• Caroline et moi, ne sommes plus ensemble depuis quelques semaines maintenant. Le fait de bosser au mêmes endroits n'est pas gênant, notre histoire n'étant, finalement, axée que sur le cul, aucune rancoeur ne nous anime. Nous bossons dans un lieu peu commun, de grands hangars, ancienne fabrique d'hélice de bateaux, réhabilités en bureau (en durs ou en préfabriqués). Le lieu regorge de petits coins discrets. Nous sommes au moi de juillet, quasiment tous nos collègues sont en vacances.
    Je sors de mon bureau pour aller boire un café. Il fait chaud, je suis en short et en t-shirt. Je vois Caroline arriver en face de moi. Elle porte une jupe d'été légère mais longue et un petit haut sans manche. Ses seins (lourds, je m'en rappelle encore) dansent sous son top. On se salut:
    - Bonjour Caro!
    - Salut toi ! Me dit-elle avec un grand sourire qui fait ressortir ses grands yeux bleus.
    Elle a les cheveux courts, blonds, en bataille. Ses lunettes de soleil sont plantées dans cette chevelure de lionne. Nous ne sommes plus ensemble mais à chaque fois que je la croise, mon bas ventre se réveille. Elle m'a toujours excité et nos aventures sexuelles (ancrées à jamais dans ma mémoire) n'arrangent rien à cette situation.
    En me penchant pour lui faire une bise, j'aperçois sa poitrine sous son haut, elle est magnifique, ses seins me manquent.
    Je poursuit mon chemin vers la machine à café, elle me retient un posant une main sur ma poitrine. Elle se penche vers mon oreille est me murmure, à ma grande surprise: 
    - J'ai envie de te sucer.
    Je recule, surpris, « Comment?! », elle me fait un énorme sourire et me redit, les yeux dans les yeux, « J'ai envie de te sucer maintenant », « Mais? Ah bon? Maintenant? Pourquoi » Question stupide, mais réaction de surprise de ma part. « Ton sexe me manque et tu sais que j'adorais te la sucer pendant des heures » C'est bien vrai, elle à toujours eue une véritable passion de la fellation (et de la sodomie aussi, sois dit en passant). J'ai été le premier à lui jouir dans la bouche et elle adorait boire mon sperme, à n'importe qu'elle heure de la journée d'ailleurs.
    Je bande déjà. « Mais où? » dis-je « T'inquiète, suis moi ».
    « Attend!, je te connais » lui dis-je « une simple pipe, ça m'étonnerait, tu va en vouloir plus »
    « Non, j'ai vraiment juste envie de te sucer jusqu'au bout, il fait chaud et je suis excitée par la perspective de ta bite dans ma bouche, tout simplement »
    Je bande encore plus. Elle me dirige vers une autre partie des hangars que je ne connais pas. D'anciens bureaux, en retraits, et parsemés de baies vitrées. Pour la discrétion, on repassera, mais l'excitation est trop forte. Elle ferme la porte (attention totalement inutile vu les fenêtres qui nous entourent). Elle me plaque contre un mur. N'importe qui peut nous voir si l'idée lui vient de passer par là (nous partageons ces locaux avec de nombreuses autres entreprises). Sa langue vient s'engouffrer dans ma bouche, je bande à en avoir mal, elle m'excite vraiment. Sa main descend vers ma bite, elle la trouve sans aucune difficulté. Elle ouvre de grands yeux « Mais tu bande comme un âne, elle est hyper dure ». Elle me fait un regard de salope qui m'excite encore plus. Sa main commence de petits va et vient sur mon dard, j'ai mal, j'aime ça. Ma main gauche lui titille les tétons, il sont durs comme de la glace, « T'es excité ma salope » (elle aimait que je lui parle mal), « Oui, tu n'imagines pas ». 
    Elle ouvre ma braguette et passe sa main dans mon caleçon. Le contact de sa peau sur mon sexe est doux, mon cœur bat à 100 à l'heure. Elle me branle doucement.
    Elle prend ma main et la dirige vers sa chatte, je la chatouille à travers sa jupe.
    Je glisse ma main dans son string. C'est ahurissant, elle est trempée. Je lui glisse deux doigts (elle a une grosse chatte, j'ai toujours aimé ça, elle n'est pas trop serrée, je pouvais la limer pendant des heures. Si je voulais plus serré, elle m'offrait son cul, et là, c'était le paradis). Je lui enfonce donc mes doigts dans la chatte, elle dégouline, je l'ai rarement vu comme ça. Je sort mes doigts et les remonte entre nos deux visages. Je lui mets dans la bouche. Elle ferme les yeux en me les léchant. « Alors, tu aimes ton goût? » lui dis-je. Elle me regarde et sa seule réponse est un sourire malicieux.
    Je deviens plus dur « T'avais dis qu'on venait pour moi, pas pour toi » lui dis-je. Son regard m'implore de lui carrer un doigt. Mon regard descend vers ma bite. Je lui prend la tête à deux mains, une sur chaque oreille, « Regarde moi, je veux voir tes yeux » et elle se met à genoux, ses yeux dans les miens. Elle baisse mon short et mon caleçon, elle sait que j'aime être à l'aise quand elle me suce. Sa main gauche me caresse les couilles, ses doigt son chaud (mais moins qu'elle), son regard toujours dans le mien, elle glisse le bout de sa langue sous mon frein, ma bite se redresse d'un coup, lui fouettant le nez. Elle sourit. Elle a toujours aimé que je lui fouette le visage avec mon sexe. Elle l'enfourne d'un coup dans sa bouche. C'est chaud et humide. Elle va et vient, tout doucement, m'envoyant au fond de sa gorge. Elle ne néglige pas mes couilles et un des ses doigts me titille l'entrée de l'anus (c'est elle qui m'a fait découvrir ça; et j'aime bien, quand elle me suce qu'elle me glisse un doigt dans le cul, des petites décharges me parcourent et exacerbe le plaisir). Elle accélère le mouvement, je sens qu'elle veut surtout que je lui éjacule sur le visage, elle adore mon sperme. Je ne sais pas comment elle fait, mais à chaque fois, elle remue ma bite dans sa bouche d'une certaine manière qui me ferait presque m'évanouir de plaisir. Je remarque à cet instant qu'elle est entrain de se caresser. Elle est excitée. Sa poitrine monte et descend à une allure folle, comme mon cœur, j'ai l'impression qu'il va explosé. N'importe qui peut nous surprendre, c'est encore mieux. Sa bouche s'acharne de plus en plus sur ma bite, elle à maintenant deux doigts dans sa chatte, elles se les enfonce profondément, c'est une chienne. Je sens que je vais bientôt jouir, mais elle a gagné, j'ai envie de la baiser comme je ne l'ai jamais baiser! J'ai envie de la défoncer, de la faire crier!
    Je l'attrape par les cheveux et la retourne contre un lavabo, là, perdu dans un coin de la pièce. J'aperçois son sourire de gagnante, son sourire de salope, se sourire qui a compris qu'il va ramasser. Je soulève sa jupe et écarte son string. J'écarte ses jambes, elles sont inondées, elle mouille comme jamais. Sans hésitation j'enfonce ma bite dans sa chatte offerte, elle pousse un cri quand j'atteins le fond. Je rentre, je sors, je vais bien au fond, je veux qu'elle gueule, je lui cambre le dos, mes mains sur ses hanches, j'aime son dos, je vais lui repeindre de sperme. Je remonte son t-shirt, lui palpe les seins, je lui serre les tétons entre le pouce et l'index, fort, elle crie, j'aime ça, elle aussi. Je tape dans le fond, je veux la défoncer comme jamais, une de mes mains sur ses hanches généreuse, l'autre sur l'épaule pour qu'elle sa cambre au maximum, pour qu'elle m'offre sa chatte, pour qu'elle s'abandonne totalement, je veux la posséder entièrement. Je sens que je vais jouir. Je veux venir sur son dos, qu'elle me garde en souvenir jusqu'au soir, durant le travail, que mon sperme lui coule jusque dans le trou du cul pendant qu'elle tapera sur son clavier. Qu'elle soit gênée de penser que tout le monde est au courant de la salope qu'elle est.
    « Je vais jouir! ».
    Je me retire pour éjaculer, mais elle a un autre plan en tête. Elle se retourne immédiatement et s'agenouille devant moi. Elle veut boire mon foutre. Le temps que je comprenne ça, et je suis déjà entrain d'éjaculer. Elle n'a pas le temps me diriger à sa bouche grande ouverte, prête à ensevelir mon jus. Je lui jouis sur le menton, le nez, le front, les cheveux, les yeux. Je n'ai que rarement éjaculé comme ça. Des grandes giclées, bien fournis. Son visage est recouvert de sperme. Elle sourit et enfourne ma bite dans sa bouche avide de foutre alors que je continue de me vider, et mes derniers jets chauds lui caressent directement la glotte. Ses yeux sont toujours plantés dans les miens, du bout de la langue, elle me nettoie les dernières gouttes en suspend au bout de ma bite. Puis elle aspire le liquide qui me reste dans la verge. Elle adore vraiment ça. « Il a un goût aigre-doux que j'aime » me disait-elle quand nous étions ensemble. Je suis donc là, ma bite dans sa bouche, au-dessus d'elle, admirant son visage recouvert de sperme, et pour je ne sais quelle raison, j'ai envie de la salir, quelle soit à moi.
    A l'aide de mon sexe, je lui nettoie le visage. Je remonte vers sa bouche le sperme qui lui coule sur le menton et dans le cou. Elle en a aussi sur les seins. Je lui fait lécher mon gland, pour qu'elle soit propre. Son regard en dit long elle n'a pas eu le temps de jouir. Je finis de lui ramener tout ce foutre dans la bouche, elle se délecte. Je regarde entre ses jambes, sa chatte est toute gonflée, elle est d'ailleurs entrain de s'y mettre 3 doigts.
    Ses yeux dans les miens.
    Je l'attrape par les cheveux et la redresse. Je la colle contre le mur et me mets à genoux. Je soulève sa jambe droite pour la poser sur mon épaule, et lui écarte l'autre jambe, que sa chatte soit offerte à moi. Je plonge ma bouche dans ce bouillon qu'est devenu son sexe. A grand coup de langue, je lui procure des soubresauts qui m'annonce son orgasme. Deux doigt dans la chatte, ma langue sur son clitoris décalotté.
    Elle crie, ça m'excite.
    Je me redresse d'un bon, le visage inondé. Je lui saisis les cheveux, violemment et la retourne sur me petit lavabo. Je vais m'occuper de son cul, rond et accueillant. J'adore son cul. Je frotte ma bite sur sa chatte trempée et lui caresse l'anus avec mon pouce. Elle a compris et se trémousse. Je la fait attendre. Elle entame une ondulation du bassin à damner un ange. Elle n'en peut plus, elle veut que je l'encule. Je le veux aussi, mais j'aime jouer. Mon sexe est toujours aussi dur. Je me place sur sa rosette, elle est dilatée comme si elle s'était défoncée au Poppers. Je lui rentre dans le cul en une fois. Elle gueule de plaisir. Je l'enfonce jusqu'aux couilles, en écartant son cul avec mes deux mains pour profiter de ce spectacle. Je ressors, je rentre, je ressors à une vitesse folle. On se croirait dans du beurre. Je suis entrain de lui défoncer le cul comme jamais (cette après-midi est plein de surprise). Ploc Ploc, le bruit de mes couilles sur son cul. Je veux l'entendre crier, et c'est ce qui se passe, elle est entrain de jouir, sa chatte coule, son anus est ouvert, je l'encule, je l'encule, je l'encule. Elle hurle. Sa chatte explose. Son anus se resserre et se dilate à vu d'œil. Je vais jouir aussi. Elle hurle encore, ses jambes se dérobent sous elle. Elle jouit.
    Heureusement elle est posée sur le lavabo. Je me retire et éjacule sur son dos, en écrasant ma bite sur celui-ci avec ma main droite. Mon sperme inonde son dos. Encore des grosses giclées. J'en mets sur son t-shirt (elle l'aura son souvenir). Je gicle encore. Elle me colle à elle avec ses bras. Mes couilles sur son cul, mon sexe sur son dos, mon foutre partout autour. « Hummmm... c'est chaud » arrive t-elle à dire. Je ramasse mon sperme avec mes doigts, l'attrape par les cheveux, la mets à genoux, elle me lèche la main. Elle adore ça. Qu'elle salope me dis-je (avec tout le respect que je lui porte). Elle me regarde et me sourit, comme elle sait si bien le faire. Je bande encore. Elle frotte ma bite sur son visage.
    Je la regarde à mon tour et dis « On était venu pourquoi déjà? ». Alors, doucement, tendrement, ses lèvres entoure mon gland et m'avale entièrement (elle en veut encore, c'est ahurissant), j'ai mal mais que c'est bon. Elle sait vraiment y faire. Elle tire fort sur ma bite, me fait mal, elle le sait, mordille le gland et tire encore plus, mon frein et sur le bord de claquer, elle tire encore serrant ma bite si fort qu'elle devient presque violette. Je touche le fond de sa gorge. Elle me branle directement dans sa bouche, avec une seule idée en tête me faire éjaculer vite, elle me branle, les lèvres autour de mon sexe, elle me branle, des petits coups de langues sur mon gland, elle me branle, pour elle? Pour moi? Je ne le sais pas. Je vais jouir, encore, j'ai mal, mais le lieu, le moment, sont plus fort que ça. Je lui attrape la tête avec mes deux mains, elle me regarde, sort mon sexe de sa bouche et le pose juste sur le bout de sa langue. Elle continue de me branler, ses yeux dans les miens. Je lui éjacule sur la langue, encore de grosses giclées, elle avale tout comme une gourmande. Elle me nettoie comme elle sais si bien le faire, n'en perdant pas une goutte. Elle sourit, rassasiée. Elle s'essuie comme elle peut, les jambes, le visage, le dos. « STOP », pas le dos « Je veux que tu en gardes jusqu'à ce soir », elle acquiesce, m'embrasse « J'ai adoré » et retourne à son bureau (non sans passer par les toilettes pour parfaire sa présentation). Je rentre ma bite.
    J'ai mal.

    C'est la dernière fois que Caroline et moi avons baisé ensemble.

    Un souvenir encore bien présent. 

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  • Je me présente, je suis un beau jeune homme et encore étudiant. Pendant les vacances je monte des fois en train chez mon beau père pour pouvoir réviser tranquillement car il n'y a personne à la maison, tout le monde étant parti;...

    Un jour alors que j'avais pas mal de révisions à faire je décidais donc d'aller chez mon père. Dès lors que j'arrive à la porte d'entrée je me rend compte que la porte n'est pas fermée à clef. J'ouvre la porte, enlève mes chaussures et je quitte ma veste pour la jeter sur un coin de chaise. Je descends les escalier et là je découvre ma belle mère sur le canapé en train de regarder la télé. Je lui demande: t'es pas allée au cours aujourd'hui? Elle me répondit que non car elle ne se sentait pas très bien. Je lui fis la bise pour lui dire bonjour et monte dans ma chambre pour commencer mes révisions. Alors que je commence à ouvrir mon bouquin de maths j'entends ma belle mère qui m'appelle de la cuisine. Je descends les escaliers quatre à quatre car ça a l'air assez important.
    Je rentre dans la cuisine et lui demande ce qu'elle veut. Et là je la découvre avec stupéfaction en mini string rose transparent, son Jean ayant été délaissé sur le sol. Moi un peu fébrile: quoi? Elle: comment tu trouves ma nouvelle trouvaille que j'ai achetée sur le marché ce matin? A ce moment là je commence à sentir une bouffée de chaleur monter. Il faut dire que ma belle mère est une belle femme de 19 ans, bien roulée. Elle a des petits nichons tous mignons, un joli petit cul et un corps assez mince, elle est blonde avec des petites mèches décolorées plus foncées. A ce moment là je balbutiais que c'était joli. Elle: c'est vrai? Tu ne trouves pas que c'est un peu trop transparent? Cela lui faisais une petite chatte toute engoncée, ses lèvres étant bien apparentes à travers la matière transparente et une petite ficelle titillait son anus. Mais je lui réponds que non, et plus rouge qu'une cape de toréador je fonce dans ma chambre, la laissant comme ça au milieu de la cuisine.

    Je reprends tant bien que mal mes révisions ayant cette image sublime d'elle au milieu de la cuisine, dans ma tête. Quelques minutes plus tard j'entends des pas dans l'escalier. C'est elle qui monte, à ce moment là j'ai le coeur qui bat très vite. Je la vois enfin arriver dans ma chambre, elle ne s'est toujours pas rhabillée et a même quitté son haut. Elle me dit alors: il te plaît pas mon string? Moi: si si... Elle: ben alors pourquoi tu es partis subitement tout à l'heure. Moi: pour rien... Une grosse bosse se soulevant dans mon pantalon, elle me dit: apparemment si! Il te plaît même beaucoup... Elle me demande alors si j'en ai encore pour longtemps avec mes révisions. Je lui répond que oui. Elle me dit: repose toi un peu, je vais m'occuper de toi.

    Je lui répond sur un ton assez sec que j'ai encore pas mal de boulot. Elle me dit sur un ton déçu: d'accord je te laisse bosser. 
    Mai avant de partir elle quitta son petit string et me l'enfila sur la tête. Elle s'éclipse ensuite de la chambre me laissant avec son plus beau sous vêtement sur le nez.

    Ni une ni deux, étant très excité par la situation je ferme ma porte à clef et m'empresse de sentir la mini culotte de cette petite vicieuse. Je me rend vite compte que cette minuscule culotte est toute mouillée de sa petite cyprine alliée à de petites pertes urinaires. Je me mis alors à sentir la petite ficelle attenante à ce string qui sentait de douces effluves d'anus. Je me régale de ce trophée tout en me branlant copieusement. Quelques giclées de spermes viennent bien vite sortir de ma verge. 
    C'est trop bon de savoir qu'une histoire de cul est en trin de naître entre elle et moi, j'ai hâte de savoir comment va se dérouler la suite... 

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Je m'appelle Christina et je suis une jolie soumise. En fait, la plupart du temps je me prénomme Christian et je suis un garçon doux et timide. Il y a deux ans, j'ai découvert mon côté féminin et depuis je ne sais plus tellement à quel sexe j'appartiens. 
    Cette découverte, je l'ai faite grâce ou à cause de mon meilleur ami Nicolas de 3 ans mon aîné, il est tout le contraire de moi: courageux, sûr de lui, volontaire et il n'a pas de peine à séduire les femmes. 
    Il y a deux ans, donc, il m'a accueilli chez lui car j'étais dans la dèche. J'avais perdu mon boulot, mon appartement et je m'étais planté à mes examens. Il habitait dans un deux-pièces et nous devions partager le même lit, mais il n'y avait aucune ambiguïté au début. 
    Reconnaissant de son accueil, j'ai tout de suite entrepris de me rendre utile. Je faisais le ménage, les courses, la lessive, les repas, etc., tout en préparant à nouveau mes examens de bachelor. Cette vie d'homme au foyer me plaisait beaucoup, je dois l'avouer. Je me sentais bien dans ma peau et je reprenais confiance en moi. 
    Un soir, Nicolas me fit de nombreux compliments sur la tenue de la maison et la qualité des repas et me proposa de me payer pour mon travail, car il n'avait jamais eu de "gouvernante" aussi compétente que moi. Je me récriais, disant que je faisais cela par pure amitié et que je trouvais vexant qu'il me compare à une femme. 
    Il me dit de ne pas être vexé, qu'il entendait cela comme un compliment. "Qui sait, ajouta-t-il, peut-être que tu as encore d'autre talents féminins cachés". Sur ce, il me saisit par la taille et me colla un baiser sur la bouche. Surpris, je ne résistais pas, alors il recommença, en insistant, insinuant sa langue entre mes lèvres. J'étais totalement subjugué et je n'ai rien fait pour l'en empêcher. 
    "C'est bien ce que je pensais, dit mon ami, viens, je vais faire de toi une femme comblée". Je protestais mollement mais je le laissais m'entraîner dans la chambre où il me déshabilla, me caressa, me suça et me fit le sucer et finalement me pénétra avec douceur. Là, je sus que j'avais trouvé ma voie. 
    Le reste de la soirée se passa en chevauchées de plus en plus sauvages et nous nous sommes endormis épuisés et heureux. Le lendemain, il m'avait baptisé Christina et entendait bien que je me comporte désormais comme une fille. Je ne me sentais pas tout-à-fait à l'aise avec cela, mais j'étais tombé amoureux de mon ami et c'est ce qu'il voulait, je le voulais aussi. Il m'a tendu quelques billets avant de partir disant d'aller m'acheter une tenue plus adéquate pour une fille. "le rose devrait bien t'aller me dit-il en m'embrassant sur la bouche". Je suis donc allé dans une grande surface pour aller m'acheter de quoi me vêtir à son goût. Je suis sorti de là le coeur battant, un short de coton blanc à revers et une tunique rose sans manches, avec un joli liseré de dentelle. J'ai finalement acheté aussi une paire de mules noires à talons de 2-3 centimètres. De retour à la maison, j'ai épilé les quelques poils que j'avais sur le corps et j'ai vaqué à mes occupations coutumières. 
    Lorsque j'ai entendu mon homme arriver, je me suis rapidement changé dans la chambre, et je suis apparu le coeur battant, partagé entre le désir de lui plaire, la peur de lui déplaire et la honte de ne plus être un homme. 
    Il me trouva craquante et tint à me faire l'amour avant le repas, pour me montrer combien il me désirait et combien je l'excitais. La semaine est passée pour moi entre les emplettes de vêtements féminins et le sexe. 
    Puis le vendredi soir, après le repas, j'entendis sonner à la porte. Nicolas me demanda d'aller ouvrir, ce que je fis parce que j'avais confiance en lui. Une petite femme rousse d'une quarantaine d'année se tenait devant moi. "Christina, je présume, me dit-elle". "Euh! Oui, non, c'est-à-dire.. bredouillai-je en m'effaçant devant elle". Elle sourit et entra. Je la débarrassais et la fit entrer dans le salon. 
    "Christina, je te présente Maîtresse Divina, qui sera ton coach et ton éducatrice". J'étais interloqué, mais Nicolas poursuivit: "Elle va t'apprendre à améliorer ta féminité et les manières. Je veux que dans 10 jours tu puisses sortir de jour sous ton visage féminin, je te veux sexy et glamour. J'ai pris rendez-vous avec un endocrinologue pour envisager une thérapie hormonale". 
    Tout cela allait trop vite pour moi et je commençais à protester, mais Nicolas m'interrompit d'une voix sévère: "Silence, Christina! Ta maîtresse t'apprendra aussi à tenir ta place! N'est-ce pas? dit-il en se tournant vers la petite femme rousse". 
    "Absolument, Nicolas, répondit-elle, nous allons en faire une vraie petite femme très rapidement". 
    Et c'est ainsi que cela se passa. Lors de mon premier rendez-vous chez l’endocrinologue, il me fit faire des tests qui révélèrent que j'étais dans ma tête à 65% femme, trop peux pour commencer une thérapie hormonale immédiatement, mais suffisamment pour qu'il me conseille d'explorer le plaisir d'être femme. 
    Au bout d'un mois, les leçons de Madame Divina avaient porté leurs fruits, je me baladais sans complexe en minijupe et hauts talons, dévoilant mes belles jambes toutes lisses, émoustillée par les regards des hommes se retournant sur mon passage. Je me sentais femme et comblée. il faut dire que Madame Divina était un professeur exigeant et très autoritaire et me faisait répéter et répéter mes exercices jusqu'à épuisement. 
    Je suis redevenue Christian uniquement pour mes examens de bachelor, que j'ai passé brillamment. Je termine maintenant mon Master, toujours en tant que Christian. 
    Par contre, j'ai quitté Nicolas. Il était par trop autoritaire et macho et j'ai rencontré une fille lesbienne, qui m'avait draguée alors qu'elle me prenait pour une fille. Je l'ai détrompée rapidement, mais elle m'a gardé et nous sommes maintenant amoureuses l'une de l'autre. Je suis aussi heureux d'avoir trouvé une utilité à mon tout petit pénis, qu'elle apprécie maintenant dans sa chatte, présence qu'elle trouve caressante et non intrusive. Par contre, elle me pénètre avec un très gros gode-ceinture et nous y prenons beaucoup de plaisir. 
    Je ne sais plus très bien si je dois être Christian, Christina ou bien tantôt l'une ou l'autre. Je ne lâcherais ma féminité pour rien au monde, mais je suis né garçon. N'y aurait-il pas une voie médiane?
    Bisous à toutes et tous, Christian-Christina 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Mariée depuis une année un homme que j’adore, tout allait bien dans notre couple jusqu’à un mercredi, jour ou je ne travaille pas, la sonnette retentit, je vais ouvrir c’est un monsieur que je ne connais pas. Il dit s’appeler Patrick et qu'il connaît bien mon mari, Il me demanda si je suis au courant que mon mari avait parié et perdu une grosse somme d’argent. Je lui dis qu'il doit faire erreur car mon mari ne parie jamais et ne joue pas non plus à des jeux d’argent. Il me montre un papier écrit signé de mon mari sur lequel apparaît la somme qui se monte à plusieurs milliers d’euros. D’un seul coup ma vie s’écroule, nous n’avons pas une telle somme et pas question de faire un prêt, nous sommes à découvert certain mois. Je ne vois qu’une solution revendre la maison que nous avons achetée il y a 3 mois, pour pouvoir payer cette dette contractée par mon mari. Je me suis mise à pleurer comme une madeleine l’homme me calme et me dit vouloir faire un arrangement, mais que mon mari lui a promis de le rembourser depuis plusieurs mois et qu’il ne voit rien venir, c’est pour cela qu’il est venu m’en parler. Je lui demande quel arrangement on peut trouver car au maximum, on pourrait lui donner entre 50 et 100 € par mois et au vu de la somme que l’on doit il nous faudrait une trentaine d’année pour tout rembourser sans parler des intérêts. Il me dit qu’il est d’accord, si j’accepte d’être sa maîtresse 2 à 3 fois par semaine. Je lui réponds qu’il est fou et que je ne veux pas tromper mon mari, ce à quoi il me dit que j’ai qu'à en parler avec lui et que si nous sommes d’accord il décompterait à chaque fois qu’il couchera avec moi un certain montant de notre dette. Il prend congé en me disant d’en parler à mon époux et de réfléchir et qu’il viendra demander la réponse dans 10 jours et qu’il nous enverra une lettre dans laquelle il renonce à une partie de l’argent contre divers services que je lui rendrai. Quand au soir mon mari rentre, je lui demande si c’est vraie cette dette, il me dit que oui et m’explique qu’il s’est fait avoir. J’explose et rentre dans une colère noire, et là je vois mon mari effondré en larme et me jure qu’il ne recommencera plus ce genre de connerie. Quelques jours plus tard, je reçois un E-mail de Patrick qui dit cela:
    Patrick X reconnaît être d’accord pour effacer la dette de M. et Mme Y. contre divers services qu’ils pourront me rendre.
    Madame accepte de devenir ma maîtresse à partir du jour ou je récupérerai cette lettre datée et signée et cela 2 à 3 fois par semaine et s’engage avec l’accord de son mari à accepter tout ce que je lui demanderai si il ou elle refuse une seule de mes demandes, je casserai cet accord et dans ces conditions M. et Mme Y auront 48 H pour rembourser la somme restant due. Si passé ce délai, je n’ai pas récupéré la totalité de la somme, je déclencherai une procédure de saisie sur leurs biens via un huissier de justice.
    Lu et approuvé
    Signatures M. et Mme


    Le soir mon mari rentre du travail, je lui fais lire cet E-mail que j’ai imprimé. Après l’avoir lu, il me demande:
    - Tu ne vas quand même pas accepter cette proposition?
    - Tu vois une autre solution? 
    - Eh! non. 
    - Bon dans ce cas, nous n’avons d’autre choix que d’accepter cette proposition.
    Samedi, jour ou Patrick doit venir pour savoir notre réponse, le matin même il appelle pour nous prévenir qu’il ne pourra pas venir ce jour car il est en voyage pour affaires et ne rentrera que dimanche vers midi, je lui propose s’il n’a rien de prévu ce dimanche de venir dès qu’il sera rentré de son voyage et que c’est avec plaisir que nous l’accueillerons pour dîner. Un peu embarrassé il accepte. Dimanche midi, Patrick arrive avec un gros bouquet de fleurs et une bouteille de champagne bien frais. Dès que l’on boit l’apéritif, je lui tends le document signé de nous deux et il me dit:
    - Dès que j’aurai la lettre dans les mains, je peux te demander ce que je veux.
    - Oui je sais, si commencer maintenant ou demain cela ne change pas grand-chose.
    - Comme tu veux, tu as des ensembles bas porte jarretelles, slip et soutien gorge?
    - Oui.
    - Alors vas en mettre un.
    Je pars faire ce qu’il me dit, je reviens quelques instants plus tard et je commence à servir le plat que j’avais préparé dans la matinée. Patrick me félicite car il se régale. Quand nous avons fini, je propose du fromage et Patrick me dit:
    - Tu vas chercher le fromage mais avant de le ramener tu enlèves ta robe.
    Je reviens donc dans la salle en sous vêtements, porte jarretelles et bas avec le fromage. Pour servir le dessert, il me fait enlever mon soutien-gorge, en le servant je remarque que son pantalon est déformé par une grosse bosse au niveau de son entre jambe. Le dessert fini les hommes s’installent au salon le temps que le café passe et que je débarrasse la table, une fois fini je les rejoins avec le café. Je reporte les tasses vides à la cuisine puis reviens au salon alors que je vais pour m'asseoir, la voix de Patrick résonne:
    - Mets toi à quatre pattes sur la table du salon.
    - Vous n’allez quand même pas me baiser devant mon mari?
    - Si, je veux qu’il voit ce que sa femme est obligée de subir à cause de ses bêtises, dépêches d’enlever ton slip et de te mettre en position.
    Dans la précipitation, j’oublie enlever ma culotte, j’entends Patrick qui enlève son pantalon et son slip puis il s’approche de moi, arrache ma culotte et sans ménagement il s’enfonce d’une seule poussée de toute sa longueur dans ma chatte et je ne peux m’empêcher de crier:
    - Aïe! 
    - Heureusement que tu mouilles sinon tu aurais eu encore plus mal, ça t’excite de te mettre à poil devant des inconnus.
    - Oui, j’ai honte mais c’est bon et ta bite est grosse elle me fait du bien, pardon mon chéri de prendre du plaisir avec un autre homme, mais je sens que je vais jouir.
    - Oh! oui qu’est ce quel est bonne la chatte de ta femme.
    Ne pouvant plus se retenir, il jouit en même temps que moi. Après avoir repris nos esprits, je demande à Patrick comme il fait bon, si on ne profiterait pas des transats sur la terrasse. Alors que je m’apprête à remettre une robe légère Patrick me dit de rester nue pour profiter pleinement du soleil et qu’il va en faire autant. Nous nous allongeons donc nus sur les transats tout en discutant de choses et d’autres. Au bout de quelques heures Patrick se lève et dit:
    - Bon, il est temps que je rentre chez moi, mais comme te voir nue me fait bander, je vais te sauter une deuxième fois.
    Je m’apprête à me lever pour rentrer il me retient écarte mes cuisses s’allonge sur moi et me baise là sur la terrasse sans se soucier des voisins qui pourraient nous voir. Après que j’ai joui 2 fois, il accélère la cadence et décharge une bonne quantité de sperme au moment où je jouis pour la troisième fois. Puis Patrick se rhabille et mon mari le raccompagne jusqu’à la porte. Quand mon mari revient je suis dans le salon et il s’aperçoit que des larmes coules sur mes joues et il me demande:
    - Mais qu’est ce qu’il y a ma chérie pourquoi ces larmes.
    - Tu n’as pas vu, j’ai pris du plaisir avec un autre homme que toi, je t’ai trompé, je suis une salope et tu ne voudras plus me faire l’amour.
    - Mais non tu ne m’as pas trompé j’étais là à te regarder.
    - Oui, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à me faire sauter par un autre homme.
    - Je préfère te voir prendre du plaisir que de pleurer le temps qu'il te baise. Et je vais être franc avec toi j’ai même joui dans mon slip la première fois qu’il t'a prise et sans me toucher.
    - Alors comme ça tu aimes regarder quand je me fais sauter par un autre et tu désire encore me faire l’amour?
    - Oui, je désire encore te faire l’amour et même tout de suite si tu veux?
    - Je prends une douche après tu pourras me baiser.
    - Non ne prend pas de douche, j’aimerai te prendre tout de suite.
    - C’est bien pour te faire plaisir, moi j’aurais préféré me doucher.
    Sans plus attendre nous avons fais l’amour dans le salon très rapidement et nous avons recommencé dans la soirée mais dans notre chambre cette fois si.
    PS : dites-moi si je dois continuer. 

    Résum: Mon mari a parié et perdu une grosse somme d’argent ne pouvant pas rembourser beaucoup tous les mois, je suis devenue la maîtresse de Patrick l’homme à qui mon mari devait l’argent. Pour plus de détail voir le pari de mon mari.
    Dix jours sont passés depuis ce fameux dimanche Patrick étant absent pour son travail, on est mardi en fin d’après midi, je suis au travail quand je reçois un E-mail de Patrick me demandant si l’ordinateur est équipé d’une webcam et si j’ai MSN. Je réponds par l’affirmatif. Il me demande de m’y connecter une fois fait je peux voir Patrick et nous entamons une conversation par caméra interposée:
    - Comment vas-tu depuis la dernière fois?
    - Bien, merci et toi ça vas?
    - Oui très bien. Et comment a réagi ton mari dimanche après mon départ?
    - Très bien, on a même fait l’amour et il n’a pas voulu que je me douche avant.
    - Relève ta jupe, que je vois tes dessous. Tu es superbe avec tes Dim up, caresses toi, enlève ta culotte.
    - Je peux mettre le verrou à la porte de mon bureau? J’ai peur que quelqu’un entre.
    - Non, ouvre ton chemisier retire ton soutif et caresse tes seins et de l’autre main enfonces toi deux doigts dans ta chatte.
    - Oh! C’est bon, j’ai envie de jouir.
    - Non, tu dois jouir en même temps que moi.
    A ce moment là je regarde mon écran et je vois Patrick nu en train de se branler ce qui a pour effet de faire monter mon excitation d’un cran. Alors que nous sommes sur le point de jouir la porte de mon bureau s’ouvre, c’est mon patron qui en voyant le tableau s’excuse d’être entré sans frappé et referme le porte et regagne son bureau. Je n’ai même pas eu le temps de faire quoi que se soit, j’explique à Patrick se qui vient de se passer mais sans arrêter de me masturber et même en mettant un troisième doigt dans ma chatte et quelques instant plus tard on jouit tous les deux en même temps. Après avoir repris mes esprits, je me rhabille salut Patrick et coupe la connexion puis je me dirige vers le bureau de mon patron. Tous les bureaux sont vides, j’arrive devant la porte de celui de mon patron, je frappe la lumière au dessus de la porte m’indique que je peux rentrer ce que je fais, dés la porte refermée je dis:
    - Je suis venu m’excuser pour le tableau auquel vous avez assisté il y a quelques minutes. 
    - Non, c’est à moi de m’excuser je n’aurais pas du entrer sans frapper.
    - Il faut que je vous explique pourquoi j’étais en train de me caresser.
    - Je ne vous demande rien, vous pouvez faire se qu’il vous plaît de votre vie, je suis rentré dans votre bureau après les heures de bureau.
    - Si je tiens absolument que vous sachiez pour quel raison j’étais à moitié nue dans mon bureau. Mon mari a parié une grosse somme d’argent et nous ne pouvons pas rembourser cette somme, l’homme à qui on doit cette somme veut bien diminuer celle-ci mais en contre partie je suis sa maîtresse 2 à 3 fois par semaine avec interdiction de refuser ce qu'il me demande.
    - Mais votre mari est au courant de cet accord.
    - Oui, c’est lui qui a perdu le pari et d’ailleurs la première fois ça s’est passé devant lui. 
    - Ah! bon, tu sais, je te trouve très belle et si je étais resté à te regarder prendre du plaisir tu aurais continué?
    - Oui, certainement j’étais déjà à un point de non retour.
    - Si j’avais su je serais resté c’est tellement beau une femme qui prend du plaisir en se branlant.
    Après cette discussion, Je quitte mon travail et quand mon mari rentre, comme d’habitude je lui raconte tout dans les moindres détails y compris la conversation avec mon patron. Le soir au lit, il me fait l’amour juste avant que l’on s’endorme. Quelques jours plus tard alors que je suis avec mon amant je lui dis qu’après avoir coupé mon ordinateur, je suis allé voir mon patron pour lui expliquer pourquoi il m’avait vu avec mes doigts dans ma chatte et lui dit ce que mon patron m’a dit, c’est là qu’il me dit qu’il m’a enregistré sur son ordinateur et qu’il me l'enverra: et que si je veux je pourrais le transmettre à mon patron. Le lendemain comme de fait, j’ai un E-mail avec la vidéo et je la renvoie à mon patron avec ce petit mot:
    - Vous m’avez dis que vous auriez aimé me regarder me caresser mardi dernier, alors je vous envoie cette vidéo que mon amant a enregistré comme ça vous pourrez me regarder autant de fois que vous le voulez.
    - Très belle vidéo, merci.
    Mercredi, Patrick arrive chez moi et me propose:
    - Si on allait voir les magasins de centre ville de Lille (nous habitons à 50 KM de Lille)
    - Pourquoi pas, la dernière fois que j’y suis allé, je n’étais pas encore marié.
    - Vas te changer mettre une robe courte et sans sous vêtements.
    Nous voilà partis, sur l’autoroute, Patrick me demande de remonter ma robe et mettre mes pieds bien écartés sur le tableau de bord. En dépassant certain camion nous avons le droit à quelques coups de klaxon et des appels de phares. Arrivés en ville, nous nous promenons depuis un moment, comme si nous étions marie et femme, Patrick a sa main sur ma taille, alors que nous passons dans une rue un plus calme du coté du vieux Lille, Patrick descend sa main, la passe sous ma robe et remonte jusqu’à mes fesses. Si des gens nous suivent, ils vont s’apercevoir que je n’ai pas de culotte. Je tente de protester, mais il me pousse dans un coin d’un passage donnant dans la cour d’un immeuble, il fait sombre, là il me fait pencher en avant, je m’appuie sur une pierre, Patrick relève ma robe et me pénètre sans trop de difficulté car je mouille. Il m’amène vite vers l’orgasme, mais au moment ou je vais jouir, il se retire et me dit :
    - Tu as envie de jouir salope?
    - Oh! Oui dépêches toi de me faire jouir.
    - Enlèves ta robe, je veux que tu sois à poil pour jouir.
    - Mais n’importe qui peut passer.
    - Ça m’est égale mets toi à poil.
    Sachant que je n’ai pas le droit de refuser sous peine de voir notre contrat rompu, je m’exécute, dès que je suis nue je reprends la position et aussitôt Patrick me pénètre à nouveau et à peine quelques allers et retours et j’ai un orgasme fulgurant. Mais Patrick n’a pas encore joui et continue à me baiser très fort, un homme passe et nous voit, il s’arrête, au bout de quelques instants n’en pouvant plus, il sort son sexe et se branle puis s’approche un peu plus de nous. Quand l’homme est proche de nous et baisse totalement son pantalon et Patrick m’ordonne :
    - Suces le jusqu’à ce qu’il jouisse dans ta bouche
    - Non, Je ne le connais pas.
    A peine ma phrase fini que je reçois une série de fessée et de nouveau Patrick m’ordonne:
    - Tu vas le sucer et le faire jouir en même temps que je jouirai.
    - Oui, d’accord.
    Je prends donc en bouche le sexe de cet homme dont je ne connais même pas le prénom. Je le pompe pendant plusieurs minutes et j’accélère le rythme en sentant que Patrick ne va plus tenir longtemps. Au moment où les deux hommes jouissent j’ai moi aussi un orgasme. Patrick m’oblige à nettoyer leur sexe avec ma bouche. Une fois leur bite bien propre nous nous rhabillons tous les trois. Il est temps de regagner la voiture pour rentrer chez nous. Arrivés à la voiture Patrick me dit:
    - Comme tu as osé refuser de sucer l’homme tout à l’heure, tu vas enlever ta robe pour le retour
    - Pas ici en ville, sur l’autoroute je veux bien.
    - Non, tu la retires tout de suite, je te veux à poil pendant tout le retour sinon j’annule le contrat.
    N’ayant pas d’autre choix j’enlève ma robe et c’est totalement nue que je fais le retour et comme à l’aller plusieurs véhicules et principalement les camions klaxonnent ou font des appels de phares. Patrick me dépose chez moi et il m’interdit de me rhabiller pour rentrer dans la maison. La porte à peine fermée, je me rencontre que mon mari est déjà rentré lui aussi ayant entendu la porte d’entrée il sort de la cuisine arrive devant moi et s’exclame:
    - Mais enfin tu n’es pas sortie dans cette tenue?
    - Non j’ai mis une robe avant de partir.
    - Mais alors pourquoi tu es toute nue maintenant?
    - Il vaut mieux que je te raconte toute l’après midi mais avant je prends une douche et je passe un peignoir.
    - Non reste comme ça.
    Nous avançons dans la cuisine Je raconte donc toute mon après midi dans les moindres détails et dès la fin de mon récit mon mari me baise après m’avoir allongée sur la table et j'ai encore eu du plaisir.
    Deux jours plus tard, alors que je rentre du boulot un peu plutôt que d’habitude, je remarque que la voiture de Patrick est devant la maison et que mon mari est rentré. Une fois dans la maison, je les entends qui se marre bien, ils n’ont pas du m’entendre rentrer, je reste dans le couloir, je les entends bien rigoler et là cette phrase sortant de la bouche de mon mari, c’était vraiment génial cette idée de dette pour l’obliger à coucher avec toi et le contrat que si elle refuse quoi que se soit le contrat est nul. Là je rentre dans une colère noire, je fais irruption dans le salon je vire Patrick en lui disant de ne plus chercher à me voir que si j’ai envie de le voir je sais où il habite. Une fois Patrick parti je me fâche contre mon mari en lui demandant pourquoi il a fait ça.
    La suite au prochain épisode.
    PS : dites-moi si je dois continuer 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • L’amie de Tatie Marcelle

    Nous sommes dans l’une de ces vieilles maisons de ville comme il en existait dans le temps dans les petites villes de province. Marcelle, la propriétaire est une vieille dame accorte de 75 ans, les cheveux blancs, tirés en chignon dégagent son visage où tout sourit, les yeux, la bouche … Marcelle n’a plus de dents et ne porte son dentier que pour les repas qu’elle prend généralement seule. Son appartement occupe le premier étage de la maison avec une salle à manger richement meublée et soigneusement ornée de tableaux choisis. Une pendule ancienne marque le temps. La cuisine à laquelle on accède par un couloir est vaste et propre mais on dirait que les ustensiles sont d’une autre époque, y compris le frigo et la gazinière. La chambre au grand lit est protégée par un crucifix. Il n’y a pas de salle de bain et les toilette sont au beau milieu du premier étage et du rez de chaussée.

    Marcelle est seule par choix, sa voisine et locataire, Lucienne, au rez de chaussée pourrait lui tenir compagnie mais elle ne le souhaite pas.

    L’arrière de la maison comporte encore un lavoir en pierre, à droite de la porte le la cave, un jardinet bien entretenu et une chambre avec lavabo et pot de chambre.

    Je suis arrivé un matin, vers dix heures dans l’espoir de squatter chez cette vieille tante. J’hérite de la chambre du jardin et d’une invitation à déjeuner. Elle a sorti des albums photos que je feuillette tandis qu’elle s’active dans la cuisine en sortant de temps à autres toute joyeuse pour me faire un bisou et voir ou j’en suis des photos. Son doigt pointe un vieux cliché jauni et elle dit ‘ Il était beau ton oncle, quelle prestance avec sa moustache et son beau costume! ‘. 

    Malgré tous ses efforts je n’aime pas le repas mais je fais semblant. Elle a débouché une bouteille de vin de sa réserve et n’a bu qu’un verre, j’ai englouti le reste.

    Après déjeuner, elle passe dans la chambre et je la vois dans la grande glace. Elle ôte sa blouse de nylon et la voici en slip et soutien gorge, elle enfile une combinaison à fines bretelles et je me régale de la chair que je peux voir. Puis elle enfile un joli chemisier aux boutons nacrés, une jupe bleue foncée, une veste toute aussi bleue puis ajuste des bas chaussettes couleur chair et finie avec un carré de soie. La voici attendrissante avec ses chaussons. Elle trottine vers son placard à chaussures et revient radieuse dans la salle pour s’asseoir et se chausser de ces souliers blancs de vieille dame, pas très hauts et découpés au bout avec une lanière large au talon. Puis, elle me regarde ‘ Allons mon grand, le parc nous attend! ‘. Nous sortons tous deux, elle me tient le bras, très fière. 

    Au parc elle trottine toujours et salue ses connaissances, leur lance ‘ c’est mon neveux, le petit fils de ma sœur! ‘. Les compliments pleuvent, les mamies me boivent des yeux et je sens l’envie, la jalousie chez les vieilles dames, une pointe de respect chez les vieux beaux, la queue en berne qui, parfois les accompagnent.

    On se pose avec les copines de tatie, un cercle se crée et la conversation s’anime d’autant que tatie informe l’audience que je suis de droite, du côté du président, que je le rencontre souvent ( c’est une grosse connerie – pour les rencontres -).

    Je suis une star et je brille de milles feux que ma tantine m’a accroché. 

    Deux heures plus tard, je suis las de ces conneries, je me penche vers l’oreille de ma tante et lui glisse ‘ si on se casse pas tout de suite, je vais baffer une de tes copines! ‘. Elle rit et annonce: ‘ mon neveux a des tas de choses à faire et nous devons passer à la pâtisserie pour le dîner, excusez nous. ‘.

    Nous voilà sur le retour tatie Marcelle se tourne vers moi: ‘ Paul, tu as été parfait ! ‘.

    J’ai droit à un gâteau, une boîte de bonbons et la plupart des magasins qu’elle fréquente. C’est toujours la même chose, son neveu, de Paris, très brillant …

    Nous rentrons chez Tatie vers 6 h et je profite pour déballer mes bagage dans ma chambre, caler ma clef 3 G et regarder mes messages sur le web. Puis je passe des coups de fils de mon portable et m’aperçois qu’il est déjà 8 h. Tatie me téléphone en me demandant si je dîne avec elle. Je lui répond que non, j’ai prévu de sortir en ville.

    Un dîner expédié et deux bières dans un bar proche de la gare ou la moyenne d’âge doit être 20 ans.

    J’en ai marre, je rentre.

    Je tente de faire le moins de bruit possible mais Lucienne m’a entendu et me propose une petite liqueur chez elle.

    Lucienne est une petite bonne femme du même âge que Tatie, elle est maquillée, avec beaucoup trop de fond de teint et un rouge à lèvre très rouge. Elle est en peignoir de soie avec des mules plates et elle a gardé ses chaussettes ou son collant.

    Je m’installe dans la salle à manger vieillotte meublée un peu comme celle de ma tante. J’ai droit à un petit verre de Pineau.

    Lucienne s’est installée dans un fauteuil et un pan de son peignoir est écarté. Je vois sa jambe jusqu’à mi cuisse, elle a des mi-bas couleur chair et au dessus, sa peau est très blanche avec des veines très bleues.

    Je n’aime pas les vins cuits et je fais durer. Lucienne m’explique sa solitude, l’absence d’homme dans sa vie depuis très longtemps, ses croisières sur des bateaux de vieux … Puis la conversation bifurque sur l’homosexualité qui devient réalité pour une femme seule, moche, qui ne sait pas draguer les mecs.

    Je m’insurge en disant que c’est pas une raison, que pleins de mecs manquent cruellement de sexe …

    Lucienne a négligemment changé de position, les deux pans de son peignoir sont ouverts sur sa culotte en coton et le haut s’ouvre sur la naissance de ses seins.

    Bon, je fais quoi? Je me casse ou je la baise?

    Je fais le faux ‘ Lucienne, votre peignoir est ouvert, je ne peux m’empêcher de regarder! ‘. Elle a un grand sourire ‘ Et si je l’avais fait exprès? ‘. 

    Faut que je m’adapte … ‘ C’est le cas? ‘. ‘ Vas savoir jeune homme! ‘.

    Pour le savoir il n’y a qu’une solution: ‘ Bon, si c’est le cas, je veux tout voir! ‘. Elle tourne rouge pivoine, se lève et ouvre son peignoir.

    Ses seins sont tenus dans un soutien gorge et le haut est recouvert d’une mini combinaison. Le bas est exposé en culotte de coton blanc, bas chaussette et les mules.

    ‘ Voilà! ‘ m’assène Lucienne.

    Bon, faut trouver un truc pour sortir de cette merde … Je carbure sec mais ne trouve rien d’intelligent, je me lance et lui demande comment elle est nue.
    Le peignoir glisse au sol, c’est comme dans un film érotique. Puis la combinaison tombe au sol, au passage j’ai vu les aisselles poilues. Enfin, sans quitter les mules, le slip est dégagé et le sexe poivre et sel, peu fourni apparaît. Reste les bas chaussette et les mules.

    Je fixe Lucienne ‘ J’ai très envie de vous Lucienn! ‘. Elle n’ose pas bouger, elle est dans un état second ou ses efforts pour arriver là, la bloquent littéralement. ‘ Je m’approche doucement et glisse un doigt sur un sein puis caresse le ventre de ma main, glisse sur le replis du ventre et frôle le pubis tout doux. Je me glisse près de son oreille et murmure ‘ Tu veux qu’on fasse des bébés? ‘. Elle rigole, appuie sur ma main en écartant ses jambes et me répond ‘ Plus si affinités? ‘.

    J’ai peur de la casser mais je suis au taquet, je la tourne sans brusquer, tombe à genoux et tandis qu’elle se cambre tends ma langue entre ses cuisses glissant du sexe à l’anus. Elle se cambre un peu plus et le bout de ma langue atteint son bouton ou je m’attarde. L’odeur n’est pas forte, juste légère, un rien entêtante et la situation me procure beaucoup de plaisir. Avec une jeune, je me serais redressé pour la prendre sans ménagement, là, je continue ma caresse écartant doucement les fesses pour me repaître de son anus d’ou dépassent des hémorroïdes. Je m’interrompt un instant et assène ‘ Je vais faire rentrer tes hémorroïdes d’ou elles viennent ‘. Le temps me semble long, elle tarde à me mouiller la bouche puis, elle suinte avant de dégouliner.

    ‘ S’il te plaît, Paul, ça fait si longtemps, prends moi, profite de la vieille! ‘.

    Je me redresse, lui prend la main, la fait tourner comme pour un rock, me plaque contre elle et l’embrasse à pleine bouche en bandant comme un âne. Elle se pâme, s’abandonne, je sens ma cuisse mouillée … ‘ Dans le lit, s’il te plaît! ‘.

    Tout va vite, elle perd une mule en basculant sur le lit et je suis sur elle tout habillé à l’embrasser comme si ma vie en dépendait. Elle ne remue pas beaucoup mais mes doigts perçoivent son sexe trempé.

    Je me redresse, m’écarte du lit et ôte mes vêtements, ses cuisses sont largement ouvertes, elle dégage sa mule restante et ôte ses bas chaussette en me regardant. Lorsque je suis nu elle sourit ‘ tu es bien fichu mon cochon! ‘. Je me vautre sur elle et tente de la pénétrer. C’est pas simple, son sexe résiste, pourtant elle a envie … Je glisse entre ses jambes pour mouiller encore et encore l’entrée de mon plaisir, puis, comme je ne tiens plus beaucoup, je remonte et force pour me ficher en elle. C’est dingue comme je peine, son sexe me fait l’effet d’un anus vierge, je le lui dit en forçant comme un malade jusqu’à me planter dans son ventre. La situation est inconfortable, je ne coulisse pas du tout dans son sexe, je me retire puis reprend la pénétration. Au bout de quatre fois ça glisse bien et je la baise doucement en glissant ma bouche près de son oreille ‘ Lucienne, je vais te faire un enfant, tu me sens? Moi je sens ton vagin qui me serre, laisse toi aller, je veux t’empaler jusqu’à ce que mes couilles dégueulent de ta mouille … Comme tu es belle! ‘ … Elle a la bouche grande ouverte, me regarde dans les yeux puis ses mains se crispent. Le bassin n’a pas suivi mais elle frissonne et comme je suis au taquet, je lui saisi les hanches et la pilonne comme un dingue pour me déverser en elle. Je n’ai même pas regardé son visage en jouissant, les yeux clos je voyais les bleus de ses cuisses, les mules …

    Nous avons fait une longue pose puis elle m’a embrassé délicatement en disant ‘ Tu me prendrais dans ton lit pour la nuit? ‘.

    Nous sortons discrètement, elle a enfilé ses mules et son peignoir pour traverser le court espace extérieur qui amène à ma chambre.

    La chambre sent la lavande, elle glisse sous les draps préparés par tante Marcelle. J’ai traversé à poil avec mes frusques à la main. J’ai une furieuse envie de pisser, je ressors et me libère dans le jardin.

    Lorsque je reviens, elle est offerte, les bras très hauts sur l’oreiller faisant étalage de ses aisselles fournies. Son sexe est offert, il baille encore largement et suite à notre jouissance suinte délicatement. Ses pieds que je n’avais même pas regardé sont menus, un peu déformés au niveau du gros orteil avec de la corne au talon.

    Je bande de nouveau et lui fait savoir la suite des réjouissances: ‘ Je vais te bourrer le cul Lucienne! ‘. Sans se démonter elle choppe les deux oreillers , les empiles, pose son ventre un peu mou dessus et écarte ses fesses. ‘ Je vais te rentrer les hémorroïdes jusqu’aux oreilles ma belle! ‘. Elle couine ‘ Traite moi de vioque, dis moi que je suis moche et laide que je pendouille de partout … Aie! ‘. Je me suis planté dans son anus, d’un coup, en force et je pénètre doucement mais régulièrement.

    Comme pour son vagin, je sors et rentre plusieurs fois avant que le conduit soit assez lubrifié et qu’une auréole jaunâtre ne se dessine autour de mon gland. Puis je l’entreprend en force en lui disant qu’elle est un puit à merde, une vieille peau et que je vais lui exploser le cul pour qu’elle ne puisse plus aller chier sans penser à moi, j’en remet une louche, ‘ vieille truie, t’es un garage à bittes, tu as du te faire engrosser par tous les ânes du coin, la prochaine fois je te ferais prendre par un chien, ou un cochon, c’est tout ce que tu mérites! ‘ Je ne me contrôle plus et me vide totalement les couilles dans son fion. Je reste collé jusqu’à débander, puis je sors lui maculant le cul de foutre et d’excréments. Je me lève, gaule une serviette et lui jette. Elle s’essuie de derrière, putain comme j’aime cet instant ou les femmes n’ont plus aucune pudeur, ou, comme elle se chient dessus elles sont pratiquement la propriété de leurs prédateurs.

    Lucienne se lève, se dirige vers le pot, s’assoie sur les rebords larges et vide ses intestins tourmentés. Je m’approche et présente mon sexe mou devant sa bouche, elle suçote, vaincue, annihilée.

    L’odeur est forte, je ne déteste pas, elle se torche puis se recouche.

    Nous avons dormi dans les bras l’un de l’autre jusqu’au petit matin.

    Vers six heures, elle s’est levée discrètement, à fait un petit pipi dans le pot puis sans bruit est retournée chez elle.

    C’est à sept heures que Marcelle est arrivée avec mon petit déjeuner. J’étais couvert jusqu’à la gorge avec drap et couverture. Elle a eu un grand sourire puis m’a expliqué qu’elle ne dormait pas beaucoup et qu’elle savait que cette nuit j’avais ‘ honoré ‘ Lucienne.

    J’étais un peu honteux mais elle me passa la main dans les cheveux puis me dit ‘ Fais toi beau, je t’emmène au restaurant. ‘ Avant de sortir elle prit l’anse du pot de chambre pour aller le vider dans les toilettes.

    La journée pouvait commencer.

    ./ 

     

    Tatie Marcelle 2 La Bernadette

    Préambule: Certainement ma dernière histoire, de toute évidence mes textes ne plaisent pas. Tant pis. c'était histoire de partager. Cela étant je me moque un peu des votes mais si vous n'aimez pas qu'elle peut être l'intérêt de continuer? 

    La Bernadette:

    J’ai pris quelques habitudes dans cette petite ville. Le soir, je vais dans un bistrot pour taper le 421 avec quelques habitués. Décrire les habitués est sans grand intérêt et puis cette histoire concerne la Bernadette.

    Deux trois fois la semaine, une femme maigre rentre dans le bar, s’assoie et demande une part de gâteau et un thé.

    Maigre et à l’aspect sale. Elle se cale en biais pour manger son gâteau et siroter son thé. Le visage très brun avec une cicatrice à la joue droite, un cou fin et sec, des seins d’évidence trop petits, un bassin étroit et des jambes décharnées dont on ne peut voir que la chair des mollets entre les chaussettes et le bas du corsaire bleu taché. Ces mollets sont velus comme ceux d’un homme.

    D’entrée, le patron du bar, en rigolant, en a fait ma fiancée. 

    Un soir, elle entre, Robert, le patron de l’endroit, s’exclame: ‘ Bernadette, vous voilà, votre petit fiancé vous attendait! ‘. Je me défends, tout le monde rigole, Bernadette a, sans doute, dix ans de plus que moi et, si comme le dit Robert, elle est gentille, elle n’a sûrement pas inventé la poudre.

    Elle profite de l’instant pour me taxer une cigarette qu’elle va fumer dehors tandis que la partie de 421 continue.

    Je l’ai quasi oublié lorsqu’elle rentre de nouveau et se pose, comme d'hab, sur une chaise pour manger son gâteau et boire son thé.

    La partie fait rage et j’en oublie l’heure. Obligé de téléphoner à Tantine pour lui dire que je ne rentrerai pas dîner.

    Naturellement les habitués y vont bon train … Que j’ai un rendez-vous galant avec Bernadette, que ce soir nous allons faire des folies …

    Ce qui est amusant c’est que, généralement, dans les bistrots, que la fille soit belle ou moche, lorsque les potes vous branchent ou font semblant, même si vous aviez l’envie la plus forte au monde, vous savez que vous ne concrétiserez pas pour ne pas passer pour un con et alimenter la gazette des comptoirs.

    Je fais la fermeture et décide d’aller au resto. Bernadette a disparu depuis un moment et les rues se sont vidées. Je quitte le rade avec la volonté de prendre à droite vers la place du monument au mort ou se trouve un estaminet lyonnais plutôt sympa.

    Tout à coup, d’une fenêtre du rez-de-chaussée, j’entends: ‘ Monsieur ? ‘. Je regarde, c’est Bernadette. ‘ Vous voulez que je vous offre un verre de vin? ‘. Un coup d’oeil à gauche puis à droite et j’accepte. J’entre sous la porte cochère et, là, juste à droite, Bernadette est dans l’encadrement de sa porte.
    J’entre dans son ‘ chez-elle ‘. Ce doit-être un deux pièce avec une cuisine américaine. Les murs sont jaunes et aussi crade que la maîtresse de maison et ça sent l’encens.

    Je me retrouve assis à une table de cuisine, qui trône en plein milieu de l’espèce de salon.

    Bernadette sort deux verres à moutarde et me verse une rasade de rouge, elle se donne la même.

    Elle me regarde longuement, je suis très pensif et, de temps à autre je regarde ses jambes velues …

    ‘ C’est vrai que vous m’aimez bien? ‘ demande-t-elle.

    Qu’est ce que peux répondre à part bien sur.

    ‘ Moi je vous aime bien. ‘.

    Bon, ça c’est fait.

    ‘ Pour ce soir j’ai fait de la soupe et je peux frotter des croûtons à l’ail. ‘.

    Je ne résiste pas, je pars à rigoler, un fou rire dingue.

    Elle n’est pas émue. ‘ Je vous invite à souper? ‘. Demande l’improbable.

    Sans déc, le truc est tellement ahurissant que je dis oui.

    Le second verre de pinard me conforte dans l’idée que c’est du fort, du qui arrache.

    J’aide à mettre la table. Les assiettes creuses en Arcopal ne dénotent pas sur la toile cirée et elle sont, tantôt remplies de la fameuse soupe. Je goûte, c’est pas mauvais. L’aï est sur la table et les croûtons doivent-être prêts depuis ce midi. Elle épluche, frotte, me donne, se sert, recommence sans avaler une bouchée.

    ‘ Il faut manger Bernadette! ‘. Elle me regarde un peu ahurie puis s'enquille plusieurs cuillères de soupe en mettant à chaque fois un croûton qu’elle mastique longuement.

    Le repas me semble une éternité.

    Dès que nous avons terminé la soupe la voilà qui débarrasse et se met à laver dans l’évier.

    Je ne sais pas pourquoi je me suis levé en lui proposant d’aider. Elle m’a refilé un torchon douteux puis s’est remise à l’ouvrage. Pendant que j’essuie une cuillère m’échappe, je me baisse pour ramasser et frôle les fesses de mon hôte. Elle stoppe net.

    ‘ Peut-être pas le premier soir? ‘. Dit-elle.
    Je ne dis rien, me redresse et elle est dans mes bras, sa bouche scotchée à la mienne. L’aï prédomine dans ce baiser et son ventre, contre le mien m’averti qu’elle risque de se retrouver plantée sur ma queue dans peu de temps.

    Je caresse ses petits seins, malaxe ses fesses et continu à l’embrasser comme si ma vie en dépendait.

    Elle me prend par la main et me guide dans sa chambre. Le lit est un vrai chantier et sa chemise de nuit, ancien T shirt ample, tout mité est taché de partout.

    La machine est en route, nous sommes vautrés sur le lit et je défais sa ceinture, elle s’extirpe du corsaire … Je recule, incrédule, stupéfait. Son sexe est une jungle, le haut de ses cuisses aussi velu que ses mollets. Elle n’avait pas de culotte et les relents d’urine montent dans la pièce avec une vague odeur de cul mal lavé.

    J’entreprends de la mettre entièrement nue. Non seulement ses aisselles sont très fournies mais le bout de ses seins est orné de poils longs.

    Je perds pieds, l’embrasse et l’embrasse encore tandis qu’elle tente de me dénuder. Me voici entièrement nu, sexe dressé dans ce trip velu à souhait. J’ai une furieuse envie de l’embrocher mais elle réclame des caresses, mes mais palpent, touchent, pétrissent … Mes doigts investissent son entre jambe, elle s’écarte, chouine.

    ‘ Lèche moi s’il te plaît. ‘ m’assène-t-elle. 

    Je peux pas faire autrement, je glisse entre ses cuisses, l’odeur est forte, le goût à la hauteur de l’odeur. Pourtant je m’active comme s’il s’agissait de ma survie. Je lèche, lape, aspire, m’aide de mes mains, de mes doigts pour écarter la broussaille et en prendre encore plus dans les naseaux. 

    Son anus refoule une odeur de chiottes malpropres et partis dans mon délire je lui bouffe le cul, glisse ma langue pour forcer le passage de son fion. Elle se cambre, frémie puis explose dans un râle.

    La voilà au repos et moi qui commence à cogiter. Putain de délire!

    ‘ Personne ne m’a fait plaisir comme toi! ‘. Murmure ma conquête. 

    J’ai la bite tendue à l’extrême, j’annonce ‘ J’ai envie de toi! ‘.

    Elle se positionne à quatre pattes. ‘ Je prends pas la pilule tu comprends, mais tu peux me prendre le cul. ‘.

    Le genre de truc qu’il faut pas me dire deux fois, je l’empale en visionnant son cul, en regardant ses fesses aussi poilues que celles d’un mec. J’ai l’impression d’enculer un copain de régiment. Les poils de ses jambes sont une vrai caresse. La plante de ses pieds est dégueulasse mais, même ça m’excite. J’ai passé le point de non retour.

    Je la bourre comme un malade, sors mon sexe de ses boyaux pour constater les salissures sur mon gland et à sa base. 
    Je repénètre, fais cogner mes couilles à chaque coup de rein.

    Et puis, soudain, elle se cambre, serre les fesses en beuglant ‘ Arrête je vais faire caca ! ‘. Trop tard, je transcende, fulgure, apocalypse, éjacule sans fin.

    Je reste planté jusqu’à ce que mon sexe rétrécisse et se retrouve expulsé avec un début de diarrhée.

    Putain de pied!

    Bernadette semble repue.

    ‘ Tu sais, murmure-t-elle, personne ne veux de moi et tu es le premier depuis mon accident! ‘.

    Alors elle se lâche, me raconte comment elle était pilote pour des courses de côtes, ses quelques exploits en voiture et puis, le jour ou dans un virage elle a fauché deux adultes et un gosse pour s’encastrer dans un arbre dix mètres en contre bas. Le coma, la rééducation et le remord d’avoir tué et la perspective de plus rien pour une fille qui n’avait plus de boulot, plus de quoi s’accrocher à sa passion. Les mecs qui lui tournaient le dos, les copines pour qui elle ne valait plus rien. Son départ d’Orléans pour venir ici, enterrée près de ses parents. Elle pleure doucement. Puis continue, la déchéance, la pension qu'elle touche et cet appartement quasi insalubre et sa solitude qui pèse.

    Voilà un moment que ça devait rester coincé pour qu'elle me parle, comme ça, plus d’une heure.

    Comment elle s’est laissé aller, elle autrefois si propre et si coquette … Mais quand c’est pour personne … 

    Je comprends.

    ‘ Tu veux encore? ‘ demande-t-elle.

    ‘ Tu as quel âge Bernadette? ‘

    ‘ Quarante cinq pourquoi? ‘

    ‘ Tu as encore tes règles? ‘.

    Elle a un rire de crécelle avant de m’avouer que non.

    Je la repositionne à quatre pattes mais, cette fois ci, je pénètre son sexe, tout doucement. Elle mouille beaucoup et sanglote doucement, interrompant ses sanglots pour murmures des je t’Aime.

    Et puis je la bascule sur le dos et dans la position du missionnaire nous continuons à nous Aimer. 

    Oui, j’ai dit Aimer, l’odeur ne me pose plus de problème, son corps non plus, mon sexe est bien, ma peau touche la sienne et je perd la notion du temps jusqu’à ce qu'elle contracte les muscles de son vagin en une invite à me laisser aller.

    Nous reposons côte à côte, elle me caresse doucement le ventre et la poitrine, m’embrasse délicatement puis me souffle ‘ Personne n’en saura rien, je te promet! … Si tu veux, tu pourras revenir?! ‘.

    Je me lève, fais un brin de toilette sur le lavabo, reviens près d’elle et lui murmure ‘ Je serais toi, je ferais un peu de ménage demain. ‘.

    Me voilà parti pour retrouver mon univers, si différent de celui de bernadette.

    Est-ce que nous aurons l’occasion de nous revoir?

    ./ 

     
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