• Il est six heures du matin, quand Dany et Mimiga, jeune couple, rentrent de boite, accompagnés de JOUI12R, le copain de toujours. La nuit a été arrosée, à tel point, que Dany est pété comme un coin, Mimiga, est à la limite. Seul JOUI12R, désigné comme capitaine de soirée, est à peu près lucide.
    Ils font une rentrée fracassante dans l'appartement, les rires fusent pour un oui, pour un non. après moult embardées, le trio parvient à atteindre le salon, pour y déposer Dany, qui s'effondre littéralement sur le canapé.
    -je vais prendre une douche, dit Mimiga, çà me réveillera.
    Au bout de dix minutes, Mimiga revient en peignoir, et une serviette autour de la tête. Elle est tout simplement ravissante.
    -Dis..au fait JOUI12R, qui a profité du manque de lumière dans l'escalier, pour m'oter ma petite culotte, et me mettre un doigt dans la chatte.
    JOUI12R se ce sent pas gêné...
    -i!i!i!...
    tout a fait coch*nne,je me sent bien en3!!!?
    ... c'est vrai qu'il est le seul à être à peu près en état, çà ne peut être que lui. D'ailleurs, il s'en excuse pas ce obsédé qui aime çà!?.
    -siiiiiiiiiii,ta raison,coch*nnnnnneee!?
    -Ouais, çà va pour cette fois!?..., le rassure Mimiga, mais t'avise pas de recommencer...Mon dieu, mais il t'as vomi dessus...oh la, va te doucher...il y a son peignoir derrière la porte.
    -attend!...,tu le cherche COCH*NNE tu en veux,tu vas en avoir.........i!i!i!,c'est cool!,j'adore cette situation en toute mouillé 

    C'est tout souriant qu'après s'être rafraichi, JOUI12R rejoint Mimiga au salon. Celle-ci est entrain de sortir le pantalon de son ami, exposant son sexe.
    -Mon dieu...pauvre chéri...ta bite est toute mole...toi qui avais promis de me mettre un coup de queue en rentrant...ben dis dont...c'est pas avec çà...
    Mimiga va à la cuisine préparer un café salé. JOUI12R la rejoint, et la prend par la taille. Il fait glisser le peignoir sur les épaules de la jeune femme, l'embrasse dans le cou. Mimiga sent un agréable frisson parcourir son échine.
    -Pour le coup de queue, çà peut s'arranger, dit-il.
    -Je t'en prie, répond-elle, ne profite pas de la situation, retournons au salon.

    Mimiga s'assied sur le canapé, à côté de son ami, JOUI12R s'installe à sa gauche. Mimiga envoi une main, et saisi le sexe inerte de Dany.
    -Pauvre Doudou...tu as trop bu, hein? Et je fais quoi moi...
    JOUI12R profite d'un moment d'inattention de la jeune femme, pour glisser une main sous le peignoir. Il se rend compte que Mimiga est beaucoup moins farouche. Il dénoue alors le vêtement, en ouvre les pans, et découvre un corps magnifique. Il saisit la jambe de Mimiga, et la pose sur ses genoux. La jeune femme se retrouve les cuisses écartées, complètement offerte.
    JOUI12R décide de faire une deuxième tentative, et glisse deux doigts sur la fente impeccablement épilée.
    -Qu'est-ce-que tu cherches salaud...tu veux me troncher...devant lui..pour lui faire voir que toi tu en es capable...c'est pas bien çà...
    -siiiiii,cest bien ma coch*nne de te bien dilater...et c'est moi qui va te faire çà,en couple général en ravissante chienne...
    -Tu ne veux pas que j'arrête, demande JOUI12R.
    -Tais toi, grand fou...ouvre la...pénètre la...fais la mouiller..tu vois pas qu'elle a envie.
    Pour être plus à l'aise, Mimiga ôte le peignoir, et s'offre sans retenue aux caresses vicieuses du soi disant copain de Dany. Les doigts ouvrent sans vergogne les lèvres intimes, le clitoris est extrait de sa capuche, ils pénètrent la chatte maintenant humide.
    -Ha...tu sais ce que les femmes aiment toi...moi aussi je sais ce que vous aimez...dit Mimiga
    Je tens une main, ouvre le peignoir. Elle soupèse les couilles bien pleines, branle l'énorme bite entièrement décalottée.
    -Ben dis dont...mon salaud...tu es vachement calibré...c'est exactement ce qu'il me faut cette nuit.
    -coch*nne,je vais t'en donner une soirée à consacré
    Mimiga s'assied à moitié sur les genoux de JOUI12R, pour qu'il puisse bien la doigter, et lui caresser les seins pendant qu'il la nique. Elle hurle de plaisir quand la bite coulisse dans sa chatte pleine de mouille.
    -Oh Dany, gémit-elle, ton copain...si tu voyais la cartouche qu'il est en train de me mettre..oh putain...le calibre...dors tranquille mon amour...je suis dans de bonnes mains...
    Dix minutes plus tard, Mimiga a un orgasme terrible, à réveiller l'immeuble.
    Dany cligne des yeux. Même si les contours sont flous, il distingue les corps en train de faire l'amour, mais est incapable d'intervenir. Petit à petit, les images deviennent plus claire, et là, il n'y a plus de doute. Il assiste impuissant aux ébats érotiques de sa copine. Il la voit tailler une pipe à vider les couilles d'un taureau, il voit le foutre couler sur ses lèvres, passer la langue pour le récupérer, il l'entend gémir de plaisir, supplier son copain de la sodomiser.
    -i!i!i!,je vais te faire te gratter le ventre ici!
    -Enfin, soupire-t-elle...un mec qui m'encule...oh putain...que du temps perdu...
    -JE VAIS TE LIBERER EN REVE DESPOIR DE NE PLUS GCACHER TA VIE. 
    Les mots blessant résonnent dans la tête alcoolisée de Dany. Des comparaisons qui font mal concernant la taille de son sexe, et de ses performances sexuelles.
    -Mais pourquoi j'ai pas une bite comme çà plantée dans le cul tout les soirs,se plaint-elle...A côté de çà, j'ai un fifre qui ramolli à la moindre goutte d'alcool..
    -tiens,tiens,attrape ce fifre...tiens va le chercher,cest moi ton chef de ta musik??? .vas-y mon chéri...vide toi les couilles dans mon petit trou...fais toi plaisir...te retiens pas....gratte moi le clito...oui...là...

    Mimiga a des idées de plus en plus perverses, humiliantes vis à vis de son copain alcoolo. Elle s'installe à genoux sur le canapé, face à lui. Il a une vue imprenable sur les seins et l'entre cuisses de sa vicieuse amie.
    -Vas-y...prend moi en levrette...comme çà...
    Même s'il juge que Mimiga va trop loin, JOUI12R profite de l'occasion. Il place sa bite contre sa chatte, et la pénètre jusqu'au couilles.
    -Hou...hou...enfoiré..tu m'ouvre en deux là...fais voir à ce cocu de quoi tu es capable...dis moi quand tu viens...j'y tiens...je veux qu'il savoure lui aussi...
    Sans connaitre la suite, JOUI12R ne prévient pas Marlène quand il sent la sève monter en lui.i!i!i!;coch*nne
    -Han...il a décharger...han...han...me bien remplir
    Mimiga se redresse d'un bloc, et oriente la queue de JOUI12R vers Dany, qui, surpris, ouvre grand la bouche. De puissants jets de sperme giclent sur son torse et son visage.O'0'O!!?,ce n'ai pas normal,COCH*NNE...
    -L'enfoiré, dit-il, il m'a craché dessus...j'en ai même avalé...dégueulasse...CE NAI PAS MON PROBLEME? dit:,JOUI12R
    -Et c'est pas fini mon chéri, sourit Mimiga, tu vas bien lécher et nettoyer la chatte et le cul de ta petite femme avec ta langue...
    Encore dans les vaps, Dany n'a d'autres choix que d'obéir, et s'attéle à la tache.
    Mimiga ne reste pas inactive. Elle saisit les couilles de JOUI12R, et les tire à elle.
    -Viens ici toi, que je te taille une pipe...                                                       -LA CO.CHON.NEEE!!!!! JE NE SUIS PAS DEGONFLER...
    JOUI12R@HOTMAIL.FR



     
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  • Lorsque je sortis de la salle de bain, il était 14h passée, comme c’était ses habitudes,il n’était pas encore rentrée,Cyclone était sorti comme il le faisait toujours a cette moment, , mais comment publier, ? , presque toujours, J'avais faim, je me prépare quelque chose a manger, en essayant d'oublier ce qui s’était passé le matin, j'avais encore le gout de la foutre du chien sans la bouche, bon, me dis -je c quand même pas la fin du monde, je n'ai fait aucun mal, je ne cessais de penser, a cet sexe dans ma bouche, a la langue du chien me travaillant la chatte, et je ressentis un tressaillement entre les cuisses, je dois avouer que c’était bon, pourquoi le nier? J’étais a mes pensées quand le mobile sonna, ???,
    - oui chéri, ça a été au taf mon beau? tu rentre quand? - ça va mon bébé me répondit-il, tout baigne; le hic c'est que je ne pourrais rentrer le soir, 
    - QUOI,?
    - oui ma belle! suis obligée de dormir a l’hôtel l vu que je me trouve a Genève - en suisse?
    - oui ma belle, et puis t'es assez grande pour passer la nuit toute seule, et t'a avec toi, les chiens, et les gardes , sans oublier ton Fidèle compagnie, Cyclone,
    - je fus surprise pas en l'entendant dire ça, . mon compagnon Cyclone, ah s'il savait; voyant que j'avais rien a dire de plus, je luis un bisous en ligne, et lui demanda de prendre soins de lui!
    - je t'aime mon cœur, bébé, t’inquiètes pas, rien ne pourra m'arriver, allez bises, chérie, et t'endors pas tard, bye, tout se passa comme si rien ne s’était passé ce jour là, jusqu'au soir, je prend mon dîner qui était assez léger comme a l’accoutumée, et je m'assois devant la télévision, puis je me dis que je devais me rafraîchir le corps, et je me précipite, dans la salle de bain, ayant fini, je m'enveloppe dans une longue serviette et sortis, sans culotte, je pris un verre de jus, et je m'accoude au fauteuil, du salon, c'est là que Cyclone me fit revenir a la réalité, je l'avais oublié, en fait je voulais l'oublier sans y arriver, il s'approche de moi, et s'assit a mes pieds, je commence a lui caresser le poils, je me lève, et lui prépare son repas, comme j'avais l'habitude de le faire, ayant fini sa pitance, il vient a moi, en quittant la cuisine, et se mit sur les pattes de derrière, en regardant la télévision, je le regarde, discrètement, il me faisait envie, j’étais en chaleur, rien qu'a le voir dans cette position, j'eus le souffle coupé, je tendis ma main, doucement vers sa bite, et je commence a le caresser, je suis folle, m'entendis-je dire, ou plutôt crier, je m’arrête, je cours dans ma chambre, je branche mon pc, et je me connecte a ce site, par hasard, en cherchant, je voulais savoir, comment cela se passait, et si j’étais normale, je désirais baiser avec un chien, je ne pouvais plus, et d’après ce que je lis, et ce que je vis, comme histoires et vidéos traitant de la zoophilie, je compris, qu'il fallait prendre des précautions surtout avec des chiens, comme le mien, je pris des torchons, et lui enveloppa les pieds, en l'appelant dans la chambre, il ne comprenait rien, ou faisait semblant, nul ne pourrait savoir ce qui se passait dans sa tête, ou disons décrypter ce regard, dont il me gratifiait, voilà, je jette la serviette a terre, lui faisant contempler, mon corps nu, puis me mettant sur le dos, jambes écartées, je lui ordonne de s'approcher,
    - viens mon bébé, n'aies pas peur, approches, il n'attendait que celà, je lui pris la tète et la guida, vers ma chatte toute mouillée, il commença sa besogne, avec tact, il me léchait de partout, les cuisses, l'abdomen, puis s'attarda a ma fente qu'il trouva offerte, je crie de plaisir, c’était bon, je sentis mon cœur battre la chamade, j’écarte plus encore les cuisses, -OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE§ AHHHHHHHHHHHHHHHHH! je me tourne de façon a ce que je puisse atteindre son bidule, sans éloigner ma chatte de sa bouche, et commença a le masturber, il commença a bander, et je vis l'engin sortir de son fourreau protecteur, WAOOOOOOOOOOOOOOOOOOO! QUEL BITE! elle devait avoisiner les 25cm; et très dur en plus, restait le plus difficile, comment lui faire ce que j'attendais de lui, et comment allais-je m'y prendre, je fis ce que j'ai vu faire dans une vidéo, je me mis a quatre pattes, et je lui tends ma chatte il continua a me lécher, plus vite encore, je l'invite par des gestes, tout en le guidant a me grimper, il arriva, après des essaies infructueux, ses pattes de devant me serraient le corps, il était sur moi, je sentis son engin, cherchant une entrée, où loger sa bite, lorsque je sentis sa bite contre mon cul, je tressaillis, je la guide, vers mon vagin, en me baissant plus encore, ahhhhhhhhhhhhh, merde! il était en moi, je sentis qu'il allait m’écarteler, j'allais m’évanouir, je sentis un douleur intense, avec ses va et viens incessants, et qui s’accélérait au fur et a mesure, je jouis, sous l’étreinte de mon amant, lorsque je ressentis une cascade de foutre m’inonder, j'eus peur, ça n'allait pas finir ? et je touche mon ventre instinctivement comme pour m'assurer, qu'il n'enflait, pas, j'avais mal, mais j’étais au 7me ciel, la douleur commençait a s’atténuer avec tout ce qui a coulé, de moi et du chien, laissant place, a un feu ardent qui brûlait mes entrailles, c'est là que je me trouve aplatie contre le sol, par une poussée brusque qui a fait que la boule a la base de sa bite venait elle aussi, a pénétrer suivant le reste, j'ai eu l'impression a ce moment là que ma chatte allait s’éclater, je ne pouvais plus bouger, avec son poids imposant sur moi, je m'entendis pleurer, je voulais me retirer, m’éloigner, de lui, mais la boule faisait office de bouchon bloquant tout de l’intérieure, je jouis je ne sais combien de fois, et le foutre qui ne cessait de se déverser en moi, ajoutait a mon plaisir, quelque chose que je ne saurais décrire, je sentais que je flottais, quand mon amant se retira, brusquement, en laissant se déverser le trop-plein de foutre qui coula le long de mes cuisses, je tombe sur le coté, j’étais éreintée, je pouvais pas bouger, ma chatte me faisait mal, je me traîne un peu plus loin de la marre, en rampant? Cyclone revint a moi, et commença a nettoyer sa chienne, je lui caressait et l’amena a hauteur de ma bouche, je lui fis un grand bisous ou s’entremêlèrent nos deux odeurs, je lui ordonne de se coucher, a coté de moi, ce qu'il fit, et je l'enserre dans mes bras, nous restâmes ainsi, je ne sais combien de temps, je tend ma main a ma chatte, et enduit mes seins de foutre, en les lui tendant, il se mit a l’œuvre, comme jamais aucun mec ne l'avait fait c'est a croire qu'il a été dressé pour ça, uniquement, je luis souris, et l'invita d'une claque amicale, a s’éloigner, il s’éloigna de moi et alla se régaler du nectar qui formait sur le sol une belle marre, je me relève, péniblement, mais en voulant me déplacer, je retombe, j'eus peur, il m'a cassée quelque chose? et là des visions vinrent me perturber, est ce que je pourrais marcher normalement après Cette expérience? est ce que je n'allais pas tomber enceinte, de cyclone, et mettre bas un chiot ? est ce que je n'allais pas devenir accro? est ce que le chien n'allait pas commettre une folie et essayer de me prendre devant mon mari, est ce que je pourrais lui résister si jamais, je n'avais pas envie ou que l'endroit ne s'y prête pas, ou le moment? je me fis la promesse que c’était la dernière fois, promesse, que j’oubliais, j’étais, devenue chienne, et mon amant était un berger allemand, c’était comme ça, et rien n'y personne, ne pouvait changer quelque chose, et puis a peine, terminé nos ébats que j'en avais déjà envie de lui, je m'endormis a l'endroit même où je m’étais affalée sans force, le chien me réveilla, a 2h du mat, enfin, n'ayant pas regardé l'heure je crois que c’était ça, je me relève difficilement, lui ôta les torchons des pattes, et je me jette toute nue, telle que j’étais sur mon lit en prenant soin de sortir le chien et de fermer la porte de la chambre a coucher a clef, ça ne s’arrêta pas là...
    Pas la peine de vous dire que cette nuit fut longue, très même, je me remémorais tous les instants que j'avais vécus le soir, incroyable, j'avais baisé avec mon chien, et j'ai trouve ça super, le matin, en me levant, je vis mon amant qui louchait vers moi, et mi gratifia, d'un aboiement, qui semblait dire : _alors pétasse, t'a eu ton compte, il me semblait qu'il me narguait en plus, je continue mon chemin jusqu’à la salle de bain, et je laisse couler, au fond de la baignoire, en sortant après, deux heures, si ce n'est plus, le salon était désert, le chien n’était pas là, je passe a la cuisine, je me sert un café chaud, que je prends avec moi au salon avec des croissants, je m'installe confortablement, et commence a siroter mon café, en zappant les chaînes. ouf !, rien d’intéressant, je clique sur la télécommande, la pose et me dirige vers mon micro, que je connecte, je n'arrivais pas a me décider sur quoi aller me poser, et sans que je su comment, j’étais déjà sur un site de zoophilie, je matais des vidéos de femmes baisant, et suçant des chiens, et des chevaux, je sentis mon cœur battre, ma respiration s’accélérait, je me surprend en train de me caresser le corps, j’étais en chaleur, j'avais envie, très envie, telle une droguée en manque, j'allais crier, je me serre les seins, a me faire mal, j’étais toute mouillée,quoi? inondée plutôt, oui. que vais je faire? je me lève, j'ouvre la porte, j'avais l'intention, de prendre ma voiture, et de rouler, a grande vitesse dans n'importe quelle direction, quand je vis, zoltan, zoltan, c'est l'un des mes trois chiens, le troisième c’était dragon, enfin c'est pas moi qui leur ais donné ces noms, ils les avait quand ils ont élus domicile chez moi, je le siffle, et luis fis signe de me suivre, zoltan, était de ces chiens bâtards croisés, et qui avait plus du loup que du chien, musclé, le poils roux, obéissant, mais imprévisible, je n'irais pas jusqu’à dire docile, non, il ne se doutait pas de ce que je voulais de lui, d'ailleurs comment pouvait il s'en douter ? je me dis qu'avec lui je devais faire très attention, et être très prudente, je pris des chaussettes, les lui enfilent en prenant soin qu'elles ne glissent pas, et que ses pattes, et ses griffes ne se trouvent libérées, je dispose des coussins sur le sol, l'un a coté de l'autre, et je me mets sur le dos a poils, sur les coussins, vous devinez pourquoi, pas la peine de vous faire un dessin, ma chatte me faisait un drôle d'effet, elle avait envie, d’être dilatée,je mouillais, j'entre mes deux doigts et les ressortis, tout humides, mon chien était a coté de moi essayant de comprendre ce qui se passait dans ma tête.
    _viens mon bébé lui fis ! approches toi ! là: tout a coté de moi! oui comme ça! t'es chou, 
    je lui tend ma main presque ruisselante, il tend sa langue, curieux mais prudemment et il commença instinctivement a me la lécher, il trouve très vite goût, j'avance l'autre main et je commence a le masturber, je ressentis sa bite qui enflait et essayer de se frayer chemin, de la gaine, je toisais ce bel engin qui fut que mon envie se transforma en folie, je pouvais plus attendre, fallait que je le fasse, j’étais comme qui dirait hystérique. Je lui pris la tête et l’avança, doucement de ma chatte ruisselante, sans gestes brusques, sa langue se mit a la besogne, doucement au début, puis le rythme s’accéléra, j'allais m’évanouir, tout vacillait autour de moi, je ne peux vous décrire le plaisir qui m'envahissait, un plaisir diabolique, intense, qui a fait que je perde toute faculté de raisonner, est ce un rêve? est ce un cauchemar ? je m'en fichais du moment que je vivais un instant ferrique, j’étais a mes pensées quand le chien sauta sur moi et me fit atterrir, sa bouche était contre la mienne, ses pattes de devant m'enserrait la poitrine, son engin cherchait fébrilement une entrée, je passe ma main sous lui, attrapa sa quéquette et la guida, entre les lèvres de ma chatte, ce que je sentis entre mes mains me fis un choc, et je me dis que je ne pouvais jamais absorber ce bidule, et qu'il fallait que je stoppe tout maintenant, trop tard, une douleur me traversa le corps, il était déjà dedans et ses vas et viens, ont commencé, je jouis, j’étais dans un état de droguée la bête me fourrageait inexorablement, je ressentis comme un flot qui se déversait en moi, des rasades a ne pas en finir, je tenais le chien, je le serrais comme si j'avais peur qu'il ne change d'avis, sa langue me léchait le cou, le visage, j'ouvris la bouche et l'attrapa, je me mis a la lécher, il bavait et dans la position, où j’étais, j’étais obligée d'avaler, il ne cessait de jouir, le salaud, et je me demanda combien de litres mon ventre pouvait contenir, lorsqu'un coups brusque, je fus jetée en arrière, l’engin au complet se trouvait a l’intérieur de mes boyaux, la boule est parvenu a se frayer passage, elle aussi, j’étais au ciel, je flottais sur un nuage, la douleur s'estompa laissant place au plaisir immense qui m’électrisait le corps, je sentais ma chatte se dilater, je me demande même s'il ne m'a pas vraiment déchiré le vagin, brusquement il s'immobilisa, il avait fini, de se vider en moi, et c'est là qu'il fallait être attentive, et prudente, maintenant il va se retirer, quand? comment, je n'en sais trop rien, mais la chose que je ressentais en moi, s'il fait ça brusquement, risque de m'arracher le vagin, je me mis a lui parler doucement, et a le lécher,tout et le caressant afin qu'il patiente le temps nécessaire pour la boule de déverser ce qui restait bloqué en elle de sperme, parce que je ressentais en moi les jets qui continuaient a me fouetter,
    _ t'es beau chéri ! m'entendis je murmurer, restes gentil ! je t'adore ! et je le serrais encore plus, contre moi, sa langue me gratifia d'un moment a l'autre d'une lèche magistrale, je désirais que ça n'en finisse pas, ah! s'il pouvait me comprendre, je lui aurais murmurer, a l'oreille des mot doux, mais n’empêche que je lui murmurais 
    _ bravo mon chou, je pourrais jamais te remercier pour ce que tu m'a fait vivre, t'es mon bébé, suis ta chienne, t'es mon amant, 
    _t'es un amour, et je plaque ma bouche contre la sienne dans un long baiser, a croire qu'il comprenait, 
    _ suis folle ! je parlais a un chien et me disait qu'il me comprenait ! ou alors j’étais une chienne et que je ne le savais pas, je ne peux estimer le temps qu'on est resté en sembles enlacés comme deux amants qui avaient peur de na plus se retrouver une autre fois, quand il se retourna, et resta un moment collé a moi, 
    _ mais putain, ça coule encore, cette fois ci, de nous deux, les deux foutres se mélangèrent, de là où j’étais, je voyais son derrière, j’étais essoufflée, 
    _ quand il se libéra enfin, avec un flocccccccccc! je sentis que mon ventre déversait sur le sol une quantité impressionnante de sperme, et de mouille mélangés, qui venaient rencontrer le parquet avec un bruit de ruissellement, mon amant se retourna, et commença a m’essuyer, avec tact, il me lécha partout, la chatte, les cuisses, et le cul qui dans la position où j’étais a eu sa part de semence, puis il s'affaira sur la marre au dessus de mon cul, et il se donna a cœur joie, tandis-que je restais a marmonner je ne sais quoi d’incompréhensible, je me tire un peu loin en rampant, tant la douleur était dure a supporter, je bascule des coussins, et je m'allonge a même le sol toute nue, 
    _si mon mari venait a me surprendre dans cette position, avec le chien qui lapait nos deux semences !
    _ c'est ce qui me fait me redresser avec peine, rejoindre la douche, je restais assise, ne pouvant me mettre debout et commença a me savonner, tout en laissant l'eau couler sur mon corps, et salope que j’étais, et perverse a l’extrême je me mis a imaginer, les deux chiens en train de me sauter comme j’étais, là

    ce qui tarda pas a se concrétiser après quelques jours...
    il était sept heure lorsque je sors de la maison pour faire mon jogging, et comme toujours, je me fais accompagner par un de mes chiens, cette fois-ci, mon choix tomba sur dragon, un caractère de chien, mais je l'aimais beaucoup, depuis le jour où il m'a sauvé la vie d'un serpent que j'ai failli écraser, et la riposte aurait été ; je n'ose même pas l'imaginer.
    après deux heures de courses avec mon compagnon, on arrive à la rivière, cette fois-ci de l'autre côté de la propriété, le soleil était assez haut à cette heure, neuf heures passée de quelques minutes .je m'assois pourà reprendre mon souffle ; lorsque j'entendis mon chien qui grognait en fixant une direction, je suis son regard en lui faisant signe de se coucher, et je m'avance prudemment de quelques pas, pour voir ce qui se passait non loin de moi, et là, je vois, un homme debout qui tendait sa bite à une femme à genoux, qui lui faisait des prouesses, mon regard ne pouvait quitter l'engin, musclé de l'homme, et de là où j’étais, je pouvais voir la taille impressionnante de l'engin que sa main n'en cachait qu'une partie en le tenant, qu'il était beau,! et la femme trouvait son plaisir et gloussait, je mouillais, je porte instinctivement ma main à ma chatte, et je sentis que ma culotte était toute trempée, puis prenant conscience qu'il fallait pas être là, je recule tout doucement et je m’éloigne un peu plus loin pour qu'ils ne s’aperçoivent pas qu'ils n’étaient pas seuls, 
    _je m'affale sur la serviette sur le dos, j'avais le souffle coupé les battements de mon cœur s’accéléraient, qu'allais-je faire ? me joindre à eux par un stratagème ? me présenter directement et leur demander de me joindre à la partie? que diront-ils? et s'ils m'envoient chier au loin? beaucoup de questions sans réponses trottaient dans ma tête, quand mon chien me fit revenir à moi lorsque je sentis sa langue, entre mes cuisses, parce qu’entre temps, j'avais ôté mon pantalon de survêt et ma culotte, il a dû sentir la femelle en chaleur, il râpait soigneusement l'entrecuisse et avec tact, ce qui rajouta à mon désir à tel point que je m'entendis murmurer -ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii mon beau, vas-y, fais moi inonder, tout en lui caressant la tête, lorsque brusquement il s’arrêta et redressa les oreilles, et se mit comme pour protéger sa chienne entre moi et je ne sais quoi, je le calme, en le serrant fort contre moi, et je scrute dans la direction où son regard était allé, lorsque je vis le couple s’avancer vers moi, sans nous voir, je me lève à la hâte, ce qui déplut fort à mon amant à en juger pas son grincement de canines, ils furent plus surpris que moi, 
    - oh pardon, on s'excuse, on savait pas 
    _ et l'homme fait signe à sa compagne de lui emboîte le pas pour s’éloigner
    _ que vais je faire? il était là devant moi, lui qui m'a faite mouiller rien qu'à mater sa bite, et il va s'envoler ? ah, ça jamais, 
    - venez, c’est pas grave faisons connaissance puisque vous êtes là, moi suis S....... et vous? sûrement que vous habitez dans le coin sinon vous serrez pas venus jusqu'ici c’est trop loin de la ville - oui me répondit l'homme vous avez vu juste mademoiselle 
    _madame, vous êtes? _moi c'est Alain et ma copine c’est Hélène, et permettez moi de vous dire madame que vous êtes ravissante,
    - venez et prenez place, enchantée, Hélène approche, n'ayez pas peur, le chien ne fait que ce que je lui ordonne de faire 
    la jeune femme s'approche de moi et s’assit à même le sol, elle était de ce genre de femmes qu'on peut qualifier de mignonnes avec des lèvres sensuelles, son compagnon la rejoignit.
    _je ne trouvais rien à dire pour démarrer la discussion, je leur fis part que je les ai matés, je dis ça tout en regardant le visage d’Hélène et voir l'effet que ça lui ferait, elle rougit, et elle devint encore plus craquante, Alain, me regarda, et de suite - et t'as trouvé ça comment? ah voilà salope c'est à ton tour de bégayer, -he! quoi? enfin ! je rougis, ne trouvant pas les mots, puis tout de go, bien, je lance, en cachant mon visage par mes mains ! sa main était dans ma fente, entre mes lèvres, je pense qu'il n'attendait que ça, que je lui dise que j'ai trouvé ça bien, et honnêtement oui, j'avais envie de cette bite, Hélène que j'avais oubliée sous l'effet du désir qui montait en moi s’était approchée furtivement et commença à me sucer le sein, mon corps se raidit , j’écarte plus les cuisses pour permettre à sa main d'aller encore plus loin, ahhhhhhhhhhhhhhhhh, je n'en pouvais plus je me relâche totalement et m'offris à eux deux, Hélène m'avait soutiré le haut, d'une main experte sans mouvement brusque, ce qui m'enleva toute faculté de raisonner, je ne faisais que gémir, les larmes aux yeux, ma main alla chercher cette belle chose qui m'avait fait tant d'effets, il me facilita la tâche en enlevant son pantalon, je commence par lui caresser les couilles, waooooooooo! comme elles étaient pleines, la langue d’Hélène s'affairait dans ma bouche, ne laissant sortir que des gémissements, elle était formidable, je sentais mon bijou entre mes mains prendre de l'ampleur, et s'endurcir, je retire doucement ma bouche de l’étreinte de la femme et la dirige vers l'objets de mes convoitises, j'eus de la peine à la faire pénétrer dans ma bouche mais j'y arrive quand même, quelle belle bite me disais-je ! avec ma langue je sentis un filet d'un goût salé que je trouvais super, Hélène ne désirant pas rester inactive se trouva une occupation avec les lèvres de ma chatte qu'elle trouva à son goût, de la manière dont elle s'attardait en les mordillant d'un moment à l'autre, je léchais la bite dans toute sa langueur en prenant soin de l’imprégner de ma salive au passage de ma langue, je fis signe a Alain de se mettre sur le dos, ce qu'il fit et je monte sur lui, en tenant sa bite dans ma main je la dirige vers ma fente humidifiée et lubrifiée par ce qui a coulé d'elle, je descendis doucement sur la verge qui écartait ma chair, pour se frayer passage, Alain se redressa un peu de façon qu'il put avoir mon sein dans sa bouche, je l'embrasse sur le front en écartant les jambes de telle sorte que je ressentis un douce douleur dans mon ventre, l'engin avait fini par se caler en moi, je remontais et redescendais à un rythme calme au début qui deviendra à la montée du désir frénétique, AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii? ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE, mmmmmmmmmmmmmmm!puis je me lâche en ressentant mon intérieur se faire inonder, en lui plaquant ma bouche sur la sienne, je l'entendis me dire des mots gentils, il criait, et me traitait de salope, et de cochonne, lorsqu'il avait la bouche libre, là je m'affale sur lui en relevant mes cheveux et lui offrant mon cou qu'il suça et lécha avec grâce, on resta comme ça une dizaine de minutes , puis voyant que je désirais me relever il m'aida, en m'enlevant avec son corps, je tombe à côté de lui sans force, et je le lui caresse le visage, en souriant, puis je lui tends mon bras et l'invite à venir contre mon sein, je continuais à le caresser en l’embrassant sur le front, Hélène est venue se caser dans mon autre sein, je les serre tous deux contre moi très fort, et on resta ainsi pendant des minutes sublimes, et tout n’était pas fini, ce qui allait suivre, dans les quelques instants qui suivirent qu'une autre étape encore serait franchie, attendez moi, pour la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
    Il était 13h passées, lorsque je retournai à ma maison, toute bouleversée par ce qui venait de se passer. J'avais baisé avec le premier rencontré, j'avais honte et en plus, j'avais aimé, moi qui étais mariée. Je me dirigeai vers la cuisine, me préparai quelque chose de léger et je me dirigeai vers la piscine. Il faisait très chaud, j’ôtai mes vêtements, ne laissant sur moi que le string et le soutien et je m'allongeai sur un matelas, étalé sur le bord. Je sirotais mon jus quand le mobile sonna, c’était Hélène, avec qui, entre temps, j'avais échangé nos numéros.

    « Ah, c'est toi, Hélène ! Ça va, depuis ?
    – Oui, ça va, ma belle, Alain est tout remué par ce qui s'est passé, il a trouvé super et pour tout t'avouer, moi aussi, merci !
    – Pourquoi me remercier ma belle, j'ai trouvé mon compte aussi !
    – On se retrouve au même endroit ? J'en ai envie, qu'en dis-tu ? Alain est d’accord ! »

    Je ne m'attendais pas à ça, je fus surprise ! Je mis du temps à lui répondre. Je réfléchissais et me demandais si je devais accepter, puis tout de go !

    « Écoute, Hélène, j'ai une meilleure idée : je vous invite chez moi. J'habite tout à côté, vous traversez la rivière, je vous attends, à côté de la piscine, ok ? »

    Elle mit du temps, il me semble qu'elle demandait l'avis d’Alain et la réponse fut :

    « Waoooooooo ! Super, on y sera dans une demi-heure ! Merci, sincèrement, vous êtes formidable et très belle, ravissante !
    – Hélène, vais rougir ! T'es mimi aussi, allez, je vous attends ! »

    Je raccrochai, en pensant à ce qui allait se passer dans quelques minutes.
    Lorsqu’ils sont arrivés, je fus surprise de constater qu'il y'avait un autre jeune homme avec eux. On s’embrassa et Hélène s'empressa de me présenter au jeune homme :

    « S..., c'est Jaques !
    .. Jaques, c'est S... ! »

    Je les invitai à s'assoir et m'entourant la taille d'une serviette, je filai au frigo leur ramener des bières fraîches, en revenant, je constatai qu'ils s’étaient mis a l'aise.

    « Vous avez une maison magnifique, madame !, me fit Jaques.
    – Merci, oui je l'avoue et j'adore vivre ici, suis gâtée, je le reconnais ! »

    Alain se poussa et me fit place tout à côté d’Hélène, de telle sorte que je me retrouvai à côté de Jaques et lui, se trouvait tout au bout, serré contre Hélène.
    Jaques tendit la main et tout doucement, mit à nu mes seins et sans attendre ma repose, il déposa un long baiser sur mon sein gauche, je balbutiai, mais rien ne sortit de ma bouche, sa langue s’affairait sur mon nombril, en descendant.

    « Ahhhhhhhhhhhhhh!oh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! »

    Je me sentis vaciller en arrière, je ne voulais pas qu'il s’arrête à mi-chemin, je tendis la main, Hélène me prit le verre de jus et le déposa, loin, tout en guidant ma tête sur ses cuisses nues. Jaques s'empressa d'enlever tous ses vêtements et ce que je vis me fit fermer les yeux, une bite d'au moins 24cm se balançait non loin de moi, je mouillais ! Alain me prit la main et la dirigea vers sa bite que je sentis durcir, Hélène me caressait les seins, j'allais m’évanouir. Jaques écarta mes cuisses, enleva mon string en le déliant et commença à descendre son engin vers ma chatte. Je tressaillis à son contact, je descendis l'autre main libre et lui caressai le torse. La bite était déjà moite, je ressentis une douleur dans le bas ventre, l'engin a commencé la pénétration, douloureuse, mais, ô combien enivrante et il s'abattit de tout son poids qui devait faire dans les 80 kg sur moi. J’écarte encore plus les cuisses, je voulais l'avoir tout en moi, je criais de plaisir, je jouissais, c’était beau. Il prit tout son temps, lorsque je le sentis se raidir en moi, je passai mes jambes autour de lui et je le serrai comme pour lui insinuer qu'il devait stopper un peu. J’étais au septième ciel, ses lèvres sensuelles vinrent se coller au miennes, sa langue était dans ma bouche. Je buvais sa salive que je trouvais agréable, lorsque je ressentis une rasade de sperme chaude cingler mes entrailles. Je me raidis, ma respiration devint saccadée, je le serrai, comme une folle, contre moi, jusqu'au moment où je m’éclatai dans des « ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouilleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! »

    Je ne sais combien de temps on resta comme ça, Jaques se retira de moi, tout doucement et se releva, je voulais me relever, aussi, quand Alain m'intima l'ordre de me mettre à quatre pattes, ce que je fis sans dire un mot. Il vient derrière moi et m’enfonça sa bite dans ma chatte toute lubrifiée avec force. Hélène se coucha sous moi. de façon à ce qu'elle offre sa chatte à Jaques qui était revenu a la charge et que sa bouche soit à hauteur de ma chatte en-dessous. Jaques me tendit sa bite pour la lécher et la sucer, elle me remplissait toute la bouche, puis me demanda de la prendre et de la guider vers l'antre d’Hélène qui gloussait. La salope, elle me sirotait le clitoris pendant que son compagnon me fourrageait. Alain commença à se retirer, tout doucement, de mes entrailles. Je ne cessais de jouir et lorsque le bouchon se trouva enlevé, la cochonne reçut tout le liquide sur le visage et dans la bouche.

    Jaques ressortit son engin, lui aussi et éjacula sur mon visage et sur la chatte d'Hélène, puis il me prit par la tète et m'invita a la lécher. Deux chiennes qui se léchaient mutuellement, nos deux langues étaient allées chercher, profondément, le nectar délicieux des deux mâles mélangé à nos nouilles. C’était super, on se relâcha, éreintées. On essayait de récupérer. quand Alain cria :

    « S..., qu'a-t-il ce chien ? »

    Je relève la tête et vit Zoltan, les crocs dehors !

    « Tout doux, mon chou, viens !, lui fis-je. C'est des amis ! Approche ! »

    Je disais ça tout en réfléchissant à ce que je devais faire, maintenant. Il a cru, sûrement, que sa chienne le trompait avec un autre chien. Il s'approcha de mon derrière et d'un coup de sa tête, me fit revenir à la position où j’étais :

    « MERDEEEEEEEEEE ! PAS MAINTENANT, SALAUD, PLUS TARD ! »

    Rien n'y faisait, il était en chaleur. Je demandai à Hélène de rester comme elle était pour ne pas le mètre en colère. Sa langue commença son œuvre, sur les parois de ma chatte, avant d'aller chercher plus loin, jetais au bord de la folie.

    « S..., que dois-je faire ? Il me lèche le visage !
    – Rien, Hélène, restes comme tu es et caresse-lui la bite !, ce qu'elle fit.
    – S..., elle est toute dehors, je fais quoi ? »

    Les deux hommes n'en croyaient pas leurs yeux, un berger allemand sur le point de sauter sa maîtresse et leur amie qui le caressait.
    « Hélène, guide la bite vers ma fente et n'aie aucune crainte, il ne vous ferra aucun mal ! »

    Je sentis la bite de mon amant entre les lèvres de ma chatte qui était lubrifiée à tel point que je ne ressentis pas la douleur de la première fois, au contraire, un désir envoûtant m'enveloppa, et je m'entendis crier :

    « OUI, mon bébé ! REMPLIS TA CHIENNE, JE SUIS TA SALOPEEEEEEEEEEEEEEE ! »

    Ses mouvements devenaient de plus en plus accélérés, sa bite ne cessait de prendre du volume, elle me remplissait, les jets de foutre me bâtaient l’intérieur, ça n'en finissait pas de couler, la boule était venue suivre le reste, s’incruster dans ma fente. Hélène me lapait du-dessous, tout en regardant, hébétée, le truc du chien pénétrant au plus profond de son amie. Après quelques minutes, le chien arrêta son va-et-vient et resta collé à moi.

    « S..., t'es sûre que ça va pouvoir ressortir ce que j'ai vu pénétrer ? »

    Je ne lui répondis rien, j’étais épuisée, à tel point que je tremblais. De longues minutes s’écoulèrent avant qu'il ne se retourne, il resta un moment ainsi, puis le "BLOC" et l'engin se trouva libéré de ma fente, après que la boule ait craché tout ce qu'elle contenait comme sucs. Je vous laisse imaginer ce que la pauvre Hélène a reçu sur le visage et dans la bouche, ouverte par la surprise, Je me contractai plus encore et je lui envoyai tout le foutre qui restait coincé en moi. Je l'entendis crier, sous le choc de la surprise, je compris qu'elle n'avait jamais eu connaissance de ce qui se passait là devant elle et avec elle. Zoltan revint à ses deux chiennes et commença à les nettoyer méthodiquement, comme il savait si bien le faire. Sa langue faisait l'aller-retour du visage de la chienne sur le dos au vagin de la chienne à quatre pattes, comme s'il ne voulait pas faire de jalouses. Puis, je me retournai, une fois qu'il ait eu fini sa besogne. J'aidai Hélène à se relever, je la serrai contre moi, pour la rassurer. Je fis un geste au chien qui s'approcha et qu'on enlaça, toutes les deux, en gloussant. Dans une étreinte fabuleuse, nos lèvres se collèrent et nos langues allèrent, dans nos bouches, laper ce qu'il y'avait de nectar succulent au fond de nos palais, devant les regard hébétés des hommes et du regard protecteur de notre amant qui semblait dire : « gare à ceux qui touchent à mes chiennes ! ».Ils n'en revenaient pas, les pauvres !

    « Hélène, comment l'as-tu trouvé, ma belle ?
    – Formidable, me répondit elle, j'adorerais essayer !
    – Aucun problème, ma biche, mais pas maintenant et promis que tu graviras le mont Everest de désir, crois moi ! »

    Après ça, on retourne aux mâles qu'on avait oubliés et on continue nos ébats, jusque tard dans la nuit, en puisant des forces, dans la nourriture et dans les fruits. Ainsi se passa cette journée qui allait ouvrir des chemins à d'autres, plus folles encore !

    Attendez-moi pour la suite d'une autre étape qui va être franchie..., comme c’était beau !

    La perverse


     



     
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  • Bonjour 
    Je m'appelle Emma3593 
    Un matin de très bonne heure la première chose que je fais quand je me réveille c"est un inventaire, je n'aime pas.
    Mon portable vibre c'est mon amant il me demande par un sms de me branler, il sait que j'adore ça, surtout qu'après je lui raconte comment je me suis fais jouir.
    Les chambres étant fermés jusqu'à 7h je ne risque rien, je retire mon pantalon, mon string, je débarrasse la chambre et je commence à me masturber avec un vibro que j'ai toujours dans mon sac,je m'imagine des tas de choses,
    des hommes que je suce en particulier JOUI12R et qui me prennent en levrette c'est bon.                  -à bon!?...je ne savais pas MOI,écoute????toi,tu l'entend la!?....!....TU VOIS QUE CEST BON POUR TOI SA....n'est-ce pas?           PENSE A MOI ET JOUIIIS...TU LE SENT LA...QUE CEST BON.............SA
    i!i!i!....COCH*NNNNNNEEE!!!!.....
    Pendant que je me branle j'ai l'impression que l'on me regarde j'ai pourtant les yeux fermés
    Je pénètre ma chatte avec le vibro je change de trou car j'adore la sodomie, 
    je voudrais un jour me faire prendre par deux ou trois hommes hum!!!! quel plaisir cela doit-être
    Mon gode est pratiquement enfoncé dans mon petit cul quand soudain ........
    Alors la salope tu te donne du plaisir ! c'est la femme qui s'occupe de l'entretien,elle est jeune et belle, habillée simplement. 
    Mais que faite-vous là ? dis je
    Je prends mon service de bonne heure, mais vous je crois que vous avez besoin de mes services.
    Elle retire son pantalon, son string, retire aussi son chemisier et son soutien gorge, elle est nue devant moi, elle est très belle.
    Suce moi salope me dit-elle ? comme je refuse elle me pince mon clito.
    Vous me faite mal, arrêtez ! alors tu me suce tout de suite !
    Elle approche son sexe de ma bouche et je commence timidement à la sucer,
    sa main caresse mon sexe joue avec mon clito qui se met à durcir.
    Elle commence à me masturber avec une grande douceur hum!!! que c'est bon
    de mon côté avec ma langue je lui lèche son bouton, qui lui aussi en redemande, mes mains caressent ses fesses puis je commence à lui pénétrer sa chatte et son petit cul.
    je vois qu'elle aime, car elle écarte ses cuisses pour que j'entre plus profondément, de son côté Cathy, c'est son prénom me branle avec le vibro,
    elle l'enfonce au plus profond, soit dans ma chatte soit dans mon cul
    et aussi me le donne à sucer
    Ma langue devient avide de son sexe, je lui mords son clito ce qui la fait crier mais de plaisir.
    Mes doigts lui viole son sexe et son cul, quel régal puis elle me demande de me déshabiller,je suis maintenant nue, elle me fait de nouveau allonger sur la table, écarte mes jambes et commence à me sucer, c'est divin. 
    Elle sait y faire je ne me retiens pas pendant qu'elle me fait vibrer je me caresse les seins, je prends le vibro et je le lèche.
    Elle est toujours à genou, elle suce et ses doigts me fouillent mon sexe et mon petit cul,tu aimes mon amour me dit-elle. 
    Je suis surprise de sa douceur, oui j'aime, encore plus profond et je lui tends le vibro, tout en jouant avec mon clito elle me masturbe les deux trous.
    Je n'ai jamais eu autant de plaisir, surtout avec une femme, il faut que l'on s'arrête je vais bientôt ouvrir la boutique.
    Elle s'approche et m'embrasse, nos langues nos salives se mêlent.
    à demain me dit-elle
    tu me plais....
    O0O!!!!!?
    Mon portable vibre encore c'est mon amant JOUI12R il me demande par un sms de me branler et de lui dire mes coch*nne penser, il sait que j'adore ça, surtout qu'après je lui raconte comment je me suis fais rejouir.                 JOUI12R@HOTMAIL.FR
    i!i!i!.....pssss: le sais tu, ....que tes unee co.ch*.nnee.



     
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  •  Ayant été abandonné, je ne sais rien de mes vrais parents. Ce que je sais c'est que j'ai été déposé dans un couffin dans la principale maternité de ma ville natale, probablement par ma mère. Après un passage rapide par la case « Orphelinat », je suis adopté par un couple de commerçant vivant à environ vingt ou trente kilomètres de ma ville, ma ville natale, où je vis aujourd’hui. Je grandis heureux au sein de cette famille. Dans mon adolescence, mes parents m'annoncent, avec tous les ménagements possibles, que j'ai été adopté. Cette annonce n'a rien changé dans nos relations familiales. Il me donne aussi un demi-médaillon qui était avec moi dans le couffin dans lequel j'ai été déposé à la maternité. Ce médaillon, de forme circulaire, a été coupé en deux parties égales. Il représente un signe du zodiaque, la Vierge.
    Après une bonne scolarité, j’ai suivi des études de médecine. Diplômé, j'ouvris un cabinet dans ma ville. Dans l'année qui suit mes parents adoptifs meurent accidentellement et je me retrouve de nouveau orphelin. Je garde la maison familiale et loue le commerce de mes parents à un couple qui garde la même activité. Un jour je reçois dans mon cabinet médical, une jeune et superbe femme de deux ans ma cadette, Solène. Elle me plaît immédiatement. Elle revint régulièrement me voir. Nous sympathisons rapidement et au bout de quelques visites, notre relation médecin patient devient une relation amicale. Pour ma première visite chez elle, un samedi soir, je sens tout de suite qu'elle a mis les petits plats dans les grands. Ces plats furent d'abord ceux du repas absolument délicieux qu'elle a préparé. Il faut dire qu'outre d'être très belle, très cultivée, c'est une excellente cuisinière. Elle, qui aime cuisiner pour les autres, sait bien que, suivant l'adage, le chemin du cœur d'un homme passe par son estomac. Après le fromage, elle me quitte quelques instants pour aller chercher le désert dans sa cuisine. 
    Elle revient sans son désert, où plutôt avec le meilleur des déserts, elle-même. Elle est en bustier, soutien-gorge, slip le tout en dentelle fine de couleur noire, ce qui tranche avec la blancheur de sa peau et dévoile ainsi son intimité. Ce charmant ensemble est complété par des bas à coutures noirs soutenu par le porte-jarretelles de la même couleur. Cette vision magnifique a l'effet souhaité par Solène, je bande vite comme un fou en comprenant ce qu'elle veut. Solène s'approche de moi, ouvre ma barquette, libére mon sexe qui en a déjà bien besoin. Sans attendre elle s'agenouille devant moi, prend mon membre en main et entreprend sa première fellation. Je découvre pour l'occasion que décidément la jeune femme est la femme idéale. Elle ajoute à sa beauté, sa culture, ses talents culinaires, une parfaite connaissance de la manière de faire jouir un homme. Sa fellation est magnifique et pendant de longues minutes elle me garde au seuil de la jouissance. Elle se releve et me dit de la suivre dans sa chambre. Dans l'escalier j'ai une belle vision sur ses magnifiques fesses. 
    Dans la chambre elle finit de me mettre nu et m'assois sur son grand lit. Elle m'abandonne encore une fois pour mettre une musique lascive. Elle entreprend, après m'avoir interdit de me masturber, un strip-tease qu'elle met un malin plaisir à faire durer. Le porte-jarretelle et le bustier sont les premiers à être enlevés. Les bas glissent très lentement de ses magnifiques jambes. Vint le tour du soutien-gorge qui met plusieurs minutes à me permettre de voir enfin sa superbe poitrine. Le slip ne met guère plus moins de temps pour me faire découvrir sa sublime chatte totalement rasée. Je n'ai pas débandé de tout son strip-tease. 
    Elle me rejoint enfin sur le lit. Nous nous embrassons longuement quand j'entreprends de descendre le long de son superbe corps. Je fais une longue halte au niveau de sa poitrine avant de descendre, via son nombril, vers son intimité. Après l'avoir caresser pendant plusieurs minutes, j'entreprends un cunnilingus. Elle se lance dans des caresses sur sa poitrine. La jeune femme devient de plus en plus chaude et finit par jouir une première fois. Je remonte alors le long de son corps et je m'attarde encore une fois sur sa poitrine. Mon visage est à peine revenu en face du sien, qu'elle se relève et vient s'installer tête-bêche au-dessus de moi. Visiblement elle veut réaliser un 69. Je n'hésite pas un instant pour replonger mon visage dans son intimité pendant qu'elle prend mon sexe en bouche. Nous restons là encore de nombreuses minutes. Solène jouit une nouvelle fois.
    Je la vois alors se relever et au lieu de rejoindre pour s'allonger près de moi, elle m'enjambe et vient s'empaler sur mon sexe qui n'a pas débandé. Elle descend et monte le long de ma hampe. Je finis, après environ un quart d'heure de ce doux supplice, par éjaculer dans son vagin. Sentant mon sperme chaud envahir son intimité, Solène a un troisième orgasme encore plus fort que les précédents. La nuit se continue sur la même lancée. Dans les jours qui suivirent nous avons très souvent fait l’amour, jusqu'à 5 ou 6 fois par jours. Solène adore le sexe, avec une seule limitation, que j'accepte, tout en la regrettant, la sodomie. Les mois passent notre relation demeure toujours aussi intense.
    Moi qui m'était juré de ne jamais me marier, je finis par accepter de l'épouser après une nouvelle discussion sur le sujet. Ayant dépassé ce qu'elle sait être un « tabou » de ma part, le mariage, elle m'offre en cadeau de dépasser elle aussi un « tabou » pour elle, la sodomie. Elle m'avoue pour l'occasion qu'elle n'a jamais été l'objet de cette pratique qu'elle juge dégradante et sale. Je dois cependant partir pour aller acheter des capotes et des lubrifiants. A mon retour, de peur qu'elle soit déçu, je lui explique, un peu faux-cul ce qu'elle va ressentir, en parlant d’une douleur assez forte et d'un plaisir ordinaire. Mes explications finit je lui propose de ne pas le faire, mais Solène me signale qu'elle est prête puisqu'elle me l'a promis. Je lui dis qu’elle pourra à tout moment décidée de refuser d’être sodomisée. 
    Sous ma direction elle se met à quatre pattes sur le canapé. Je la prépare par des caresses délicates pendant de nombreuses minutes. Je mets une capote et je mets mon gland devant sa rosette. Avec le plus de précautions possible, pour qu’elle apprécie la sodomie, j'introduis mon sexe dans ses fesses. Au bout de deux minutes environ, je suis au plus profond d'elle. Toujours avec les plus grandes précautions je commence mon premier va et vient dans ses fesses. Solène, comme je l'espérais, apprécie beaucoup ce que je lui fais. Le rythme de mes pénétrations s'accélérant et elle devient de plus en plus chaude, chaude comme je ne l'avais encore jamais vue. Elle jouit plusieurs fois avant que je jouisse une nouvelle fois. Elle m'annonce qu'elle a beaucoup aimée. Elle n'a depuis plus jamais refusée cette pratique qui est vite devenue le point d'orgue de chacune de nos parties de jambe en l'air.
    Les préparatifs du mariage avance. Il ne reste plus que quelques semaines avant la cérémonie. Un jour Solène et moi avons décidé d'aller dîner. Elle est presque prête mais veut mettre un collier de perle. Pendant qu'elle met la dernière main à son maquillage, elle m'envoie chercher le dit collier dans sa boite à bijou. Je vais refermer la boîte quand mon œil est attiré par la moitié de médaillon circulaire qui semble correspondre exactement à celui que mes géniteurs ont laissé dans mon couffin. Sans en parler à Solène, je prends le demi-médaillon et je retourne chez moi mettre ma découverte à côté de celui de mes parents. C'est bien la seconde moitié du médaillon. 
    De retour chez Solène, qui m'attende avec inquiétude après mon départ précipité, je lui montre ma découverte. Solène m'apprend qu'elle a cette moitié de médaillon depuis son enfance. Sa mère le lui a légué, outre ses biens, avec une lettre où elle raconte tout sur l'objet. Mon amie recherche la lettre et me la lit. Sa mère s'étant retrouvé seule après la mort de son ami, et quasiment sans ressources, elle avait décidée d'abandonner à sa naissance l'enfant qui devait avoir environ un mois plus tard. Cet enfant, un garçon, fut laissé par elle dans un couffin dans une maternité de la ville, avec l'autre moitié du médaillon coupé en deux par elle-même. Elle avait ensuite rencontrée le père de Solène qui l'avait épousée. Tous les détails de l'histoire, date de la naissance de l'enfant, lieu et circonstances de l'abandon, ne laissait aucun doute, la mère de Solène n'est autre que ma mère et la jeune femme ma demi sœur. 
    Notre relation amoureuse doit cesser immédiatement et notre mariage est impossible. Après plusieurs minutes de discussion dans les larmes de Solène, nous avons décidés d'un commun accord de nous en tenir dans des relations purement fraternelles et d'annuler le mariage. Pendant une semaine, je n'ai pas pu revenir chez Solène, qui de son côté ne cherche pas à me parler. La semaine est très dure, être ainsi sevré du corps de Solène et des heures de plaisir que nous prenions ensemble. Chaque jour le manque ce fait de plus en plus intense. 
    Une semaine après la découverte de notre lien de parenté, je décide de retourner chez Solène, dans un seul but refaire l'amour avec elle par tous les moyens, hormis la contrainte physique. Je suis devant sa porte et je frappe. Solène m'ouvre le regard triste qui devient un sourire charmant quand elle me reconnaît. Elle m'empoigne le bras, me fait entrer dans sa maison et referme la porte derrière nous. Elle se lance tout de suite sur mon pantalon et l'ouvre pour faire sa première fellation depuis une semaine. Inutile de dire que je ne n'ait rien fait pour la repousser, car visiblement elle a la même envie que moi. Nous avons passé la majeur partie de la nuit à faire l'amour comme des fous sans parler autrement que pour dire des "Oui !", des "Va y !", des "Ah !" ou des "Oh !" de plaisir dans un brouhaha de succions et de choc de nos deux corps. Nous jouissons chacun plusieurs fois, avec une intensité que nous n'avons encore jamais atteint. Après une dernière sodomie, nous nous sommes écroulé tous les deux épuisés 
    Avant de reprendre nos ébats amoureux, nous avons parlé de la situation. Il est évidant pour elle, comme pour moi, qu'il est impossible de poursuivre notre relation sans revenir à sa forme sexuelle. C'est Solène qui découvre la solution. Personne ne sait notre lien de parenté si proche. La seule preuve éventuelle, à condition de rapprocher des détails infime, est la lettre. Elle me suggère de la détruire, ce que nous faisons immédiatement. Nous avons décidé de faire monter les deux médaillons en deux pendentifs, un pour elle et un pour moi et d'en faire, pour les autres, une marque d'amour entre nous.
    La raison principale de l'interdiction des relations entre parents proche, sacralisé par la loi, hors mis les problèmes moraux, c'est le risque grandissant plus le lien est proche d'avoir des enfants atteints de graves maladies congénitales. C'est encore une fois Solène qui trouve la solution. Pour éviter tout risque d'avoir des enfants atteints de telles maladies congénitales c'est de ne pas en avoir du tout. Une femme n'a qu'une période chaque mois où elle peut avoir un enfant. Pendant cette période de fertilité, à l’inverse de bien des couples en demande d’enfant, nous ne faisons l'amour qu’avec des préservatifs. Un bien petit sacrifice pour moi et un bien plus grand pour Solène. Je sais depuis le début que son envie de mariage n'est que le premier volet de son envie principale, avoir un enfant. Nous n'avions pas encore pris contact avec la mairie pour annuler le mariage, nous n'avons donc rien à faire pour nous mariés. Nous sommes vite devenus légalement mari et femme, et secrètement demi-frère et demi-sœurs.
    L'envie d'enfant de Solène ne cessant de grandir, je lui propose de faire croire à un ami, Richard, qui lui faisait hors ma présence une cour empressée, qu'elle lui cède enfin. Il avait divers avantages à faire ce choix. C'était un ancien amant occasionnel de Solène et dans l'optique d'être le père réelle de mon enfant, il a l'avantage de me ressembler un peu physiquement, mêmes taille, couleurs de cheveux et d'yeux. Nous décidons de le piéger de façon à ce qu'il nous donne notre enfant sans s'incruster dans la vie de Solène, qui n'en a d'ailleurs pas envie.
    Un soir, en présence de Richard, après une dispute simulée entre Solène et moi, j'ai quitté la maison, laissant notre ami seul avec ma femme en laissant entendre que je ne reviendrais pas de la nuit. Comme prévue par Solène, Richard ne mis pas 2 minutes pour essayer d’en profiter. Il commence par me débiner et obtient ce qu'il espérer depuis des années, recoucher avec Solène. Bien sûr la date de cette « dispute » et de ses suites tombent précisément pendant sa période de fécondité. Pendant trois mois ma femme à reçut les avances répéter de Richard pendant les périodes propices, faisant en sorte de lui laisser la place discrètement pendant celles-ci. Solène m'a reçu un soir en m'annonçant qu'elle était enceinte. Nous avons, conformément à notre plan initial, fait ce qu'il faut pour que Richard ne puisse plus ce retrouver seul chez nous avec Solène qui d’ailleurs ne voulait plus aussi souvent lui céder. Nous le gardons sous le coude, nous réservant une carte de sortie, une reprise des relations adultérines avec Richard, au cas où la première grossesse de Solène se conclue par un problème du type fausse couche.
    Six mois plus tard naît notre enfant qui, au dire de nos amis et de Richard ressemble à Solène et à moi. Un semestre plus tard: il est notre enfant se révèle en parfaite santé. Solène et moi, conformément à notre plan, nous avons piégé une dernière fois Richard. Un week-end, je « rappelais » à Solène, devant Richard, que quinze jours plus tard, j'allais être exceptionnellement absent le samedi matin à cause d'une réunion importante. Richard, qui n’a plus couché avec Solène depuis 5 mois, comme prévue, saute sur l'occasion pour faire sa cour et obtient, la veille du samedi concerné, l'accord de Solène pour profiter de ce samedi matin pour faire l'amour. Au matin, je fais mine de partir pour ma « réunion » et je m'installe à peine un kilomètre de chez moi dans un coin discret, avec un talkie-walkie. Son double était branché chez moi et je parle avec Solène depuis 2 ou 3 minutes quand elle m'annonce que Richard, fidèle à notre plan sonne déjà à la porte. Elle cache l'engin, sans l'éteindre, et va ouvrir en peignoir à son « amant ».
    La porte refermée, Richard met déjà ses mains sous le peignoir de Solène, qui a presque du mal à faire entrer Richard dans le salon, pourtant très proche de la porte d'entrée et où est caché le talkie-walkie. Pendant ce temps je suis revenue tout près de chez moi. A l'entrée de ma porte j'attends le signal convenu entre nous pour me permettre de savoir qu'ils sont nus tous les deux et que leur position ne laisse aucun doute sur ce qu’ils sont censés être en train de faire. Je n'ai là encore pas longtemps à attendre pour l'entendre. Je rentre chez moi et je joue alors celui qui a oublié des documents et découvre sa femme entrain de se faire prendre par son amant. Je me mis en colère contre elle, en laissant bien voir que je l’aime follement, mais surtout sur contre mon ami qui a osé me trahir, et trahir sa femme et ses enfants, en couchant avec ma femme. Je lui laisse à peine le temps de se rhabiller et lui interdisant de jamais osé revenir. 
    Nous avons pris la décision de ne rien dire de son origine à notre enfant. Pour éviter le plus possible le risque qu’il rencontre par hasard l’un des enfants de Richard avec qui il pourrait avoir un enfant à risque, pour l’enfant et de découverte de notre lien de famille, nous avons quitté ma ville natale. Solène, à la grande joie de son patron, accepta pour cela, ce qu’elle avait toujours refusé depuis des années, le poste de directrice d’une succursale de sa société à plus 500 km de notre ville. Je l’ai bien sûr suivi en faisant passer ce choix comme un sacrifice d’un homme amoureux à la femme qu’il aime. Nous vivons aujourd’hui, des années plus tard, heureux en famille et sur le plan sexuel.
    Je vous ai parlé précédemment de ma rencontre torride avec une inconnue, Solène, qui s’est révélé être ma demi-sœur. J’ai poursuivi mon récit en vous parlant de la manière dont nous avons décidé de vivre ensemble malgré tout. J’ai fini mon premier récit, en sautant les étapes et en vous parlant de la manière dont nous avons eu un enfant et notre départ de notre ville natale. 
    Je vais maintenant faire un petit flash-back, nécessaire, au lendemain de nos retrouvailles sexuelles. Solène et moi nous avons rattrapé le temps perdu, d’abord en parlant de notre mère puis de notre relation amoureuse. Ayant franchi un des tabous de notre société, l’inceste, nous nous promettons de n’avoir d’autre limites dans notre relation que celles des pratiques pour lequel nous n’avons aucun goût, comme le sadomasochisme. Nous décidons de nous laisser une totale liberté dans nos vies sexuelles, avec son complément évident, une totale sincérité mutuelle sur celles-ci.
    En moins d’une semaine, nous connaissons chacun les principales aventures sexuelles de l’autre. Souvent le récit de l’un conduit à son équivalent de la part de l’autre et est toujours le prétexte à faire encore une fois l’amour. Sans aucun complexe, Solène me parle de son expérience lesbienne avec la femme qui a partagé son logement universitaire pendant deux ans. Je ne lui cache pas que je fantasme depuis toujours de coucher avec deux ou plusieurs femmes en même temps, ou d’assister à une partouze lesbienne. Je lui révèle que, moi aussi, j’avais eu une expérience homosexuelle, un soir de beuverie avec un inconnu avec qui j’avais sympathisé. Au sortir de la boîte de nuit, vue mon état d’ébriété et compte-tenu de ce qu’il n’avait pas bu, il m’a proposé de me reconduire chez moi. En route j’avais cédé à ses avances et fait l’amour avec lui à l’arrière de son tout-terrain où entre autre nous nous étions enculés l’un après l’autre. Solène apprend alors que je n’avais pas suffisamment aimé cela pour faire en sorte de renouveler l’expérience.
    Les mois ont passés, Richard, notre ami qui me ressemble, a été piégé, comme l’espérait depuis longtemps Solène à porter notre enfant, qui est en bonne santé. Sa naissance nous a contraint à limiter quelques peu les fréquences de nos relations sexuelles, car Solène et moi devons surveiller le bébé bien que nous sommes obligés de le confier souvent à un service de baby-sitting. Nous voulons être de bons parents. Comme vous le savez, nous avons quittés notre ville natale.
    Dans notre nouveau département nous habitons une maison en pleine campagne à vingt minutes du centre de la préfecture de région. La maison, de près de trois cents mètres carré a quatre niveaux, de la vaste cave au grenier. Elle est entourée d’un parc de plus de deux hectares. En quelques mois nous nous sommes parfaitement intégrés. J’ai vite trouvé à reprendre un cabinet médical, situé dans le centre de la préfecture, qui bénéficie d’une bonne et nombreuse clientèle. J’ai aussi, en tant qu'ancien joueur de Division 2 de handball, j’ai retrouvé un poste identique à celui que j’occupais dans mon ancienne ville, encadrant des équipes locales du principal club omnisports de la ville, dont l’une des équipe est de bon niveau dans sa division de Nationale.
    La suite du récit de ce jour est l’œuvre de Solène, car elle est l’héroïne principale de ce volet de notre histoire commune.
    Je n’avais jamais acceptée le nouveau poste que l’on me proposait car le supplément de salaire que l’on m’offrait, n’était pas suffisant pour compenser les frais importants qu’occasionnait celui-ci. L’apport des revenus de mon demi-frère et mari, Philippe, et la situation favorisèrent mon acceptation. Me voici directrice de la succursale régionale de la société qui m’emploie. Mon bureau est au dernier étage d’un bâtiment qui est à environ dix minutes du centre de la préfecture et presque à l’opposé de notre maison par rapport à celui-ci.
    Mon lien principal avec les dirigeants nationaux et mes subalternes au sein de la société n’est autre que ma secrétaire de direction, Patricia. Son bureau est le seul accès au mien. Dès notre première rencontre, j’ai été troublée par cette belle femme de trente ans, d’un mètre soixante-quinze, aux cheveux bruns mi long, aux yeux noisette et dotée par la nature de seins et de fesses que je trouve magnifique. Le soir même, comme j’en ai été convaincue depuis le matin, Philippe a été séduit par la description que je lui en fais. Il me reparle son envie de faire d’amour avec plusieurs femmes. Tout naturellement s’en suit une nouvelle partie de jambes en l’air. Leur première rencontre n’est que téléphonique, quand, le lendemain matin il me passe un coup de fil, alors qu’il sait que je ne suis pas là. Le soir même, il me dit simplement que si elle est aussi belle que sa voix est douce, elle doit être magnifique.
    En quelques jours, j’ai eu une entière confiance en Patricia, qui s’est révélée être la « secrétaire de direction idéale ». Je remarque vite qu’elle a les mêmes goûts que moi, et pas seulement vestimentaire. Je découvre peu à peu que, comme Philippe, elle partage avec moi de très nombreux intérêts communs. Une semaine après mon arrivée dans ma nouvelle fonction, nous sommes déjà des amies. Je n’ai donc pas de difficultés pour la faire venir chez nous. La rencontre se passe bien et nos goûts en communs, font que Philippe, Patricia et moi devenons de vrais amis. Philippe tente dès sa seconde visite, trop rapidement à mon idée, de faire la cour à Patricia qui, comme je le pensais, refuse froidement.
    Un mois plus tard, pour préparer un rapport urgent pour la direction nationale, je sais que je vais avoir une longue journée, malgré l’aide de Patricia. Le soir, vers vingt heures, je quitte enfin les bureaux où se trouve encore Patricia qui met la dernière main à notre tâche. Sur le chemin du retour, je me rends compte que j’ai oubliée un dossier important et je fais demi-tour. En arrivant à la société, quarante minutes après mon départ, je remarque que la voiture de Patricia est encore là. Dans le bureau de ma secrétaire, j’entends les petits bruits typiques de ceux d’une personne qui fait l’amour, venant de mon bureau. Je fini mon approche en silence. Je découvre, posés de façon bien ordonnée sur mon bureau la robe rouge de Patricia, son slip et son soutien-gorge de même couleur.
    La jeune femme est là, en bas et porte-jarretelles, assise sur mon fauteuil de direction, les pieds posés sur les larges accoudoirs. Les yeux clos, elle est en train de se caresser la poitrine de la main gauche et de se masturber sans vergogne de l’autre. La vision de ses doigts, déjà trempé de sa cyprine, m’excite beaucoup. Je remonte ma robe, introduit mes doigts sous ma culotte et je commence à me masturber moi aussi. L’envie devient vite trop forte. J’enlève ma robe qui, avec mon soutien-gorge et ma culotte, rejoignent les vêtements de Patricia après que, comme elle, je les ai, machinalement, soigneusement pliés.
    Je m’approche de ma tentatrice et le léger bruit de mes pas finit par révéler ma présence à la jeune femme. Elle veut cacher son intimité en repliant ses jambes et ses bras, mais, se rendant compte que je suis dans la même tenue qu’elle, Patricia décide de reprendre sa position en m’invitant à la rejoindre. Je m’approche de ma jeune amie, plonge directement vers son intimité sans me soucier de ses bras qui voudraient m’enlacer. Je commence à lui lécher le sexe maintenant libre. Je goutte pour la première fois à ce délicieux fruit qu’est l’intimité de mon amie. Ma tendre partenaire, fait vite de nouveau entendre de doux bruits et ne tarde pas à jouir une première fois sous les caresses de ma langue et de mes doigts qui retrouvent enfin des sensations qu’ils n’avaient plus connue depuis ma « camarade » d’université.
    Patricia se lève, s’allonge sur le tapis et m’invite à m’allonger près d’elle. La jeune femme vient me prendre un premier baiser sur la bouche et nos langues ont vite fait de s’entre mêler. Nous restons dans cette position pendant de longues minutes. Elle descend ensuite sur ma poitrine dont elle s’occupe de longues minutes, me procurant de délicieux frissons. Elle reprend sa descende, passe une ou deux minutes à s’occuper de mon nombril et atteint enfin mon intimité. Ma partenaire y fait preuve d’une efficacité qui ne laisse aucun doute sur sa longue pratique de l’amour entre femmes. Sa langue et ses doigts vont et viennent librement, à la fois doux et excitants, sur et dans mon intimité. Je commence tout naturellement à onduler et faire entendre une douce plainte. Fermant les yeux, sans trop réfléchir, je m’abandonne à ma charmante amie qui n’a pas de mal à me faire jouir une première fois.
    Après avoir repris mon souffle, je demande à ma partenaire si elle se masturbait souvent dans mon bureau. Elle commence son explication en m’indiquant simplement qu’elle est lesbienne. J’entrevois là un problème pour la conduire à faire l’amour avec Philippe et moi en même temps. Patricia ajoute que je lui ai plu dès notre première rencontre. Je lui dis que c’est aussi mon cas. Elle m’explique qu’elle se masturbait dans mon bureau pour la seconde fois ce soir et qu’elle aime le faire dans le fauteuil qui a, je cite « le bonheur de t’accueillir dans ses bras et sens toujours ta délicate odeur ». Je continue notre conversation :
    - Dis-moi, ma belle, je crois que nous serions mieux dans ma chambre qu’ici?
    - Chez toi! Mais il y ton mari! Je l’apprécie beaucoup, mais c’est un obsédé, il m’a déjà fait des avances une fois. S’il était d’accord pour que nous fassions l’amour chez toi, je suis sûr qu’il voudra participer et moi je n’en veux pas de lui pendant ce doux moment, même en tant que simple spectateur.
    - C’est vrai ma chérie, Philippe est un obsédé, et je suis bien certain que si tu voulais il ne dirait pas « Non » car tu lui plais beaucoup. Pour les avances qu’il t’a fait, c’était lors à ta seconde visite chez nous, il m’en a parlé le soir même.
    - Il t’en a parlé?
    - Nous n’avons aucun secret l’un pour l’autre. Mais je le connais, il suffit que je lui dise que je viens avec toi pour faire l’amour et que nous voulons être seules pour qu’il nous laisse tranquille.
    Patricia ne croit évidemment pas cette affirmation que je sais, moi, totalement exacte. Je téléphone donc à Philippe, sans lui dire qu’elle nous écoute, est tout ce passe comme je le lui ai dit. Il m’annonce aussi qu’il part avec notre bébé pour son cabinet, qui dispose de l’ancien logement du médecin qu’il remplace. Il me souhaite de bien profiter de Patricia. La jeune femme est surprise par notre complicité et notre totale ouverture d’esprit. Elle m’envie d’avoir trouvée l’homme idéal et m’annonce:
    - Je crois que si un jour je recouche avec un homme, ce ne pourra être qu’avec lui.
    Cette simple phrase enchante, elle me révèle que ma charmante Patricia, qui a dut avoir une mauvaise expérience avec un homme qui la fait devenir lesbienne, ne ferme pas pour autant la porte à une relation avec mon Philippe. Nous partons vers ma maison. Tous en roulant je téléphone à Philippe qui est déjà sur le point de partir. Je lui apprends les détails qu’il ignore et lui parle de cette phrase pleine de promesse. Il m’annonce qu’il va bien s’occuper du bébé et que, quand il le pourra, il se branlera en nous imaginant en train de faire l’amour.
    Chez moi, nous sommes à peine entrées que Patricia me prend par la taille et me tends ses lèvres pour un baiser sur la bouche. Nous finissons quand même par arriver dans le salon. Patricia est si pressée qu’en retirant sa robe, le seul vêtement qu’elle et moi avons remis en partant de notre société, elle la laisse simplement tomber sur le tapis. Le temps que j’enlève ma robe, qui suit celle de Patricia, ma douce secrétaire est déjà assise sur le tapis devant le fauteuil.
    Je ne positionne devant elle pour l’embrasser sur la bouche. Nous nous caressons mutuellement nos corps que nous continuons de découvrir enfin. Mon baiser ne dure que quelques secondes. Ma délicieuse amie entreprend de descendre pour s’occuper de ma poitrine et de m’y mordiller les mamelons. Au bout de plusieurs minutes de ce doux délice, Patricia revient poser ses lèvres sur les miennes et nous restons encore plusieurs minutes à jouer amoureusement de nos langues tous en découvrant des mains nos corps respectifs.
    Je repousse délicatement ma partenaire en arrière et, en lui tirant les jambes vers l’avant, je l’allonge sur le dos. Je monte sur elle, mon sexe au niveau du sien. Je m’allonge pour reprendre avec elle nos tendres baisers. Je me redresse un peu pour lui caresser et lui titiller la poitrine de la main. Elle en profite pour revenir s’occuper de mes seins avec sa langue et sa bouche. Sa main droite vient me caresser le sexe. Nous restons dans cette position pendant quelques minutes avant que je ne me décide à mon tour à descendre pour m’occuper de nouveau de sa poitrine avec ma bouche. Patricia s’abandonne à mes caresses et place ses bras au pied du fauteuil. J’en profite pour descendre ma main sur sa chatte.
    Je quitte ma position pour m’allonger à côté de Patricia. Je reprends mes caresses du pouce sur son mont de Vénus pendant quelques minutes avant qu’elle me demande de mettre un doigt dans son intimité. Ma partenaire commence déjà à onduler de plaisir en poussant des petits bruits. Je finis par mettre un deuxième doigt dans sa chatte. Elle écarte les jambes pour me faciliter la tâche. Je me penche à nouveau pour prendre à pleine bouche son sein gauche. La main droite de Patricia vient rejoindre ma main pour caresse son clitoris de l’extérieur.
    J’ai soudain envie de lui manger la chatte. Je me redresse, positionne mon visage sur son sexe et entreprends de goutter encore une fois à ce délicieux fruit. Ma douce Patricia bouge, me fait lever une jambe pour passer sous moi et s’installe pour faire de même. Nous sommes restées ensemble dans ce merveilleux soixante-neuf pendant de longues minutes. Je suis très heureuse de sentir une nouvelle fois ma bouche inondée de sa cyprine. Ma tendre amie finit par faire entendre un immense « Oui ! » de plaisirs avant de cesser toute activité. Au bout d’une ou deux minutes elle reprend ses esprits, reviens s’activité sur mon intimité et finit par me faire jouir à mon tour. Pendant plusieurs heures nous continuons à faire l’amour en variant les positions. Nous finissons, vers deux heures du matin, dans ma chambre où nous nous sommes couchées après avoir pris une douche très torride.
    Le lendemain matin mon réveil sonne, il est l’heure de me lever pour aller au travail. Nul doute que Patricia, comme moi, préférerait rester là pour faire encore l’amour. Nous échangeons de trop courtes caresses avant que Patricia ne parte pour aller chez elle se changer. Je suis arrivée à l’heure et Patricia, pour la première fois de sa carrière, arrive avec quinze minutes de retard. Pendant toute la matinée, enchaînant les rendez-vous professionnels, je ne peux parler librement avec Patricia. Je suis, tout la matinée, partagée entre l’envie folle que j’ai de faire l’amour avec elle, surtout quand je la croise, et de rejoindre Philippe pour faire la même chose. 
    À midi, ma secrétaire de direction réussit à m’intercepter quelques secondes sous le prétexte d’une communication importante. Elle me fait savoir que ce soir elle rentrait chez elle, pour que je fasse l’amour avec Philippe, en finissant par:
    - Philippe est un mec trop bien pour que je le prive de la femme qu’il aime. Je t’aime tant que je suis toute à fait d’accord pour faire comme lui et te partager. Il faudra qu’on en parle demain soir, chez toi, tous les trois.
    J’aurai voulu continuer notre discussion, mais les personnes avec lesquels je dois déjeuner m’attendent. Je n’ai pas revue Patricia seule de la journée. Le soir je retrouve enfin Philippe. L’annonce de la venue de Patricia pour le lendemain pour parler ouvertement de nos deux relations amoureuses, nous conduit à une soirée aussi chaude que celle de la veille.
    LE GRAND SOIR
    En ce vendredi matin, Solène et moi savons que la journée va ouvrir une nouvelle phase de notre relation. Notre amie Patricia, secrétaire de direction et maitresse ardente de Solène, va venir dans la soirée pour parler de notre relation « à trois ». Mon espoir, pour la soirée, est au moins que Patricia accepte que j’assiste à ses ébats lesbiens. Voir deux femmes faire l’amour en vrai est un de mes principaux fantasmes. J’espère que la jeune femme qui, de son propre aveu est lesbienne, acceptera un jour que j’y participe. Je crains seulement que cela reste longtemps un fantasme.
    Ma journée au cabinet commence mollement, ce qui me laisse le temps de m’exciter en pensant à la soirée. Vers dix heures, je reçois la visite d’une nouvelle patiente de vingt-cinq ans. Cette jeune et très belle femme a une tenue très sexy, une jupe très courte qui laisse voir des jambes magnifiquement galbées par des bas noirs. Elle s’assoit face à moi et écarte ses jambes. Je découvre qu’elle ne porte pas de culotte, et que j’ai une vue directe sur son intimité et sa toison brune en forme de point d’interrogation. Cette vision n’excite tant, que j’ai du mal à ne pas y fixer mon regard. Je ne suis pas au bout de ma surprise, lors de l’auscultation, elle me dévoile son buste sans soutien-gorge. Sa poitrine est superbe et mon excitation grandit encore, je fantasme sur ce que nous pourrions faire, ma patiente ne m'est pas assez connue pour que je me jette sans risque sur elle. D’habitude, quand mon excitation atteint un tel degré, une fois la patiente partie, je prends quelques minutes pour aller me soulager dans mes toilettes. Aujourd’hui, dans l’espoir un peu fou, de devoir satisfaire deux femmes dans la soirée, je n’y vais pas.
    Ma belle Solène, de son côté est, comme le veille, surchargée de rendez-vous durant toute la journée. Elle ne peut se retrouver seule avec Patricia suffisamment longtemps pour se donner mutuellement du plaisir. J’aurais aimé, à midi, avoir la possibilité de rejoindre Solène et Patricia à leur bureau et après avoir évoqué ma patiente, faire l’amour avec elles. La journée de Solène et de Patricia prend fin à dix-sept heures et celle-ci, suivie de Patricia, quitte sa société pour revenir chez nous. Solène libère la baby-sitter après avoir pris, auprès d’elle, des nouvelles de notre bébé. Avec l’aide de Patricia, elle s’en occupe à son tour, puis elles descendent au salon avec l’interphone de bébé. Elles descendent dans le salon mettent la main aux derniers préparatifs de la soirée dont, pour l’heure, je ne sais encore rien et qu’elle organise depuis que Patricia à annoncer sa venue.
    Quand j’arrive, vers dix-huit heures, elles sont installées sagement sur l’un des canapés du salon. Patricia se lève, dans une superbe robe légère bleue ciel et vient m’embrasser, comme la simple amie qu’elle est encore pour l’instant. Solène porte, elle, la belle robe rouge qu’elle ne met que dans les grandes occasions, comme lors de notre première fois chez elle. Elle me donne un baisé très sage sur la joue et m’invite à m’assoir sur le canapé qui fait face au leur. La conversation ne quitte pas le niveau d’une conversation normale entre simples amis. 
    Je suis impatient d’entendre ce que veut Patricia. Je sais déjà qu’elle accepte de partager Solène avec moi. Acceptera-t-elle de vivre une partie de leur vie amoureuse en ma présence ? Le spectacle sera sûrement très beau, tant les deux femmes sont belles. Patricia acceptera-t-elle que je participe parfois à leurs ébats ? Je crains fort que cette lesbienne ne dise « Non ». Je me contente d’espérer qu’elle devienne un peu bisexuelle et du fol espoir qu’elle le fasse ce soir même, sinon à quoi bon m’être économisé. Mes deux amies poursuivent la conversation sur des sujets ordinaires sans sembler se rendre compte que je suis sur des charbons ardents. Cinq minutes sont passées, j’en ai assez et, profitant qu’elles se sont mises à parler de leur travail, je lance directement :
    - Ce matin j’ai failli me jeter sur une superbe patiente de vingt-cinq ans qui est venue presque nue dans mon cabinet.
    Elles éclatent de rire et Solène dit à son amie:
    - Tu vois ma chérie, je te l’avais dit, il ne peut s’empêcher de ramener la conversation sur le sexe. Il a quand même tenu plus de cinq minutes.
    Ma réplique semble faire l’effet voulu sur les deux femmes, elles se rapprochent et commencent à échanger un long baisé sur la bouche tout en ce caressant les corps, la main de Patricia est d’ailleurs vite au haut des cuisses de Solène. Par discrétion, je me lève pour les laisser seules mais Solène me fait signe de rester là et me dit simplement :
    - Interdiction de nous rejoindre. Tu peux te branler, mais discrètement !
    Le fait que Patricia ne prend même pas la peine de relever cette phrase, me laisse supposer son accord tacite. Les deux femmes reprennent leurs échanges amoureux. Après quelques secondes de réflexion, je m’éloigne un peu pour me mettre derrière le fauteuil, jugeant plus pratique et plus discret, que de tenir un cousin pour cacher ma masturbation. Je peux sortir mon sexe du pantalon qui l’enserre déjà, sans que Patricia ne puisse le voir. Une précaution sans doute inutile car celle-ci est trop occupée par Solène pour me prêter attention. Le baisé des deux femmes dure de longues minutes avant que Patricia se décide à défaire le nœud qui retient le haut de la robe de mon épouse. Elle me dévoile les seins de ma femme que la charmante Patricia se met à lécher et mordiller avec tendresse. Très vite,la belle donne des signes de plaisirs que je connais bien. Patricia abandonne le sein droit et va, après un court retour sur la bouche de notre amie, s’occuper de l’autre sein.
    Au bout de quelques instants Patricia fait lever sa partenaire pour faire descendre sa robe à ses pieds. Je découvre que Solène ne porte que les bas rouges qui, elle le sait bien, m’excitent particulièrement. Patricia la fait se rasseoir et entreprend de lui relever les jambes pour se donner un accès parfait à son intimité. J’ai alors droit à une longue séance de caresses de la langue et des doigts de Patricia sur et dans l’intimité de Solène. Ma femme, elle, se caresse la poitrine. Ce doux spectacle est complété par des bruits de sussions vite augmentés par les cris de plaisirs de Solène. Inutile de dire que je n’ai même plus besoin de me masturber pour bander à l’extrême. Je rejoindrai volontiers le couple dans leurs ébats pour prendre Patricia et réaliser mon fantasme de faire l’amour avec deux femmes en même temps. Hélas ! La réalité est un peu moins plaisante. Je ne dois pas brusquer les choses, si je veux pouvoir, un jour, le faire réellement.
    Les minutes passent sans que Patricia ne cesse de manger la chatte de Solène. Ma demi-sœur et épouse finit par jouir. Son amie ne la laisse pas pour autant tranquille et continue à manger son intimité. Solène, sous ces caresses, jouit une seconde fois de manière si forte que je me rends compte qu'elle peut la faire jouir plus intensément que moi. Je suis à la fois un peu jaloux des capacités de sa partenaire et content pour ma chère femme de la voir prendre son pied. Pendant quelques minutes les deux femmes restent dans la même position, inactives et se souriant. 
    Solène et Patricia se relèvent. Je vois, avec joie, Solène commencer à défaire la robe que porte sa partenaire. Celle-ci tombe au sol, me dévoilant que Patricia est, elle aussi, nue avec des bas, noirs. Je compare les anatomies des deux femmes. Je savais que la secrétaire est un peu plus petite, de quelques centimètres, que sa directrice. Ses cheveux sont d’un brun plus foncé et ses yeux noisette et non vert. Sa silhouette est un peu moins plate que celle de ma compagne et ses fesses plus fines. Son buste est orné d’une poitrine plus grosse que celle de Solène, avec des auréoles plus petites et claires qu’elle, mais porteuses de mamelons proéminant qui sortent de plusieurs millimètres. Le sexe de Patricia a subit récemment le même traitement que celui de Solène, un rasage en règle. 
    Patricia rejoint le canapé et à son tour subit les assauts de la bouche et des doigts de sa partenaire, les jambes relevées. Après de longues minutes d’action, Solène voit son œuvre couronné par la jouissance de son amie. Quelques minutes sont nécessaires pour qu'elle reprenne ses esprits et conduise Solène sur le tapis. Les deux femmes se rapprochent et, sans mot dire, entrecroisent leurs jambes pour se retrouver dans cette position qui apporte, dit-on, tant de plaisirs aux femmes, sexe contre sexe. Les deux amies se trémoussent, ondulent de la croupe en se frottant leurs chattes. Cette vision, trop peu mise en œuvre dans les films pornos ordinaires à mon goût, m’excite beaucoup, et cela Solène le sais bien. Je comprends que les deux femmes ont décidé de me donner un spectacle que Solène sait très bien qu'il va m’exciter au maximum. Ses frôlements font l’effet recherché par mes deux amies, elles jouissent une nouvelle fois et presque en même temps.
    Elles s’enlacent à nouveau avant de se séparer. Je vois alors Solène se coucher sur le tapis et Patricia venir s’installer sur elle pour un soixante-neuf, qui sera le premier soixante-neuf lesbien que je vais voir en vrai. Elles se mettent à se manger mutuellement le sexe. Ce spectacle qui m’excite déjà beaucoup dans les vidéos pornos, est encore plus excitant en réel. Le bruit complète agréablement le spectacle. Au bout de quelques minutes j’entends que Patricia parle à Solène, sans comprendre ce qu’elle dit. Ma demi-sœur me lance, comme si ce n’était pas un tremblement de terre dans notre relation :
    - Mon chéri Patricia veut que tu viennes nous rejoindre. Elle a envie de sentir à nouveau une bite dans sa chatte et du sperme giclé en elle. Déshabille toi et viens vite.
    Je me retrouve, entièrement nu, à genou derrière Patricia. Je commence à introduire mon gland dans son vagin. Elle est si humide que celle-ci passe sans problème. Je commence alors à m’activer en elle tout en la tenant par les hanches. Mon épouse ne reste pas inactive. Elle me caresse de façon très sensuelle mon entrecuisse, mes couilles et l’intimité de notre belle partenaire. Patricia abandonne vite l’intimité de Solène pour se laisser porter par son plaisir en me lançant des « Oui Philippe ! C’est bon ! Bourre-moi bien ! …» qui ne me laisse pas de doute sur l’effet que je lui fais. Je suis si excité qu’il ne me faut pas longtemps pour exploser en elle.
    Patricia se libère de mon sexe et Solène vient lécher la chatte de son amie pour y récolter le peu du sperme qui en ressort. Après quelques secondes de cette caresse Patricia se redressant, m’invite à me mettre debout. Les deux amies s’agenouillent et s’approchent de moi, Solène vient goulûment prendre en bouche mon sexe encore dur encore recouvert de la cyprine de Patricia et d’un reste de sperme. Après environ une minute de fellation, la directrice laisse sa place à sa secrétaire. J’ai ainsi, pendant de très longues minutes, droit à me faire sucer par les deux belles femmes alternativement. Je sais d’expérience que ma chérie est experte dans ce type de pratique, je découvre que son amie l’est aussi. Solène finit, sentant que je ne vais plus tenir, par céder sa place à Patricia en l’invitant à se régaler de mon sperme. La jeune femme ne laisse pas perdre une goutte de mon jus et la bouche pleine de celui-ci, se retourne vers sa compagne qu’elle embrasse ainsi sur la bouche. 
    À la fin de ce baiser au sperme, nous remontons sur les canapés. C’est Solène qui rompt le silence en demandant à notre amie :
    - Alors il est comment mon petit mari ?
    La réponse, simple, claire et nette ne se fait pas attendre :
    - Super ! Je ne regrette pas d’être venue.
    Les deux femmes entament une conversation dont mes qualités sexuelles sont le principal sujet. Celle-ci me comble d’aise et me laisse le temps de réfléchir. Je me demande qu’elle est la tendance sexuelle réelle de Patricia. Elle s’était annoncée lesbienne lors de sa première fois avec Solène et, tout à l’heure, elle a dit que Patricia avait « envie de sentir À NOUVEAU une bite dans sa chatte ». Elle a donc déjà eu, au moins, une expérience hétérosexuelle, qui semble lui avoir suffisamment plu pour qu'elle en ait encore envie aujourd’hui. Je ne peux m’empêcher de lui poser la question lorsque je discerne une occasion propice.
    Sans détour Patricia m’annonce une chose que Solène savait depuis la veille, qu’elle a toujours était bisexuelle avec une préférence pour les femmes, mais qu’elle a eu, coup sur coup, deux aventures avec des hommes qui l’ont dégouté . Sans entrer dans les détails, elle nous raconte que le premier de ses partenaires spéciaux, quand ils faisaient l’amour, ne se préoccupait que de son plaisir sans se soucier du sien et le second, qui au début était tendre et délicat, s’était vite révélé être une brute qui la prenait souvent de force tout en étant très prévenant sur sa jouissance à elle. Elle nous dit que ses secrets n’étaient connus de personne pour le premier, hors mi le goujat, et seulement la justice et quelques voisins qui l’avaient aidé, pour le second.
    Depuis elle n’a plus eu que des relations qu’avec des femmes. Sa dernière aventure, avant l’arrivée de Solène dans sa vie, commencait à lui peser, car sa partenaire était une lesbienne honteuse qui ne voulait pas que ça se sache. Sa première fois avec Solène l’avait conduit à se séparer d’elle. J’apprends que Patricia m’a d’abord perçu comme un rival, mais en découvrant ce rival et ma relation particulière avec Solène, elle a eu de nouveau envie de faire l’amour avec un homme, moi. Patricia nous dit que si on le veut, nous aurions droit au récit complet de sa vie sexuelle dans les jours qui viennent et attend la réciproque. Elle nous invite pour l’instant à reprendre nos ébats et nous propose de nous laisser une totale liberté sur les pratiques sexuelles et le choix de nos partenaires.
    Solène parle à Patricia et les deux femmes se mettent à quatre pattes l’une près de l’autre leurs fesses vers moi. Patricia m’invite à venir s’occuper de leurs intimités comme je le veux. Je me lance donc sur la sienne, allant de sa chatte à son anus que je lèche ou doigte à volonté sous les yeux intéressés de Solène. Au bout de quelques minutes je change de partenaire pour faire de même avec ma femme. Je commence un va-et-vient de l’une à l’autre. Je finis par enculer Solène une première fois. Je passe ensuite à Patricia, avec un peu d’appréhension, car je ne lui ai pas demandé son accord. Je suis vite rassuré, sentant que je commence à introduire mon gland dans son anus, elle recule pour s’empaler sur celui-ci. Je commence à aller et venir en elle. Patricia aime visiblement cette pratique que Solène n’adore que depuis qu'elle l'a expérimenté, quand j’ai accepté moi-même de l’épouser. Je passe ensuite de l’une à l’autre.
    Je suis en train de m’installer pour m’occuper de Solène quand l’interphone nous renvoie les pleurs de bébé. Patricia nous propose d’aller s’en occuper et me suggère de remplir le cul de Solène pendant ce temps. Je ne me fais pas prier pour le faire. Solène et moi nous remontons sur le canapé. Solène me fait alors une proposition que j’allais moi-même lui faire. Patricia se donne totalement à nous sur le plan sexuel, comme nous le faisons ensemble. Elle a aussi visiblement décidé de tous nous dire sans tabou, comme nous. Notre idée est de tout lui révéler sur le lien particulier qui nous unit Solène et moi. Patricia finit par revenir. Je me tourne alors vers elle et je lui annonce :
    - Patricia mon amour, après tes révélations, je crois, et Solène avec moi, qu’il faut que nous te disions aussi tout sur nos vies sexuelles et surtout notre grand secret, dont personne ne sait rien.
    Prenant en main le demi-médaillon que j’ai au cou, celui laissé dans mon couffin par ma mère lors de mon abandon, je lui fais le récit de la découverte, via celui-ci, de sa moitié qui est au cou de Solène et de la lettre de notre mère, de notre lien de parenté. Patricia est bien sûr étonnée et a même besoin de la confirmation de Solène, pour en être sûre. Elle n’est pas le moins du monde choquée et nous jure, sans problème, de garder le silence absolu sur notre secret. Après cette révélation qui nous lie encore plus intimement à elle, la soirée reprend sa tournure sexuelle et finit de façon très chaude.
    La suite du week-end, et de nos vies, sont devenues très chaudes. Nous nous retrouvons tous les trois avec deux partenaires aussi hards et libres que nous, et avec une totale liberté sur le plan sexuel. Je peux faire l’amour librement avec Solène et Patricia, Solène ou Patricia seule, comme elles peuvent faire l’amour entre filles ou nous pouvons aller chercher hors de notre groupe un ou des partenaires occasionnels, selon l’envie. Nous sommes tous les trois totalement heureux de la nouvelle tournure qu’a pris notre relation intime.
     
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  • Je suis bien dans ma peau, avec une sexualité riche et épanouie. Je vais vous confier les petits secrets de mon éducation sexuelle prodiguée par ma sœur aînée Cécile.

    J'avais dix ans, et j'étais une belle petite fille, avec de longs cheveux bruns, une petite frimousse encore innocente et j'étais à l'aube des premiers signes de ma puberté, j'avais les pointes de mes seins qui commençaient à gonfler, et devenir très sensibles. 

    J'ai un frère, Julien, un peu timide, que mon père traitait de poule mouillée, et ma sœur Cécile, qui était déjà une belle jeune fille, dont j'enviais la poitrine déjà bien développée avec des seins très pointus, un duvet brun tout doux sur son pubis.

    Nous habitions une petite maison, où je partageais à l'étage une chambre avec Cécile, nous dormions dans le même lit, mon frère avait lui, une petite chambre indépendante à coté de la notre. Nos parents couchaient en bas dans la salle de séjour dans un lit convertible. Cette salle était surplombée par une mezzanine desservant nos chambres d'enfants.
    Mon père représentant de commerce n'était pas là de la semaine et ma mère qui travaillait comme vendeuse était absente toute la journée.

    Depuis toujours, ma sœur et moi dormions enlacées, et depuis sa puberté, ma sœur a pris l'habitude d'explorer son corps, et me faire partager ses découvertes, et toutes ces caresses nous procuraient beaucoup de plaisir. Et nous nous caressions le clitoris et les petites lèvres qu'elle et moi avions très développés. Ces pratiques faisaient monter dans mon ventre une houle de chaleur et gonflaient mes petits seins. Cécile m'avait expliqué que si je voulais les voir grossir comme les siens, j'avais besoin d'hormones, aussi elle me demandait de lui lécher le sexe, et de boire tout son jus d'excitation. Au début je trouvais que sa fente avait surtout le goût du pipi, mais très vite j'ai aimé cette saveur enivrante, et je n'étais jamais réticente à la lécher. 

    Cécile arrivait à mettre un doigt dans son vagin encore bien étroit, et me le faisait sucer, et essaya de me pénétrer tout doucement après m'avoir longuement léché, mais sa tentative a été très douloureuse, j'ai même pleuré. Elle m'a consolé en me couvrant de milles baisers, et a pour la première fois elle a passé sa langue sur mon anus, ce qui m'a fait une réaction dans tout mon ventre, puis comme elle ne pouvait pas s'occuper de mon petit vagin elle a très délicatement mis le bout de son doigt dans mon anus, et a commencé à le remuer très doucement en l'enfonçant un peu plus, entrant et sortant presque, j'écartais largement mes fesses pour lui faciliter le passage, elle m'a dit que mon petit cul avait l'air d'aimer ça et qu'il était tout humide, et que s'était très agréable de sentir la chaleur du corps de quelqu'un. De son autre main elle tirait de plus en plus fort sur mes petites lèvres qui gonflaient de plus en plus, après un long moment j'ai pour la première fois de ma vie ressenti un frisson dans tout mon corps, et j'ai serré Cécile dans mes bras, et elle m'a embrassé sur la bouche, cela a aussi été mon premier baiser. Cécile a retiré son doigt de mon cul et l'a regardé, il semblait propre, seulement humide, et elle l'a mis dans sa bouche avec hésitation, puis m'a fait goûter, c'était délicieux! 

    Elle m'a alors demandé de lui faire la même chose, de lui lécher la fente et son petit cul qui avait des poils noirs très fins et tout doux, pour la première fois, j'ai goûté un anus, j'avais peur de trouver des excréments, mais mon doigt est entré très facilement et j'ai fait les mêmes va et vient en tournant mon doigt, tout en lui tirant ses petites lèvres qui non seulement étaient gonflées mais aussi trempées de son délicieux jus. Cécile m'a demandé d'une voix rauque d'essayer de lui mettre un deuxième doigt dans l'anus, pendant qu'elle caressait son clitoris en tournant autour avec le bout de son doigt, et elle s'est mise à haleter et m'a embrassé en mettant sa langue dans ma bouche, j'étais folle de désir, et lorsque Cécile m'a demandé de tirer ses petites lèvres le plus fort possible, j'ai les ait pincé très fort en tirant. Cécile a cabré son corps en tendant son bassin vers le haut en poussant de petits cris et j'ai senti tout son sexe envahi par une quantité très importante de jus, qui a coulé jusqu'à son cul toujours avec mes deux doigts!

    Elle s'est calmé lentement, et j'ai alors mis les doigts de chacune de mes mains dans ma bouche, quel régal!

    Nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre, mais pour la première fois, nous étions nues.

    Depuis que ma sœur Cécile est en classe secondaire, elle a bien changé vis à vis de moi, car elle a beaucoup parlé de sexe avec ses copines, elle est en recherche de sensations nouvelles, toujours prête à expérimenter de nouveaux plaisirs.

    le mercredi, je reste seule avec elle et mon frère, elle est la maîtresse de maison en l'absence de ma mère, qui est au travail.

    Nous nous réveillons le matin, et nous faisons la grasse matinée, en nous caressant parfois tendrement, parfois avec une certaine violence, car nous cherchons toujours plus de plaisirs.

    Ce jour là, il faisait très chaud, et Cécile a décidé que nous ne devrions pas uriner, et que nous allions essayer de durer le plus longtemps possible.

    Nous avons pris un bain ensemble, et nous nous sommes parfumées avec le parfum de Maman, nous avons mis une jupe sans mettre notre culotte, et Cécile n'a pas mis son soutien-gorge sous son T shirt.

    Nous avons réveillé notre frère Julien qui dormait dans la chambre à côté de la notre. Nous avons retiré ses draps, et nous l'avons forcé à se lever devant nous pour aller faire sa toilette. Nous avons été surprises de voir que dans son pyjama, son sexe était dressé. Julien avait onze ans, et il était déjà très grand avec la voix qui commençait à muer.

    Dans la salle de bain, nous l'avons forcé à se mettre nu, et nous avons vu son sexe tout dur, mais encore de taille bien réduite. Cécile qui avait eu des confidences de ses copines qui avaient des frères plus âgés, savait que les hommes devaient avoir une verge autrement plus développée.

    Nous avons touché le sexe de Julien, et ses testicules. Finalement, les bourses ressemblent beaucoup à nos petites lèvres, et la petite verge, n'est qu'un gros clitoris. Quand nous avons voulu sonder son anus, il s'est rebiffé, mais nous lui avons proposé de lui laisser toucher nos chattes ainsi qu'aux seins de Cécile, alors Cécile lui a lentement pénétré son petit cul, pendant que je lui massait le bout de la verge. Au bout d'un moment, il a eu la respiration qui s'est accélérée et il s'est frotté la verge entre ses paumes, et il a poussé de petits cris. Cécile a sucé son doigt et m'a confié que le cul des garçons avait un goût beaucoup plus fort que le notre.

    Cécile a interdit à Julien de mettre un slip, et sous son short, nous pouvions passer la main pour toucher son petit zizi. Nous lui avions aussi interdit de faire pipi, il devait aussi attendre de ne plus pouvoir tenir comme nous.

    Nous avons déjeuné puis Cécile nous a demandé de faire des mouvements de gymnastique qui consistaient surtout à écarter nos jambes. Le besoin d'uriner devenait de plus en plus pressant, et ma sœur m'a proposé que nous devions nous caresser la fente jusqu'à ce que nous ne puissions plus retenir notre urine.

    Nous nous sommes couchées dehors dans une balancelle et chacune de nous s'est mise à martyriser la fente de l'autre, devant Julien qui n'en perdait pas une miette, le sexe à l'air avec aussi une forte envie de faire pipi.

    Nous lui avons proposé de nous lécher la fente et le cul, et que s'il s'acquittait bien de sa mission, nous lui lécherions son sexe et son cul.

    L'envie devenait impossible à retenir, et j'ai relâché ma vessie pendant que Julien léchait ma fente, et que Cécile me pinçait très fort la pointe de mes seins.

    Cécile a forcé Julien à boire mon pipi, il criait que cela lui brûlait les yeux, mais il a continué d'ouvrir la bouche tout en léchant mes petites lèvres. Quel extase de pisser dans une bouche! 

    Ensuite cela à été mon tour de lécher Cécile, et elle m'a demandé de lui mettre deux doigts dans son cul pendant que j'aspirais ses petites lèvres. Le résultat n'a pas été long et elle m'a inondé le visage de son urine chaude. J'ai essayé de boire, mais je me suis étranglé, tant la quantité était grande. Cécile m'a demandé de garder de l'urine dans la bouche et de l'embrasser sur la bouche. Elle a aspiré sa pisse dans ma bouche et m'a mis sa langue très profond dans ma gorge, j'avais l'impression d'étouffer, mais c'était très fort. 

    Mon frère ne tenait plus aussi Cécile lui a demandé de se mettre nu debout, les mains sur la tête.
    Son sexe était tout droit et Cécile a pris une branche d'orties, et lui a passé sur la verge, sur ses testicules et entre ses fesses. Julien s'est mis à crier, et les cloques de brûlure des orties sont sorties sur la peau si fine et blanche se son sexe. Cécile à dégagé le gland du prépuce qui était très étroit, après son petit gland est devenu très rouge et gonflé. Cécile lui a sucé le membre après m'avoir ordonné de lui donner une bonne fessée.

    Le résultat n'a pas été long, Julien a fait pipi dans la bouche de Céline, mais comme il avait le sexe dur, il a eu du mal à faire. Cela m'a permis de prendre la place de Cécile et de déguster le sexe de mon frère.

    Quelle après-midi, le soir, quand notre mère est revenue du travail, elle nous a trouvé sagement occupés à regarder la télé. Nous étions des enfants bien sages.
    Quelques jours plus tard, ma sœur Cécile est revenue du collège très excitée, elle n'avait pas eu de cours l'après-midi, et elle avait été chez son amie Maud, avec qui elle semblait avoir des relations toutes particulières.


    Elle m'a dit qu'elle avait découvert avec Maud un plaisir encore plus intense, et que demain mercredi, elle allait me révéler son secret, mais il fallait pour cela que je sois très obéissante.

    Quand nous nous sommes mis au lit, après avoir fait notre toilette, elle m'a fait fermer les yeux et m'a dit de sortir ma langue, puis j'ai senti sur mon visage et ma bouche le contact d'un tissus, elle m'a dit « lèche ». j'ai senti alors une odeur et un goût très puissant, elle me demandait de lécher le fond de sa culotte, qui après ses expériences avec Maud, était trempée de jus. Puis elle m'a mis sa culotte sur la tête, avec le devant sur mon visage, et m'a dit que mon épreuve sera de dormir ainsi.

    Avant que nous endormions, elle m'a montré son sexe tout gonflé, avec les petites lèvres très rouges et très sensibles, ainsi que ses seins, dont la pointe était si gonflées qu'elle n'avait pas pu remettre son soutien-gorge, elle m'a embrassé sur la bouche très tendrement, et m'a dit que demain j'allais découvrir des sensations incroyables.

    Comme la dernière fois, dès le matin, elle m'a ordonné de ne pas aller faire pipi, car elle pensait que le traitement à la « Maud » serait encore meilleur avec la vessie pleine. Mon frère Julien encore troublé par la séance du mercredi précédent, nous tournait autour en se demandant ce que nous allions bien encore inventer. Cécile lui a dit que cette après-midi, nous allions me faire découvrir une surprise dont lui comme moi serrions très étonnés. Qu'il aurait bien sûr un rôle à jouer, et que nous allions tous les trois vivre quelque chose de fort.

    Ces déclarations m'ont un peu effrayé, et aussi beaucoup excité. La matinée s'est passée à expédier nos devoirs scolaires et Céline a préparé le repas de midi avec ce que notre mère avait laissé dans le réfrigérateur.

    Après avoir rempli le lave vaisselle, nous nous sommes installés dans la cuisine, Céline m'a déshabillé très lentement ainsi que Julien, elle a alors retiré chacun de ses vêtements, et m'a embrassé avec la langue, et elle a demandé à Julien de faire de même, mais il ne savait pas comment faire, il tournait sa langue sans arrêt, alors, elle lui a montré comment faire en prenant son temps, en passant la langue sur les lèvres de l'autre, de lui donner de sa salive, et de caresser sa langue avec la sienne, il a rapidement fait des progrès.

    Céline a dit que aujourd'hui, c'était ma fête, que tous les deux ils devaient se consacrer entièrement à mon plaisir. Tout d'abord, Céline m'a parfumé avec le parfum de maman, en mettant un petite goutte sous chacune de mes oreilles, une entre mes deux petits seins, et une sur chacune de mes aines, puis elle m'a coiffé mes longs cheveux et m'a demandé de me regarder dans la grande glace située dans la salle de bain. Je me suis trouvé belle, et Julien avait bien envie de me toucher partout, mais Céline lui a ordonné d'obéir strictement à ses ordres, il ne devait me faire que les choses qu'elle lui demanderait et lui a interdit de toucher son propre sexe.

    Céline m'a amené de nouveau dans la cuisine et a disposé sur la grande table des coussins et une grande serviette de toilette et m'a demandé si j'étais prête à subir cette initiation très spéciale. Elle m'a précisé qu'elle avait subit la même chose hier avec Maud, et que si au début c'est assez douloureux, après le plaisir est si intense, que le lendemain, elle se sentait encore « toute chose ». Puis elle a mis un CD de musique très douce et a un peu fermé les volets pour faire une ambiance plus suave.

    je me suis allongée sur la table, nue avec les cuisses ouvertes, comme demandé par ma sœur, puis elle m'a caressé tout doucement en partant de mes cheveux, ma bouche, mon cou, mes épaules, s'est attardé sur mes petites pointes de seins, déjà bien dressées. Puis elle est descendu tout le long de mon ventre, de l'intérieur de mes cuisses, sans toucher à mon sexe, pourtant, je pensais bien qu'elle se serait occupé de ma petite fente. 

    Elle a alors demandé à Julien de téter mes petits seins, doucement, et sans arrêt en augmentant la succion progressivement. Il s'y employa et rapidement, cette succion m'a fait mal, j'avais l'impression que mes seins gonflaient, que les pointes allaient éclater, mais elle lui a dit de continuer sans s'occuper de ce que je disais, et que si je bougeais, elle se verrait contrainte de m'attacher.

    Elle a pris alors sur une chaise une règle en bois de 30 centimètres, et après m'avoir fait un baiser sur la petite fente, m'a ordonné d'écarter le plus possible les cuisses et de remonter mes genoux vers le haut, sans gêner Julien qui continuait à téter mes seins.

    Elle a alors frappé mon pubis avec la règle, clac! J'ai sursauté, mais ce n'était pas douloureux, j'étais tout tendue vers elle pour découvrir ce qu'elle avait décidé, puis elle a donné un 2ème coup sec sur ma grande lèvre droite, puis sur la gauche. Céline m'a demandé de lever les fesses, puis elle m'a mis un coup beaucoup plus fort sur chacune de mes fesses, la cuisson commençait à irradier tout mon cul, et augmentait mon envie de faire pipi.

    Elle m'a donné à nouveau des baisers sur le sexe et sur ma bouche, et m'a demandé comment çà allait. J'ai dit que j'attendais la suite.

    Elle a recommencé à donner alternativement des coups sur mes grandes lèvres, mon pubis et mes fesses, puis tout d'un coup la règle s'est abattue sur mes petits lèvres et ma vulve, la douleur a été intense, comme irradiant tout mon ventre, puis les coups ont repris méthodiquement sur toutes les parties de mon intimité. Céline m'a dit que ma chatte était trempée et elle m'a passé sa langue sur mes petites lèvres et sur ma vulve. Elle a surpris Julien qui se tripotait sous la table, elle lui a infligé immédiatement un coup de règle sur la verge, Julien à repris ses succions avec plus de vigueur, l'intérieur de ma poitrine me brûlait comme du feu.

    Céline a dégagé mon petit clitoris de son capuchon, puis m'a redonné des coups de règles systématiques, y compris sur les petites lèvres qui étaient en feu, je l'ai suppliée d'arrêter, mais elle m'a dit qu'il n'était pas encore temps, que le meilleur était à venir.

    Elle tapait alternativement chacune de mes petites lèvres, de plus en plus fort, puis soudain elle a suspendu la règle un long instant, puis soudain, l'a abattue très fort sur mon clitoris qui avait bien grossi. Là la douleur a été intense, j'ai hurlé en me cambrant sur la table, Céline a demandé à mon frère de me tenir par le bout des seins, et m'a dit que j'allais bientôt connaître quelque chose d'unique, elle m'a susurré à l'oreille qu'elle m'aimait et que je devais lui faire confiance.

    Elle a repris ses coups de règle, et m'a dit que quand elle frapperait à nouveau mon clitoris, je devais me laisser aller à faire pipi, puis elle enchaina les coups cinglant toute ma chatte, je sentais dans mon bas ventre une boule de feu, et je découvrais des sensations de contraction à l'intérieur de ma vulve, de mon vagin tout neuf. Les coups continuaient à pleuvoir quand soudain le plat de la règle a frappé directement mon pauvre clitoris, l'éclair m'a éblouit, une houle a secoué tout mon ventre je tendais mon pubis martyr vers le plafond alors que Julien cramponnait mes pointes de seins, j'ai alors relâché toute mon urine dont le jet a jailli, et est retombé sur moi et Julien en une douche chaude.

    Céline m'a alors pris dans ses bras et m'a tendrement embrassé sur la bouche et m'a dit que maintenant nous étions vraiment sœurs, que nous avions subi la même épreuve, et que rien ne pourra jamais nous séparer.

    Julien, lui nous regardait avec étonnement, il ne comprenait pas vraiment ce que nous ressentions, mais il était très excité et avait son sexe dur et dressé, et il se frottait contre nous en nous embrassant.

    Il a regardé mon minou, tout tuméfié et palpitant, on voyait encore les ondes nerveuses parcourir tout mon ventre, la cuisson était très forte, et j'avais du mal à bouger, et mes petits seins dont les pointes avaient été aussi bien malmenées étaient si douloureux que je ne pouvais pas les toucher, j'avais l'impression qu'ils pendaient sur ma poitrine. J'avais la sensation d'avoir des nichons!

    Céline m'a accompagné dans ma chambre, et m'a mis une poche de glace sur ma petite fente, et m'a dit de me reposer. Elle devait aller ranger et nettoyer la cuisine pour que tout soi impeccable quand maman reviendrait de son travail en fin d'après-midi.

    Julien lui est resté blotti contre moi, bien embarrassé de ne savoir quoi faire pour me soulager, mais j'étais si contente, si heureuse d'avoir ressenti une telle dose de sensations que même si mes petits tétons étaient à vif, je lui ai permis de me les lécher très doucement. Il m'a demandé pardon pour les douleurs qu'il m'avait infligé aux seins, mais je lui ai dit qu'elles étaient finalement très agréable, car je n'avais jamais rien ressenti avec mes seins, et que maintenant, je pouvais imaginer ce que les femmes pouvaient ressentir quand elle faisait l'amour, ou qu'elles avaient un enfant.

    Il m'a confié que son sexe lui faisait mal chaque fois qu'il était excité, car la peau du prépuce était très étroite et lui empêchait de décalotter son gland. C'est pourquoi, quand il se caressait, il frottait sa verge entre ses mains, alors qu'il savait très bien que les autres garçons faisaient coulisser la peau. Un médecin avait dit aux parents, qu'il faudrait envisager un opération si cela ne s'arrangeait pas tout seul.

    Je lui ai dit que je pouvais essayer de l'aider, et que désormais chaque jour, nous trouverions un moment pour agrandir son prépuce. Il m'a demandé de ne pas en parler à Céline, car il avait peur qu'elle se moque de lui. Promis cela restera entre nous.

    Le soir quand Maman est rentrée de son travail, elle m'a trouvé bien fatiguée, et devant mes seins très sensibles, elle a dit que je devenais une femme, et que samedi elle irait m'acheter mon premier soutien-gorge et des culottes. Quelle journée, Céline avait bien raison, des sensations pareilles cela vous change la vie, je me sentais devenir plus femme, et quand je voyais mes copines dont certaines jouaient encore à la poupée, je me sentais riche d'une expérience secrète et sensuelle.

    Quand j'étais seule avec mon frère Julien, douze ans, nous consacrions beaucoup de temps à résoudre son problème de prépuce trop étroit, et nous en profitions pour découvrir nos corps, en nous donnant beaucoup de tendresse et de caresses, car si j'étais habituée depuis ma plus tendre enfance à tout partager avec ma sœur Cécile qui était devenue une adolescente de bientôt quinze ans, qui avait de la sexualité une vision un peu violente, même si elle m'a tout appris, j'aspirais à de la tendresse, j'avais maintenant onze ans, et ma puberté évoluait rapidement, mes seins pointus comme ceux de ma sœur, mais avec des pointes toutes roses, des poils sur mon pubis et dans ma raie des fesses. Maintenant au collège, j'avais un peu honte de me mettre nue devant les copines, j'enviais celles qui avaient de gros nichons, surtout celles qui avaient de larges aréoles. 

    Julien se couchait avec moi, et je lui caressais la verge qui grandissait rapidement, il devenait aussi un homme, ses poils noirs poussaient sur son pubis, et ses testicules remplissaient ses bourses. Je glissais mes doigts avec de la salive entre son gland et son prépuce et je tirais jusqu'à que cela devienne trop douloureux, puis recommençais patiemment, rapidement il éjaculait de grands jets de sperme blanc, et j'avais toujours plaisir à goûter ce liquide visqueux, qui était délicieux. J'aimais aussi le goût de mon sexe, ainsi que celui de Céline. Après avoir éjaculé Julien avait son sexe qui dégonflait et qui bougeait tout seul.

    Alors je recommençais cette fois des va et vient de sa peau en rabaissant son prépuce toujours plus loin, son sexe regonflait et son prépuce lubrifié par son sperme et par ma salive, commençait à s'assouplir, et Julien voyait son membre grossir de plus en plus, et je pouvais maintenant le masturber normalement.

    Avant il craignait toujours d'avoir mal, maintenant il jouissait comme un fou!

    Moi, je lui ai permis de mettre son doigt dans mon vagin, il a été le premier à passer par là, et il me léchait toute ma fente et dégustait bien volontiers mon jus d'amour. 

    Avec ma sœur Céline, nous avions toutes les deux débutées notre sexualité avec des caresses anales, et nous avions beaucoup de plaisir avec nos petits anus. Julien a découvert aussi ce chemin du plaisir, et avait toujours envie de me pénétrer avec un doigt, tout en me tétant les seins, moi je le masturbais
    en mettant mon doigt dans son cul. Mais bientôt, nous avons ressenti le besoin d'introduire quelque chose de plus gros afin d'augmenter nos sensations. Nous avons trouvé dans le buffet de la salle à manger un tube métallique qui avait servi à emballer un cigare; ce tube était lisse et nous nous sommes empressé de l'essayer, ce fut une découverte car chacun notre tour, nous nous pénétrions et effectuons des va et vient rapides, cet échauffement était très agréable, et un soir, j'ai montré ce tube à ma sœur Céline, et là nous avons changé la destination de l'objet, Céline s'est pénétré le vagin, et tout en caressant son clitoris avec l'autre main, elle a eu du plaisir, c'est la première fois que son vagin lui donnait un orgasme! Après elle a essayé sur moi, j'étais bien mouillée, et elle est rentré juste un peu, comme Julien avait déjà fait le passage avec son doigt, je n'ai pas eu mal, mais je n'ai pas ressenti de plaisir particulier, seulement l'excitation de faire quelque chose d'interdit.

    Ce tube à cigare, a beaucoup servi à chacun de nous trois, nous l'appelions notre doigt magique.

    Quelques semaines plus tard, Céline est entrée dans notre chambre avec un air mystérieux, et quand nous nous sommes retrouvé au lit, elle m'a fait fermer les yeux, et m'a ordonné de sentir, et elle ma frotté le visage avec un tissus doux et humide, qui dégageait une odeur féminine très forte, puis elle m'a demandé de lécher, j'étais comme enivrée par ce parfum si fort, ce goût si prononcé, j'étais follement excitée. Elle m'a alors avoué que c'était la culotte de notre mère qu'elle avait laissée dans la salle de bain après sa douche du soir. Elle m'a confié que cela faisait déjà un certain temps qu'elle cherchait les culottes maternelles dans le panier à linge sale, et qu'une fois que l'on avait goûté ce parfum, on ne pouvait plus s'en passer. Elle m'a ordonné de conserver la culotte sur mon visage pour m'endormir, et elle m'a longuement embrassé puis nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre. Le matin au réveil, nous sommes aller fouiller dans le panier à linge pour trouver un slip de notre père, mais notre mère avait déjà mis sa machine à tourner, et nous devrons attendre le week-end prochain pour que mon père rentre de son travail en province.

    Le samedi suivant, nous avions décidé, ma sœur Cécile et moi d'essayer de surprendre nos parents, car nous savions que quand mon père était présent à la maison, il cherchait sans arrêt à toucher notre mère, qui lui tapait sur les mains en le traitant de cochon, ce qui nous amusait beaucoup. Les jours où mon père était là, Maman mettait des vêtements sexy, ce qui justifiait les tentatives de notre Papa.

    Le soir nous sommes montées dans notre chambre, située sur une mezzanine qui surplombe la salle de séjour, où nos parents ont un canapé convertible en lit. Nous avons attendu un long moment dans notre lit, puis nous sommes sorties tout doucement de notre chambre pour nous coucher sur la mezzanine, de façon à voir nos parents sans qu'ils ne nous remarquent.

    Nos parents étaient enlacés dans le canapé, et Papa avait ouvert le corsage de Maman, et sorti ses seins au dessus de son soutien-gorge, il avait aussi remonté sa jupe, et il mettait sa main entre les cuisses largement ouvertes de Maman, qui lui disait de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller les gosses.

    Ils s'embrassaient en se caressant, puis Papa s'est levé, il avait le sexe sorti de son pantalon, et sa verge nous a alors semblé énorme! Comment Maman peut-elle faire avec un pareil gourdin!

    Papa a ouvert le lit, et il a dit à Maman de se déshabiller, mais de conserver son soutien gorge, en dessous de ses seins. Elle s'est mise à genoux sur le lit, et il s'est mis nu, et il lui a promené son sexe sur le visage. Maman a voulu le prendre dans sa bouche, mais il lui a répondu qu'elle avait du être très vilaine pendant son absence de la semaine, et qu'elle méritait une punition. Maman qui visiblement n'attendait que cela, l'a supplié de ne pas faire de bruit. 

    Papa alors a pris les pointes des seins de notre mère, et les a tirés lentement, mais de plus en plus fort, Maman faisait de petits couinements, puis Papa a donné des gifles aux seins qui pendaient hors du soutien-gorge, lentement, mais nous entendions les gifles qui claquaient et nous voyions les seins qui ballottaient d'un côté et d'un autre, Maman au lieu de se protéger, tendait encore plus sa poitrine vers Papa. Papa lui a murmuré, tu aimes ça, salope! Maman, lui a répondu dans un souffle continue, je t'aime.

    Puis Papa a mis son sexe qui avait encore grossi dans la bouche de notre Maman qui tenait ses seins dans ses mains, et là, nous avons étés stupéfait de voir ce sexe si gros, entrer dans la bouche, Papa tenait maintenant Maman par la tête, et il lui faisait rentrer à force sa verge jusqu'au fond de sa gorge, Maman soudain a étouffé et a eu une quinte de toux, Papa l'a embrassé puis il a recommencé ses va et vient dans la bouche.

    Avec Céline, nous étions stupéfaites de voir ce spectacle, de voir la soumission de notre mère, et quand au sexe de notre père, rien à voir avec celui de notre frère, il allait avoir du travail pour pouvoir rivaliser avec celui de notre père.

    Soudain, mon Père s'est couché sur le dos, et Maman s'est assise sur son sexe dressé, et là elle a commencé à monter et descendre sur cette colonne de chair, Papa lui, lui caressait les seins, et la tenait par les pointes, soudain Maman a dit oui, oui, je viens, alors Papa lui a empoigné ses seins et les a serrés avec force, Maman a poussé encore de petits cris, puis elle est tombée sur lui en haletant.

    Au bout de quelques instants, Maman s'est mise à genoux, et Papa après avoir mis un préservatif lui a pénétré son anus , en la tenant par les hanches, et il a pris une cadence plus rapide, nous entendions frapper le bassin de notre Père sur les fesses de Maman. Soudain, Papa a poussé un cris rauque, et ils ont roulé sur le lit, enlacés.

    Nous sommes retournés sans bruit dans notre chambre, et Céline et moi étions si troublées de ce spectacle, à la fois si violent et si tendre que nous nous sommes endormies après avoir échangé un long baiser, nous avions hâte de retrouver cet instant volé à nos parents dans nos rêves.

    Pendant la nuit qui a suivi la vision secrète de nos parents faisant l'amour, j'ai rêvé de toutes les choses qu'ils avaient faites, de la soumission apparente de ma mère, de l'énorme sexe de mon père, je me demandais si tous les hommes avait un tel sexe, et je ne voyais pas trop comment un tel sexe pourrait rentrer dans ma petite chatte et encore plus, comment le faire pénétrer dans mon petit anus.

    Dès que nous nous sommes réveillées, avec ma sœur Céline, nous avons pensé faire un câlin avec les parents pour essayer de ressentir ce qu'ils avaient dû ressentir hier soir, mais nous avons étés déçues, car ils étaient partis de bonne heure pour faire des courses. En fouillant dans leurs affaires laissées sur leur lit, nous avons pu sentir leurs vêtements qui avaient conservé l'odeur de leur corps amoureux, mais Céline, a trouvé, sous le lit, deux préservatifs utilisés, avec un nœud pour que le contenu ne se répande pas.

    Voilà un trésor que nous n'osions pas rêver, ma sœur les a immédiatement montés dans notre chambre et elle a essayé de défaire les nœuds, mais cela a été assez difficile, et nous ne voulions pas les abîmer.

    Enfin, elle y a réussi. Elle a mis son doigt dans la sperme de Papa et l'a porté à la bouche, elle tremblait devant ce que, intuitivement, nous ressentions comme une chose sûrement interdite. Elle a plongé à nouveau son doigt et me l'a mis dans la bouche, j'ai trouvé le goût très semblable au sperme de mon frère Julien, mais avec une dimension symbolique beaucoup plus forte, ce sperme dans notre bouche c'était comme si notre père nous donnait la même marque d'amour que celles qu'il donnait à notre mère.

    Céline a pris le reste du sperme du premier préservatif dans sa bouche et m'a embrassée sur la bouche pour un grand baiser avec la langue. Nous avons partagé le jus d'amour de Papa. Avec le sperme du deuxième préservatif, Céline a massé les pointes de nos seins, et nos petites lèvres et pour finir, nous nous sommes caressées, longuement, nos clitoris, avec ce sperme paternel.

    Céline a décidé que mercredi prochain, quand nous passerons la journée ensemble avec mon frère Julien, nous ferons l'amour comme nos parents et que nous ne devions parler de notre nouveau secret à personne, que nous mettrons Julien au courant qu'au dernier moment.

    Mercredi matin, après le départ de ma mère au travail, Céline a pris les choses en mains, elle est monté avec moi réveiller mon frère Julien, nous étions restées en chemise de nuit, lui dormait en pyjama et quand nous avons ouvert le lit, nous avons vu qu'il avait une belle érection, les garçons ont de la chance, ils se réveillent toujours en forme.

    Céline lui a dit qu'aujourd'hui, nous allions avoir une vraie expérience amoureuse, et nous lui avons raconté que nous avions surpris nos parents et que nous voulions ressentir les mêmes sensations. Il était tout excité par notre projet, mais il nous a reproché de ne pas l'avoir convié à regarder avec nous les ébats de nos parents.

    Céline nous a proposé de prendre un bain ensemble, puis nous a savonné dans les moindres recoins, puis elle et moi nous nous sommes parfumées avec le parfum de Maman, Julien, lui a mis de l'eau de toilette de Papa.

    Céline a mis ensuite la culotte et le soutien-gorge que Maman avait mis hier, et qu'elle avait laissés dans la salle de bain. Moi j'ai mis mon plus joli ensemble culotte/soutien-gorge et Julien a mis un slip de Papa et il est resté torse nu.

    Puis nous sommes allés nous asseoir dans le canapé-lit de nos parents, nous nous sommes embrassés tous les trois. Céline a sorti le sexe de Julien et lui a demandé de lui sortir les seins du soutien-gorge, ils se caressaient en s'embrassant. Moi, je les regardais en caressant ma fente à travers ma culotte.

    Céline a ouvert le canapé-lit et a demandé à Julien de lui brutaliser les seins, mais n'ayant pas vu la scène initiale, il faisait n'importe quoi, Céline m'a ordonné de venir le remplacer, et de la punir.

    Je lui ai alors reproché d'avoir été vilaine, et qu'une bonne punition s'imposait. Je lui ai alors tiré les pointes de ses deux seins, qu'elle avait déjà très gonflées de désir, je les ai pincés de plus en plus fort, en lui ordonnant le silence pour ne pas réveiller les gosses, puis comme l'avait fait mon père, je lui ai giflé, alternativement, chaque sein, de plus en plus fort, je lui ai ordonné de mettre ses seins plus en avant et de bien relever la tête. Ses seins ballottaient et claquaient l'un contre l'autre, Julien bandait comme un fou, et m'a remplacé pour donner des gifles aux seins de Céline.

    Alors, je lui ai ordonné de mettre son sexe dans la bouche de Céline, de l'enfoncer complètement, pour ce faire, j'ai maintenu la tête de ma sœur et il a forcé. J’ai dit Céline d'ouvrir encore plus sa bouche et d'avaler la belle bite de Julien, qu'elle n'avait pas à se plaindre, car Papa en avait une encore plus grosse.

    Puis nous avons demandé à Julien de s'allonger sur le lit, et nous lui avons mis un des préservatifs que nous avions récupéré samedi soir, encore humide du sperme de Papa. Alors, Céline s'est mise sur notre frère et s'est empalée sur sa bite bien dressée. Elle est montée et descendue jusqu'à ce que le sexe entier de Julien entre dans son vagin. Moi je lui caressais le clitoris, tout en tenant les couilles de Julien. Autour de nous, il y avait l'odeur du lit de nos parents, Julien n'en pouvait plus, il a rapidement éjaculé dans la capote de Papa. Céline est descendue de Julien et a récupéré le préservatif sur le sexe rapidement dégonflé.

    Elle s'est frottée les seins avec le jus d'amour; moi, j'en ai profité pour lécher la petite bite, c'est amusant de voir comment les garçons peuvent changer de taille ! J'ai aspiré son sexe jusqu'au fond de ma bouche, pendant que Céline faisait lécher sa chatte à Julien en le traitant d'incapable, car il avait joui avant elle. Mais rapidement elle a eu aussi son plaisir.

    Sous mes caresses Julien a repris rapidement de la vigueur, et ce fut à mon tour de le chevaucher, au début j'ai eu mal, et le sexe avait du mal à rentrer, pourtant j'étais inondée de désir, Céline a tenu la verge avec sa main pour qu'elle ne plie pas à ma nouvelle tentative et là, miracle, elle est rentrée d'un coup, ce qui m'a fait crier, la douleur était très forte, mais Céline m'a ordonné de monter et descendre lentement sur le sexe de Julien, en faisant bien attention de ne pas le laisser sortir. Rapidement, c'est devenu plus agréable et Julien, qui était moins pressé de décharger, prenait vraiment du plaisir à voir sa bite entrer dans mon vagin.

    Céline, toujours dominatrice et peut-être un peu jalouse que mon frère avait été un peu trop rapide avec elle, m'a dit que je n'avait pas été punie comme elle, aussi elle m'a torturé les seins avec encore plus de vigueur que celle que j'avais mise avec elle. Mais j'étais si excitée que ses pincements et claques sur les seins ont fait monter en moi une vague de jouissance qui a irradié tout mon corps. Julien a déchargé dans la deuxième capote avec de grands coups de reins, en me tenant par les hanches.

    Je suis tombée sur le lit, essoufflée et assoiffée, heureuse d'être une femme, comblée comme l'était notre Maman. Céline a léché, à son tour, le sexe de Julien et m'a barbouillé les seins avec le sperme contenu dans le préservatif.

    Nous sommes restés nus et Céline a préparé le repas, en nous demandant de la peloter comme fait notre père avec Maman. Elle se laissait faire en nous traitant de cochons et de vicieux, Julien a eu un "apéritif" spécial, il a dû nous lécher, consciencieusement, la fente et l'anus, nous l'avons inondé de notre jus.

    Après le repas, Céline m'a demandé de lui pénétrer l'anus avec notre tube métallique, en lubrifiant avec de l'huile, puis de lui mettre mes deux index à la fois et d'écarter. Son cul qui, au début, était serré, s'est ouvert, elle, elle se caressait le clitoris pendant mes manipulations. Julien bandait à nouveau devant nos manipulations, alors Céline, à genoux, comme l'était notre mère, a demandé à Julien de la prendre par là, doucement, mais à fond !. Julien a hésité, car il avait peur de salir son sexe ! Néanmoins, il a rapidement obtempéré, mais il a eu beaucoup de mal à pénétrer Céline, seul le gland passait. Céline a écarté ses fesses de toutes ses forces, alors Julien est rentré d'un coup, puis a commencé ses va-et-vient, Céline nous a demandé de l'insulter comme mon père le faisait, pendant ses ébats avec Maman. Salope, traînée, vicieuse !! Julien, pour faire bonne mesure, lui a donné de grandes claques sur les hanches et les cuisses ! Il a senti que l'intérieur du cul de Céline commençait à être tout mouillé et que son sexe était délicieusement serré. Moi, je me caressais comme une folle devant le spectacle et quand Julien a éjaculé de longs traits de sperme dans le cul, maintenant tout ouvert de notre sœur, il a projeté Céline en avant et il est retombé dessus, ébloui de plaisir et tout essoufflé.

    Je me suis précipitée et j'ai léché, avec application, le sexe de Julien, puis le cul de Céline, qui s'est mise, accroupie, au dessus de mon visage et elle a poussé, pour évacuer le sperme contenu dans son cul, maintenant bien dilaté, j'y ai glissé ma langue, c'était délicieux.

    Depuis cette date, j'ai compris que si j'avais beaucoup de plaisir à être dominée, que c'était sûrement ma nature profonde, j'avais aussi beaucoup joui de maltraiter les seins et le cul de ma sœur! À l'avenir, je tâcherai de développer ces deux aspects de ma personnalité sexuelle.

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