
    Farida s’approche de maman et lui ouvre l’élégant déshabillé lorgnant ses seins opulents. Elle les malaxe sans vergogne à travers la soie. Momo s’approche et, soulevant la nuisette, il écarte le string. Maman rougit de honte mais se laisse faire, totalement soumise à ces jeunes maitres-chanteurs qui pourraient être ses enfants. Momo caresse sa vulve, introduit ses doigts dans sa fente pendant que Farida lui mordille les tétons. Sylviane ne tarde pas à gémir sous l’habilité des caresses des deux pervers. Elle sent la cyprine qui s’écoule de sa fente. Les doigts de Momo s’agitent…
    - Allez ! Ca suffit ! Sinon, elle va jouir cette salope, s’exclame Farida en donnant une claque sur les fesses de maman. 
    Sylviane pousse une plainte de frustration. Elle est au bord de l’orgasme. 
    On lui demande ou est sa chambre et tous le monde monte à l’étage. Dans la chambre à coucher, Farida ouvre la penderie et regarde la garde-robe de maman. Beaucoup de vêtements de grands couturiers. Elle hésite et demande comme on habille « la salope » pour aller au sex-shop. 
    - On aurait du ramener des fringues de putes, regrette Momo. 
    - Oh non, pitié, ne me demandez pas ca ; balbutie Sylviane.
    - Tu crois que t’as le choix, pétasse !
    - Tiens, tu vas mettre ca. La pute se sera une prochaine fois…Et puis saper en bourgeoise, c’est plus excitant. 
    Farida lui tends son élégant tailleur noir Yves Saint Laurent. Elle doit leur faire un strip-tease, enlevant son déshabillé et sa nuisette. Elle enlève son string à la demande de Momo. 
    - T’as pas besoin de sous-vêtements…
    - Sauf ca…
    Farida lui tends un porte-jarretelles noir que maman enfile. Elle y accroche des bas noirs à couture. Elle met la jupe du tailleur et la veste a même la peau. Farida lui tends les escarpins les plus sexy qu’elle trouve. Une paire de talons aiguilles noirs vernis à la semelle rouge et aux talons très fins et très hauts. Le parfait déguisement de la bourgeoise salope…
    Puis, Momo donne le signal du départ….



    La Mercedes est conduite par Momo. A l’arrière, Sylviane subit les attouchements de Farida. Elle lui triture les nichons par l’échancrure de la veste et elle a remonté la jupe titillant son clitoris laissant ma mère dans un état de nerfs indescriptible. A un feu rouge, un chauffeur routier ayant une vue plongeante sur la Mercedes grâce à la hauteur de son camion, lança un furieux coup de klaxon, complètement excité. 
    Morte de rire, Farida obligea ma mère à lui sourire et à s’exhiber lui montrant ses seins et sa chatte….



    Ils arrivèrent très vite au sex-shop qui se trouvait dans la banlieue voisine de la ville bourgeoise ou nous habitons ou, bien sur, la Municipalité n’aurait jamais permis l’installation d’un tel magasin dans la ville. Momo gara la Mercedes et Farida poussa Sylviane hors de la voiture. Ils remontèrent la rue « chaude » de la ville ou se trouvait sex-shop, peep-show et autres lieu du vice. Plusieurs clients parurent étonnés en croisant ma mère qui, avec son allure tellement bourgeoise, détonnait un peu dans cette rue réputée du sexe. Un peu plus loin, il y avait des putes qui attendaient les clients….
    Ils entrèrent dans un sex-shop écartant l’épais rideau de velours bleu qui camouflait l’entrée. A l’intérieur, 6 clients observaient les DVD et les magasines. Il y en avait pour tous les gouts : partouze, gang-bang, SM, Bondage…Momo se dirigea sans hésiter vers un type à la caisse. Le patron du sex-shop qui visiblement le connaissait. 
    - Salut Momo !
    - Salut Robert…
    Le dénommé Robert devait avoir la cinquantaine, il était petit et avait un regard bien vicelard. Il détailla aussitôt Sylviane qui rougit sous son maquillage. 
    Devant son regard interrogateur, Momo lui expliqua que Sylviane était une bourgeoise salope qui venait s’encanailler et qu’elle allait lui prendre quelques produits…
    - Te gêne pas….
    - Tu nous feras une ristourne ? 
    - Faut voir...murmura Robert.
    En disant cela, il mata les jambes de ma mère sans aucune gêne. 
    Momo poussa ma mère dans l’allée du sex-shop et commença à lui dire ce qu’elle fallait qu’elle choisisse. Maman, qui n’avait jamais mis les pieds dans un sex-shop regardait autour d’elle, les yeux ronds. Momo commença par lui sélectionner trois déguisements sexys. Un de soubrette, un d’infirmière et l’autre d’écolière…Puis Farida ramena une sélection de godes de plusieurs tailles dont certaines étaient impressionnantes et cela effraya maman qui protesta. 
    - Mais…Mais, je ne pourrais jamais supporter de….
    - T’inquiète, ricana Farida, on va s’occuper de ta formation, ton cul sera tellement dilaté que tu pourras tous accepter….
    Maman blêmit….
    Les clients et le patron n’en perdait pas une miette bien sur…
    Momo ramena un plug, un collier avec des clous, un fouet, des menottes, trois cagoules en cuir dissimulant le visage avec une fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il choisit également toutes sortes de bâillons. Des boules, des anneaux, permettant de laisser la bouche ouverte, des « mors » comme pour les chevaux. Et surtout, un bâillon harnais avec un gode fixé dessus….Il ramena un corset en cuir avec un collier-minerve relié au corset par une sangle. On pouvait attacher les poignets au corset grâce à des anneaux. Maman ne disait pas un mot mais elle était effondrée en pensant à ce que ces jeunes tourmenteurs comptaient lui faire subir avec tous ses produits….Pour finir, elle dut choisir elle-même des mini-jupes en cuir, en vinyles et une robe en latex…
    Farida s’approcha de maman avec un sourire pervers. 
    - Faudrait les essayer pour être sur de la taille…
    Maman crut défaillir….
    - Non…Non, balbutia t’elle, je vous en prie pas ca…
    Mais elle fut entraînée sans pitié vers une cabine d’essayage. La, elle fut contrainte d’’enlever son tailleur et d’enfiler la robe en latex. Elle garde ses bas et ses talons aiguilles. Elle ressort, morte de honte, tous les clients l’attendent et le patron ricane. Elle doit se tourner et supporter les commentaires salaces…
    - Ca lui moule bien le cul et les seins…
    - Elle est trop courte…
    Elle est en effet trop courte et on aperçoit l’attache du porte-jarretelles…
    - Venez voir de plus près, qu’est ce que vous attendez, lança Momo
    Les six clients se précipitèrent, trop content de l’aubaine…Des mains avides caressent la robe en latex…Malaxant les seins au passage….




    Momo agrippa ma mère par les cheveux et l’obligea à se mettre à quatre pattes au milieu du sex-shop. 
    - Allez, c’est pas le tous, mais maintenant faut que tu paies tout ce que t’as pris….
    Il lança les prix pour une passe à la cantonade…
    - On peut lui faire tout ce qu’on veut ? 
    - Tout ….
    Maman voulut protester mais Farida la bâillonna avec l’anneau….Sa bouche est ouverte au maximum déformant son visage…
    Le patron lança le signal de la curée. Il paya et se précipita enfonçant son membre dans la bouche de maman qui voulut le recracher… Elle reçut une claque…
    - Bouffe ma bite, salope…Suce la !
    Maman obéit, pompant la bite…Derrière elle, on lui introduit toutes sortes de godes… la limant avec…Maman grogne derrière son bâillon. Le patron donne des coups de reins pour s’enfoncer le plus loin possible étouffant ma pauvre maman. Il se retira voulant « défoncer cette chienne » et il fut aussitôt remplacer par un autre. Robert fit le tour s’enfonçant dans la fente de ma mère. La tenant solidement aux hanches, il la défonce comme une brute, son ventre venant claquer contres les fesses de Sylviane… Elle salive sur la bite qu’elle suce… Robert fit encore quelques allers-retours dans son ventre et il se retira. Il pointa le gland sur l’ouverture des reins et s’enfonça dans le trou du cul de maman qui eut un hurlement étouffé. Il la pilonna un temps et se retira, son sexe luisant de sécrétions. Un client se précipita et força le trou de cul de Sylviane. 
    - Vous allez la prendre en double ! lança Farida…
    Un des clients s’allongea à terre, la bite fièrement dressée et on obligea maman, à grand renfort de claques sur le cul, à s’empaler dessus ce qu’elle fit avec une grimace….Robert l’encula et le troisième type engouffra sa bite dans sa bouche….Et ils alternèrent leurs coups de reins…déchirant ma mère par tous les trous…Son corps, recouvert de sueur, tressautaient sous leurs coups de bites. Ses seins ballottaient dans tous les sens….Robert poussa un cri et éjacula sur le dos de maman pendant que celui qu’elle suçait se vida sur son visage. Le dernier lui envoya de longues giclées de sperme sur ses seins…Elle dut encore sucer deux autres clients qui n’avaient pas osé participer mais qui voulaient quand même se vider les couilles. 



    L’argent récolté servi a payé Robert qui dit à Momo qu’il ne fallait surtout pas hésiter à revenir….
    Maman à garder sa robe en latex et Farida la contrainte à ne pas se nettoyer…C’est recouvert de foutre qu’elle dut regagner sa Mercedes sous les regards surpris et moqueurs des passants…. 

     

    Nous étions le vendredi soir et lundi étant un jour férié, maman et moi nous préparions à avoir un week-end prolongé. J’étais assis dans le canapé et je regardais la télé. Mon père était encore à l’étranger pour son travail mais il devait rentrer samedi soir. Un claquement de talons me fit lever la tête, maman traversa le salon. Elle était, comme à son habitude, très élégante dans une robe grise sur des bas gris. Je pensais à tous ce qu’elle avait vécus ces derniers jours. Nous en avions parlé plusieurs fois et nous étions partagés entre porter plainte ou continuer à subir les humiliations de ces pervers. Je n‘osais avouer à ma mère que cette situation m’excitait au plus haut point. Moi qui d’habitude allait lire ce genre d’histoire sur un site d’histoires érotiques….Seulement la, c’était en vrai ! J’avais réellement vu ma mère se faire baiser comme une chienne dans une cave. J’avais vu ma mère se faire enculer par le gardien et son fils…Et elle m’avait raconté son aventure dans le sex-shop. Et je bandais comme un fou chaque fois que j’y pensais. Et je pense que cela excitait aussi maman. Je la trouvais quand même étrangement passive la plupart du temps…
    Un coup de sonnette me tira de mes pensées. Maman se dirigea vers la porte. J’entendis immédiatement des cris et des insultes !
    Je me levais au moment ou Farida rentra dans le salon, tenant ma mère par les cheveux, suivi d’un groupe de filles. Je comptai rapidement qu’elles étaient huit !! Elles étaient déchainées et criaient, houspillant maman, l‘entourant, tentant de luis soulever le bas de sa robe…Quatre furies se jetèrent sur moi et me poussèrent vers ma mère. 
    - C’est lui le sex-toy ? demanda une des filles, hilare…
    Farida me jeta un regard mauvais…
    - Et elle c’est sa salope de mère ! 
    Maman pousse un cri. Trois filles ont réussi à soulever la robe dévoilant le porte-jarretelles. Elles poussent des cris et introduisent déjà leurs doigts dans la fente de maman qui se débat comme elle peut. Je subie le même sort, deux filles m’enlève mon pantalon et je me retrouve en caleçon que je dois enlever. Je me retrouve la bite à l’air pendant que maman, robe troussée, se fait fesser le cul et se fait doigter par ces furies….On la force également à les embrasser sur la bouche. On lui dégage les seins et ils sont triturer sans ménagement par des mains qui les palpes sans douceur…



    Trois filles ont jeté leur dévolu sur moi et elles manipulent ma bite, me branlant violemment. J’ai une érection d’enfer…
    Sylviane se retrouve en sous-vêtement et Farida lui ordonne d’enlever soutien-gorge et string. Elle obéit ne gardant que les bas et le porte-jarretelles. Farida tend un sac qu’elle avait avec elle à une des filles…
    - Sors les godes et met lui le corset !
    Maman blêmit en entendant le mot « gode»….
    Elle est contrainte d’enfiler le corset qui a été choisie dans le sex-shop. Il lui laisse les seins dégagées ainsi que la fente. Le collier-minerve est fixé autour de son cou. Une sangle relie le collier au corset en passant entre les seins de ma mère. Ses poignets sont attachés à des bracelets qui sont fixés sur les cotés du corset. Je ne suis pas épargné. Je dois mettre un collier autour du cou et on y accroche une laisse. Tenue en laisse par une des filles, je dois, sous les rires des autres filles, faire le tour du salon à quatre pattes. Pendant ce temps, Farida a enfourné un gode dans la bouche de maman et elle le fait coulisser rapidement l’étouffant à moitié. 



    On me bâillonna à l’aide d’un harnais fixé sur ma tête sur lequel était fixé un mors qu’on plaça sur ma bouche. 
    - File-moi la queue de cheval ! lança Farida à sa copine…
    Elle me montra un gode qui représentait une queue de cheval, l’agitant devant moi…
    - Devine ou ca se met ? me lança-t-elle sur un ton goguenard…
    Je poussais un hurlement étouffé par le mors, je tentais de me débattre mais je fus vite immobilisé par six filles qui me maintenaient solidement. Je sentis le gode effleuré mon anus et j’eu une coulée de sueur froide le long de mon dos…
    - On va le préparer…
    Farida enfonça son index puis son majeur et les tourna dans mon cul. Je grognai, des larmes aux yeux…On a forcé maman à venir voir l’opération et elle est devant moi, un gode dans la bouche et un autre dans sa chatte qu’une des filles fait coulisser. Elle a les yeux exorbités et elle émet aussi des grognements. Je sentis que Farida m‘enfonçait le gode. Je ressenti une brulure et je poussais un gémissement. Les filles poussèrent des hurlements et applaudirent quand je me retrouvai avec la queue de cheval dépassant de mon cul. 


    Je dus de nouveau faire le tour du salon sous les hués de nos geôlières. Maman a été allongée sur la table et 6 filles la godent sans arrêt. Elle n’a jamais un trou de libre. On lui enfonce un gode dans sa chatte, dans son cul, dans sa bouche. Continuellement, elle est godée. On ne lui laisse aucun répit. Elles travaillent à la chaine d’ailleurs. Une fille prend un gode dans le sac, elle le tend a sa copine qui l’enfonce dans la bouche de maman en lui criant de le sucer. Ainsi humidifier, le gode est tendue a une autre fille qui l’enfonce dans sa chatte ou son cul et elle ramone ma mère avec. Sylviane donne des coups de reins, son corps se soulève. Ses cris se transforment en gargouillement vu qu’elle a toujours un gode dans la bouche. Quand le gode est bien recouvert de mouille, on oblige ma mère à le nettoyer en le suçant et en donnant des petits coups de langues. 


    Les huit filles sont entièrement nues maintenant et elles ont toutes fixés un gode-ceinture autour de leurs tailles. Farida s’avança vers ma mère, lui releva les jambes a la verticale et la pénétra. Une autre fille monta sur la table et s’accroupit lui enfonçant son gode dans la bouche. Je regardais Farida défoncer maman à grand coups de reins. Je fus tiré par les cheveux vers la table Et courbé en avant, à moitié couché sur maman. Une des filles me retira la queue de cheval et m’encula avec son gode. J’ai poussé un hurlement mais cela n’impressionna pas la fille, qui les mains sur mes hanches, me baisa sauvagement. Je sens le gode coulisser en moi, la brulure du début fais place maintenant à une douce chaleur. Et pendant que la fille me donnait de violent coup de reins, une autre passa sous moi et me suça la bite…
    Je suis enculé de nombreuses fois par ces lesbiennes dominatrices perverses…On me masturbe et on me suce sans toutefois permettre que j’éjacule. Maman est baisée comme une chienne elle aussi. Nous ne sommes plus que des objets sexuels entre leurs mains. Nous sommes humiliés de toutes les façons. On crache dans la bouche de maman, on l’oblige à venir à quatre pattes me sucer la bite. Deux filles prennent un plaisir sadique à l’étouffer en lui enfonçant deux godes dans sa bouche. Sylviane est maintenant au milieu de notre salon. Empalée sur un gode, enculée par un autre. Les deux filles alternent leurs coups de reins. Une des filles arriva avec un gode monstrueux en rigolant. 
    - Ouvre ta bouche salope ! Si t’arrive à avaler celui la, t’es la championne. 
    Le gode était noir et faisait au moins 50 cm de diamètre ! Maman protesta et tourna la tête dans tous les sens.
    - Non….Non …Je vous en prie…
    Deux filles vinrent aider l’autre en maintenant la tête de ma mère. La fille lui enfonça l’énorme gode dans la bouche forçant comme une malade. Ma pauvre maman a la mâchoire complètement distendue, elle a des hauts le cœur. Les yeux hors de la tête, elle a la bouche complètement déformée. Elle émet des sons indistincts. 
    Mmmpfpff….
    Elle prit une goulée d’air quand on lui retira le gode mais elle poussa de nouveau un hurlement quand la fille voulut le lui mettre dans sa chatte.
    Centimètre par centimètre, le gode fut introduit dans le vagin de ma mère qui hurla sans discontinuer. 
    - Tais-toi poufiasse ! Sinon on te l’enfonce dans le cul !
    Tous le monde applaudit quand le gode fut quasiment entrée….


    La sonnerie du téléphone nous fit tous sursauté. Farida poussa Sylviane vers le téléphone. 
    - Fai gaffe à ce que tu dis !
    - Allo ? 
    Farida brancha le haut parleur. 
    - Sylviane, c’est Claudine. 
    Claudine, c’est ma tante, la sœur de ma mère. Elle était partie faires des courses avec ma sœur Charlotte….
    - On est en bas avec Charlotte, on peut monter te montrer ce qu’on a acheté ?
    Horrifiée, ma mère voulut dire non, mais Farida lui lança un regard noir et elle comprit…
    - Oui, Oui, Bien sur, vous pouvez monter. Répondit-elle d’une voix blanche. 
    Elle raccrocha anéanti…
    Farida regarda les autres filles :
    - On a deux nouvelles salopes qui se pointent ! 




    Les filles attendent la venue de ma sœur et ma tante. Ils nous ont humiliés une dernière fois : j’ai du enfiler un gode-ceinture et je suis assis sur une chaise, les chevilles liées aux pieds, les poignets attachés dans le dos. Bâillonné avec un harnais ou est fixé un gode. On a forcé ma mère à s’assoir sur moi et a s’empaler sur le gode. Elle a du pencher la tête jusqu'à prendre en bouche le gode qui me bâillonne. Nos deux têtes sont maintenue par une sangle passant autour du cou. Une autre sangle enserre nos deux corps, les seins de ma mère s’écrasent sur mon torse. On a enfoncé la queue de cheval dans le cul de maman. Elle a également les chevilles liées aux pieds de la chaise et ses poignets sont toujours menottés au corset. C’est dans cet humiliante position que ma tante et ma sœur vont nous découvrir….Mon Dieu, que vont-elles subir de la part de ces furies ? 

    La sonnerie retentit dans l’appartement. Farida alla ouvrir se cachant derrière la porte. Ma tante et ma sœur entrèrent. Elles restèrent interdites en nous découvrant ligotés et bâillonnés sur la chaise. Maman et moi nous grognons et nous gémissons tout en tentant de nous détacher. Les filles se jetèrent sur elles… Les maîtrisant en leurs tenants fermement les poignets. Elles crièrent avec un air apeuré. Entourées par ces furies à moitié nues!
    - Mais…. Qu’est ce qui se passe ici? Qui êtes vous? 
    - Vos gueules les salopes! 
    Charlotte, ma sœur, est habillé d'un Tee-shirt moulant ses seins. Elle porte une mini-jupe en jean sur un leggins noir et des ballerines. Ma tante est habillée d’un chemisier blanc sur une jupe en cuir s’arrêtant au dessus du genou. Ses jambes sont gainées de bas clairs satinés. Ses talons aiguilles noirs la grandissent encore plus. Ma tante pour son âge, elle a 56 ans, est encore une superbe femme. Charlotte à 25 ans, elle vient de se marier à un gendarme. Les deux femmes se débattent tentant d’échapper aux mains de Farida et de ses copines. On malaxe les seins de ma sœur à travers le Tee-shirt, on lui soulève sa jupe. Ma tante tenta de s’échapper et courut vers la porte. Elle fut vite rattrapée par 4 filles qui la plaquèrent au sol. Une des filles s’accroupit sur son visage en lui hurlant de lui sucer la chatte. On soulève la jupe en cuir de Claudine et on lui arrache son string; Ma tante hurle et une des filles lui enfonce un gode dans la bouche. Une autre enfonce ses doigts dans sa fente, les faisant coulisser, tout en lui titillant le clitoris avec sa langue. Une autre déchire son chemisier, baisse les balconnets de son soutien-gorge, et suce les pointes de ses seins. Celle qui s’était accroupie sur elle lui agrippe les cheveux et soulève son visage la contraignant à lui sucer la chatte. Ma tante sort timidement sa langue et donne de petits coups, léchant la vulve dégoulinante de sa tortionnaire…



    Charlotte fut traînée vers la table du salon et allongée dessus. On lui lia les poignets et les chevilles aux pieds de la table l’immobilisant. Ma sœur donne des ruades et supplie qu’on la détache. Elle fut bâillonnée avec une boule en latex enfoncé dans la bouche. Farida lui déchira son leggins et écarta le string. Elle s’agenouilla devant ma sœur et commença à lui caresser la vulve. Agaçant le clitoris avec son ongle. Puis, elle introduisit son index puis son majeur la branlant. Ma sœur donne des coups de reins en secouant la tête de droite à gauche. Farida se releva, pointant le gland en plastique de son gode sur l’ouverture de sa chatte et elle la pénétra arrachant un grognement désespéré à ma sœur. Farida la pris aux hanches et commença à la besogner à grand coups de reins….


    Maman et moi nous sommes horrifiés. Nous sommes les témoins de l’humiliation de ma tante et ma sœur. Elles sont baisées par ces furies comme nous l’avons été quelques heures auparavant. Ma tante, le visage ravagée, a été positionnée à quatre pattes et elle se fait défoncée par une des filles qui la ramone à grand coups de gode-ceinture. Les seins de Claudine ballottent dans tous les sens sous ses puissants coups de reins. La bouche ouverte ma tante gémit sourdement. Farida s’est retiré et une autre fille a pris sa place bourrant ma sœur. Farida se met à l’écart, prend son téléphone portable et appelle Momo. 
    Je l’entends distinctement lui dire qu’elle a une surprise pour lui et qu’il devrait venir avec Brahim et Rachid et surtout ramenés des renforts….


    On nous détacha et on obligea maman, Claudine et Charlotte a s’allonger sur la table cote à cote, les jambes bien écartés dévoilant leurs fentes. Puis, on les contraignit à se branler mutuellement. Sylviane a du enfoncer ses doigts dans la fente de sa fille pendant que Charlotte fait de même avec sa tante…Charlotte doit également enfoncer ses doigts dans la chatte de maman… On leur hurle dessus pour qu’elles agitent les doigts avec conviction. Très vite, j’entends les trois femmes gémirent…. On empoigne les cheveux de ma tante et elle doit embrasser ma sœur sur la bouche. Écoeuré, je vois leurs langues se mélanger. Comble de l’horreur, on obligea ensuite ma mère à embrasser sa fille. Voulant faire une variante, Sylviane et Charlotte furent positionnées tête-bêche et elles durent se sucer la chatte. Je vois distinctement ma sœur sortir sa langue et fouiller la fente de ma mère pendant que Sylviane suce le clitoris de Charlotte qui gémit de plaisir… Ma tante fut traînée devant moi et elle dut me sucer la bite. Elle me prit en bouche, me pompant la bite. On lui fessa le cul parce qu’on trouvait qu’elle ne mettait pas assez de conviction. Elle s’appliqua me léchant les couilles, me reprenant en bouche, me titillant le gland avec sa langue. J’ai une érection d’enfer mais je tente désespérément de ne pas éjaculer. Ce serait trop humiliant! Je fus ensuite allongé sur la table et chaque femme fut obligée de venir me sucer. Ma mère, ma sœur et ma tante s’exécutèrent sans un mot me donnant des coups de langue sur mon gland ou me masturbant. A chaque passage, j’étais contraint d’enfoncer mes doigts dans leurs chattes…



    Momo débarqua avec Rachid et Brahim ainsi qu’une dizaine de gars. Je reconnaissais certains qui avaient déjà baisé ma mère dans la cave de la citée ou nous nous étions égarés. Quand tout avait commencé….Ils ricanent en découvrant le spectacle de ces trois femelles qui vont leur être livrées. Maman est toujours vêtue de son corset, Charlotte est toute nue et ma tante, Claudine, est simplement vêtue de ses bas et ses escarpins…
    Momo prend la parole…
    - Vous voyez les gars, je ne vous ai pas raconté des histoires. Trois bourgeoises rien que pour vous, vous pouvez en faire ce que vous voulez… Mais il faut payer! 
    Devant Sylviane, Charlotte et Claudine horrifiées d’êtres louées comme de vulgaires putains, les types payèrent Momo qui encaissa les gains avec un sourire. 
    Les mâles en rut se précipitent et se déchaînent sous l’œil bienveillant de Momo. Les trois femmes sont malmenées par ces brutes. On leurs palpent les seins et on les doigte. Deux types s’avance vers ma mère qui s’empresse de s’agenouiller pour les piper. Charlotte se retrouve à quatre pattes en train de pomper un black pendant qu’un autre type la pilonne violemment par derrière. Claudine, à genoux, branle deux bites, une dans chaque main, en haletant, le regard fixe. Tout ça est filmé par Rachid et Brahim….Je suis contraint de leur servir à boire sauf quand je suis pris à partie par Farida et ses copines qui s’amuse à me masturber et à me sucer…. Ma tante est baisée avec sauvagerie, empalée sur une bite, enculée par une autre pendant qu’elle suce deux bites à la fois, lui déformant la mâchoire. …Un cri me fait tourner la tête, ma sœur Charlotte, en sueur, décoiffée, à quatre pattes se fait enculer par le grand black. Sa queue d’Ebène lui perfore son anus. Il la tient aux hanches et la bourre comme un sauvage. Les seins de ma sœur ballottent dans tout les sens. Ma mère se fait baiser comme une truie par 4 types. C’est une véritable orgie qui se déroule dans notre luxueux appartement. Si les voisins pouvaient s’imaginer… peut être qu’ils entendent les cris d’ailleurs? J’entends des râles… Les hommes éjaculent, libérant des quantités de sperme sur leurs esclaves sexuelles. Ma mère a son visage recouvert de foutre et ma tante en a partout sur le corps. Pour Charlotte, le black lui a déversé son foutre dans sa bouche… On oblige ma sœur à venir me sucer la bite. Elle proteste au début puis, à genoux devant moi, me regardant avec un regard de totale soumission, elle me donne de petits coups de langues sur le gland, me masturbant, me léchant les couilles. Les hommes se reposent un peu buvant comme des trous et ma mère se fait goder par les filles. Elle doit lécher la chatte de Farida qui jouit très vite en poussant un hurlement…. Je résiste tant bien que mal mais je ne peux me retenir plus longtemps et je jute sur le visage de ma sœur…


    Les heures passent. La nuit est tombée. Durant toute la journée, ma mère, ma sœur et ma tante ont du subir de multiples pénétrations. Faire des dizaines de fellations. Le pire, c’est que j’ai l’impression qu’à force, elles y ont pris du plaisir. De bourgeoises distinguées, ces ignobles pervers ont réussi à les transformer en putes… 

     
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  • Un copain m’avait invité à passer une journée et une nuit chez lui. Autant j’étais réservé, autant il était exubérant. Espérait-il me voir intéressé par sa sœur? C’était une fumeuse corpulente à laquelle je dus paraître trop frêle, heureusement. La double bise sur les joues suffit à me faire connaître une haleine chargée de tabac, propre à faire renoncer au moindre bouche à bouche. Dès l’abord nous savions que nous n’étions pas compatibles. Plus âgée que moi, elle devait espérer un mari de gros gabarit, une sorte de rouleau compresseur hardi.et, je n’étais pas pressé, je n’avais pas envie d’opposer mes soixante kilos aux quatre-vingt de cette femme forte, je ne souhaitais pas aller m’inscrire à l’association des maris battus si nous avions un désaccord. Nous venions de nous saluer, elle alluma une gitane et quitta la maison.
    -Alors, que penses-tu de ma sœur? Elle est intimidée, je crois qu'elle est sortie pour ne pas laisser paraître immédiatement son intérêt. Méfie-toi, quand elle reviendra, elle va peut-être t’accaparer. Elle n’a pas été désagréable, c’est un bon signe. Et si tu lui plais, elle ne tardera pas à te faire des avances.
    -Cela m’embarrasserait, je ne pense pas être le type d’homme qu’il lui faut.
    -Qu’en sais-tu? Elle a déjà fréquenté des types très différents, des grands, des gros, des minces, des petits, des blonds, des roux, des bruns: elle n’est pas fermée aux différences! 
    -C’est très heureux pour elle. Mais, pardonne ma franchise, je ne souhaite pas m’inscrire à la suite de cette longue énumération. Son ouverture d’esprit débouchera avec bonheur sur le choix de l’homme idéal, si elle souhaite le rencontrer, ce qui ne semble pas prouvé.

    Pour mon bonheur, avant son retour, arrive un couple de fiancés amis de Norbert. Lui Bruno, beau garçon,au verbe haut, plein d’assurance. Elle, Aline, jolie brune très gaie. Norbert et Bruno parlent auto, la fille les écoute émerveillée. Je me tasse dans mon coin, heureux d’être oublié: les grosses cylindrées ne sont pas plus à portée de celui de Norbert. J’ai appris à me contenter de ce que je peux atteindre avec mes moyens. Une grosse Audi n’est pas pour moi, mon idéal féminin ne fait pas la première des magazines. Je manque d’ambition? Peut-être!

    Pourquoi Norbert, interrompant sa discussion passionnée sur les Mercedes, se tourne-t-il soudain vers Aline pour déclarer:
    -Ma chérie, tu devrais t’occuper de Paul. Ca fait une éternité qu’il n’a pas embrassé une fille. Tu devrais lui apprendre comment il doit s’y prendre.
    Je n’étais pas emballé par sa sœur, est-ce une raison pour raconter que je ne sais pas embrasser? Aline, oubliant son fiancé se dirige vers moi, s’assied à mon côté sur le canapé.
    -Alors, c’est vrai, tu veux apprendre? Je suis à ton service. Tourne-toi. Non, je serai mieux sur tes genoux. On commence?
    Je n’ai pas eu le temps de réagir. La brunette est physiquement un canon, soignée, habillée avec recherche, seins bien galbés, petit popotin frondeur, jambes sans défaut sous une mini jupe de rigueur. Elle sort de chez sa coiffeuse, a fait dessiner ses sourcils à l’égyptienne au-dessus de faux cils longs et papillotants: une nature généreuse mise en valeur par quelques artifices. Tout pour plaire dans un nuage savamment parfumé, enivrant. Devant ce genre de filles Norbert disait: une Cadillac! Ma modestie prend le dessus, je ne veux pas être goujat et me réfugie derrière un
    -Pas devant votre fiancé.
    Le fiancé sort de la pièce sans s’inquiéter, lancé dans ses comparaisons savantes entre les marques…il s’en fout. Aline a carte blanche.
    -Si tu crois qu’il se gêne pour embrasser d’autres filles devant moi. Nous sommes fiancés, cela ne nous interdit pas de goûter à ce qui est bon. Je m’appelle Aline. Tu es Paul. Dis-moi-tu. Allez on y va.

    Elle se lève, debout face à moi, envoie un genou d’un côté, l’autre de l’autre côté de mes jambes, en appui sur le canapé. La mini jupe remonte sur les cuisses nerveuses, découvre la tache blanche d’une petite culotte de dentelle à la jonction des jambes, l’intérieur de ses cuisses pose sur mon pantalon, je suis pris en tenaille et sous mon nez, son décolleté projette les douces rondeurs des seins d’albâtre dont les tétons passent une pointe effrontée au-dessus du bonnet de fine dentelle. Elle a posé une main sur chaque épaule, se tient à genoux au-dessus de moi, à distance de bras, me regarde d’un air enjôleur et murmure en un souffle à la menthe:
    -Comment me trouves-tu? Je te plais?
    A qui ne plairait-elle pas la diablesse ainsi offerte? Et arrive l’inattendu: elle vérifie d’une promenade du genou l’effet qu’elle me produit à hauteur de braguette. Elle a sa réponse, sourit, sûre de son charme ravageur, mais sa main quitte mon épaule pour confirmer la première impression en enveloppant mon érection spontanée. Elle a les yeux effrontément plantés dans les miens, son sourire s’illumine, son regard pétille, elle est satisfaite de m’avoir ému.
    -Alors, Paul, qu’attends-tu?
    Ca m’énerve de m’être laissé influencer, de bander comme un idiot. Bien sûr qu’elle est belle, qu’elle est appétissante, désirable. Bien sûr qu’elle me donne envie d’embrasser, de tripoter, de fouiller, cette allumeuse. Mais elle n’est pas pour moi, elle est à un autre déjà. Si je mords à l’appât, ne va-t-elle pas éclater de rire et se sauver? Et si elle reste, à quoi rimera un baiser, à quoi bon des caresses, des regards langoureux, des attouchements audacieux? Elle s’offre, elle m’offre un amuse gueule, un apéritif, mais je n’aurai pas le repas complet. C’est bien beau de m’ouvrir l’appétit, si cela n’est pas suivi du plat de résistance. Je veux tout ou rien!
    -Eh! Bien. C’est tout? Tu es songeur. Dépêche-toi, ne me fais pas languir, le temps nous est compté!
    C’est ce que je pensais. Je refuse de tomber dans le panneau:
    -Excuse-moi, je ne peux pas embrasser amoureusement une fille dont je ne suis pas amoureux.
    Son sourire se fige, son regard de glace me foudroie, je suis tout à coup l’homme des cavernes, l’imbécile qui ne se jette ni à ses pieds, ni à ses genoux, ni à son cou, ni sur sa bouche: le premier à refuser le baiser. Elle me scrute et déclare
    -Ce n’est pas vrai. Quel attardé.
    Son poids libère mes genoux, elle lisse sa jupe, me tourne le dos et m’abandonne à mon triste sort
    -Ah! Le con. Murmure-t-elle pour elle-même, mais j’ai l’ouïe fine.

    Au repas du soir, autour de la table ronde, je suis assis entre Aline et Bernadette, l’imposante sœur. Norbert siège à gauche d’Aline. Bruno est entre Norbert et Bernadette. Aline a oublié sa déconvenue, se fait lait et miel, ne regarde que moi, me parle comme à un vieil ami, veut savoir quels chanteurs j’aime, quel film j’ai vu dernièrement. Elle est délicieuse, attentionnée, ne laisse pas la parole à Bernadette. La grande sœur se tourne donc plus vers Bruno. De la main droite Bruno se gratte l’oreille gauche, mais où est la main gauche? Sur le genou rond de Bernadette sous la table! Où suis-je tombé? De l’autre côté la main droite de Norbert a disparu. Je fais semblant de ne pas voir qu’elle tâte le genou gauche d’Aline! La conversation s’essouffle et moi, au milieu, comme un couillon, je laisse passer le temps, j’attends et je sens tout à coup une main sur chacun de mes genoux. Oh! C’est prudent, léger, mais mouvant: la petite bête monte à droite, monte à gauche: collision! Aline furieuse fixe Bernadette: leurs mains se sont rencontrées sur mon point sensible et aussitôt retirées brusquement. 
    D’un regard oblique Bernadette constate le retour de la main d’Aline sous la table et sur ma cuisse. Elle abandonne la compétition et accepte les allers retours de la main du fiancé sous sa robe. Bruno sans complexe entretient un long massage des cuisses massives de la fumeuse rubiconde. J’apprends tout de l’activité de secrétaire de mon autre voisine. Sa main reste discrète, mais insistante. Norbert fait le service, s’absente parfois et s’amuse des progrès d’Aline sur ma jambe. Cette fois, devant témoins, je ne peux pas la repousser. Elle s’enhardit; puisque je laisse faire, je suis certainement d’accord. La pression augmente, elle cherche mon approbation, attribue à ma réserve mon manque d’enthousiasme. Je dois trinquer avec elle. Bernadette et Bruno lèvent leurs verres à la santé des présents, Norbert lance un disque, on repousse table et chaises.
    Aline curieusement retourne à Bruno, Bernadette me prend d’autorité dans ses bras. Norbert sort? Bernadette mène, je suis, baladé sur sa bedaine, évitant son souffle enfumé, mais chauffé par le corps qui m’étreint. Que ses seins vus de près sont imposants. Bruno l’a excitée, elle transpire, front moite et main poisseuse. Aline s’était bien moquée de moi: elle est renversée sous les baisers affamés de Bruno, montre à tous ce qu’elle m’aurait accordé, veut me faire regretter ma conduite. Norbert revient accompagné de Janine, jolie voisine mariée qu'il convoite. Le mari est conducteur routier à l’international. Quand le chat roule, sa souris danse avec Norbert et il faut voir comme ces deux là s’apprécient maintenant que le petit Henri dort dans son berceau. Henri, vous l’avez compris, est le fils de Janine et de… allez donc savoir! Je répète stupidement la rumeur. Le disque suivant est une invitation au frotte-frotte.
    Il fait chaud, des boutons s’ouvrent. Aline tombe dans mes bras, Bruno embrasse toujours, avec avidité sa cavalière, ce n’est plus la même, il l’embrasse avec plus de fougue encore. Des deux mains collées aux fesses de Janine Norbert la serre sur son paf, et lui dévore la chair du cou.
    Et moi? Il a fallu que j’enlace cette belle Aline, sortie bouillante des bras de son fiancée, maintenant collée des genoux au buste à mon corps qui ne veut plus se défendre. Ses seins piquent ma poitrine, son ventre colle au mien, entre ses cuisses elle emprisonne l’une des miennes: je suis trop troublé pour me demander si c’est la droite ou la gauche, et puis dans le mouvement ça peut changer. Une seule certitude, mon drapeau n’est pas en berne. Elle l’a constaté avec un sourire malicieux. Advienne que pourra, je me laisse guider, je me laisse chauffer, je subis avec un plaisir dissimulé ce corps à corps envoûtant. Elle s’impose, me fait du rentre dedans, ne demande plus que je l’embrasse mais m’attaque, viole ma bouche qui finit par consentir. Une nouvelle fois je l’étonne: mon apprentissage n’est plus à faire. Puisqu’il faut y aller, j’y fonce. Mon refus l’avait intrigué. Ma riposte la surprend:
    -Ô, toi. Et tu ne voulais pas. Mais alors, tu m’aimes et comment. Encore, c’est merveilleux!
    Qui de plus orgueilleux qu’un timide ou un modeste? Elle me flatte, je lui montre, je réplique. Lèvres, langues, mains, tout s’en mêle, tout s’emmêle. Elle adore ma main sur son sein. Bruno est trop occupé à lutiner la voluptueuse fumeuse de gitanes, à lui caresser la croupe, à lui sucer la nuque. Aline d’ailleurs n’en a que pour moi, me tient par en haut et par en bas, main sur ma tumescence provoquée. Elle pointe sa langue dans ma bouche étourdie, je force le passage de ses dents, je la plie en arrière et vais chatouiller sa glotte. Bruno voulait-il me montrer comment faire? J’ai incontestablement un don d’imitateur. Nos yeux sont prisonniers. La folie nous gagne. La folie gagne les trois couples. La musique s’arrête. Bruno a déballé les deux melons roses de Bernadette. Janine a défait la ceinture du pantalon de Norbert écrasé sur ses mollets. Aline, yeux fermés n’a heureusement rien vu: elle savoure notre baiser et ne s’interrompt que pour dire: 
    -C’est bon, encore.
    Sans musique je continue à bouger, je continue surtout cette becquée où l’on se nourrit de la salive de l’autre. Ce qui est pris n’est plus à prendre. Je ne suis pas amoureux de cette créature, et pourtant il est si voluptueux de l’embrasser. Elle n’est pas à moi, j’agis comme un voleur, à la minute j’ai pris possession de sa bouche, je suis collé à elle. Sa main dans ma nuque m’impose le contact et c’est si bon! Pourvu que ça dure. Bruno a culbuté Bernadette sur le canapé, Janine est assise à côté d’elle. La robe de Janine cache la tête de Bruno. En parallèle la tête de Norbert a disparu sous le tissu de la jupe de Janine. Chacune a posé ses deux mains sur la bosse de ces deux têtes agitées au creux des cuisses. Bernadette a poussé un cri de surprise, Bruno a atteint probablement un point sensible. Le cri a détaché Aline de ma bouche, elle a inspecté les lieux.
    -On va près d’eux? Non, tu ne veux pas? Viens avec moi.
    Elle me tire vers un escalier, me fait monter à l’étage, ouvre une porte de chambre à coucher où trône un lit circulaire avec un surprenant miroir collé au plafond. La lumière indirecte de lampes colorées aux reflets doux vient d’appliques disposées tout autour de la pièce. Aline me pousse, ferme la porte à clé, me regarde en souriant de ce sourire irrésistible après ses baisers. Elle se tait, mais en quelques mouvements rapides et précis se retrouve debout en petite culotte et soutien-gorge blancs.
    -Qu’est-ce que tu attends. Je ne te plais pas? Vite, déshabille-toi. Viens, je vais t’aider.
    Une fois de plus je n’offre pas de résistance, la situation est si nouvelle pour moi, si curieuse. Je suis un mannequin qu’elle dévêt, je suis plongé dans la contemplation de ce corps de femme, j’admire les courbes, le dessin d’amphore des hanches, les jours entre les jambes. Je suis fasciné par la bosse de la touffe brune qui déborde de la dentelle, par la grâce légère de ses déplacements félins autour de moi.
    -Aline, pourquoi? Pourquoi moi?
    -Parce que tu me plais: c’est aussi simple. Parce que j’ai envie de toi. Serre-moi dans tes bras et embrasse-moi. Dis-moi que cela te déplaît.
    Elle sait la tentatrice à quel point elle me tente. Son baiser me fait tourner la tête, ses yeux troublent les miens. Sur son ordre je trouve en l’enlaçant, les agrafes du soutien-gorge dans son dos. Ses seins agacent ma poitrine, elle s’amuse à m’imposer leur contact et à les faire glisser d’un côté à l’autre. Elle épie mes réactions, se réjouit de ma réceptivité et m’embrasse longuement. Elle se retire, se penche, mains sur la ceinture élastique, elle baisse la culotte sur ses cuisses. Immobile, je regarde tomber le tissu. Il est resté un instant retenu au niveau du sexe, mais la dentelle chute sur les pieds, Aline en dégage un et de l’autre envoie l’objet sur une chaise. 
    Debout, main sur les hanches elle m’offre le spectacle de sa splendide nudité, sourit, lève les mains au-dessus se la tête, exécute une lente rotation sur elle-même et attend mon commentaire. Je regarde partagé entre un peu de gêne, un peu plus de curiosité et beaucoup d’admiration. Sur les plages j’ai vu des centaines de femmes en maillot de bain, ou topless, j’ai aimé voir des corps bien faits, d’allures variées, de face mais aussi de dos, j’ai trouvé du charme au balancement des hanches et au mouvement harmonieux des fesses enveloppées de tissus bariolés. J’imaginais ce qui pouvait être caché, j’en rêvais. Alors cette Vénus nue, dévoilée pour moi, cette sublime fleur à peine épanouie, c’est une révélation stupéfiante, c’est une découverte splendide: j’en reste pétrifié, muet, en adoration. Je regarde, je vois ce nombril en creux au-dessus du délicat bombé du ventre, sous la mousse de poils du pubis se dessine le début de la vulve qui fuit vers l’arrière, le renflement des cuisses se dégage en colonnes coniques vers le nœud des genoux. Mon regard remonte vers les seins aux aréoles plus sombres où pointent les tétons érigés, j’admire le délié du cou et m’arrête au visage d’ange auréolé des fins cheveux bruns ordonnés avec grâce. J’ai fait le tour. Tout est beau, tout est admirable et je reviens au plus touchant, aux yeux qui découvrent avec joie ma curiosité non dissimulée.
    -Mon Dieu, on dirait que tu n’as jamais vu de femme nue.
    L’avouerai-je? Je tente une pirouette
    -Je n’ai jamais vu de femme nue aussi belle que toi. 
    La flatterie ne la trompe pas. Elle s’avance, attrape mon slip, me l’enlève et au passage chatouille de ses cheveux les poils de mes jambes
    -Voilà, nous sommes à égalité. Hum, tu es beau garçon, tout à fait à mon goût. Et je vois là en bas un outil d’apparence plus que désirable. Approche, je me couche et je vais te montrer ce que tu n’as jamais vu. 
    Tête au milieu du grand lit circulaire, rayon de soleil de chair, elle appuie ses talons éloignés sur le bord du matelas, ouvre le compas de ses jambes et présente à mes yeux éblouis le secret de sa féminité.
    -Regarde.
    Elle ferme les yeux, recueillie sur l’offrande qu’elle me fait. Entre les jambes, au bas du ventre, entre deux bourrelets à la peau fine apparaît la fente fermée, comme un trait qui fuit vers les fesses. Elle ose ce que ma pudeur m’interdit encore. Ses doigts se posent sur les lèvres, les désunissent, les ouvrent et découvrent l’intérieur rose humide marqué de deux crêtes parallèles, palpitantes. Ces deux petites lèvres à leur tour, écartées par les doigts, dévoilent une ouverture vers le bas. Au-dessus c’est le méat urinaire et tout en haut se cache le clitoris. Aline expose et commente d’une voix chevrotante. Je lui saurai gré de la simplicité émue avec laquelle elle vient de mettre fin à mon ignorance de l’aspect extérieur de son sexe de femme.
    Elle retire ses mains sous ses seins, s’appuie sur ses coudes pour me voir et déclare un peu hésitante.
    -Tu peux l’embrasser si tu veux.
    C’est si beau, si neuf, si troublant. Je m’agenouille sur le satin du couvre-lit, me penche et dépose un baiser d’adoration sur la vulve refermée. Sur ma tête une main posée me maintient au contact
    -N’aie pas peur. Donne un vrai baiser. C’est à toi, ce soir je t'appartiens. C’est comme une bouche, tu peux tout embrasser, tu peux y introduire la langue, fouiller comme pour embrasser une bouche. Mon clitoris adore qu’on le chatouille ou qu’on le suce. Fais-moi ce plaisir.
    Eh! Bien, c’est mon jour de chance. J’ai vu, je visite. Comme elle j’utilise mes doigts pour ouvrir l’accès, je pose mes lèvres, enveloppe le fruit, pousse la langue et fais le chat. Le fin liquide qui lubrifie l’entrée a une saveur à peine aigrelette, citronnée, très agréable même. Je m’en barbouille le visage du menton au nez. Ma langue débusque le bouton du clitoris, en fait le tour, mes lèvres s’en saisissent, commencent à le sucer comme un bonbon gomme et je sens un mouvement brusque du bassin qui se soulève et retombe.
    -Oh! Oui, continue.
    Il ne faut pas me le dire deux fois. Je lèche, je lape, je mâche, je suce, je fouille, je m’étonne de soulever d’une pique de langue le ventre d’Aline, de la voir se tordre comme sous la torture quand j’avale ses lèvres. Tous les frémissements de son corps encouragent mes essais. Ma bouche a un pouvoir insoupçonné qui la bouge, la remue, la soulève et lui arrache des petits cris de satisfaction, parfois des sortes de supplications, des exigences, des prières. Au bout de ma langue elle est comme un ressort. Je me sens puissant, capable de la dominer, d’agir sur ses réflexes, de lui donner le mouvement et de créer son plaisir. Un jet de liquide tiède me remplit la bouche et Aline se contorsionne sous mon baiser. Sa main tire sur mes cheveux, relève ma tête. Avec un gros soupir elle me remercie. 

    Dans le grand miroir du plafond je vois nos deux corps allongés côte à côte. Aline tient ma main. Je suis étonné et ému de ce geste de tendresse. J’ai compris depuis le repas, avec mon retour en grâce, que la jeune fille est en service commandé. Norbert lui avait demandé de m’embrasser, elle m’avait quitté en me traitant d’arriéré et était revenue pleine d’attention: ça sentait la consigne à plein nez. Elle vient d’offrir à ma bouche son sexe, j’ai mis mes lectures en pratique avec un zèle qui lui a donné son plaisir. Nous n’en sommes qu’au début d’une relation sexuelle sauf si la consigne a posé la limite à ce stade. Nous nous cherchons des yeux dans le miroir. Aline sourit, je réponds par un sourire. Je nous trouve bien assortis, nous formons un beau couple sur le grand cercle du lit.
    -Norbert te connaît mal. Pourquoi veut-il que je t’apprenne à embrasser ou à faire l’amour? Tu embrasses à merveille et jamais personne ne m’a fait jouir aussi fort avec sa bouche. Tu caches bien ton jeu à ton copain: dire qu’il m’a fait venir pour te déniaiser!
    -Je commençais à m’en douter. C’est dommage, tu es réellement une révélation formidable et si j’ai réussi à te donner un peu de plaisir, je le dois au bonheur d’avoir été inspiré par ta beauté et ta gentillesse. Merci.
    Je me lève et saisis mes vêtements. Aline me regarde et m’apostrophe:
    -Où vas-tu? 
    -Tu es une initiatrice merveilleuse, mais tu comprendras que je cherche plus que l’apprentissage d’un mécanisme. Adam et Eve n’ont pas eu besoin de cours d’éducation sexuelle, je dois pouvoir m’en passer. Merci encore pour ton dévouement, je ne souhaite pas en abuser.
    -Tu es le garçon que j’aurais dû rencontrer. Je regrette ma conduite, je vais te regretter si tu t’en vas. Reste, s’il te plaît. Oublie ma mission, reste pour moi, reste parce que tu me plais et peut-être parce que je te plais? Aimons-nous pour nous-mêmes. Viens faisons l’amour.
    -Et après? Avec qui vivras-tu demain; après-demain, qui aimeras-tu? Norbert, Bruno, un autre?
    -Je suis malheureuse, tu arrives trop tard, je te regretterai toujours. Laisse-moi le souvenir d’une nuit d’amour.
    -On ne construit pas sa vie sur des regrets, c’est malsain. Je te plais, tu me plais, on baise et on se quitte! Excuse-moi, j’attends mieux. A toi de savoir ce que tu veux, à toi de prendre en main ton avenir, de le construire de façon positive, sans regrets. Pour moi, te faire l’amour serait m’engager avec toi. Pour toi, c’est une passade ou c’est plus?
    -Tu es sérieux? Que connais-tu de mon passé, demain tu me le reprocherais?
    -Ce qui m’importe ce n’est pas ton passé, c’est l’avenir, c’est tes projets, c’est ta détermination à construire ton bonheur et celui de ceux que tu aimes. Quittons-nous bons amis.
    -Regarde-moi. Tu n’es pas mon premier homme, je traîne avec Bruno. Mais si je renonce à lui, si je te dis que je suis amoureuse de toi, voudras-tu de moi? Allez, sois franc!
    Je ne réponds pas, trop surpris par cette déclaration nuancée par des « si ».
    -Alors, viens. Rejoins-moi sur ce lit. Je te le dis: je t’aime, c’est toi que je cherchais. Cesse de poser des questions, sois mon homme. 
    Couché contre elle, appuyé sur un coude, je me penche au-dessus d’elle et je vais chercher dans ses yeux la confirmation de cet amour tout neuf, comme tombé du ciel par miracle. Aline pose une main sur ma nuque, m’attire à elle et me donne sa bouche. Cette fois nous échangeons un vrai baiser, un baiser passionné, sans commune mesure avec les baisers pourtant délicieux de l’apprentissage précédent. Cela vient du cœur et enflamme les sens. Nos bouches ne veulent plus se quitter, nos yeux traduisent la satisfaction qui nous comble. Aline a de la suite dans les idées. Sa main libre est descendue le long de mon torse, glisse sur mon estomac, tâtonne et finit sa course sur ma verge. Le pouce d’un côté, les autres doigts en crochet, tout en douceur elle me tient. Elle observe ma réaction. Je murmure un accord; elle rallume ma flamme. Je sens enfler et durcir mon membre gorgé de sang sous la pression des doigts délicats.
    Soudain en bas on pousse des cris, des hourras pour accueillir de nouveaux arrivants. Un aboiement de gros chien couvre le brouhaha, les cris aigus des filles et les rires gras des hommes.
    -Salut Roland, crie Norbert, tu nous amènes ta troupe. Comment va Le Porc, toujours aussi cochon? Nadine tu as arrêté ton régime? Et Coralie belle comme jamais avec un cul à faire bander. Allez, buvez une bière.
    -Dis, Bruno tu as oublié d’amener Aline, Médor va être déçu, je lui ai promis une séance exceptionnelle, mon chien devait saillir ta poule et les oies blanches de la maison. Médor couché, tu renifleras sous les jupes plus tard. Norbert donne lui un peu d’eau. Brave mon chien.

    Aline me glisse:
    -Ca c’est Jules, dit le Porc. Habillons-nous sans bruit, remettons tout en ordre et enfermons-nous dans la salle de bain. Aline saisit un flacon de déodorant, en asperge la couverture, la moquette autour du lit et nos traces en direction de la salle de bain, elle arrose la porte du côté chambre qu’elle pousse et ferme à clé. Une dernière giclée sur le seuil devrait effacer nos odeurs.
    -Il ne manquait plus que ce débile de Jules. C’est l’horreur! Roland exploite ce demeuré pour en rire et en faire rire. Et le simplet marche dans toutes ses combines. S’il se contentait d’être l’idiot du village, on aurait pitié. Comme son prétendu copain, c’est un obsédé sexuel, à la différence que Roland sait camoufler ses obsessions mais pousse aux pires excentricités le faible d’esprit. Et l’imbécile heureux partage son temps entre la gendarmerie, la prison et l’asile psychiatrique.
    -Pour quelle raison?
    -Oh! De mauvaises blagues. Par exemple il lui dit:
    -T’es pas cap de te promener à poil sous ton imperméable et de l’ouvrir devant une femme.
    Et le pauvre diable accoste les femmes dans la rue jusqu’à l’arrivée du panier à salade. La fois suivante on l’arrête à l’arrêt du bus en train de prouver qu’il est « cap » de se branler en public. Une autre fois un passant alerte le commissariat parce que Jules suit, bite au vent, une jeune femme qui ne l’a pas remarqué. Ses compagnons de cellule l’ont baptisé « Le Porc » et désormais le surnom lui colle à la peau, en prison et dans son patelin.
    -Ca ne m’explique pas pourquoi nous sommes enfermés dans cette salle de bain.
    -Ce type est dérangé, il passe du rêve à l’acte sans s’en rendre compte. De plus il est d’une force herculéenne et quand il se déchaîne il est intenable. Mieux vaut éviter de le rencontrer lui et son âme damnée Roland. Le Porc se nourrit intellectuellement de lectures qu’il appelle érotiques. En réalité ce maniaque n’apprécie que les histoires de cul gratinées, de pornographie obscène: il lui faut un récit d’inceste ou de la zoophilie. A ses yeux de gros porc, ce qui n’est pas contre nature est nul à chier, comme il dit. Ah! On n’est un auteur, selon ce connaisseur, que si un âne force une pucelle avec brutalité, lui déchire les entrailles ou lui éclate le vagin ou quand une salope suce une bite de cheval avant de se la mettre. Ces récits le mettent en transes et dans son match de cinq contre un c’est le moyen de lui faire cracher son trop plein d’humeurs.
    -Il n’y a ni âne, ni cheval, que craignons-nous?
    -Roland vient de lui offrir un berger allemand. Il vient d’aboyer. Ce n’est pas innocent. Ils sont en train de le dresser. En compagnie de Bruno, je les ai rencontrés en ville plusieurs fois. Roland a dit à Jules que j’étais la plus belle du monde et qu’il serait normal que Jules me fasse l’amour. Paroles de Roland, paroles d’évangile pour Jules. Depuis le simplet s’est entiché de moi et répète la leçon apprise de Roland
    -« Quand tu veux, où tu veux, comme tu veux » à chaque occasion. Je ne veux ni de « Le Porc », ni de son Médor. Tu l’as entendu brailler ses prétentions. Il m’a promise à son chien: c’est encore une lubie de Roland qui se régalerait de voir son jouet à l’œuvre. Je ne tiens pas à être livrée aux instincts dévoyés d’un cabot. J’espère juste que Bruno et Norbert ne diront pas que je suis là. Maintenant regarde autour de toi.
    -Oui, c’est une salle de bain spacieuse et en même temps un débarras. Si j’avais un caméscope je ne l’exposerais pas à l’humidité de ma salle de bain.
    Elle écarte un rideau et me montre du doigt une vitre. Je m’approche.
    -Tu découvres un miroir sans tain. Si je n’avais pas éteint les lumières dans la pièce voisine tu distinguerais tous les meubles. Norbert filme les ébats de ses invités en secret avec ce caméscope. A l’avenir, s’il t’invite, méfie-toi. Il possède une collection de films de ses amis et connaissances.
    Aline figure sur ces dvd avec Bruno. Il la tient. Voilà pourquoi elle s’est pliée à l’ordre de me séduire. Le caméscope est heureusement vide. En bas on rit, on crie pour se faire entendre. Une porte s’est ouverte
    -Allez les gonzesses, on monte, passez devant qu’on admire vos culs. 
    Bousculade, rires chatouillés, la troupe s’engage dans l’escalier, pénètre dans la chambre au miroir. A la lumière je reconnais en tête Bernadette. Ses gros seins dénudés se balancent au-dessus d’un estomac proéminent, son tour de cuisse est imposant et je me demande où est passée à l’arrière la ficelle d’un string dont j’aperçois un tout petit triangle sur son bas ventre. Derrière elle arrive Janine dans une tenue semblable: ses seins de nourrice sont marqués de larges aréoles brunes. La silhouette légèrement alourdie à hauteur du bassin par sa maternité récente reste plaisante. La suivante surprend, elle a gardé son soutien-gorge mais perdu sa culotte, ce doit être celle qui a cessé son régime, grasse de toute part. 
    -C’est Nadine, me souffle Aline.
    Un grand gaillard à l’air stupide la suit en agitant un chiffon rose sous la truffe d’un berger allemand. L’animal tire sur sa laisse pour renifler les fesses lourdes de Nadine: le chiffon rose doit être imprégné de l’odeur du cul nu en mouvement devant le chien excité. Je devine au faciès le nom du voleur de culotte, c’est Jules, surnommé Le Porc. Il précède un couple étonnant. Elle est une superbe femme noire, sans doute jeune d’après la fermeté de ses seins en pommes portés comme deux entonnoirs renversés. La finesse de la taille et la cambrure du dos la rendent désirable. Elle a une croupe saillante magnifique accentuée par les talons hauts qui constituent son seul habillement. Elle a fait lisser ses cheveux mais promène fièrement une toison crépue sur le fin bombé de son pubis. L’homme, plutôt quelconque qui lui tient le coude porte costume clair et cravate. Il a oublié de refermer sa braguette et cela gâche l’impression d’élégance qu’il voudrait laisser. Je devine : c’est Roland le dresseur du porc et du chien. La porte se referme sur Bruno et Norbert, très à l’aise dans leur nudité intégrale, qui avancent torse bombé et s’amusent à balancer ou à faire tourner leur biroute en semi érection. Discrètement Norbert vient se regarder dans le miroir et nous adresse un clin d’œil. On commence par une sorte de rite: la salutation au miroir. Après le maître des lieux, Bruno envoie de la main une bise au miroir, puis Bernadette y appuie ses lèvres, Nadine l’imite elle aussi nous sourit d’un air complice. Alors les deux autres couples se croient obligés de se regarder dans ce miroir sous l’œil étonné de Médor, bien plus intéressé par les effluves des ventres des femmes que par la brillance du miroir vénéré.
    Chaque fois que son museau humide s’applique sur la chair d’une cuisse ou d’une fesse, la fille saute et pousse un cri strident qui déclenche d’interminables fous-rires. Ca amuse follement Jules. Médor affiche une préférence marquée pour la foufoune noire sans cache de Coralie. La nudité du sexe de Nadine n’obtient pas les mêmes hommages. Tout dépend en réalité du comportement de Jules. Selon la longueur de la laisse, il dirige la bête vers un minou poilu ou une minette rasée. Afin d’échapper aux coups de langue de Médor, les filles tournent autour du lit, seins au vent, fesses à l’air, en poussant des gloussements. Lasse de courir en protégeant d’une main son abricot et de l’autre ses fesses, Nadine se jette sur le lit, aussitôt suivie par Bernadette essoufflée. Elles sont rejointes au centre par Janine. Coralie en marche arrière trépigne en reculant, penchée en avant et repousse des deux mains le gros chien dont on voit poindre sous le ventre le cylindre rose d’un sexe en voie de développement. Elle trouve son salut en bondissant sur le matelas. Norbert intervient pour interdire au berger allemand de les poursuivre
    -Jules, ça va mon vieux, on a bien rigolé, mais on veut passer avant ton ami. On verra plus tard si l’une de ces dames souhaite profiter des talents de ton chien. Pour l’instant tu l’attaches court à un pied du lit et nous allons nous occuper de nos belles
    -Oui, je veux bien, mais promets-moi d’inviter Aline la prochaine fois.
    Aline serre ma main, se tourne vers moi
    -J’ai bien fait de me cacher. S’il te plaît embrasse-moi. 
    Nous sommes debout, habillés, elle se serre contre moi et me tend sa bouche. Ca ne se refuse pas. Tout son corps tremble tant elle a redouté de servir de déversoir public à l’animal. 

    Norbert, dans la chambre reprend l’initiative.
    -Maintenant, tout le monde à poil. Roland aussi. Nous ne nous moquerons pas de ta quéquette. Ma sœur adore sucer les petites bites. Je vais présenter mon gourdin à Coralie, Bruno tu te fais sucer par ma Janine et Jules offre la sienne à Nadine. Les hommes restent debout au bord du lit, les femmes viennent à quatre pattes vers leur sucette. Au signal, mesdames vous vous emparerez de votre pipeau et vous nous jouerez un air du répertoire. Au signal suivant, les hommes exécuteront un quart de tour vers la gauche et présenteront leur gaule à une nouvelle machine à traire. A chaque signal, nous opérerons un changement de partenaire. C’est notre premier jeu. Pour gagner il faut avoir en bouche une portion de jus de couille avant les autres. Chaque victoire permet de donner un gage à l’un d’entre nous. Attention, prêtes, sucez.
    Devant nous, il y a Roland de dos, fesses portées vers Bernadette qui doit fignoler sa petite musique. A sa droite Norbert glisse son instrument dans la bouche rose de la noire. En face le fessier majestueux de 
    Nadine cache sa tête en activité fiévreuse sur le chibre de Jules tout rouge. A gauche de Roland, Janine s’est jetée sur l’engin de Bruno. Nous n’entendons rien, nous voyons les cheveux longs agités avec frénésie. Norbert annonce le premier changement, et se retrouve prisonnier de la bouche de sa sœur.
    -Aline, tu vois ce que je vois? Bernadette a englouti la verge fraternelle sans hésitation.
    -Ce n‘est pas la première fois. Tu n’as pas tout vu: ces deux là font n’importe quoi. Ne t’avait-il pas prévenu?

    -J’ai gagné crie Coralie. 
    Jules le premier s’est laissé partir dans sa gorge, son sperme coule de chaque côté de la bouche de la première gagnante en traînées blanchâtres sur la peau noire du menton puis dégouline sur les seins magnifiques. L’abondante liqueur s’écrase enfin sur le satin du couvre-lit. Jules avait une réserve incroyable!
    -La vache! Qu’est-ce qu’il m’a mis. Le dégoûtant s’est calé au fond de ma bouche et m’a forcée à avaler presque toute sa charge. C’est vraiment épais. Vous n’en voyez qu’une petite partie. Qui me passe une serviette? 

     

    Coralie a gagné. Coralie veut exercer son droit d’imposer un gage. Elle est la reine, elle organise son bon plaisir. Que les autres dégagent la grande couche circulaire; elle se met à quatre pattes au milieu du lit. Chacun des quatre hommes va venir la prendre en levrette et lui donnera vingt coups de bite en pleine chatte. Elle mettra sous chaque prénom les caractéristiques particulières, ce qui distingue chaque mâle dans son comportement sexuel, de la façon de pénétrer à la longueur, au diamètre, de la sensation de velours à celle de soie ou de papier de verre. Ensuite Bernadette lui bandera les yeux, se couchera devant Coralie, lui présentera son berlingot à sucer et pendant cette délectable occupation, les hommes à tour de rôle la reprendront. Elle ne les verra pas mais devra mettre un prénom sur celui qui sera occupé à la posséder. En cas d’erreur ou si elle dépasse une minute avant de reconnaître l’assaillant de sa minette, elle s’engage à sucer Médor.
    L’idée plaît. Jules applaudit, il n’aura pas amené Médor pour rien. Je suis médusé, Aline me glisse qu’ils deviennent fous et dépose un bisou sur ma joue. Je reste prudent, nous sommes dans une quasi obscurité: faire tomber un flacon ou un objet de toilette serait livrer mon instructrice à Jules ou à son chien. Mais ma joue contre la sienne, une main sur sa poitrine, le contact de nos flancs et le mélange de nos souffles me donnent à penser que je fais des progrès dans son cœur. De l’autre côté de la vitre on s’organise. Bernadette revient avec un foulard. Les trois grâces sont désœuvrées. Elles se dévouent pour entretenir la flamme des hommes en les masturbant, debout à leur côté, hampe en main et poignet souple en mouvement. Ca les amuse, elles courbent le dos pour lécher les glands, tirent sur les prépuces. Roland le premier se colle derrière Coralie. Sa quéquette dépasse à peine de son poing. Il s’annonce. Coralie envoie une main de chaque côté de ses fesses d’ébène, tire pour ouvrir le chemin sur les lèvres noires de sa vulve et expose à mes yeux étonnés la tache toute rose, comme sa langue, des premiers centimètres de son vagin. Jamais je n’aurais imaginé cet intérieur si clair! Je me penche pour m’assurer de bien voir. Mais Roland vient frotter sa mini bite contre la chair humide et chaude, il agite sa chose verticalement pour lui donner de la consistance et pour la raidir suffisamment. Il a posé une main pâle sur la hanche noire, se guide vraisemblablement de la droite pour viser la cible rose, son bassin se porte en avant. L’assemblée l’encourage et se met à compter
    -Un et deux et trois et quatre et cinq et six et sept et huit et neuf et dix …dix neuf et vingt…stop!
    Mais Roland ne se détache pas. Les autres lui demandent d’arrêter, crient. Aline commente à voix basse:
    -Pour une fois qu’il réussit à entrer dans une chatte, il ne veut pas lâcher prise.
    Bruno saute sur le lit, le bouscule et lui crie de garder des réserves pour la suite. Coralie est secouée par un fou-rire. Bruno succède au premier et les filles et les garçons se remettent à compter. Les coups sont plus appliqués. Vingt poussées, c’est peu quand on veut marquer le coup et laisser une marque reconnaissable dans la mémoire du vagin. Aline me tire en arrière, vers le fond, ouvre une porte, nous entrons dans une chambre à coucher qui communique directement avec la salle de bain
    -C’est la chambre de Norbert.
    Sur une étagère reposent des boîtes de CD. Aline en saisit, lit les titres sur la tranche.
    -Je l’ai. C’est avec ça qu’il me fait chanter.
    Elle remet les autres en place. Je lui conseille de rayer le CD et de ranger la boîte parmi les autres, personne ne constatera l‘accident, le contenu sera inutilisable et elle n‘aura plus à se soumettre aux fantaisies de Norbert. Nous retournons dans notre observatoire à tâtons, Aline marche devant, je m’accroche à ses hanches, ma jambe droite colle à la sienne, c’est une danse bizarre de nos deux corps qui apprennent à se connaître, le mien apprécie puisque ma verge durcit contre le moelleux des deux fesses auxquelles il se frotte par nécessité. Aline retrouve la glace sans tain, se retourne vers moi pour m’embrasser amoureusement. Je suis ému par le contact de ses seins et y porte instinctivement les mains pour une caresse rapide. Je me sens désiré et je souhaite reprendre notre communion. Mais le risque de la perdre est trop grand, nous redevenons voyeurs à notre poste d’observation.
    Coralie a fini d’examiner les candidats. Bernadette lui noue le foulard sur les yeux. Seul le pénis peut entrer en contact avec le con. L’exécutant doit garder les mains dans le dos, ne faire aucun bruit. Norbert attaque la chatte, sans les mains, il rate la cible. Nadine se précipite, empoigne sa vigueur, l’enserre dans sa main potelée, l’agite puis lui fait suivre la bonne trajectoire et ouvre le passage du bout des doigts. L’homme se pose, tâtonne dans les chairs chaudes, se propulse à l’intérieur et s’élance pour la minute, il fonce, bouche tordue par le plaisir. Janine chronomètre. Coralie abandonne le bijou baveux de Bernadette et crie:
    -C’est Norbert. j'aimeeeeeee
    Il se retire, Jules arrive queue brandie et plonge dans la chaleur du corps noir. Coralie profite le plus longtemps possible des frottements vigoureux mais à la dernière seconde déclare en se tordant de rire
    -Si ce n‘est pas le Porc, je veux être truie. Il n’a pas la queue en tire-bouchon mais elle est tellement noueuse qu’elle ressemble à une lime à bois. Au suivant.
    Bruno entre en jeu. Coralie est fidèle à sa méthode, elle ne doute pas d’être prise par le vigoureux jeune homme, il ne reste plus que la petite quéquette de Roland à passer et l’engin qui la ramone n’a rien de commun avec le spaghetti du dresseur de chien. Coralie est grande amatrice de queues en béton, longues, larges aussi, des engins qui éveillent toutes les terminaisons nerveuses si sensibles des sept ou huit centimètres proches de l’entrée de son sexe. Le membre doit distendre les parois, frotter vite et fort comme le fait actuellement son cavalier, Bruno, reconnu par déduction. La minute est bien courte hélas! Elle le déclare juste avant le terme, essoufflée par cette charge sévère. Pour la beauté du geste, Roland peut recommencer. Avec difficulté il pénètre, avance, recule, manœuvre avec la crainte de perdre la place, mais perd deux gouttes de sperme liquide absolument transparent et sort dépité de l‘antre insatisfaite. Coralie a-t-elle senti l’aiguillon qui lui chatouillait l‘entrée de la chatte? Elle est penchée sur une Bernadette au ventre bondissant sous les lèvres de l’africaine. Coralie n’aura pas à sucer Médor. Elle fait profiter Bernadette, la chagatte béante est sucée par une bouche avide de cyprine. Le malheureux chien se laisse caresser par Nadine agenouillée près de lui. Elle le console en caressant le pelage de ses flancs, j’ai l’impression de voir sa main effleurer au passage le fourreau du sexe et une pointe rose se dégage du nid de poils fauves. De contentement Médor laisse entendre une faible plainte prolongée. Il tire sur sa laisse et lèche la main qui parcourt son corps. Jules demande à Nadine si elle a envie. Elle voudrait bien, mais n’a pas le courage d’oser devant les autres. Plus tard peut-être.

    -Je vais lui mettre ses chaussettes, il ne pourra plus te griffer. Nadine ça te tente? Et toi Janine?
    La jeune mère ne témoigne pas d’enthousiasme. Une certaine gêne s’installe et Norbert pour la dissiper botte en touche
    -Jules réserve-nous ce spectacle pour le jour où Aline sera là. Elle n’a pas encore fait l’amour avec Médor, mais elle en meurt d’envie. Je saurai la persuader de céder à ses penchants pour les animaux. Ce sera formidable.

    Il termine sa phrase tourné vers le miroir. Dans mes bras Aline frémit et peste doucement.
    -Tu te rends compte, me livrer au chien. C’est fou. Est-ce que tu as déjà vu la boule à la base du pénis d’un berger allemand? C’est gros et quand il s’accouple il l’enfonce dans le sexe de la chienne, sa base gonfle encore et souvent les deux bêtes restent collées à cause de la difficulté de retirer ce nœud coincé dans les parties de la femelle. Tu as certainement vu des chiens en tandem dans ton village. Pas question de subir un accouplement bestial. Que les détraqués comme le porc et ses amis fassent ce qu’ils veulent avec leur clebs, mais moi, jamais. Je me contenterai de toi, si tu veux de moi.
    Norbert distribue des bandeaux. 
    -Tous sur le lit, les yeux bandés. Chacun fait ce qu’il veut, attrape ce qu’il peut pendant cinq minutes de quartier libre.
    Les corps s’entassent et se mélangent au milieu. Il est difficile de savoir à qui cette jambe, ce bras, ce sein. Le tas de chairs grouille. La tignasse de Nadine sort entre deux cuisses courtes, celles de Jules qui pousse des cris de cochon. Un semblant d’organisation met les participants en un cercle qui place spontanément la bouche d’une femme sur le sexe d’un homme et la bouche de cet homme sur le sexe de la femme placée devant lui: ils font la roue! Cependant chacun agit à sa guise, les mains, les langues travaillent, saisissent la partie du corps qui se trouve à portée, s’insinuent dans une crevasse, visitent une grotte, masturbent une verge, sucent qui un scrotum qui la rondelle d’un anus. Les rires et les éclats de voix se croisent. Ils vont bientôt s’accoupler, copuler, changer de partenaire. Le désordre est grand. C’est un mélange, un croisement aléatoire, avec queues et têtes mais j’ai du mal à y reconnaître une intention, des sentiments. J’ai aussi l’impression que Norbert s’est lancé dans une démonstration pédagogique à mon intention. Il a commencé par le baiser avec Aline chargée de me décoincer et il continue avec cette séance débridée de sexe. Il quitte la chambre, réapparait à la porte de communication entre sa chambre et la salle de bain, une lampe torche à la main.
    -Alors Aline, tu en es où? Vous venez jouer avec nous? Approchez. Quoi vous êtes habillés?
    -Que veux-tu, vous nous avez dérangés au début, nous faisions connaissance. Quand j’ai entendu arriver le maître chien j’ai pris peur et nous nous sommes cachés. 
    -Il faudra bien y passer un jour. Jules m’a arraché la promesse de te mettre à la disposition de Médor. Cela ne doit pas être aussi terrible que tu le crains. Ce sera une nouveauté pour tout le monde.
    -Aujourd’hui tu m’as fixé une mission. Je m’y tiens. Ce n’est pas facile. Ton copain Paul a besoin de mes soins. Médor ce sera une autre fois.
    - Chouette, tu es d’accord. Je savais bien que je pouvais compter sur toi. Merci! Alors Paul, il serait temps de te dégourdir. J’espère que le spectacle va t’ouvrir des horizons. D’ailleurs tu vas encore faire des découvertes, retournez vite regarder. On se verra plus tard. Ne fatigue pas trop cette chère Aline. Je compte passer quelques bons moments avec elle quand les autres s’en iront. Tu pourras regarder, c’est une vraie coquine.

    Bernadette prend les choses en main. Que ces messieurs se mettent en rang, cachent leurs yeux sous un bandeau. Les filles, mains dans le dos vont les emboucher. Le silence sera de rigueur. Au premier signal sonore un seul, Bruno puis Jules, puis Norbert, puis Roland devra désigner la personne qui le suce. En cas d’erreur le coupable sera jeté sur le lit, immobilisé par les trois autres et livré aux fantaisies de ces dames. Pour corser le jeu, la fille qui n’aura pas été reconnue aura droit à une double pénétration, la seconde également.
    -Messieurs, astiquez-vous en vue du « présentez-armes ». Je vérifie les bandeaux.
    Bruno a reconnu Janine. Jules s’est trompé. Norbert a reconnu sa sœur et cela n’a rien d’étonnant.
    Aline m’a soufflé que Jules se trompe toujours pour le plaisir de subir. Les deux perdantes, Bernadette et Janine l’entreprennent. La première s’assoit sur sa bouche, la deuxième sur ses genoux. Bruno immobilise ses bras, Norbert les pieds, Janine s’empale sur le manche gras, s’agite puis cède la place à Bernadette. A quoi rime cette gymnastique? Le spectacle devient lassant. Quand Bruno se couche sur le dos pour accueillir Nadine et que Norbert se glisse derrière elle, j’avoue que l’intérêt renaît. Ils sont orientés de façon que de notre observatoire nous puissions voir les pieds du succube, l’arrière-train de la grosse Nadine qui se fixe sur la queue comme: elle l’a saisie et guidée d’une main et s’est abaissée régulièrement, bien lubrifiée par les exercices précédents. La facilité de cette descente vers la base du sceptre révèle le grand usage fait de son divertissoire.
    Norbert n’a pas eu beaucoup de peine pour pénétrer l’anus. Il avait graissé son index dans la mouille du vagin puis l’avait vissé dans le trou de balle et j’ai eu l’impression que le passage arrière était habitué à ce genre d’invasion. Maintenant il pointe son gland sur la porte arrière. Bruno, installé dans la place ne bouge pas, il se contente de serrer les reins de Nadine de manière à faire basculer le sillon des fesses vers le chibre qui menace de forcer le passage. Pour réjouir la galerie Nadine pousse un grand cri, alors Norbert franchit le muscle qui garde les entrailles et pénètre, les trous sont cachés par les deux paires de couilles qui se saluent. La triplette se meut, Norbert donne la cadence, lève ses fesses et rentre. Bruno s’accroche prudemment, ses mouvements sont limités. Prise en sandwich, Nadine rougit, tourne la tête, cherche un appui pour ses bras. C’est parti, la route est longue, il faut limer, limer, entrer, sortir. Norbert se retire complètement et s’amuse à retourner dans la place Que fait-il? Il se pose sur le membre de Bruno et tente de l’accompagner dans le vagin. Bernadette appuie sur les grandes lèvres et aide à la double pénétration vaginale. Nadine grogne, s’offre de son mieux, et le mouvement reprend. Effectivement c’est un spectacle étonnant, de voir une femme en sandwich, brinqueballée, plantée sur l’un, aplatie par l’autre, rouge à croire qu’elle va éclater. Norbert se retire et lâche sur son dos des jets blanchâtres que la main de Bernadette étale largement. Nadine se laisse glisser à côté de Bruno. Elle envoie son index dans son vagin et en ramène une coulée blanche. Le tas de corps se reforme sur le matelas pour un temps de récupération. Norbert annonce les prochaines joutes. La fête n’est pas finie.
    Cette fois on forme deux groupes. Bernadette et Coralie font équipe avec Roland et Le Porc .
    Dans l’autre groupe Nadine se couche sur le dos, Janine se couche sur elle, également sur le dos, vulve au-dessus de vulve. Nadine assure l’équilibre de son équipière en empoignant ses seins. Norbert se poste à hauteur de leurs têtes et demande une pipe à Nadine. Bruno entre les jambes des deux filles frotte son gland tantôt contre une vulve tantôt contre l’autre. L’érection est lente à venir. Norbert change de bouche, mais tend un bras vers la foufoune de Janine, l’ouvre et offre son sexe à celui de son complice. Bruno pénètre et entame un nouveau cycle. Au signal de Norbert, l’un change de bouche, l’autre s’enfonce dans la minette de Nadine. A côté le deuxième groupe a pris position. Coralie s’est allongée sur le dos de Bernadette, elle-même à quatre pattes. Roland a besoin de se faire sucer pour bander, mais Jules n’attend aucune invitation. Debout, jambes fléchies il encule joyeusement Coralie puis Bernadette.
    Quelques ruades dans un cul, quelques unes dans l’autre, puis il alterne va d’un minou à un abricot, trempe sa verge dans un sexe ou dans un anus. Bruno et Norbert changent de place. Bruno fait nettoyer sa pine dans les eux bouches, Norbert passe de Nadine à Janine. Roland laisse le travail à Jules. On voit les bites passer d’un nid à l’autre continuellement.
    Aline m’entraîne par la chambre de Norbert vers la chambre d’amis qui m’était destinée pour la nuit. Enfermés à clé, nous allons être à l’abri des fous d’à côté. Aline a décidé d’être câline. Une lampe de chevet éclaire à peine le mobilier réduit, une table, une chaise, une petite armoire, un lavabo et le principal: un lit double. 
    -Vas-tu vraiment obéir encore à Norbert? Prévois-tu de te donner au chien comme tu l’as dit?
    -J’ai joué le temps. Si je refusais, il était capable de me traîner sur le champ dans la chambre voisine et tu aurais assisté à mon avilissement. Jules m’aurait tenue, Roland aurait ordonné et après Jules le chien m’aurait traité comme une chienne. Quelle horreur! Mais j’en ai marre de leur cinéma. Bruno lui-même me dégoûte. Il prétend qu’il est amoureux de moi. En réalité je ne suis qu’un pion dans leurs orgies. Leurs jeux les amusent, tant mieux pour eux. J’aspire à autre chose. Je rêve d’être la femme d’un seul homme, de faire l’amour avec lui, de savoir qu’il tient à moi, qu’il me protège, qu’il empêche ces détraqués de m’utiliser comme un tas de viande. Si Norbert veut me prendre devant toi, regarderas-tu?
    -Je connais un moyen d’éviter le spectacle qu’il voudrait nous imposer, c’est de refuser clairement. Devant moi, il n’aura pas le courage d’insister. Il ne voudra pas que je le dénonce comme violeur. Ce qui se passe dans l’autre chambre se déroule entre adultes consentants, je n’ai vu personne opposer un refus. Par contre si tu tiens tête, on changera de registre et ma présence te protègera.
    Un peu rassurée Aline m’embrasse. Je sens une retenue étrange: elle m’aime, mais craint l’intervention de Norbert épaulé par Bruno. Ils sont capables de violence si elle résiste. Ma présence ne suffira pas à les dissuader. Sans réfléchir plus longtemps, nous nous levons, chaussures en main nous descendons l’escalier. Médor aboie un coup comme s’il nous avait entendu. Personne ne réagit. Vite dans ma 2cv. Où allons-nous? Ai-je perdu la tête d’enlever cette presque inconnue? 

     
     
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  • La nuit je suis souvent réveillée par des bruits instructifs de l’appartement voisin. Un couple fait souvent l’amour le soir vers 22 heures et le matin vers 7 heures. C’est souvent gênant, surtout le matin. Si je savais qui c’était, je pourrai leur faire des remontrances. Dans ces grands ensembles souvent les appartements ne se touchent que par une cloison, jamais par le palier. J’arrive quand même à reconnaître la voix féminine au bout de plusieurs mois. C’est bêtement que je mets enfin un visage sur la voisine: une belle femme noire, antillaise, surtout bien sexy. Je la rencontre plusieurs fois, tellement que nous devenons des copines. 
    Elle me parait très calme: je ne la vois pas dans un lit faisant l’amour et criant comme elle le fait. Pour moi le seul résultat est que maintenant, je l’imagine quand elle se donne. Cette évocation me donne des envies de jouir. Je commence à attendre qu'elle se fasse mettre avec impatience. Je suis nue sur mon lit, le godemiché à porté de la main. Quand j’entend des murmures, je sais qu'elle ne va pas tarder à prendre son plaisir. Je mouille à partir de ce moment. Il me semble la voir, nue avec ses seins pointus, son bas ventre velu, ses cuisses ouvertes prêtes à recevoir une bite que je vois très grosse. 
    Je commence à entrer mon ami, le gode pour le mouiller. Je le fait aller et venir dans ma chatte. Quand j’entends des paroles comme, « oui, oui, encore, mets moi la au cul. Je ne peux résister: je me baise jusqu’au bout quitte à recommencer quand elle n’a pas fini. 
    Souvent elle me fait jouir plusieurs fois à tel point que je m’endors nue. 
    Nous devenons de plus en plus proches puisqu'elle m’invite à venir passer un après midi chez elle. 
    Je suis obligée de passer dans la cage d’escalier voisine. Au fond les deux partie d’immeuble se ressemblent. Dans son séjour je vois les photos d’elle avec son mari, ils sont dans je ne sais qu'elle île des Caraïbes. Son corps correspond en gros à ce que j’imaginais. Par contre je ne pensais jamais que son mari soit d’une blancheur presque cadavérique. 
    Nous buvons un café en bavardant. Denise me parle de son mari, Marc, de son île, de son travail dans l’administration. Je réponds par les récits de ma petite vie. 
    Elle me demande si je ne fréquente personne, un homme, une femme….
    Elle me plein d’être seule: 
    - Je ne pourrais jamais rester seule sans homme;
    - Moi, ne n’est pas de ma faute, j’en avais un et il est parti avec une autre.
    - Je te plains. Pour le sexe, tu dois te contenter seule alors.
    - Oui, mais je suis aidée.
    - Quelqu'un t’aide?
    - Oui toi.
    - Moi?
    - Quand te fais l’amour tu le cries bien fort, ça m’excite et je me caresse.
    - Je te rends service sans le savoir. Je sens que ce soir ça va m’exciter.
    - Nous pourrions presque nous masturber ensemble, si tu n’en vois pas d’inconvénient.
    - Tu me propose de me branler devant toi?
    - Presque je préférerais te branler et que tu me branles.
    - Je n’ai jamais fait ça avec une femme. Et en plus mon mari risque de venir. 
    - Et alors, il nous regardera.
    Je ne tiens pas compte de ses avertissements, je pose une main sur ses genoux. Nous nous regardons droit dans le yeux, sans les baisser. Si elle ne voulait pas elle m’enverrait bouler. Je ne cherche qu’une seule chose, me changer du gode. Elle me laisse faire quand je monte ma main vers sa chatte. Je suis un peu étonnée quand j’arrive sur sa chatte: elle ne porte pas de sous vêtement, sa chatte est rasée. Elle écarte bien les cuisses, je peux chercher et trouver son bouton. 
    Je la masturbe un instant quand à son tour, elle passe sa main sous la jupe plissée. Elle vient très vite sur mon clitoris. Elle me branle mieux que moi qui pourtant fait mon possible pour lui donner le maximum de plaisir.
    Ce qu’ elle craignait arrive, son mari entre chez lui. Je voudrais que nous arrêtions. Denise n’est pas d’accord, elle est pour que Marc nous voit et se mêle à nous. Qu'il me baise lui semble normal. Marc s’arrête sur le pas de la porte, il nous regarde sans bouger, surpris certainement. Je vois sa bite grossir dans son pantalon. Il vient vers nous, embrasse Denise avant de m’embrasser aussi. Je déguste ce baiser, le premier depuis très longtemps. 
    Nous n’avons même pas arrêter de nous branler. Marc ne nous en veut pas, il se met nu: nous regardons la belle bite, longue et grosse. Je comprends mieux les cris et gémissements des baises. 
    J’arrive à prendre la queue dans une main pour à peine la branler. Mon seul but est de la prendre dans la bouche. Denise commence à me déshabiller pour me donner à Marc. Il me prend dans ses bras, me caresse les seins, parfaitement, ses mains caressent mes fesses. Pourtant il n’y fait rien. Je sens une autre main venir entre mes fesses: celle de Denise. Elle sait parfaitement où elle va: elle caresse à peine l’anus pour finalement entrer presque un doigt. Je suis devenu son objet. Finalement j’ai un doigt dans le cul avec une langue sur la chatte. C’est à croire que c’est prémédité. Je reste debout, les jambes ouvertes, les seins durcis, le cul occupé. Il y a tellement de temps que j’ai du oublier des petits trucs en route.
    Je jouis rapidement, entre ce que m’a fait Denise et maintenant Marc, je suis obligée de m’asseoir. Denise me fait écarter les jambes, pose sa tête sur ma chatte, sa langue remplace celle de son époux qui ne perd pas de temps. Il est derrière Denise, sa queue toujours bien raide. Je le vois faire, il passe la queue dans la raie, arrive jusqu’à l’anus, en repart entre dans le trou du vagin et revient sur l’anus. Je vois la pine s’enfoncer lentement dans le ventre de Denise qui doit aimer se faire enculer, puisqu'elle soupire sans arrêt. 
    Moi, je ne fais rien que jouir du temps présent. Nous jouissons presque ensemble. 
    Le repas est vite préparé par deux nudités, des femmes qui se caressent souvent au point que je suce l’entrejambe de Denise. Marc nous inspecte: il bande toujours. Il nous retarde quand il tient à me plier sur la table, les fesses en face de lui. Je sens la queue venir sur le cul. Il ne fait que s’y arrêter pour aller plus loin. Il entre sans façon dans le sexe. Denise, passe derrière lui, sa langue sortie: elle lui lèche le cul. 
    La nuit démarre bien pour moi. J’ai droit à une bite dans le cul. Normal, une langue sur la chatte, normal. Ma bouche est sur la chatte de Denise. J’ai la place pour me caresser le clitoris. Je jouis comme une folle. Je n’arrive pas à arrêter les spasmes. 
    Je suis tellement crevée que je les laisse baiser comme ils veulent. Je comprend le pourquoi des cris; il la baise continuellement, devant, derrière, dans la bouche. Elle en demande toujours plus. 
    Les jours suivants elle vient souvant me voir. Nous baisons comme des lesbiennes, nous y avons pris goût. 

     
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