• La femme de ménage

    Depuis le tournage de son incroyable aventure dans un chenil, Stacy avait ouvert sa propre société de diffusion vidéo, et c'est avec une grande fierté qu'elle allait réaliser son premier film sous son propre label. Elle avait maintenant à sa disposition un immense manoir pour décor et un excellent cameraman pour associé. Son premier scénario était largement inspiré d'une aventure personnelle ; et c'est habillée en soubrette qu'elle accueillit Adam chez elle.
    – Stacy ! Tu es vraiment excitante !
    – Calme tes ardeurs, Adam ; tu sais très bien que tu ne pourras jamais me pénétrer ! En parlant de ça, où est l'acteur principal ?
    – Dans ma voiture : j'ai réussi à te trouver un magnifique labrador.
    – Bien ! Je te laisse installer ton matériel pendant que je fais connaissance avec lui.

    La rouquine alla récupérer son futur partenaire sexuel et s'enferma immédiatement dans sa chambre avec lui. Adam avait besoin d'une bonne heure pour tout installer et faire ses réglages, laissant suffisamment de temps à la belle rousse pour répéter son rôle. Lorsqu’ Adam fut enfin prêt, il se rendit vers la chambre de Stacy, d'où cette dernière était en train de sortir.
    – Tout le matériel est installé : on y va quand tu veux.
    – Merci, Adam ; ce chien est parfait pour ce rôle !
    – Quoi ? Tu te l'es déjà tapé ?!
    – Mais non ! Je garde mon premier coup avec lui pour le film ; mais il a déjà essayé de me sauter dessus. Tu l'as trouvé où, ce chien, d'ailleurs ?
    – De l'autre côté du pays. Il y a un chenil qui a fermé, et le propriétaire a laissé volontairement ses animaux s'enfuir. Dès que j'ai besoin d'un acteur, je me rends sur place pour recueillir un de ces chiens et lui offrir un avenir meilleur.
    – Et tu en fais quoi, après ?
    – Crois-le ou non, ma belle, mais j'ai un tas de clients – mais surtout de clientes – qui me contactent pour s'en occuper ; d'ailleurs, je peux trouver très facilement de nouveaux foyers pour tes pensionnaires !
    – Hmmmm... Occupons-nous d'abord de ce tournage, et nous en reparlerons plus tard.
    – Très bien ; je te suis !

    Adam prit sa caméra sur l'épaule et commença son tournage en prenant bien soin de toujours cadrer Stacy sous son meilleur jour. La rouquine se rendit au salon puis elle sortit de chez elle pour entrer à nouveau, mais cette fois-ci dans la peau de son personnage.
    – Monsieur Stevens ?! Vous êtes là ? Madame Stevens ?! Il y a quelqu'un ?
    La belle rousse était encore dans l'encadrement de la porte, et ses talents d'actrice ne laissaient aucun doute. Son hésitation à entrer laissait penser qu'elle n'était pas chez elle, mais plutôt dans un endroit où elle se sentait mal à l'aise.
    – Bon, ils ont dû aller se promener avec leur chien : au moins, il ne sera pas dans mes pattes pendant que je fais le ménage.

    Stacy pénétra dans le salon, puis elle se dirigea directement vers le placard à balais pour en sortir un aspirateur. Le bruit de l'appareil éveilla la curiosité du labrador qui se trouvait encore dans la chambre, le poussant à se rendre dans le salon pour découvrir ce qu'il s'y passait. La rouquine venait de passer quelques secondes à nettoyer le tapis du salon et débrancha l'appareil pour le remettre à sa place. Lorsqu'elle se retourna, elle vit le chien en face d'elle, en train de remuer la queue. Elle feint la surprise et s'adressa l'animal.
    – Oh ! Tu m'as fait peur… Tu n'es pas avec tes maîtres ?
    Pour amadouer le labrador, la belle rousse s'accroupit et caressa la tête de l'animal. Adam put se rendre compte à ce moment-là que l'actrice ne portait pas de sous-vêtements car sa position laissa apparaître son sexe parfaitement épilé. Stacy se releva pour se rendre en direction d'une commode où se trouvaient des friandises pour chiens et en ouvrit le premier tiroir pour donner de quoi s'occuper à l'animal. Elle laissa volontairement tomber l'un des biscuits sous la commode et laissa s'échapper un juron avant de se mettre à quatre pattes pour le ramasser. 

    Dans cette position, la jupe courte qu'elle portait lui cachait les fesses, mais laissait suffisamment apparaître le haut de ses cuisses pour apercevoir son intimité. Le chien comprit immédiatement qu'il était temps pour lui d'entrer en action et se jeta sur la soubrette, lui enserrant la taille de ses pattes. Sous l'effet de la surprise, la rouquine se releva juste assez violemment pour rendre crédible un choc entre sa tête et le tiroir ouvert de la commode, puis elle mit ses deux mains sur son crâne en signe de douleur. La belle rousse était à présent appuyée sur ses coudes, la cambrure de son corps relevant un peu plus sa jupe, ce qui permit au chien de glisser plus facilement son sexe dans celui de sa partenaire.
    – Aïe, ma tête ! Oh ! Mais qu'est-ce que c'est ? Aaaaah ! Vilain chien ! Descend ! Vilain chien !
    Stacy était maintenant en train de subir les assauts de l'animal, et c'est de manière parfaitement réaliste qu'elle tenta de se libérer. Adam avait pris place derrière le couple et ne perdit aucun des nombreux va-et-vient du sexe canin dans celui de la magnifique actrice.
    – Non ! Pas ça ! Je ne veux pas me faire baiser par un chien ! Non !

    La rouquine avait maintenant réussi à faire couler ses larmes, et l'énergie qu'elle avait déployée pour se libérer avait surtout été utilisée pour relever complètement sa jupe, laissant enfin apparaître sa somptueuse paire de fesses à la caméra.

    – Non… Je suis en train de me faire violer par un chien ! Non ! Aaaaah !

    D’un mouvement plus ample que les autres, le labrador avait réussi à faire passer son nœud à travers sa partenaire. La rouquine serra les cuisses le plus possible pour garder son amant prisonnier pendant que ce dernier se retournait, puis elle se redressa pour se retrouver à genoux alors le sexe de l'animal était encore en elle. Adam fit le tour et pointa sa caméra face à Stacy qui releva complètement sa jupe, puis desserra doucement ses cuisses. Les lèvres vaginales de la belle rousse s'écartaient de plus en plus, laissant couler la semence canine qu'elle venait de recevoir ; et c'est dans un immense gémissement de plaisir qu'elle libéra le nœud de l'animal.

    – Oh, mon dieu ! Je viens de me faire prendre par un animal ! Quelle horreur ! Il ne faut surtout pas que je laisse des traces de ce qu'il vient de se passer !

    Pour ne pas éveiller les soupçons, l'actrice quitta sa tenue de soubrette et la mit immédiatement à laver. Elle était à présent complètement nue et dévoila enfin son incroyable poitrine d'une rare perfection qu'elle avait camouflée jusqu'à présent dans un décolleté plongeant. Pour ne pas laisser ses sécrétions vaginales sur le sexe du chien, elle saisit un chiffon et se mit à nettoyer frénétiquement le membre du labrador ; mais elle ne réussit qu'à le motiver à éjaculer encore plus, et reçut de nombreuses giclées entre les seins. Sa pièce de tissu fut très rapidement inutilisable, la forçant à trouver une autre solution pour recueillir tout ce liquide. Une fois de plus, Stacy prouva ses talents d'actrice en feignant la panique et colla rapidement sa bouche sur le sexe du chien pour faire définitivement disparaître toute trace de semence.

    Adam avait le cadrage parfait pour montrer la fellation prodiguée par la belle rousse, qui mima le dégoût à chaque fois qu'elle avalait. Après plusieurs minutes à nettoyer le membre canin avec sa langue, la rouquine décida qu'il était temps de nettoyer le sol et se mit à quatre pattes pour frotter le parquet en pensant que l'animal avait suffisamment joui en elle et qu'il allait se tenir tranquille. Le labrador vit cette femelle en position de soumission à l'endroit même où il venait de la prendre ; prenant cela pour une invitation, il s'installa à nouveau sur le dos de l'actrice et entama la saillie en faisant taper son sexe contre celui de la belle rousse. 
    Stacy ne s'attendait absolument pas à être montée à nouveau et profita de ce contretemps pour en offrir plus à ses spectateurs.
    – Non ! Pas encore ! Vilain chien ! Descend tout de suite !
    Tout en se tortillant, la rouquine envoya sa main pour servir de barrage à l'entrée de son intimité tout en laissant volontairement un libre accès entre ses fesses, allant même jusqu'à guider subrepticement du bout des doigts l'animal pour qu'il la sodomise. Sentant un orifice s'ouvrir, le labrador accéléra sa cadence et réussit à prendre par derrière la belle rousse.

    – Oh non ! Pas par là ! Je n'ai jamais laissé personne passer par là ! Aïe ! Vilain chien !

    L'animal était encore plus excité par cet orifice très serré qu'il venait de découvrir, et son acharnement lui permit de faire très rapidement passer son nœud entre les magnifiques fesses de sa partenaire. Stacy faisait semblant de se débattre, mais elle savait parfaitement comment garder son amant en elle sans que cela ne se voie, et c'est les yeux remplis de larmes de crocodile qu'elle laissa ses épaules tomber au sol en sanglotant. Adam était toujours fidèle au poste et n'avait pas raté la moindre seconde de l'accouplement. Lorsque le labrador fut libéré de l'actrice, cette dernière fit disparaître rapidement toute trace de sa relation puis, grâce à la magie du montage, elle remit sa tenue de soubrette et quitta le manoir.

    Le film se termina sur un plan du labrador allongé devant la cheminée. 

     

    La prostituée

    Stacy, ayant eu une nouvelle idée de scénario, avait demandé à son associé de lui apporter deux nouveaux partenaires. Adam avait réussi à relever le défi, et les ventes du film « La femme de ménage » lui ayant rapporté beaucoup d'argent, il avait décidé d'accepter toutes les exigences de la rouquine, même s'il devait pour cela traverser tout le pays.
    – Stacy… Plus le temps passe et plus tu es excitante !
    – Merci ; mais tu sais très bien que ce n'est que pour les chiens ! Tu as réussi à trouver ce que je t'ai demandé ?
    – Mieux que ça : j'ai aussi trouvé trois maisons d'accueil pour tes pensionnaires ! Il s'agit de couples qui ont vu ta vidéo du chenil et qui ont choisi leurs chiens en fonction de leurs performances.
    – Oh… Merveilleux ! Et pour le labrador de la dernière fois ?
    – Une semaine après la sortie de ton film, j'ai reçu trois propositions d'hébergement ; je l'ai finalement confié à une jeune femme de ménage qui avait vécu presque la même chose que ton personnage et qui voulait retenter l'expérience. Bon, où je m'installe ?
    – Laisse-moi les acteurs et rends-toi dans le parc. Tu y trouveras un vieux hangar abandonné où nous tournerons notre prochain film.
    – Quoi ? On ne tourne pas ici ?
    – Non : viens voir l'annonce que j'ai postée.

    Stacy se rendit dans une pièce où se trouvait un ordinateur portable, puis elle se connecta à un site érotique où elle avait fait paraître une annonce. Sur l'écran s'affichait en rose un bel en-tête où Adam put également voir une publicité pour combattre le mauvais sort.
    – Tu fais dans le vaudou, maintenant ?
    – Mais non, espèce d'idiot ! C'est un site où les gens publient des récits érotiques et où l'on peut aussi déposer des annonces coquines. Tiens : lis celle-là.
    En naviguant, la rouquine fit apparaître une photo d'elle, les yeux masqués par un rectangle noir, suivie d'un texte on ne peut plus évocateur :
    « Ancienne actrice X lassée par ses nombreuses expériences prend soin de vos compagnons à quatre pattes. Contactez-moi par mail pour plus de renseignements. »

    – Elle est magnifique, cette photo ! Tu as eu des réponses ?
    – Oui : Trente-et-une, exactement !
    – Eh bien… Et tu leur as dit quoi ?
    – Que c'était une prestation payante, et qu'ils pouvaient venir assister au spectacle s'ils restaient dans l'ombre.
    – Je suis épaté ! Comment ça va se passer ?
    – Les maîtres resteront à l'extérieur du hangar ; tu prendras contact avec eux pour leur donner un exemplaire du film gratuitement, car je ne veux même pas les voir. Je leur ai dit que c'était 5€ pour une fellation, 20 pour une pénétration vaginale et 50 pour une sodomie. En bonne commerciale, j'offre une fellation pour toute pénétration, mais je prends 10€ en plus chaque fois que le chien me fait passer son nœud. Les animaux auront l'argent accroché à leur collier, et les billets correspondront aux demandes.
    – Tu as conscience que c'est vraiment donné pour la qualité de ton corps ?
    – Oui ; mais en temps normal, il faut payer des acteurs pour qu'ils jouent dans un film. De plus, j'ai vraiment envie qu'il y ait un maximum de monde pour faire exploser les ventes.
    – Tu es une femme d'affaires redoutable ! Bon ; je vais me mettre en place.
    – Très bien. Je vais faire connaissance avec les nouveaux et je te rejoins juste après.

    La belle rousse s'enferma dans sa chambre avec ses deux futurs partenaires, puis elle dévoila son corps pour enfiler une tenue adaptée à son rôle. Grâce à son ancien métier, la belle rousse avait un grand stock de vêtements affriolants, et c'est sans difficulté qu'elle trouva une jupe serrée ultra-courte qui laissait tout de même apparaître le haut de ses cuisses jusqu'à la courbe de ses lèvres vaginales. Un débardeur noir profondément décolleté assorti à la jupe lui donnait un style dévergondé, et des escarpins à talons hauts vinrent compléter parfaitement sa tenue. 

    La rouquine s'installa face à sa coiffeuse pour se maquiller de façon volontairement exagérée tout en gardant les cuisses largement écartées, invitant ainsi les deux mâles présents à goûter celle qu'ils allaient bientôt chevaucher. Stacy eut du mal à se préparer tant elle prenait du plaisir à se faire lécher par un animal ; mais elle savait que la véritable jouissance ne commencerait que plus tard dans la soirée. Avant de partir, la jeune femme prit quelques billets en main puis elle prit la direction du parc pour rejoindre son associé.

    – Tout est en place ?
    – Oui. Dans combien de temps vont arriver les autres acteurs ?
    – Aucune idée ; je n'ai eu que trois confirmations, et je compte sur toi pour garder les maîtres à l'écart.
    – Pas de problème ; j'ai investi dans du nouveau matériel et tu auras cinq caméras braquées sur toi. Je n'ai même pas besoin d'être dans le hangar.
    – Tant mieux. Bon, je vais glisser des billets sous les colliers des chiens ; toi, tu les feras passer en premier et en dernier : comme ça, je saurai quand il n'y aura plus personne avec toi.

    La belle rousse glissa un billet de 50€, un de 20 et deux de 10 sous le collier de l'un des chiens puis elle le confia à Adam en lui indiquant que celui-ci serait le dernier ; puis elle plaça un billet de 20€ et un de 10 sous le collier du second avant de se rendre seule dans le hangar. Stacy repéra rapidement l’emplacement des caméras ; elle entrait dans la peau de son personnage. Elle fit les cent pas en allumant une cigarette. La rouquine accueillit chaleureusement son premier client et s'adressa à lui en récupérant les billets qu'elle avait elle-même déposés.

    – Eh, bonjour, toi… Oh, mais on dirait que tu cherches une relation tarifée ! Voyons voir... Une pénétration vaginale et un passage de nœud ? Très bien : je t'offre la pipe avec !

    Aussitôt, l'actrice allongea l'animal sur le dos puis elle fit glisser le sexe du chien dans sa bouche tout en prenant soin d'être parfaitement exposée à une caméra. Elle réussit à faire remonter sa jupe rien qu'en écartant les jambes, exposant ainsi ses magnifiques fesses à une autre caméra placée derrière elle. Lorsqu’elle sentit son partenaire éjaculer dans sa gorge, elle se releva et présenta ses fesses à l'animal qui y passa plusieurs coups de langue avant de la chevaucher. Les assauts de l'animal étaient frénétiques, et Stacy ne put s’empêcher de jouir bruyamment en terminant par un cri déchirant lorsque son amant fit passer son nœud à travers elle. La belle rousse libéra rapidement son premier client, puis elle se releva et remit sa jupe en place pendant que l'animal sortait du hangar.

    Un nouveau chien entra dans la pièce ; la jeune femme fut ravie de voir que son annonce avait été prise au sérieux. Elle le fut beaucoup moins lorsqu'elle vit un billet de 50€ et un de 10 accrochés sous le collier du Saint-Bernard qui se tenait devant elle.
    – Oh… Un autre client ! Voyons voir ; tu veux une sodomie avec passage de nœud ? Très bien, mais je ne t'offre pas de pipe pour ça ; désolée.
    Comme s'il avait compris, l'animal se mit à aboyer avant de se jeter violemment sur la rouquine, qui n'eut que le temps de se retourner avant de chuter sur le sol. Stacy était à quatre pattes, sa jupe bloquant le passage entre ses fesses. L'animal fit très rapidement entrer son sexe dans celui de sa femelle, lui arrachant un cri de surprise.
    – Aaaaah ! Non : pour ça, tu me dois vingt Euros maintenant !

    Une fois de plus, la belle rousse écarta les jambes pour faire remonter sa jupe, puis elle envoya sa main sur le sexe de son partenaire et s'allongea sur le sol pour le faire sortir de son emplacement actuel. En se relevant, elle prit soin d'écarter ses fesses au maximum et y fit glisser le membre canin qu'elle tenait encore. La sodomie était entamée et la jeune femme poussait des gémissements de douleur sous les assauts frénétiques de son amant. Peu de temps après, l'animal se retira presque de l'orifice avant d'envoyer un immense coup de reins, plantant immédiatement son nœud dans le corps de l’actrice.

    Stacy venait de subir sa première relation anale de la journée, et la taille imposante du sexe canin la faisait souffrir. Au bout de quelques minutes, le Saint-Bernard se libéra et courut aussitôt vers la sortie. La rouquine se releva difficilement et remit sa jupe en place, puis elle vit son amant revenir avec un billet de 20€ sous le collier. Elle récupéra l'argent et caressa la tête du chien ; puis celui-ci lécha le sexe de celle qu'il venait de sodomiser et aboya après elle en signe de remerciement avant de repartir d'où il était venu. Sans avoir le temps de récupérer, la belle rousse vit entrer un caniche nain qui ne portait qu'un billet de 5€ sous le collier.

    – Bonjour, toi ! Comme tu es mignon… Tu veux une petite pipe ? Viens, mon beau !
    Stacy allongea l'animal sur le dos comme elle l’avait fait pour son premier client, puis elle s'employa à prodiguer la meilleure fellation possible à ce chien qui n'était venu que pour ça. Quelques secondes suffirent pour le faire jouir, et c'est avec plaisir que la jeune femme avala toute la semence qui s'échappait de son nouveau partenaire. L'animal se releva rapidement et repartit aussi vite qu'il était arrivé.

    La prochaine passe allait être très difficile pour l'actrice qui ne savait absolument pas à quoi s'attendre. Un doberman venait d'entrer dans la pièce ; il avait une grosse liasse de billets coincés dans le collier.
    – Eh bien ! On dirait que toi, tu as vraiment envie de t'envoyer en l'air… Voyons voir ce que tu as là...
    Stacy retira la liasse et commença à trier les billets. Il y en avait deux de 50€, trois de 20€ et neuf de 10€ : elle comprit qu'elle allait devoir passer un bon moment avec son nouveau client ; mais il avait l'air athlétique, et elle savait qu'il allait lui donner beaucoup de plaisir.
    – Donc, tu veux deux sodomies, trois pénétrations vaginales et neufs passages de nœud... Bien ! Pour ça, je t'offre une pipe avant rapport vaginal, une après, et enfin une après sodomie ; j'espère que tu va tenir le coup !

    Le doberman s'installa tout seul sur le dos, laissant apparaître son sexe déjà en érection. La belle rousse le prit immédiatement en bouche ; elle n’eut que quelques mouvements à faire pour sentir le mâle se déverser dans sa gorge. Elle se mit en position de levrette et laissa sa jupe couvrir ses fesses pour ne pas se faire sodomiser tout de suite. L'animal était visiblement bien dressé puisqu'il prit immédiatement place sur le dos de sa femelle et inséra son membre sans difficulté dans le corps de sa partenaire, qui poussa de petits gémissements de plaisir sous les coups de son amant. Le doberman se mit à reculer au point de quitter le corps de Stacy et fit le tour pour s’asseoir face à la jeune femme qui vit le sexe encore ruisselant de son amant pointer devant elle. Le mâle désirait une autre fellation : c'est avec plaisir qu'il fut exaucé. La belle rousse était en train de s'occuper du membre animal en faisant toujours attention d'être bien visible par les caméras, et c'est avec application qu'elle passa sa langue sur toute la longueur du sexe canin dont elle prit finalement le bout entre ses lèvres pour en aspirer chaque giclée, qu'elle avala instantanément.

    Le chien s'installa à nouveau sur le dos, et cette fois-ci ce fut la rouquine qui le chevaucha. Elle venait de faire glisser son sexe sur celui de l'animal et se mit à onduler rapidement du bassin pour profiter de cette pénétration. Les gémissements de la jeune femme firent rapidement place à des cris de jouissance, mais elle avait déjà subi deux pénétrations vaginales et se demandait comment elle allait réussir à encaisser neuf passages de nœud… Lorsqu'elle sentit le doberman se débattre, la belle rousse se releva et comprit qu'il était temps de le faire passer par un autre orifice. Elle s'installa à quatre pattes et remonta sa jupe pour libérer le passage entre ses fesses où son amant prit rapidement place. La sodomie était déjà bien entamée, et Stacy comprit qu'elle allait devoir accepter une fois de plus un passage de nœud anal. Collant ses épaules sur le sol, elle laissa son client profiter de sa première insertion complète. Le Saint-Bernard avait bien ouvert la voie, et c'est sans grande difficulté que le doberman se libéra des magnifiques fesses de sa femelle.

    Pour varier les plaisirs, la rouquine fit redescendre sa jupe, indiquant à l'animal qu'il n'allait pas tout de suite profiter d'une seconde sodomie consécutive. Le chien étant visiblement très bien dressé, il reprit place sur le dos de sa partenaire et inséra instantanément son sexe dans celui de l'actrice en adoptant cette fois-ci une cadence frénétique. Stacy hurlait maintenant de plaisir et ses cris décuplaient d'autant plus la fougue de son partenaire qui modela suffisamment le sexe de la jeune femme au point d'y faire entrer son nœud à chaque coup de reins. Au total, il fit passer à sept reprises l'intégralité de son anatomie dans le corps soumis qu'il chevauchait avant de quitter sa position, complètement essoufflé.
    – Eh bien ! Tu vas tenir le coup ? Il te reste encore une sodomie avec passage de nœud, et ensuite je te sucerai, comme promis.
    L'animal aboya en signe d'approbation ; la belle rousse se remit en position comme pour la première sodomie, et c'est de la même manière que les deux amants s'accouplèrent. Après avoir bien pris soin de l'attribut viril du doberman avec sa langue, Stacy le laissa partir.

    La jeune femme se releva et remit une fois de plus sa jupe en place ; s'appuyant contre le mur, elle alluma une cigarette. Elle venait de prendre un immense plaisir avec son dernier client, et pensa que ce scénario était une excellente idée. Son repos fut de courte durée avant qu'un nouveau client fasse son entrée. Il s'agissait d'un lévrier afghan qui portait à son cou un billet de 20€. La rouquine jeta sa cigarette et s'adressa à son futur partenaire.

    – Bonjour, mon beau ! Tu veux prendre du bon temps ? Voyons voir : tu as juste assez pour une pénétration vaginale, mais sans passage de nœud. Je t'offre la pipe après le rapport.

    Considérant la race du chien, Stacy prit la position de la levrette sans relever sa jupe et laissa son nouvel amant faire ce pour quoi il était venu. Le rapport fut bref ; ensuite, l'actrice n'eut pas besoin de beaucoup de temps pour le faire jouir dans sa bouche. Après toutes ces passes, la jeune femme vit enfin arriver le dernier client. Elle comprit qu’Adam était à présent tout seul, et savait qu'elle allait bientôt pouvoir se reposer. C'est avec toute l'énergie qui lui restait qu'elle prit soin de son dernier client avant de se relever et d'arranger sa jupe une dernière fois. Le dernier plan serait celui de cette prostituée quittant le hangar avec tout l'argent qu'elle venait de gagner.

    – Alors, comment c'était ?
    – Magnifique, Stacy ! Tu es vraiment une super actrice !
    – Et les maîtres, ils étaient comment ? Ils ne t'ont pas causé trop de soucis, au moins ?
    – Je me suis un peu pris la tête avec le propriétaire du Saint-Bernard ; mais les autres étaient vraiment sympas.
    – C'est quoi, ce doberman ? T'as vu tout ce qu'il m'a fait ?
    – Eh bien, figure-toi que c'est celui d'une femme ! Une magnifique maghrébine qui n'a pas voulu me donner son nom et qui ne voulait pas non plus recevoir un exemplaire du film.
    – Tant pis pour elle ! Il faut que je rentre prendre une douche ; je te laisse t'occuper des acteurs et du matériel. Je t'appelle bientôt pour le prochain film. 

    La mariée

    Une fois de plus, Adam avait répondu présent à l'appel de son associée et c'est en compagnie d'un caniche qu'il se rendit au manoir.

    - Bonjour Stacy ! Oh ! C'est quoi cette tenue ?!
    - Ça se voit pas ? C'est une robe de mariée.
    - Si, mais pourquoi tu es habillée comme ça ?
    - Je suis une jeune mariée qui a peur de la sodomie alors je vais tester avec le petit sexe de mon caniche... C'est quoi ça ?
    - Un caniche, c'est pas ce que tu m'as demandé ?
    - Si, mais celui-là ressemble plus à un cheval qu'à un chien !
    - Merde ! Tu voulais un caniche nain ?
    - Ben oui, pourquoi c'est pas nain un caniche à la base ?
    - Pas les caniches ! Si tu m'avais demandé un yorkshire ça aurait été plus compréhensible... Bon, on annule tout ?
    - Non, tant pis, je vais faire avec.

    La taille du chien ne changeait rien au scénario prévu, mais la démarche était moins crédible. La belle rousse ne se laissa pas démonter pour autant et trouva un moyen pour faire comprendre à son publique qu'une jeune mariée qui n'avait jamais essayé la sodomie veuille le faire pour la première fois avec un sexe plus gros que celui d'un homme. Stacy invita Adam à s'installer dans la chambre conjugale de son dernier film où elle avait pris soin de changer le mobilier. Durant la mise en place du matériel, l'actrice profita de son nouveau partenaire et l'installa sur le dos avant de le chevaucher pour profiter d’une pénétration vaginale avant le tournage. Encore accroupie au-dessus de son amant, la rouquine envoya un violent coup de bassin vers le bas pour faire passer le nœud de l'animal en elle, hurlant de plaisir et alertant par la même occasion Adam qui se rua dans la chambre.

    - Stacy ça va ?
    - Oui ! Il a un nœud énorme ! Ça colle pas du tout à mon histoire !

    Adam ne put cacher son érection devant l'image de cette magnifique jeune femme en robe de mariée pénétrée par un chien et c'est inconsciemment qu'il glissa sa main dans son caleçon pour se masturber.

    - Adam, tu te fais du mal pour rien là ! Je sais que ça t’excite de me voir en pleine action mais je ne ferais jamais rien avec toi !
    - C'est vraiment du gâchis ! Une belle femme comme toi qui s'offre sans problème à des chiens même errants et qui se refuse à moi !
    - Oui, mais eux au moins ils ont un sexe qui me fait jouir ! J'ai connu des centaines de mecs pendant ma carrière et aucun n'a jamais réussi à me donner une once de plaisir...

    Sur cette dernière parole, la belle rousse se releva libérant ainsi un flot de semence qui ruissela sur le sexe en érection du caniche avant d'y coller sa bouche pour connaître le goût de son nouveau partenaire. Visiblement satisfaite par le liquide qu'il produisait, Stacy se mit à avaler bruyamment le sperme du chien comme pour narguer un peu plus son associé. Adam ne tenant plus de voir cette scène alla se réfugier dans les toilettes pour se masturber et n'en ressortit qu'à peine quelques secondes plus tard, libéré du désir provoqué par la rouquine. Dans la chambre conjugale, l'actrice installa le caniche dans un coin et demanda à son associé de lancer le tournage. Elle se plaça devant un miroir et se mit à parler à elle-même.

    - Quelle journée ! Ça aurait dû être le plus beau jour de ma vie et finalement ça a été le plus stressant !

    Puis elle se retourna vers le chien et entama un dialogue solitaire dont elle avait le secret.

    - Tu sais pas ce que c'est toi de se marier ! La journée est finie et mon époux va me rejoindre dans quelques heures... En plus je lui avais promis que si on se mariait je le laisserais me prendre par derrière pour notre nuit de noce... Qu'est-ce que j'ai été conne !

    Le caniche était allongé au sol mais il releva la tête vers la jeune femme lorsqu'elle s'adressa à lui. Stacy était en train de poser les bases de son scénario et allait bientôt devoir passer à l'action.

    - Je sais qu'il en meurt d'envie depuis qu'on est ensemble, je suis même presque sûre qu'il a accepté de m'épouser pour pouvoir me sodomiser... cette fois je ne vais pas pouvoir y échapper !

    La belle rousse releva sa robe de mariée pour faire apparaître ses fesses qu'elle contempla dans le miroir.

    - C'est vrai que j'ai un cul magnifique ! Je comprends qu'il veuille le visiter ! Mais ça doit faire mal quand même... Bon, voyons voir si j'arrive à encaisser quelque chose par là...

    La rouquine se dirigea vers la table de chevet d'où elle sortit un godemiché d'environ dix centimètres ainsi qu'un tube de vaseline

    - Voilà, ça c'est moins gros que le sexe de mon mari, je crois que ça devrait pas trop me faire mal...

    Stacy déposa un peu de vaseline dans le creux de sa main, puis elle y fit glisser le morceau de plastique pour le couvrir de gel et appliqua l'excédent entre ses fesses. Ainsi lubrifiée, elle fit passer de nombreuses fois son godemiché près de son orifice avant d'en présenter la pointe à l'entrée de son anatomie. Malgré le fait qu'elle soit encore debout, la rouquine décida d'entamer sa propre sodomie dans cette position et utilisa ses talents d'actrice pour feindre la douleur tout en poussant de petits gémissements. Après s'être introduit l'objet entre les fesses, la belle rousse décida de le laisser en place pour un petit moment et enfila une culotte pour le retenir afin de s'habituer à la présence d'un corps étranger en elle par cet orifice. La belle rousse fit quelques pas dans la pièce avant de s'asseoir sur le lit, puis sur une chaise.

    - Ça alors ! Ça fait mal quand ça rentre mais on s'habitue très vite en fait ! Il faut que je me mettre un truc plus gros pour être sûre que mon mari ne me fasse pas mal.
    Relevant une fois de plus sa robe, Stacy quitta sa culotte et sortit délicatement le bout de plastique qu'elle s'était introduit puis elle le compara avec tous les objets phalliques qu'elle trouva dans la pièce.

    - Non, ça c'est plus petit... Ça aussi... Et ça aussi... Merde ! Il y a rien de plus gros que ce truc ici ?!

    La jeune femme semblait agacé de ne pas trouver quelque chose possédant les bonnes dimensions pour elle. En désespoir de cause, elle se remit à discuter avec le caniche.

    - Tu crois que je suis assez expérimentée maintenant pour laisser mon mari passer par derrière ? Non hein ?! Il faut vraiment que je trouve un autre truc à me mettre avant de le laisser me sodomiser. C'est un peu une brute tu sais quand on est au lit ! J'ose même pas imaginer comment il va s'en donner à cœur joie ! Et si je ne suis pas parfaitement préparée ça risque de me faire vraiment très mal ! Il faudrait que j'arrive à trouver quelque chose qui ressemble à un sexe, tu crois pouvoir m'aider ?

    Comme s'il avait compris, le chien se mit sur le flanc et commença à lécher son propre sexe faisait apparaître une pointe rouge aux yeux de la rouquine.

    - Hé ! Mais tu es un mâle toi c'est vrai ! Peut-être que je vais trouver ce que je chercher entre tes pattes ! Qu'est-ce que je raconte ! Tu es un chien... C'est dégueulasse !... Mais si je te mets une capote, il n'y aura pas vraiment de contact entre toi et moi... Montre-moi d'abord la taille de ton sexe !

    La belle rousse s’accroupit devant l'animal puis elle glissa sa main sur le membre du chien et essaya de le comparer avec son godemiché. Le caniche n'était pas du tout en érection et c'est volontairement de cette manière que l'actrice compara l'objet qu'elle venait d'accueillir avec l'attribut viril encore caché de son futur amant.

    - Très bien ! Je ne vois pas encore ton sexe mais au touché tu m'as déjà l'air un peu plus gros que ce truc ! Comment je dois faire maintenant pour t'enfiler une capote ?

    Stacy laissa tomber au sol le bout de plastique avec lequel elle s'était sodomisée et récupéra un préservatif dans la table de chevet puis elle reprit place devant l'animal et se mit à le masturber maladroitement. Après quelques instants, le caniche se trouva en érection face à la jeune femme qui due se retenir de le prendre en bouche pour les besoins du film.

    - Ha... En fait tu es vraiment plus gros que ce que je croyais... Mais je dois le faire pour mon mari ! Ce soir il va me prendre par derrière et j'ai bien l'intention de ne pas gâcher son plaisir avec ma souffrance !

    La belle rousse sortit le préservatif de son emballage puis elle le fit glisser le long du sexe qu'elle avait décidé d'accueillir entre ses fesses et fit un dernier point avec son futur partenaire avant la pénétration.

    - Hé bien ! C'est la première fois que je vois une capote aussi tendue ! Je vais te mettre un peu de vaseline et ensuite tu vas m'aider à être plus facile à sodomiser pour mon époux !

    Joignant le geste à la parole, la rouquine appliqua le lubrifiant sur le membre animal puis elle le fit s'allonger sur le dos et le chevaucha pour enfin présenter son orifice anal contre le sexe du caniche.

    - Ahhhhh ! C'est vraiment énorme ! Ça fait super mal ! Ahhhhh ! Il faut que je te fasse entrer le plus possible ! Ahhhhh !

    La moitié de l’attribut viril du chien était maintenant planté entre les fesses de la jeune femme mais cette dernière voulait honorer sa réputation d'actrice extrême et força pour laisser passer le reste du membre animal jusqu'à ce qu'elle sente le nœud du caniche butter contre son orifice. Au moment où la rouquine voulu forcer un peu plus pour accueillir la totalité du sexe canin, un claquement sourd se fit entendre. Stacy décida de profiter de ce qu'elle venait de sentir pour rajouter un peu de perversion à son film.

    - NON ! PAS ÇA ! LA CAPOTE À CRAQUÉ ! Merde, je suis en train de me faire sodomiser par mon chien ! Ahhhhh ! Sa bite touche mon corps ! Ahhhh ! NON ! Ne jouis pas dans mes fesses ! NON !

    Une fois de plus, la belle rousse jouant extrêmement bien le jeu fit mine de vouloir se dégager rapidement mais attendit suffisamment longtemps pour être sûre que l'animal était en train de gicler, elle libéra alors son amant pour laisser apparaître un sexe canin entouré d'un préservatif déchiré éjaculant à flots. Les magnifiques fesses de Stacy laissèrent s'échapper un peu de semence animale, prouvant ainsi qu'elle venait de subir une sodomie canine lors de laquelle elle avait été honorée par son mâle.

    - Mon dieu qu'est-ce que je viens de faire ? J'ai laissé mon chien me prendre par derrière alors que je voulais que mon mari soit le premier à me remplir par-là ! Mon dieu... Le pire... c'est que j'ai adoré ça... Mon chien vient de me remplir le cul ! Ahhhhh ! J'ai le sperme de mon chien qui coule dans mes fesses ! Ahhhhh !

    La belle rousse était en train de se masturber frénétiquement, visiblement très excitée par ce qu'elle venait de subir. Elle ne prit du plaisir solitaire que pendant quelques secondes avant de se ruer sur le caniche.

    - Viens mon beau, je vais te débarrasser de ça... Voilà, maintenant ta bite est toute nue... Tu veux recommencer ?

    Stacy venait de retirer les restes du préservatif et motiva son partenaire à reprendre ses activités. Pour cela elle se mit à quatre pattes, releva sa robe de mariée pour présenter ses fesses à l'animal qui ne se fit pas prier pour prendre la jeune femme entre ses pattes. L'actrice espérait que le chien glisse entre ses cuisses mais ce dernier avait visiblement une préférence pour la sodomie et c'est sans ménagement qu'il planta son sexe dans les entrailles de la femelle. La pénétration anale fut très violente, arrachant à la rouquine des cris de plaisir suivis par un immense cri de douleur lorsque le caniche passa son nœud dans le corps soumis qu'il chevauchait. Les amants restèrent collés l'un à l'autre pendant plusieurs minutes puis le chien se retira en douceur de sa femelle pour ne laisser apparaître qu'un orifice béant. L'actrice se releva et ajusta sa magnifique robe de mariée puis elle prit la parole juste avant le générique de fin.

    - Ahhhh ! J'ai le cul bien préparé pour mon mari maintenant... et pour chien aussi... 

     

    – La scientifique –

    Stacy était habillée d'une blouse blanche et s'était fait un chignon. Elle avait ressorti sa fausse paire de lunettes et tenait une écritoire lorsqu'elle ouvrit la porte de sa demeure à Adam.

    – Bonjour, Stacy ; toujours aussi belle !
    – Merci, Adam, mais tu sais...
    – Je sais : tu es un vide-couilles pour chiens, exclusivement !
    – Inutile d'être grossier !
    – Désolé, ma belle ; mais chaque fois que je te vois, j'ai envie de toi. Surtout quand tu joues un rôle, en fait.
    – Bref... Tu as trouvé le chien que je t'ai demandé ?
    – Oui : toujours au même endroit. Il ressemble à Sultan, tu ne trouves pas ?
    – Oui, c'est vrai ! Je vais faire connaissance avec lui ; installe-toi dans le laboratoire.
    – Le laboratoire ? C'est où ?
    – À côté de la salle de projection.

    Une fois de plus, Stacy avait aménagé l'une de ses pièces pour les besoins du tournage et y avait installé tout un attirail qui faisait ressembler l'endroit au laboratoire d'un savant fou. Adam trouva rapidement où installer ses caméras et, après de rapides réglages, il se rendit près de la chambre de la belle rousse pour tenter d'y voir quelque chose. Alors qu’il était penché pour regarder par le trou de la serrure, Adam fut surpris par Stacy qui arrivait derrière lui.

    – Tu cherches quelque chose ?
    – Heu... Non, je voulais savoir où tu en étais.
    – Je viens de finir. Je me suis fait sauter dans la salle de bain parce que c'est insonorisé ; il m'a drôlement fait jouir, le salaud ! Tu sais que sa bite a glissé dans ma chatte tout doucement avant qu'il me pilonne comme une chienne ? En plus, quand je l'ai sucé alors qu'il sortait tout juste de...
    – C'est bon, j'ai compris : je suis un pervers, et toi une sainte !
    – Non ; mais arrête d'essayer de me mater ! Tu devrais déjà être content de profiter du tournage en direct.
    – Oui… Tu as raison. Bon, on y va ?
    – Suis-moi.

    Stacy se dirigea vers la pièce prévue pour le tournage et demanda à Adam de ne pas y pénétrer. La jeune femme portait un string sous sa blouse, mais elle n'avait pas de soutien-gorge. Une fois en place, le tournage put commencer.

    – Bonjour à toutes et à tous ! Je suis le professeur Stacy Émilie Xérès. Aujourd'hui, nous allons faire de l’anatomie comparative entre le chien et la femme, puis nous étudierons la possibilité d'une interaction entre les deux.

    La rouquine s'adressait directement à la caméra, comme si elle donnait un cours à ses spectateurs. Elle attrapa le dogue allemand par le collier qu'elle venait de lui mettre et l'installa à quatre pattes sur une table métallique.

    – Je vous présente notre sujet du jour : Brutus. C'est un dogue allemand de trois ans, mesurant un mètre quarante au garrot et, bien entendu, c'est un mâle.

    Stacy n'avait pas la moindre idée de l'âge ni de la taille de son nouvel acteur ; tout ce qu'elle savait, c'est qu'il ressemblait étrangement à Sultan et qu'il était aussi bien membré que lui. C’est d'ailleurs tout ce qui l'intéressait… L'animal était de profil au premier plan ; la jeune femme se pencha un peu pour être visible entre les pattes avant et arrière de l'animal, puis elle posa sa main sur le sexe du chien avant de reprendre son monologue.

    – Voici où se trouve l'appareil reproductif de Brutus. Nous allons devoir le sortir de son fourreau pour vous le présenter à nu.

    Parfaitement habituée à ce genre de contact, la belle rousse extirpa délicatement le sexe de l'animal et le présenta à la caméra.

    – Ceci est le sexe de notre cobaye. Comme vous pouvez le constater, il n'est pas en érection. Nous allons devoir lui appliquer une série de va-et-vient afin de pouvoir l'étudier un peu mieux.

    D’un mouvement très sensuel, la rouquine se mit à masturber doucement l'animal en usant de toute la volonté dont elle pouvait faire preuve pour ne pas coller tout de suite sa bouche sur ce morceau de chair. Le dogue allemand n'eut pas besoin d'être motivé très longtemps avant que son organe prenne une dimension plus que respectable.

    – Voilà. Maintenant que Brutus nous laisse admirer son anatomie, vous pouvez observer à la base de son sexe une très grosse boule : nous appelons ceci le nœud. Lors de l'accouplement, le chien insère ce nœud dans le vagin de sa partenaire, qui se trouve pour ainsi dire bloquée et n'arrive pas à le laisser sortir. De cette manière, Brutus est sûr qu'elle recueille toute sa semence, et donc multiplie les chances qu'elle soit fécondée.

    Stacy avait de plus en plus de mal à cacher son excitation. Elle avait beau être une excellente actrice, le fait de détailler autant le déroulement d'un acte qu'elle adorait ne la laissait pas indifférente. Pour présenter le reste de son expérience, elle dut se retenir pour ne pas passer immédiatement à l'action. L'actrice se tourna et déroula un genre d'écran pour projecteur vidéo sur lequel était dessiné un sexe féminin vu en coupe.

    – Voyons maintenant l’appareil reproducteur d'une femme. Comme vous pouvez le constater sur ce dessin, le vagin d'une femme est parfaitement compatible. Nous ne parlons pas ici de nature ou de contre-nature, mais bien de possibilité.

    Complètement excitée par ce qu'elle disait, Stacy se mit à faire de rapides mouvements à l'aide d'une règle métallique sur le dessin, presque en gémissant.

    – Le membre du chien peut entrer par là, aller jusque là, ressortir un peu et entrer à nouveau. Hmmmm… Ensuite, il peut pousser jusque là, aahh… Et son gros nœud se coincerait ici. Aaaahhhh !

    La belle rousse avait maintenant glissé sa main libre dans son string et se masturbait tout en donnant son explication. Prenant conscience de la présence des caméras, Stacy se reprit pour s'adresser plus calmement à ses spectateurs.
    – Excusez-moi, je m'emporte un peu... Comme je l'ai dit, le sexe d'une femme et celui d'un chien sont compatibles. Nous allons maintenant passer de la théorie à la pratique.

    La rouquine se pencha sous la table. Mais, contrairement à toute attente, elle réapparut avec un bocal transparent dont le couvercle avait été remplacé par un opercule très épais.

    – Ce bocal mesure trente centimètres de haut et dix centimètres de diamètre. Pour faire illusion, nous en avons remplacé le couvercle par une épaisse couche de plastique dont l’élasticité est identique à celle d'un vagin féminin. Lorsque Brutus sentira que son sexe est en train de desserrer les parois de ce vagin artificiel, il va certainement se mettre éjaculer aussitôt. Nous pourrons alors étudier sa semence.

    L'actrice approcha la fente de plastique du sexe de l'animal. Elle ne put se retenir de pousser un gémissement lorsqu’elle glissa son invention sur le membre canin, puis elle masturba frénétiquement le dogue allemand pour le faire éjaculer. Dans son excitation, elle poussa le bocal trop loin et se mit à jouir comme si c'était elle qui venait d'accepter le nœud du chien. Stacy lâcha le récipient qui ne tenait plus que par le nœud de Brutus.

    – Hmmmm... Comme je vous l'ai précisé, la couche de plastique possède les mêmes propriétés élastiques que le vagin d'une femme. Vous en conclurez donc qu'une femme peut effectivement avoir un rapport complet avec un chien. Essayons maintenant de libérer notre cobaye pour pouvoir étudier sa semence.

    La belle rousse se mit à tirer sur le bocal, mais l'orifice était beaucoup trop étroit pour libérer le nœud du chien. Elle dut attendre près de trois quarts d'heure avant que l'animal soit un peu moins excité et qu'elle puisse enfin récupérer son récipient ; mais la magie du montage ferait facilement passer cela pour quelques secondes. 

    – Très bien. Ouvrons ce bocal et voyons quelle quantité de semence Brutus nous a donnée... 

    Stacy versa tout le sperme canin dans un verre gradué.

    – Eh bien ! On dirait que ce dogue allemand a réussi à produire plus de quinze centilitres de semence… Pour conclure, nous allons essayer de remplir un vrai vagin avec le sexe de Brutus ; ensuite, nous verrons combien de semence canine il peut accueillir. Étant la seule femme présente, je vais me dévouer pour la science et utiliser mon propre corps pour cette expérience.

    Stacy quitta sa blouse pour ne se retrouver qu'en string, dévoilant ainsi sa magnifique poitrine.

    – Je vais conserver mon string tout au long de l'expérience pour être sûre de ne pas laisser échapper la moindre goutte. Bien entendu, je le décalerai au moment de l'introduction et le remettrai en place à la fin du coït.

    La belle rousse s'installa à son tour sur la table en prenant soin de poser les pattes du dogue allemand de part et d'autre de ses hanches, puis elle reprit son monologue.

    – Dans la position de la levrette, l'animal prend place sur le dos de la femme – moi en l'occurrence – et se trouve naturellement au bon endroit pour un accouplement. Maintenant que je sens la pointe de son sexe à l'entrée du mien, il ne me reste plus qu'à déplacer le frêle rempart pour débuter la saillie.

    Plaçant une main entre ses cuisses, la jeune femme attrapa le bout de tissu qui bloquait l'entrée de son intimité puis le déplaça suffisamment pour qu'une introduction soit possible. Instantanément, l'animal glissa son sexe dans celui de la femelle, puis il le fit pénétrer de plus en plus profondément. Stacy avait du mal à parler, tant la jouissance la faisait gémir. Elle réussit tout de même à placer quelques mots cohérents.

    – Hmmmm ! Il ne va pas tarder... aaahh… à accélérer sa cadence... hmmmm ! Je suis assez profonde pour lui mais... aaaaahhh ! C'est l'introduction de son nœud que va être... AAAAAAHH !!!

    Le chien avait adopté un rythme frénétique, faisant littéralement hurler de plaisir l'actrice dont l'excitation facilitait grandement le rapport. Après une bonne dizaine de minutes, le dogue allemand réussit à faire passer son nœud à l’intérieur du corps de sa partenaire, qui sentait maintenant les mouvements du sexe de son amant entre ses cuisses lui indiquer qu'il était en train d'éjaculer en elle.

    – Aaahh ! Le nœud est passé… Je sens qu'il envoie sa semence dans mon vagin à une cadence très précise. Nous allons maintenant laisser Brutus éjaculer au fond de moi, puis nous mesurerons la quantité de sperme que j'ai réussi à contenir. 

    La rouquine savait que l'accouplement allait durer longtemps ; et c'est encore une fois grâce à la magie du montage qu'au bout de quelques minutes le chien se retira. Immédiatement, la belle rousse réajusta son string et se remit debout devant la table. 

    – Bien. Comme vous venez de le voir, une femme et un chien peuvent s'accoupler. Encore une fois, nous ne parlons pas de nature ou de contre-nature, mais de science. D'un point de vue objectif, le sexe d'un chien est beaucoup plus adapté aux désirs d'une femme que celui d'un homme. Un chien ne se retire pas immédiatement après avoir éjaculé, et sa cadence est incroyablement régulière. Par ailleurs, un chien est très endurant et le plaisir qu'il procure est vraiment très intense. Maintenant, voyons ce que m'a laissé Brutus.

    Tout en faisant face à la caméra, Stacy enleva son string et s’accroupit au-dessus d'un récipient gradué où elle laissa s’écouler toute la semence dont l'avait honoré son amant. Au bout de quelques secondes, le récipient contenait vingt centilitres de sperme que la jeune femme présenta bien visiblement à la caméra.

    – Voilà : ce dogue allemand a pénétré le vagin d'une femme où il a déposé vingt centilitres de sperme. N'hésitez pas à reproduire cette expérience chez vous. À bientôt !

    Le générique de fin fut lancé juste après que la rouquine eût porté le verre rempli de semence à sa bouche. 

     

    – L'espionne –


    Stacy avait eu cette fois-ci besoin de deux chiens, les plus agressifs possible. Adam s'était rendu à l'endroit habituel et y avait trouvé un rottweiler et un doberman. La rouquine ne portait pas de tenue extravagante, ce qui étonna Adam quand il se rendit chez elle.

    – Bonjour, Stacy... Tu es habillée plutôt normalement !
    – Bonjour, Adam ; je vais essayer de prendre ça comme un compliment...
    – C'est pas ce que je voulais dire : c'est juste que j'ai l'habitude de te découvrir en soubrette, en mariée ou en scientifique sexy, pas en... C'est quoi, d'ailleurs ?
    – C'est un pyjama, Adam. Tu ne connais vraiment rien à la vie !
    – Si ; mais je croyais que tu dormais nue.
    – Eh bien, la nuit dernière, j'ai eu besoin de mettre un pyjama. Bon, on attaque ou on parle mode ?
    – Pardon, votre majesté ! Où je m'installe ?
    – Dans la cave. Les mâles sont dans le camion ?
    – Oui, je te les sors tout de suite.

    Comme d'habitude, Stacy alla s'enfermer dans sa chambre avec les deux mâles pour se préparer et surtout tester leurs talents d'acteurs. Adam termina rapidement d'installer ses caméras mais il dut faire preuve d'un grand professionnalisme pour les réglages, tant le lieu était peu éclairé. Stacy passa près d'une heure dans sa chambre avant de rejoindre son associé dans la cave.

    – Ravie de voir que tu n'es pas venu m'espionner.
    – Ravi de voir que tu t'es changée ; mais maintenant, tu ressemble à une clocharde !
    – C'est voulu : je suis une espionne qui s'est faite attraper et qui va se faire torturer sexuellement.
    – Oh ! Ça me plaît…
    – J'ai besoin que tu m'attaches sur cette planche les jambes écartées ; après, tu liras ça de ta voix la plus menaçante.

    Adam obéit à la jeune femme qu'il installa pieds et poings liés sur une planche prévue pour l'occasion. En jetant un coup d’œil autour de lui, le cameraman se rendit compte que son actrice fétiche était vraiment très douée pour la préparation d'une pièce. La cave qui servait habituellement pour entreposer des bouteilles de vin était à présent identique à une salle de torture. Stacy était maintenant attachée, les jambes écartées, et son intimité était parfaitement visible à la caméra. La belle rousse fit signe à son associé de commencer le tournage.

    – Mademoiselle, vous avez essayé de me dérober des documents confidentiels.
    – Non, je ne voulais pas ! Qu'allez-vous me faire ?
    – Je vous promets de ne vous faire aucun mal.
    – Alors, détachez-moi ! Pourquoi m'avoir amenée ici ?
    – Vous avez pénétré dans mon bureau sans autorisation pour le fouiller : il est normal que je vous réserve le même sort.
    – Que voulez-vous dire ?
    – Mes deux chiens vont maintenant vous pénétrer sans votre autorisation.
    – NOONNNN !

    Aussitôt, le rottweiler et le doberman entrèrent dans la pièce et s'approchèrent de la jeune femme. Dans cette position, il était impossible à Stacy de se soustraire aux animaux ; mais ce n'était pas du tout son but, bien au contraire. En se débattant de manière tout à fait crédible, la belle rousse se fit lécher par les deux chiens en même temps.

    – Non ! Enlevez-les !
    – Hors de question ! Ils n'en sont qu'à l'échauffement…

    Les cuisses écartées et le sexe de plus en plus humide, la belle rousse profita une bonne dizaine de minutes des deux langues animales expertes.

    – Bien ! Maintenant, je vais vous détacher et vous laisser partir... Si vous y arrivez !

    Adam se débrouilla pour rester hors champ pendant qu'il libérait les mains de Stacy, puis il quitta la pièce comme le lui avait ordonné l'actrice. Seule avec les deux mâles, la rouquine se libéra les pieds, puis elle descendit maladroitement de sa planche et se retrouva face aux deux chiens. La belle rousse qui désirait des animaux agressifs se rendit très vite compte qu'elle avait été exaucée au-delà de ses espérances. À peine eut-elle avancé d'un pas que le rottweiler se mit à grogner.

    – Doucement, gentils chiens... Vous avez bien profité de mon corps. Maintenant, laissez-moi partir !

    Haussant le ton pour essayer de se faire obéir, Stacy provoqua la réaction du doberman qui se mit en position de combat en grognant lui aussi. Impressionnée par les deux chiens, la jeune femme recula et trébucha volontairement pour se retrouver allongée au sol, les cuisses largement ouvertes. Les deux chiens étaient en train de se rapprocher dangereusement lorsqu'elle décida de se retourner pour fuir. La rouquine savait parfaitement que présenter ses fesses à ses agresseurs lui vaudrait obligatoirement d'être chevauchée par l'un ou l'autre animal ; mais elle ne se doutait pas de la tournure qu'allaient prendre les événements. À quatre pattes dans sa cave, l'actrice chevronnée allait vite regretter l'idée de son scénario. Elle sentit des pattes se poser sur ses hanches, mais elle ne savait pas lequel de ses agresseurs allait la pénétrer.

    – Aaaah… Non, descends ! Vilain chien !

    Hurlant pour être dans la peau de son personnage devant les caméras, Stacy n'avait pas pris conscience que les chiens n'étaient pas du tout en train de jouer la comédie. Avant le tournage, la jeune femme avait provoqué les deux mâles en se laissant chevaucher en string pour ne pas qu'ils arrivent à la pénétrer et ainsi créer chez eux une frustration suffisante pour qu'ils deviennent agressifs. La belle rousse sentit son amant lui écarter les fesses et n'eut pas le temps d'envoyer sa main pour l'empêcher de la sodomiser violemment.

    – Aaaah ! NON ! PAS PAR DERRIÈRE ! AAAAH !

    Ses talents d'actrice étant vraiment indiscutables, la jeune femme fit passer sans trop de difficultés ce rapport anal consenti et désiré pour un viol. Sur son dos, c'était le rottweiler qui s'activait. Le doberman profita du sexe de la belle rousse en y passant plusieurs coups de langue pendant qu'elle se faisait sodomiser. Comblée par ses partenaires, Stacy eut du mal à feindre la douleur et n'eut d'autre choix que de tomber petit à petit dans l'acceptation pour que son film reste crédible.

    – Oh, mon dieu… NON ! Je ne dois pas prendre du plaisir ! Aaaah ! Une bite dans les fesses et une langue sur le sexe... Aaaah ! MAIS QUE C'EST BON ! AAAAAAAAAH !

    Le rottweiler ne prit pas la peine de faire passer son nœud dans l'orifice étroit de sa femelle ; il préféra plutôt céder sa place à son congénère. Le doberman sodomisa à son tour la belle rousse pendant que cette dernière hurlait de plaisir. Une fois de plus, la rouquine ne put profiter d'un verrouillage et, pensant que son film comportait assez de scènes, elle se releva et prit la direction de la sortie. Les deux chiens en avaient décidé autrement : n'ayant pas encore eu de réel rapport complet, ils se mirent entre l'actrice et l'issue pour grogner à nouveau.

    – Eh bien, mes mignons, vous n'en avez pas eu assez ? Vous venez de me prendre par derrière l'un après l'autre !

    Élever la voix après ces deux animaux n'était définitivement pas une bonne idée ; mais Stacy ne le comprit que lorsqu'elle se retrouva à nouveau au sol. Elle avait chuté en reculant. Mais, cette fois-ci, ce n'était pas du cinéma. Résignée à s'offrir une fois de plus à ses geôliers, la belle rousse se remit à quatre pattes et attendit que l'un des chiens la pénètre.

    Le doberman s'installa en premier sur le dos de la belle rousse, mais son comportement fut différent de la première fois. En sodomisant la rouquine, il n'avait qu'ouvert la voie vers son propre plaisir ; Stacy allait bientôt comprendre qu'elle n'aurait jamais dû frustrer un chien aussi dangereux. Comme s'il savait parfaitement ce qu'il était en train de faire, l'animal prit place entre les magnifiques fesses de l'actrice qu'il sodomisa encore plus violemment que la première fois, et fit très rapidement passer son nœud à travers l'orifice étroit de sa femelle. Tout de suite après, le doberman se déplaça brusquement sur le côté, entraînant avec lui la belle rousse qui se retrouva allongée sur le flanc. La rouquine sentait que son partenaire était en train de l'honorer et ne put se retenir de gémir en cadence avec les éjaculations de son amant.

    – Hmmmm ! Ce chien est en train de me remplir les fesses… Aaaaah ! Je sens son sperme couler dans mon corps... Aïe ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Arrête !

    Le doberman décida de se venger ; pour cela, il avait fait en sorte que Stacy soit dans une position inconfortable, puis il s'extirpa des fesses de la jeune femme qu'il attrapa ensuite entre ses crocs par le bras avant de la traîner de force vers l'autre animal présent. Le rottweiler s'était étrangement allongé sur le dos et la rouquine compris très vite qu'elle allait devoir le chevaucher.

    – Non… Vilains chiens ! Je veux bien vous laisser me monter, mais ce n'est pas à moi de faire tout le travail !

    Le doberman fit preuve de persuasion en serrant la mâchoire, obligeant ainsi l'actrice à prendre place contre sa volonté sur le rottweiler. La belle rousse posa ses genoux de part et d'autre de l'animal, puis elle colla son sexe contre celui du chien et se mit à onduler du bassin. Voyant que la femelle n'était pas encore soumise, le doberman se plaça en face d'elle et se mit une fois de plus en position d'attaque en grognant. Stacy n'avait pas l'habitude d'être malmenée par ses partenaires : c'était la première fois qu'elle se sentait obligée de se soumettre à un mâle. Elle n'avait toujours pas le sexe du rottweiler planté en elle, ce qui énerva visiblement le doberman qui aboya agressivement. Même si elle avait encore envie d'un rapport animal, la jeune femme détestait plus que tout être forcée. Cela ne la dérangeait pas de mimer un viol ou de se faire prendre par surprise, mais le fait de se sentir obligée de s'accoupler lui coupa toute envie. Devant l'insistance et l'agressivité du doberman, elle accepta tout de même la situation et se releva pour pouvoir s'insérer elle-même le sexe de son partenaire.

    Pendant qu'elle descendait le long du membre animal, Stacy ne ressentit aucun plaisir, mais plutôt une certaine gêne de devoir chevaucher un sexe sous la menace. Lorsque le doberman sortit de son champ de vision, la rouquine essaya de se relever mais un poids s’abattit sur ses épaules pour la maintenir en place. Stacy n'eut pas le temps de se retourner qu'elle sentit encore une fois ses fesses se faire écarter par l'attribut viril du doberman. Elle allait bientôt goûter à une double pénétration canine, ce dont elle n'avait absolument pas envie. La belle rousse décida de ne pas faciliter la tâche à son agresseur et resta le plus droit possible pour ne pas qu'il arrive la sodomiser. Dans cette position, c'est involontairement qu'elle accueillit le nœud de son autre partenaire qui avait lubrifié le passage grâce à sa semence. 

    Malheureusement pour elle, le doberman était très motivé et, pour parvenir à ses fins, il pesa de tout son poids sur le dos de l'actrice qui ne put que fléchir, offrant ainsi une opportunité au doberman de la prendre par derrière. Ne pouvant pas se débattre comme elle le souhaitait devant la caméra, la jeune femme se laissa prendre par les deux chiens simultanément ; mais cette fois-ci, son talent d'actrice allait lui servir à feindre le plaisir. Allongée sur le rottweiler, Stacy se faisait sodomiser par le doberman pour la troisième fois et dut faire appel à tout son courage pour ne pas hurler sa douleur. L'expérience qu'elle était en train de vivre lui rappela la perte de sa virginité et – pour la première fois de sa vie – elle n'éprouva aucun plaisir en se faisant prendre par des animaux. Afin d'en finir le plus rapidement possible, la rouquine attrapa son partenaire anal par le collier, puis elle se crispa pour simuler une jouissance. Elle s'allongea ensuite de tout son long sur son amant vaginal qu'elle gratifia de nombreuses caresses avant sa prochaine réplique.

    – Hmmmm ! Je suis vraiment contente que votre maître m’ait surprise ! J'espère me faire prendre comme ça la prochaine fois !... ADAM, VIENS VITE M'AIDER ! ADAM !

    Stacy avait réussi à tenir assez longtemps pour offrir une véritable fin à ses spectateurs, mais maintenant elle devait absolument se libérer de l'emprise des deux chiens. Incapable de supporter une seconde de plus cette double pénétration forcée, elle appela son associé à l'aide pour qu'il la sorte de cette situation.

    – Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
    – Je viens de me faire violer par le doberman !
    – Et depuis quand tu refuses un rapport avec un chien ?
    – Arrête de poser des questions et aide-moi !

    Adam eut du mal à comprendre pourquoi la rouquine était si en colère ; d'habitude, elle ne se refusait jamais à un chien. Quoiqu'il en soit, le cameraman se rapprocha du trio mais, ne sachant pas quoi faire, il resta prostré devant cette orgie.

    – Alors ! Tu attends quoi ?!
    – J'en sais rien ! C'est la première fois que je vois une femme se prendre deux chiens en même temps.
    – Bon, regarde dans la salle de projection : tu y trouveras un tube de lubrifiant ; mais fais vite, s'il te plaît : ça fait vraiment très mal !

    Adam courut jusqu'à l'endroit indiqué, mais la pièce n'était pas meublée et il ne voyait pas où pouvait se trouver le lubrifiant. Il eut quand même la bonne idée de regarder au-dessus de l'écran plat et y dénicha un petit tube avant de retourner auprès de Stacy. La belle rousse sentait les deux nœuds de ses partenaires coincés en elle. Elle savait que sa libération serait douloureuse, même avec l'aide de son associé. Elle ne s'était effectivement jamais refusée à un chien, mais elle n'avait jamais essayé la double pénétration, même pendant sa carrière d'actrice pornographique. La belle rousse raffolait de la sodomie, prenait un immense plaisir à chaque rapport canin, avait eu une bonne centaine de partenaires humains et animaux à son actif, et ne refusait jamais d'effectuer une fellation ; mais elle avait toujours réussi à éviter de se faire prendre par deux mâles en même temps. Stacy avait prévu de se faire prendre violemment par le rottweiler, puis par le doberman. Mais elle ne se doutait pas que les deux chiens allaient être de connivence pour abuser de son corps.

    Adam réapparut dans la pièce ; il vida tout le contenu du tube entre les magnifiques fesses de la rouquine qui ondula du bassin pour étaler le liquide. À chaque mouvement, un peu plus de sperme animal s'échappait de ses orifices, prouvant qu'elle devenait de moins en moins hermétique. Puis le doberman se retira de ses entrailles en lui arrachant un incroyable râle de douleur. La belle rousse eut beaucoup moins de mal à se libérer de son partenaire vaginal avant de se précipiter dans la salle de bain. Au montage, Adam installa le générique de fin avant que Stacy hurle pour se faire secourir ; mais il garda précieusement le reste de la bande pour son usage personnel. Après sa douche, Stacy remercia Adam mais voulut rester seule avec les deux chiens.

    – Tu en es sûre ?
    – Oui. Merci pour tout. Pense à couper le passage où j'appelle à l'aide, et laisse-moi avec eux.
    – Tu ne veux pas que je reste un peu, au cas où ?
    – Non, Adam : je dois me faire pardonner de les avoir frustrés.
    – Tu vas quand même pas les laisser te prendre en même temps ?
    – Au revoir, Adam.

    La rouquine claqua la porte sur son associé, puis elle se laissa prendre par les deux mâles durant le reste de la journée. Quand la nuit tomba, la belle rousse avait été sodomisée une bonne dizaine de fois et son sexe avait accueilli ceux des chiens une bonne quinzaine de fois ; mais elle ne les laissa pas la prendre en même temps.

    Les chiens avaient pu bien profiter de celle qui les avait excités, et c'est Stacy en personne qui les accompagna au parc pour qu’ils y vivent en liberté. Elle leur promit de venir au moins trois fois par semaine pour qu'ils puissent bénéficier d’une activité sexuelle régulière. 

     

    – La veuve –


    Stacy était entièrement vêtue de noir lorsqu'elle ouvrit la porte à son associé.

    – Stacy… Tu vas à un enterrement ?
    – Oui ; ton humour vient d'être retrouvé mort au bord de la route...
    – Arrête d'être méchante avec moi !
    – Excuse-moi, j'ai encore en travers le doberman de la dernière fois et ça m'agace.
    – Tu devrais voir des humains plus souvent, tu sais.
    – Ça ne regarde que moi. Je suis très heureuse avec mes chiens ! C'est lui, l'acteur ?
    – Oui. Tu m'as demandé de trouver un chien de la taille d'un homme. C'est bon ?
    – Parfait ! En plus, c'est un dogue allemand comme Sultan. Je vais aller faire connaissance avec lui ; installe tout le matériel dans le salon.

    Stacy arracha la laisse de la main du cameraman puis elle alla s'enfermer dans sa chambre avec le chien. Pendant ses réglages, Adam entendit clairement la rouquine pousser des hurlements de plaisir qui se terminaient presque tous par un prénom différent. Lorsque la belle rousse réapparut dans le salon, elle laissa l'animal prendre ses repères.

    – C'est quoi le scénario, cette fois ?
    – Je suis une veuve, et lui c'est la réincarnation de mon mari.
    – Houlà... Je sais pas ce que tu prends, mais ça m'a l'air puissant !
    – Je fais dans l'originalité. Si ça ne te plaît pas, on arrête.
    – Non ! OK pour la réincarnation en dogue allemand et pour tous les caprices que tu veux. Quand est-ce qu'on commence ?
    – Dès qu'il s'est allongé dans un coin.

    Comme pour faire plaisir à Stacy, le chien s'installa immédiatement près de la cheminée. Pour ne pas lasser ses spectateurs, la rouquine avait complètement repeint son salon et changé le mobilier. Son intérieur ne ressemblait plus à un manoir, mais plutôt à une modeste maison de village. La belle rousse s'installa sur le canapé puis elle attrapa un cadre photo et fit signe à son associé de lancer le tournage avant de se mettre à pleurer.

    – Thierry, ça fait maintenant trois ans que tu nous as quittés et tu me manques de plus en plus... Si seulement tu pouvais être avec moi en ce moment.

    Stacy s'adressait à la photo comme si elle discutait avec quelqu'un.

    – Quand tu es parti, tout le monde m'a conseillé de ne pas rester seule ; alors j'ai adopté un dogue allemand, et je l'ai appelé comme toi pour pouvoir continuer à prononcer ton nom. Trois mois après, j'ai appris qu'il était né exactement le jour de ta mort. Quel horrible hasard... Quand je regarde la télé, je le laisse poser sa tête sur moi comme tu le faisais. Le matin, il vient s'allonger à côté de moi pour ne pas que je me réveille toute seule dans ce grand lit ; et le soir quand je rentre du travail, il m'attend devant la porte. C'est horrible, mais je retrouve un peu de toi en lui. Je me demande si... Thierry !

    La belle rousse avait passé du temps seule avec l'animal pour qu'il goûte au sexe d'une femme, mais aussi pour trouver le prénom auquel il réagirait. Elle avait ensuite nommé son mari fictif de ce prénom et espérait que le chien serait à la hauteur de ses espérances. Stacy fut ravie de voir le dogue allemand se lever et s'approcher d'elle. Elle reposa le cadre photo et prit le chien dans ses bras avant de lui parler.

    – Mon amour… C'est toi ? Tu es revenu sous la forme d'un chien ? C'est impossible !

    Le dogue allemand ne comprenait pas un traître mot de ce que disait la jeune femme, mais il savait qu'elle était une partenaire potentielle depuis qu'il lui avait passé sa langue entre les cuisses. Stacy prit l'air d'une folle et se mit à embrasser le chien sur tout le corps.

    – Oh, mon amour, comme tu m'as manqué ! Je savais que tu reviendrais. Qu'est-ce que tu es beau ! Je n’arrivais plus à vivre sans toi… J'ai cru devenir folle ! Fais-moi l'amour comme avant !

    La belle rousse venait de terminer l'introduction de son film et voulait passer aux choses sérieuses. Elle enleva son pantalon et dévoila sa magnifique paire de fesses à l'animal, puis elle reprit son monologue.

    – Tu vois, j'ai gardé la forme pour toi ! Je sais que tu as toujours voulu me prendre par derrière, et je te promets de t'exaucer cette fois !

    Stacy était maintenant en sous-vêtements devant le chien qu'elle fit coucher sur le flanc, puis elle passa sa main sur le sexe de l'animal pour le masturber frénétiquement.

    – Tu as changé de forme, mais je sais encore ce qui te fait plaisir : t adorais regarder la télé pendant que je te suçais ; j'espère que c'est toujours le cas !

    La belle rousse fit rapidement entrer en contact sa bouche et le sexe du chien, puis elle fit de très amples mouvements de la tête pour faire profiter son public de cette fellation. De petites giclées de sperme lui frappaient le palais, mais Stacy ne laissa pas une goutte s'échapper d'entre ses lèvres et elle avala toute la semence que sont amant produisait.

    – Hmmmm ! Ton goût est meilleur qu'avant ! Et ta bite est beaucoup plus grosse, aussi ! 
    J'espère que tu ne vas pas trop me faire mal...

    Comme pour tester son élasticité, la belle rousse mit une main dans son string et s'inséra deux doigts dans le sexe.

    – Oh ! Ça fait longtemps que je n'ai pas été baisée, mais ça devrait passer. Viens, mon chéri, on va le faire sur la table basse comme quand on a emménagé tous les deux.

    Stacy se releva puis elle bascula sa table basse pour faire tomber tout ce qu'il y avait dessus et enleva son string avant de s'allonger face au plafond sur le meuble. Le dogue allemand comprit qu'il était temps pour lui de saillir cette femelle et prit place énergiquement entre les cuisses de la rouquine.

    – Doucement, mon amour ! Je ne suis pas encore habituée à ton nouveau corps... Je vais te guider.

    La belle rousse envoya sa main en direction de son bas-ventre puis elle attrapa l’attribut viril du chien dont elle se servit de l'extrémité pour se masturber. Le dogue allemand comprit qu'il n'allait pas tarder à pénétrer cette nouvelle femelle ; lorsqu'il sentit un orifice sur la pointe de son sexe, il se mit à en forcer l'ouverture. Stacy laissa son amant prendre position en poussant des gémissements de plaisir tout en écartant ses jambes pour lui faciliter le passage.

    – Qu'est-ce tu m'as manqué ! Oh oui… Prend-moi, Thierry !

    La rouquine s’agrippa à ses genoux et laissa son mâle prendre le contrôle. Quand elle sentit le nœud du chien s'introduire en elle, Stacy fit appel à ses talents d'actrice pour jouer la surprise.

    – Aaaaah ! Qu'est-ce que c'est que ça ?! Tu es en train de me faire mal, mon chéri !

    Le dogue allemand ne comprit pas pourquoi cette femelle si docile se mettait tout à coup à lui crier dessus et, dans un élan de panique, il tenta de se dégager en se retournant. Allongée sur le dos, Stacy se trouva verrouillée avec son amant dans une position inconfortable et dut s'accrocher in extremis à la table pour ne pas se faire entraîner par le chien.

    – Mon amour… Qu'est-ce que c'est que cette énorme boule que tu viens de m’enfiler ?! C'est vraiment trop gros pour moi ! Allez, mon chéri, essaie de la ressortir, s'il te plaît.

    La belle rousse secoua ses jambes pour tenter de se libérer et y parvint finalement après quelques minutes d'efforts, laissant couler entre ses fesses et sur la table le sperme du dogue allemand dont elle venait d'être honorée. En se remettant debout, Stacy laissa s'échapper encore un peu de semence animale, puis elle félicita son amant tout en se dirigeant vers la cheminée.

    – Tu as dû attendre longtemps avant de pouvoir te vider, mon chéri ! Je suis impressionnée par tout ce que tu as giclé ! Maintenant, je vais t'offrir mes fesses devant la cheminée...

    La rouquine s'installa à quatre pattes et encouragea son amant à la couvrir. L'animal ne comprenait pas un traître mot de la jeune femme, mais il avait pris du plaisir à féconder cette femelle et fut ravi de voir qu'elle se mettait en position pour une saillie supplémentaire. Stacy sentit le dogue allemand s’appuyer sur son dos et lui enserrer la taille avec ses pattes, mais il n'essaya pas de la sodomiser. L'actrice laissa le chien la pénétrer, puis elle attendit qu'il prenne un rythme frénétique pour le faire changer d'orifice.

    – Oh, mon amour… Tu es toujours aussi fougueux ; mais je veux que tu me prennes par derrière !

    Pendant que le dogue allemand s'activait, la belle rousse réussit à envoyer sa main sur le membre animal, puis elle se pencha suffisamment pour qu'il quitte son emplacement. Elle fit preuve d'une incroyable dextérité pour le faire immédiatement glisser entre ses fesses.

    – Aaaaah ! Toutes ces années sans que tu puisses me sodomiser… Oh oui, mon chéri, défonce-moi le cul ! Remplis-moi les fesses… Aaaaah !

    Comme toujours, la belle rousse n'avait pas besoin de beaucoup simuler. Son amant canin lui donnait du plaisir anal et la jeune femme ne s'en cachait pas. Hurlant de plaisir sous les assauts de l'animal, Stacy se laissa sodomiser plusieurs minutes avant que le dogue allemand réussisse à insérer son nœud entre les magnifique fesses de la rouquine.

    – Aaaaah ! Encore cette grosse boule… Je ne pensais pas que tu me la mettrais dans le cul, c'est vraiment trop gros. Thierry ! Tu me fais mal ! Aaaaah…

    La jeune femme et le chien étaient maintenant fesses contre fesses, reliés ensemble par le sexe de l'animal dont le nœud était encore bloqué dans les entrailles de sa partenaire. Stacy colla ses épaules au sol et se laissa combler par son mâle avant de le féliciter une fois de plus pour sa performance.

    – Oh, mon amour… Je ne pensais pas pouvoir prendre autant de plaisir à me faire sodomiser ! Et cette énorme boule est tellement agréable quand on s'y fait… Je te promets qu'on va rattraper le temps perdu !

    La dernière scène du film consistait en un gros plan sur les magnifiques fesses de Stacy libérant le nœud du dogue allemand ; puis le reste du membre canin sortit au ralenti de l'orifice de l'actrice avant que l'écran ne devienne complètement noir. 

     

    – La toiletteuse –


    Stacy avait réorganisé une fois de plus son salon pour le faire ressembler cette fois-ci à un salon de toilettage pour chiens. Lorsqu'elle ouvrit la porte à son associé, elle était vêtue d'un chemisier blanc presque transparent et d’une jupe plissée assortie.

    – Bonjour, Stacy ! Tu sais qu'on voit tout à travers ton chemisier ?
    – Et alors ? Mes seins ne sont pas magnifiques ?
    – Si, bien sûr ! Mais je tenais juste à te le faire remarquer.
    – Très bien, c'est noté. Tu n'as qu'un mâle avec toi ?
    – Non, les autres sont dans ma voiture. Je te les amène, c'est ça ?
    – Oui ; ensuite, tu mettras ton matériel dans le salon.

    Adam répondit aux attentes de la jeune femme qui se rendit comme d'habitude dans sa chambre en compagnie des trois acteurs pendant que le cameraman préparait le tournage. La rouquine était accompagnée d’un berger allemand, d’un dalmatien et d’un lévrier. Mais, avant de s'offrir aux mâles, elle se demanda comment justifier la présence de ces gros chiens dans un centre de toilettage. L'esprit vif de la belle rousse lui permit de trouver rapidement une idée, et c'est sans même prendre le temps de s'accoupler avec l'un des chiens qu'elle retourna auprès de son associé.

    – Tout est en place ?
    – Il ne me reste qu’à faire des essais de lumière. Tu as déjà fini ?
    – Non, je n'ai même pas commencé. J'ai eu une illumination tout à l'heure, mais j'ai besoin de la mettre en pratique immédiatement. On peut commencer ?
    – Bien sûr : laisse-moi cinq petites minutes avant de tourner et c'est bon.

    Adam réussit de manière très professionnelle à effectuer ses dernières mises au point, puis il sortit du champ des caméras et Stacy entra en action.
    L'actrice installa le berger allemand sur une table métallique autour de laquelle se trouvaient divers accessoires de toilettage, puis elle mit les deux autres mâles dans de petits enclos d'intérieur qu'elle avait disposés dans la pièce. La jeune femme fit signe à son associé de commencer le tournage, puis elle caressa le dos du mâle qui se trouvait devant elle et commença un monologue dont elle avait le secret.

    – Qu'est-ce que tu es beau… Je ne comprends pas pourquoi ta maîtresse t'a amené. Ton pelage est vraiment bien entretenu et tu n'as pas de boue collée aux poils. Ce que je comprends encore moins, c'est pourquoi elle m'a demandé de te couper uniquement les griffes. Mais tu m'as l'air d'être un chien d'intérieur ; alors je pense que ta maîtresse ne veut pas que tu abîmes son parquet.

    Tout en auscultant minutieusement l'animal, Stacy continua de parler à l'animal comme si celui-ci allait lui répondre.

    – C'est quand même incroyable : tu es le troisième chien depuis ce matin pour lequel sa maîtresse ne me demande que de couper les griffes. D'ailleurs, vous êtes tous les trois des mâles déposés par une femme ; c'est vraiment étrange...

    La belle rousse se redressa, puis elle fixa le berger allemand.

    – Soit il y a une énorme promotion sur le parquet en ce moment et vos maîtresses ne veulent pas que vous leur abîmiez leurs nouvel intérieur, soit...

    La rouquine resta silencieuse un moment puis elle commença à caresser le ventre de l'animal avant de lui expliquer sa théorie.

    – … Soit vos maîtresses veulent que vous les montiez sans leur faire mal. Elles ne seraient pas les seules ! J'ai souvent des femmes qui viennent me déposer leurs chiens pour que je prenne soin d'eux, mais elles ont toujours eu la bonne idée de les faire se rouler dans la boue avant. Ces femmes me déposaient leurs animaux en me disant de les laver et de ne surtout pas oublier de leurs couper les griffes. On dirait que vos maîtresses sont beaucoup moins subtiles sur leurs intentions. Mais avant d'accuser à tort, j'aimerais vérifier mon hypothèse.

    Stacy déboutonna sensuellement son chemisier pour dévoiler sa magnifique poitrine à la caméra en prenant soin de garder le dernier bouton attaché, puis elle releva sa jupe pour exhiber son string qu'elle retira immédiatement.

    – Mes amis, je vais vous donner l'opportunité de découvrir une nouvelle femelle. Si vos maîtresses le sont aussi sexuellement, vous n'allez certainement pas passer à côté d'une chance d'essayer une femme de plus !

    La belle rousse fit descendre le berger allemand de la table puis elle ouvrit les deux enclos et se plaça face au trois chiens pour leur parler comme elle voulait le faire avant le tournage.

    – Qu'est-ce que vous êtes beaux… Toi, t'es un bon chien ; toi aussi, t'es un bon chien et toi, t'es un bon chien !

    L'actrice voulait faire profiter ses spectateurs de la petite séance qu'elle avait mise au point en coulisses pour faire la connaissance de ses nouveaux amants. Avant chaque tournage, la jeune femme s'enfermait dans sa chambre et se faisait pénétrer par ses partenaires pour qu'ils sachent quoi faire devant les caméras, mais elle n'avait pas pris le temps d'écrire un scénario complet pour cette vidéo et avait trouvé là un bon moyen de combler son manque d'inspiration. La belle rousse glissa une main entre ses cuisses, puis elle posa ses doigts humidifiés par son plaisir sur la truffe du premier chien. Elle réitéra la manœuvre avec chaque mâle pour s'assurer qu'ils avaient tous trois été imprégnés par l'odeur sexuelle de la jeune femme. Elle reprit enfin la parole pour encourager les mâles à la saillir.

    – Ça, c'est l'odeur d'une femme qui a envie de sexe ; je suis sûre que vous connaissez très bien cette odeur ! J'ai gardé mon chemisier et ma jupe pour que vous ne me laissiez pas de marques, mais j'espère que vous laisserez un peu de semence en moi... J'adore que les chiens trompent leurs maîtresses avec moi, mais c'est la première fois que m'offre à trois mâles en même temps. J'espère que vous serez à la hauteur !

    La rouquine se retourna et releva sa jupe pour présenter sa magnifique paire de fesses aux trois chiens, puis elle se mit à quatre pattes sur le sol avant de reprendre la parole.

    – J'ai tellement d'expérience avec les chiens que je suis sûre de trouver lequel de vous trois est en train de me prendre sans avoir à me retourner.

    Comme si c'était le signal qu'ils attendaient, les chiens ne s'approchèrent de la jeune femme qu'après sa dernière phrase ; ils se mirent à passer leur langue tous en même temps sur le sexe de la belle rousse.

    – Hmmmm… Qu'est-ce que vous êtes doués ! Je sens que vous êtes tous les trois en train de me lécher. C'était vraiment une bonne idée de vous laisser faire tous en même temps ! Aaaaah !

    Stacy sentit des pattes lui enserrer la taille mais, pour prouver ses dires, elle décida de ne pas se retourner et tenta de deviner quelle race de chien allait faire d'elle sa femelle. Totalement concentrée sur les sensations qu'elle éprouvait, la belle rousse ferma les yeux et analysa la situation à haute voix.

    – Hmmmm ! Les pattes qui me serrent aussi fort ne sont pas celles du lévrier.

    Le chien fit glisser son sexe sur celui de la jeune femme avant d'y pénétrer très lentement.

    – Ahhhhh ! Cette façon douce de me faire prendre me rappelle le chien de madame Martin qui fut mon premier amant canin... C'est le dalmatien qui est en train de monter !

    La rouquine avait vu juste, mais elle resta les yeux fermés et profita de l'introduction délicate qu'elle subissait en poussant un long gémissement. Lorsque le chien sentit qu'il avait pris place au plus profond de sa femelle, il recula tout aussi lentement et recommença à la pénétrer un peu plus rapidement. Au fur et à mesure, l'animal accéléra sa cadence au point d'en arriver à un rythme frénétique après une quinzaine d'allers-retours. Les deux autre mâles présents attendaient patiemment leur tour pour féconder la jeune femme qui maintenant hurlait de plaisir sous les assauts de son amant. Le dalmatien excita tellement sa partenaire qu'il fit passer son nœud sans aucune difficulté, mais Stacy eut le réflexe de serrer les cuisses pour conserver le membre canin en elle.

    – Vas-y, mon beau… Maintenant, remplis-moi comme une chienne ! Hmmmm, ta maîtresse n'est plus la seule femme qui a profité de ta semence...

    En prenant conscience qu'il y avait deux autres mâles qui attendaient pour la prendre, Stacy décida d'écourter son accouplement et desserra lentement les cuisses pour libérer le sexe canin qui occupait son orifice. Le nœud du dalmatien sortit lentement du corps de la jeune femme qui se mit à geindre de déception lorsque son anatomie ne fut plus occupée par un animal. Le sperme du chien était encore en train de ruisseler entre les lèvres vaginales de la rouquine lorsque le mâle suivant prit place sur son dos. La belle rousse sentit qu'elle allait subir une nouvelle saillie, mais elle garda les yeux fermés et utilisa une fois de plus son expérience pour trouver quel partenaire allait la pénétrer.

    – Oh ! Des pattes qui ne me serrent pas très fort et un... Aaaaah ! Un sexe qui se plante directement au fond ! Aaaaah ! Tu es en train de me baiser comme un fou ! Ça me rappelle le chien de madame Durand. Hmmmm, quelle énergie ! J'en suis sûre : c'est le lévrier qui est en train de me prendre.

    Une fois de plus, Stacy avait vu juste. Le chien était étonnamment virulent au point que le bruit provoqué par le choc entre son nœud et le sexe de Stacy était audible à l'autre bout de la pièce.

    – Aaaaah ! Tu as envie de me remplir plus que ton prédécesseur, pas vrai ?! Vas-y, mon chien ! Gicle dans mon corps ! Fais de moi ta femelle ! Hmmmm... Grâce à moi, une femme de plus est trompée par son chien. Aaaaah…

    Le nœud du lévrier venait de prendre place dans les entrailles de sa partenaire. Contrairement à celui du dalmatien, la rouquine n'eut pas besoin de serrer les cuisses pour le retenir en raison de sa taille plus imposante que celle du mâle précédent. À quatre pattes au sol et reliée à son amant, Stacy se laissa complètement aller au plaisir d'un accouplement canin. Elle sentait le sperme du lévrier se déverser en elle et poussait de petits gémissements au même rythme que les saccades de semence qu'elle accueillait. Lorsque le chien se libéra, la belle rousse sentit le liquide couler le long de ses cuisses. Elle venait de se faire prendre par deux mâles consécutifs et avait éprouvé un immense plaisir ; mais elle savait que le berger allemand ne l'avait pas encore montée, et cette pensée l'excita au plus haut point, d'autant plus qu'elle sentit la langue du dernier mâle en train de remonter le long de ses cuisses.

    – Hmmmm ! Tu es en train de lécher le sperme de tes amis, là… J'y ai quand même apporté un petit goût féminin, non ? Allez, mon beau, toi aussi tu dois tromper ta maîtresse avec moi. Monte sur mon dos !

    Comme s'il avait compris, le berger allemand serra la taille de la jeune femme à l'aide de ses pattes avant puis il envoya de petits coups de reins contre les fesses de la belle rousse avant de réussir à faire passer la pointe de son sexe dans l'orifice anal de sa partenaire.

    – Aaaaah… Tu préfères passer par là ?! Ta maîtresse est vraiment une belle salope ! Aaaaah… Vas-y doucement, mon beau ; je ne suis pas qu'un trou à remplir ! AAAAAAH ! NON, ARRÊTE !

    La rouquine ne s'attendait pas à être aussi sauvagement sodomisée par son dernier amant. L'animal était encore plus virulent que les deux précédents, à tel point qu'à chaque coup de reins qu'il envoyait, le sexe de la jeune femme expulsait un peu du sperme qu'elle avait reçu. Écartant les jambes de plus en plus, Stacy pouvait à présent sentir la semence canine qui s'échappait de son sexe en lui donnant l'impression que c'était elle qui était en train d'éjaculer. La douleur d'une sodomie effectuée par un berger allemand n'était que jouée, car l'actrice chevronnée qu'elle était prenait autant de plaisir anal que vaginal ; mais elle n'arrivait pas à gérer l'incroyable sensation qu'elle était en train d'éprouver.

    La belle rousse avait eu de nombreuses expériences sexuelles aussi diverses que variées, mais elle était en train de prendre du plaisir en cadence avec son éjaculation. Elle savait parfaitement que le sperme qu'elle expulsait n'était pas le sien mais, l'espace d'un instant, elle se mit la place d'un homme et se laissa complètement aller en poussant de graves gémissements cadencés par les petits jets de semence qu'elle laissait s'échapper. L'animal fit passer son nœud entre les magnifiques fesses de la rouquine qui ne put se retenir de mimer un homme en envoyant un coup de reins vers le bas comme pour donner un ultime jet de sperme à une partenaire féminine qui se trouverait sous elle. Reprenant peu à peu ses esprits, Stacy se rendit compte qu'elle était allongée sur le ventre et que le nœud de son dernier amant était encore planté en elle. Un peu honteuse de s’être comportée comme un homme devant ses spectateurs, la belle rousse fit preuve de beaucoup plus de féminité lorsqu'elle remercia son amant canin.

    – Aaaaah… Bon chien ! Tu viens de me faire jouir en me prenant par derrière ! Tu as fait de moi une femme comblée. Maintenant que vous vous êtes tous les trois occupés de moi, c'est à mon tour de respecter les attentes de vos maîtresses et de vous couper les griffes. J'espère que vous aurez encore envie de me monter après le toilettage ; comme ça, je pourrai enfin me mettre toute nue pour sentir vos fourrures sur mon dos.

    La jeune femme réussit à extirper sans trop de mal le sexe canin qui se trouvait entre ses fesses, puis elle se releva et referma son chemisier avant de remettre son string et d'installer à nouveau le berger allemand sur la table pour lui faire sa toilette comme si rien ne s'était passé. 

    Fondu au noir et générique de fin. 

     

    – La vétérinaire –


    Stacy accueillit toute son équipe en tenue d'infirmière. Elle fit entrer ses invités chez elle en leur détaillant les installations auxquelles elle avait procédé. Tout le monde fut impressionné par le savoir-faire de la jeune femme en matière de décoration, et la rouquine rougit devant tant de compliments. Après avoir savouré un café, ils vérifièrent tous ensemble une dernière fois les détails du film, puis Stacy s'installa dans la pièce qu'elle avait aménagée en cabinet vétérinaire et le tournage commença.
    Johanna tenait en laisse un dalmatien et sa mère était accompagnée de Médor. Les deux femmes entrèrent à leur tour en scène et commencèrent à discuter entre elles avant de rejoindre la belle rousse.

    – Maman ?
    – Oui, ma chérie ?
    – Tu crois que cette femme peut nous aider ?
    – Je l'espère ! C'est une vétérinaire très réputée dans le milieu.
    – Mais c'est quand même assez bizarre, non ?
    – Johanna, je sais que tu as du mal à gérer la situation ; alors laisse-moi parler.
    – Très bien.

    Sur cette dernière phrase, Leïla et sa fille ouvrirent la porte qui les séparait de Stacy.

    – Bonjour ! C'est vous qui m'avez téléphoné pour un problème avec un doberman ?
    – Oui.
    – Très bien. Alors, que se passe-t-il ?
    – Mon chien ne me laisse pas une seconde de répit. Mais ma fille a aussi un problème avec son compagnon. J'aimerais que vous l'aidiez avant de vous occuper de moi.
    – Comme vous voulez. Alors, ma grande, qu'est-ce qu'il t'arrive ?
    – Elle est un peu gênée d'en parler avec une inconnue, alors je vais vous expliquer. Ma fille adore essayer de nouveaux mâles, mais lorsqu'elle se fait prendre et qu'elle rentre à la maison pour que son dalmatien prenne soin d'elle, il est plus agressif qu'en temps normal ; vous pouvez le voir à cause de toutes les griffures qu'elle porte. Nous allons vous montrer.

    En préparant le scénario, Ève avait expliqué à Stacy qu'un des chiens était apparemment le chef de la meute et tenait à être le dernier mâle à féconder une femelle. La compagne d'Adam avait eu l'opportunité d'essayer chaque acteur et connaissait les comportements de chaque animal, apportant les informations nécessaires à la crédibilité du scénario. Leïla demanda à sa fille de se faire monter par le dalmatien pour que la vétérinaire ait un point de comparaison. 

    Johanna était habillée d'un jean qu'elle portait comme toujours sans sous-vêtements, et d'un haut noir en dentelle ressemblant fortement à une nuisette. La jeune fille obéit à sa mère et fit glisser son pantalon sur ses chevilles puis se mit à quatre pattes. Leïla attacha Médor dans un coin de la pièce puis elle récupéra la laisse du dalmatien pour que ce dernier puisse monter sa femelle. L'animal posa délicatement ses pattes sur les hanches de la jeune fille, puis il positionna son sexe sur celui de sa partenaire avant d'entamer une série de mouvements énergiques qui firent gémir Johanna.

    – Vous voyez : en temps normal, ma fille se fait monter sans problème par son chien.
    – Oui ; je vois même que c'est un excellent amant ! Il faudra peut-être me le laisser quelques jours...
    – Attendez, vous n'avez pas vu la suite... Avez-vous un chien à proximité ?
    – J'ai un lévrier que m'a confié une jeune femme pour quelques jours.
    – Pouvez-vous aller le chercher le temps que ma fille se fasse féconder par son chien ?
    – Bien sûr ! Je reviens dans quelques minutes.

    Stacy quitta la pièce au moment où Johanna accueillit le nœud de son amant, laissant une opportunité à la jeune fille de discuter avec sa mère.

    – Maman...
    – Oui ma chérie ?
    – Tu crois qu'elle veut se taper mon chien ?
    – Je n'en sais rien ; mais quand elle va voir comment il te prend après le lévrier, elle va vite changer d'avis.
    – Je suis obligée de faire ça devant elle ?
    – Je te l'ai dit : c'est une vétérinaire très réputée dans le milieu. Si elle voit ce qu'il se passe, elle pourra t'aider à te faire prendre moins sauvagement par ton chien.
    – Je sais mais... Aaaaah ! Aïe !
    – Ça y est ? Il est sorti ?
    – Oui...
    – Allez, relève-toi et remets ton pantalon.

    Jamais Johanna n'avait obéi aussi facilement à sa mère ; c'était plutôt une enfant rebelle dans la vraie vie et Leïla prenait un certain plaisir à donner des ordres à sa fille sur un ton autoritaire. Pendant que la maghrébine attachait le dalmatien loin de Johanna, Stacy réapparut dans la pièce, accompagnée d’un magnifique lévrier afghan.

    – Me voici ! Dites-moi, pourquoi n'avez-vous pas laissé votre doberman monter votre fille ?
    – Parce que dès qu'il commence avec moi, il ne s'arrête pas avant des heures. J'ai eu peur qu'il confonde mon odeur et celle de ma fille.
    – Je comprends... Le chien que vous voyez m'a été laissé parce qu'il éjacule beaucoup trop pour sa maîtresse. Elle comptait sur moi pour qu'il se vide un peu avant de le récupérer, mais je n'ai pas encore eu le temps de m'en occuper.
    – Oh, c'est parfait pour toi, ma chérie ! Tu me dis tout le temps que tu aimerais sentir plus de sperme couler dans ton corps…
    – Maman ! C'était une discussion privée, ça !

    Les trois femmes étaient vraiment de bonnes actrices au point d'entrer totalement dans la peau de leurs personnages. Leïla reprit son ton autoritaire et intima à sa fille l'ordre de se remettre en position de saillie pendant que la rouquine excitait le lévrier à l'aide de sa main. Le jean à nouveau sur les chevilles, Johanna était à quatre pattes, attendant patiemment qu'un nouveau mâle la pénètre. Stacy accompagna le nouvel arrivant jusqu’aux fesses de la jeune fille, puis elle le lâcha lorsqu'il se mit à passer sa langue sur le sexe encore ruisselant de la métisse. Leïla et la belle rousse étaient à présent côte à côte en train de profiter du spectacle de la cadette du film se faisant chevaucher par un chien.

    – Votre fille est vraiment bien faite ! Si c'est héréditaire, il me tarde de vous voir avec votre doberman.
    – Merci ; vous êtes aussi une très belle femme... 

    Pendant que Johanna se faisait frénétiquement saillir par un animal, Stacy et Leïla se complimentait sur leur physique respectif. L'accouplement ne dura pas très longtemps et le lévrier fut rapidement libéré de sa prison vaginale.

    – Bien ; ma fille vient de se faire prendre par un autre chien : vous allez maintenant comprendre le probl...

    La maghrébine n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle sentit la truffe de son chien se coller entre ses cuisses. Le dalmatien étant devenu fou de rage en voyant sa femelle prise par un autre mâle, il avait réussi à faire céder la barre volontairement fragile à laquelle il était attaché, libérant par la même occasion Médor qui se jeta sur sa maîtresse. Tout avait été calculé dans les moindres détails, à savoir le fait que les chiens allaient se libérer mais aussi que Médor allait abuser de Leïla pendant une bonne partie du film. La maghrébine portait une jupe plissée sous laquelle un string fendu lui servait de sous-vêtement pour faciliter le viol consenti qu'elle allait subir. Johanna n'eut pas le temps d'esquisser le moindre geste avant que le dalmatien se jette sur elle et insère son sexe à l'endroit que venait de libérer le lévrier. Stacy contempla le spectacle qui s'offrait à elle et s'adressa à Leïla pour lui demander plus de détails.

    – Eh bien… Ce dalmatien est vraiment dingue de votre fille ! Fait-il la même chose avec vous quand vous finissez de vous accoupler avec votre doberman ?

    Gémissant sous les coups de langue de son amant, Leïla ne réussit à s'exprimer que par des hochements de tête. Pour répondre à son interlocutrice, elle secoua la tête de gauche à droite tout en glissant de plus en plus vers le sol en écartant les jambes.
    La belle rousse prit une écritoire sur son bureau et se mit à noter de façon très professionnelle les réponses aux questions qu'elle posait aux jeunes femmes.

    – Johanna, dis-moi, ma grande : est-ce que tu as déjà eu des rapports avec le chien de ta mère ?

    La fille de Leïla était dans le même état que sa mère. Les assauts frénétiques du dalmatien l’empêchaient de répondre correctement, mais elle arrivait quand même à s'exprimer entre deux râles de plaisir.

    – Hmmmm ! Oui, Médor m'a... Aaaaah ! Il m'a montée une fois. Hmmmm… Ma mère n'était pas là... Aaaaah ! Et il m'a sodomi... AAAAAAH !

    Le nœud du chien venait de forcer l'entrée du corps de sa partenaire qui poussa un hurlement de plaisir.

    – Donc, ton chien n'essaie jamais de monter ta mère de cette manière, même si elle s'est faite ensemencer par son doberman. C'est bien ça ?

    La métisse, n'ayant plus à subir les assauts de son amant, réussit à clarifier un peu la situation tout en restant conforme au scénario établi.

    – Un après-midi, je me suis réveillée toute seule à la maison. J'avais passé une bonne partie de la nuit à faire le tour du quartier pour trouver un nouveau mâle ; alors j'ai fait la grasse matinée pour me reposer. Quand je me suis enfin levée, je n'ai pas vu que Médor était dans ma chambre. J'ai cherché mes affaires de la veille pour ne pas que mon chien sente l'odeur des autres mâles, mais j'avais laissé mon short glisser sous le lit. Je suis retrouvée à quatre pattes dans ma chambre, totalement nue, à la merci du chien de ma mère. Quand j'ai senti des pattes se poser sur mes hanches, je me suis dit que j'allais payer mon infidélité de la veille.
    – Ah ! Donc, tu as conscience que si ton chien a ce comportement, c'est uniquement par jalousie ?
    – Oui, mais là j'ai senti que sa façon de faire était différente. Quand il m'a pénétrée, je me suis rendu compte que ce n'était pas mon chien qui était en train de me monter.
    – Comment tu l’as su ?
    – Parce je connais parfaitement l'anatomie de mon chien. J'ai déjà eu un rapport avec un autre dalmatien, et je sentais que ce n'était pas le mien.
    – Bien. Donc, tu arrives facilement à différencier les pénis canins pendant l'acte. C'est ça ?
    – Oui et non ; je connais très bien celui de mon chien, mais il m'est déjà arrivé de prendre un berger allemand immédiatement après un beauceron sans réussir à déceler un changement, si ce n'est dans la façon de faire... Pouvez-vous me dire en quoi c'est important ?
    – Bien sûr ! J'ai développé une analyse qui détermine ta position dans la hiérarchie canine. J'ai appelé ça la cynattitude. Selon ton comportement, tu peux être une femelle quelconque, une femelle dominante, une procréatrice, etc. J'ai besoin de connaître un maximum d'informations sur tes capacités à t'accoupler avec un chien pour t'aider à ne plus subir, et profiter pleinement de ta relation avec ton animal de compagnie.

    Le silence de la pièce n'était brisé que par les halètements des chiens et par les gémissements de plaisir que produisait Leïla sous les coups de langue de Médor. Le dalmatien s'était retourné, mais son sexe et celui de Johanna étaient encore verrouillés ensemble. Conformément au scénario, la métisse devait rester interloquée jusqu'à l'intervention de sa mère ; mais cette dernière était trop occupée à prendre du plaisir pour se soucier du tournage. En bonne actrice, Stacy reprit la parole sans tenir compte des répliques prévues pour la maghrébine.

    – Je vois que ta mère aime se faire lécher. Au premier abord, je dirais que ta mère est une femelle dominante et son chien un mâle alpha.
    – Qu'est-ce que ça veut dire ?
    – Les femelles dominantes sont très très rares chez les humains. Lorsqu'une femelle dominante rencontre un mâle alpha, ce dernier cherche à imposer sa supériorité de manière sexuelle.

    Le sexe encore occupé par le membre du dalmatien, Johanna se sentait de plus en plus gênée par ce corps étranger qui occupait ses entrailles. Elle ondulait des hanches pour libérer son amant tout en discutant avec la rouquine.

    – Mais il a déjà réussi à s'imposer ! Il a passé plus de trois heures à s'accoupler avec ma mère, hier !
    – C'est tout à fait normal. Pour s'imposer de manière sexuelle, le mâle alpha doit sentir que la femelle dominante est pleine.
    – Quoi ? Vous voulez dire que Médor continuera à violer ma mère à la première occasion tant qu'elle ne sera pas enceinte ?!
    – C'est exact. Mais même être enceinte ne suffira pas : elle devra être enceinte de lui.
    – Mais c'est impossible !
    – Je sais ; voilà pourquoi la seule solution pour ta mère serait qu'il ne la considère plus comme une femelle dominante.

    Durant l'échange entre les deux femmes, Johanna avait réussi à libérer le dalmatien qui s'était à présent allongé tranquillement dans un coin de la pièce. Leïla, quant à elle, avait pris la position de la levrette et était en train de se faire frénétiquement sodomiser par son chien.

    – Et moi, que m'arrive-t-il ?
    – Ton chien obéit à une hiérarchie différente. Tu dois être une femelle oméga ; tu es plus fertile que ta mère, donc c'est sur toi qu'il a jeté son dévolu. Ta mère s'est-elle déjà faite prendre par ton chien ?
    – Elle m'a dit avoir essayé une fois, mais il lui a tourné autour sans se poser sur elle.
    – Attends une seconde… Tu m'as dit que le chien de ta mère t'avait sodomisée ?
    – Oui, exactement comme il est en train de le faire. Regardez !

    Stacy tourna la tête en direction de Leïla et vit la maghrébine, les épaules collées au sol et la jupe relevée, pendant que le membre canin faisait des allers et venues entre les fesses de sa maîtresse. La rouquine ne put se retenir de glisser ses doigts sur son sexe en voyant cette magnifique femme abusée par un animal.

    – Heu... Vous êtes en train de vous caresser en matant ma mère, là ?!
    – Oh ! Excuse-moi, ma grande ; ta mère et tellement belle ! Reprenons... Quand tu as essayé avec le doberman, il t'a sodomisée ?
    – Oui ; je n'ai pas fini de vous raconter cette histoire. J'étais à quatre pattes dans ma chambre quand le chien de ma mère m'a sauté dessus. Il a glissé son sexe en moi et m'a littéralement violée. J'y prenais du plaisir parce que j'adore essayer de nouveaux mâles, mais j'avais aussi l'impression qu'il trompait ma mère. Quand j'ai senti son nœud passer, je me suis dit qu'il n'était finalement pas si agressif que le disait ma mère, jusqu'à ce qu'il se retire pour se placer immédiatement entre mes fesses.
    – Tu veux dire que ce doberman t'a sodomisée immédiatement après t'avoir prise ? Sans même descendre de ton dos ?
    – OUI ! Heureusement que j'aime me faire prendre par derrière, parce qu'il s'y est planté directement et qu'il n'a plus voulu lâcher prise une fois entré.
    – Et comment ça c'est terminé ?
    – Mon chien est arrivé dans la chambre, et il est monté sur le dos du doberman.
    – Oh ! Je vois... Ton chien a clairement fait comprendre à celui de ta mère qu'il allait le prendre s'il ne te lâchait pas.
    – Vous croyez ?
    – C'est certain ! Je connais la suite : le doberman est descendu de ton dos sans faire passer son nœud, puis il s'est couché devant vous et vous a regardés tranquillement, allongé, pendant que ton chien s'efforçait d'appliquer son sperme par-dessus celui du chien de ta mère.
    – C'est exactement ce qu'il s'est passé !
    – Tout est clair, maintenant. Le doberman de ta mère a voulu s'imposer sexuellement avec toi, mais ton chien est un mâle dominant.
    – Un mâle alpha et un mâle dominant, ce n'est pas la même chose ?
    – Pas dans la cynattitude. Un mâle alpha peut déceler si une femelle est pleine alors qu'un mâle dominant s'en fiche ; mais il tient absolument à déposer sa semence dans le corps de sa femelle. Ta mère est une femelle dominante alors que toi tu es une femelle oméga.
    – Là, je ne comprends pas.

    Johanna s'était relevée et avait remonté son pantalon. Leïla venait tout juste d'accueillir le nœud de Médor en elle et avait arrêté de crier pour se mettre à gémir en cadence avec les éjaculations de son amant. La scène avec les deux femmes était plus longue que prévue, et Stacy savait qu’Ève devait encore jouer son rôle avant la fin du film. Par ailleurs, il restait plusieurs autres plans à tourner avec Johanna et cela n'arrangeait pas les affaires de la rouquine. Pour faire face à ces imprévus, la belle rousse décida d'improviser et prit la parole pour expliquer la suite des événements, aussi bien aux spectateurs qu'à son équipe.

    – Viens avec moi ; il y a un parc non loin d'ici, et je vais tout t'expliquer en chemin.
    – Heu... D'accord, mais qu'est-ce qu'on fait de ma mère ?
    – Visiblement, son chien n'en a pas fini avec elle. On va les laisser ici ; je suis sûre qu'ils y seront encore quand on reviendra.
    – Comme vous voulez.

    Johanna était elle aussi une excellente actrice, contrairement à sa mère qui se ne se concentrait plus du tout sur le tournage. La maghrébine, qui venait de relâcher le nœud de son amant, se retourna et prit dans sa bouche le membre canin qui venait tout juste de quitter ses fesses. Le doberman ne se laissa pas faire et chevaucha une fois de plus la jeune femme qui décala son string fendu pour se faire sodomiser à nouveau. Le chien avait une autre cible où il se planta immédiatement, arrachant un hurlement de plaisir à sa partenaire. Stacy et Johanna étaient en train de s'éloigner du manoir pendant que la rouquine expliquait la situation à la métisse. Des plans de Leïla en pleine action avec Médor seraient insérés au montage pendant le discours de la belle rousse.

    – Un mâle alpha et une femelle dominante, c’est la pire des situations possibles. Le mâle ne cherchera pas une autre femelle tant que celle qu'il a choisie ne sera pas tombée enceinte de lui ; mais s’il trouve une femelle oméga, il essayera tout de même de la féconder pour s'assurer une descendance si celle qu'il a choisie n'est pas là.
    – Il essaye de mettre ma mère enceinte en la sodomisant ?
    – Cela n'a rien à voir avec son statut : c'est parce que c'est un doberman. Outre la position sociale qu'occupent les chiens, leurs races déterminent leurs perversions sexuelles. Les dobermans sont particulièrement sodomites, les labradors sont plus à l'aise en missionnaire ; les lévriers, tu dois t'en douter, le font instinctivement en levrette, etc.
    – Je n'ai jamais vu un doberman sodomiser une de ses congénères.
    – Et c'est tout à fait normal ! La cynattitude est une analyse très poussée des relations entre une femme et un chien. Elle n'est absolument pas adaptée pour comprendre la hiérarchie sociale d'une meute ou d'un groupe d'humains.
    – D'accord ; je comprends mieux. Et pour moi ?
    – Tu es une femelle oméga : cela signifie que tu es, comme ta mère, une chef de meute.
    – Où est la différence, alors ?
    – Une femelle oméga décide du mâle à qui elle va s'offrir. Un chien ne montera jamais sur toi si tu n'es pas en position de soumission avec le sexe accessible. Si tu avais porté des sous-vêtements, le doberman de ta mère ne serait pas monté sur toi.
    – Mais mon dalmatien me saute dessus même si je suis habillée !
    – Oui, mais uniquement quand il sent que tu as été fécondée par un autre mâle. Nous voici arrivées ; je vais pouvoir te montrer.

    La matinée était très ensoleillée et le parc était loin d'être désert. Stacy savait qu'elle allait prendre de gros risques en tournant cette scène, mais elle voulait offrir un film exceptionnel à ses spectateurs pour sa dernière production.

    – Que faisons-nous ici ?
    – Je dois m'occuper de quelques mâles et je compte sur toi pour m'aider ; cela me fera gagner un peu de temps.
    – QUOI ?! En pleine journée, avec tout ce monde ?
    – Oui : en se positionnant convenablement derrière les buissons et en essayant de ne pas trop faire de bruit, il n'y aura aucun problème.

    La belle rousse était complètement nue sous sa blouse, ce qui lui procurait un avantage de taille sur la métisse. Adam avait suivi les deux jeunes femmes depuis leur départ du manoir. Il était chargé de les filmer en prenant soin de faire apparaître le plus de figurants possible pour montrer aux spectateurs que Stacy ne reculait devant rien pour assouvir ses pulsions sexuelles. Ève, bien que présente, fit bien attention de rester hors champ pendant toute la scène. La rouquine se mit à quatre pattes pendant que le cameraman se positionnait de manière à voir l'actrice se faire monter derrière un buisson au premier plan pendant que des badauds se promenaient dans le parc en arrière-plan. En cas de problème, Ève détournerait l'attention avec son physique de rêve et sa tenue très suggestive. Johanna se mit elle aussi en levrette face à Stacy, en prenant soin de baisser son pantalon jusqu'aux chevilles, puis elle chuchota pour reprendre sa discussion avec la belle rousse.

    – Et vous ? Vous êtes quoi comme femelle ? Vous venez d'offrir un accès à votre sexe ; vous êtes une oméga ?
    – Non, pas du tout... Ah... Attends...

    Stacy dut se mordre les lèvres pour ne pas crier lorsqu'elle sentit qu'un animal avait pris place sur son dos. Il s'agissait d'un pitbull qui n'était absolument pas prévu au scénario, mais qui voulait profiter de la magnifique paire de fesses de la rouquine. En arrière-plan, un homme était en train d’appeler son chien en s'approchant dangereusement de l'endroit où se faisait monter Stacy. Ève décida d'entrer en action traversa le champ de la caméra pour rejoindre l’intrus et le distraire. L'animal n'était visiblement pas dressé à monter une femme ; alors, la rouquine dut le guider avec sa main pour qu'il réussisse à s’insérer en elle. Pendant que Stacy se faisait énergiquement pénétrer par un chien opportuniste, Johanna sentait le sexe de Sultan glisser entre ses cuisses.
    Le dogue allemand avait été amené jusqu'ici en laisse par Ève dont le petit numéro de séduction laissait suffisamment de temps à la belle rousse pour que son amant insère son nœud en elle. Adam tenait le cadrage parfait pour montrer les deux jeunes femmes en pleine action avec des chiens. La métisse laissa Sultan la pénétrer, puis elle colla immédiatement ses épaules au sol pour que son partenaire puisse rapidement faire passer la totalité de son sexe en elle. Stacy et Johanna restèrent quelques minutes à profiter de leurs amants respectifs, puis les deux chiens se libérèrent presque en même temps de leurs femelles. Sultan sortit du champ de la caméra pendant que le pitbull retournait vers son maître, le sexe encore en érection, ruisselant des sécrétions vaginales de sa partenaire. La belle rousse reprit la parole pour expliquer la situation à sa complice.

    – Quel orgasme ! Ce chien était vraiment un excellent coup ! Comme j'allais te le dire, je ne suis pas du tout une femelle oméga : j'appartiens à la catégorie la plus chanceuse, c'est à dire les vagabondes.
    – C'est quoi, une vagabonde ?
    – C'est une femme à qui aucun chien ne peut s'attacher mais qui porte une odeur particulièrement attirante pour eux. Si un mâle est à proximité et que je suis en position de soumission, il va immédiatement chercher à me monter. Les mâles dominants et alpha ne s'attachent pas à moi, mais eux aussi vont essayer de me prendre si aucune femelle dominante ou alpha est à proximité.
    Le chien avec lequel tu viens de t'accoupler était un mâle vagabond. Cela signifie qu'il ne s'attache à aucune femelle : voilà pourquoi il a fait sa petite affaire avec toi et qu'il est ensuite reparti. Le pitbull qui m'a montée, en revanche, était un mâle non décanidé, ce qui signifie que j'étais la première femme qu'il montait. Le rang social qu'il occupera dans la cynattitude dépend de son code génétique et de sa première expérience avec une femme. Celui-ci deviendra certainement un mâle vagabond. Les mâles alpha ou dominants le deviennent lorsque leurs propres maîtresses font d'eux des décanidés.

    Pendant que Stacy faisait son monologue en chuchotant, un autre mâle avait pris place sur le dos de Johanna. Il s'agissait d'un danois dont l'attribut viril, plus que respectable, avait déjà pris place entre les fesses de la métisse qui usait de toute sa force mentale pour se retenir de hurler de douleur en sentant l'énorme sexe canin se frayer difficilement le passage. La belle rousse fit preuve de compassion, mais elle se dit que c'était Johanna elle-même qui avait insisté pour faire cette scène.

    – Ma pauvre chérie, tu n'a vraiment pas de chance... C'est un mâle dominateur qui est en train de te sodomiser. Ces chiens ont l'habitude de s'imposer uniquement lors d'un accouplement et essayent par tous les moyens de faire hurler leurs partenaires. S'il arrive à faire passer son nœud entre tes fesses, il forcera pour le faire sortir avant de te le remettre puis il recommencera jusqu'à ce que tu hurles de douleur. La seule échappatoire que tu as, c'est d'arriver à attraper la base de son nœud et de le serrer au maximum pour lui donner l'impression qu'il a réussi à passer.

    Stacy était à présent en pleine action avec un golden retriever qui était monté sur elle au début de sa phrase ; mais c'était un animal particulièrement doux, ce qui laissa à la belle rousse le loisir de s'exprimer sans trop de difficultés. Conformément au scénario, Johanna suivit les conseils que lui avait donnés la rouquine et colla une fois de plus ses épaules au sol pour se laisser plus de marge et ainsi réussir à attraper la base du sexe canin planté en elle. Dans cette position, la métisse sentait l'énorme morceau de chair occuper de plus en plus d'espace en elle, mais elle sentait surtout son orifice anal devenir moins résistant à cause de l'acharnement de son amant. C'est avec l’énergie du désespoir que Johanna réussit à attraper l'animal au bon endroit, juste avant qu'il réussisse à atteindre son but. L'orifice de la jeune fille était sur le point d'accueillir l'énorme morceau de chair lorsqu'elle serra de toutes ses forces pour pouvoir échapper à son sort.

    Stacy était en train de profiter en silence de son amant qui s'activait sans bruit sur elle. Lorsqu'elle accueillit le nœud de son partenaire, la belle rousse ne laissa s'échapper qu'un petit bruit aigu à peine perceptible, signifiant qu'elle était réellement en train de prendre du plaisir ; puis elle se laissa combler par l'animal en fermant les yeux pour mieux ressentir les jets de sperme dont elle se faisait honorer. Johanna tenait le plus fermement possible le sexe de son amant lorsqu'elle sentit que ce dernier était en train de reculer. Elle profita de ce moment pour remonter son pantalon jusqu'à ses cuisses puis elle se prépara à le remettre autour de sa taille dès que le danois aurait libéré ses fesses. Le golden retriever réussit à se dégager rapidement de sa prison vaginale, permettant à Stacy de se relever et d'arranger un peu sa tenue avant de prêter main forte à sa complice. Johanna était tellement impatiente de pouvoir bloquer l'accès à son anatomie qu'elle avait remonté son jean au point de le faire toucher le sexe du danois. La rouquine se mit accroupie devant la métisse pour laisser couler la semence canine qu'elle avait laissée entrer en elle, mais aussi pour pouvoir parler doucement à sa complice.

    – Tu tiens le coup ?
    – Non ! J'ai envie de hurler tellement il me fait mal ! Il a vraiment un sexe énorme !
    – Je sais ; je dois t'avouer que si je t'ai faite venir, c'est pour qu'il ne s'acharne pas sur moi.
    – QUOI ?!
    – S'il était monté sur moi, je l'aurais laissé me sodomiser pleinement ; et comme je suis une vagabonde, il ne se serait pas arrêté là.

    Le sexe du danois quitta enfin le corps de Johanna qui tira instantanément son pantalon autour de sa taille avant de lâcher l'animal. La jeune fille réussit à se relever et ce fut au tour de Stacy de subir les avances du chien. La belle rousse était toujours accroupie lorsque le danois plaça sa truffe entre ses cuisses. Tiraillée entre l'envie de se faire prendre par cet énorme mâle et l’obligation de continuer à tourner son film comme prévu, Stacy se laissa tomber en arrière pour profiter un peu de la langue experte du chien avant de se relever à son tour. Les deux jeunes femmes laissaient apparaître sur leurs cuisses des traces blanches suffisamment suspectes pour que certains promeneurs les fixent de façon interrogative. Le jean de Johanna était plus sombre tout autour de son sexe à cause de la quantité colossale de sperme qu'elle avait reçu. Quant à Stacy, elle ne pouvait pas cacher le liquide blanc qui coulait le long de ses jambes. Sur le chemin du retour, la belle rousse dont les cuisses étaient recouvertes de semence animale reprit le cours de la discussion.

    – Si un mâle dominateur rencontre une femelle vagabonde, il va non seulement tenter de la faire hurler de douleur, mais il va en plus chercher à se l'approprier.
    – J'avoue ne pas comprendre…
    – Les mâles dominateurs cherchent juste à soumettre leurs partenaires : si c'est une femelle dominante ou oméga, il se contenteront de la faire hurler pour être satisfaits, mais si c'est une vagabonde, elle aura beau crier et même pleurer, il ne s’arrêteront que lorsqu'elle sera totalement soumise et qu'elle leur appartiendra.
    – Et comment font-ils pour le savoir ?
    – Avec une fellation. Aucune race de chien n’est prédisposée pour aimer la fellation. C'est une pratique que je n'ai répertoriée dans la cynattitude que pour le plaisir de la femme ou comme preuve de soumission d'une vagabonde à un mâle dominateur. Mais l'acte en lui-même ne suffit pas ; il faut en plus avaler toute la semence qu'a produite l'animal et le remercier pour sa performance.
    – Le remercier ?
    – Oui, en le laissant une fois de plus te monter à sa manière.
    – Ah, quand même ! Alors, si j'ai bien compris, ce danois vous aurait sodomisée ; ensuite il se serait accouplé avec vous puis vous l'auriez sucé avant de vous laisser monter encore une fois ?
    – C'est ça. Et à chaque fois que son sexe glisserait dans mon corps, il ferait entrer et sortir son nœud jusqu'à ce que je hurle.
    – Mais vous pourriez simuler, non ?
    – Pas avec un chien ! Il ne comprend pas les mots, mais il est très doué pour les fréquences vocales émises. Si tu simules, un animal le saura.
    – Donc, les dobermans et les danois sont des chiens sodomites.
    – Pas vraiment. En raison de sa taille, un danois est habitué à trouver un vagin à l’endroit où se trouvent nos fesses. C'est la raison pour laquelle cette race commencera par sodomiser sa partenaire avant de se rendre compte qu'il n'est pas passé par le bon trou. Bien ; nous voici de retour à mon cabinet. Voyons si ta mère est toujours occupée avec son chien.

    En ouvrant la porte, Stacy et Johanna trouvèrent Leïla totalement nue, toujours en plein ébat avec Médor. La maghrébine avait posé ses fesses sur le bord d'une chaise et tenait ses genoux bien écartés au niveau de ses seins pendant que son partenaire s'activait énergiquement en elle. Des traces de sperme indiquaient que la jeune femme s'était faite prendre par son chien dans tous les coins de la pièce. Il y en avait bien entendu à l'endroit où elle se trouvait lorsque Johanna et Stacy étaient allées se promener, mais aussi sur un fauteuil, sur la table d’auscultation, devant la fenêtre, sur le pas de la porte d'entrée de la pièce et même sur le dossier d'une chaise. Stacy comprit avec cette dernière tache que Leïla avait été sodomisée par son chien et avait expulsé la semence qui se trouvait dans son vagin comme l'avait fait la belle rousse lors de son dernier film.

    – Tu vois, comme je m'en doutais, son chien n'en a pas encore fini avec elle.
    – Vous avez rais...

    Johanna n'eut pas le temps de finir sa phrase avant que le dalmatien se jette sur elle et la fasse tomber à quatre pattes sur le sol. Malgré le rempart que représentait son jean, l'animal plaça son sexe sur celui de la jeune fille puis il de mit à essayer de forcer le passage.

    – Oh non ! Vous voyez : dès qu'il sent que j'ai été prise par un autre mâle, il essaie par tous les moyens possibles de me pénétrer !
    – Je vois ça… Il est vraiment vigoureux, en plus ! Si tu avais porté des collants, je suis presque sûre qu'il aurait réussi à passer.
    – Vous ne croyez pas si bien dire ! Je veux bien vous raconter cette histoire, mais qu'est-ce que je dois faire avec lui d'abord ?
    – Laisse-le te prendre, sinon il va se faire mal.

    Ne voulant pas risquer que l'animal se blesse, Johanna baissa encore une fois son pantalon jusqu'à ses cuisses et n'eut pas le temps d'aller plus loin avant que l'animal se plante entre ses fesses. L'orifice anal de la jeune fille ayant été largement modelé par le sexe du danois, c'est sans la moindre douleur qu'elle se laissa sodomiser pour la première fois par le dalmatien. Stacy contempla la mère et sa fille se faire prendre devant elle et commença à se caresser devant ce spectacle. Agacée de ne pas encore être apparue à l'écran, Ève décida d'entrer en scène à ce moment-là, même si cela devait chambouler le scénario.

    – Bonjour ! Oh… Je vois que vous êtes déjà en clientèle !
    – Oh ! Bonjour, madame. Je ne vous attendais pas aussi tôt.
    – Mon mari m'a suppliée de venir vous voir rapidement ; il n'en peut plus de cette situation.
    – Très bien ; suivez-moi.

    Stacy comprit qu'il était temps d'avancer, sans quoi le film allait être vraiment très long, entraînant un surcoût de production qu'elle n'avait pas prévu.

    – Vous allez laisser vos clientes ici ?
    – Oui : la jeune fille doit se faire ensemencer par son mâle, et sa mère ne sera libérée que lorsque son assaillant tombera de fatigue. Alors, quel est votre problème ?
    – Et bien voilà : j'ai constamment du sperme canin en moi.
    – Vous n'avez pas besoin de moi, mais d'une bonne douche, plutôt !
    – C'est inutile ; j'ai un rottweiler à la maison, et dès que je n'ai plus sa semence en moi, il revient immédiatement à la charge. J'ai essayé de prendre une douche chez des amis, mais un chien errant a réussi à entrer jusque dans la salle de bain pour me pénétrer. Mon mari en a assez de sentir du sperme de chien quand nous faisons l'amour.
    – Je vois… Vous êtes donc une procréatrice.
    – Une quoi ?

    Ève jouait son rôle avec beaucoup de sérieux, et Stacy fut très heureuse de voir que seule Leïla avait été plus préoccupée par son plaisir que par le film. Les deux femmes se trouvaient maintenant dans l'enclos de Stacy où le reste des acteurs attendait patiemment de monter une femme. La belle rousse reprit un long monologue dont elle avait le secret pour expliquer à ses spectateurs le rôle de la nouvelle actrice.

    – Vous êtes une procréatrice ; ce n'est pas le meilleur rôle d'une femme dans la cynattitude, mais il est déjà plus enviable que celui d'une femelle quelconque. Une procréatrice est une femme dont les chiens se servent pour assurer leur descendance. Si un mâle à proximité sent que votre odeur n'est pas couverte par celle d'un chien, il pensera que vous êtes disponible pour assurer la pérennité de son espèce. Une femelle quelconque est juste une femme qui aime avoir des rapports avec des chiens : elle n'a aucun rang social dans la cynattitude, mais ce statut ne dure que très rarement plus d'un an avant qu'elle entre dans une autre catégorie. L'équivalent pour un chien, c'est tout simplement un mâle quelconque.
    – Je ne comprends pas tout.
    – Très bien ; je reprends tout depuis le début, alors ?
    – Oui, s'il vous plaît.
    – La cynattitude est une étude comportementaliste très poussée des relations entre une femme et un chien. Il existe deux critères pour les chiens, à savoir la race et le rang social. Les femmes ne sont classées que dans la catégorie du rang social. Un chien qui n'a jamais monté de femme est un non décanidé ; une femme qui ne s'est jamais faite monter par un chien est une non canidée. Bien entendu, une femme qui s'est déjà offerte à un chien sera une canidée, et un chien qui a déjà monté une femme sera un décanidé. L'accouplement entre les deux se déroulera selon le rang de chaque partenaire, mais aussi selon la race du chien. Par exemple, un labrador est prédisposé pour la position du missionnaire alors qu'un lévrier s'accouplera en levrette ; mais cela ne concerne pas uniquement les positions puisqu'un doberman sera sodomite et qu'un rottweiler comblera sa femelle par devant ET par derrière.
    Le rang social du chien dictera son comportement lors de la saillie. Il existe six différents rangs sociaux pour les chiens ; à savoir : le mâle alpha, le mâle dominant, le vagabond, le mâle quelconque, le mâle dominateur et le mâle soumis. Concernant les femmes, il n'existe que cinq catégories ; à savoir : la femelle dominante, la femelle oméga, la procréatrice, la vagabonde et la femelle quelconque. Le rang de mâle ou femelle quelconque ne sert que de transition entre l'état de canidée ou décanidé vers une autre catégorie. Durant cette période, les chiens mâles essayent de prendre aussi bien une de leurs congénères qu'une femme sans être guidés par leur rang dans la cynattitude.
    Les femmes, quant à elles, seront prises par un mâle sans que ce dernier s'impose à elle, quel que soit son rang social. Par exemple, un mâle quelconque n'essayera pas de féconder une procréatrice sans qu'elle le motive à l'accouplement et ce, même si cette dernière n'est pas honorée par de la semence animale.

    Ève décida de prendre les choses en main une bonne fois pour toutes et se présenta devant le box de Max, en sachant pertinemment ce qui l'attendait. La belle brune était habillée d'un pantalon blanc très moulant sous lequel elle portait un string noir en guise de sous-vêtement. Son haut était lui aussi blanc, laissant apercevoir son soutien-gorge parfaitement assorti à son string, et qui arborait un message plein de sous-entendus : « Mes concurrentes sont des chiennes ».

    – Oh ! Je vois que vous avez un beauceron ! Il est dans quelle catégorie ?
    – C'est un mâle dominateur.
    – Intéressant ! Vous voulez bien m'expliquer en détail le comportement des rangs sociaux pendant que je me fais saillir ? J'ai toujours voulu essayer cette race depuis qu'une amie m'en a parlé.
    – Si vous voulez ; mais je dois vous prévenir qu'il ne vous laissera pas tranquille avant de vous avoir éjaculé dans TOUS les orifices.
    – Ça me va !

    Ève ouvrit la porte du box, puis elle se présenta à l'animal en le caressant. La doyenne savait, grâce à son expérience, comment exciter un chien et c'est sans aucune difficulté qu'elle se trouva avec un membre canin en érection entre ses mains au bout de quelques secondes. Pour faire durer un peu le plaisir, Ève masturba lentement Max jusqu'à ce que ce dernier essaie de monter sur la belle brune. Elle s'installa à quatre pattes, puis fit glisser son pantalon jusqu'au milieu de ses cuisses et se laissa prendre par le rottweiler pendant que Stacy expliquait son analyse.

    – Bon ; essayez d'être un peu attentive, tout de même... Un mâle alpha est un chien qui cherchera par tous les moyens possibles à féconder une femelle. Il est capable de sentir si une femelle est enceinte ou non ; mais il ne s'acharnera que sur une femelle dominante pour devenir l'unique chef de la meute. Il se contentera de déposer sa semence dans les autres catégories de femelles.
    Le mâle dominant ne supporte pas la concurrence : lui aussi cherche à assurer sa descendance, mais il est incapable de sentir si une femelle est pleine ou non, et s'en fiche totalement car ce qui l'intéresse, c'est la fertilité de sa partenaire. Son unique but est de passer derrière ses congénères. Son acharnement s'orientera quant à lui sur une femelle oméga.
    Comme le mâle dominant, le mâle alpha se contentera de saillir les autres catégories de femelles sans y porter plus d'intérêt.
    Le mâle vagabond est beaucoup plus particulier : il se fiche totalement de la fertilité ou de l'éventuelle grossesse d'une femelle. Ce qui l'intéresse, c'est uniquement de prendre une femme. S’il voit une femelle en position de soumission et qu'elle a le sexe accessible, il se jettera sur elle et la prendra pleinement avant de repartir tranquillement.
    Comme je vous l'ai expliqué tout à l'heure, un mâle quelconque n'est qu'un chien qui n'entre pas encore dans une autre catégorie. Son comportement est très variable, mais il prend petit à petit conscience que le corps d'une femme émet certaines phéromones et n'arrive pas encore à les interpréter. Chez un chien, cette phase ne dure que quelques semaines, deux mois grand maximum.
    Le mâle dominateur est le plus dangereux des partenaires sexuels. Comme son nom l'indique, il cherche à humilier sa femelle et n'arrive à éjaculer que lorsque cette dernière hurle de douleur. Ils font preuve parfois d'une incroyable ingéniosité pour faire souffrir leurs partenaires, allant même jusqu'à enchaîner saillies et sodomies avec un passage de nœud immédiat. Ces animaux aiment soumettre les femelles vagabondes et s'acharnent sur elles jusqu'à ce qu’elles prodiguent une fellation comme preuve de soumission ultime avant de les saillir à nouveau pour les faire hurler. Enfin, les mâles soumis sont des chiens qui ne s’accouplent qu'avec la femelle qui les a décanidés. Que cette dernière soit oméga, vagabonde ou autre ne leur importe guère. Ils ne chercheront jamais à s'imposer à elle-même si elle est en position et que son sexe est accessible. Ils chevaucheront leur partenaire uniquement si celle-ci lui demande oralement de venir les saillir. 
    Durant les explications de Stacy, Ève avait accueilli la totalité du sexe de Max en elle. Le chien s'activait maintenant à faire entrer et sortir son nœud pour faire hurler la belle brune qui en avait vu d'autres et se contentait de manifester son plaisir par un cri de jouissance incroyablement mélodieux. Comprenant que la femelle qu'il était en train de chevaucher n'exprimait aucune douleur, le beauceron extirpa violemment son sexe de celui de la doyenne, puis il se positionna exactement au bon endroit pour entamer une sodomie endiablée. Sous le coup de la surprise, Ève laissa échapper un léger gémissement de douleur avant de reprendre le chant mélodieux de son plaisir. La belle brune subissait maintenant les assauts frénétiques de l'animal, mais cela ne déclenchait en elle que du plaisir.

    Les deux femmes avaient réussi le tour de force de dresser les chiens pour que leurs réactions soient en adéquation avec le scénario. La cynattitude et les catégories sociales n’étaient qu'une pure invention de leur imagination, mais elles se plaisaient énormément à penser tout cela réel, d'autant plus qu'elles cherchaient depuis longtemps un terme pour désigner un chien dressé à monter une femme. Elles se considéraient toutes les deux comme des femmes canidées, et cela leur convenait parfaitement. Max en était arrivé au point où son nœud faisait des aller et venues entre les fesses de la doyenne qui continuait à jouir et attendait maintenant que son amant sorte de ses fesses pour lui prodiguer une fellation. La belle brune réussit à aligner quelques mots pour demander à Stacy d'expliquer maintenant les rôles des femmes dans la cynattitude.

    – Pour les femmes, la femelle dominante est une chef de meute dont la progéniture gardera le même statut. Généralement, ce sont des femmes qui vivent en communauté, exclusivement féminine avec leurs filles, et qui ont été canidées pendant cette période. Ceci explique que les femelles dominantes soit aussi rares chez les humaines parce que très peu de femmes restent seules de nos jour, et encore moins se font prendre par un chien alors que leurs filles vivent avec elles. La femelle dominante ne pouvant donner de descendance à un chien, c'est généralement plus un atout sexuel qu'autre chose.
    La femelle oméga le devient la plupart du temps lorsqu'elle se fait canider par un chien non décanidé et qu'elle a moins de vingt ans. Sa fertilité due à son jeune âge ainsi que l'inexpérience de son premier partenaire la place dans une catégorie où elle sera chef de meute ; mais seuls les mâles à qui elle choisira de s'offrir accepteront de la chevaucher. Si une femelle oméga ne se positionne pas pour une saillie, il n'y aura qu'un mâle dominant qui cherchera à la monter, et ce sera uniquement si elle s'est faite prendre par un autre mâle.
    La procréatrice le devient si elle s'est faite canider par un mâle alpha. C'est un des rôles les moins envieux de la catégorie puisque, comme son nom l'indique, les chiens chercheront uniquement à la remplir de semence. En émettant le même signal olfactif qu'une chienne en chaleur, une procréatrice peut attirer tous les mâles à proximité ; mais dès que l'un d'entre eux l'aura montée, les autres s'en désintéresseront jusqu'à ce qu’elle ne porte plus une seule trace de semence canine. Seul un mâle dominateur acceptera de saillir une procréatrice déjà accouplée.
    La vagabonde est la plus enviable de toutes les catégories. Ces femmes peuvent être chevauchées par n'importe quel mâle, qu'elles soient déjà saillies ou non. Il leur suffit de se mettre en position de soumission et de libérer l'accès à leur sexe pour que n'importe quel mâle, décanidé ou non, essaie de les prendre. Je suis une vagabonde et j'ai permis à plus d'une vingtaine de chiens de devenir des décanidés. Mais j'ai aussi servi à plus d'une quinzaine de mâles dominateurs. Une vagabonde le devient justement lorsqu'elle est canidée par un mâle dominateur.
    Enfin, la femelle quelconque est une femme qui ne sait pas quoi penser de son attrait pour les chiens. Contrairement aux mâles, cet état peut durer plus d'un an chez une femme parce que le côté psychologique entre en compte. Si une femme accepte rapidement son penchant pour le sexe animal, elle trouvera très vite sa place dans la cynattitude. Si le côté tabou la travaille trop, elle restera une femelle quelconque toute sa vie mais, comme vous le savez, une femme qui s'accouple avec un chien ne met pas longtemps avant d'y prendre goût. Personnellement, je ne suis restée une femelle quelconque que cinq jours avant de profiter de mon état de vagabonde.

    Durant le long monologue de Stacy, Ève avait eu le temps de reprendre le dessus et de prodiguer une fellation consciencieuse à son amant. Les lèvres pulpeuses de la belle brune glissaient encore le long du membre canin lorsque la rouquine brisa le silence.

    – En tant que procréatrice, il ne vous était pas utile de faire ça.

    Ève redressa la tête et remonta son pantalon sur ses hanches.

    – Je le sais bien ; mais je n'arrive pas à résister quand je vois ce magnifique morceau de chair. 
    En plus, le fait de savoir qu'il m'a donné autant de plaisir en traversant mes deux orifices me donne envie de le remercier à ma manière.
    – Peut-être, mais savez-vous que les chiens ne sont pas disposés à aimer la fellation ?
    – J'avoue : c'est uniquement pour mon plaisir personnel. D'ailleurs, avez-vous d'autres mâles dominateurs ?
    – Je regrette ; celui-ci est le seul qui m'a été confié, mais il est très vaillant. Vous pouvez essayer de recommencer avec lui pendant que je retourne voir mes clientes si vous voulez.
    – Avec grand plaisir !

    Stacy tourna les talons et entendit après avoir fait quelques pas l'expression mélodieuse du plaisir que procurait Max à Ève. En entrant dans son faux cabinet, l'actrice découvrit un spectacle auquel elle ne s'attendait absolument pas. Le danois du parc n'avait pas eu tout ce qu'il voulait de Johanna. Il était prévu dans le scénario que ce chien soit récupéré par Ève et qu'elle s'occupe de sa frustration hors caméra, mais la belle brune était trop agacée par le déroulement du film pour profiter de ce mâle. Au lieu de se retrouver seule avec l'animal dans la salle de projection, la doyenne l'avait laissé vagabonder dans le manoir, ce qui lui permit de retrouver la métisse à laquelle il avait goûté dans le parc.

    Leïla était assise sur le lévrier en train de se faire sodomiser pleinement pendant que son doberman était toujours en train de s'activer sur elle. Sous le coup de cette double pénétration, la maghrébine hurlait de plaisir. La cadette du tournage était assise sur le dalmatien mais, contrairement à sa mère, la jeune fille n'avait pas fait passer en elle le nœud de son partenaire anal. Le danois, quant à lui, était en train de faire entrer et sortir à chaque coup de reins la totalité de son énorme sexe dans les entrailles de la métisse. Johanna hurlait de douleur tout en ondulant du bassin pour mieux profiter de ses amants. Le tournage du film ne se déroulait absolument pas comme prévu, et Stacy dut faire appel à toute son ingéniosité pour clore sa production. Sachant que Johanna allait bientôt être libérée, la belle rousse se précipita vers Leïla pour lui porter secours. La rouquine réussit à glisser sa main sur le sexe de la maghrébine où elle intercepta le membre canin qui s'y activait puis elle se servit de son autre main pour empêcher l'accès vers l'intimité de Leïla. Faisant preuve d'une grande souplesse, la belle rousse s'allongea par-dessus la mère de Johanna, puis elle guida le sexe du doberman entre ses propres cuisses. Sentant à nouveau qu'il était en train de pénétrer une femme, Médor reprit un rythme frénétique.

    L'excitation créée par la saillie qu'elle était en train de subir poussa Stacy à pencher sa tête sur le côté pour embrasser fougueusement Leïla. Les deux femmes étaient allongées l'une sur l'autre, la première se faisant sodomiser par l'animal qui venait de saillir sa fille et la deuxième se faisant pénétrer par un chien sexuellement insatiable dont le sexe était encore ruisselant du plaisir de la maghrébine. Le danois, ayant enfin eu ce qu'il voulait de sa partenaire, se retira d'un seul coup, lui arrachant un ultime cri de douleur. En laissant sa semence dans le corps de la jeune fille, l'animal avait lancé un défi au dalmatien qui se redressa d'un bond, le sexe encore planté dans les fesses de sa femelle qui ne put que suivre le mouvement effectué par le chien.

    La métisse était à présent à quatre pattes, sodomisée par un dalmatien qui se retira aussi brutalement que le danois pour planter aussitôt son sexe dans celui de sa partenaire. Stacy avait quitté difficilement sa blouse pour que son corps entre plus facilement en contact avec celui de Leïla, mais elle avait surtout réussi l'exploit de se retourner pour être face à cette magnifique maghrébine pour qui elle éprouvait de plus en plus de sentiments. La mère de Johanna avait profité de la manœuvre de la rouquine pour se libérer du lévrier et ainsi profiter pleinement de sa partenaire féminine.

    Les assauts du doberman et la proximité physique des deux femmes permettaient de faire passer le chien du sexe de Stacy à celui de Leïla en étant légèrement orienté par la main de la belle rousse. L'animal avait l'impression de s’accoupler avec une seule femelle, et les deux femmes prenaient un immense plaisir à se faire pénétrer alternativement par le même amant. Johanna accueillit une fois de plus le nœud du dalmatien entre ses cuisses, puis elle le laissa se vider en elle en gémissant de plaisir à chaque saccade qu'elle recevait. L'animal relâcha enfin la jeune fille qui remit son pantalon qu'elle avait envoyé à l'autre bout de la pièce. Habillée et complètement satisfaite de sa prestation, la métisse se manifesta auprès des deux autres femmes pour quitter le tournage.

    – Maman, je te laisse finir avec la dame ; je t'attends à la maison.

    Occupée à caresser et embrasser le corps de Stacy, Leïla ne répondit à sa fille que par un gémissement. Johanna prit le dalmatien en laisse et sortit du champ de la caméra avant de se rendre dans la salle de bain pour prendre une douche. La belle rousse guida volontairement le sexe du doberman entre ses propres fesses, sachant qu'il allait forcer pour y faire entrer son nœud. Pleinement sodomisée par l'animal, la rouquine se crispa pour retenir le chien, laissant ainsi s'échapper sur le corps de Leïla la semence canine qui se trouvait en elle. L'impression qu'elle avait d'être en train d'éjaculer sur sa partenaire et la présence d'un membre animal dans ses entrailles déclenchèrent chez la belle rousse un orgasme comme elle n'en avait jamais ressenti. Stacy réussit à se mettre à quatre pattes, puis elle s'adressa à Leïla.

    – Vous devriez profiter que je le retiens pour rejoindre votre fille.
    – Merci ; je ne savais plus comment me libérer. Ce chien a une incroyable emprise sur mon corps !
    – J'aimerai vous faire le même effet... Oh ! Je vous prie de m'excuser, mais j'ai dû éjaculer un peu de sperme de pitbull et de golden retriever entre vos cuisses.
    – Ce n'est pas grave. Vous venez de me rendre ma liberté ; ça vaut bien un peu de semence canine sur le sexe ! Et puis, avec ce que m'a mis mon chien, je n'avais même pas remarqué.

    La maghrébine se releva, puis elle se rhabilla complètement tout en regardant son chien prisonnier des fesses de la rouquine. L'animal réussit tout de même à traîner Stacy jusqu'aux pieds de Leïla où il se mit à planter sa truffe dans le sexe de sa maîtresse.

    – C'est incroyable ! Je sens votre chien éjaculer en cadence avec ses passages de langue sur votre corps ! Cet animal est une vraie bête de sexe !
    – Hmmmm... J'ai envie de le laisser me prendre encore une fois !
    – Je vous signale que je le retiens avec mes fesses pour que vous puissiez rejoindre votre fille… Partez pendant que vous le pouvez ; je vais prendre soin de votre chien.
    – Très bien. Quand pourrais-je venir le récupérer ?
    – Dans deux semaines ; je vais faire quelques expérience avec lui.
    – DEUX SEMAINES ! Mais comment je fais en attendant ?
    – Prenez le lévrier avec vous.
    – Très bien, mais vous n'allez pas faire d'expériences dangereuses avec mon chien, tout de même ?
    – Bien sûr que non ! Sauf si vous pensez qu'avoir de nombreux rapports avec plusieurs femmes est dangereux.
    – Oh ! J'ai eu peur que vous lui fassiez du mal.
    – Ce n'est pas mon genre du tout. Maintenant, partez s'il vous plaît : il est en train de me faire mal à force de tirer.

    Leïla sortit à son tour du champ de la caméra et prit la route pour rentrer chez elle. Conformément au scénario, la maghrébine devait quitter le lieu du tournage pour ne pas que son chien soit trop attiré par elle, mais surtout pour qu'elle ne soit pas trop tentée de s'offrir à son chien qui avait encore une scène à tourner. Stacy attendit quelques minutes avant de desserrer les fesses et ainsi permettre au doberman de se retirer enfin. L'animal se rua vers la porte d'entrée qu’il se mit à gratter en gémissant. La belle rousse prit le chien par la laisse, puis elle fit preuve d'une grande douceur dans ses mots lorsqu'elle s'adressa à lui.

    – Alors, mon beau… Ta maîtresse te manque déjà ? Pourtant, tu viens de passer plus d'une heure à te la taper ! En plus, tu m'as sodomisée juste après. C'était pas bon de me prendre par derrière ? Tu as peut-être envie d'une autre femme... Allez, viens mon grand : j'ai une nouvelle femelle à te faire essayer...

    En tirant délicatement sur la laisse, Stacy réussit à faire comprendre au chien qu'il devait la suivre. La jeune femme et son récent amant anal se dirigèrent vers l'endroit où devait se trouver Ève ; mais le box n'était occupé que par Max qui se reposait après avoir été visiblement très sollicité sexuellement. En tendant l'oreille, la belle rousse entendit des gémissements provenir du box de Sultan, dont elle se rapprocha pour y découvrir un drôle de spectacle : le dogue allemand était allongé sur dos, et pendant que la belle burne lui prodiguait une fellation, un berger allemand était en train de la sodomiser.

    – Eh bien ! Je ne pensais pas qu'un mâle dominant accepte encore de vous prendre !
    – Hmmmm... Oh, vous êtes de retour ?! J'ai mis vos conseils en pratique, c'est tout.

    Ève stoppa sa fellation puis elle remonta son pantalon jusqu'à ses cuisses et profita d'un coup de reins un peu trop en arrière de son partenaire anal pour couvrir ses fesses. La doyenne quitta le box, qu'elle prit soin de bien verrouiller puis elle expliqua sa manœuvre à Stacy.

    – Je me suis dit qu'un mâle dominant allait certainement chercher à poser sa semence par-dessus celle d'un autre mâle.
    – Oui, c'est exact ; mais vous êtes une procréatrice : une fois honorée, les mâles ne s'intéressent plus à vous.
    – Sauf les dominateurs ! Celui de tout à l'heure n'a pas réussi à me faire crier de douleur ; alors il s'est acharné encore et encore sur moi. J'ai attendu patiemment qu'il déverse toute sa semence dans mon corps en espérant que son odeur soit plus forte que la mienne.
    – Tiens, je n'y avais jamais pensé... Ça a marché ?
    – Mieux que prévu ! À peine entrée dans ce box, ce chien m'a sauté dessus et m'a sauvagement baisée !
    – Baisée ?
    – Oh oui ! Et le mot est faible ! Cet animal est un amant extrêmement fougueux ! Il s'est activé comme un fou sur mon dos alors que j'étais encore habillée. J'avais à peine descendu mon pantalon qu'il a aussitôt réussi à se frayer un passage en décalant mon string avec son sexe. Ensuite il m'a prise pendant une bonne dizaine de minutes avant de faire passer son nœud. J'étais au septième ciel ; et quand j'ai regardé devant moi, j'ai vu ce berger allemand qui cherchait à entrer avec nous. J'ai laissé le dogue allemand se libérer tout seul, j'ai remonté mon pantalon et j'ai ouvert la grille au nouvel arrivant.
    – Et lui aussi s'est jeté sur vous ?
    – Oui ! Il m'a faite tomber à quatre pattes, et s'est lui aussi mis à envoyer des coups de reins pendant que j'étais encore habillée. J'ai voulu descendre mon string en même temps que mon pantalon, mais il s'est glissé dans le premier trou de libre.
    – Un berger allemand, mâle dominant de surcroît, a sodomisé une procréatrice déjà pleine... Je sens que vous allez m'aider à améliorer mon travail. Voyons si vous êtes aussi irrésistible que vous le prétendez. Ce chien est un doberman ; il a la particularité d'être sodomite, et c'est un mâle alpha.
    – Oh ! Donc, si je m'accouple avec lui, il va essayer de me mettre enceinte. C'est ça ?
    – Je n'en suis pas sûre ; à la base, vous êtes une procréatrice et il y a déjà trois chiens qui vous ont honorée.
    – Quatre ! J'ai eu un rapport avec mon rottweiler avant de venir vous voir. Oh ! Et mon mari est passé juste après mon chien ; mais je ne crois pas que le sperme humain soit pris en compte.
    – Très bien ; venez avec moi dans mon cabinet : nous allons voir si vous êtes assez résistante pour votre sixième accouplement de la journée.
    – D'accord, mais pour mes deux partenaires, je fais quoi ?
    – Ne faites plus rien ; je repasserai un peu plus tard pour m'assurer qu'ils ont bien comblé tous leurs désirs.

    Les deux femmes retournèrent ensemble dans le cabinet qu'avait aménagé la belle rousse. Une fois sur place, il ne fallut pas longtemps à Médor pour s'intéresser d'un peu plus près à cette nouvelle femelle. Stacy fut un peu vexée de constater qu'elle n'était pas du tout intéressante pour cet animal, mais elle n'eut qu'à repenser au plaisir d'avoir éjaculer sur Leïla pour retrouver le moral.

    – Veuillez vous mettre toute nue et asseyez-vous sur cette table, s'il vous plaît.

    Ève s’exécuta et dévoila son corps magnifiquement conservé pour la première fois depuis le début du film, puis elle posa ses fesses sur le métal de la table d'auscultation et écarta machinalement les cuisses, dévoilant ainsi son sexe parfaitement épilé qui ruisselait de sperme animal.

    – Eh bien… On peut dire que vous en avez eus, des partenaires, aujourd'hui.
    – Oui : il y a entre mes cuisses le sperme d'un rottweiler, d'un homme, d'un beauceron et d'un dogue allemand. Mais j'ai aussi dans les fesses le sperme d'un homme et celui d'un berger allemand.
    – Je suis contente de savoir que votre mari vous prend par derrière.
    – Le sperme que j'ai dans les fesses n'est pas celui de mon mari.
    – Parce que vous êtes infidèle, en plus ?!
    – Pas vraiment, mais j'ai dû faire don de mon corps à un homme qui cherchait son chien. Pour ne pas qu'il ait de doutes, j'ai préféré me faire sodomiser et ainsi éviter des questions embarrassantes.

    Ce dialogue n'était absolument pas prévu au scénario, mais Ève avait elle aussi décidé d'improviser pour ajouter encore un peu de perversion à cette production. Adam savait que sa compagne mentait, mais l'image de sa partenaire en train de se faire sodomiser dans le parc par un inconnu pour que Stacy puisse profiter de son chien pendant ce temps-là l'excita au plus au point. La rouquine reprit la parole pour donner des consignes à la belle brune.

    – Très bien ; j'ai maintenant la preuve que vous êtes bien une procréatrice, mais surtout que vous avez déjà été remplie... Et même bien comme il faut !
    – Oui, mais je suis sûre que je peux accueillir encore un peu de sperme.
    – C'est ce que nous allons voir. Mettez-vous à quatre pattes.

    Ève obéit et prit la position de la levrette pendant que le doberman tirait de plus en plus sur sa laisse pour s'approcher de cette femelle qu'il connaissait bien. Dans cette position, les magnifiques fesses de la doyenne laissaient voir qu'elle avait subi une récente sodomie. Son orifice anal n'était pas complètement refermé ; l'animal profita de cette opportunité pour y planter son sexe juste après que la belle rousse l'eut lâché. Satisfaite des performances de son actrice, Stacy reprit la parole pour lancer le dernier dialogue du film.

    – Eh bien ! J'ai appris grâce à vous qu'une procréatrice qui prend du plaisir avec un dominateur devient une femelle indécanidable.
    – Une quoi ?
    – C'est une catégorie que j'ai cru rencontrer une fois dans ma carrière : il s'agit d'une femme qui attire tous les mâles et dont le déroulement de l'accouplement ne serait régi que par la race du chien. J'aimerais approfondir mes recherches ; accepteriez-vous un poste d'assistante ? Votre travail consistera à vous faire monter par les différentes races de chiens qui me sont amenés, et vous pourrez utiliser ma salle de bain parfaitement hermétique pour vous refaire une beauté et ainsi combler les attentes de votre mari.
    – OH OUI !!!

    Les cris de jouissance mélodieux que produisait jusqu'à présent la belle brune firent place à un hurlement de plaisir lorsque l'animal fit passer son nœud à travers le corps de sa partenaire. Le générique de fin serait un montage de Stacy en train de s'occuper du berger allemand et de Sultan, mais aussi d’Ève en plein ébat avec le dalmatien, puis enfin un autre plan où elle serait rejointe sous la douche par Adam. Stacy demanda à son associé de laisser apparaître un message à la fin de son film qu'elle voulait dédier à tous ses fans :

    « J'espère avoir fait naître en vous un désir de compréhension et d'acceptation pour cette magnifique pratique qu'est l'amour canin. Aucun animal ni aucune femme n'a été maltraité durant ma carrière. Je me retire à présent du milieu cinématographique pour profiter de ma vie et m'offrir à mes chiens sans aucune restriction. J'espère que vous avez pris autant de plaisir à visionner mes films que j'en ai eu pour les réaliser.

    Passionnément canine, 

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Étudiante à Paris, brune aux cheveux longs et aux yeux verts, 1m 68 pour 48kg, j'étais considérée comme une très belle fille, voire un "canon".
    J'avais largué mon mec depuis quelques mois pour cause de mésentente et aussi parce que je m'étais rendu compte que je ne l'aimais pas, tout simplement.
    Mais être étudiante à Paris, dans son petit studio de 16m2 à 700€/mois, même avec des parents qui vous aident, c'est pas évident quand on n'a pas de revenus.
    En gros, j'étais dans la dèche constamment, d'autant que j'ai toujours été très dépensière pour tout ce qui est fringues, chaussures et autres produits de beauté.

    Je plaisais aux hommes, c'est sûr, mais je m'étais également rendu compte que je ne laissais pas indifférente les femmes. Et j'avais d'ailleurs eu comme tout un chacun quelques aventures avec des filles de mon âge au lycée et au cours de ma première année d'études supérieures, histoire de tester. Cela ne m'avait pas déplu, bien au contraire, même si c'était resté très soft et qu’à chaque fois c'était ma partenaire qui avait pris les choses en main, depuis la drague jusqu'au passage à l'acte ; donc, j'avais plus subi qu’agi, été plus passive qu’active. Mais être ainsi caressée par une femme qui savait comment caresser et lécher pour provoquer un émoi était, je dois le dire, fort agréable. Cela n'avait jamais été plus loin que des caresses, embrassades langoureuses avec la langue, excitation de mes seins et cunnilingus.

    J'avais une copine à Paris, étudiante en esthétique, assez jolie qui, elle, n'était jamais dans la dèche. Un jour, nous avons discuté de nos situations respectives, ou plus exactement de mes problèmes d'argent. Et là, je faillis tomber de ma chaise lorsqu’elle m'expliqua pourquoi elle n'était jamais à court d'argent. Je savais qu'elle travaillait en plus de ses études, mais elle ne m'avait jamais dit en quoi consistait son travail. J'avais juste remarqué que celui-ci ne lui prenait pas beaucoup de temps et devait être très rémunérateur.
    Mais de là à imaginer qu'elle était Escort-Girl...! 
    Je lui dis que je ne pouvais imaginer de coucher avec des hommes inconnus, que j'aurais l'impression de m'abaisser physiquement et psychologiquement et que j'aurais trop peur de tomber sur des malades ! De plus, je réservais ces faveurs à mon futur Prince charmant qui me ferait des enfants et avec qui je serais forcément très heureuse !
    Mieux valait pour moi aller bosser au Mc Do du coin à 10€ de l’heure…
    – Mais non ! me dit-elle ; je ne couche pas avec des hommes ! Je couche avec des femmes qui me paient pour cela !
    Ah bon ? Ça existe, des femmes qui paient pour coucher avec d'autres femmes ? Voilà quelque chose que j'ignorais ! Il faut dire que je ne suis pas une pro du sexe !
    – Et comment fais-tu pour rencontrer ces femmes ?

    C'est là qu'elle m'expliqua qu'elle travaillait en tant qu'esthéticienne dans un institut de beauté du 8ème arrondissement et que sa patronne avait remarqué que de nombreuses femmes, que ce soit des working girls ou des vieilles peaux, venaient autant pour le plaisir des soins prodigués que pour le plaisir de se faire caresser par son équipe de jolies esthéticiennes ou de les mater. Et que certaines avaient carrément fait des avances à ces jolies demoiselles qui, pour la plupart, avaient... accepté ! Il faut dire que recevoir 200€ de l’heure pour se faire faire un cunnilingus ou se mettre nue devant sa cliente avait de quoi perturber les convictions de ces charmantes esthéticiennes payées un peu plus que le SMIC !
    La patronne avait rapidement repéré le filon et organisé ce petit commerce de charme, tout en respectant l'intérêt et la liberté des filles puisqu'il n'y avait aucune obligation à exercer cette activité parallèle pour ses esthéticiennes et qu'elle ne conservait qu'une commission de 20%, ce qui est bien loin des us et coutumes de la profession qui seraient plus proches de l'inverse !
    Elle avait même monté un site internet présentant ces charmantes demoiselles en tenue légère et le Tout Paris des goudous et hétéros fortunées en mal de nouvelles expériences s'était refilé l'adresse !
    Bref, c'était un commerce florissant !

    Tellement florissant d'ailleurs que la patronne s'était rapidement rendu compte que ses cinq esthéticiennes n'arriveraient jamais à satisfaire la demande, sachant qu'il fallait en plus continuer à faire tourner l'institut ! Il n'y a pas de petit profit ! Et, de plus, c'était une fabuleuse couverture, même si la patronne ne s'était jamais considérée comme une mère-maquerelle mais plus comme rendant service tant à ses filles qui pouvaient ainsi arrondir très largement leurs fins de mois qu'à ses clientes qui n'en étaient que plus fidèles. Certaines cabines étaient d'ailleurs exclusivement réservées à ces parties de jambe en l'air…

    Elle avait donc missionné ses filles esthéticiennes – dont ma copine – pour recruter de nouvelles filles, forcément très jolies et très ouvertes d'esprit, voire exclusivement lesbiennes, ce qui serait le top.

    Donc, notre conversation tombait à pic, ma copine me sachant dans la dèche, sans mec et ayant déjà eu des relations homo ! Et en plus, canon, dixit la majorité des gens de tous sexes que j'ai croisés. 

    Elle me proposa donc de me mettre en relation avec sa patronne sans tarder, bien que je fusse malgré tout fort hésitante à passer à l'acte, moi, de nature plutôt pudique et catholique de surcroît ! 
    – Et si la "cliente" ne me plaît pas ?
    – Tu peux bien sûr refuser, ou n'accepter que certains actes sexuels et pas d'autres, me dit-elle en me vantant toutes les femmes, belles et moins belles, jeunes et moins jeunes qu'elle avait déjà rencontrées dans le cadre de son "activité".

    24 heures plus tard, je recevais un appel de sa patronne m'invitant à la rencontrer sans tarder dans son institut du 8ème arrondissement, ce à quoi je répondis oui sans hésiter, ayant reçu dans l'intervalle mon dernier relevé de banque... dans le rouge !

    Et me voilà devant une charmante femme de 55 ans, bien sous tous rapports, très BCBG et à qui on donnerait le bon dieu sans confession qui m'invite à passer dans son bureau.
    Son regard me déshabille de la tête aux pieds en un clin d'œil ; ses premières paroles sont pour me dire qu'elle me trouve superbe ! Ouf… Premier examen réussi ! Puis elle commence à me poser plein de questions sur ma vie sexuelle. Suis-je en couple ? Non, j'ai largué mon mec ! Déjà eu des relations avec des filles ? Bah oui, sinon je ne serai pas ici ! Donc bi ? A priori ! Est-ce que je me masturbe ? Oui, ça m'arrive de temps en temps ! Est-ce que j'ai déjà été godée ? Oui ! Est-ce que j'ai des godes chez moi ? Non ! Vous n'y pensez pas… Si ma mère voyait ça ! Est-ce qu'on m'a déjà fait un cunnilingus ? Oui ! Est ce que ça m'a plu ? Oui ! Est-ce que j'en ai pratiqué ? Oui, une fois. Est-ce que ça m'a plu de donner du plaisir ? Oui, bien sûr ! Est-ce que j'aime l'anulingus ? Le quoi ? Ah oui, une de mes amies me l'avait fait ainsi que mon ex, et c'est vrai que cela m'avait bien excitée ! Est-ce que j'ai déjà été sodomisée ? Non ! Jamais ! Et doigtée ? Non plus : moi j'y tiens, à mon petit ! Est-ce que j'aime la fessée ? Euh, pas spécialement ! La dernière date de… je ne m'en rappelle plus trop, même si mon ex aimait bien me tapoter les fesses. Mais c'est pas pareil !
    Je crois que je suis en train de foirer mon entretien ! 

    – Déshabille-toi ! Je veux te voir complètement nue !
    « OK, OK ; tout n'est pas perdu ! Malgré ta pudeur, penses à ton banquier ! » me dis-je intérieurement. Et je m'exécute, non sans un peu de honte, bien que ce soit une femme devant moi et que cela me gêne moins ; mais je vois bien qu'elle m'observe, ou plutôt observe mes formes ! Il faut dire que j'ai un joli cul, deux petites pommes bien fermes (je fais de la danse et de la natation) et des seins qui ressemblent à deux petits obus, en forme de poire.

    Me voilà nue devant elle qui se lève et vient me caresser ! Premières sensations de mon "futur métier" d'escort-girl pour femme pas désagréable ! Elle me dit que je suis plutôt passive ! Oui, c'est pas faux, et de plus je suis de nature assez timide ! Elle n’est pas trop sûre que je fasse l'affaire, car un peu trop pudique. Si, si, je vous promets ! Je me lâcherai un peu… Mais que j'ai vraiment un beau corps et un très beau visage et que, par conséquent, on va quand-même tenter le coup car elle a absolument besoin de nouveaux et beaux visages ! Yes !!!! C'est tout bon. Et tout en entendant ces belles paroles, elle continue de me caresser, notamment au niveau de l'entre-fesses tout en mouillant son doigt. D'un seul coup, je sens quelque chose entrer en moi, mais pas là où je l'attendais ! Je frémis ! Mon Dieu… Me voilà doigtée ! Bon, ça va, c'est pas si terrible. Penses à ton banquier !
    Puis elle me dit qu'elle va prendre des photos de moi en petite tenue pour les mettre dans son catalogue et sur son site internet (pourvu que Maman ne tombe pas dessus !) et qu'ensuite, elle m'offre une épilation intégrale réalisée par sa meilleure esthéticienne ! Chouette ! Voilà déjà ça de moins à payer ! Et qu'elle reprendra contact avec moi dès qu'elle aura une cliente potentielle. OK, OK.

    48 heures plus tard, je reçois un SMS m'invitant à me rendre à une adresse dans le 16ème le lendemain à 12h30. Pour une heure, soit 200 €. « Cool ! » me dis-je ! Rapidement, je sens une certaine appréhension monter en moi. Que va-t-il m'arriver ? Ca y est, on ne rigole plus ! C'est une cliente ! J'appelle ma cops qui m'a mise dans cette galère ! « Tu voudrais pas prendre ma place par hasard ? Et on partage, bien sûr ! » me dis je intérieurement.
    – Cool ! me dit ma copine. C'est une femme d'une cinquantaine d'années, qui tient une grosse agence immobilière, toujours collée à son téléphone et qui attend juste qu'on lui fasse un cunni. Tu devrais t'en sortir haut la main ! Et si tu veux venir t'entraîner sur moi, tu es la bienvenue !
    – Ah ? Je n'y avais pas pensé… Mais bon, j'ai des cours cet aprèm et ensuite il faut que je révise mes partiels : donc pas le temps. Une autre fois ! Et puis, je devrais m'en sortir, comme tu dis !

    Le lendemain est arrivé, après une nuit agitée non pas d'un point de vue sexuel (calme plat), mais difficile de trouver le sommeil !
    Et me voilà partie pour mon premier rendez-vous en tant qu'Escort-Girl Lesbienne...
    J'arrive devant l'adresse indiquée. Ah oui, ma copine ne s'est pas trompée : c'est bien une agence immobilière. Je ne m'attendais pas à avoir rendez-vous là, mais plutôt chez elle ou dans un hôtel ! On va quand même pas faire ça au milieu de l'agence…
    « Bon, prenons notre courage à deux mains et entrons ! » Je me présente à la première personne sur qui je tombe, assise derrière son bureau qui se situe face à la porte d'entrée, avec de chaque côté deux autres bureaux, malheureusement occupés par d’autres secrétaires. Bon, comment lui-dire que j'ai rendez-vous avec sa patronne pour lui faire un cunni ? 
    C'est elle la première qui me dit « Puis-je vous aider ? »
    – Oui, certainement : j'ai rendez-vous avec votre boss. 
    – Oui ; vous êtes Mademoiselle ???
    – Je suis Sophie.
    – Et c'est à quel sujet ?
    Ah, ça se complique…
    – C'est personnel ; elle attend ma visite.
    Je sens trois paires d'yeux braqués sur moi, qui me dévisagent de la tête aux pieds avec des sourires en coin. Je me sens rougir… « Penses à ton banquier ! »
    – OK, je la préviens ! (encore heureux : c'est ta boss, après tout…)
    – Madame, votre rendez-vous de 12h30 est arrivé. Puis, s'adressant à moi : Madame vous demande de patienter cinq minutes. Asseyez-vous ici en attendant.
    Et me voilà assise au beau milieu de l'agence, avec trois filles qui ont les yeux rivés sur moi plutôt que de bosser, avec en permanence des sourires en coin !
    Au bout de sept minutes d'attente, le téléphone sonne à nouveau. La secrétaire raccroche et me dit que "Madame" m'attend dans son bureau au bout du couloir. 
    Non sans une certaine appréhension, je me dirige vers la porte indiquée qui est fermée. Je toque.
    – Entrez !
    Je m'exécute.
    – Fermez la porte !
    Je me re-exécute.
    – Retirez votre manteau !
    Je me re-re-exécute.
    – Approchez !
    Je me re-re-re-exécute !

    Je m'approche d'une femme blonde aux cheveux courts, assez bien conservée, assise dans son fauteuil derrière son bureau en train de m'observer de haut en bas. Une fois à ses côtés, je vois sa main se diriger sous ma robe pour aller directement tâter mes fesses puis les peloter. Bon, nous y voilà ! Elle me tend une enveloppe de l'autre main que je mets... Où puis-je bien la mettre ? Je n'ai pas de poche sur cette robe, et mon sac et mon manteau sont sur le fauteuil en face. Bon, OK : je la lance en espérant qu'elle atterrisse sur le fauteuil. Yes ! Bien joué ! 

    Entretemps, sa deuxième main s'est également glissée sous ma robe mais côté face, et commence à se frotter contre mon sexe. Houlà… Ca commence fort ! Puis elle me relève ma robe et, tout en fixant mon string rouge, me demande de me tourner.
    – Superbe… me dit-elle en me donnant de petites claques sur les fesses. Déshabille-toi ! Ne conserve que tes bas et tes escarpins.
    Je déboutonne le dos de ma robe qui tombe à mes pieds, dégrafe mon soutien-gorge et abaisse mon string. Me voilà totalement nue devant cette femme que je ne connaissais pas il y a cinq minutes. Bon, et maintenant ? C'est quoi le programme ?
    Elle se lève, me fait tourner sur moi, en profite pour me redonner des claques sur les fesses (décidemment, c'est une manie chez elle !) me dit que j'ai un cul splendide et des seins magnifiques (merci Madame !) puis entre sa langue dans ma bouche tout en commençant à me caresser les seins. Bon, le baiser, je ne m'y attendais pas : c'est pas des plus agréables, mais il faut bien donner le change ; donc je laisse sa langue jouer avec la mienne. Rapidement, sa bouche descend sur mes seins qu'elle commence à lécher avant de les mordiller. Elle s'y prend plutôt pas mal à ce niveau-là, me dis-je.
    Après m'avoir mordillé les tétons, elle s'éloigne un peu de moi et commence à me mater en me faisant tourner sur moi-même. Elle semble apprécier et se rince l'œil : c'est déjà ça !
    – À toi de me donner du plaisir ; mets-toi à genoux sous le bureau : tu vas me lécher la chatte !
    Ah, le fantasme de la secrétaire sous le bureau… Je croyais que c'était réservé aux hommes ! 
    Me voici à genoux sous son bureau ; elle rapproche son siège et je sens sa main sur ma tête qui me force à aller toucher son sexe sous sa jupe. Et la culotte ? Ah ! Il n'y en a pas. C'est vrai que c'est plus simple ainsi… 
    Je commence donc avec ma langue à lui lécher ses grandes lèvres avant de passer aux petites et à son clito.
    – Encore ! Encore ! me dit-elle. 
    Oui, oui ; c'est ce que je fais, tout en commençant à mettre un doigt, histoire de l'exciter davantage. En tout cas, moi, quand mes copines me mettaient des doigts, cela m'excitait ! Je sens qu'elle mouille : ça a l'air de marcher !
    De plus, elle n'arrête pas de m'appuyer la tête sur elle ; elle doit vraiment être excitée !
    Au bout de cinq minutes, elle me relâche la tête et me dit que sucer n'est pas ma qualité première. Ah, zut ! Moi qui croyais qu'elle avait eu du plaisir… Bon. Elle va me foutre dehors ?
    – J'espère que tu es une bonne jouisseuse ! me dit-elle. Relève-toi et viens t'allonger en travers de mes genoux !
    Ouf ! Je ne suis pas mise dehors ! Je m'exécute, non sans une certaine gêne à me retrouver ainsi nue en travers de ses cuisses. Je sens ses mains qui commencent à me caresser les fesses puis, rapidement, qui se dirigent vers mon sexe, le caressent, puis un doigt qui commence à s'immiscer dans mon vagin pendant que l'autre essaie d'exciter mon clito.
    Je commence à mouiller sérieusement…
    Sa main remonte vers mes fesses pendant que l'autre me caresse les épaules et le cou.
    D'un seul coup, voilà qu'elle commence à me donner quelques claques sur chacun des lobes de mes fesses que je sens rougir, bien que ce soit très soft. Puis cela s'arrête et, d'un seul coup, je sens un doigt humidifié qui commence à venir titiller ma raie, et plus précisément mon petit trou ! C'est vrai que cela m'excite, même si – a priori – je ne suis pas fan… Mais bon, je ne peux pas le lui dire, sinon elle risque de me mettre dehors ! Et ce doigt, que je sens de plus en plus… Je sens que mon petit, tout excité, est prêt à l'accueillir !
    Le téléphone du bureau sonne. Elle ne va pas répondre, quand-même ? Si ! Elle décroche et commence à discuter de je ne sais quoi tout en continuant de me caresser les fesses et de me titiller le petit. Et moi, toujours installée au travers de ses cuisses à ne pouvoir rien faire d'autre que subir… Et la conversation qui dure, qui dure ! Et d'un seul coup, je sens quelque chose entrer en moi par le petit, mais ce n'est pas un doigt ! Et il s'enfonce, s'enfonce… Je tourne la tête pour tenter d'apercevoir ce qui se passe : je vois le haut d'un stylo qui trône sur mes fesses. J'en conclus que le reste du stylo est en moi ! Mais je ne peux rien dire, d'autant qu'elle est toujours en pleine conversation téléphonique ! Et qu'elle joue avec le stylo en le faisant tourner sur lui-même tout en me caressant les fesses et le sexe, ce qui n'est pas complètement désagréable, bien au contraire…
    Au bout de quinze minutes de conversation téléphonique, elle se décide enfin à raccrocher mais recompose de suite un autre numéro et demande à sa secrétaire de venir lui apporter un dossier urgent. Je n'y crois pas ! Sa secrétaire ne va quand-même pas se pointer dans le bureau alors que je suis fesses à l'air sur les cuisses de sa boss ? Sa secrétaire qui me dévisageait avec ses collègues quand je suis arrivée… Et moi qui suis on ne peut plus pudique ! 
    Toc ! Toc ! Toc !
    – Entrez ! Vous m'avez apporté le dossier ? Venez ! Je dois le signer de toute urgence et vous le faites partir immédiatement par coursier.
    La secrétaire s'approche du bureau pour se retrouver juste à côté du fauteuil de sa boss, avec vue imprenable sur ma malheureuse personne totalement nue... Je sens son regard lorgner sur mes fesses.
    – Elle a un joli cul, n'est-ce pas ? dit sa boss tout en continuant de me caresser.
    – Superbe, en effet ! lui répond sa secrétaire.
    Je n'y crois pas… Voilà que maintenant elles devisent sur les qualités esthétiques de mon postérieur ! Elle ne va quand même pas me proposer un plan à trois ? J'imagine ce que sa secrétaire va raconter à ses collègues ensuite...
    – Voilà, c'est signé : vous le faites partir maintenant par coursier !
    – Bien, Madame ! dit sa secrétaire qui reprend le dossier et quitte le bureau.
    Ouf !
    – Ne t’inquiète pas ! me dit la boss une fois qu'elle est partie. Ce n'est pas la première fois qu'elle voit une fille à poil dans mon bureau, ni la dernière. Et en plus, je suis sûre que ça t'a excitée d'être exhibée ainsi… Petite cochonne ! Quand on a un aussi joli cul que le tien, on le montre.
    Et voilà qu'elle se remet à me donner une fessée.
    Puis elle me demande de me relever et de venir m'allonger sur son bureau.
    Enfin, je change de position ! Comme d'habitude, j'obéis et me retrouve quasi allongée sur le bureau, les pieds ne touchant presque pas le sol.
    Elle, toujours assise dans son fauteuil, se rapproche de moi, écarte mes jambes et les lève afin de les mettre sur ses épaules.
    Elle commence à me faire un cunni qu'elle maîtrise décidément à merveille, car rapidement l'excitation me vient. Elle me fourre un doigt, puis deux dans le vagin et commence un va-et-vient incessant qui me comble. Je réagis très vite et très bien.
    – Tu aimes !
    Oui, c'est vrai : je suis vraiment excitée !
    D'un seul coup, elle arrête, se redresse, retire mes jambes de ses épaules et me retourne comme une crêpe.
    Me voilà buste contre bureau, les pieds au sol, fesses offertes.
    Décidément, elle a une passion pour mes fesses !
    Et la voilà qui démarre un anulingus qui m'excite lui aussi, ce qui fait qu'elle n'a aucun mal à m’enfiler un, puis deux doigts dans mon petit ! Avec, de temps en temps, une petite tape sur les fesses.
    – Détends-toi !
    C'est ce que je fais… Après quelques coups de langue supplémentaires et de jolies caresses, elle se redresse et s'éloigne du bureau.
    – Tu peux te rhabiller ! J'aime bien ton côté soumise. La prochaine fois, ce sera chez moi et je t'attacherai.
    Ah ! Donc, il y aura une prochaine fois, ce qui signifie que je ne l'ai pas complètement déçue ! Et elle veut m'attacher… Ça, on verra ! Je ne me sens prête. Mais bon, pourquoi pas essayer, après tout ? Il faudra quand même que j'en parle à ma copine avant pour savoir si elle l'a déjà fait.
    Je me relève, ramasse rapidement mes sous-vêtements afin de me rhabiller ; je remets ma robe et avant que j'aie remis mon manteau, elle se rapproche de moi et me roule une pelle alors que je ne m'y attendais pas, tout en passant ses mains sous ma robe et tapotant mes fesses.
    – Merci, Madame.
    Je remets mon manteau et sors du bureau. Bon, maintenant, va falloir affronter les trois mégères de l'accueil pour pouvoir sortir... 

     

    Revenue dans mon petit studio après cette première expérience d’Escort-Girl pour femme, j’étais restée assez longuement sous la douche, réfléchissant à ce que je venais de faire ! Une femme m’avait baisé contre de l’argent et j’avais joui car elle avait réussi à me donner du plaisir ! Donc a priori, j’étais plutôt chanceuse mais j’avais malgré tout un peu honte de ce que je venais de faire. Je n’avais pas trop apprécié la fessée, surtout la position qu’elle m’avait demandé de prendre pour la recevoir, en travers de ses genoux !
    Et puis, ces 3 jeunes mégères dont une m’avait vu dans une position peu enviable, cela m’énervait profondément, moi d’habitude si pudique ! Bon, c’est vrai que la petite enveloppe que « Madame » m’avait donné me permettait d’encaisser (c’est le cas de le dire !) certains de ces désagréments. J’avais gagné 200 € (moins évidemment la commission de 20% pour ma Patronne) pour une petite heure de « travail » et cela allait bien m’aider et redonner le sourire à mon banquier…
    Évidemment, à peine rentrée chez moi, j’avais reçu un appel téléphonique de ma copine qui voulait savoir comment mon premier RdV s’était passé. Sans trop rentrer dans les détails car un peu honteuse, je lui dis que c’était un peu plus qu’un simple cunnilingus, que cette cliente avait à priori fait une fixette sur mon cul et qu’elle m’avait parlé de me revoir pour, ce coup-ci, m’attacher, ce qui ne me rassurait pas trop !
    Ma copine me dit que même si cette cliente ne l’avait jamais attachée, elle avait pratiqué cela avec une autre cliente et qu’être attachée tout en se faisant baiser avait décuplé son plaisir ! Et que je devais plutôt me réjouir ! Ah ? Vraiment ? Bon, il faut que j’y réfléchisse !
    Allongée sur mon lit, je sommeillais lorsque mon I-Phone se mit à sonner. C’était ma Patronne qui venait elle aussi aux nouvelles en cette fin de journée. Comment avais-je vécu ma première expérience ? Ben, honnêtement, je ne m’attendais pas à cela ! Est-ce que cela m’avait plu ? Oui et non ! (je sais, c’est une réponse de normande mais j’ai pas mieux !). Puis elle me précisa que la cliente l’avait appelé à l’issu du RdV et qu’elle lui avait dit qu’elle m’avait trouvé très à son goût (oui, j’avais remarqué), vraiment très jolie (n’en jetez plus, des compliments !) et plutôt soumise (peut-être mais j’ai pas vraiment eu le choix !), ce qui confirmait ce qu’elle avait pensé lors de notre première rencontre (Bon, OK, vous avez gagné, je suis plutôt passive mais pas soumise pour autant ; du moins, je ne pense pas). Elle me précisa également que cette cliente m’avait « rebooké » pour une séance de 3 heures dans 3 semaines ! Ah ! Nous y voilà ! La séance attachée, c’est pour dans 3 semaines ! Bon, nous verrons bien d’ici-là ! me dis-je intérieurement.
    La bonne nouvelle étant que 3 heures de travail, cela signifiait également 450 € dans la poche (moins évidemment la commission, mais cela fait des sous quand-même !). Oui, malheureusement, 3 heures, cela ne fait pas 600 € car même en Escorting, il y a un tarif dégressif ! 200 € / 1 heure ; 350 € / 2 heures ; 450 € / 3 heures ; 800 € pour une nuit et 1500 € pour 24 heures.
    En poursuivant la conversation, ma Patronne m’informa que mon profil plaisait énormément à ses clientes et qu’elle était submergée de demandes me concernant. Bien évidemment, il s’agissait pour moi d’une activité connexe à mon statut d’étudiante et il n’était pas question que je m’y consacre à plein temps. Nous convînmes d’un rythme de 3 RdV hebdomadaires (soit un minimum de 600 € / semaine pour moi, soit 2400 € / mois. Yes !). Elle m’informa alors que compte-tenu de cette demande, elle avait décidé de « me réserver » pour ses meilleures clientes ! Ah oui ? Moi qui ne suis pas une adepte des cartes de fidélité en tout genre, voilà que je devenais la récompense ultime de ces clientes « Gold »…Et que d’ailleurs, une de ses très bonnes clientes, une jeune working girl de très belle allure, m’avait « booké » 2 heures le lendemain soir et que j’avais RdV à 22 heures au bar du Plaza-Athenee, avenue Montaigne. Yes ! Encore 350 € dans mon escarcelle ! me dis-je intérieurement. Tout en me demandant malgré tout sur qui j’allais tomber cette fois-ci et ce qu’elle me ferait subir mais tout en me réjouissant d’avoir affaire à une jeune femme…
    Après avoir raccroché avec ma patronne, je décidais d’appeler ma copine afin d’en savoir plus sur cette séduisante working-girl. Je tombe malheureusement sur sa messagerie, en déduis qu’elle doit être « au travail » et lui demande de me rappeler sitôt son RdV fini, en espérant qu’elle ne soit pas partie pour un RdV de 3 heures ou d’une nuit entière.
    En attendant son rappel, je décidais d’aller consulter le site internet afin de voir comment j’y étais présentée et si les photos me concernant rendaient bien et n’étaient pas trop salaces. Après avoir confirmé sur la page d’accueil que, oui, j’avais bien plus de 18 ans, je tombais sur une page représentant une dizaine de visages de filles, toutes plutôt mignonnes, voire très jolies. Il y avait là les 5 esthéticiennes de l’institut, ma copine, 2 autres visages que je ne connaissais pas et puis enfin ma photo ! J’étais assez fière de cette photo, très réussie de mon visage, avec mon plus beau sourire !
    En passant le curseur sur mon visage, je pouvais cliquer pour aller à une autre page présentant « mon profil », ce que je fis immédiatement. Sur cette page étaient inscrits mon prénom, ma taille, mon poids, mes mensurations (90C), la couleur de mes cheveux et de mes yeux ainsi qu’une mention précisant mon caractère « réservée, passive et plutôt soumise ». Puis les services que je proposais : DFK (tiens, c’est quoi ça, DFK ; je ne me souviens pas avoir mentionné cela lors de ma conversation ou plutôt interrogatoire avec ma patronne ; une petite recherche sur Google me précisa qu’il s’agissait là du Deep French Kiss, soit embrasser avec la langue ; ah oui, j’avais dit OK), cunnilingus, annulingus, goder, être godée (recto, verso)(Verso ? Euh, là, il va falloir que j’en rediscute avec ma patronne), doigtée (ma patronne a dû considérer qu’ayant accepté son doigt, je les accepterai tous, ce qui finalement n’était pas complètement faux, maintenant que j’ai même eu droit à un stylo !), fessées (Ah, d’accord ! Il fallait que je m’attende à en recevoir encore quelques unes bien qu’il me semblait lui avoir dit lors du premier RdV que je n’en avais pas reçu depuis longtemps mais elle a dû prendre cela comme un manque de ma part ! Elle a vite fait de prendre des raccourcis, ma Patronne, ou plutôt ses désirs pour des réalités), soumission soft ( Là encore, elle a dû me cataloguer lorsqu’elle m’a dit que j’étais de nature soumise mais je ne pensais pas qu’elle en aurait conclu que j’étais OK pour des jeux de soumission, même si ils sont softs. Il fallait que je m’attende encore à avoir des clientes plutôt directives et des RdV du même acabit que celui de ce midi). Ensuite il y avait plusieurs photos de moi en petite tenue, debout, allongée sur un canapé, jambes écartées, à 4 pattes, enfin dans des positions sans équivoque quant à l’activité que je proposais.
    Pas à dire, j’étais devenue une pute ! Certes, une pute un peu particulière car exclusivement dédiée au plaisir féminin ; certes, une pute de luxe car à 200 € de l’heure ; mais une pute quand-même ! Cela ne me grandissait pas beaucoup pensais-je…
    Mon I-Phone se mit à sonner ; c’était ma copine qui devait sortir de son RdV. Je lui racontais donc que la patronne m’avait appelé et que j’avais RdV le lendemain au bar du Plaza Athenee avec une jeune working girl et que je voulais savoir si elle la connaissait. Oui, bien sûr qu’elle la connaissait ! Elle me dit même que j’avais de la chance qu’elle m’ait booké car c’était une superbe jeune femme d’une trentaine d’année, divorcée, ayant à priori un très bon job, toujours en déplacements, qui aimait bien le sexe et très directive. C’était assurément sa cliente préférée ! Voilà qui me rassurait et me permettrait de passer une bonne nuit… 

     

    Après une bonne nuit de sommeil et une journée studieuse, je me dirigeais donc vers le Plaza Athenée à l’heure convenue. C’était bien la première fois que je pénétrais dans un hôtel si prestigieux. J’étais dans mes petits souliers, impression sans doute également renforcée par l’appréhension de cette deuxième rencontre. Car je n’étais pas encore une professionnelle de ce type de rendez-vous et même si ma copine m’avait rassuré, je me demandais sincèrement sur quel personnage j’allais tomber.

    En entrant dans l’hôtel, j’arrive dans un majestueux hall et, un peu perdue, je demande à la conciergerie où se trouve le bar de l’hôtel car j’y ai un rendez-vous. Je sais, cela fait un peu provincial mais, après tout, nous sommes tous des provinciaux à Paris, non ? Après m’avoir dévisagé de haut en bas (je me suis pourtant bien fringuée, j’ai une jolie robe noire avec une veste noire par-dessus et mes escarpins noirs, je suis maquillée mais pas trop donc je n’ai pas l’impression d’afficher le métier que je fais à temps partiel sur mon visage – Qu’est-ce qu’il a à me dévisager ainsi, lui ?), le concierge me répond que le bar est juste en face de moi ! Bon, OK, j’ai perdu une occasion de me taire ou de passer pour la gourde de service !

    Je me dirige donc face à moi vers le bar et entre dans un lieu magnifique, mélange de classicisme avec ses boiseries et de modernité, notamment avec ce comptoir de bar ultra-moderne que l’on dirait fait de glace, une musique très actuelle, le tout conférant à cet endroit une ambiance très lounge new-yorkaise (Euh, je ne suis jamais allé à NY mais au travers des films que j’ai pu voir, je considère que les bars doivent être ainsi là-bas). Il y a là quelques couples, des businessmans et aussi quelques femmes seules. Le bar n’est pas plein mais pas vide non plus. Comment je vais reconnaître ma « cliente » dans tout ça ? La patronne m’a dit qu’elle m’attendrait, assise au comptoir du bar et vêtue d’un tailleur rouge. 
    Justement, il y a au fond du bar une femme assise sur un tabouret du bar devant une coupe de champagne, vêtue de rouge, qui me regarde depuis que je suis entrée en me faisant un grand sourire (Je vous rassure, il y a aussi pas mal d’hommes qui me regardent, quand je vous dis que je plais aux hommes !).
    C’est forcément elle ! Me dis-je. Ouah ! Mais c’est qu’elle est canon, avec ses grands cheveux châtains foncés et ses yeux bleus ! Et oui, elle doit avoir la trentaine ! C’est elle ! Yes ! Elle est beaucoup mieux que ma première cliente ! Et beaucoup plus jeune !
    Je me dirige donc vers elle tout en lui rendant son sourire. Elle me dit :

    - Sophie ?
    - Oui, c’est moi !
    - Je suis enchantée de te rencontrer. Moi, c’est Anne !
    - Bonjour ! Dis-je timidement tout en la dévisageant complétement. Non seulement elle a un beau visage mais elle est également plutôt bien foutue ! Cool ! Non seulement je vais me faire 350 € mais en plus je me ferai baiser par un canon ! Elle est pas belle la vie ?
    - Mais tu es absolument magnifique, Sophie ! me dit-elle tout en me faisant tourner sur moi-même. Tu es vraiment une très belle fille ! (Merci M’dame)
    - Vous êtes très jolie, vous aussi ! Tente-je de répondre d’une toute petite voix en me disant intérieurement qu’en plus, elle est très classe.
    - Assieds-toi sur le tabouret à côté de moi. Veux-tu également une coupe ?

    Euh, l’alcool n’est pas trop mon fort mais bon, je vais faire une exception. En plus, du champagne dans un endroit aussi sympa, ce serait bête de refuser, non ? Donc je lui réponds oui. En m’asseyant, je me rends compte que de nombreux yeux sont braqués sur nous, à majorité masculins mais également féminins.
    Après avoir commandé la coupe au serveur, elle me remet une enveloppe (mon cachet en quelque sorte) que je mets aussitôt dans la poche de ma veste (Et oui, ce coup-ci, j’y ai pensé et je suis venu avec des vêtements avec des poches !). Puis, tout en buvant nos coupes respectives, nous discutons de tout et de rien et surtout je l’écoute qui me raconte un peu sa vie. Elle a 32 ans, travaille dans un cabinet de conseil en stratégie, vit à Londres et voyage aux 4 coins du monde pour son boulot (Tu en as de la chance ! me dis-je intérieurement, j’aimerais avoir un job qui m’amène à voyager partout dans le monde !). Elle a été mariée trois ans à l’âge de 26 ans puis a divorcé (comme quoi, il ne faut pas se marier trop tôt !), a eu quelques aventures éphémères (femmes et hommes) avant de se mettre « en ménage » avec une femme puis de casser au bout de 2 ans car elle trouvait sa partenaire trop envahissante. Et maintenant, elle a décidé de considérer le sexe comme un bien de consommation comme un autre, c'est-à-dire qu’elle en achète quand elle en a envie ! me dit-elle.

    - Et toi Sophie ? Cela fait longtemps que tu fais ce métier ? Car je ne t’avais jamais vu auparavant !

    Je lui explique que je fais « ce métier » depuis moins de 72 heures et qu’elle va être ma deuxième cliente… ce qui la fait beaucoup rire et la ravie également me dit-elle. Nous passons vraiment un très bon moment toutes les deux, ainsi installées dans ce bar, j’apprécie beaucoup sa conversation et je la trouve définitivement très belle. Entre-temps, elle m’a déjà recommandé une deuxième coupe et elle doit en être à sa troisième ! Le bar s’est un peu vidé. Tout en continuant à discuter, elle a posé sa main sur ma cuisse et commence à me caresser tout en remontant sa main ! Bon, il faut peut-être que je lui explique qu’on n’est pas toutes seules, que certains se sont arrêtés de discuter et nous regardent obstinément (le spectacle est certainement très beau à voir), que moi, peut-être contrairement à elle, personne ne sait que je suis lesb, et qu’en plus, mais ça c’est fort peu probable, il y a peut-être des gens qui me connaissent dans ce bar. Je n’ai pas vraiment eu le temps de checker en arrivant, surtout avec cette lumière tamisée! Bref, que je ne me suis jamais affichée ainsi ! Mais ça a l’air d’être le cadet de ses soucis. Tout en continuant à me caresser ainsi, je la vois qui approche son visage du mien et qui commence à m’embrasser sur la bouche ! Bon, là, m’sieurs, dames, plus de doute, nous sommes bien deux lesbiennes en train de nous chauffer ! (Heureusement qu’ils ne savent pas qu’en plus, elle m’a payé pour ça, sinon on me foutrait dehors illico, je suis sûre). J’ose même pas lever les yeux car ce coup-ci, c’est certain, tous les yeux sont braqués sur nous ! Même le serveur ne s’est plus où se mettre (mais il nous observe quand-même du coin de l’œil le petit vicieux !) Il faut dire que c’est très sensuel, en plus, Anne embrasse divinement bien et j’aime son jeu de langue avec la mienne. Elle me plait vraiment cette cliente ! 

    Après ce long baiser langoureux qui m’a définitivement plu, Anne me murmure à l’oreille qu’elle a très très envie de moi et qu’elle m’invite à la suivre dans sa chambre. Ben oui, le boulot, ce n’est pas que boire des coupes de champagne dans un endroit ultra branché ! Et cela fait bientôt une heure que nous sommes installées au bar à discuter. Nous redescendons de nos tabourets respectifs et de là, elle me prend la main pour m’emmener dans sa chambre. Bon, traverser un bar comme celui-là main dans la main avec une fille qui vient de vous embrasser, je vous avoue, j’aimerais bien d’un seul coup être toute petite et que personne ne me voit car personne ne doit avoir de doutes quant à ce qu’on s’apprête à aller faire... Elle, à priori, cela ne la dérange absolument pas ! J’aime son côté « J’assume ce que je fais ». Heureusement, il y a quand-même beaucoup moins de monde mais malgré tout, je vois un groupe d’hommes d’affaires qui ont arrêté de discuter depuis un bon moment et qui nous regardent en souriant. Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs. D’autres nous regardent également. Il faut dire qu’ils ont là deux très jolies filles. Je décèle dans leurs regards une pointe d’envie et/ou de jalousie ! Pour moi ? Pour elle ? Pour nous deux ? Anne, cela la fait beaucoup rire !

    Ouf ! Nous voilà sorties du bar. Nous sommes maintenant dans le Hall de l’hôtel et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Anne appelle l’ascenseur qui n’est pas là. En l’attendant, elle continue à m’embrasser avec sa langue chaude que j’aime définitivement bien, j’y prends aussi du plaisir. En même temps, elle me caresse mes cuisses et remonte vers mes fesses, ce qui a pour conséquence de remonter ma robe. Bon, je t’aime bien Anne mais je te signale que là, étant donné que je porte un string, j’ai les fesses à l’air, au vu de tout le monde et notamment du concierge de l’hôtel. Heureusement que je suis de dos et que je ne peux pas voir si il nous observe ! Je me demande si elle ne le fait pas exprès ! 

    Enfin, l’ascenseur ! 

    Nous nous engouffrons toutes les deux dans ce satané ascenseur tout en continuant à nous embrasser goulûment ! Anne appuie sur l’étage 5, les portes se referment. Et elle continue à me dévorer, remonte ses mains pour me ôter ma veste qui tombe par terre. Elle me dézippe ma robe ! Euh, dis-moi Anne, ta chambre, c’est quand-même pas la cage d’ascenseur ? Car là, je vais finir à poil et des gens pourraient nous surprendre, non ? Evidemment, ça n’a pas loupé, ma robe tombe à mes chevilles, aidée, je dois l’avouer, des mains de Anne. Mains qui se plaquent immédiatement sur mon sexe (heureusement, j’ai encore mon string). Houlà, ça va être chaud ! L’ascenseur s’arrête ! 
    J’ai à peine le temps de ramasser mes affaires qu’Anne me tire par la main vers le couloir. Je suis quasi nue, en string et soutien-gorge, bas mi-cuisses et escarpins. J’espère qu’il n’y a pas de caméras dans les couloirs de l’hôtel, sinon il y en a qui vont se rincer l’œil ! Et pourvu que l’on ne croise personne, à cette heure, les gens normaux dorment, non ? Et bien non ! Il faut que nous tombions sur un homme qui sort de sa chambre (Bonjour M’sieur !) qui évidemment est un peu étonné, on le serait à moins ! Forcément, deux superbes filles qui se tiennent par la main et se dépêchent de rejoindre leur chambre, l’une à moitié à poil, ça a de quoi perturber le commun des mortels ! Il nous fait un grand sourire. Non, désolé, cela ne marche pas, vous ne viendrez pas avec nous !
    Arrivées devant sa chambre, Anne introduit sa carte dans la serrure tout en continuant à m’embrasser et en dégrafant en même temps mon soutien-gorge. La porte s’ouvre, Anne me porte dans ses bras (Eh, musclée !) tout en fermant la porte avec son pied et me jette sur le lit de la chambre.

    Ouah ! La chambre ! Je suis impressionnée par cette chambre qui doit faire près de trois fois mon studio en surface, par son luxe et sa décoration très vieille France mais très belle, et aussi ses deux fauteuils faisant face à un canapé, séparés par une table de salon. En fait c’est une chambre plus un salon ! Ayant atterrie sur le lit sur le dos, je vois en levant la tête un splendide lustre de cristal au plafond. 

    Mais bon, je n’ai pas trop le temps de détailler la pièce car après m’avoir jetée sur le lit, Anne m’a déjà retiré mes escarpins et vient littéralement de m’arracher mon string. Je suis étendue nue sur ce lit qui est vachement grand en plus ! Mais je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle qu’Anne a déjà remis sa langue dans ma bouche et tout en jouant avec ma langue commence à caresser mes seins et mon buste. Elle me souffle à l’oreille qu’elle adore mon corps et qu’elle n’a jamais baisé une fille aussi belle (Moi non plus, je n’ai jamais fait l’amour avec une aussi belle fille, car entre les deux ou trois copines qui m’ont initiée aux plaisirs saphiques, ma première « cliente » et elle, il n’y a pas photo !). Mon amour-propre est au beau fixe. Je crois que je ne vais pas m’ennuyer ! Je sens d’ailleurs une certaine excitation monter dans mon ventre que je pense Anne ressent également. Elle descend d’un étage et commence à me lécher les seins et me mordiller les tétons tout en mettant sa main sur mon sexe et en me murmurant qu’elle a énormément de plaisir avec mes seins. D’elle ou de moi, je me demande laquelle est la plus professionnelle. Je mouille déjà ! Sa façon de caresser mes seins, de me les lécher, de les mordiller, j’adore ! Et en même temps, après avoir caressé mon sexe dans son ensemble, elle est en train d’exciter mon clito ! Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme-là ! Je sens mon sexe qui se remplit de cyprine. D’ailleurs, Anne descend encore d’un étage et se met à lécher le trop plein puis mes lèvres et mon clito. Humm, que c’est bon ! Je me laisse complètement aller entre ces doigts et cette langue experts et je prends vraiment mon pied. Elle n’a évidemment aucun mal à introduire 2 doigts dans ma grotte et commence un va-et-vient qui m’amène rapidement à ressentir l’un de mes premiers orgasmes. Je crie de plaisir, sans d’ailleurs craindre pour la tranquillité des voisins, vu l’épaisseur de la moquette et des murs de cette bâtisse ! Puis je sens sa main glisser sous mes fesses et commencer à m’exciter le rectum avec l’un de ses doigts. Rapidement, je sens qu’il s’introduit par la petite porte sans aucun mal, à croire que je l’attendais ! Et deux doigts de son autre main réintègrent ma grotte et recommencent leur va-et-vient alors que sa langue excite au plus haut point mon clito ! Je suis au 7eme ciel et je hurle de plaisir ! Avec aucun mec, je n’avais jamais ressenti cela ! Et j’ai même le droit à mon deuxième orgasme, coup sur coup ! Moi, qui n’en avais quasiment jamais connu avant ! 

    Anne se rallonge à mes côtés tout en continuant à me caresser partout et je ne peux m’empêcher de l’embrasser sur la bouche. Jamais je n’aurais pensé avoir une telle sensation avec une fille. Moi aussi, je commence à la caresser, notamment ses seins que je trouve vraiment très beaux même si ils sont plus petits que les miens. Elle m’invite à continuer, je m’allonge sur elle puis descends ma bouche sur son cou, ses oreilles, ses épaules et rapidement ses seins. J’adore son grain de peau et son parfum ! C’est un véritable plaisir que je n’aurais jamais soupçonné si je ne l’avais pas essayé. Je sens qu’elle aussi commence à ressentir du plaisir, ce qui me réjouis (N’oublions pas qu’à la base, je suis là pour lui distribuer du plaisir et pour le moment, c’est plus elle qui m’en a donné, même si visiblement, elle y a pris son pied !). Ma langue continue à descendre sur son nombril alors que je sens ses mains qui continuent à me caresser les fesses alors que je redresse mon bassin pour pouvoir continuer à descendre ma bouche le long de son corps, l’une de mes mains caresse déjà ses parties les plus intimes que je sens très humides. Anne est haletante et je décide de lui asséner le coup de grâce. Tout en lui massant le clito, je passe ma langue dans toutes les parties humides ! Mais dis-donc, c’est que j’aime ce goût de son intimité (ma dernière expérience en la matière était le cunni que j’avais fait lors de mon premier rendez-vous à une femme d’une cinquantaine d’années et ce n’était vraiment pas pareil !) Je décide de lui introduire un doigt dans son vagin afin de l’exciter davantage par des petits va et vient. Elle jouit et cela me fait très plaisir. Je relâche l’étreinte afin qu’elle et moi puissions reprendre nos esprits et vient m’allonger à ses côtés. J’aime définitivement son odeur.
    Après quelques instants, Anne me dit :

    – Ces émotions m’ont donné faim ! Pas toi ? Que dirais-tu d’une petite assiette de sashimis ?

    Moi, j’adore la cuisine japonaise donc j’acquiesce de joie. Elle prend le téléphone à côté du lit et commande au room service une assiette de sashimis, des fraises et une bouteille de champagne. Voilà qui promet un petit dîner assez sympa, non ?
    Après avoir raccroché, elle se retourne vers moi et se met à me caresser alors que je suis de côté, tournée vers elle. Elle me caresse tout le corps, les fesses, les cuisses puis revient aux fesses. Elle me dit qu’elle aime mon cul et me demande de me mettre en levrette, tête posée sur les draps du lit. Donc fesses bien exposées ! Je m’exécute. Le lit étant tellement grand, elle se met à genoux derrière moi et commence à me lécher les fesses avant carrément de les mordiller à la limite de les mordre (En effet, tu sembles avoir très faim Anne, mais je te rappelle que ton repas va arriver d’une minute à l’autre. Inutile de croquer l’une de mes fesses !). Puis tout en me massant les fesses avec ses deux mains, elle approche sa langue de mon petit trou et commence à le lécher en faisant tourner sa langue autour, au centre, tout en tirant de chaque côté de mes fesses avec ses mains. Elle essaie de rentrer sa langue à l’intérieur. Je ressens la chaleur de sa bouche et cela m’excite une nouvelle fois. Elle me tapote chaque lobe puis introduit un doigt et commence un va et vient tout en me donnant par moment des coups de langue et en continuant à me mordiller les fesses (C’est sûr, maintenant, je dois avoir les traces de ses dents sur certaines parties de mes fesses !). Rapidement, je la sens essayer d’introduire un deuxième doigt, ce qu’elle n’a finalement aucun mal à faire de par l’excitation de mon petit et probablement son état avancé de dilatation…Elle me demande si j’aime (Je lui réponds que, oui, cela m’excite beaucoup) tout en continuant son petit jeu de va-et-vient.

    On frappe à la porte et j’entends une voix masculine dire « Room service ». Anne retire ses doigts de mon petit trou, lui donne un baiser puis me dit de ne pas bouger et de rester dans cette position. Elle se lève du lit, va dans la salle de bain, ressort vêtue d’un peignoir de l’hôtel et se dirige vers la porte de la chambre pour récupérer notre dîner. Je l’entends ouvrir la porte, dire bonjour puis un chariot de vaisselle rouler sur la moquette de la chambre. Tiens, je n’ai pas entendu la porte de la chambre se refermer. Je tourne ma tête, qui est toujours posée sur les draps, en direction de l’entrée de la chambre et vois un maître d’hôtel en train de pousser le petit chariot pour l’amener vers la table du salon derrière le lit ! (Ah non Anne, je pensais que tu allais juste récupérer le plateau mais pas laisser rentrer le maître d’hôtel dans la chambre tout de même ! J’en ai marre, moi, de montrer mes fesses au premier venu ! Il y a déjà eu la mégère de l’agence immobilière puis le concierge de l’hôtel et maintenant le room service !). Evidemment, il a une vue imprenable sur le cul d’une fille en position de levrette avec des traces de morsures sur ses fesses ! Aucun doute possible quant à l’activité à laquelle nous nous consacrions avant qu’il ne frappe à cette porte ! La situation a de quoi le faire sourire j’imagine (Et moi, je ne sais plus quoi faire – Je n’ai toujours pas bougé comme me l’a demandé Anne) mais non, lui reste imperturbable, stoïque et cette situation cocasse n’a pas l’air de l’émouvoir plus que cela ! A croire qu’il en a vu d’autres…En tout cas, il ne laisse rien apparaître. Je croise le regard d’Anne qui est derrière lui et je vois dans ses yeux et au travers de son sourire que, elle, cette situation l’amuse beaucoup ! Elle lui demande d’ouvrir la bouteille de champagne et de la remettre dans le seau à glace puis se dirige vers son sac à main, en sort son portefeuille et y prend un billet (Plus vite Anne, s’il te plait !) qu’elle va ensuite lui donner avant de le raccompagner à la porte de la chambre.

    Je la vois revenir dans la chambre, toute fière d’elle, et éclater de rire. Elle me dit qu’en sortant de la salle de bains et en voyant un aussi beau corps dans cette position, elle n’a pu résister à l’envie de m’exhiber ainsi et que cela l’a beaucoup excité ! J’en souris ! Puis elle laisse tomber son peignoir sur le sol, elle est vraiment très jolie toute nue, et se dirige vers le chariot pour servir une coupe de champagne qu’elle porte à ses lèvres tout en continuant à me mater dans cette position. Je pensais que nous allions passer un moment de convivialité autour de cette bouteille de champagne mais, bon, a priori, elle entend la garder pour elle ! pense-je. Elle s’assied sur le bord du lit, trempe ses doigts dans le verre puis me les porte à la bouche pour que je lui suce, ce que je fais car en plus, je commence à avoir soif. Elle répète l’opération plusieurs fois avant de boire à nouveau une gorgée puis se lève et vient s’agenouiller derrière moi. Je sens qu’elle verse au goutte à goutte du champagne dans le haut de ma raie (Voilà mes fesses baptisées au champagne !) qui, bien évidemment, coule le long de ma raie pour descendre vers mon anus et mon vagin. Cette sensation de froid est très agréable. Je sens ensuite le contact de sa langue chaude qui remonte de mon vagin vers mon petit trou tout en léchant le liquide qu’elle a laissé couler et qu’elle continue de reverser dès qu’il n’y en a plus sur moi. Ce petit jeu a l’air de beaucoup l’amuser et, en ce qui me concerne, cette sensation de liquide froid / chaleur de sa langue est très agréable, d’autant que ses coups de langue sur mon sexe et mon anus m’excitent à nouveau. Au bout de 5 minutes de ce petit jeu, elle se lève et va chercher l’assiette de sashimis ainsi que les baguettes pour les manger tout en se resservant une coupe (Bah oui, à force de la verser sur moi, la coupe est vide !) et vient se rassoir à côté de moi. Elle commence par porter une tranche de poisson cru à sa bouche à l’aide des baguettes puis m’en tend également une. J’adore le poisson cru, cette sensation de fondant dans la bouche est des plus agréables, même si ce n’est pas évident d’avaler quand vous avez la tête à l’envers. Elle me redonne du champagne avec ses doigts puis retourne s’agenouiller derrière moi, l’assiette de sashimis et le verre de champagne dans chaque main. Ensuite elle s’amuse à un petit jeu qui consiste à poser des tranches de saumon, thon et dorade crus sur mes fesses et de venir les manger avec sa bouche. Sa langue vient me réchauffer le petit trou, elle l’excite à nouveau et commence à y introduire à nouveau un doigt puis un deuxième. Elle essaie d’écarter les deux doigts et je sens qu’elle y fait rentrer à l’aide des deux baguettes un morceau de poisson. Puis elle retire les baguettes et ses doigts et je sens sa langue s’approcher pour lécher mon petit trou et venir grignoter le morceau de poisson qui, je le sens, doit être moitié à l’intérieur, moitié à l’extérieur. Elle me dit qu’il a encore meilleur goût ! Et recommence l’opération deux fois encore.

    Après cet amuse-bouche, c’est le cas de le dire, elle me fait allonger sur le dos et me dit qu’elle a envie de me dévorer toute crue puis vient me sucer la chatte avant de verser une petite quantité de champagne qu’elle s’empresse de lécher. Je mouille à nouveau. Elle dépose au centre de mon con une tranche de thon qu’elle vient ensuite lécher puis ramasser avec sa langue et ses dents. Comme cela à l’air de l’exciter tout autant que moi, elle continue de la même façon avec d’autres morceaux de poisson qu’elle place indifféremment sur l’un de mes seins, mon nombril ou ma chatte. Je suis devenue un véritable garde-manger ! Elle m’en met également un à la bouche que je n’ai pas le temps d’avaler car elle l’a déjà récupéré.

    Elle me dit qu’il est peut-être temps de passer au dessert et se lève pour aller chercher l’assiette de fraise. Elle vient s’asseoir à califourchon sur mon buste, prend une fraise entre ses dents et l’approche ainsi de ma bouche. Je commence à sucer cette fraise et ses lèvres avec mes lèvres puis réussis à récupérer une moitié de la fraise. Elle avale l’autre moitié et me dit que cela est trop bon. Nous renouvelons l’opération deux fois de suite avant qu’elle ne décide de me verser le jus des fraises sur mes seins pour ensuite venir le récupérer avec sa langue. Tout en descendant légèrement le long de mon corps, toujours à califourchon, je la vois tremper une fraise dans son verre avant de venir me l’écraser sur le ventre avec ses doigts. Je deviens toute collante ! Sa langue vient happer le fruit avant que sa langue ne me nettoie. Anne a l’air très heureuse et très excitée de ce qu’elle fait, elle rit et me sourit beaucoup. Et la voir ainsi me comble également de bonheur.

    A priori, elle a encore d’autres idées car je la vois se lever et récupérer sur le plateau le pot de crème chantilly ! Elle revient et se met à genoux entre mes cuisses. Elle prend avec son doigt de la crème qu’elle vient ensuite étaler dans ma chatte et renouvelle l’opération jusqu’à ce qu’il y ait une quantité suffisante selon elle. Puis elle prend des petits morceaux de fraise qu’elle vient ensevelir dans son « pot » de crème, à plusieurs endroits différents de ma chatte. Elle y verse même le reste du jus de fraise. Comme tout cela m’a bien excité, je suis évidemment encore mouillée et je n’ose imaginer le mélange que tout cela va donner ! Elle me dit qu’il est temps maintenant de mixer le tout, se lève et va récupérer de son sac de voyage un gode de petite taille qu’elle lèche avant de me l’introduire dans ma grotte. Puis, ce que je n’avais pas vu car je ne suis pas une spécialiste de ce genre d’objets, elle le met en route car il s’agit d’un gode à pile et il se met à vibrer dans mon vagin. Et comme elle lui fait faire des va-et-vient en moi, le plaisir me monte très rapidement pour arriver à la jouissance ultime ! Satisfaite, elle arrête le gode et me le retire avant de venir ramasser avec sa langue la « préparation » à base de crème fraiche, fraise, jus de fraise et cyprine. Elle me dit que cela a un goût trop délicieux, en prend d’ailleurs sur son doigt qu’elle me porte à la bouche. Je lui suce le doigt et goûte ainsi à ce curieux dessert à base de mon intimité ! Humm ! Pas mauvais ! Nous rions toutes les deux. Comme elle en a encore plein les lèvres et le menton, je lui dis de venir pour que je puisse lui retirer avec ma langue.

    Puis elle me dit : « Toi aussi, tu as peut-être encore faim. Après tout, tu n’as pas beaucoup mangé ! » - Ah oui, c’est vrai que je n’ai pas pu avaler grand-chose, vu la position dans laquelle j’étais ! Elle me tend sa coupe, vide, et s’allonge sur le dos près de moi. Je me lève pour aller remplir le verre puis vient à nouveau m’allonger sur elle et je commence à lui verser un peu de champagne sur ses lèvres et sa bouche que je m’empresse de récupérer en lui faisant tourner ma langue dans sa bouche. Je laisse également couler un peu de champagne sur ses seins que je m’empresse de lécher puis sur le nombril et enfin son sexe ! Comme elle est toute mouillée, le goût de sa cyprine mêlé au champagne donne un cocktail des plus étonnants mais aussi des plus exquis ! Je me délecte de ce cocktail puis, comme j’ai une petite faim, je pose un morceau de poisson cru sur son sexe et introduis ensuite deux doigts dans sa grotte pour l’exciter davantage. Cela ne manque pas et elle mouille davantage. Je relâche la pression en retirant mes doigts puis viens récupérer mon morceau de poisson, maintenant qu’il est cuit dans son jus ! Voilà une recette bien étonnante, je vous l’avoue, mais quel délice que ce poisson à base de nectar de fille ! J’ai de vrais talents de cuisinière ! Comme elle l’a fait pour moi, je réitère l’opération plusieurs fois car je sens qu’elle y prend, elle aussi, beaucoup de plaisir. Et lui donner du plaisir me ravit !

    Ainsi repue (j’ai toujours eu un petit appétit !), je viens m’allonger à ses côtés et elle en profite pour me caresser à nouveau le long de mon corps. Nous restons quelque temps ainsi, sans parler. Puis elle me dit qu’il est bientôt 1 heure du matin. Quoi, 1 heure du mat ? Je n’ai pas vu le temps passer et cela fait donc pratiquement 3 heures que je suis avec elle ! Voilà que je fais des heures sup ! Et je ne peux pas lui demander une rallonge ! Même si j’ai entendu dire « Travailler plus pour gagner plus ! ». Et puis, honnêtement, j’ai passé un tel bon moment, dans un endroit si luxueux (c’est sûr qu’elle ne doit pas avoir le même rapport avec son banquier que moi avec le mien…), à boire du champagne et manger, et j’aime tellement Anne ! Houlà ! Il faut que je fasse attention moi ! Il ne faudrait pas que je tombe amoureuse de mes clientes tout de même ! Oui, mais j’aime vraiment son corps à cette fille ! J’aime son goût ! J’aime la manière dont elle m’a baisé !

    Elle me propose d’aller prendre une douche avant de partir, ce qui n’est pas de refus car je me sens toute collante et j’ai aussi pas mal transpiré ! Nous nous levons, nues toutes les deux, et elle m’accompagne à la salle de bain. Ah ? Je te vois venir, tu vas vouloir prendre une douche avec moi ! OK ! Nous rentrons dans la salle de bain. Ouah ! Je suis impressionnée. Je n’ai jamais vu de salle de bain si grande et toute de marbre. Là encore, c’est magnifique ! Elle commence à faire couler l’eau de la douche pour la porter à bonne température alors que j’observe le luxe inouï de cette salle de bain (Oui, ça va, je sais, ça fait encore provinciale !) puis m’invite à aller sous la douche. Je m’exécute puis c’est elle qui me rejoint et commence à me caresser les cheveux, le visage et descend progressivement ses mains tout le long de mon corps tout en me frottant en s’attardant sur mes seins puis ma chatte et mes fesses. Ensuite, nous nous embrassons assez longuement sous la douche tout en caressant les fesses de l’autre, cela me fait vraiment du bien. Enfin, elle ferme le robinet de la douche, sort de la douche et prend une grande serviette avec laquelle elle m’essuie les cheveux avant de me la porter autour du corps tout en me frottant pour me sécher comme si j’étais sa petite fille. Je me dirige vers la chambre afin de récupérer mes vêtements qui jonchent le sol, elle en profite pour me donner une petite claque sur les fesses ! « J’aime ton petit cul » me dit-elle ! Merci ! Alors que je suis en train de me rhabiller, elle me dit qu’elle part demain en déplacement pour une semaine et qu’elle compte bien me revoir dès son retour à Paris (Génial, je suis déjà rebookée ! Et en plus avec une cliente qui m’a donné énormément de plaisir. Je l’aime vraiment, cette belle Anne ! Zut, je crois que je suis vraiment en train de tomber amoureuse d’elle ! Et je ne pense pas que ce soit compatible avec le métier que j’exerce !). Je lui fais d’ailleurs part de ma joie de la revoir. Elle me demande si j’ai d’autres rendez-vous prévus d’ici-là. Je lui dis que pour le moment non mais que j’ai convenu avec ma patronne de trois rendez-vous par semaine et que de ce fait, je devrais en avoir deux d’ici son retour. Elle me sourit et me répond que cela l’excite mais avec une pointe de jalousie, qu’elle m’imaginera avec ces femmes inconnues pendant son absence et qu’elle veut que je lui raconte lorsque nous nous reverrons la semaine prochaine. Alors que j’ai fini de me rhabiller et que je me dirige vers la porte de la chambre, Anne m’enlace tendrement et me dit qu’elle a passé un très bon moment et qu’elle est très contente de m’avoir rencontré. Et qu’elle ne désirerait qu’une seule chose, c’est pouvoir m’emmener avec elle en voyage. Mais dis-moi Anne, ne serais-tu pas toi aussi en train de tomber amoureuse ? En tout cas, pour le voyage, c’est quand tu veux ! Tu n’as qu’à me siffler et j’accoure dans la minute ! Je n’en aurai vraiment pas pour longtemps à faire ma valise !

    Après un encore long baiser, je la quitte et me dirige vers l’ascenseur (ce coup-ci, je suis habillée et ne crains plus qu’on me voit, quoique une fille sortant d’une chambre à cette heure-là ne fait aucun doute quant à son activité…). Arrivée dans le hall de l’hôtel, je remarque que le concierge est encore là. Lui aussi me regarde et me sourit (C’est vrai qu’il connait mes fesses, lui aussi ! Il les a vu tout à l’heure ici-même…). Je rougis en y repensant et lui réponds par un sourire de politesse. Une fois dans la rue, je décide de héler un taxi pour rentrer chez moi. Je suis fatiguée et il est tard ! Mais quel plaisir j’ai eu ! 

     

    Après une bonne nuit réparatrice au cours de laquelle les images d’Anne et de la soirée n’avaient cessé de défiler dans ma tête, je me réveillais dans mon petit sudio de 16 m2. Il n’y a pas à dire, la chambre d’Anne était nettement plus à mon goût ! Ça change ! Grandeur et décadence !

    Ce matin, cours à la fac donc pas le temps de trop penser à ma soirée de la veille ! Même si mon esprit continuait à gamberger sur cette merveilleuse soirée que j’avais passé. Je n’aurais jamais cru que ce « métier » m’aurait autant plu !

    Vers midi, alors que je suis encore à la fac, je reçois un SMS de ma Boss qui me demande de l’appeler dès que je le peux.
    A la fin du cours, plutôt que d’aller déjeuner avec mes copines, je m’isole pour l’appeler.

    Elle me demande comment s’est passé ma soirée. Je lui réponds divinement bien ! Elle me dit qu’a priori, j’ai également plu à Anne puisque elle m’a rebooké pour 24 heures dans une semaine !
    Quoi ? 24 heures avec Anne ! Yes !!!!! J’en suis toute excitée, non seulement je vais revoir Anne mais en plus cela va durer encore plus longtemps et au passage, je vais toucher 1 500 € (moins la commission de l’agence bien sûr, mais quand-même) ! Quand je vous dis qu’a priori, elle n’a pas de problème avec son banquier, elle !

    Ma Boss me dit également que j’ai RdV demain en fin d’après-midi à l’institut avec une de ses très bonnes clientes, pour 1 heure. Est-ce OK pour moi ? Ma foi, maintenant que je suis lancée, autant y aller à fond ! Donc oui ! En plus, cela se passera à l’institut, dans une cabine réservée à cet effet. Ma Boss me dit que cette cliente est plus âgée qu’Anne (oui, c’est sûr, je ne vais pas pouvoir me taper à chaque fois des jeunes canons, sinon ce serait trop beau et je pense qu’il y aurait beaucoup de monde pour faire ce métier) et qu’elle attendra de ma part un massage. Un massage ? Mais moi, je ne sais pas masser ! Je ne suis pas esthéticienne ! Ma Boss me dit de ne pas m’inquiéter car ce n’est pas un massage de pro qu’elle attend. Et que de toute manière, masser n’est pas bien compliqué !
    OK, si vous le dites, après tout, c’est vous la Boss !

    Après avoir raccroché, je rappelle ma cops esthéticienne / Escort-Girl qui m’avait envoyé un SMS hier soir assez tard pour savoir comment cela s’était passé avec Anne. Mais vu l’heure à laquelle j’étais rentrée, je n’avais pas voulu la rappeler, prise à la fois de fatigue et aussi crainte de la réveiller.
    Je lui raconte ma merveilleuse soirée et aussi le fait qu’Anne m’a rebooké pour 24 heures ! Elle me dit que j’ai vraiment de la chance et je décèle dans sa voix une petite pointe de jalousie. ..Oui, mais c’est pas ma faute si en plus, je lui plais à Anne ! 

    Le lendemain après-midi, je me rends donc à l’institut pour honorer mon troisième RdV d’Escort-Girl pour dames. J’ai beaucoup moins d’appréhension, non seulement parce que le « métier » commence à rentrer mais également parce que ce RdV se passe à l’institut.
    Arrivée sur place, ma Boss m’accueille dans son bureau et me demande de me mettre nue et d’enfiler juste une blouse blanche, ce que je fais devant elle sans aucun problème. Elle a été la première femme à me voir nue (hormis ma mère bien sûr et les deux amies qui m’avaient initié au plaisir saphique).
    Ensuite, elle me conduit dans une cabine de l’institut et demande à une autre de ses esthéticiennes de venir me montrer comment faire un massage. Elle se met une huile spéciale sur les mains et commence à masser les épaules et le dos de la Boss qui s’est allongée sur la table prévue à cet effet. OK, ça n’a pas l’air bien compliqué en effet, je devrais m’en sortir. A mon tour d’essayer. Ma Boss me dit que cela devrait le faire et que je devrais suivre les instructions de la cliente qui ne devrait pas tarder à arriver. Oui, Chef !

    Effectivement, un quart d’heure plus tard, ma Boss revient me voir dans l’espace où je m’étais mise en attendant et me demande de rejoindre la cabine n° 3.

    J’ouvre la porte de la cabine qui est en tous points identiques à celle dans laquelle je m’étais essayée aux massages et découvre, nue et allongée sur le ventre sur la table « de travail » une dame qui semble avoir effectivement un certain âge ! La peau est assez plissée et elle a des tâches typiques des « peaux de vieilles » pense-je ! Oui, je sais, ce n’est pas une pensée très sympathique car moi aussi, j’aurai une peau comme cela dans quelques années…
    Je m’approche d’elle en me demandant quel âge peut-elle bien avoir. Plus de 60 ans, cela est certain mais combien en plus ? Elle a tourné la tête vers moi et me dévisage tout en me souriant. Elle a les cheveux courts, blonds cendrés. Je lui donne 65 ans, c’est décidé.

    Elle me demande de venir en face d’elle, ce que je fais bien évidemment. Je me retrouve donc face à elle qui est toujours allongée sur sa table. Elle tend ses bras vers moi et avec ses mains sur mes fesses me rapproche tout contre la table et donc sa tête puis me caresse les fesses, toujours au travers de ma blouse.

    Elle me demande de commencer par lui masser les épaules en restant là où je suis. Je m’exécute et vais chercher de l’huile de massage que je mets sur les paumes de mes mains avant de revenir à la place qu’elle m’a demandé de prendre et de commencer à lui faire un massage des épaules. Elle de son côté ne s’est pas embêtée et a déboutonné ma blouse, si bien qu’elle a mon sexe juste sous ses yeux. Effectivement, ce type de cliente semble être là pour mater de la jeunesse ! Cela ne me dérange absolument pas, bien au contraire, j’en serais presque excitée ! Elle passe une de ses mains à l’intérieur de ma blouse qui vient ensuite caresser mes fesses mais ce coup-ci avec un contact direct !

    Elle me dit que je suis très jolie. Je la remercie et nous discutons un peu d’elle et de moi. Sans lui dévoiler ma vie car je souhaite « compartimenter » mon activité du reste, je lui dis que je suis étudiante et que je fais cela pour arrondir mes fins de mois. Ses mains sont de plus en plus baladeuses sur mes fesses, mon entre-jambes et mon sexe. C’est une sensation bizarre que cette main âgée qui se ballade ainsi sur une partie de mon corps.

    Je continue mon massage des épaules comme si de rien n’était, même si le fait de me savoir ainsi regardée et d’être caressée par cette vieille femme me fait quand-même un peu mouiller. Elle me demande de descendre un peu plus sur son dos, ce que je fais, les désirs des clientes passant avant tout. Si bien que je suis presque obligée de me coucher sur elle pour continuer à masser son dos. Elle continue à me caresser les fesses. Puis elle me demande de venir sur le côté et de lui masser les fesses. Je remets de l’huile sur mes mains et m’exécute. La sensation n’est pas des plus agréables car la peau est tout de même un peu flasque ; c’est sûr, cela me change du grain de peau divin d’Anne ! Après les fesses, elle me demande de passer aux cuisses ! Et oui, il s’agit vraiment d’un massage total du corps que je suis en train de réaliser ! 

    Puis elle se retourne et me voilà face à son sexe entièrement épilé, son ventre et sa poitrine qui, bien qu’elle soit étendue, est tout de même bien tombante ! Elle me dit qu’il faut maintenant lui masser les seins mais qu’elle souhaite avant que je fasse tomber ma blouse.

    Je m’exécute et me retrouve donc totalement nue face à elle puis entreprends le massage des seins. Pendant ce temps et tout en continuant à me mater mais complétement nue cette fois, elle approche sa main de mon sexe et commence à le caresser très tendrement. J’ai un peu de mal à me concentrer sur le massage alors que je sens monter dans mon ventre une certaine excitation. Je n’aurais jamais pensé pouvoir être excitée par une vieille ! Je descends mes mains sur le haut de son ventre. Elle remonte sa main le long de mes cuisses, mes fesses, mon dos avant d’appuyer mes épaules en me disant qu’elle souhaiterait être soulagée. J’en conclue qu’elle veut que je lui pratique un cunnilingus et me penche donc en direction de son sexe pour commencer à lui lécher la chatte. Et bien figurez-vous qu’elle n’est pas si sèche que cela ! Je ne peux pas dire que j’y prends mon pieds, rien à voir avec ma fabuleuse soirée avec Anne, mais je lui lèche les lèvres, le clito que j’essaie d’exciter par un jeu de langue. Elle semble apprécier car je la sens de plus en plus tendue. En tout cas, elle me dit que non seulement je suis très mignonne mais qu’en plus je m’y prends très bien et lui donne beaucoup de plaisir ! Merci M’dame ! Contrat remplis alors !

    Après quelques instants, elle se redresse, descend de la table et me demande de prendre sa place.
    Je m’allonge donc sur la table, sur le dos. Elle commence à me caresser les seins puis y passer sa langue en la faisant tourner autour de mes têtons. Ouah ! Dis-moi Mamie, tu t’y prends drôlement bien ! Puis elle descend sa main vers mon sexe et me demande d’écarter les jambes, ce que je fais. Elle caresse ma fente qui, ce coup-ci, devient bien mouillée puis rapproche son visage de mon sexe avant de venir lécher le liquide. C’est sûr, ce n’est pas avec elle que j’atteindrai l’orgasme mais bon, elle se débrouille pas mal quand-même ! 

    Comme cela fait bientôt une heure que nous sommes ensemble, je lui dis que la séance se termine. Elle semble déçue mais me dit qu’elle a passé un très agréable moment et y a pris beaucoup de plaisir.

    Moi aussi, au final, j’ai passé un agréable moment sans d’ailleurs être fessée, ni même doigtée et sans que personne d’autre n’ait vu mon cul, contrairement aux précédentes rencontres.

    Je remets ma blouse et sors de la cabine pour rejoindre le bureau de ma Boss afin de me changer.
    Celle-ci me demande si cela s’est bien passé. Je lui réponds que oui et commence à me rhabiller. 
    Elle m’annonce qu’une autre cliente m’a réservé pour une séance d’une heure dans 2 jours et que je devrais me rendre au Novotel, rue de Vaugirard, dans le 15e. Il s’agit d’une cliente plus jeune que celle que je viens d’avoir (Encore heureux car même si j’ai donné du plaisir à cette personne, je ne vais quand-même pas me taper toutes les vieilles de Paris !) et qu’elle me confirmera par sms le n° de chambre à laquelle je devrais me rendre. Oui, Chef !

    Enfin, je quitte l’institut pour retourner chez moi afin d’aller réviser mes cours. 

    Me voilà donc sur le chemin de mon 4e RdV d’Escort-Girl pour dames !

    J’arrive à l’hôtel que m’avait indiqué ma Boss, rue de Vaugirard. J’entre et comme indiqué dans le sms qu’elle m’a envoyé, je me dirige vers l’ascenseur à ma droite et appuie sur le bouton du 3e étage.
    L’hôtel, même si il est de bonne facture, n’a rien à voir avec le Plaza Athénée !

    Arrivée à l’étage demandé, je sors et longe le couloir jusqu’à arriver au numéro de chambre indiqué dans le sms. Je frappe à la porte et quelques instants après, une femme d’une quarantaine d’années m’ouvre et me laisse entrer. Elle est brune, cheveux mi-longs, yeux marrons et elle me paraît assez froide et sévère. Elle ne me met pas vraiment à l’aise ! Mais bon, le boulot, c’est le boulot ! 

    Après avoir refermé la porte, elle me déshabille de la tête au pied avec son regard, semble satisfaite de l’ensemble et, enfin, me sourit ! De mon côté, je découvre cette chambre qui me semble bien petite comparée à celle d’Anne, avec juste un lit et en face un bureau le long du mur et deux fauteuils.

    - Bonjour ! J’espère que je vais passer un bon moment avec toi ! me dit-elle
    - Bonjour ! Je suis là pour ça. Lui réponds-je

    Elle me donne une enveloppe que je mets directement dans mon sac, m’attrape par le bassin, m’attire vers elle et commence à m’embrasser tout en me pelotant les fesses au travers de ma jupe. 
    Oui, aujourd’hui, j’ai mis une jupe qui m’arrive au-dessus du genou, un tee-shirt, des escarpins et bien sûr, un string et un soutien-gorge en dentelles.

    A peine ai-je eu le temps de la laisser jouer de sa langue avec la mienne qu’elle me retire mon tee-shirt. Bon, a priori, c’est une cliente pressée ! Cela se confirme avec la jupe que je sens qu’elle me déboutonne et dé zippe de telle manière que celle-ci glisse le long de mes cuisses. Me voilà en petite tenue moins de 5 minutes après mon arrivée. Elle veut vraiment rentabiliser son investissement pense-je intérieurement. En tout cas, on est loin de la sensualité de la rencontre que j’avais eu avec Anne ! Elle continue à m’embrasser tout en glissant une main à l’intérieur de mon string. De son autre main, elle m’a déjà dégrafé le soutien-gorge que je lui laisse me retirer. Après, comme je pouvais m’y attendre, elle arrête de m’embrasser, s’agenouille et m’abaisse d’un coup sec le string.

    - J’adore voir une fille à poil ! me dit-elle. (Oui, j’avais remarqué !). T’es bien foutue ! (Merci pour le compliment). Tourne-toi que je vois ton petit cul ! (Je m’exécute) Pas mal ! me dit-elle tout en prenant mes 2 fesses à pleine main, ce qui me fait frémir. En plus, elle sert fort et cela me fait mal ! Honnêtement, je me sens de moins en moins à l’aise car je la trouve très froide dans sa façon de me parler, dans le contact de ses mains sur mon corps. Et hop, une claque puis une deuxième puis une troisième sur mes fesses. Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes à systématiquement vouloir me claquer les fesses ! Et je la sens qui continue à me mater tout le corps et je reste ainsi nue au milieu de la chambre 3 bonnes minutes.

    Elle s’assied sur le bord du lit et me demande de m’approcher, ce que je fais bien évidemment, et là, elle me bascule en travers de ses cuisses. Je me retrouve dans la même position que lors de mon premier RdV avec la femme de l’agence immobilière. J’imagine qu’elle va me caresser les fesses et le petit trou avant de me doigter. Effectivement, elle commence à me caresser l’entre-jambes et les lobes de mes fesses puis fait passer un doigt le long de ma raie. Et d’un seul coup, elle commence à m’administrer des claques sur chacune de mes fesses par alternance. Au début, ce sont des petites claques mais plus ça va, plus elles sont fortes !

    - J’adore fesser une jolie fille, surtout quand elle est cul nu ! me lance-t-elle. Je suis sûre que tu aimes te faire fesser ainsi, P’tite salope ! 
    Moi, P’tite salope ? C’est bien la première fois qu’on me traite ainsi et cela ne me plait pas beaucoup. Mais bon, c’est elle la cliente, me dis-je, et si cela lui fait plaisir de me traiter de salope… J’ai de plus en plus mal et je sens que mes fesses rougissent ; en tout cas, elles me chauffent. En plus, je me sens un peu humiliée dans cette position de petite fille à qui on donne la fessée, en étant ainsi à sa merci vu ma position. Je sers les dents pour ne pas crier même si je pousse quelques gémissements de douleur à chaque fois que sa main tombe sur l’une ou l’autre de mes fesses. De temps en temps, elle alterne avec une caresse sur les fesses ou son doigt qui passe le long de ma raie en appuyant sur mon anus avant de finir par une caresse de l’entre-jambes. Enfin, elle semble se lasser car les fessées commencent à s’espacer. 

    Elle se relève et me demande de me mettre à genoux face à elle, fait glisser sa jupe et retire sa culotte.

    - Tu vas me faire un petit cunni pour commencer ! me dit-elle tout en attrapant mes cheveux et me guidant vers son sexe. Elle tire sur mes cheveux, cela me fait mal et je n’aime pas ! Et puis, elle n’avait pas besoin de me guider ainsi, je l’aurais trouvé toute seule son clito, d’autant qu’étant à genoux, je suis pile à la hauteur de son sexe !
    Je commence donc mon jeu de langue sur ses lèvres, son bouton alors qu’elle continue à me tenir par les cheveux. Je joue avec ma langue et sens qu’elle commence à mouiller sévère ! C’est vrai que je deviens une experte du cunni ! Je passe également ma langue à l’entrée de sa grotte et recommence mon petit va-et-vient de langue entre ses lèvres, son clito qui ce coup-ci bande bien et sa grotte. Cela a l’air de la combler au moins !

    - Va t’allonger sur le lit ! m’ordonne t-elle. OK M’dame ! Je m’exécute et m’allonge sur le lit.
    Pendant ce temps, je la vois qui retire son haut et son soutien-gorge puis se dirige vers sa valise qui est posée sur un meuble à côté du bureau et en sort une ceinture avec une espèce de pic au milieu. J’écarquille les yeux en me demandant de quoi il s’agit (En fait, c’est un gode-ceinture, je le découvrirai ensuite, mais jusque-là, je n’en avais jamais vu. Je ne savais même pas que ça existait ! ).

    Elle se passe donc la ceinture autour du bassin et je comprends enfin que ce pic n’est en fait qu’un gode et qu’elle va donc vouloir me baiser ainsi. Par contre, c’est un sacré gode qui a le même aspect qu’un pénis ! Il doit faire 20 centimètres de long et 4 centimètres de diamètre !

    - Ecarte les jambes et ramène tes pieds sur tes fesses ! me lance-t-elle encore. Puis elle vient s’agenouiller près de mon sexe, passe un doigt sur sa langue qu’elle dirige ensuite sur mon sexe. Elle commence à m’humidifier ainsi avant de carrément plonger sa langue sur mon abricot et de fouiller ainsi pour l’exciter. Oui, je commence à mouiller et à être excitée. Je pousse quelques halètements.

    Elle doit considérer que je suis assez excitée car elle passe ses mains sous mes cuisses et dirige son sexe et donc le gode vers mon vagin. J’ai une certaine appréhension vu la taille de l’engin mais je ne dis rien. Elle commence à le rentrer, je pousse un petit cri, s’arrête quelques instants puis l’enfonce un peu plus dans mon vagin. Après une nouvelle petite pause, elle finit par l’enfoncer complétement et commence à m’asséner des coups de reins, comme si j’étais pénétrée par un sexe d’homme. Finalement, cela n’est pas si terrible et j’y prends un certain plaisir même si le contact n’est pas le même que celui d’un sexe ou même du gode d’Anne et que la taille fait que j’ai un peu mal ! En fait, j’ai l’impression de faire l’amour avec un mec, mais un mec plutôt bien bâti quand-même. (En tout cas, les copains que j’ai eu jusqu’à présent n’avaient pas de sexe aussi gros).

    - Tu aimes ça, petite salope ! me dit-elle encore
    Je n’aime définitivement pas cette relation où je suis traitée comme de la merde par une femme froide et très dominatrice. Et j’aimerais que tout cela s’arrête rapidement. Le fait de penser à la prochaine rencontre avec Anne me permet malgré tout de tenir et de faire bonne figure.
    Après m’avoir prise ainsi et bien « ramonée », elle me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit. OK, toi, tu vas vouloir me prendre maintenant en levrette pense-je. 
    Je me mets donc dans la position qu’elle m’a demandé et je sens qu’elle approche ses mains de mes fesses. J’espère qu’elle ne va pas recommencer à me fesser car là, je lui dirai stop ! 

    - Ouah ! Tes fesses ont bien rougies ! me dit-elle. (Tu m’étonnes, vu la fessée que tu m’as administré, c’est bien normal !) Tu verras par la suite, elles n’en seront que plus fermes à force de recevoir des fessées ! (Ah bon ? Ca raffermit les fesses la fessée ?)
    Elle commence à les caresser puis s’attarde avec son doigt sur mon petit trou. OK, je te vois venir, tu vas vouloir me doigter avant de me prendre en levrette me dis-je.

    Effectivement, cela ne loupe pas. Je sens un de ses doigts qu’elle a dû humidifier qui vient me titiller mon petit trou et essaie de rentrer. Bon, je dois avouer que moi qui n’avait jamais été doigtée avant de commencer ce métier, je me suis mise dans l’idée que c’était « normal » vu que 2 de mes 3 premières clientes l’avaient pratiqué sur moi et donc je me laisse faire. Je sens son doigt rentrer dans mon petit et commencer un mouvement de va-et-vient. Puis je sens qu’elle essaie d’introduire un deuxième doigt. Elle me claque une de mes fesses et me demande de détendre mon cul (je voudrais bien l’y voir !) puis je l’entends qui crache de la salive sur mon petit trou afin de l’humidifier plus encore et faire rentrer son deuxième doigt. Et elle recommence l’opération avec un troisième doigt tout en essayant d’écarter ses doigts à l’intérieur de mon petit afin de le dilater. Moi, je n’ose pas bouger, toujours à 4 pattes sur le lit et émets des petits gémissements de plaisir feint. Elle retire enfin ses doigts de mon petit et caresse tout autour.

    - Ton cul doit être très étroit ! Mais là, il est bien ouvert ! me dit-elle.
    D’un seul coup, elle m’attrape les cheveux et tire dessus si bien que je suis obligée de redresser la tête en arrière. Je me dis que ça y est, elle va me prendre en levrette et m’y prépare. Et là, je sens que le gode qu’elle a toujours à la ceinture vient toucher mon petit. J’essaie de me retourner pour voir ce qu’elle fait mais comme elle me tire sur les cheveux, ce n’est pas évident. Et je comprends qu’elle va vouloir faire entrer son gode dans mon petit ! Je panique !

    - Non ! S’il vous plait, je ne veux pas ! Je ne l’ai encore jamais fait ! lui dis-je.

    - Quoi ? Tu es vierge du cul ? Mais c’est super ! T’inquiète pas ! Tu vas voir, tu vas y prendre beaucoup de plaisir ! me répond-elle.
    - Non ! non ! Je ne veux pas ! Et de toute manière, c’est beaucoup trop gros ! Ça ne rentrera jamais !
    Et en même temps que je lui dis cela, je sens qu’elle pousse de toutes ses forces pour essayer de faire rentrer le gode dans mon petit trou. Evidemment, cela bloque car il est trop gros. Cela doit l’énerver car elle tire encore plus fort sur mes cheveux et me claque la fesse droite avec l’autre main et me dit « Pousse ! ». Et d’un seul coup, le gode a commencé à entrer ! Je pousse un hurlement, tellement j’ai mal et ai l’impression d’être ouverte en deux ! Vu le cri que j’ai poussé, tout l’étage de l’hôtel va accourir pour voir ce qui se passe, ce n’est pas possible autrement !

    - Tu aimes ça, petite pute ! me dit-elle.
    Moi, j’ai les larmes qui me montent à l’œil, à la fois de douleur et de rage d’être ainsi sodomisée !
    Après avoir fait légèrement rentrer le gode, ce qui avait provoqué mon hurlement, elle s’est arrêtée de pousser, laissant le gode ainsi entré d’1 ou 2 centimètres dans mes intestins pour qu’ils s’habituent à cette présence étrangère. Alors que la douleur devient plus supportable, voilà qu’elle se remet à pousser tout en continuant à me tirer les cheveux, ce qui m’amène à hurler encore ma douleur. Elle s’arrête à nouveau, sans bouger, ce qui me permet de reprendre mes esprits même si j’ai atrocement mal ! Jusque-là, je n’ai vraiment eu aucun plaisir ! J’ai juste l’impression que mon cul est grand ouvert !

    Puis elle redonne un coup de rein, ce qui me fait émettre un cri à nouveau. Mais je sens que ses cuisses touchent maintenant les miennes et j’en conclue qu’elle a complètement rentré le gode en moi ! Elle reste ainsi sans bouger en me disant encore que j’aime ça et en me traitant au choix de p’tite salope, p’tite pute. Je n’apprécie vraiment pas ce meeting !

    Enfin elle ressort complètement le gode, ce qui me permet d’avoir beaucoup moins de douleur mais recommence rapidement l’opération d’introduction du gode qui, ce coup-ci, rentre beaucoup plus facilement même si cela me fait encore mal et que je continue à crier. Mais cela a l’air de l’exciter encore plus ! Une fois le gode entièrement entré et après quelques instants sans bouger, elle commence à donner des petits coups de reins qui font donc bouger le gode dans mes intestins. Je continue à crier ma douleur, même si elle, qui de sa main droite me touche le sexe, me dit que je mouille beaucoup et que je dois donc apprécier énormément cela ! Et évidemment, elle me tient toujours la tête par les cheveux !

    Après quelques moments de ce traitement qui me paraissent une éternité, elle se dégage enfin de moi tout en ayant toujours des paroles aussi agréables à mon égard…Je sens comme une brûlure intérieure et ai l’impression d’avoir été ouverte en deux ! Je l’entends qui crache en direction de mon petit puis sens cette salive sur mes fesses, salive qu’elle s’empresse d’étaler à l’aide de ses doigts tout autour de mon anus, voire même à l’intérieur. Ceci dit, cette « humidité » me fait du bien et calme un peu ma douleur.

    - Ouah ! Tu es bien ouverte ! me dit-elle. C’est vraiment très beau à voir.
    - Plie tes coudes et pose ta tête sur le matelas ! m’ordonne-t-elle ensuite

    Je m’exécute, ce qui a pour conséquence, étant auparavant à genoux à 4 pattes, que mes fesses sont maintenant le point « culminant » de ma personne. C’est a priori ce qu’elle cherchait. 

    Elle, toujours à genoux, saisit mes fesses de part et d’autre avec ses mains puis je l’entends qui crache de la salive directement dans mon petit, ce qu’elle n’a aucun mal à faire étant donné qu’il est complètement dilaté. Elle se lève et vient placer le gode qu’elle a toujours à la ceinture juste au-dessus de mon trou. Puis, d’un coup sec, elle le réintroduit complétement et, vu ma position, cela semble plus facile pour elle car il entre beaucoup plus facilement.

    Une fois complètement à l’intérieur, elle lui fait faire des mouvements de va-et-vient comme tout à l’heure mais, bien que j’imagine que mes muqueuses doivent être assez rougies, cela m’est malgré tout plus supportable, sans pour autant réussir à m’amener à la jouissance.

    Après s’être lassée de sa position et avoir ressorti le gode puis contemplée son œuvre en examinant mon petit tout ouvert, elle me saisit la tête par les cheveux et l’amène à hauteur du gode qu’elle m’ordonne de lécher ! J’ouvre la bouche car, honnêtement, je suis un peu sonnée, et elle y enfonce le gode que je lèche donc avec ma langue…avec un sentiment de dégoût même si il s’agit de mon intimité !

    Ensuite, elle retire le gode de ma bouche, défait la ceinture puis vient m’embrasser sur la bouche en introduisant sa langue. Elle me dit qu’elle a passé un bon moment et que la première sodomie est toujours un peu douloureuse mais que je m’y ferai et apprendrai à l’apprécier, ce que je doute fortement. Et finit par me dire que je peux me rhabiller. 

    Je me lève du lit, ressens une douleur immense au niveau de mon petit trou et commence à m’habiller en me disant que je ne pourrai même pas supporter la ficelle du string. A peine ai-je remis ma jupe qu’elle ne trouve rien de mieux à faire que de me donner une petite claque sur les fesses qui me fait tressaillir. Je m’empresse de finir de ramasser mes affaires malgré le mal que j’ai à faire des mouvements et en me demandant comment je vais rentrer chez moi car j’ai l’impression de ne plus pouvoir marcher tellement cela me lance à l’intérieur. Je sens d’ailleurs que mon petit est encore complètement dilaté. Elle m’accompagne jusqu’à la porte et me dit, toujours sur un ton aussi directif et froid, qu’elle a passé un bon moment et sera contente de me revoir prochainement. Je rejoins l’ascenseur de l’étage en ayant beaucoup de mal à marcher et me dis que tous les gens dans la rue vont se douter de ce que j’ai fait vu la façon dont je marche…

    Je me dis également que ce métier est peut-être trop dur pour moi, que j’aurais dû me fier à mon instinct lorsqu’elle a ouvert la porte et que j’appellerai dès le lendemain ma Boss pour décommander tous les RdV, …excepté avec Anne. 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Nous sommes un couple libertin depuis pas mal de mois. Il y a sept mois, pour notre anniversaire de rencontre (6 mois déjà...) nous avons fait un petit repas entre amoureux. Après plusieurs coupes de bulles de soda dans le salon, j’ai commencé à chauffer ma chérie et lui ai demandé un strip-tease langoureux. Elle accepta. Après avoir ôté ses vêtements, elle se mit à quatre pattes devant moi et, après avoir ouvert ma braguette et sorti mon sexe déjà bien dur et mes testicules, elle entreprit une fellation donc elle a le secret.

    Tout à coup, je vis le berger allemand dont nous avions la garde pour le week-end, sûrement attiré par les petits cris de ma chérie, s’asseoir devant son postérieur et nous regarder. Au bout d’un moment, il s’approcha de l’entrejambe de ma chérie, mais elle le repoussa ; il partit se coucher un peu plus loin. Sur le ton de la plaisanterie, je dis à ma chérie :
    – Pauvre chien, il y a peut-être longtemps qu’il n’a pas vue de femelle, ce pauvre petit ; allez, fais-lui plaisir : laisse le sentir, pour me faire plaisir à moi aussi. 

    Après plusieurs refus, elle appela le chien qui vint directement lui sentir la chatte, déjà trempée. Et là, sûrement excitée par la situation, elle écarta ses lèvres ; le chien en profita pour la lécher à grands coups de langue. En moins de trois minutes, elle jouit comme jamais ; quant à moi, mon sexe était tellement dur qu'il me faisait mal.
    Elle reprit ses esprits et continua ma fellation. Mais, d’un coup, le berger allemand grimpa sur elle et chercha à la pénétrer ; il ne chercha pas bien longtemps car elle glissa sa main pour le guider, et le chien commença à donner des va-et-vient très rapides.

    – Oh ! Il grossit et éjacule en moi ! 

    Au bout de quelques minutes, il s'arrêta et ne bougea plus. Et là, re-orgasme pour elle. Moi, j’en profitai pour me glisser sous elle afin de voir la pénétration. Bien plus tard, le chien se décolla de ma chérie et je vis une quantité incroyable de sperme couler de la petite chatte de ma chérie et une queue impressionnante qui continuait à éjaculer. Ma chérie se retourna pour regarder cette grosse queue encore bien dure.

    – Tu veux que je la suce ? 

    Là, je ne savais plus quoi répondre… Mais, sous l’effet de l’excitation qui m’avait envahi, je lui répondis par l’affirmative. Alors, elle se mit à le pomper comme si c’était moi. Elle avait du sperme partout : ça coulait autant de sa chatte que de sa bouche.
    Ensuite, elle vint s'asseoir sur mon sexe bien dur, prêt à exploser ; le chien vint lécher cette pénétration, et il ne me fallut pas longtemps pour avoir un premier orgasme, et un troisième pour elle… 
    Pendant une semaine, nous n’avons parlé que de ça ; et à chaque fois, soit elle se masturbait, soit nous faisions l'amour comme jamais en nous racontant la soirée.

    Un week-end, nous avons eu le chien en pension pour la soirée et la nuit (il n'aimait pas rester seul et, pour manifester son mécontentement, il retournait la maison). Ma chérie m’avait demandé de rechercher des vidéos sur internet pour lui donner des idées... Donc, le samedi arriva, et le chien arriva lui aussi (je passe les politesses avec ses maîtres).

    Nous nous installâmes dans le lit, nus tous les deux, le chien au pied du lit ; je lançai les vidéos de zoophilie. Ma chérie regardait, les yeux rivés sur l'écran, une femme se faire prendre par un berger allemand et jouir très fort. Sa main commença à caresser sa petite chatte. Moi, j’étais dur, très dur... Le chien vint poser son museau sur sa petite chatte et se mit à la lécher ; je pouvais voir des filets de mouille relier sa chatte à la langue du chien. Elle attrapa la tête de l’animal lorsqu’elle se mit à jouir très fort, puis elle se mit à quatre pattes pour que le chien la prenne. Là, il n’y alla pas par quatre chemins : il grimpa sur son dos et la prit directement à grands coups. Je me glissai devant elle pour qu'elle me suce ; elle rejouit, et moi aussi. Elle, qui d’habitude n'aimait pas avaler, ingurgita tout ce que je lui avais mis dans la bouche.

    Une fois le chien décollé d'elle, elle se retourna pour le sucer. Et là, elle avala encore (elle devait sûrement prendre goût à avaler…) ; mais cette fois-ci, c’était du sperme canin ! J'attrapai la pine du chien pour qu'ils soient du cul à cul. Elle se l’enfila par derrière ; ça rentrait tout seul (la mouille plus le sperme du chien, ça devait aider). Et là, elle jouit encore…

    Nous avons dormi à trois dans le même lit plein de sperme et de mouille.

    Depuis cette expérience mémorable, nous prenons le chien une fois par semaine, prétextant que nous aimons jouer avec lui ; quant à lui, il est toujours heureux de nous retrouver ! 

     

    JOUI12R@HOTMAIL.FR

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  • Maman m’a eu à 20 ans en faisant l’amour avec un copain de fac qui ne sait même pas que j’existe.

    Nous vivons tout les deux, depuis 16 ans et je ne lui connais pas d’amant.

    Nous ne nous cachons pas et très souvent je prends ma douche pendant qu’elle se maquille et nous avons l’habitude de nous voir nu.

    Un jour, alors que je me masturbais en prenant ma douche, elle entra dans la salle de bain et bien que la porte vitrée nous séparait, elle s’aperçoit se que je faisais et me dit : « Veux-tu que je t’aide ».. Ses paroles m’arrêtèrent net et je continuais ma douche.

    Quelques jours plus tard, je rentre dans la salle de bain alors que maman était sous la douche, et je vis sa main entre ses jambes et elle se faisait du bien. Du même ton qu’elle, je lui dis : « Veux tu que je t’aide » et à ma grande surprise, elle me dit : « Oui » en ouvrant la porte de la douche.
    J’étais moi aussi tout nu et maman vit ma queue qui commençait à bander, et elle me dit : « La nature t’a bien gâté, je n’ai jamais vu un sexe aussi gros, tu vas en faire des heureuses »

    Maman dirige sa main vers mon sexe, le prends dans sa main et le branle de suite, moi je glisse la main entre ses jambes qu’elle écarte en me disant de la faire jouir par le clitoris.
    Voyant mon inexpérience, elle me dirige pour que très vite elle jouisse.

    Maman s’aperçoit que je vais jouir moi aussi et elle me dit : « Laisses-toi aller dans ma main ».
    Nous jouissons ensemble, et me dit : « Ce soir tu viens dans mon lit, afin que je t’apprenne tout pour faire jouir les femmes » 

    Le soir venu, je rejoins ma mère dans son lit, elle est déjà couchée, et elle m’invite à la rejoindre. Je me déshabille rapidement et viens me coucher, elle me demande de lui caresser sa menue poitrine et de lui embrasser les tétons. Sans me faire prier, je prends un téton dans ma bouche et lui caresse l’autre avec une main, de son coté, elle me caresse le ventre et cela me fait bander, ma queue est énorme et prêt à gicler, ma mère me demande de me retenir pour ne pas jouir trop vite.
    Elle me demande d’embrasser son corps et de lécher son ventre et m’avoue qu’elle fait l’amour plusieurs fois par semaine, mais qu’elle s’est organisée pour que je ne m’en aperçoive pas.

    Maintenant, elle me caresse les couilles et me demande de mettre ma langue entre ses cuisses et de la faire jouir avec ma langue en suçant son clitoris.
    Ma langue découvre son petit bouton et je le prends entre mes lèvres. Ma mère arrose mon visage de cyprine
    Et elle prend ma bite dans sa bouche. Elle me suce longtemps et je me retiens le plus possible pour ne pas jouir dans sa bouche, mais n’y tenant plus, je lâche tout mon sperme entre ses lèvres, ce qu’elle semble apprécier, puisqu’elle avale toute ma semence.
    Nous nous serrons l’un contre l’autre et après quelques minutes, elle me demande de regagner ma chambre et que la nuit prochaine, elle m’apprendra autre chose.

    Le lendemain, alors que j’avais embrassé ses seins et sa chatte, elle me demanda de mettre ma langue dans son petit trou, en me disant que c’était encore meilleur que dans sa chatte, et que cela s’appelle une « feuille de rose ». Devant son insistance, j’embrasse son trou du cul et quel ne fût pas ma surprise, notre position de permettait, ma mère me caressait mon petit trou, et y mit un doigt qui entrait sans trop de mal. Sa langue vient remplacer son doigt, et effectivement cela était très bon, puis elle mit un peu de gel dans mon cul pour y enfoncer deux doigts.
    A ma grande surprise, mon anus se dilatait et les deux doigts entrèrent sans mal et furent rejoint par un troisième.

    Ma mère me demanda de lui faire la même chose. Et très vite ma main entrait dans son cul et me demanda de remplacer mes doigts par ma queue, j’enculais donc ma mère avant de l’avoir baissée.
    Après quelque aller et retour, ma mère me demanda de quitter son cul, pour me finir dans sa chatte et que je jouisse avant elle. Pourtant, elle m’avait dit de me retenir, mais elle me rassure en me disant : « Tu verras qu’avec une peu d'entraînement ru vas y arriver sans problème ».

    Tout les soirs, je partage le même lit que ma mère, et effectivement je me retiens et je lui remplis la chatte au moment de sa jouissance.

    Un soir, alors que je bandais déjà, elle me dit : « Ce soir tu vas goûter à autre chose ».
    Et avant de se coucher, elle ouvre un tiroir et sort un gros gode ceinture qu’elle se fixe à la taille et elle me demande de me mettre à genou le cul en l’air, et après m’avoir bien lubrifié mon petit trou, m’enfonce son gode comme moi je la prends par derrière. Après la première douleur passée, j’apprécie ce genre de baise, et m’avouant qu’elle est bisexuelle, elle me dit qu’elle aime prendre les femmes et les hommes de cette façon.
    Je vais tout t’apprendre m’a t’elle dit et tu vois que je ne t’ai pas menti, tu es devenu un super coup et en plus tu aimes bien avoir une bite dans ton cul, je vais te faire baiser par mes amants qui ne demande que cela de baiser un petit cul, la seule chose que je ne pourrais pas t’apprendre, c’est l’art de la branlette espagnole, j’ai de trop petits seins.

    Je rentrais du lycée et trouve maman en train de prendre le thé avec son amie Sonia, je dis bonjour et embrasse maman sur la joue, et celle-ci m’invite à prendre le thé avec elles, je m’assieds dans le fauteuil en face de Sonia et m’aperçois qu’elle à une très forte poitrine et un peu gêné, je commence à bander en me posant la question : Es-ce une maîtresse de maman ?

    Le soir dans le lit avec maman, celle-ci me dit : « Tu fantasme sur la poitrine de Sonia et elle regardait la grosse bosse dans ton jean. J’aimerais bien moi aussi me la taper, mais je n’ai jamais osée »

    La semaine suivante, Sonia est là quand je rentre, et seulement à la voir je commence à bander, maman lui a parlée de mon fantasme et de la grosseur de ma queue !

    Sans attendre, Sonia ouvre son chemisier et comme elle avait retiré son soutien gorge avant mon arrivée, me montre son opulente poitrine et écarte ses jambes pour que j’aperçoive qu’elle a retiré aussi sa culotte.

    Maman vient s'asseoir à coté de moi et ouvre ma braguette pour faire sortir ma grosse queue et la montrer à Sonia. Qui pousse à cri en la voyant, elle n’en avait jamais vue d’aussi grosse.
    Maman prit mon sexe dans sa bouche et demanda à Sonia de venir nous rejoindre, nous nous retrouvons très vite dans la chambre et Sonia prit ma bite dans sa bouche en écartant le plus possible les lèvres pour la faire rentrer.

    Maman lui suçait la chatte pour bien la lubrifier et que je puisse la baiser sans trop lui faire de mal

    Je rentrais ma queue en elle, et maman, pendant que l’on baisait, préparait son cul.

    Sonia n’avait jamais donné son cul, même à son mari elle avait peur d’avoir mal, elle me demande de ne pas le faire, elle commencera avec une plus petite queue.

    Maman me présentai régulièrement ses copines qui voulait baiser avec un gros sexe et surtout bien jouir, pour la plupart leur mari n’était pas à la hauteur. J’accumulais donc les expériences et maman en profitait toujours, souvent c’était déjà ses amantes.

    Pour mes 16 ans, maman et Sonia me firent une surprise en m’invitant au restaurant. Je fis donc le trajet dans la voiture de maman et Sonia devait nous rejoindre au restaurant.

    Je fus très surpris en voyant que Sonia était accompagnée de son mari qui me félicita d’avoir transformé sa femme en une superbe salope et que ce soir, j’allais pouvoir la baiser et l’enculer puisque depuis quelques temps, il la prenait par derrière et qu’elle aimait cela et ajouta je m’occuperais de ta mère..

    Le dîner se déroula normalement, avec quelques mains baladeuses de temps en temps.

    Jean Pierre, le mari de Sonia, régla l’addition et nous invita chez lui pour boire le champagne et continuer la soirée
    En voiture avec maman, celle-ci m’informe qu’elle couche avec Jean-Pierre depuis un mois, que Sonia est au courant, puisque c’est elle qui la mis dans son lit en trio et pour la première fois, nous allons nous retrouver à quatre, que je pourrais prendre son cul et que je vais me faire prendre moi aussi, que si je connais des bites en plastique, ce soir tu vas en prendre une vraie et tu vas sentir le foutre dans ton cul.

    A peine entrés chez Sonia, nous nous retrouvons nus dans le salon, et Sonia prend ma queue dans sa bouche alors que maman prends celle de Jean Pierre.

    Maman me demande de m’approcher de son visage, et me tends la bite pour que je la prenne dans ma bouche, je la prends entière, et la suce, Jean Pierre envoie tout son foutre dans ma bouche, et maman me demande de tout avaler. 
    Je jouis moi aussi dans la bouche de Sonia qui avale tout elle aussi.

    Maman me passe du gel entre mes fesses, je comprends que Jean-Pierre va m’enfiler et je me mets à quatre pattes pour qu’il ait bien accès à mon cul.
    Sa bite entre dans mon cul et comme pour les godes, je commence à jouir, Jean Pierre après plusieurs aller et retour, me remplit le cul de sperme bien chaud, de son coté Sonia à passer du gel dans le cul de son mari, pour que je puisse entrer ma grosse queue sans mal.

    Jean Pierre s’est déjà fait baisé, mais jamais par une si grosse queue et la première douleur passée, nous l’entendons gémir de plaisir, Nos femmes ne sont pas en reste, elles se gouinent dans un 69 parfait.

    Nous finissons la nuit à quatre dans le lit ou nous changeons de partenaire plusieurs fois dans la nuit.

    Sur le chemin du retour, je dis à maman : « Je me souviendrais longtemps de cette nuit » et l’embrassa pour la remercier.

    Les semaines ont passées, et nous continuons notre vie à deux ou à quatre.

    Un jour, alors que j’étais en train de faire un devoir, maman frappe à la porte de ma chambre accompagnée d’un femme d’environ 70 ans, elle s’appelle Madeleine, et est veuve depuis deux ans, et elle a eu notre adresse par Sonia, elle désire jouir comme elle le faisait quand son mari était jeune, puis maman nous laisse.

    Madeleine commence à se déshabiller, et je vois ses seins flétris et tombants, Le reste de son corps est encore très bien pour son âge et je commence à bander. Elle devait être très bien quand elle avait 20 ans.

    Elle ouvre mon pantalon, pour prendre ma queue dans sa bouche et me dit : « Sonia m’a pas menti tu en as une vraiment très grosse ».
    Je me déshabille, et nous faisons l’amour de tout les coté.

    Puis elle est repartie en demandant à maman si elle pouvait revenir. Maman lui répond que oui quand elle veut.
    Nous nous retrouvons tout les deux et maman me dit : « C’est la première fois que quelqu’un paye pour se faire baiser, je t’ai transformé en pute. ».

    Madeleine vient se faire baiser environ une fois par semaine et un jour, elle m’annonce que sa petite fille va se marier, et qu’elle aimerait que je la baise avant.

    La semaine suivante, Madeleine vient avec sa petite fille Cécile et je dis à maman qu’aujourd’hui se sera gratuit. Cécile me suis dans ma chambre, alors que maman tient compagnie à Madeleine sans oublier de passer la main sous sa robe.

    Cécile sait pourquoi elle est là, sa grand-mère lui à tout dit, elle se déshabille et se couche en m’attendant, je me déshabille moi aussi et je vais la rejoindre.
    Nous flirtons et nous nous caressons, Cécile me dit : « Je suis encore vierge, vas très doucement. »
    Je lui propose de la faire jouir, mais de ne pas la dépuceler et laisser son mari le faire et si son mari n’arrive pas à la faire jouir, qu’après son voyage de noces, elle revienne me voir avec sa grand-mère, ce qu’elle accepte, mais je ne dois rien dire à celle-ci.

    Madeleine vient toute les semaines pour prendre son pied, et un mois plus tard, elle vient avec Cécile que je suis content de revoir.

    Madeleine laisse sa place à sa petite fille, elle sait bien que son mari n’est pas à la hauteur et que la petite n’a pas pris son pied comme elle pouvait l’espérer.

    J’entraine Cécile dans la chambre, et sans ménagement, nous baisons et elle jouit comme la première fois mais cette fois avec ma grosse queue. Je lui apprends à faire l’amour dans toutes les positions et par tous ses trous. Nous sommes restés deux heures au lit et sa grand-mère commençait à s’inquiéter.

    Maintenant Madeleine et Cécile viennent me voir régulièrement et je partage souvent mon lit avec la grand-mère qui me dit il va falloir que ma fille vienne avec nous, et la petite fille qui me dit il va falloir que maman te connaisse elle n’a jamais joui avec papa.

    Bientôt, j’aurais dans mon lit trois générations de femmes et ma mère qui voudra aussi être de la partie. 

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  • Il n'y a rien de meilleur que de sucer une belle bite. J'aime tellement sucer une bite, que je pourrais amener mon mari à vous sucer, tout simplement parce que je le veux.
    Je peux aller au travail pendant toute une journée et avoir envie de sucer une belle et grosse bite. Je ne comprends pas pourquoi les filles aiment ça.
    Je suis dans le lit, mon mari est étendu tout nu sur le dos à moitié endormi, je rampe dans le lit avec précaution, jusqu'à ce que ma tête soit à la hauteur de sa bite qui est en ce moment encore molle. Je m'appuie sur les mains et je la renifle un peu cette belle verge.
    Je me mets à quatre pattes entre ses jambes pour avoir une bonne position. Lentement j'avance la pointe de ma langue jusqu'à son haine, mais il se réveille car ça le chatouille. Je continue de manière agaçante à lécher et à embrasser tout autour du gland de sa pine, et je pense que ça va venir bientôt.
    Je suce la hampe lentement et la bite réagit immédiatement. Je suce longuement toute la hampe et je sais que la bite va devenir de plus en plus dure. Il gémit à la tête du lit et je pense que le moment est venu pour prendre l'affaire sérieusement. 
    Avec ma main je saisis la bite maintenant en érection. Je la branle puis je passe ma langue autour du gland. 
    J'ouvre la bouche et je fais disparaître sa verge tout au fond de ma gorge.
    Je suis tellement excitée que je jouis autant que mon mari.
    J'aime la sensation d'une grosse bite dure dans ma bouche. Je suce de plus en plus vite. Après un certain temps je m'arrête, puis doucement je suce et j'embrasse un peu la belle verge. Il me demande de continuer à sucer et j'ai tendance à ne pas trop me presser pour reprendre ma fellation. C'est un pouvoir que la femme a, de sucer un homme.
    Il peut y avoir une raison qui explique la raison pour laquelle j'adore le sucer, car on peut sentir l'excitation s'intensifier, excitation que la femme aime contrôler.
    Pour pimenter un peu l'amour la femme peut passer son doigt sur le trou du cul de son mari et tracer des petits cercles sur l'anus. 
    En effet la plupart des mecs estiment que cette caresse intensifie considérablement le plaisir. Sous la douche un doigtage du petit trou ou mieux encore une langue s'introduisant dans le trou du cul peut contribuer à une ambiance sexuelle particulièrement agréable.
    Je pense qu'il est souvent difficile d'enfoncer la pine entièrement dans la bouche de la femme surtout si la verge est très grosse et très longue.
    J'essaie toutes les fois d'introduire la bite de mon mari le plus loin possible dans ma gorge et je pense que je commence à bien connaître la technique.
    Mon mari comme mes amants ne se sont jamais plaints, au contraire ils m'ont toujours considéré comme une bonne suceuse.
    Je suce en alternance rapidement ou alors lentement et avec la pointe de ma langue je parcours le gland doucement, je fais des petits cercles, ce qui est extrêmement jouissif pour mon mari que j'adore.
    Lorsque je sens qu'il va décharger, je suce très rapidement pour l'aider à juter dans ma bouche. Le sperme je le garde naturellement, puis je l'avale, car c'est très bon le foutre d'un homme....
    Portez vous bien et sucez votre homme très souvent et surtout ne recrachez jamais son sperme. 
    Ce serait dommage de ne pas goûter à cette excellente liqueur d'amour. 

     
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