• Lorsque j'ai connu les Gargel , ils arrivaient de la région marseillaise et malgré leur jeune àge, étaient de vrais sportifs dans l'âme . Henry , fidèle et prude , partait à heure régulière et ne rentrait jamais avant 22hoo . Ce qui laissait en semaine , à Chantal...qui bavarde , le temps de chercher des occupations , car après quelques conversations , j'avais cru comprendre , qu'elle n'avait pas autant de satisfactions au lit que sur le bulletin de paie .. et au fil des rencontres de couloirs , un jour elle m'invita à prendre un verre , car disait-elle , son ours n'était pas sociable !!!Avec son peignoir légèrement au dessus des genoux , et ouvert sur une poitrine opulente, elle ne me laissait pas indifférent ; je dirais même qu'après quelques minutes , je bandais ... La conversation , à huis clos , ne tarda pas a dévier sur le sexe comme je m'y attendais .. Oui à force de croiser , décroiser les jambes , elle avait découvert ses belles cuisses fermes malgré l'âge .. et elle me parlait de ses fantasmes tout en regardant la bosse grossir dans mon jeans !!! oui elle n'osait pas faire le premier pas avec ce jeunot de 26 ans , mais cela n'était pas l'envie qui lui en manquait . Aussi quand j'eus compris ses désirs , je décidais de passer a l'attaque .. et au moment ou elle s'approcha avec deux verres à la main , je lui encerclais la taille , l'attirant contre moi ;"" vous n'allez pas vous payer une vieille !!!!"" s'exclama-t-elle , alors que je posais mon autre main sur son ventre , et levant les yeux , je lui répondis "" que sûrement elle avait autant envie du jeune qui était là que moi d'elle . Elle fit semblant de se défendre et laissa ma main écarter le peignoir et caresser sa peau blanche et douce , et découvrir sous une culotte assez étroite ( le string n'existait pas ..) une toison dense , et deviner des grosses lèvres qui laissaient présager une bonne envie . Elle se laissa faire et me dit en se baissant pour m'embrasser . ""je crois qu'on va bien s'amuser "" .... et ouvrant la bouche , nos langues entreprirent un sérieux combat pendant qu'elle me prenait le sexe à pleine main et que de mon côté je caressais la raie de son vagin écartant les grosses lèvres qui durcissaient pour trouver un clitoris comme jamais je n'aurais pu en imaginer un .. oui Chantal avait une furieuse envie de faire l'amour et sans préliminaire arriva à s'empaler sur mon gland et se déchaîner furieusement le souffle court , et me laissant faire , Le peignoir tomba sans regret et le soutient gorge aussi . C'est une femme déchaînée qui se faisait l'amour sans se demander si j'avais autant envie qu'elle, je caressais ses seins qui durcissaient et je pris un téton entre mes lèvres pour le mordiller , en laissant une main sur son clitoris elle m'inonda le pubis et les couilles , cramponnée à mon cou en poussant des ""Han ! Han ! Han !!! .. Elle se mit à jouir soudain et ne pouvant se retenir elle poussa un cri qui me surprit et elle s'écroula contre moi en donnant des coups de reins comme pour m'enfoncer au plus profond de son ventre . Elle sentit soudain mon foutre jaillir en elle et me serra encore plus comme pour ne rien laisser perdre . Soudain elle se releva et se jeta sur mon gland et me suça jusqu'à la dernière goutte .. ce n'était que le début . on allait voir ... 
     

    Chantal était encore entre mes cuisses à me lécher les couilles , la verge , et malgré la différence d'âge , je la trouvais de plus en plus excitante .. Elle se releva et me demanda de la suivre dans la chambre ou nous serions bien mieux pour continuer .. ""Oui , tu comptais t'en tirer avec un coup !!! mais j'ai encore envie"" , et ce n'est pas son clitoris qui dépasse de ses lèvres trempées qui pouvait démentir la réalité .. aussi tout en la caressant je la poussais doucement et cuisses ouvertes elle m'offrit sa chatte que ma langue se mit a explorer . Le goût salé ne faisait qu'augmenter mon désir et j ' écartais ses grosses lèvres et la branlais en va-et-vient le long de ses petites lèvres . N'y tenant plus je saisis son clitoris et l'aspirais lentement alors qu'elle donnait des coups de rein comme pour me faire l'amour dans la bouche . Je sentais sa cyprine couler sur ma langue . Les mains sous ses fesses je la collais contre moi et soudain l'envie de mettre un doigt dans sa rondelle me poussa à la pénétrer d'un coup d'une phalange du pouce . Elle se raidit surprise par la douleur de la poussée . Mais relevant la tête , je la vis se pincer les tétons et gémir de plaisir .. "" Oh baise-moi !! défonce moi !! viens me la mettre au plus profond !! oui j'ai envie de ta queue , viens mon petit chéri , fais moi éclater . "" Elle ne s'arrêtait pas et je m'allongeais sur son corps et c'est sa main qui se saisissant de ma verge la mit à l'entrée de sa grotte ruisselante . Je commençais à la pilonner avec de plus en plus de force , ce qui semblait lui plaire car elle s'activait pour qu'au moment ou nos corps étaient soudés je sente bien son plaisir . Combien de fois a-t-elle joui ? je ne le sais car lorsque je giclais au fond de son ventre elle m'enserra entre ses reins et me garda en elle un long moment .. jusqu' à ce que mon sexe apaisé sorte tout seul la laissant inondée de plaisir . Elle me caressait les cheveux en me disant qu'il y avait longtemps qu'elle n'avait joui ainsi , tout en se frottant contre mon ventre . Je sentais ses poils trempés qui crissaient avec les miens et elle semblait heureuse . Nous ne parlions pas , nous savourions le plaisir , qui coulait entre nos cuisses .. et après un moment elle me dit "" Si Babette était là , elle en voudrait autant ! - Etonné , je lui demandais qui était Babette , et découvris que c'était une voisine du R.D.C. dont le mari comme le sien pensait plus à sa promotion qu'a son plaisir ;. Alors ils leur arrivait de temps à autre de se faire plaisir ensemble ... Babette avait 33 ans mais , une pêche d'enfer , me dit elle .. Et pendant un moment Chantal me raconta comment elles se faisaient jouir , comment elles occupaient leurs après-midi ... à se sucer , se fouiller avec les doigts et jouir tranquillement , car c'est vrai l'insonorisation des appartements était parfaite . Tout à coup alors qu'elle recommençait à me branler et se titiller le clitoris avec mon gland , elle me demanda , si je ne voudrais pas venir passer un après-midi avec elles , à condition que je lui consacre des moments à deux , car elle ne pensait pas à son âge , plaire à un jeune , et surtout éprouver autant de plaisir . Tout en parlant elle se masturbait avec ma verge et je caressais sa poitrine , dure qui , à force d'être pincée et léchée avait une couleur rosée .. elle avait encore envie et comme je recommençais à bander elle me prit entre ses cuisses et roulant sur le lit elle se mit sur moi et sans nous séparer , elle vint s'asseoir sur la verge et caresser son clitoris et sa toison .. elle me fixait dans les yeux , me demandant pourquoi elle avait autant envie de me sentir en elle !! et elle commença à s'agiter sur mon pubis en retenant son souffle pour mieux jouir .. pour m'inonder une autre fois .. oui cette fois c'est d'épuisement qu'elle s'affala sur moi enfin comblée , et je sentais encore ses muscles vaginaux frémir , et masser ma verge . Elle se laissa aller sur moi et prenant mes lèvres , dans un baiser qui n'en finissait plus je sentis son vagin se contracter et elle gémit en écartant les cuisses , devenant toute molle sur moi . Je crois qu'elle avait atteint la limite de son plaisir et comme deux enfants on s'embrassait à pleines bouches , tout en se caressant . Il était presque midi , et Chantal me rendit ma liberté , non sans avoir voulu me faire une pipe , et me faire durcir , une dernière fois . "" Tu sais , tu peux venir quand tu veux , et si un après midi tu es d'accord , viens nous rejoindre . J'étais sidéré car elle n'était pas jalouse et malgré nos différences d'âge elle ne craignait pas de me voir l'oublier . Lui caressant une dernière fois le clitoris avant de partir , elle se laissa faire en soupirant de bonheur ""a bientôt mon coeur "... et je lui promis de revenir bien vite , ne disant pas non à sa proposition avec Babette ... 

     

    Depuis notre première fois avec Chantal, notre relation était plus simple. J'étais l'amant du matin, quand je commençais vers 11hoo puis celui de l'après-midi quand j'étais du matin. Quant à son mari, il était toujours aussi poli, quand il me rencontrait. Nos rencontres n'étaient pas obligatoirement longues et soutenues. Chantal aimait les surprises, comme débarquer chez elle, "la pine à la main" comme elle disait et la faire jouir quelques minutes. elle l'effet de surprise aussi excitant que de se sentir envahie par mon gland. alors, nos coupes étaient au rythme de nos rencontres. J'avais toujours un alibi pour le cas où !!! mais pendant le premier mois rien ne vint trouver notre plaisir. Dés la seconde semaine celle ou je travaillais le matin, Chantal me dit que nous pourrions y adjoindre babette !!! Quand, c'était la surprise puisque babette venait quand elle avait envie. Oui chantal était plus exigeante avec moi que son amie, mais elle préférait une bonne verge qu'une langue experte. alors les A-M ou elle savait que j'allais arriver, elle se mettait en tenue. Le judas de la porte d'entrée lui permettait de me recevoir les cuisses ouvertes, entrain de se masturber. C'est pourquoi nos après-midi étaient bien remplis ..ainsi quand je sonnais !un clin d'oeil et elle était prête en ouvrant la porte. Aussi le jour ou elles s'exclamait " bonjour mon voisin !!" je savais qu'elle n'était pas seule. j' y a rencontré, ainsi, d'autres voisines venues papoter !bien que !!! certaines fois leur tenue était un peu trouble. Quand dans le hall, ma main inquisitrice découvrait en quelques secondes une chatte trempée !!! elles ne devaient pas faire de prières !!! Enfin je n'avais pas à âtre jaloux et c'est ainsi que j'ai connu ces "copines" dont certaines se dévoileraient dans les semaines à venir. Nous discutions de tout et mon statut de célibataire fit briller des regards, et me faire comprendre qu'il n'y avait pas que l'étage de Chantal !je pouvais m'arrêter ailleurs et j'y serai bien reçu ... madame Gendrin me proposa même d'aller bricoler chez elle, car depuis deux ans qu'elle est veuve, il y a quelques menus travaux a envisager. Alors avec mes journées continues, je pourrais, si je le voulais, l'aider, avouant même qu'elle m'en serait reconnaissante !ce qui fit sourire Chantal, qui comme moi imaginait ces petits cadeaux. en attendant de connaître plus amplement Babette, j'avais madame gendrin, veuve de 44 ans, a la suite d''un feu rouge grillé par celui qu'elle adorait. et semblait ne pouvoir oublier. Annie était la veuve idéale, et j'imaginais sa belle poitrine entre mes doigts inquisiteurs, et jouissant sous mes coups de langues dans une chatte en folie. Enfin on verra. Cette veuve éplorée allait me démontrer qu'un jeûne de deux ans, donnait un manque sexuel incontrôlable. Ce n'est que le lendemain de cette première visite que je vis arriver Annie vers 7h30 le matin !!! le robinet de sa salle de bain avait l'air de fuir un peu et avec sa pension elle voulait un avis éclairé et si possible une réparation de la fuite. Je découvris ainsi l'univers d'Annie !elle n'aimait pas que les sucette a l'anis,car en démontant le meuble de la salle de bain, je suis tombé en extase devant un gode qui risquait de me complexer !!! déjà, Annie devait être un sacré numéro. elle fit celle qui n'était choquée et prenant de gourdin sexuel parti vers sa chambre à coucher. Son peignoir un peu court pour cette matinée d'hiver laissait présager une suite crescendo!! car elle ne semblait pas pressée. elle voulait jouir du moment.. Elle se rendait compte que si je n'avais l'outillage pour réparer la fuite, j'avais sur moi de quoi réparer un autre manque qui semblait pour elle aussi pressant. accroupi devant le lavabo récalcitrant, je constatais effectivement une humidité autour de la soudure du robinet !!! me doutant qu'en mettant un doigt ailleurs je trouverai plus humide et surtout plus facilement accessible sans contorsions inutiles. alors, je me contentais de me rincer les yeux en attendant le plat de résistance. Annie cuisait a petit feu et pendant plus de demie heure le robinet fut l'objet de nos sollicitudes. Jusqu'à ce que voulant se baisser a côté de moi, le peignoir remonte trop haut pour me cacher une mini culotte dont une toison brune dépassait par endroit. Je réalisais même qu'elle était trempée et que le fuite, a cet endroit serait plus vite réparée que celle du lavabo ....

     

    Pendant que j'expliquais à Annie qu'il fallait aller acheter du mastic pour dépanner, et colmater la fuite, je découvrais sa jolie culotte transparente et une toison qui semblait déjà bien humide. Baissée devant moi, allongé sous le lavabo, elle ne pouvait pas manquer de voir la bosse qui tendait mon jean's ! aussi me redressant, pour me mettre debout, je lui tendis les mains pour nous relever ensemble. Une fois debout, nous étions presque l'un contre l'autre et ses joues devinrent roses !!! elle se doutait déjà de ce qui allait arriver. Alors comme pour faire diversion, elle me dit "c'est vrai qu'on a toujours besoin d'un homme dans la vie ! "". et me laissant la prendre entre mes bras, elle se blottit contre ma poitrine pendant que je commençais à lui caresser le dos, et presser sa poitrine contre mon torse. Elle ne disait rien et petit à petit, je la serrais, mes mains sur ses reins attirèrent son ventre contre le mien et elle sentit ma verge bandée, contre son ventre à travers le tissus. après quelques mouvements pour lui faire sentir mon envie, je relevais son menton et quand nos lèvres se trouvèrent soudées, elle se laissa faire, et ouvrit la bouche pour un baiser qui dura très longtemps me permettant d'explorer son corps, sans la dénuder, sentir ses seins qui durcissaient, et son ventre qui soudain avait envie de cette caresse de nos ventres. Quand je lachais sa bouche, et suçait sa langue, qu'elle me tendait, ma main souleva la jupe et entama une caresse de sa toison au travers de sa culotte. "Oh! caresse moi ! il y a longtemps que j'avais envie d'une main masculine sur moi ! "". Oui, lui murmurai-je, je vais te combler si tu le veux, te caresser comme tu as envie .." Elle m'amena vers la salle de bain et me demanda que l'on se découvre en faisant une toilette. Elle commença à se dévêtir devant moi pendant que je baissais mon jean's et mon slip, lui dévoilant une verge déjà bandée de laquelle coulait quelques gouttes de plaisir. Elle voulu me laver la verge et pendant que je caressais son dos, jusqu'à sa raie, elle me caressa plus qu'autre chose, me lavant lentement surveillant que je ne jouisse pas. Puis elle me remplit le bidet, se baissant pour libérer de l'eau qu'elle choisit a température, laissant mon gland tout propre, caresser ses fesses et glisser sur sa toison ... Elle se releva et me faisant face, elle s'assied sur la cuvette et commença à se laver la chatte ! elle ouvrit la bouche quand j'approchais mon gland et elle se masturba tout en me faisant une pipe sublime ... Elle jouit en s'enfonçant les doigts dans sa grotte surement trempée. Elle se branla sans retenue et me demanda de jouir dans sa bouche , ce que je fis après lui avoir fait l'amour en tenant sa tête entre mes deux mains. Elle avala tout et je vis deux larmes de bonheur tomber de ses yeux. elle se leva et me dit de venir la faire jouir sur le grand lit et me laissa caresser ses formes généreuses. Oui, elle avait du retard et l'allumage a été rapide ... Elle se laissa tomber et lui écartant les cuisses, j'enfouis ma tête jusqu'à prendre ses grosses lèvres à pleine bouche, fouillant sa grotte avec la langue, aspirant son clitoris lui arrachant de petits cris de plaisir, et elle donnait des coups de reins pour faire l'amour . Je levais la tête pour reprendre mon souffle et je la vis se caresser les tétons et soupirer de plaisir. elle semblait prête à tout ?? alors je repris ma succion et mettant un doigt dans son sexe ruisselant je le ressortis trempé de cyprine pour lui titiller sa rosette excitée .."" oui, chéri, tu peux m'enculer, j'adore qu'on me prenne comme cela, et j'ai un gode que je me mets quand je suis seule. elle me caressait les couilles, me branlait lentement et savourait son plaisir. alors, je revins sur elle, et je lui dis de se branler avec mon gland, ce qu'elle commença en me prenant dans sa main et écartant son sexe pour faire glisser ma verge sur toute la longueur de sa fente s'attardant sur le haut, sur son bouton excité ...avant soudain de m'enserrer entre ses cuisses et m'enfoncer d'un coup au fond de son ventre. elle se déchaina sous moi et je la laissait suspendue à mon corps se défonçant seule. et quand elle jouit de nouveau, je lachais dans son ventre toute ma semence. Elle était là écartelée de plaisir, cherchant ma verge en me demandant de la lui offrir à sucer. bien qu'ayant perdu de sa superbe, elle me suça divinement, me caressa tendrement jusqu'à ce que je bande à nouveau ... elle en voulait ! et nous allions continuer .... 

     

     

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Lors d’une cueillette de champignons avec un copain dans la forêt des Landes, à force de tourner, nous nous égarons et nous tombons sur des bâtiments abandonnés où quelques chiens de toutes races sont rassemblés autour d’un point d’eau, qui devait être, je pense, une fontaine.
    Mon copain m’explique que c’est un ancien chenil qui était situé au milieu de cette immense forêt ; il a été abandonné il y a deux ans environ, car bien trop loin et d’un accès assez compliqué pour des véhicules autres que tous terrains.
    Selon ses dires, à l’époque de sa cessation, il y avait plus de quarante chiens. Les plus jolis ont été placé, les plus âgés ont été euthanasiés ; les autres qui devaient également être éliminés ont été lâchés volontairement.
    Officiellement, ils se sont échappés ; l’ancien responsable ainsi que quelques amis viennent trois fois par semaine leur apporter de la nourriture. Je regarde ces bêtes qui ne paraissent pas sauvage et dont une grande majorité sont des mâles qui sont couchés au pied ou aux alentours des bâtiments restants.
    Je remarque en particulier deux beaux bergers allemands, ainsi qu’un jeune labrador, plus loin un genre de rottweiler semble un peu plus méfiant.
    Mon ami me dit qu’il y en a d’autres dans la forêt qui ne viennent qu’en fin de journée pour se nourrir et s’abreuver.

    En rentrant chez moi, je fais part à Bernadette de ce que j’ai vu, je vois son œil qui s’allume, elle semble intéressée ; elle me dit qu’elle en a entendu parler par une de ses amies qui est venu avec son mari pour en adopter un.
    Le soir en dînant, elle me reparle de ces animaux dans la forêt en me demandant certaines précisions auxquelles je réponds : de quelle race sont ils, est ce qu’ils sont nombreux, est-il facile de s’y rendre ?
    Sachant qu'elle est assez attirée sexuellement par nos amis à quatre pattes, il lui arrive de profiter quand l’envie s’en fait sentir de faire la chienne avec ce type de mâles qui, selon ce qu’elle dit, la satisfont pleinement…
    Nous décidons de nous y rendre avec notre 4x4 en fin d’après midi, pour que Bernadette puisse les voir et en même temps, nous en profiterons pour leur porter un peu de nourriture.
    Nous retrouvons assez difficilement le chemin qui nous mène à cet ancien chenil, qui se situe au centre de la forêt, nous avons roulé un bon quart d’heure dans des petits chemins de terre, nous sommes assez loin des premières habitations.

    Quand nous arrivons, le soleil commence à se coucher ; certains animaux, « les plus hardis », s’approchent dans l’espoir d’avoir quelques friandises que nous leurs distribuons. D’autres se rassurent et s’approchent de nous.
    Un berger allemand de belle corpulence et assez jeune attire l’œil de la belle, qui s’empresse de lui tendre de la nourriture.
    " Qu’est ce qu’il est beau ! me dit-elle en le caressant, de plus, me dit-elle, il ne semble pas sauvage."
    Elle me regarde avec un petit sourire et me demande si je pense que ça marcherait…
    J’ai bien compris son allusion et lui dit d’essayer, en lui désignant les bâtiments abandonnés.

    Elle se dirige vers un des hangars avec, dans son sillage, le chien qui est attiré par les gâteaux qu’elle tient dans ses mains. Elle s’assied contre le mur, à l’abri d’une éventuelle arrivée de personnes.
    Elle baisse son pantalon et écarte son slip pour se caresser son minou qui semble bien juteux, preuve de son excitation causée par ses pensées de chienne en chaleur.
    L’animal la regarde… ce qui l’intéresse, lui, c’est la nourriture qu’elle lui donne.
    Surpris, je la vois sortir de son sac à main un tube de lait concentré qu’elle se met sur et dans sa moulette, elle tend son doigt au berger qui le lui lèche. Elle approche son index de son sexe ; la langue du chien lèche la crème, mais il est à n’en pas douter aussi attiré par certaines odeurs que son sexe émet et qui doivent le chatouiller…
    La longue langue râpeuse s’active dans l’entrecuisse grand ouvert de cette femelle qui transpire et en redemande.

    Par instants, la langue s’infiltre dans les profondeurs de ce conduit que la mignonne écarte au maximum avec ses doigts ; elle couine sous les coups de langue de son amant.
    Un beau sexe rouge pâle pointe sous le ventre de l’animal, je signale à Bernadette l’état du chien, elle se relève pour se mettre en position, les fesses bien hautes et surtout bien cambrées.
    Sitôt à quatre pattes, l’animal tourne autour de mon épouse en donnant quelques coups de langue sur son intimité ; la belle tape sur ses fesses avec ses mains pour l’inciter à la monter.
    D’un seul coup, il bondit sur le dos de ma chérie, il lui enserre son buste avec ses pattes avant et tente de la pénétrer en sautillant sur ses pattes arrière.
    Je l’aide en positionnant cette belle bite à l’entrée de la vulve toute luisante de ma femme, qui est impatiente de sentir ce membre au fond de son ventre ; elle écarte avec ses deux mains ses grandes lèvres pour faciliter cette pénétration tant désirée.
    Quand il sent la douceur et la moiteur du vagin de la femelle, l’animal donne un puissant coup de reins pour s’enfoncer au plus profond de l’utérus de la petite blonde.
    Sous le coup de boutoir de son amant, la blondinette est projetée en avant, elle pousse un cri de douleur ou de surprise pendant que la bête s’active dans le ventre de cette cochonne en chaleur.
    L’animal, encouragé par sa partenaire, s’active sous mes yeux pendant un bon quart d’heure ; les sexes bien emmanchés l’un dans l’autre coulent, puis les deux amants se figent, soudés l’un à l’autre.
    L’animal, la bouche ouverte et la langue pendante, tente de se retourner sans y parvenir, tandis que moi je surveille l’arrivée du chemin.
    Alors qu’ils sont figés, un autre berger vient voir ce qu’il se passe en se tenant à distance, car son copain ne semble ne pas apprécier son arrivée ; il se met à grogner en faisant claquer ses mâchoires pour dissuader le nouvel arrivant.
    Après dix bonnes minutes, ils se désaccouplent, un liquide translucide s’échappe du vagin et se répend en de longues traînées sur les cuisses de ma femme.
    Le deuxième animal s’approche des fesses de Bernadette qu’il se met à sentir et à lécher ; il saute sur son dos et s’enfile d’un seul coup dans l’abricot tout juteux de ma chérie qui apprécie cette deuxième monte.

    Après s’être bien faite limer, avoir pris une bonne dose de sperme canin, Bernadette s’essuie, se rhabille et nous regagnons notre chez nous.
    bernadette toute souriante me fait part de son désir d’aller rendre visite prochainement à ces « pauvres chiens abandonnés » pour leur porter de la nourriture.
    J’ai bien compris l’allusion de cette cochonne qui, selon ses dires, a pris bien du plaisir à se faire monter par ces deux mâles. 
     

    Bernadette, satisfaite de la visite que nous avons faite à cet ancien chenil, fait part à son amie Christelle de ce moment passé au plus profond de la forêt en compagnie des chiens à l’abandon.

    Mais surtout, ce qui intéresse et qui aiguise les sens de la belle brune qu’est Christelle, ce sont les deux montes que Bernadette a eues avec les deux bergers allemands.
    Elle lui demande si elle saurait y revenir, si ce n’est pas trop compliqué pour y aller et si elle serait prête à y retourner en sa compagnie.
    Mon épouse n’est pas trop emballée d’aller dans cet endroit isolé et perdu au centre de la forêt ; elle aimerait bien y revenir, mais comme nous l’avions prévu, avec moi.
    Malgré ses craintes, et pensant qu’il n’y a aucun risque, les deux femelles excitées décident de s’y rendre en fin de semaine, sous l’impulsion de Christelle qui a hâte de connaître le genre de situation que sa copine lui a raconté.

    Elle retrouvent assez difficilement la route qui mène à cet endroit, se perdant à plusieurs reprises ; elles s’énervent, mais parviennent après une bonne heure à arriver à destination.
    Quand elles descendent de voiture, quelques chiens les entourent pour obtenir quelque chose à manger.
    Elles distribuent diverses victuailles apportées tout en sélectionnant les plus beaux mâles, ceux avec qui elles aimeraient s’accoupler.
    Bernadette aimerait bien essayer avec un joli labrador noir assez corpulent qu’elle avait déjà remarqué la dernière fois
    – Il devrait être assez bien pourvu, côté sexe, lance-t-elle à sa copine.
    Christelle, elle, en pince pour les deux bergers qui ont monté ma blondinette de femme ; ils sont toujours là.
    – Je veux bien les essayer tous les deux, dit la brune qui est assez excitée de voir tous ces mâles à ses pieds.
    Elles caressent les animaux choisis et se dirigent vers un des hangars, contre un mur, à l’abri des regards éventuels.
    Les deux copines s’assoient, relèvent leur jupe en écartent leur string pour se caresser leurs minettes qui sont passablement humides.
    Elles emploient la même façon de faire que lors de la première visite, en utilisant du lait concentré, dont les animaux sont assez friands.
    Après s’être bien fait lécher la minette, les deux femelles se mettent presque entièrement nues. Se positionnant à quatre pattes, elles invitent les mâles, qui ne tardent pas à les monter et à pilonner leur vagin.
    Mon épouse ne s’était pas trompée : le labrador est assez bien pourvu ; il lui remplit bien son utérus. Les deux nénettes transpirent, gesticulent, et crient leur plaisir. Surtout Christelle, qui est particulièrement bruyante quand elle fait l’amour, et surtout quand elle prend son pied comme c’est le cas, sous les assauts assez violents du berger.
    Mon épouse lui demande à plusieurs reprises de faire moins de bruit, car si quelqu’un passe à proximité, elles seront vite repérées.
    Mais rien n’y fait, et la brunette fait entendre des « Oh ! », des « Ah… », des « Vas-y ! »
    Après s’être fait tringler copieusement pendant vingt bonnes minutes, les deux couples sont soudés ; les chiens se vident par petits jets dans le ventre des deux salopes qui plaisantent et rient de la bonne baise.

    Tout à coup, des bruits de branches attirent leur attention : elles tournent la tête et aperçoivent trois types à une vingtaine de mètres qui les regardent en plaisantant et en se moquant.
    – Regarde- moi ces salopes en train de se faire monter par des chiens ! Leurs maris ne leur suffisent pas !
    – Je crois que la cueillette des champignons est terminée : nous avons mieux à faire…
    Les trois hommes s’approchent des deux couples, mais les animaux n’apprécient pas. Ils se mettent à grogner en montrant leurs crocs, ce qui fait reculer les trois lascars.

    Quelques minutes plus tard, les couples se séparent ; les chiens partent en courant, laissant les deux filles face aux trois gaillards bien décidés à saisir l’opportunité qui se présente à eux. 
    bernadette et sa copine essaient de parlementer et de soudoyer les chercheurs de champignons en leur racontant une histoire qui les enfonce encore plus.

    Dans un premier temps, sous la menace de les prendre en photos avec leur téléphone portable, les deux filles sont contraintes de sucer les queues qui se présentent devant leurs bouches.
    Pas trop contrariées par la situation, elles s’exécutent de bonne grâce, prenant bien en bouche ces sexes qui prennent rapidement des proportions intéressantes.
    Après avoir été sucés copieusement, les trois hommes les font se positionner à quatre pattes et les prennent à tour de rôle.
    Les femelles couinent, gesticulent et transpirent sous les coups de queue des trois types. 

     

    Après leur virée à l’ancien refuge de chiens, les deux filles projettent d’y retourner prochainement.
    Elles s’y étaient rendues dernièrement pour retrouver ce groupe de chiens en semi abandon, elles désiraient s’accoupler et prendre leur pied comme avait raconté mon épouse lorsque nous y étions allés.
    Bernadette et Christelle son amie s’étaient fait prendre copieusement ce jour là par plusieurs mâles dotés d’attributs qui n’avaient pas laissé les deux filles insensibles, surtout Christelle qui selon les dires de ma femme avait exprimé son plaisir assez bruyamment ce qui avait attiré trois chercheurs de champignons.
    Devant le tableau qui s’offrait à eux, les trois hommes au début un peu surpris de trouver ces deux femmes au milieu de la forêt entrain de copuler avec des amants à quatre pattes avaient, et je les comprends, voulu profiter de la situation et de ces deux cochonnes.
    Un peu gênées au début, les deux copines n’avaient pas fait trop de difficulté pour les satisfaire, bien au contraire, après s’être fait prendre par un labrador et un berger allemand elles avaient pris de la bonne bitte de mecs.
    Elles ont projeté d’y retourner la semaine prochaine, nullement contrariées ou gênées par l’intervention des trois types de la fois précédente.

    Elles retrouvent l’endroit assez facilement, aussitôt arrivées elles distribuent victuailles et friandises tout en choisissant les mâles assez bien pourvus qui leurs plaisent et qui auront le privilège et la chance de se faire ces deux femelles en chaleur.

     Bernadette va vous raconter son après-midi assez tumultueux au refuge.
    Comme la fois précédente, nous nous dirigeons avec deux beaux mâles que nous avons choisis vers un hangar qui tient encore debout pour être à l’abri d’éventuel chercheur de champignons ou promeneur égarés.
    Suivis par les deux mâles, nous salivons tout en plaisantant de la bonne baise qui nous attend.
    Nous sommes en train de nous asseoir en ayant ôté au préalable nos petites culottes déjà trempées, quand des grognements se font entendre, en se retournant, nous avons devant nous une sorte de berger allemand assez terrifiant et surtout très agressif.
    La bête est assez grande et surtout très corpulente, elle est dotée d’une imposante crinière, elle montre ses crocs assez dissuasifs tout en grognant, en le voyant les chiens fuient en tous sens, laissant la place à cet imposant animal qui doit à n’en pas douter être le mâle dominant du groupe.
    Devant une telle agressivité, apeurées nous nous relevons pour rejoindre la voiture, la bête toujours en montrant ses imposantes canines grogne en nous regardant tout en s’approchant de nous.
    Je regarde mon amie qui comme moi n’en mène pas large, que faire pour ne pas nous faire mordre, nous prenons la sage décision de nous asseoir en écartant les cuisses et en déposant du lait concentré sur notre entre cuisses.
    L’animal qui semble un peu plus calme ; il s’approche méfiant, nous ne sommes pas très rassurées quand il passe son impressionnante langue sur nos minous pour lécher le lait.
    Le berger allemand en passant de l’une à l’autre, électrise nos sexes en nous envoyant des ondes dans tout le corps, avec un tel traitement nous nous abandonnons.
    Je regarde ma copine, qui les yeux mi-clos, les cuisses bien ouvertes, sa tête renversée en arrière semble délirer en prononçant des mots assez crus et en encourageant son amant à aller plus en elle.
    En regardant l’animal, je m’aperçois que sous son ventre, un sexe d’une grosseur et d’une longueur impressionnante a fait son apparition et pointe dans notre direction.
    Il a un sexe hors du commun, tout rouge qui vire vers le violet avec une pointe assez effilée qui goutte abondamment et continuellement.
    J’en fais part à Christelle qui lorsqu’elle aperçoit ce membre ne peut s’empêcher de pousser un cri de surprise, ce n’est pas possible dit-elle, il ne pourra nous prendre avec un tel engin, de plus, il doit avoir un nœud qui va nous déchirer.
    Le mâle commence à s’arque bouter, en mimant une saillie et en essayant de pénétrer la belle brune qui devant un tel membre est prise de tremblements à la limite de l’évanouissement.
    La bête s’impatiente et grogne en montrant de nouveau son imposante dentition, il semble nous menacer...
    N’ayant pas d’autre solution, je prends la décision de me positionner à quatre pattes, le cul bien cambré en écartant au maximum les cuisses, pour lui montrer ma soumission.
    L’animal saute prestement sur mon dos, sous son poids, je manque de m’affaisser sur le sol, ses longues pattes avant enserrent mon buste tandis qu’il tente de me pénétrer.
    Je sens son haleine chaude sur mon cou, sa langue pendante laisse couler de la salive sur le haut de mon dos.
    Sa pique n’arrive pas à s’insérer dans mon abricot, j’entends ses grognements et ses dents qui claquent quand subitement il réussit à s’insérer dans mon intimité grâce à l’aide de ma copine venue à mon secours qui a positionné l’énorme tige à l’entrée de ma vulve.
    Je pousse un cri de douleur quand je sens l’énorme queue me pénétrer assez violemment et surtout profondément, on aurait dit un poignard qui me traversait le ventre, la douleur s’atténue peu à peu pour laisser place à une montée de jouissance, qui est de courte durée, car maintenant je sens sa boule qui m’élargit mon utérus.
    Je fais part à mon amie qu’il va me déchirer car son nœud grossit toujours et me fait terriblement mal, je suis affolée et au bord de l’évanouissement, sous la douleur je ne sens pratiquement plus mon bas ventre.
    De toute façon il m’est impossible de bouger avec une telle masse sur le dos, la bête s’immobilise enfin, tandis que de puissants jets de liquide séminal fusent au plus profond de ma matrice ainsi élargit.
    Ma copine me regarde un peu inquiète en me demandant si çà va et en essayant de me rassurer.
    Un peu plus tard elle me fera part de sa peur, car j’étais toute rouge et je transpirais abondamment, la bouche grande ouverte, ma figure marquée par la douleur qui me tenaillait, et surtout la peur d’être blessée par un tel membre.
    Pendant ce temps, deux autres mâles berger allemands se sont approchés de Christelle pour tenter de la saillir, en les voyant venir, la brune se positionne à quatre pattes, ce qui semble les encourager à poursuivre l’action.
    Le premier grimpe sur son dos en tentant de la pénétrer sous les grognements du mâle dominant qui ne peut que le regarder s’enfiler ma copine qui se cambre au maximum en écartant bien ses jambes.
    Au bout de vingt bonnes minutes, mon amant se désaccouple laissant échapper une quantité impressionnante de liquide.
    Je ne sais si c’est la peur, mais l’autre chien se libère rapidement en tirant assez violemment sous les protestations et les cris de douleurs de sa partenaire.
    Les deux chiens s’enfuient dans la forêt en grognant et en se mordant.
    Trois autres chiens font leur apparition, deux labradors et le rottweiler noir, nous restons sur notre faim et nous les appelons en leur montrant des friandises.
    Ils prennent très vite possession de nos minettes qu’ils lèchent copieusement en faisant pénétrer leur imposante langue assez profondément.
    Les cuisses bien ouvertes, nos abricots bien éclatés laissent échappés des effluves qui ne laissent pas indifférent les trois lascars.
    Nous ayant copieusement léchées et mangées nos minettes, nous nous positionnons pour nous faire grimper par les deux plus rapide.
    Ayant pitié du troisième, un peu hésitante je le fais coucher devant moi, et pendant que son copain m’enfile, j’entreprends de lui sucer sa bite.
    Il se laisse faire s’abandonnant cuisses grandes ouvertes à ma bouche qu’il doit prendre pour un sexe de chienne, car au bout d’un moment, je sens un liquide couler dans ma bouche dont le goût n’est pas désagréable. 
    Rassasiées, nos sexes dégoulinant, nous regagnons notre voiture car la nuit commence à tomber, un certain goût dans ma bouche me rappelle que je viens de me faire éjaculer dans ma bouche et ce pour la première fois par un chien.
    Mais ce n’est pas désagréable, nous avons bien pris notre pied et nous reviendrons à nouveau leur rendre visite pour bien sûr nous faire grimper… 

     

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  • Normalement, nous allons sur une plage naturiste. Son seul défaut est d’être assez loin de chez nous. Habitant en moyenne montagne, nous nous contentons de ce que nous avons tout près : un lac magnifique aux berges ombragées. Le pique-nique nous y attend, ou presque.ma camarade Odile est heureuse d’aller se bronzer. Je prends ma canne à pêche pour attraper ce que je trouverai : un poisson suicidaire par exemple. 

    Nous trouvons un endroit parfait ; celui que nous aimons. Odile s’occupe de poser une couverture sur le sol ; je sors nos provisions, un siège et ma canne à pêche. Odile est rapide : elle se retrouve en petite tenue en moins de cinq minutes. Elle ne garde qu’un string, et encore, transparent. Elle ne peut voir qu’elle m’excite ; je commence à bander : je sais qu’à chaque fois que nous sommes ici, nous ne finissons pas une baise comme nous aimons. Pas d’interdits entre nous. 
    Le déjeuner avalé, Odile trouve un endroit en plein soleil pour brunir. Je m’allonge un instant sur la couverture avant de ranger les restes du déjeuner. Je suis armé : ATTENTION, LES POISSONS… J’ARRIVE !

    Je reviens avec une armée de poissons, surtout des truites. Je revois Odile, qui cette fois est totalement nue. Pour nous, c’est normal ; mais pas à ce moment-là. Normalement, nous nous mettons nus ensemble allongés au soleil : nous finissons toujours pareil, en fin d’après midi, par une bonne partie de baise qu’elle provoque toujours, je ne sais pourquoi.
    – Qu’est-ce que tu fais toute nue ?
    – Je viens de baiser.
    – Tu t’es branlée ?
    – Non, j’en ai branlé une autre.
    – Une autre ?
    – Ne fais pas ces yeux d’ahuri… Oui : j’ai branlé une autre fille, que tu as dû voir en arrivant, une grande brune.
    Entre nous, tout est permis, même si elle se compromet avec une fille. Pour ce genre, c’est la première fois qu’elle m’en parle. Baiser une autre, quelle idée… Sans m’en avertir ! Je ne l’en empêcherais pas. 
    Assois-toi, je vais te raconter. Mets-toi nu, d’abord : tu vas bander, je te connais ! Tu pourras te branler, ou je le ferai, si tu le veux ? Tu sais que j’aime te masturber. Ou même, tu pourras me sucer pendant que je parle pour me faire jouir encore.


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    « Quand tu es parti pêcher, je m’étais mise nue pour le soleil. Tu sais que quand je suis à poil, j’aime me caresser. Je me touchais à peine le clitoris, pas pour jouir, simplement pour le fun, le plaisir immédiat. J’avais posé la serviette sur ma tête pour ne pas être éblouie. Je me suis un peu assoupie. 
    « À mon réveil, il me semblait que quelqu’un me voyait. J’ai regardé et j’ai aperçu une jeune femme brune, celle que tu as vue. Elle était tout près de moi, à regarder ma main. J’ai sursauté à sa présence. Je ne sais pourquoi, je n’ai pas cessé de me branler doucement. 
    « Elle s’est penchée sur moi ; je me doutais qu’elle avait des intentions assez claires.
    « Tu sais que j’avais envie de baiser une fille, je t’en ai souvent parlé. Même en me branlant, mon fantasme, c’est d’être avec une autre. Là, j’en avais l’occasion. Dommage : tu n’étais pas là… 
    « Elle a commencé gentiment, dans les règles, à se présenter :
    – Je suis Virginie ; et toi ?
    – Odile. 
    – Tu es belle, Odile ; tu me fais envie…
    – Toi aussi !
    « Elle m’a embrassée. Tu te rends compte ? Elle a posé ses lèvres sur les miennes et nos langues ont joué ensemble dans nos bouches. J’avais toujours ma main sur ma chatte alors qu’elle portait un chapeau de paille, une chemise d’homme et un short. Une main sur un sein, elle m’a pelotée longuement, doucement, mieux que toi ; ne sois pas jaloux : tout ce qu’elle m’a fait en me caressant était toujours très doux, sans doute à cause de sa peau douce dans les paumes. 
    « Je me suis arrêtée de me donner du plaisir. Je ne sais ce qui est m’est passé par la tête : j’ai passé une main dans une ouverture de son short. J’ai trouvé sa peau douce, à l’intérieur de sa cuisse. Je suis monté très haut pour arriver sur sa chatte. Elle ne portait rien d’autre sur elle. J’ai trouvé sa chatte mouillée. J’allais la branler quand elle m’a arrêtée pour se mettre nue. Tu te rends compte ? Nue devant moi… Ma première fille était nue ! 
    « Elle est venue sur la couverture pour me caresser encore un peu. Cette fois, mon sein ne suffisant pas, elle a directement posé sa main sur mon écrin. Je sentais la chaleur de sa main sur ma chatte. Elle l’a laissée, en appuyant simplement. Elle me faisait drôlement mouiller… Moi, je n’osais pas faire grand-chose d’excitant. Il faut dire qu’avec les jambes écartées, je ne suis bonne qu’à me faire mettre ! 
    « Alors, je me suis laissée aller à ce qu’elle voulait. Elle m’avait excitée :
    «– Nous allons baiser ensemble en faisant un 69. 
    «– J’aime faire les 69. »
    « C’est vrai que j’aime faire les 69, quand j’ai ta bite dans la bouche et ta bouche sur ma foufoune. Tu te rends compte, je confondais : elle n’a pas de bite. Elle est venue sur moi ; ses genoux ont encadré mon visage. Je voyais tout son sexe. Il t’aurait plu… Elle avait le clitoris qui ressortait des lèvres ; il était rouge ; enfin… un peu rouge. 
    « Sa langue est venue sur ma chatte. Presque comme tu me fais. 
    – Oh, branle-moi, j’en ai envie.
    – Continue.

    « Elle m’a léché un bon moment, juste le temps de me faire jouir ; mais un orgasme complet, presque comme quand tu me baises en me mettant deux doigts dans le cul. Rends-toi compte : une simple langue de fille qui me fait cet effet ! 
    « Elle ne s’est pas arrêtée là : sa langue était plus gourmande en venant sur l’anus. Elle l’a léché presque comme le bouton, et puis elle a voulu entrer. Avant d’entrer, elle m’a fait jouir encore une fois. Je ne savais plus comment me mettre. Je souhaitais ton retour pour participer.
    « Alors, elle devait lire en moi : sa langue est entrée. J’avais bien ouvert le cul comme juste avant que tu m’encules. Je ne crois pas qu’elle en ait mis beaucoup, mais le simple fait de savoir que c’était une langue m’a fait avoir un autre orgasme. 
    « Nous avons repris une position plus catholique pour simplement nous peloter. C’est là qu’enfin j’ai commencé à la branler. Toi, tu sais me branler, et j’aime ; mais moi, mis à part mon con, je n’en connaissais pas d’autre. J’ai fait comme je savais. Je l’ai caressée entre les jambes. J’ai vite trouvé son clitoris. Elle était drôlement mouillée. J’ai caressé le clitoris durci. Elle n’a pas résisté longtemps. J’ai senti sa jouissance sous mon doigt. Je me suis rendu compte à cet instant que quand je jouissais, je devais faire comme elle ; je sentais des spasmes incontrôlés. 
    – Dis-moi : je fais pareil, quand tu me branles ? 
    – Mais oui, chérie, tu jouis pareil.
    – Je vais jouir dans pas longtemps. Avant de jouir, je poserai mes doigts près des tiens pour m’en rendre compte.
    « Donc, c’est bon ce que tu me fais, je l’ai branlée. Elle a voulu que je recommence. Je l’ai fait encore ; j’ai même improvisé en mettant un doigt dans son cul. Elle n’a pas résisté : elle est partie presque en léthargie. J’ai même pris un téton dans ma bouche. Il était dur, comme quand tu me caresses avant de me baiser.
    – Heureusement que tu me baises souvent et que tu me fais jouir… 
    « J’ai mis trois doigts dans son con ; pour moi, c’était comme ta bite. Si tu avais été là, c’est ta bite qu’elle aurait eue dans le cul. Doucement… Je jouis.

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    Après ce récit, elle a fini de me branler. J’étais trop excité pour débander. Je suis venu sur elle : elle a refusé mon sexe, elle voulait que je la sodomise. Avec l’enculage, elle aime se branler. Je l’ai bien satisfaite. Elle m’a étonné quand elle a tenu à me sucer après pour me faire jouir et avaler mon sperme, comme toujours.

    Nous sommes revenus souvent au même endroit. J’espérais bien revoir cette brune pour me la payer. Nous ne l’avons jamais revue. Dommage pour ma bite et pour Odile : je l’aurais laissée baiser encore avec une fille. Elle essaie d’en trouver une autre dans notre coin ; c’est dur, pour elle qui cherche sans cesse ; à moins que la nouvelle voisine accepte de la baiser, ce qui est possible, après tout. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Tout a commencé par une journée où je mangeais tranquillement. Après avoir mangé, comme d'habitude, ma sœur me demanda de ranger la table (je vis seul avec ma sœur). Un jour, elle vint dans ma chambre et me dit d'aller nettoyer la salle de bain. Puis, de jour en jour, elle me demanda de plus grands services ; je devenais de plus en plus soumis à elle. Mais chaque fois, je m'exécutais pour ne pas prendre une gifle.

    Un jour, elle vient près de moi pour me dire :
    – Vu que maintenant je constate que tu deviens de plus en plus mon homme à tout faire, tu seras mon esclave et j'aurai tous les droits sur toi, sinon je te chasse de la maison ! 
    Bouche bée, je lui réponds "oui" de peur de me faire chasser de la maison.
    Là, elle m’ordonne de me déshabiller tout de suite. Je m'exécute, bien sûr. D’abord, elle me met une gifle (que je sens passer, d'ailleurs…)
    – Mais t'es folle, ou quoi ?
    – T'as osé me parler comme ça ? Pour te punir, ce soir tu dormiras au pied de mon lit et tu devras être prêt si je te demande quelque chose ; et demain, je te réserve un moment que tu n'oublieras pas ! 
    La nuit, effectivement je dors au pied de son lit. En pleine nuit, elle se lève et me dit :
    – Ouvre la bouche.
    Et elle me crache dans la bouche. 
    – Viens sur mon lit et embrasse-moi où je te dirai. Commence à m'embrasser le bras !
    Puis elle me demande de lui embrasser les fesses, ce que je fais tout de suite. 
    Ensuite, comme elle est satisfaite, elle m'autorise à dormir à ses pieds, mais en-dessous de la couverture.

    Le lendemain, à 8 heures du matin, elle me réveille avec une grosse gifle.
    – Aujourd'hui, on va chez une amie.
    Elle me met un collier et une laisse, et nous voilà partis chez son amie. 
    Arrivés chez son amie, je constate que son amie et un homme.
    Ma sœur déclare :
    – Viens ! On monte à l'étage avec eux.
    Arrivés en haut, ma sœur annonce :
    – Il est à vous ; il fait tout.

    Là, l'homme m’emmène dans la salle de bain.
    – Tu es à moi pendant un moment ; donc, je vais en profiter. 
    Il ouvre alors sa braguette et j'aperçois un énorme pénis que, de suite, il m'enfonce dans la bouche ; puis il me baise la bouche jusqu'au vomissement.
    Après que j’aie vomi, il nettoie puis il me dit de me coucher sur le dos.
    – Pour te punir d'avoir vomi, je vais te marcher dessus. 
    Je me couche, et là il me saute dessus jusqu'à ce que je pleure ; après, il me crache dans le bouche.
    – Couche-toi dans la douche !
    Alors que je suis couché, il sort son pénis.
    – Ouvre la bouche pour que je pisse dedans. Et si une seule goutte tombe à côté, je vais te balancer des gifles dont tu te souviendras…
    J’ai donc tout avalé avec dégoût.

    Ensuite, c’est l'autre fille qui me prend dans la salle de bain ; elle tient un fouet dans sa main.
    – J’ai besoin de faire caca : ça ira sûrement dans ta bouche...
    Là, elle m'attache et me fouette jusqu'au sang. Ensuite, elle fait caca dans une assiette et m’ordonne de tout manger, ce que je fais, bien sûr.

    Puis c’est au tour de ma sœur de me faire subir ses exigences.
    – Viens sous la couette, près de mon cul ! 
    Au moment où je suis à côté de son cul, elle lâche un gaz et m’ordonne de renifler, ce que je fais, bien sûr.

    Ensuite, nous sommes rentrés à la maison ; et, depuis ce jour-là, elle a tous les droits sur moi ; mais je suis heureux comme ça.

    Ma sœur me domine ; elle est très sadique, donc je pleure souvent… 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • On ne sait jamais vraiment comment commencer ce genre d'histoire, aussi belle qu'amusante. 
    Commençons par le commencement. Mon nom est Alfred ; à l'heure où commence mon histoire,... Je suis en première année de classe préparatoire, et le rythme de travail est insoutenable. En couple depuis plus d'un an, je me sentais opprimé par ce manque de liberté entraîné par une telle relation ; mon sexe n'en faisait qu'à sa tête : jamais il ne fut, et jamais il ne sera rassasié. Son surnom : l'Infatigable. 

    Je n'étais à l'époque qu'un néophyte, mais mon corps me dictait mes actes : il fallait que j'aille plus loin que la simple relation qui me liait avec ma chère et tendre. Je pris donc la décision en ce 9 février de débuter une longue quête afin de découvrir un nouveau monde : celui du libertinage sexuel. 

    Beau brun ténébreux à l'allure massive, je pensais ne pas laisser indifférente la multitude féminine qui composait ma promotion ; laquelle choisir parmi la quarantaine de beautés en fleur pour débuter ma quête ? 
    Instinctivement, je me rapprochai d'une jolie blonde au sourire ravageur avec qui je parlais de temps à autre : Elsa. 
    Je cherchais une approche tactique pour amener cette fille jusque dans mon lit lorsqu'une idée aussi bête que simple me vint : lui demander des cours particuliers.
    La stratégie fumante fonctionna, et une dizaine de jours plus tard elle se trouvait dans mon studio, essayant tant bien que mal de m'apprendre l'espagnol. Au bout d'une ou deux heures de leçons qui me parurent interminables, nous décidâmes d'une pause bien méritée. Elle ne paraissait pas farouche mais quelque chose en elle m’empêchait d'être trop direct ; nous parlions de musique quand je l'invitai à danser. Assez ridicule, non ? Et pourtant cela marcha : nous avons dansé dans ce studio de 20m² sur différents slows que j'avais pris soin de sélectionner préalablement. À la fin d'un air au rythme langoureux, je pris mon courage avec toutes mes mains possibles et dis « Je crois bien que je n'ai jamais embrassé une blonde".

    Et là, tout se passa très vite, trop vite… Elle rougit. J'avais honte. Un silence gêné régnait dans la pièce quand, dans un éclair de plaisir, ma bouche se colla à la sienne ; mon stress réduisit ce premier baiser à un triste amas de langues baveuses. Mais cela dut lui plaire car, quand ma main baladeuse se faufila entre son jean et sa culotte, elle ne réagit pas. 
    Sans que je sache vraiment comment, nous avions quitté la pièce à vivre pour la chambre et, délicatement, majestueusement, elle ôta son chemisier noir, laissant à ma vue une jolie paire de seins galbés bien maintenus dans un cocon verdoyant. Puis son jean s'abaissa et la culotte assortie apparut. Cet ensemble vert me fit l'effet d'une bombe et je sentis mon sexe se dresser dans mon caleçon. Elle ondula jusqu'à moi et, par quelques gestes habiles, mon pantalon avait disparu. Elle me caressa à travers le coton de mon caleçon et dut sentir à quel point j'étais excité. Alors, à ma grande surprise, elle l'enleva d'un geste vif et précis et m'empoigna vigoureusement. Sa bouche se rapprocha ; elle lécha délicatement le gland, puis sa langue descendit lentement jusqu'aux couilles. J'étais immobilisé par tant de rapidité : c'était vraiment une bonne cochonne bien cachée. 

    Avant que je n'aie eu le temps d’y réfléchir, elle se mit à me sucer avec force et dextérité. Mon plaisir grandissait de plus en plus quand elle se mit à véritablement avaler mon sexe qui disparut dans sa bouche et dans sa gorge. Une gorge profonde parfaitement exécutée qui me ravagea l'esprit ; la suite ne fut qu'une série d'instincts bestiaux : dès qu'elle eut fini son œuvre, je la repoussai et lui fis glisser sa culotte sur les chevilles et lui caressai les cuisses, les hanches, et glissai ma langue lentement jusqu’à sa paire de seins bien galbés, fermes et d'une blancheur magistrale. Leur forme de poire était parfaite, sans être trop imposants, juste ce qu'il fallait (un 95B je dirais, avec le recul). Soudain, elle repoussa vivement ma tête sur son sexe ; alors, je rassemblai toutes mes connaissances sur l'anatomie féminine pour lui prodiguer une séance de caresses vaginales et clitoridiennes. 

    Elle gémit, s'arqua ; le son de sa voix gagnait en intensité à mesure que mes doigts pianotaient entre ses lèvres. La surprenant, ma langue vint caresser cet ensemble chaud et doux. À ma grande joie, l'endroit était parfaitement propre et l'odeur qui en émanait était très agréable. Ma langue fit des va-et-vient entre ses cuisses, de son clitoris jusqu'au périnée. Elle émit des petits cris qui m’excitaient encore davantage. Puis, doucement pour ne pas lui faire mal, j'introduisis mon index dans sa chatte : elle était bien humide. Elle tressaillit. Après quelques minutes, elle me pria de venir. Sans oublier de nous protéger, je la pénétrai avec douceur, puis de plus en plus fort. Je faisais claquer son petit cul dans une levrette démoniaque ; elle hurlait de bonheur, ce qui me motivait davantage. Elle s’agrippa au mur, se retourna et souffla dans un cri : « C'est bon, continue, encore... Attends, je viens sur toi ». 
    Docile je m'allongeai sur le dos et vis son corps longiligne se faufiler au-dessus de moi, puis elle s'empala sur ma queue encore bouillante. Telle une amazone, elle me chevaucha encore et encore. Ses petits seins ballottaient sous mon nez ; je les attrapai pour les caresser. Elle accéléra encore : je me sentais prisonnier mais, Dieu que c'était bon ! Alors, elle vociféra une série de jurons suivis d'un cri pur, sans écho ; elle se figea quelques instants et se laissa tomber sur mon torse. J'étais bien, fier de l'avoir fait jouir.
    Alors elle se redressa et commença à me sucer de nouveau. J'hésitais ; sentant la vague de sperme chaud monter dans mon sexe, je le lui fis comprendre mais elle ne s'arrêta pas et accéléra encore son mouvement. Une chaleur m'envahit et je déversai en elle un flot de sperme bien blanc ; je ne pus retenir un râle de plaisir. 

    Après avoir nettoyé mon sexe, elle remonta jusqu’à ma bouche et, cette fois-ci, la pelle fut l'une des plus magnifiques de ma vie ; sa langue tiède et parfumée me fit frissonner. Puis, recoiffant ses cheveux d'or, elle vint s'allonger à mon côté ; je ne sais pas combien de temps nous sommes restés là sans parler, profitant de cet instant magique. Elle murmura un « merci » à mes oreilles et sembla s'endormir. 

    Cependant, peu de temps après, elle se releva et nous prîmes une douche bien chaude. 
    Elle repartit. Ses yeux bleu azur m'avaient transpercé ; c'était donc fait : j'avais mis le pied dans ce monde magique du sexe sans lendemain. Je ne devais plus le quitter. 
     

     Une soirée qui dégénère 


    Le printemps est arrivé hier et – comme tous les ans – le lendemain du 28 mars c’est l’anniversaire de mon meilleur ami, Jules. C’est un grand gaillard qui me ressemble ; étant petits on nous croyait frères. Cette année, il fête son anniversaire chez lui, dans un appart’ assez grand à quelques kilomètres de Rouen. Je suis invité à venir avec ma copine ; j’accepte presque à regret, comme j’aurais pu trouver une nouvelle aventure de dingue.

    Nous arrivons vers 23h : toujours à l’heure. Je prends le temps de regarder ma copine ; je connais son corps par cœur. Un visage doux, une peau très blanche parsemée de grains de beauté, un long corps très fin, de bons seins bien ronds que j’aime caresser le matin au réveil.
    C’est une très belle femme qui possède un style de caractère, et pas maladroite dans un lit. Je l’aime, c’est certain, mais mon aventure n’est pas contradictoire avec cet amour : je veux simplement découvrir ce monde du libertinage et je sais qu’il n’est pas fait pour elle.

    Ce soir, elle porte une robe en coton coloré, à majorité pourpre. Ses longues jambes sont entourées de bas, ce qui lui donne un charme inexplicable. Comme à son habitude, elle est maquillée très légèrement. Ses seins charnus dessinent des formes infinies sur ce corps de princesse. Son collier bleu met en valeur ses sublimes yeux clairs dans lesquels se reflète mon regard. Nous approchons doucement de l’immeuble main dans la main, heureux et détendus. 
    Jules nous ouvre la porte, il a l’air guilleret ; derrière lui se tient Emilie, sa copine depuis trois ans, une petite brunette d’origine maghrébine. Elle porte une robe de soirée sombre, très distinguée, et son sourire habituel trône sur son visage très fin. Nous nous installons dans le salon où nous attendons les autres invités ; il y aura deux autres couples. 

    Très rapidement arrivent Hélène et Anthony, un couple étonnant composé de cette petite femme à l’allure estudiantine avec ses lunettes et ses couettes, et ce grand monsieur de près de deux mètres au corps charpenté, aux cheveux épais d’un noir intense. 
    Je les connais depuis le collège, elle surtout ; elle n’a pas grandi depuis, je crois bien. Son petit corps est resté tout fin et ses doigts de bébé font pâle figure dans les pattes de son ami de taille. Enfin, après quelques minutes pendant lesquelles l’alcool coule, Jeanne arrive accompagnée de son nouveau fiancé, Christophe. Un couple charmant de cadres dynamiques dans le domaine de la finance. Cette femme rondelette attire la sympathie ; ses piercings au nez et au nombril lui donnent un certain style. Elle porte un haut jaune et une petite jupe bleue. Lui, plus commun, est venu en costume de travail. 

    Tout ce beau monde réuni entame un repas convivial où chacun raconte ce qu’il devient. Assez discrète, ma copine garde une main sur ma cuisse et sa tête vient se poser régulièrement sur mon épaule. À la fin d’un dîner bien arrosé, Jules nous propose un jeu nouveau qu’il ramène de vacances. Le but est de se donner des gages, plus ou moins osés, en tirant des cartes et en lançant des dés. Évidemment, très vite, quelques habits tombent ; l’ambiance devient très détendue et tout le monde y va de son petit commentaire. 
    Alors que c’est mon tour de jeu, la carte m’indique que je dois embrasser le nombril de la troisième personne à ma gauche et que cette dernière devra enlever un vêtement supplémentaire. Mon regard tombe sur Emilie qui – toute heureuse – ôte avec grâce sa robe, nous dévoilant un sublime soutien-gorge noir et un ensemble de lingerie très raffiné : bas maintenus par un porte-jarretelles, le tout égayé par un string provocant. Après avoir réalisé mon gage, je ne peux m’empêcher de laisser une main traîner sur sa hanche ; l’assemblée est médusée par tant de fanfreluches, l’excitation est montée d’un ton. 
    Le second moment fort suit de quelques minutes, lorsqu’Hélène, déjà en sous-vêtements, doit aller caresser le sexe d’un homme sous peine de perdre un habit. Gênée, elle se dirige vers moi, et vient d’une main lente masser mon sexe devenu dur dès son choix effectué. 
    Ce gage va alors mettre le feu aux poudres et, en quelques instants, la pièce composée de deux fauteuils et d’une table basse va devenir un véritable terrain pour une orgie exceptionnelle. 

    La caresse me fait un effet atomique et, oubliant ma copine, je plonge la main dans sa culotte en lui roulant une pelle très sensuelle. Alors Jules et Emilie débutent la partie par un « Allez, tout le monde à poil ! » et, joignant le geste à la parole, Emilie débute une grosse fellation. 
    Tous les invités se mettent nus ; je ne fais pas attention à la réaction de ma copine, trop occupé à exciter le clitoris d’Hélène. Quand je l’aperçois enfin, elle est en train de s’occuper de Jeanne. Alors, la soirée devient pour moi un flou artistique complet, dans un torrent de mains, de pieds et de corps enlacés ; nous débutons tous une partouze, ma première partouze. 
    D’abord troublé, je me fais vite à l’idée lorsqu’Emilie, ayant laissé Jules aux soins de ma copine, vient accompagner Hélène dans une double pipe. Mon sexe est à la fête : elles enchaînent caresses, coups de langue et gorges profondes, elles m’avalent les couilles, me sucent le gland, me branlent avec panache. Mes doigts continuent de faire grossir un clitoris, puis s’enfoncent dans un vagin humide. Je ne sais plus qui fait quoi, je suis emporté dans un flux de plaisir et d’orgasme. Les fluides se mélangent, des gémissements traversent la pièce ; je crois reconnaître les petits cris aigus de ma copine. Reprenant mes esprits, je me retrouve la langue dans un minou bien taillé en triangle, à genoux devant le canapé auquel la fille est adossée. Sans chercher à savoir qui c’est, je lui enfonce deux doigts avec vigueur. Alors que je lui donne un premier orgasme, je sens une bouche autour de ma queue ; elle branle et suce en cadence pendant que mes doigts continuent à se perdre dans la chatte humide.
    J’entends alors des cris sourds et puissants : certains commencent à baiser ! 

    L’atmosphère est brûlante ; l’odeur suave de nos corps entremêlés atteint mes narines, surmultipliant mon désir. C’est alors que je laisse échapper un petit « ah » quand mon sperme tout chaud est avalé à grandes gorgées par la fille à mes pieds. 
    En moins d’une minute, dans cette ambiance, ma queue est de nouveau toute dure et je pénètre la première chatte qui passe, en missionnaire. C’est Emilie ; je sens son corps chaud, ses seins généreux contre mon torse. Sa moule est bien trempée : elle n’en est pas à sa première bite, ce soir… Nos deux corps claquent, mon cœur s’accélère, je sens des mains se poser sur mon dos. L’une des filles s’appuie sur moi pour être prise en levrette. Sur mon cul, ses mains sont douces, mais quand la salope a un orgasme, elle me plante ses ongles dans le creux des reins. Je ne peux m’empêcher de crier quand cette douleur vive traverse ma peau. Comme pour se faire pardonner, la fille se met à me lécher les couilles et le sexe pendant que je continue à mettre de grands coups dans cette chatte toute ouverte par mes soins. Le sang bat dans mes tempes, une grande chaleur m’envahit et le travail de langue de la salope à genoux me fait jouir : je déverse une bonne saucée de foutre sur le corps inerte d’Emilie, qui semble s’endormir malgré les cris de plaisir qui gagnent encore en intensité. 

    Je me retourne alors et vois les cinq autres invités les uns sur les autres : une fille est coincée sur un des canapés entre deux mecs, l’un lui laboure le vagin et l’autre lui baise la bouche. Le dernier couple est juste en-dessous, au sol ; la femme saute sur sa queue, faisant rebondir son petit cul bien rond dans un claquement sec. Derrière moi, les deux filles se sont positionnées en 69 et se lèchent mutuellement. Ainsi rangé au rang de spectateur, je laisse le temps à mon sexe de reprendre son souffle. Une fois ma dureté retrouvée, je m’approche de la fille qui saute et lui enfonce ma bite droit dans la gorge, sans la prévenir. Elle s’étouffe à moitié avec mais semble aimer ça ; elle la prend en bouche. Ainsi positionné, j’assiste à des orgasmes multiples : l’un des deux mecs sur le canapé – celui de derrière – lâche une grosse purée bien épaisse sur la fesse déjà luisante de la fille qui hurle de plaisir. Alors, celle qui me suce jusque là, vient d’un coup de langue essuyer cette souillure sur le corps de rêve. Excité par ce geste, je me précipite et rentre mon dard bouillonnant dans ce trou bien ouvert. Passer après un autre mec est une sensation étrange mais agréable ; le vagin est bien humide. J’imprime d’entrée une très vive cadence. Devant moi, je vois Jules qui se fait sucer goulûment par celle que je tiens au bout de mon sexe. D’un regard, je comprends ce qu’il souhaite faire ; il s’assied sur le fauteuil voisin. Je fais signe à la fille d’aller s’empaler sur lui. Elle s’exécute, et pendant qu’elle se met à remuer sur cette queue, je lui prépare son petit trou à coups de langue et de doigts. Puis, une fois l’endroit bien lubrifié, je viens lui rentrer mon sexe dans l’anus. Ça doit être sa première sodomie car son cul est étroit ; ma bite est toute serrée dans cet orifice. Je m’en veux d’être aussi direct en enculant cette fille avec tant de force, ce qui lui arrache un cri monstrueux, entre plaisir et douleur. C’est trop tard pour réfléchir, alors je continue sans relâche, pris dans cette double pénétration, Jeanne – puisque c’est elle – hurle et tout son corps tremble. Je sens tous ses muscles se contracter à chacun de mes coups, la sueur coule le long de son dos, mes mains sur ses hanches la maintiennent ; en-dessous de nous, Jules, dont la longue queue pénètre son vagin, essaie de donner des coups dans le même rythme que moi. Nous parvenons enfin à trouver le truc pour enculer et baiser cette fille dans la même cadence. Mais cette réussite n’est que de courte durée car Jules jouit ; elle, dans un râle de bonheur, expulse plusieurs longs jets de liquide blanc et visqueux sur l’entrecuisse de la demoiselle.

    Me retirant de ce corps encore tremblant de fatigue et de désir, je me retourne et vois un tableau inattendu : Anthony, ayant joui tout à l’heure, dort dans un coin ; Christophe, étendu sur le sol, jouit dans la bouche d’Hélène alors que ma copine et Emilie continuent leurs cunnis endiablés. Leurs corps, tels des feuilles inertes, vont et viennent avec leur courbure. Leurs dos s’arquent en des courbes aux dimensions inhumaines. Soudain, Emilie, dans un ultime sursaut, éjacule, trempant le parquet d’une mouille abondante. Ma copine se tourne alors vers moi, les yeux brillants d’un désir furieux ; elle se lève vivement et, tremblante, elle m’embrasse. 
    Je la soulève en utilisant mes dernières forces, la plaque contre le mur, attrape sa jambe droite et commence à la pénétrer de toutes mes forces. En à peine quelques coups, je sens son corps se raidir, sa chatte se remplir de mouille, puis elle se laisse tomber à genoux. Pris d’un instinct hors-normes, je lui attrape les cheveux et finis de me branler sur ce visage d’ange. En quelques allers-retours je vois une nappe de liquide épais recouvrir cette petite bouille, ce visage épuisé par l’effort. 

    Je sens mes jambes tressaillir et je m’effondre sur le sol ; mon corps entier est éreinté. Je me sens bien, et d’un dernier mouvement je vois la totalité des invités dormant ou somnolant, le corps inerte, parfois recouvert de fluides divers. L’odeur est âpre ; forte, la mouille d’Emilie dévale le parquet vers la porte. Mon sexe, redevenu, flasque est épuisé ; la tension présente dans cette pièce depuis des heures est retombée. Mes yeux se ferment seuls. Je me laisse partir dans un sommeil salvateur ; demain sera un autre jour… 

     

     

     

    J’ai du mal à récupérer de cette folle soirée chez Jules. J’ai été si surpris par l’attitude ma copine ce soir-là que j’ai ressenti de la honte en lui reparlant. Elle m’a avoué avoir apprécié, mais qu’elle n’était pas prête à recommencer : il ya trop de violence pour elle dans ce sexe-là ! Pour ma part, j’ai trouvé cette expérience d’orgie absolument phénoménale ; les corps, les odeurs, l’atmosphère… absolument excitant. 

    Les jours qui ont suivi ont été difficiles pour notre couple ; le rangement aussi fut désagréable : l’odeur du sperme et de la mouille séchés au réveil, ce n’est pas ragoûtant !
    J’ai donc fait une petite pause dans cette quête du bonheur par la chair, mais cet après-midi j’ai rendez-vous chez une élève à qui je donne des cours à domicile de latin et de français. 
    Léa est en terminale ; elle a raté son bac l’année dernière et sa mère l’a obligée à prendre des cours. Je ne vous explique pas la difficulté que ça a été pour lui apprendre quelque chose… Avec le temps, elle s’est habituée à ma visite un mercredi sur deux et travaille plus ou moins sérieusement. Ca me gêne de donner des cours à une fille qui a le même âge que moi : comment avoir de l’autorité dans une telle situation ? 

    Arrivé sur place, on commence la leçon ; je la trouve très peu attentive. Je comprends très vite la raison : elle a fêté ses 18 ans tout le week-end et est complètement épuisée. Face à ce problème, je lui propose d’aller visiter un musée pour la divertir ; elle accepte sans enthousiasme. Elle enfile ses petites chaussures à talons et c’est parti pour la traversée de Rouen, direction le musée des Antiquités. Je me retrouve à marcher avec une élève plus grande que moi ; ridicule ! 
    On se retrouve dans le bus côte à côte. Je remarque alors que la demoiselle est plutôt bien faite : un jean moulant lui rabote une jolie paire de fesses bien rebondies, une belle poitrine est dissimulée derrière un pull gris. Soudain, je remarque qu’elle me toise : elle ne doit pas apprécier que je la mate ; ses yeux verts me fusillent. Alors que je m’attendais à un reproche, elle se met à se caresser légèrement le haut des cuisses, puis le dessous des seins. Son regard assassin est devenu vicieux. Dans quoi ai-je mis les pieds ? Me voilà dans un bus avec la pire des cochonnes qui se touche devant tout le monde... En effet, les personnes autour de nous assistent à ce spectacle ahurissant. Paniqué, je reste immobile, pas comme mon sexe qui a senti venir le bon coup et se dresse sur son perchoir, prêt à bondir. Voyant la bosse sur mon jean, Léa amplifie encore ses mouvements. J’ai peur ; j’ignore ce qu’elle est capable de faire : me sauter dessus et me faire l’amour en plein autocar, ou se déshabiller et se masturber, je ne sais plus quoi faire pour arrêter cette machine. Son pull vient de disparaître, laissant place à un débardeur blanc qui laisse entrevoir un soutif jaune. Je lui dis dans un souffle :
    – Viens, on sort !
    – Non, attends : je commence juste à m’amuser.
    – On s’amusera dehors ; c’est moi qui décide, je te le rappelle !

    À ces mots, elle déboutonne sa ceinture. Face à ce spectacle exhibitionniste, je demande au bus de s’arrêter, l’attrape par le bras et la traîne dans une ruelle. J’ai eu la chance de tomber sur la seule élève qui soit une nymphomane refoulée. Elle semble toute triste dans cette ruelle obscure, son regard est devenu réprobateur, comme une bête traquée. Alors que je m’attends à tout, elle affirme d’un ton serein : « Tant pis, on finira ici ; ça ne me pose pas de problème ». 
    Je n’ai pas vraiment le choix : elle peut disparaître dans la ville très rapidement, et je ne tiens pas à expliquer à sa mère qu’elle m’a semé, à moitié nue. Je dois la satisfaire ; elle a dû faire le même raisonnement car elle semble m’ordonner de venir par un geste de la main indistinct.

    Arrivé face à elle, je remarque qu’elle porte un string rouge vif ; elle finit de défaire son pantalon et se retourne, me présentant son arrière-train. Sans avoir réellement le choix, je m’agenouille et commence à lui lécher la fente. Elle est totalement épilée : c’est très doux sur la langue ; sa moule est très ferme mais pas très humide. Sa réaction ne se fait pas attendre : elle se met à émettre des sons stridents ; je crois qu’elle simule pour attirer des touristes, elle doit aimer faire ça en public. Énervé, je lui enfonce mes doigts dans la chatte pour lui donner une raison de hurler comme ça. Je la doigte très rapidement, cherchant son point G ; si elle pouvait avoir un orgasme rapidement sans que je doive sortir le serpent de sa cage, ça m’arrangerait. Un de ses cris surpasse tous les autres et un liquide clair s’écoule doucement de son vagin : j’ai réussi ! Mais que fait-elle ? Elle s’assied sur un appui de fenêtre, enlève son jean et écarte les jambes. Ça ne lui a pas suffi, apparemment ! Je replonge la langue dans son antre, mais elle retient ma tête et pointe ma braguette. Tant pis : allons-y franchement, en priant pour que personne ne débarque, je suis assez pudique. Sans enlever mon jean, je sors mon membre par la braguette et me mets à lui pistonner la vulve. Ça sent le neuf à l’intérieur ; peu de personnes y sont venues avant moi.

    J’entame les ébats sur un rythme élevé afin de ne pas traîner, mais cette jeunette est endurante et mes coups de boutoir ne font que démultiplier la force de ses gémissements. La ruelle lui répond par un écho sonore non négligeable. J’entends des pas ; les cris de cette garce ont ameuté des badauds… Ce n’est pas grave : je ferai comme si de rien n’était. Ma bite la pénètre de plus en plus fort lorsque deux hommes arrivent ; ils matent pendant quelques secondes et repartent discrètement. Léa me fait signe qu’elle veut changer de position, l’appui de fenêtre devant être inconfortable. Elle se retourne et me présente son cul. Je la pénètre de nouveau en oubliant le lieu, les conditions ; je la baise de toutes mes forces, avec toute ma rage et tout mon désir. Mes coups claquent, les fessées fusent. Je lui attrape les seins et la fais se redresser ; ma main gauche vient lui exciter le clito, la droite lui presse ses obus. Je fais abstraction de ses cris de chienne, de la foule qui pourrait arriver… Puis je la plaque contre le mur ; sa tête est tout contre la brique. Un nouvel orgasme, mais je ne m’arrête pas : elle aura ce qu’elle mérite. Je lui sperme dans la chatte sans me soucier des conséquences et, sans même sortir, je reprends de plus belle. Ses cris de pute ont dû faire venir des gens ; je crois entendre des murmures près de nous. Il est trop tard pour reculer : j’accélère, elle jouit de nouveau en m’aspergeant le pubis. Alors sans lui demander son avis, je lui enfonce mes 18 centimètres dans son petit cul, sans préparation : bien fait pour elle ! Son hurlement est inhumain, un son venu tout droit des profondeurs de l’Enfer, de la bouche du Diable, même. 

    Je viens de lui dépuceler l’anus ; elle crie sans interruption alors que ma queue lui ramone son petit trou. Mon cœur bat la mesure d’une sodomie violente et sans pardon ; mon corps entier s’échauffe, tout disparaît autour de moi : je ne sens plus que ma queue dans ce couloir étroit, allant et revenant à une vitesse folle. Une de mes mains agrippe ses cheveux quand l’autre se balade entre sa chatte détrempée et son clito gonflé. Un ultime orgasme anal, une bonne giclée sur son corps en sueur, un regard de circonstance et nous revoilà dans la réalité.

    La ruelle n’était plus vide : une dizaine de voyeurs sont là, certains même ont sorti leur queue et se masturbent. Nos deux corps, nus et fatigués, semblent leur plaire car l’un d’eux déverse une mare de sperme dans le caniveau. Alors que l’attroupement se dissipe et que nous nous rhabillons, une voix s’élève derrière nous :
    – Joli spectacle, Monsieur et Madame… 

    Elle se tut. Ses yeux prirent un aspect étrange, on aurait dit du sadisme. Elle sourit, dévoilant une grande bouche, puis ajouta doucement : 
    – Il y a peut-être une solution pour vous éviter ce cauchemar ; après tout, je suis la seule à connaître cette histoire et elle pourrait facilement rester entre ces murs. 

    Je compris très vite où elle voulait en venir. elle écarta les jambes d’un geste élégant avant de susurrer : 
    – Si vous voyez ce que je veux dire… 

    Léa parut déconcertée ; nos regards se croisèrent pour la première fois depuis l’incident. Nous n’avions plus le choix : il fallait lui obéir pour s’en sortir. D’un léger signe de tête, nous acceptâmes le marché. Alors, elle déclara d’un ton cynique : 

    – Parfait ; c’est la meilleur solution. Vous exécuterez tous mes ordres, m’appellerez 
    « Madame » et resterez silencieux. À l’heure qu’il est, ce bâtiment est presque vide : nous pourrons donc nous amuser toute la nuit ! 

    La crainte de la décevoir me fit paniquer ; mon sexe avait déjà connu une rude journée et je ne savais pas si je pourrais tenir la cadence qu’elle nous imposerait tantôt. Léa, quant à elle, semblait ravie de cet arrangement : ses yeux avaient retrouvé leur pétillement salace. « Madame » me fit signe d’avancer, puis elle me fit mettre à genoux et plaça Léa, toujours clouée sur sa chaise, devant moi. En quelques instants, Léa se retrouva entièrement nue dans ce bureau froid. Elle tremblait. 

    – Réchauffe-la, imbécile ! Et fais-la jouir comme tout à l’heure, mais cette fois-ci sans les mains.

    Je m’approchai de ce sexe encore souillé de mon propre foutre et commençai à le lécher sans entrain. Cette timide entrée en matière me valut une fessée magistrale. 

    – Mieux que ça : mets-y du cœur ! 

    Je débutai alors une véritable séance de plaisir, d’abord en tournant autour du clito avant de l’attraper vivement. Léa se cambrait sur sa chaise en gémissant. Je mordillai ce petit bout de chair, puis ma langue pénétra sa vulve avec fougue. Je fis des va-et-vient de bas en haut, allant de son anus à son clito de plus en plus vite, de plus en fort. Soudain, une main vint m’aplatir la tête tout contre ce sexe humide ; j’avais de la mouille plein le visage. Je ne pouvais pas voir « Madame » qui se tenait derrière moi, silencieuse. Ma langue continuait ses travaux ; je commençai, enfin, à bander : l’odeur de la mouille qui ornait mon visage m’excitait...

    Alors, je vis une cravache pendre devant mon nez : « Madame » tapota légèrement cette vulve enflée avant de frapper un grand coup, un « clac » sonore suivi d’un hurlement de douleur. Puis, avec l’autre bout de son outil, elle pénétra la chatte bien ouverte par mes soins. Ma tête était maintenue de force à quelques centimètres de ce spectacle. La cravache entrait et sortait à une vitesse folle, et ce qui devait arriver arriva : un long jet de mouille vint m’éclabousser le visage, accompagné d’un éclat de voix strident. « Madame » rit ; le liquide dégoulinait de mes cheveux. Léa, essoufflée, résistait pour ne pas s’évanouir, épuisée par tant d’orgasmes en si peu de temps. La cravache claqua sur son corps nu. Je savais que mon tour allait vite venir... À peine remis de mes émotions, je vis Léa se diriger vers moi pour me déshabiller ; rapidement, je me retrouvai complètement nu, le sexe dressé.

    – Suce ! 

    Et c’était parti pour une fellation. Elle débuta par un baiser langoureux, puis par des coups de langue saccadés avant de se saisir de mon dard à pleine bouche. À ce moment-là, le pied de « Madame » vint lui appuyer sur la nuque, et Léa fut forcée d’avaler entièrement ma bite. À peine se fut-elle redressée que « Madame » recommença. Ce petit jeu durait et ma suceuse semblait avoir du mal à reprendre sa respiration ; je décidai donc de braver les interdits pour prévenir notre dominatrice. Sa réponse ne fut pas longue à venir : un coup violent de cravache me roussit le bas-ventre, puis un second droit sur mes couilles me mit les larmes aux yeux. Enfin, elle laissa son pied sur la tête de la pauvre fille pendant un temps considérable. Mon plaisir était inégalable, mais la peur de la voir s’étouffer devant moi m’empêchait d’en profiter. Elle s’évanouit, et son corps s’étala sur le carrelage froid du commissariat. 

    – Réveille-la d’une bonne saucée de sperme ! 

    Pendant que « Madame » lui maintenait la tête de façon à garder sa bouche entrouverte, je me masturbai sur ce corps inerte. 

    – Tu as besoin d’aide, on dirait… 

    De sa main libre, elle vint me saisir la queue et me branla rapidement, trop rapidement ; mon sexe devint douloureux. Enfin, dans un effort non négligeable, je parvins à décharger une petite quantité de foutre sur la langue de mon élève. 
    D’un mouvement habile, « Madame » lui fit avaler ce mets peu ragoûtant ; et très vite, elle reprit connaissance.

    – Bien… Vous vous êtes assez amusés comme ça ; vous allez vous occuper de moi. Toi, le petit brun, tu vas m’enlever ce jean et me lécher. Je veux que ça soit bon, sinon tu auras une sanction ! Toi, la pute, viens près de moi : je vais te rentrer ma cravache dans le cul, et tu vas la sentir passer, crois-moi ! 

    Léa se cambra sur le bureau, offrant ainsi son petit trou à la vue de cette grande brune plantureuse. Je découvris son corps en lui ôtant son chemisier, puis son pantalon. Très élancée, cette jeune femme d’une trentaine d’années avait des seins bien proportionnés, une taille fine et des jambes interminables. Sa culotte blanche dissimulait une chatte bien entretenue, rasée en triangle. Je remarquai que l’endroit était déjà humide, mais je n’eus pas le temps de réfléchir : elle me serra la tête contre sa chatte.

    – Tant que je n’aurai pas joui, cette pute se fera défoncer le cul. 

    Alors elle enfonça vigoureusement le manche de son arme dans le petit trou déjà dilaté. Un cri déchirant traversa la pièce. Je sentis la pression sur ma tête disparaître alors que je commençais à la doigter. Au bout de quelques secondes, un claquement m’interrompit ; je tournai ma tête et assistai, impuissant, à un terrible spectacle : le cul de Léa était complètement dilaté, ses yeux écarquillés laissaient couler de grosses larmes sur le sol, et son dos était en train d’être mis en lambeau par la lanière d’un fouet. Ma punition pour avoir interrompu mon cunni fut un violent coup de ce fouet entre les reins, ce qui m’arracha un cri de détresse. 

    – Tais toi, et reprend ton œuvre. 

    Reprenant, je lui enfonçai mes doigts profondément tout en lui léchant goulûment le clito. De mon autre main, je tentai maladroitement de lui titiller un téton. Mes jambes tremblaient de fatigue, mes genoux brûlaient, et ma langue était saturée. Epuisé, je dus arrêter mon cunni et je m’effondrai sur le sol. 

    – Lève-toi ! Plus vite ! Cambre-toi sur le bureau à côté de ta copine : tu vas voir ce qui arrive à ceux qui n’exécutent pas mes ordres… 

    Alors que j’obéissais docilement, le manche du fouet vint me déchirer l’anus. Une douleur vive transperça mon ventre. Mon cul était mort ; elle remuait son bidule dans mon cul et je souffrais. Ma bite se dressa ; je hurlai de douleur, accompagnant ainsi Léa dont la voix s’affaiblissait dangereusement.

    – Bien ça suffit. Maintenant, je vais te baiser mon cochon ! Tu ne vas pas être déçu, et tu as intérêt à assurer… 

    Je m’allongeai sur le bureau tandis que Léa prenait appui sur un meuble voisin. Sa chatte humide vint s’empaler sur mon dard rendu douloureux par tant d’efforts. La salope bougeait vite, trop vite, et parvenait dans le même temps à enculer Léa. Cet ébat sembla durer une éternité ; mon sexe ravagé dut éjaculer trois ou quatre fois dans cet orifice insatiable. 
    Léa s’était évanouie de fatigue ; son corps gisait à terre, la cravache toujours plantée dans son merveilleux petit cul. 

    – T’es fatigué ; ça tombe mal : je pourrais faire ça toute la nuit… souffla t- elle. 

    Elle se mit aussi à émettre des sons qui ressemblaient à des vagissements. Au bout de longues minutes, elle se retira enfin et vint se masturber au-dessus du visage éteint de ma camarade de souffrance. Un interminable jet de mouille vint recouvrir sa peau claire, et « Madame » hurla de plaisir. 

    Je croyais nos souffrances terminées ; je me trompais, car quelques secondes plus tard elle revint sur ma bite, qui présentait encore une vague érection, pour reprendre ce coït interminable. Après une micro-éjaculation de plus, elle dut renoncer car mon sexe refusait de redevenir dur : la vingtaine d’éjaculations de la journée avaient eu raison de lui. Je craignais le pire… Elle colla sa chatte dégoulinante sous mon nez, et je reçus l’ordre de tout nettoyer. Je le fis à grands coups langue ; une fois sa chatte propre, elle se rhabilla et, d’un air sévère, me lança :
    – Je ne peux plus rien obtenir de toi aujourd’hui ; dommage ! Vous pouvez partir. Ramène-la, mais attention : votre peine n’est pas terminée, je sais qui vous êtes et, en cas d’envie, je vous appellerai à loisir et vous ne pourrez pas refuser.

    On quitta enfin ce lieu de terreur ; une fois Léa ramenée chez elle, je me laissai tomber sur mon lit. La nuit salvatrice et réparatrice fut longue, très longue…

    « Madame » ne nous rappela qu’une seule fois, ce fut plus rapide : un cunni, une levrette et on a pu repartir. Ce n’est que des mois plus tard que j’appris la raison de cet appel unique : cette nymphomane psychopathe s’était fait virer  pour harcèlement sexuel envers son supérieur. 

    Nous l’avions échappé belle mais, malgré cette mésaventure, je décidai de poursuivre ma quête dès que mon sexe aura pu bénéficier d’un repos bien mérité. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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